Accueil Blog Page 322

Le plan de financement à 3 ans

Les trois premières années sont en général déterminantes pour les entreprises. C’est pourquoi il est fortement recommandé d’établir un plan de financement sur ce laps de temps. Le plan de financement à 3 ans est également appelé « plan de financement triennal » ou « plan financier à moyen terme ». Il s’agit d’un outil de gestion financière qui prévoit et détaille les flux de trésorerie attendus d’une entreprise sur une période de trois ans. 

Ce plan vise à projeter les ressources financières entrantes et sortantes de l’entreprise sur cette période. Il fournit une vision à plus long terme de sa santé financière. N’oublions pas qu’une bonne structure financière renforce les chances de pérennité de la jeune pousse

Présentation du plan de financement à 3 ans

Il se présente de la même manière que le plan de financement initial.

Il s’agit de mettre :

  • A gauche, les besoins durables tels que les frais d’établissement, les investissements HT, le BFR, l’augmentation du BFR, le remboursement annuel des emprunts à terme, le prélèvement de l’exploitant ou les dividendes distribués
  • A droite, les ressources durables tels que les fonds propres (Apport personnel ou Capital social), les comptes courants d’associés, les primes et subventions, la capacité d’autofinancement, les emprunts bancaires à moyen ou long terme et les autres emprunts (prêts d’honneur…

Comment le remplir ?

1/ Pour l’année de départ dite Année « N » ou « 1 »

Il s’agit de reprendre le contenu du plan de financement initial pour les ressources et besoins

Dans la colonne « besoin » il faudra également :

  • reporter le montant en capital des emprunts à terme hors intérêts. Les intérêts sont à mettre dans le compte de résultat.
  • indiquer les prélèvements effectués au titre de la rémunération de l’exploitant pour les entreprises individuelles.

Dans la colonne « ressource »  il faudra également indiquer le montant de la Capacité d’autofinancement (CAF).

CAF = bénéfices après impôts + dotation aux amortissements

2/ Pour les années « N+1 » ou « 2 » et « N+2 » ou « 3 »

Seuls les éléments apparus au cours de chaque exercice doivent être inscrit.

A noter : Dans les besoins :

  • mettre uniquement l’augmentation du BFR
  • Pour le remboursement annuel des emprunts il s’agit de noter le capital des emprunts remboursés au cours de l’année.
  • Idem pour le prélèvement de l’exploitant

Dans les ressources, tenir en compte seulement des nouveaux apports des comptes courants d’associés

Les 2 utilités principales du plan de financement à 3 ans 

Il est généralement utilisé pour la planification financière à moyen terme. Le plan de financement à trois ans permet à l’entreprise de planifier ses activités financières sur une période de moyen terme. Il offre une vision à plus long terme que les projections annuelles. Cela aide les dirigeants à mieux anticiper les besoins en financement et à élaborer des stratégies financières solides.

Il sert également à la gestion des flux de trésorerie. En projetant les entrées et sorties de trésorerie sur trois ans, l’entreprise peut mieux gérer ses liquidités et éviter les problèmes de trésorerie. Cela permet d’anticiper les périodes où les sorties de trésorerie peuvent être plus élevées que les entrées. Cela permet de prendre des mesures pour éviter les difficultés financières.

Ses autres utilisations

Il peut également servir à :  

  • Prise de décision éclairée : Le plan de financement à trois ans fournit aux dirigeants et aux gestionnaires les informations nécessaires pour prendre des décisions financières éclairées. Ils peuvent mieux comprendre comment les différentes décisions, telles que les investissements, les nouveaux projets ou les réductions de coûts, auront un impact sur la situation financière de l’entreprise à moyen terme.
  • Communication avec les parties prenantes : Le plan de financement à trois ans est souvent utilisé pour communiquer avec les investisseurs, les prêteurs, les actionnaires et d’autres parties prenantes. Il fournit une perspective à plus long terme sur la viabilité financière de l’entreprise et rassure les parties prenantes quant à sa capacité à générer des revenus et à rembourser ses dettes.
  • Définition des objectifs financiers : Le plan de financement à trois ans aide à définir des objectifs financiers réalistes pour l’entreprise. En se basant sur les projections financières, les dirigeants peuvent établir des cibles de revenus, de marges bénéficiaires, de réductions de coûts, etc.
  • Évaluation de la stratégie commerciale : En projetant les flux de trésorerie liés aux différentes stratégies commerciales, l’entreprise peut évaluer la rentabilité et la faisabilité de ces stratégies à moyen terme.
  • Suivi de la performance : Une fois que le plan est en cours d’exécution, il permet de comparer les résultats réels avec les projections prévues. Cela permet de détecter les écarts et d’ajuster les stratégies en conséquence.

Les échecs des autres : une source d’apprentissage

Bienvenue dans le territoire périlleux des conseils aux entrepreneurs, où l’or peut parfois se transformer en plomb. Les perles de sagesse farfelues pullulent, et parmi elles, l’idée qu’il faut rire des erreurs d’autrui, comme formule magique du succès, est parfois présente. Se moquer n’apporte rien mais analyser et encourager peut rapporter beaucoup. Comment Les échecs des autres : une source d’apprentissage ?

