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Le handicap n’est pas un frein à l’emploi, L’Agefiph

L’Agefiph (www.agefiph2010.fr) propose des dispositifs, destinés à accompagner les entreprises franciliennes. Elle cherche à faciliter la mise en place d’actions pour l’emploi des personnes handicapées. Ces services vous font gagner du temps, en identifiant un réseau de contacts, de partenaires techniques et d’information sur les aides et dispositifs existants… Grâce à ces services, faites avancer vos actions en faveur du handicap.

Informer, conseiller et accompagner l’entreprise sur son obligation d’emploi de personnes handicapées

Alther est un réseau de prestataires sélectionnés par l’Agefiph. Leur mission :

  • L’information aux entreprises, sur toutes les questions relatives à l’emploi des personnes handicapées et les aides mobilisables.
  • L’accompagnement des entreprises pour remplir leur obligation d’emploi, identifier les actions réalisables et accompagner leur mise en œuvre.
  • La promotion de l’alternance en identifiant les possibilités d’accueil des entreprises de personnes handicapées en formation en alternance ou en stage

Faciliter le recrutement et l’intégration de collaborateurs handicapés

Les conseillers du réseau Cap Emploi apportent gratuitement aides sur les travailleurs handicapés et conseils aux entreprises, quel que soit leur effectif :

  • Aide au recrutement : analyse des postes à pourvoir, recherche de candidats, information sur le handicap en situation, mobilisation des aides financières existantes…
  • Faciliter l’intégration : suivi de la personne nouvellement embauchée, aménagement de poste, formation, tutorat, …information sur les aides et dispositifs existants pour préserver l’emploi du salarié en cas d’aggravation du handicap ou d’évolution du poste de travail.

Service d’appui au maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés

Sameth s’adresse aux salariés reconnus handicapés ou en voie de l’être qui, du fait de l’apparition ou de l’aggravation du handicap, sont menacés d’inaptitude à leur poste de travail. Les travailleurs indépendants handicapés peuvent également bénéficier de ce service.

  • Service information : information générale sur la démarche de maintien et les aides existantes.
  • Service facilitation : aide à la mise en œuvre d’une solution déjà identifiée et mobilisation des aides existantes (aménagement de poste, formation, contrat de rééducation en entreprise, …)
  • Service ingénierie : recherche et mise en œuvre de toutes les solutions permettant de maintenir le salarié à son poste ou à un autre poste dans l’entreprise et mobilisation des aides financières le cas échéant.

Anticiper l’évolution de carrière des salariés handicapés

Vie au travail permet d’adapter et de développer les compétences du salarié. Ceci, en fonction des besoins de l’entreprise, pour éviter à terme une situation d’inaptitude. Délivré par un expert sélectionné et mandaté par l’Agefiph, il propose :

  • un diagnostic en entreprise par un expert, qui prend connaissance de la situation de l’entreprise et du salarié handicapé,
  • un plan d’action : plan de formation, tutorat, aménagement du poste de travail, sensibilisation des équipes de travail,
  • un suivi, si l’employeur le souhaite, technique par l’expert et financier par l’AGEFIPH.

Par CGPME ILE-DE-FRANCE

Contact CGPME 75 :
Martine Berranger
m.berranger@cgpme75.fr
01 56 89 09 3001 56 89 09 30 FREE

Focus sur les Scop

Une Scop, société coopérative et participative, est une entreprise dont les salariés sont associés majoritaires au capital et qui reposent sur le principe coopératif de démocratie économique et de répartition équitable des résultats. Focus sur les Scop

Au sein d’une Scop, tous les salariés ne sont pas forcément associés, mais tous ont vocation à le devenir. Sur le principe de vote : un associé = une voix, indépendamment du montant détenu au capital, les salariés associés prennent ensemble les grandes décisions en assemblée générale et élisent notamment leurs dirigeants. Le partage du résultat est équitable entre les salariés (participation), l’entreprise (réserves), et les associés qui sont majoritairement des salariés (dividendes). Enfin, les réserves restent définitivement la propriété de l’entreprise pour consolider sa pérennité.

Le système des Scop : pour qui ?

Une Scop, société coopérative et participative, c’est une entreprise qui vise d’abord à offrir un cadre de travail à celles et ceux qui veulent exercer et partager leur métier en commun. La Scop est adaptée à ceux qui cherchent à concilier réussite économique et épanouissement humain. Elle est adaptée à ceux qui accordent une priorité particulière au travail d’équipe et au management participatif, afin que chacun puisse s’exprimer, être reconnu et bénéficier du fruit équitable de son travail. La Scop est aussi une solution efficace pour permettre aux salariés de reprendre les rênes d’une entreprise sans repreneur, à la suite de difficultés économiques ou lorsque les dirigeants partent à la retraite ou encore dans le cas d’associations en recherche d’un cadre juridique d’entreprise permettant de conserver la logique du projet initial.