L’humour aux dépens des autres 

Certains se gaussent des échecs d’autrui alors qu’il s’agit d’une manière de s’inspirer. Il ne sert à rien de se régaler des faux pas des autres, cela ne vous mènera pas à la gloire. Est-ce vraiment ainsi que se bâtit un empire ? Plutôt que de célébrer l’agonie des autres, il est plus sage d’apprendre de leurs expériences. Il vaut mieux les incorporer dans votre propre quête entrepreneuriale. Le conseil de « rire des échecs des autres » peut sembler une échappatoire pour ceux qui ont du mal à entrevoir le succès. Pourtant, la vérité réside dans le fait que les raccourcis mènent rarement à une destination gratifiante. Les fondations d’entreprises prospères reposent sur le béton solide du labeur, des efforts soutenus et d’une connaissance intime de l’industrie. Se moquer des déconvenues d’autrui peut être divertissant, mais il ne vous mènera pas bien loin si vous n’investissez pas sincèrement dans votre propre parcours.

Apprendre des fiascos 

Au lieu de rire des faux pas, il est plus profitable d’apprendre des erreurs commises. Elles sont des maîtres puissants, et déconstruire les ratés d’autres entreprises peut vous aider à éviter de tomber dans les mêmes pièges. Au lieu de ridiculiser, prenez le temps de disséquer les ratés et de tirer des leçons tangibles. C’est ainsi que vous transformerez les revers en tremplins pour une croissance personnelle et professionnelle exponentielle.

Se moquer des tribulations d’autrui manque souvent de sensibilité. Derrière chaque fiasco d’entreprise se cachent des âmes qui ont investi du temps, de l’énergie et de l’espoir. Plutôt que de rire, prenez le temps de comprendre leurs luttes et leurs dilemmes. Cultiver l’empathie vous aidera à tisser des liens avec vos collègues entrepreneurs et à ériger un écosystème plus solidaire et collaboratif.

Encourager au lieu de vous moquer

L’inspiration positive est une force bien plus puissante que la moquerie des malchanceux. Au lieu de se gausser, puisez l’inspiration dans les réussites et les histoires édifiantes. Les histoires de réussite sont infiniment plus motivantes que les chutes, car elles démontrent ce qui est réalisable avec de la détermination, de la créativité et un labeur inlassable.

Plutôt que de savourer le malheur d’autrui, unissons nos forces pour ériger un environnement entrepreneurial robuste. En partageant nos expériences, nos connaissances et nos idées, nous pouvons tisser un réseau où chacun peut apprendre, évoluer et triompher. En soutenant mutuellement nos hauts et nos bas, nous édifierons un avenir fructueux pour tous.

Moquer les erreurs d’autrui n’est pas le chemin vers le succès. Au lieu de cela, optez pour l’apprentissage, la croissance et la bienveillance pour bâtir une trajectoire durable vers vos objectifs entrepreneuriaux. L’entrepreneuriat est un périple collectif, et en unissant nos efforts, nous pouvons tricoter un futur florissant pour chacun.

Maîtrisez votre charge de travail

Être un entrepreneur signifie être à la barre de votre propre navire, mais cela peut aussi signifier jongler avec une multitude de responsabilités et de tâches. Celles-ci peuvent sans arrêt menacer de vous submerger. Pour vous en sortir, il vous faut trouver l’équilibre délicat entre l’excitation de diriger votre propre entreprise et comment vous maîtrisez votre charge de travail. A défaut, l’épuisement professionnel pourrait vite venir.

Affronter la réalité : le marathon de l’entrepreneuriat

L’entrepreneuriat peut être une aventure excitante et gratifiante, mais il ne faut pas sous-estimer la quantité de travail et d’énergie qu’elle exige. Entre la création, la gestion opérationnelle, la prise de décisions stratégiques et la nécessité d’être polyvalent, il est facile de se sentir accablé. Toutefois, avec une gestion intelligente de votre charge de travail, vous pouvez équilibrer cette réalité avec succès. Le désir de voir votre entreprise prospérer peut vous pousser à travailler de manière excessive et à ignorer les signaux d’épuisement. Le burn-out est un danger réel qui peut nuire à votre créativité, à votre santé mentale et à la croissance de votre entreprise. Il est donc essentiel de développer des stratégies pour gérer efficacement votre charge de travail.

Stratégies pour gérer votre charge de travail avec sagesse

Pour éviter de vous sentir surmené, priorisez votre charge de travail. La gestion de votre charge de travail commence par une hiérarchisation judicieuse. Identifiez les tâches qui ont le plus grand impact sur la croissance et la réussite de votre entreprise. Concentrez-vous sur ces priorités essentielles et veillez à ne pas vous laisser distraire par des tâches secondaires qui peuvent vous éloigner de vos objectifs.

Aussi, vous n’êtes pas obligé de tout faire vous-même. Constituez une équipe compétente et dévouée qui peut prendre en charge certaines des responsabilités. Laissez les experts gérer les domaines où ils excellent, ce qui vous permettra de concentrer votre énergie sur les aspects stratégiques et la vision à long terme de votre entreprise. N’hésitez pas à vraiment déléguer et à former vos collaborateurs pour qu’ils puissent se substituer à vous. 

Enfin, ne négligez pas la technologie. Elle peut être votre alliée dans la gestion de votre charge de travail. Utilisez des outils de gestion de projet, des applications de suivi du temps et des logiciels de communication pour organiser et rationaliser vos processus. Cela vous permettra de gagner du temps et d’améliorer votre efficacité opérationnelle.

Protégez votre bien-être et votre créativité

Si vous avez encore du mal à vider votre to do list, vous devez prendre conscience qu’il est nécessaire de réserver du temps pour vous-même. L’entrepreneuriat peut être exigeant, mais il est crucial de se réserver du temps. Pratiquez des activités qui vous détendent et vous revitalisent, comme le sport, la méditation, la lecture ou les moments en famille. Prendre soin de votre bien-être vous aidera à maintenir votre énergie et votre créativité à un niveau optimal.

De la même manière vous devez apprendre à dire non. La tentation de dire oui à toutes les opportunités peut être forte, mais il est important d’apprendre à dire non lorsque cela s’avère nécessaire. Concentrez-vous sur les projets et les collaborations qui sont alignés avec vos objectifs et votre vision pour votre entreprise. Cela vous évitera de vous étirer trop mince et de compromettre la qualité de votre travail.

En conclusion : laissez-vous vivre

La vie d’entrepreneur peut être une aventure passionnante, mais elle nécessite une gestion intelligente de votre charge de travail pour éviter l’épuisement professionnel. En priorisant avec soin, en développant une équipe compétente, en exploitant la technologie et en protégeant votre bien-être, vous pouvez naviguer dans le monde entrepreneurial avec succès. Gardez à l’esprit que prendre soin de vous-même n’est pas un luxe, mais une nécessité pour assurer la durabilité de votre entreprise. En trouvant le bon équilibre entre passion et gestion efficace de votre charge de travail, vous serez prêt à relever les défis avec confiance et à réaliser vos ambitions entrepreneuriales de manière durable.

Le compte de résultat

Le compte de résultat, également appelé « compte de profits et pertes » ou « état des résultats », est l’un des états financiers essentiels d’une entreprise. Il présente une vue synthétique des performances financières de l’entreprise sur une période donnée. Il s’établit généralement sur une base annuelle ou trimestrielle. Le compte de résultat permet d’analyser la rentabilité de l’entreprise en détaillant les revenus, les coûts et les dépenses associés à ses activités opérationnelles. Le compte de résultat liste et compare les produits (le chiffre d’affaires) et les charges de l’exercice (l’ensemble des dépenses). 

Il permet de faire apparaître des résultats positifs ou négatifs qui sont les bénéfices ou les pertes d’un exercice. D’où le mot « résultat ». En simple, il permet de faire apparaître, si l’entreprise est rentable ou non.

Présentation du compte de résultat

Il est classiquement établi sous forme d’un tableau (parfois Excel) mais peut être établi sous la forme d’une liste. Il est généralement établi sur 3 ans (3 exercices) et divisé en général en deux colonnes principales :

  • A gauche, l’ensemble des charges (ou dépenses) de l’exercice.
  • A droite, l’ensemble des produits (ou recettes) de l’exercice.

Le compte de résultat : boussole de la rentabilité

Le compte de résultat fournit un aperçu des performances financières d’une entreprise sur une période donnée. En analysant les éléments du compte de résultat, on peut tirer plusieurs conclusions et informations importantes sur l’état et la santé financière de l’entreprise. 

Il sert surtout à vérifier la rentabilité. Il permet de déterminer si l’entreprise a réalisé un bénéfice net ou une perte nette pendant la période. Cela indique si l’entreprise génère des revenus suffisants pour couvrir ses coûts et dégager un profit.

  • Si les charges sont supérieures aux recettes, le résultat est négatif : l’entreprise perd de l’argent
  • Si les charges sont inférieures aux recettes, le résultat est positif : l’entreprise gagne de l’argent

Les autres informations

Voici ce que l’on peut déduire d’autres du compte de résultat :

  • Marge brute : En comparant les revenus d’exploitation aux coûts de production (coûts des biens vendus), on peut calculer la marge brute. Cette marge indique la rentabilité de base de l’entreprise avant de tenir compte des dépenses opérationnelles.
  • Efficacité opérationnelle : Les ratios de rentabilité, tels que la marge nette (bénéfice net divisé par les revenus), permettent d’évaluer l’efficacité avec laquelle l’entreprise transforme ses revenus en bénéfices
  • Évolution des coûts : En observant les variations des charges d’une période à l’autre, on peut identifier les tendances dans les coûts de production. On peut également mieux contrôler les dépenses de marketing, les coûts de main-d’œuvre, etc.
  • Capacité d’endettement : Les ratios financiers, tels que le ratio d’endettement, permettent d’évaluer la capacité de l’entreprise à rembourser ses dettes à partir de ses profits.
  • Rendement des investissements : En analysant le rapport entre le bénéfice net et le capital investi, on peut évaluer le rendement que l’entreprise génère pour ses investisseurs.
  • Évaluation de la performance par rapport à la concurrence : Les entreprises peuvent comparer leurs résultats avec ceux de leurs concurrents pour évaluer leur position relative sur le marché.