Monter sa Scop

Trop de porteurs de projet s’adressent au réseau des Scop avec des idées généreuses, mais en oubliant qu’une Scop reste avant tout une entreprise. Aussi, pour monter une Scop, il faut d’abord avoir un projet économique viable. La Scop est aussi une entreprise collective, ce qui suppose donc d’être au moins deux au départ. Autre point-clé : il faut un ou des dirigeants potentiels pour porter le projet. C’est particulièrement vrai pour les reprises d’entreprises par les salariés. Enfin, la personne ou l’équipe qui porte le projet doit avoir une réelle motivation pour l’esprit coopératif et le management participatif. En termes financiers, on peut démarrer une Scop à partir de 30 euros de capital social. Mais il est vivement conseiller à tous les porteurs de projet de pouvoir constituer au départ le capital social adapté à leur projet.

Les aides pour monter une Scop

Le premier contact d’un porteur de projet, en création ou en transmission d’entreprise, est le réseau Scop, comprenant 13 unités régionales animées au plan national par la Confédération Générale Scop.Leurs consultants accueillent et conseillent les porteurs de projet : étude de faisabilité économique, accompagnement juridique, assistance financière, suivi personnalisé et sessions de formations (management, gestion…).

Associer progression et épanouissement professionnel, c’est possible !

Quel que soit leur âge ou leur secteur d’activité, tous les salariés veulent aujourd’hui s’investir dans leur travail, avoir leur mot à dire, être reconnus et récompensés. Participer, travailler en équipe, construire et mener à bien un projet qui a du sens, être reconnu pour son travail et en recueillir les fruits, tel est l’objectif qui est au cœur même des Scop. Pleinement impliqués, associés aux résultats de leur entreprise, mais aussi au capital et aux grandes décisions, les salariés gagnent en motivation telle qu’en témoigne la dynamique qui s’installe lorsqu’une entreprise est reprise en Scop par ses salariés. Une étude de Patrick Guiol et Jorge Munoz, deux universitaires rennais, a démontré en 2009, que les entreprises à gestion participative – dont les coopératives- ont moins de congés maladie et d‘absentéisme que les entreprises à gestion traditionnelle.

« Il faut bien sûr, se garder de faire des Scop un paradis pour les salariés au travail » précise Patrick Lenancker, le Président de la Confédération générale des Scop : « Comme toutes les entreprises, les Scop sont des organisations humaines avec leurs forces et leurs faiblesses. Mais l’une des forces de notre modèle coopératif est de privilégier par nature l’épanouissement professionnel : lorsque des salariés créent ou reprennent leur entreprise en Scop, c’est pour exercer collectivement leur métier et progresser ensemble. ».

Article par PATRICK LENANCKER | PRÉSIDENT | LES SCOP

Le financement de la création

La création d’entreprise s’accompagne de besoins de financement de plusieurs types. Primo un fonds de roulement sera nécessaire pour prendre en charge les paiements de vos fournisseurs, les charges et les salaires. Secundo des investissements substantiels pourront se révéler indispensables dans le cas d’entreprises hautement capitalistiques. Tertio, vous devrez subvenir à vos besoins.

Quel capital social prévoir ?

Si un euro suffit pour créer aujourd’hui une entreprise, un capital social de départ conséquent pourra se révéler décisif pour la réussite de votre entreprise.

Comment convaincre votre banquier ?

Disposer de fonds propres élevés s’avère être un avantage déterminant lorsque l’on frappe à la porte de son banquier. Ce dernier, refroidi par la crise, se montrera en effet plus conciliant face à une entreprise reposant sur des bases financières solides. Un apport de 40 % des besoins en investissements vous permettra en général de le convaincre de vous financer.

Quels types d’investisseurs pour quels besoins ?

Si vous avez besoin de financement de la création mais aussi de conseils et de compétences, vous aurez tout intérêt à vous adresser à un business angel. Celui-ci pourra vous financer pour un montant allant de 5 000 à 500 000 euros mais exigera en contrepartie des parts dans le capital de votre entreprise. Si votre besoin de financement excède le million d’euros, un fonds d’investissement pourra prendre le relais mais sachez que les places sont chères : seuls quelques projets seront sélectionnés parmi plusieurs centaines de dossiers.

Comment trouver un investisseur ?

Cherchez parmi votre entourage des personnes susceptibles d’investir dans votre projet, notamment parmi celles imposées à l’ISF. Celles-ci pourraient être intéressées par la défiscalisation permise par la loi TEPA. Notez qu’en créant un profil sur le réseau professionnel du Cercle des Jeunes Entrepreneurs, vous pourrez indiquer le type de financement que vous recherchez et vous faire contacter par des investisseurs.

Comment survivre jusqu’au premier versement de salaire ?

Créer son entreprise implique de faire des sacrifices sur son train de vie. Vacances, restaurants, sorties, vous allez devoir apprendre à vous en passer ! Ceci est d’autant plus important qu’un entrepreneur soumis à une pression financière trop forte n’aura pas le recul nécessaire pour effectuer des choix stratégiques judicieux. Détenir un matelas de sécurité est capital pour la santé mentale de l’entrepreneur, qui sera déjà suffisamment à l’épreuve du fait des tracas liés à son activité. C’est donc le moment pour vous de faire les fonds de tiroir. à noter que si vous êtes éligible à l’allocation d’Aide au Retour à l’Emploi (ARE), vous pourrez bénéficier des allocations chômage durant la phase de projet. Une fois l’aventure entamée, deux options s’offriront à vous : continuer à percevoir votre allocation ARE, avec une limite de 15 mois, ou obtenir un capital égal à la moitié du solde de votre allocation.

Article Par RICHARD LÉVY, CÉCILIA DURIEU & LAURENT ALLIAS

Dirigeants de TPE/PME, il faut communiquer !

A ces mots, votre cœur se met à battre plus fort, et inconsciemment, votre main se crispe sur votre portefeuille. Communication est pour la plupart d’entre vous le synonyme de dépenses inconsidérées, de budget astronomique et surtout de rentabilité inconsistante. Et pourtant, si vous saviez ! Dirigeants de TPE/PME, vous allez découvrir que l’on peut communiquer, avec un budget raisonnable, avec un retour sur investissement positif. Comme faire alors ?

Comprendre le rôle de la communication

Tout d’abord il faut comprendre quel est le rôle de la communication dans votre entreprise. Pour cela, prenons un exemple. Chaque mois, votre comptable aligne des chiffres dans des colonnes pour déterminer la TVA due aux impôts, et, en fin d’année établir votre bilan. Est-ce une source de dépenses ? Oui ? Mais vous savez aussi qu’une comptabilité bien tenue vous fait bénéficier d’avantages fiscaux et vous donne un tableau de gestion qui concourt à la bonne maîtrise de votre entreprise. En cela, ce qui semble à première vue un poste de frais peut vite devenir un outil qui vous fait économiser de l’argent et a un retour sur investissement positif. La communication procède du même principe. Au départ, elle semble n’être qu’un poste de dépenses, mais sur le moyen terme, elle devient rapidement un investissement aux retombées financières positives.

Une adéquation nécessaire avec l’environnement

Le deuxième point à prendre en compte est l’adéquation de la vie d’une entreprise avec son environnement. Nous sommes dans une ère où le paraître est tout aussi important que le savoir-faire. C’est pourquoi, si vous ne communiquez pas, c’est-à-dire si vous ne travaillez pas sur le paraître de votre entreprise, il y a peu de chance que votre savoir-faire soit reconnu. Imaginez ce qu’aurait été le lancement de l’IPhone sans une bonne stratégie de communication ! Même si le design et certaines innovations en font un téléphone intéressant, sans la communication, le véritable phénomène de mode crée autour de cet appareil n’aurait pas pris.

C’est pour cette double raison que vous devez communiquer : pour paraître et pour augmenter votre chiffre d’affaires. Encore faut-il savoir comment communiquer et avec quels outils. Notre conseil est bien évidemment de vous adresser à un professionnel (et non au copain du frère du cousin du stagiaire). Mettriez-vous entre les mains d’un néophyte votre comptabilité ? Car communiquer ne s’improvise pas : il faut avant tout réaliser une analyse de l’entreprise, de ses points faibles et ses points forts, de sa stratégie, etc. et définir ensuite quels sont les outils à mettre en œuvre pour un résultat optimum.

Quelques points à prendre en compte

Néanmoins, comme en comptabilité, il existe des outils de base, indispensables voire incontournables, à l’instar du livre journal ou du logiciel de facturation.

Ensuite, tout dépend de votre entreprise et de sa stratégie. Il n’y a donc pas d’outils miracles mais que des outils appropriés à une situation. La communication étant du « sur-mesure ». Si vos produits s’adressent au grand-public, avec une cible spécifique (comme les mamans, les pêcheurs, ou les seniors), peut-être aurez-vous besoin d’un blog pour créer une communauté autour de votre produit, de votre savoir-faire, afin de distiller des conseils à vos clients et futurs clients.

Si, au contraire, vous êtes commerçant, vous travaillerez votre communication autour de deux axes : la vitrine, en utilisant des astuces pour que les chalands s’arrêtent devant et aient envie de rentrer pour un achat spontané, et la communication sur votre zone de chalandise soit via la distribution de prospectus (encore faut-il que cela soit bien fait pour que cela soit efficace), ou par de la publicité dans les journaux locaux.

Enfin, si vous travaillez dans le B to B, vous ferez peut-être appel à une société spécialisée en relations presse afin de vous faire connaître auprès de vos prospects.