En conclusion

Si le compte de résultat à de nombreuses fonctions, il peut également servir à l’identification des domaines de croissance. En comparant les sources de revenus les plus rentables et les domaines de dépenses excessives, l’entreprise peut déterminer où concentrer ses efforts d’amélioration et de croissance. Il permet ainsi une meilleure prise de décision. Les informations du compte de résultat aident les dirigeants à prendre des décisions stratégiques concernant l’allocation des ressources, le développement de nouveaux produits, l’optimisation des coûts, etc.

A noter : Tous les montants sont à porter hors taxes (sauf si non-assujettis à la TVA).

Savoir remettre à jour ses objectifs : moins de stress, plus de succès

Nous avons tous ressenti ce frisson d’excitation en fixant des objectifs ambitieux pour notre avenir. Cependant, la poursuite incessante de ces objectifs sans adaptation ni mise à jour peut souvent engendrer du stress et de l’anxiété. Les chemins de la vie sont parsemés de virages inattendus et de nouvelles opportunités. Il faut donc savoir les remettre à jour sans culpabiliser. En effet, il est fort probable que vous vous démotiviez si vous ne pouvez jamais rattraper votre retard. Comment savoir remettre à jour vos objectifs pour prévenir le stress et maintenir un équilibre sain tout en cultivant le succès ?

Pourquoi mettre à jour vos objectifs ?

On pourrait se dire que des objectifs bien fixés dès la base doivent être normalement atteints.  Cependant, la vie est une constante évolution, et nos objectifs doivent refléter cette dynamique. Les circonstances personnelles et professionnelles changent, tout comme nos priorités et nos aspirations. Ce qui était une priorité il y a quelques mois pourrait maintenant sembler dépassé ou inapproprié. Reconnaître cette évolution est le premier pas pour éviter le stress inutile et s’aligner avec la réalité en constante évolution.

Mettre à jour vos objectifs est essentiel pour rester ouvert aux nouvelles opportunités qui se présentent à vous. Parfois, ces occasions ne correspondent pas parfaitement à vos objectifs fixés. Cependant, elles pourraient être la clé d’une réalisation plus grande et plus satisfaisante. La flexibilité dans la mise à jour de vos objectifs vous permet de saisir ces opportunités et de profiter au maximum des chemins imprévus qui se dévoilent.

Savoir quand et comment mettre à jour vos objectifs

Commencez par écouter votre voix intérieure. Votre intuition est un guide puissant pour déterminer si vos objectifs sont toujours alignés avec vos valeurs et vos aspirations actuelles. Si vous ressentez un sentiment persistant de malaise ou d’insatisfaction envers vos objectifs, cela pourrait être un signe qu’il est temps de les réexaminer. Prenez le temps de vous connecter avec vous-même. Ecoutez vos sentiments et soyez honnête sur ce qui vous motive réellement.

Réévaluez ensuite vos priorités.  La vie exige des choix et des compromis. Vos priorités et vos besoins évoluent, et vos objectifs doivent refléter ces changements. Prenez régulièrement du recul pour évaluer ce qui est réellement important pour vous en ce moment. Demandez-vous si vos objectifs actuels vous rapprochent de ce que vous désirez vraiment ou s’ils vous éloignent de votre essence profonde. N’hésitez pas à ajuster vos objectifs pour qu’ils s’alignent avec votre véritable direction.

Fixez enfin des étapes intermédiaires et réalistes. Divisez vos objectifs en étapes intermédiaires plus petites et réalisables. Ces étapes vous permettent de suivre vos progrès de manière tangible et de faire des ajustements en cours de route. Si vous trouvez qu’une étape intermédiaire ne correspond plus à votre situation ou à vos besoins, ajustez-la pour qu’elle reflète votre réalité actuelle. Cette approche vous aide à conserver une vision réaliste de vos objectifs tout en gardant la flexibilité nécessaire pour vous adapter aux changements.

Les avantages d’une mise à jour réussie 

Le premier avantage réside dans la réduction du stress et de la pression. Des objectifs obsolètes ou inatteignables peuvent générer du stress inutile. Il est inutile de les garder s’ils ont été trop ambitieux. En remettant à jour vos objectifs pour qu’ils correspondent à votre situation actuelle, vous réduisez le stress et la pression d’un seul coup. Vous créez un environnement qui vous permet de progresser sans vous accabler.