Pour terminer, sachez que la communication n’est pas un problème de budget, mais c’est avant tout un état d’esprit, une volonté du chef d’entreprise, et du professionnalisme. Toutes les entreprises peuvent et doivent communiquer. Et toutes celles qui le font n’arrêteraient pour rien au monde.

Les outils de base

La mise en place d’une charte graphique et sonore. Celle-ci va intégrer un logo qui devra respecter un certain nombre de règles quant à sa taille, ses couleurs, sa baseline, etc. Une fois le logo créé, vous choisirez une police de caractères dont le choix symbolise les valeurs de votre entreprise, puis compléterez votre identité en sélectionnant une musique qui définira votre identité sonore.

La mise en place d’un site internet. En France, une entreprise sur deux n’a pas de site internet… par négligence ou estimant que cela n’est pas nécessaire. Quelle erreur ! Pour vous en convaincre, il suffit de vous remémorer votre dernier acte d’achat. Avant de payer, vous avez dû, comme dans 90 % des cas d’achats en France, visiter le site internet du futur fournisseur, tout simplement pour vous réassurer quant à votre choix. Et plus le montant de l’acquisition est important, plus vous passerez du temps sur Google pour lire les forums, étudiez les commentaires des consommateurs, analyser les comparatifs techniques.

Le sourire : un outil de communication qui ne s’achète pas et ne coûte rien ! Souriez, soyez heureux, oubliez vos problèmes, partager de la joie dès que vous êtes en discussion avec un client. Combien de fois vous avez perdu confiance envers un fournisseur qui n’arrête pas de se plaindre, de la crise, de ses employés, de son patron… ? Avoir un esprit positif face aux clients, c’est faire partager une envie, une passion, c’est transmettre L’acte d’achat sera alors moins difficile pour vos prospects. Oubliez le « ça va comme un lundi » et remplacez le par « quelle chance d’attaquer une nouvelle semaine ! ».

Article par PASCAL CHAUVIN | AUTEUR DE « COMMUNIQUER AVEC UN PETIT BUDGET » & « LA COMMUNICATION DES AUTO-ENTREPRENEURS » |

Zoom sur les techniques de communication

Les annonceurs investissent des milliards chaque année en France pour faire connaître leurs produits, leurs services. Mais comment choisir tel média plutôt qu’un autre et pourquoi ? Zoom sur les techniques de communication

L’affichage : un média omniprésent

L’affichage revêt aujourd’hui mille formes et fait parti du paysage. Ce média incontournable, présent et efficace permet de travailler l’image, la notoriété et le positionnement. De l’adhésivage véhicule au 4X3, du marquage au sol aux panneaux lumineux géants, l’affichage frappe l’œil attirant l’attention des passants, conducteurs ou usagers des transports en commun. Aujourd’hui l’affichage se veut sonore, olfactif ou encore tactile. Il crée ainsi un impact marquant et se prête à des mises en scène spectaculaires. Ce support permet une très bonne sélection géographique et typologique des cibles. On l’utilise soit pour opérer une couverture de masse soit pour cibler une ville, un quartier, ou encore un panneau en particulier.

La télévision : un média puissant

Combinant le son, l’image et le mouvement, la télévision est un vecteur d’émotions capable de bâtir notoriété et image en quelques spots. A l’heure actuelle avec la pluralité des chaînes existantes et la crise ce média devient accessible pour des budgets moindres. Il faut tout de même prévoir 150 000 € (production et diffusion) pour une campagne sur les grandes chaines nationales et 20 000 € pour celles du câble et du satellite. Paraître à la télévision est synonyme de prestige et représente un gage de crédibilité pour la marque ou l’entreprise. Pour les annonceurs à produits complexes ou novateurs, ce support permet de les présenter, d’en faire une démonstration pour rassurer et convaincre l’auditoire. C’est le média qui offre le taux de portée et de couverture le plus important.

La radio : le média de l’urgence

C’est le média le plus rapide pour transmettre son message : écouler un stock, annoncer une promotion, une ouverture exceptionnelle… Présente dans la vie quotidienne, particulièrement depuis l’essor des radios numériques, elle se révèle être une arme absolue pour toucher les personnes à la maison, au travail, en voiture ou dans un magasin. Média de masse, il possède également une grande force sur le plan local.

La presse : un media varié

Malgré des difficultés conjoncturelles et structurelles, la presse reste le media le plus utilisé par les publicitaires. Sa richesse et sa diversité en font un outil particulièrement intéressant. La presse quotidienne nationale est un support puissant et prestigieux. Il est parfait pour la communication institutionnelle, l’annonce d’événements ou le lancement de produit. Attention le coût des insertions est élevé et le lectorat essentiellement parisien. La presse quotidienne régionale reste très vivace dans le paysage français. Elle offre une très bonne sélection géographique et une forte réactivité. Idéal pour la promotion, la création de trafic et l’annonce d’évènements locaux.

La presse magazine permet une sélection sociodémographique excellente, des rendus graphiques de qualité et un très bon taux de reprise. C’est un moyen imbattable pour travailler son image et mettre en scène ses produits. Attention toutefois, l’achat d’espace reste cher et l’encombrement publicitaire est très fort dans certains supports (notamment féminins). La presse gratuite : qu’elle soit locale ou d’informations généralistes, elle assure une bonne sélection géographique et une bonne rapidité de mise en œuvre. Elle est parfaite pour la promotion, la création de trafic ou l’annonce de manifestations locales. Ses prix sont adaptés aux budgets des petites structures.

Le flyer : un outil pour tous

Il représente le meilleur outil de prospection à prix modeste. En effet, il offre le coût au contact utile le plus faible du marché. Le flyer est une arme promotionnelle redoutable permettant de faire découvrir de nouveaux produits, d’offrir un échantillon, d’inviter à un essai. Accompagné d’une réduction, il générera du trafic sur un lieu de vente ou un site web.

La souplesse de son mode de distribution permet une couverture de masse ou un ciblage précis : distribué dans les boîtes aux lettres ou dans les rues de sa zone de chalandise, laissé dans des lieux de passage ou chez les commerçants du quartier… C’est le compagnon idéal de toutes les opérations de streetmarketing. Mais pour susciter l’intérêt et faire naître le désir des lecteurs, la qualité du graphisme, de l’argumentaire et de l‘impression du document doit être irréprochable.

L’évènementiel : un moment de partage

La communication évènementielle a pour objectif de donner une autre dimension à une entreprise en la sortant de son quotidien. C’est l’outil idéal pour développer avec ses cibles un sentiment de proximité, de sympathie, pour organiser un moment de partage et de communion autour de centres d’intérêts et de passions communes.

Quelle que soit la taille de sa société, ponctuer son activité de moments privilégiés d’échanges et de rencontres avec ses clients et prospects est primordiale. Un vernissage, un lancement de produit, la participation à un salon ou encore l’organisation d’évènements culturels ou sportifs sont de formidables moyens de faire parler de soi et de médiatiser sa société. En interne, cela mobilisera et fédèrera les salariés. En externe, notoriété et relation durable avec ses clients et partenaires seront assurées.

Internet : un média interactif

De la simple bannière publicitaire, nous sommes passés à des campagnes virales pleinement interactives, capables de capter l’attention des internautes et de permettre à une marque une exposition extraordinaire. De l’artisan, aux grandes marques, sa large audience et ses frais d’achat d’espace raisonnables en font le moyen idéal pour se faire connaître et promouvoir des produits et des sites internet.

Premier média de référence pour la génération montante il est difficile de faire l’impasse sur le web, qui est également un excellent media de complément lors d’une campagne. Support interactif et évolutif par excellence, il implique les consommateurs qui ne se sentent plus de simples récepteurs à messages publicitaires. De plus, la publicité web offre des mesures de statistiques rapides. Les campagnes peuvent être suivies et analysées sur l’instant, permettant ainsi une grande réactivité et un ajustement en temps réel.

Article par AMÉLIE PÉZIER | DIRECTRICE | AGENCE OZMOZ

Entreprises, investissez les réseaux sociaux pour mieux communiquer !

Blogs, Wikis, Youtube, Dailymotion, LinkedIn, Viadeo, Facebook, Twitter… tous ces outils amenés par le Web 2.0 sont devenus aujourd’hui d’un usage courant y compris dans une optique professionnelle. Dans quel but et comment s’y prendre ? Investissez les réseaux sociaux pour mieux communiquer !

Les expériences de communication sociale se multipliant, nous avons aujourd’hui suffisamment de recul pour avoir des retours d’expérience fiables. Les entreprises ayant intégré les réseaux sociaux dans leur communication en retirent de nombreux avantages. Ce constat est toutefois à nuancer en fonction de leur activité. Les principaux bénéfices sont généralement :

Une visibilité accrue de l’entreprise :

La présence sur les réseaux sociaux dynamise la marque, la compréhension des métiers et améliore le référencement dans les moteurs de recherche. Si vous intervenez dans un métier pointu, vous avez toutes les chances de sortir très rapidement du lot. Vous pouvez facilement arriver en première place des résultats de recherche dans les pages Google, sur des mots clés liés à celui-ci.

L’amélioration de la performance des équipes commerciales :

Les commerciaux présents sur les réseaux professionnels comme LinkedIn et Viadeo s’ouvrent des portes supplémentaires pour prospecter, trouver les décideurs et s’informer sur leurs cibles.

La stimulation de l’innovation et le développement d’une culture de la créativité :

En s’appuyant sur le réseau, vous allez enrichir votre réflexion, challenger vos idées et découvrir de nouvelles pratiques.