Ensuite, remettre à jour ses objectifs apporte de la stimulation de la motivation. Des objectifs mis à jour vous fournissent une source renouvelée de motivation. En atteignant des étapes intermédiaires révisées, vous ressentirez un sentiment de satisfaction et de réussite. Ces victoires intermédiaires vous encouragent à continuer à travailler dur et à rester motivé pour atteindre vos objectifs finaux, tout en étant attentif aux signaux de changement.

Savoir remettre à jour vos objectifs est une compétence essentielle pour éviter le stress, maintenir votre bien-être et cultiver le succès. En reconnaissant l’évolution constante de la vie, en écoutant votre intuition, en réévaluant régulièrement vos priorités et en fixant des étapes intermédiaires réalistes, vous créez un cadre qui vous permet de vous épanouir tout en gérant les défis et les changements imprévus. Le processus de mise à jour d’objectifs n’est pas un signe de renoncement, mais plutôt un signe de sagesse, de flexibilité et de croissance. Alors, prenez le temps de réfléchir à vos objectifs actuels, d’adapter votre plan et de vous donner la permission de pivoter lorsque cela s’avère nécessaire pour vous mener vers une vie épanouissante et réussie.

Comment trouver l’équilibre entre vie privée et professionnelle

Vous êtes-vous déjà retrouvé en train de répondre à des e-mails professionnels tard dans la nuit, alors que vous étiez censé profiter de votre temps libre ? Ou peut-être avez-vous ressenti le poids constant du travail à envahir vos moments personnels ? La frontière entre la vie privée et la vie professionnelle peut être floue. Cependant, il est essentiel de maintenir un équilibre sain pour préserver votre bien-être. Voici quelques conseils pratiques pour vous aider à séparer efficacement et trouver l’équilibre entre vie privée et professionnelle.

Trouver le juste équilibre : comment faire en pratique

Priorisez la gestion du temps

L’une des clés pour maintenir une frontière nette entre le travail et la vie personnelle est la gestion du temps. Établissez des plages horaires dédiées au travail et d’autres pour vos activités personnelles. Utilisez des outils tels que des agendas électroniques pour planifier vos journées de manière à éviter les chevauchements. En fixant des limites de temps, vous pouvez mieux vous concentrer sur chaque aspect de votre vie sans qu’ils ne se télescopent. De plus, la gestion du temps vous permet de définir des moments clés pour vos tâches professionnelles. Elle vous aide à maximiser l’efficacité de votre travail, ce qui libère davantage de temps pour vos loisirs.

Créez un espace de travail dédié

Avoir un espace de travail dédié, même à la maison, peut faire des merveilles pour séparer vie professionnelle et vie privée. Cet espace vous aidera à concentrer vos efforts lorsque vous êtes en mode « travail » et à vous déconnecter mentalement lorsque vous quittez cet espace. Si possible, choisissez une pièce ou un coin calme pour éviter les distractions et favoriser la productivité. Investir dans un mobilier ergonomique et confortable pour votre espace de travail peut également contribuer à votre bien-être et à votre efficacité.

Fixez des limites claires

Établir des limites claires avec vos collègues, amis et famille est crucial pour éviter que le travail ne déborde dans votre vie personnelle. Communiquez vos horaires de travail et soyez ferme quant à vos disponibilités en dehors de ces heures. Soyez d’abord ferme avec vous-même. Respectez vos propres limites en évitant de consulter vos e-mails professionnels pendant vos moments de détente. Lorsque vous maintenez ces limites, vous indiquez non seulement aux autres comment vous souhaitez être traité, mais vous montrez aussi à vous-même que vous accordez de la valeur à votre temps personnel.

Désactivez les notifications en dehors des heures de travail

Les notifications incessantes sur votre téléphone peuvent être une source constante de distraction et d’anxiété. Prenez l’habitude de désactiver les notifications liées au travail en dehors de vos heures de travail. Cela vous permettra de vous concentrer pleinement sur vos activités personnelles sans être constamment sollicité par des tâches professionnelles. Vous serez ainsi plus présent dans chaque instant, ce qui renforcera votre capacité à profiter pleinement de votre temps libre.

Conseils pour une transition en douceur entre 

Vous pouvez commencer par pratiquer la pleine conscience. Elle consiste à être pleinement conscient de l’instant présent. Intégrez des pratiques de pleine conscience dans votre routine quotidienne pour vous aider à vous détacher mentalement du travail lorsque vous êtes avec votre famille ou en train de vous détendre. Des exercices simples de respiration ou de méditation peuvent aider à calmer votre esprit et à vous recentrer. La pleine conscience vous aide à créer une barrière psychologique entre le monde du travail exigeant et le monde de la vie personnelle épanouissante.

Engagez-vous dans des activités personnelles significatives. Faites de vos activités personnelles une priorité. Qu’il s’agisse de faire de l’exercice, de lire un livre, de cuisiner ou de passer du temps avec vos proches, engagez-vous activement dans ces activités. Elles servent non seulement de distractions positives, mais aussi de rappels constants que votre vie ne se résume pas seulement au travail. L’investissement dans vos passions et relations personnelles crée une dynamique de bien-être qui soutient votre capacité à maintenir la distance avec les préoccupations professionnelles.

En conclusion : un équilibre essentiel

Trouver l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle est un défi, mais avec une planification minutieuse et des habitudes saines, il est tout à fait réalisable. En mettant en œuvre ces conseils pratiques, vous pouvez réduire le stress, améliorer votre bien-être et créer une frontière solide entre vos différentes sphères de vie. N’oubliez pas que vous méritez de vivre une vie épanouissante, à la fois professionnellement et personnellement. Alors, prenez les rênes de votre temps et créez l’équilibre que vous méritez. En investissant dans cette séparation consciente, vous investissez dans une meilleure qualité de vie dans son ensemble.

Le plan de financement initial

Le plan de financement initial pour les entreprises, également appelé « plan de financement de démarrage » ou « prévisionnel », est un document financier essentiel qui détaille les sources et les utilisations prévues des fonds nécessaires pour lancer et démarrer une nouvelle entreprise. Ce plan permet aux entrepreneurs et aux investisseurs de comprendre comment les ressources financières seront mobilisées et utilisées dans les premières étapes de l’activité de l’entreprise.

A quoi cela sert ?

Il permet : 

  • De savoir à combien se chiffre le projet. Il s’agira ensuite de savoir si les ressources durables nécessaires peuvent être réunies
  • D’adapter le projet en le modifiant pour réduire les besoins en sous-traitant par exemple.
  • D’abandonner le projet si les fonds propres nécessaires s’avèrent insuffisants par rapport aux fonds d’emprunt à obtenir.

Sa présentation

Le plan de financement initial se présente sous la forme d’un tableau comprenant deux parties : 

  • A gauche, on place les besoins de financement durables
  • A droite, les ressources financières durables.

1/ Les besoins durables

Ce sont : les frais d’établissements, les investissements et le Besoin en fonds de roulement (BFR)

  • Les frais d’établissement : ce sont les dépenses nécessaires pour constituer l’entreprise pour une période longue. Il s’agit des honoraires de conseil ou d’avocat, des frais d’immatriculation, des frais de première publicité …
  • Les investissements Il s’agit de la constitution de l’équipement de l’entreprise.
    On intègre dedans :
    • Les immobilisations incorporelles : acquisitions de brevet, licence, droit a bail, fonds de commerce …
    • Les immobilisations corporelles : matériels, machines, mobilier, véhicules, terrains, ordinateurs, construction, agencements, installations…
    • Les immobilisations financières : dépôts et cautions, prises de participation dans d’autres sociétés… Ils sont en général hors taxes (H.T) sauf si l’entreprise ne peut pas récupérer la TVA. Il faut exclure les « petits équipements » dont la valeur est de moins 500 euros HT. Ils seront à mettre dans le compte de résultat du premier exercice.
  •  Le Besoin en fonds de roulement (BFR) : pour commercialiser un produit, il faut en acquérir un stock. Ensuite, les clients demandent parfois de payer plus tard ce qui constitue une « créance client ». De la même manière les fournisseurs peuvent être payés parfois plus tard, ce qui constitue une « dette fournisseurs » On comprend bien que tant que le client n’a pas payé, il s’agira pour l’entreprise d’assumer l’écart.
    La formule du Besoin en fonds de roulement (BFR) est :
    BFR = Stocks moyens + les encours moyens de créances sur les clients – les encours moyens de dettes à l’égard des fournisseurs.

2/ Les ressources durables

On distingue souvent : 

  • Les apports personnels des différents associés : capital social et comptes-courants d’associés
  • Les apports en compléments : subvention, primes, emprunts à moyen ou long terme

L’équilibre à obtenir

Si les besoins durables restent supérieurs aux durables, il faudra combler cette différence par un apport externe. Pour obtenir cet équilibre on pourra penser au financement bancaire, aux prêts d’honneur ou au crédit-bail pour financer une partie des investissements.

Attention : la banque ne finance en général que 70% du prix HT des investissements corporels. Il faudra donc exclure le Besoin en fonds de roulement (BFR) et les investissements incorporels sauf le fonds de commerce.

Les noms de startups les plus farfelus

Bienvenue dans le royaume éclatant de l’entrepreneuriat moderne, où les idées brillantes fusionnent parfois avec l’absurde pour donner naissance à des noms de startups des plus farfelus. L’univers des startups est une aventure où l’innovation débridée danse avec l’étrange pour créer des noms qui piquent la curiosité et restent gravés dans l’esprit. Préparez-vous à plonger dans le kaléidoscope de la créativité déjantée. Découvrez comment des noms apparemment incohérents peuvent devenir des emblèmes précieux de l’esprit startup.

L’Art de l’assemblage – quand deux mots deviennent un

Dans le laboratoire des noms de startups, les expériences de fusion sont monnaie courante. Des collisions verbales surprenantes, comme « Snapchat » (snap + chat) ou « Spotify » (spot + identify), sont la preuve que l’ingéniosité peut surgir là où on l’attend le moins. Ces noms hybrides intriguent et font grincer des dents, mélangeant des éléments disparates pour créer une potion magique qui évoque un sourire ou un froncement de sourcils.