Un effet réseau sur les enjeux de recrutement :

La diffusion de vos offres d’emploi par le réseau de vos managers et salariés favorise considérablement la cooptation.

Donner avant de recevoir, tel est le principe de base à retenir sur les réseaux sociaux ! Cela suppose de construire sa communication dans la durée, en s’appuyant sur l’animation régulière de son réseau. Si vous êtes prêt à vous en donner les moyens, vous pouvez aussi le booster en créant un concours avec des lots et/ou une application ludique. Ces derniers inciteront des clients potentiels à rejoindre votre groupe ou page « fan de ».

Les réseaux sociaux ont bénéficié de manière tangible à Altaïde, même si notre métier de chasseur de têtes nous impliquait fortement dans le web : plus de visibilité auprès de « clients » (candidats ou recruteurs) que nous ne touchions pas auparavant directement. Grâce aux médias sociaux, nous entretenons avec eux une forme de complicité, une connivence différente de celle générée par un site web vitrine. Je vous invite donc à tester ces nouveaux modes de communication marketing.

Les fondamentaux d’une bonne communication sur les réseaux sociaux

  • Alimentez régulièrement votre page en contenu ou informations de qualité.
  • Engagez vous, donnez votre avis.
  • Communiquez de façon professionnelle (les réseaux sociaux ne sont pas un sous-outil).
  • Effectuez une veille sur les nouveaux outils et les dernières tendances.
  • Investissez les ressources qui sont nécessaires

Les règles à suivre

La première et la plus importante est d’avoir une stratégie globale web/réseaux sociaux.

Pour ce faire, nul besoin d’adopter une approche sophistiquée, pensez surtout à définir une ligne éditoriale claire. Ainsi pour Altaïde, conseil en recrutement et RH orienté métier du web, nous avons choisi trois axes de communication : conseils aux candidats, actualité du web et conseils aux dirigeants d’entreprises. Le site web et le blog sont le point de départ de la communication. Vous maximisez ensuite le contenu en le diffusant simplement dans les médias sociaux, via vos profils, groupes et hubs LinkedIn, Viadeo, Facebook, Twitter et autres.

La deuxième règle est d’alimenter régulièrement votre blog et/ou votre site web.

Mieux vaut publier des articles simples deux ou trois fois par semaine plutôt que des sujets de fond une fois par mois. Écrire n’est pas votre tasse de thé, vous manquez de temps ? Faites appel à des freelances, à leur style, leur maîtrise de la langue…

Utiliser les réseaux sociaux c’est aussi surveiller ce que l’on peut dire de votre entreprise sur le Net.

Les alertes Google sont un outil de veille simple et gratuit que vous pouvez coupler à une recherche Twitter avec Twittersearch. Etre alerté quasiment en temps réel vous permettra de répondre à un client insatisfait ou de corriger des inexactitudes dans des articles mentionnant vos services ou produits.

Enfin, gardez à l’esprit qu’un réseau social se construit aussi autour d’une personne personnifiant l’entreprise

Idéalement son dirigeant, son directeur marketing ou commercial ou dans le cas de plus grandes entreprises, un personnage créé pour l’occasion et animé par une personne réelle du marketing. La publicité adopte d’ailleurs de plus en plus ces codes (exemples : « Cerise » de Groupama, le « Directeur » de la Maaf…). C’est son implication et son dynamisme, et donc les vôtres, qui vont donner du souffle à votre communication. Ils vont donner envie à vos relations professionnelles, clients de votre marque de vous suivre et de développer la communauté fans sur les réseaux sociaux. Ce dernier doit foisonner de vie : à chaque fois que vos contacts se connectent, ils doivent y trouver de l’actualité et de l’interactivité avec les autres membres. La simplicité d’usage et la viralité vous aideront grandement.

Article par JACQUES FROISSANT | PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉNÉRAL | ALTAÏDE

Contrôlez la véritable audience des sites Internet

Vous souhaitez communiquer sur Internet ? Vérifiez d’abord l’audience que crée le site que vous visez pour diffuser votre publicité. Pour cela, l’organisme référent dans ce domaine est l’institut Médiamétrie.

Il existe plusieurs outils proposés par Médiamétrie pour permettre aux sites Internet de contrôler leur audience. Grâce à la mesure site-centric, qui utilise la technologie des marqueurs de pages à la demande d’un site, l’audience se mesure de manière précise et qualitative. Cette solution permet aux administrateurs de sites internet de connaître en détail le trafic de leur site, page par page. Grâce à cet outil, les administrateurs de sites peuvent analyser finement la consommation de leur site.