La singularité éclatante – noms qui se dressent seuls

Certains entrepreneurs ont fait le choix audacieux d’embrasser l’unique. Des noms tels que « Apple » ou « Amazon » n’avaient aucun lien avec leurs industries respectives au départ. Pourtant, ces noms singuliers ont acquis une signification nouvelle avec le temps, évoquant des images puissantes de la technologie et du commerce modernes. Après tout, pourquoi se conformer quand vous pouvez simplement être vous-même ?

L’art du jeu de mots – quand les animaux prennent le pouvoir 

Dans l’arène de la startup, les jeux de mots sont des épées tranchantes dans la bataille de l’attention. Des noms comme « MailChimp » (mail + chimpanzé) ou « PandaDoc » (panda + document) jonglent avec les sons et les significations pour créer des noms mémorables et distinctifs. Ces noms comiques sont comme des clins d’œil complices, engageant le public et laissant une marque durable.

Les noms énigmatiques – un voyage au-delà des limites du langage

Certaines startups optent pour des noms qui défient les conventions du langage. Des noms tels que « Lyft » ou « Quora » ne se rattachent à aucun concept existant, mais ils suscitent une curiosité insatiable. Ces noms énigmatiques laissent entendre que les startups sont bien plus que de simples mots – elles sont des portes vers l’inconnu.

Le sourire comme stratégie – quand l’humour devient l’arme suprême

L’humour peut être l’atout secret dans la création de noms de startups. Des noms tels que « Dollar Shave Club » ou « Groupon » utilisent l’humour pour créer un effet mémorable. Après tout, se faire raser tout en économisant des dollars est une offre difficile à refuser. Ces noms ludiques transforment les produits en expériences et les entrepreneurs en raconteurs d’histoires.

Le mystère des néologismes – l’art de créer des mots

Certains noms de startups semblent surgir d’un dictionnaire inconnu. Des combinaisons de syllabes apparemment aléatoires, comme « Zillow » ou « Tumblr », se sont imposées comme des éléments fondamentaux de la culture startup. Ces noms énigmatiques prennent vie à mesure que les entreprises prospèrent, élargissant notre vocabulaire et offrant une dose de mystère.

En conclusion 

Les noms de startups farfelus sont un mélange enivrant de génie et de folie, capturant l’essence même de l’entrepreneuriat. Que ce soit en fusionnant des mots, en jouant avec les sonorités, ou simplement en se démarquant de la norme, ces noms ont le pouvoir de captiver et d’intriguer. Alors que nous continuons à explorer le territoire inexploré de l’innovation, n’oublions jamais que les noms farfelus sont souvent les clés qui ouvrent les portes de l’imagination et du succès.

L’Assemblée Générale Ordinaire : tout ce que vous devez savoir

L’Assemblée Générale Ordinaire (AGO) peut sembler être une expression réservée au jargon des affaires. Ne laissez pas ce terme vous intimider. Que vous soyez investisseur, actionnaire, membre d’une association ou simplement curieux de comprendre les rouages de la prise de décisions dans une organisation, cet article vous accompagne pour découvrir en détail comment fonctionne une Assemblée Générale Ordinaire.

Le fondement de l’assemblée générale ordinaire

L’Assemblée Générale Ordinaire est une réunion annuelle incontournable. Elle rassemble les membres d’une organisation, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’une association. Son objectif est de discuter, d’approuver et de prendre des décisions importantes pour le futur de l’entité. Des sujets variés, allant de l’approbation des comptes annuels à la nomination des dirigeants en passant par la distribution des bénéfices, sont abordés et soumis au vote.

Selon le type d’organisation, l’AGO peut concerner différents groupes, tels que les actionnaires d’une société ou les membres d’une association. Les participants à l’AGO sont des acteurs clés qui ont une voix dans les orientations futures de l’entité. Les actionnaires et les membres en règle ont ainsi la possibilité d’influencer les décisions prises au cours de cette réunion.

Le processus de l’assemblée générale ordinaire

Avant que l’AGO ne se tienne, les participants reçoivent une convocation écrite ou électronique. Cette invitation comprend l’ordre du jour, la date, l’heure et le lieu de la réunion. Elle contient également les documents pertinents. Ce sont les rapports financiers, les propositions de résolutions et les candidatures aux postes de direction. Ceux-ci sont utiles aux participants pour s’informer en amont. 

L’AGO débute par une ouverture officielle effectuée par le président de l’organisation. L’ordre du jour est présenté et soumis à l’approbation des participants. Cette phase est essentielle car elle établit les sujets votés lors de la réunion. Les dirigeants présentent une série de rapports, tels que les rapports financiers et opérationnels, qui donnent une vision d’ensemble de la situation de l’organisation. Les participants ont alors la possibilité de poser des questions et d’exprimer leurs préoccupations. Les décisions sont prises au moyen de résolutions qui peuvent être adoptées à la majorité simple, à la majorité qualifiée ou à l’unanimité. La majorité dépend des règles propres à l’organisation et des sujets en discussion. Celles-ci sont en général définies dans les statuts.