La solution la plus courante utilisée

Mais la solution Médiamétrie retenue le plus souvent par les annonceurs pour gérer leurs plans médias et acheter des espaces publicitaires reste le panel Médiamétrie/NetRatings. Cet échantillon de 25 000 internautes, dont les ordinateurs possèdent des logiciels permettant de suivre leurs usages Internet, représente la référence en termes d’usages publicitaires. Aujourd’hui, Médiamétrie mesure l’audience de plus de 5 000 sites tous les mois. Le marché de la publicité ne peut se passer de ce panel car c’est la seule mesure qui indique les usages individuels et qui offre une vue globale du marché.

Des indicateurs de référence

Des indicateurs de référence sont déterminés par des représentants des différents acteurs du marché de la publicité. Ainsi, le nombre de visiteurs uniques sur le site, c’est-à-dire le nombre de personnes qui ont visité le site sur une période donnée, est vu comme la valeur référentielle qui permet de mesurer l’audience d’un site. Tous les résultats du panel sont disponibles sur le site de Médiamétrie.

Article par institut Médiamétrie

L’O.B.O. ou la transformation de son capital professionnel en liquidité

L’OBO (Owner By Out) est une variété de LBO. Il s’agit d’une opération à effet de levier au service de la gestion patrimoniale…

A l’approche de la cinquantaine, un dirigeant d’entreprise se pose des questions sur le devenir de sa société et la transformation de son patrimoine professionnel en patrimoine privé. à plus long terme, cette technique de gestion de patrimoine contribue par sa simplicité de mise en œuvre à préparer la transmission de son entreprise aux enfants ou à un tiers. La cession ne se fera pas brutalement mais par un désengagement progressif.

Par exemple, un père veut faire rentrer sa fille dans le capital de son entreprise et « liquidifie » 50 % de ses titres. Pour sa société, valorisée à deux millions d’euros, il va effectuer un OBO. La société holding créée a vocation à détenir 100 % de l’entreprise productive. Le dirigeant apporte donc à la holding 45 % de ses actions en nature qui dotent la holding d’un capital de 900 000 €. Dans un même temps sa fille apporte 100 000 € à la holding qui totalise un million d’euros. Ses fonds propres lui permettront de faire un emprunt d’un million dans un établissement bancaire sur 7 ans. L’argent de ce prêt réglera cash au dirigeant 50 % de ses titres restant. à l’issue de ce montage, le chef d’entreprise détient 90 % de sa société et sa fille 10 %.

Le principe

Le dirigeant crée une holding et joue le rôle de son propre repreneur, il vend donc en quelque sorte à lui-même la société dont il est propriétaire par l’intermédiaire de la holding de reprise. à la suite de la cession, le dirigeant engendre donc des liquidités qu’il va réinjecter en partie dans la holding. Un emprunt devra être fait par la holding pour combler les liquidités du dirigeant prises pour son patrimoine personnel. Le chef d’entreprise garde tout de même le contrôle de son entreprise par le biais de la holding.
Pour le bon fonctionnement de ce montage, il faut que l’entreprise remonte régulièrement des dividendes à sa holding pour rembourser l’emprunt contracté. Le remboursement du crédit ne doit pas dépasser plus de 50 % des bénéfices de l’entreprise pour ne pas compromettre ses objectifs de développement.

Au point de vue fiscal, le prix de cession dégagera sans doute une plus-value pour le dirigeant imposable à l’impôt sur le revenu à 18 %, les cotisations sociales additionnelles seront également à verser à hauteur de 11 %. Mais les liquidités produites vont rééquilibrer le patrimoine du chef d’entreprise, car souvent 75 % de ses possessions se résument à sa société.

Conseil

L’OBO ou vente à soi-même donne donc la possibilité au dirigeant de retirer du cash de son entreprise avant la cession. Ces projets n’ont donc pas besoin d’attendre la retraite.

Article par AYMERIC BINET | FONDATEUR | FINANCIÈRE GUIZOT

Communiquer efficacement pour construire son réseau

L’art de tenir une conversation fait partie des outils indispensables pour développer et construire son réseau. Cela peut sembler difficile à ceux qui ne sont pas des communicants-nés. Voici donc quelques bonnes pratiques utilisées par les meilleurs networkers.

Veillez à l’équilibre du temps de parole

La parole doit être partagée. Rien n’est plus frustrant que d’avoir une seule personne qui monopolise la conversation. Pour connaître votre interlocuteur posez-lui quelques questions sans pour autant être inquisiteur. Démontrez-lui un réel intérêt plutôt que d’orienter immédiatement la discussion sur vos propres besoins. Les meilleurs communicants posent des questions qui permettent de dynamiser la conversation sans ennuyer l’interlocuteur.

Instaurez un dialogue

Veillez à ce que votre approche ne ressemble pas à un interrogatoire en règle… Car vous obtiendrez l’effet opposé à celui escompté : votre interlocuteur se fermera et la conversation deviendra stérile. Préférez, le dialogue et l’échange qui seront beaucoup plus constructifs.

Préparez votre présentation

C’est l’une des clés du succès. Vous n’avez souvent que quelques secondes pour convaincre. Optimisez-les en préparant un discours clair, simple et argumenté avant de vous rendre à un dîner, une rencontre réseau ou tout autre événement.

Prévoyez quelques sujets de discussion

Construire son réseau professionnel ne se limite pas à « Je fais ceci, tu fais cela, faisons des affaires ensemble ». Avant toute rencontre à vocation professionnelle prévoyez quelques sujets d’intérêt général qui pourront servir à alimenter ou à relancer la conversation. En privilégiant bien sûr les thèmes non polémiques : livres, sports, hobbies, musique, gastronomie… (Rares sont ceux qui n’aiment pas bien manger !)

Racontez des histoires

Nous mémorisons plus facilement les faits que les théories. Prévoyez donc des anecdotes, de courtes histoires ou des exemples qui illustreront vos propos. Ils peuvent se rapporter à votre propre expérience ou à celle de vos relations proches.

Conseils

Soyez attentif au discours de l’interlocuteur. Préparez une introduction d’une dizaine de secondes. Sélectionnez quelques sujets dans l’actualité pour relancer une conversation. Attirez l’attention en exprimant une question pertinente ou une affirmation étonnante. Illustrez et personnalisez vos propos en les replaçant dans leur contexte.

Article par MARC-WILLIAM ATTIÉ | DIRECTEUR ASSOCIÉ | BNI-FRANCE

A la découverte des assurances d’entreprises

Un proverbe anglais dit « gentleman’s home is his castle ». Dans la vie économique, on peut oublier la lettre pour l’esprit et faire référence au fort attachement que porte le dirigeant d’entreprise indépendante, à son lieu de travail et l’univers qui est afférent. Un espace à protéger puisqu’il y exerce son activité professionnelle et y passe la plus longue partie de son temps : le bureau et l’entreprise elle-même.

On n’ose pas envisager les conséquences financières et humaines qui viendraient grever la dynamique entrepreneuriale si un ou plusieurs éléments perturbateurs se présentaient : une tempête, une inondation, un incendie, un court circuit, du gel ou le poids de la neige. C’est dans ces moments toujours surprenants que l’assurance joue pleinement son rôle : couvrir le risque de l’entreprise !

Une activité encadrée

Contrairement à ce qui se passe dans les pays émergents, en France et dans les pays fortement industrialisés, l’activité des assureurs est justement encadrée et contrôlée. Leur solvabilité garantie et les produits d’assurance proposés sur « le marché des pros » relativement standardisés. Même quand il s’agit de risques industriels PME (sauf pour certaines activités très sensibles). Cette standardisation est pour l’assuré un gage de sécurité et de lisibilité des contrats. Pour les compagnies d’assurances d’entreprises c’est un gain de productivité et de gestion, une amélioration de rentabilité. Conséquence : les assureurs communiquent et essaient de se singulariser en jouant l’effet de marque pour séduire les entrepreneurs et les fidéliser.

Des assurances d’entreprises : des contrats assez standards

Mais un contrat standard d’une grande compagnie d’assurance reste, à une garantie de confort près, un contrat standard d’une autre grande compagnie d’assurance. Un certain nombre de garanties sont d’ordre publique : catastrophes naturelles, tempêtes, grêle… Elles sont un rempart pécuniaire au désarroi quand il faut répondre à la perte de l’outil de travail et rebâtir très vite après les dévastatrices conséquences des saisons pour relancer l’activité économique.

D’autres garanties sont fondamentales pour l’assuré comme pour les tiers, auteurs ou victimes. La responsabilité civile qui est justement encadrée. Celle-ci entraine une réparation pour toute action qui cause un dommage à autrui.

D’autres garanties matérielles ne sont pas moins indispensables pour se protéger d’un aléa ou d’une malveillance par exemple : l’incendie et l’explosion, le dégât des eaux, le vol et le vandalisme.

Enfin, des contrats spécifiques peuvent couvrir le bris de machines, les appareils électriques, électroniques. Il en est de même pour les véhicules individuels, autos et motos, les flottes de véhicules voire les engins de chantiers.

Un chemin largement balisé

On voit bien qu’assurer une entreprise en dommage n’est pas partir à l’aventure mais s’engager sur un chemin balisé à condition de s’informer et de faire appel aux services de professionnels. L’enjeu d’aujourd’hui n’est pas seulement dans la connaissance du contrat mais aussi dans son évolution régulière au cours de la vie de l’entreprise. Il est dans l’adéquation du montant des garanties par rapport au risque couvert que dans le choix d’une marque. Choisir et fixer le juste prix au regard des garanties proposées. L’entrepreneur sera sensible à l’exigence d’information et de réactivité que l’assureur doit à son assuré en cas de sinistre.

Article par BERNARD COHEN-HADAD | FONDATEUR | ASSURER SA PME