Une fois que toutes les questions ont été abordées et que les résolutions ont été votées, le président met fin à la réunion. Si l’entité a généré des profits, il peut être décidé de distribuer des dividendes aux actionnaires. Cette décision repose sur les résultats financiers présentés et les résolutions adoptées.

Son rôle crucial 

L’AGO incarne les principes de transparence et de démocratie au sein d’une organisation. Elle offre aux membres la chance de participer activement aux décisions majeures qui influencent la direction et la gestion de l’entité. Cela renforce la confiance des parties prenantes dans les opérations de l’organisation. Elle exerce un rôle essentiel dans la surveillance des dirigeants et de la gestion financière de l’entité. Les participants ont l’opportunité de poser des questions, de remettre en question les choix et de demander des clarifications sur les activités passées et à venir. Cela favorise une responsabilisation accrue au sein de l’organisation.

L’Assemblée Générale Ordinaire peut sembler complexe à première vue, mais en réalité, elle incarne le cœur démocratique d’une organisation. La compréhension de son fonctionnement est primordiale pour tous ceux qui souhaitent s’engager activement dans les décisions et les orientations de l’entité. Que vous soyez actionnaire ou membre, l’AGO est une opportunité de faire entendre votre voix et de contribuer à façonner l’avenir de l’organisation. En participant ou en suivant de près ces réunions, vous devenez un acteur clé de son succès. Alors, ne sous-estimez pas le pouvoir de l’Assemblée Générale Ordinaire et soyez prêt à exercer votre influence pour le bien de l’entité qui vous tient à cœur.

Le BA. BA de la stratégie

L’étude de marché prend toute sa signification lors de l’élaboration de la stratégie. Celle-ci fait apparaître rapidement le bien-fondé ou non d’une stratégie. Le choix de la stratégie intervient donc après avoir réalisé son étude de marché mais également fixé le chiffre d’affaires prévisionnel. Le BA. BA de la stratégie influera, bien entendu, sur la réalisation de ce chiffre d’affaires même s’il s’agit en général d’adapter sa stratégie aux objectifs fixés. 

La stratégie consiste à savoir quelles sont les meilleures décisions à prendre pour pénétrer un marché. Tout d’abord, il ne faut pas concevoir la stratégie comme réservée aux intellectuels. Celle-ci colle d’abord au terrain. La fixer demande principalement une bonne connaissance du marché ciblé et du bon sens. Le porteur de projet ou le chef d’entreprise devra garder en mémoire que la stratégie est une vision à long terme de l’entreprise mais quelle devra se décliner en action opérationnelle. Il ne devra pas oublier également que si la stratégie fixe une ligne conductrice mais qu’elle ne devra pas être figée : elle devra prendre en compte les enseignements du terrain.

Définition de la stratégie

La stratégie peut être définie selon deux grandes définitions :

  • « consiste en une allocation des ressources qui engage l’organisation dans le long terme en configurant son périmètre d’activité avec pour objectif la réponse aux attentes des parties prenantes, l’obtention d’un avantage concurrentiel & la création de valeur pour les clients » C’est le Principe d’efficience : économie des ressources pour une valeur ajoutée
  • « Ensemble des voies & des moyens essentiels que le groupe dirigeant essaye de privilégier pour assurer sur la durée, le renouvellement des compromis acceptables par les parties prenantes en tenant compte des exigences de l’environnement & des capacités réunies ». C’est Principe d’efficacité : atteinte des objectifs des parties prenantes 

En général

Fixer sa stratégie correspond à prendre une décision en fonction :

  • Des parties prenantes
  • De l’environnement
  • Des moyens à sa disposition (compétences et capacité interne de l’entreprise).
  • Des objectifs fixés

La stratégie est une réflexion qui permet d’atteindre les objectifs fixés (chiffre d’affaires, part de marché…) en effectuant un choix parmi les différentes options possibles. Ce qu’il faut comprendre avec la stratégie est qu’elle doit ensuite se décliner en action opérationnelle et influera très concrètement sur le mix marketing (produit, prix, distribution et communication)

Les deux fondamentaux de la stratégie

Fixer sa stratégie passe principalement à travers deux grands choix que devra effectuer le chef d’entreprise :

  • le choix des cibles (ou clients) : un même produit peut s’adresser par exemple aux jeunes, aux femmes, aux hommes….
  • le choix d’un positionnement : il s’agit de la perception que l’on souhaite par les cibles et les concurrents (produit de luxe, produit bon marché, produit de qualité…).

Voir aussi l’article construire sa stratégie grâce au modèle VIPConseils : Essayer de ne pas être perçu comme un concurrent : En général, l’entreprise arrive sur un marché ou des concurrents sont déjà présents. Ceux-ci peuvent avoir des capacités financières plus importantes que le nouvel entrant et réagir notamment s’il tente de « casser » les prix.