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Ce que proposent les banques et qu’on ne vous dit pas toujours !

Les banques proposent aux entrepreneurs de multiples services souvent méconnus et pourtant très utiles à la bonne gestion de votre entreprise.

On ne saurait trop le répéter, les banques sont les partenaires financiers naturels de l’entreprise. Souvent critiquées et mal perçues par les entrepreneurs, elles n’ont cessé d’évoluer en développant des nouveaux services adaptés aux besoins des entreprises afin de mieux répondre à leurs problématiques. Mis à part les services de gestion quotidienne que tout le monde connaît (carte de paiement, chèque bancaire, relevé de compte mensuel, accès à votre solde de votre compte à distance…), il existe une multitude d’outils qui, souvent, ne sont pas abordés par votre banquier et qui vous permettront de vous aider à mieux gérer votre entreprise.

Manier sa banque à distance

Avec le développement d’Internet, les banques proposent de gérer l’ensemble de vos opérations courantes à distance. Il est devenu inutile de vous déplacer dans votre agence : un gain de temps et d’énergie pour l’entrepreneur. Le passage au numérique permet de supprimer les extraits papier de relevés de compte. Les banques mettent à disposition dans un espace sécurisé vos extraits de compte, vos relevés cartes, remises cartes ou vos relevés fiscaux téléchargeables au format PDF et accessibles pendant une période de 10 ans. Vous participez ainsi à la préservation de l’environnement en diminuant la consommation de papier. Vous pouvez être aussi alerté par e-mail dès la mise à disposition de nouveaux relevés. 

Savoir utiliser sa carte bancaire professionnelle

Très souvent méconnue des professionnels, la carte bancaire fournit également un certain nombre de services tels qu’une assistance médicale, un service rapatriement, une assurance en cas d’accident dans un transport public ou un véhicule loué pour tout voyage réglé avec votre carte, une assistance juridique en cas d’infraction involontaire à l’étranger, une garantie vol-dommage au véhicule lors d’une location de véhicule payée avec votre carte, ce qui vous permet d’économiser la garantie proposée par le loueur et une garantie contre l’utilisation frauduleuse de la carte par un tiers. Pour aller plus loin, les banques offrent la possibilité de délivrer des numéros de carte virtuelle pour chaque paiement afin de pouvoir régler en toute sécurité vos achats. 

Gérer les mauvais payeurs

Les banques peuvent proposer des services de renseignements commerciaux pour éviter les partenaires risqués. Il existe des prestations d’assistance au recouvrement des factures impayées. En tant que professionnel, le bon paiement de vos créances est essentiel. Plus besoin de devoir relancer le client, la banque se charge de tout. Ainsi, le dirigeant peut se concentrer pleinement sur son activité.

Placer son argent

Peu abordé par les banquiers, le placement des excédents de trésorerie est la réponse aux besoins d’épargne de l’entrepreneur. Vous pouvez placer vos excédents de trésorerie dans des comptes à terme avec un taux progressif ou non sur une durée déterminée. Ce placement est donc facilement accessible et constitue un des outils de gestion des excédents de trésorerie. Les banques proposent aussi des produits pour préparer l’avenir : épargne retraite, investissements locatifs immobiliers, accompagnement à la transmission de l’entreprise… 

Gérer sa trésorerie

L’analyse de la structure financière et la mise en place des crédits adaptés permet d’anticiper le développement de l’entreprise. Des produits comme la mobilisation du poste clients sont là pour aider à répondre à des besoins de trésorerie ponctuels. En cas de soucis dans la gestion de son BFR, l’entrepreneur peut demander à bénéficier d’un crédit d’exploitation (découvert, affacturage, escompte bancaire, facilité de caisse…) qui lui permettra de faire face temporairement aux difficultés sans remettre en cause la pérennité de son entreprise. Par exemple, l’affacturage permet de bénéficier d’une somme équivalente à la somme d’une créance versée plus tard par un client. Très utile pour ne pas déséquilibrer sa trésorerie dans cette période de crise où les fournisseurs et clients usent de techniques pour retarder au maximum le paiement de leurs factures…

Assurer son activité 

La petite entreprise repose souvent sur la personnalité et le dynamisme du dirigeant. Mais que se passe-t-il en cas d’invalidité temporaire ou prolongée ? Les banques proposent des gammes variées d’assurance pour couvrir ces risques sur l’homme clé. Ce type d’assurance permet en général de disposer immédiatement de liquidités et de répondre aux engagements financiers, sociaux et économiques de l’entreprise, de pallier momentanément la baisse brutale du chiffre d’affaires et de faire face aux charges fixes, de recourir à un expert ou un cadre de haut niveau pour diriger l’entreprise ou de recruter et financer la formation d’un nouveau collaborateur clé. Certains établissements développent aussi des offres en matière de couverture de responsabilité civile professionnelle ou de dégâts occasionnés aux locaux professionnels. Enfin, il peut être proposé des services de protection et surveillance des locaux. En 2012, 60 139 locaux professionnels ont été cambriolés (source ONDRP).

Création d’un statut d’étudiant-entrepreneur

Très récemment, un nouveau statut a été créé : celui d' » étudiant-entrepreneur  » pour les étudiants ou jeunes diplômés porteurs de projets de création d’entreprise. Mardi 22 octobre, Geneviève Fioraso a présenté son plan d’actions en faveur de l’entrepreneuriat étudiant.

L’objectif du plan est de combler le déficit de culture entrepreneuriale en France, notamment lié au manque de formation à l’innovation et à l’entrepreneuriat des jeunes. Il s’agit pour le gouvernement de gagner la bataille pour l’innovation et la compétitivité. Or, l’enseignement supérieur et la recherche ont un rôle majeur à jouer, avec 2,4 millions d’étudiants. Stimuler l’esprit d’entreprise, l’initiative des jeunes et la création d’entreprises par les étudiants et jeunes diplômés. » tel est l’enjeu.

Les objectifs du gouvernement

  • atteindre 20 000 créations ou reprises d’entreprises par des jeunes issus de l’enseignement supérieur, en quatre ans;
  • renforcer le nombre et l’ampleur des actions engagées dans les écoles et universités;
  • faire de l’entrepreneuriat un levier de changement pédagogique dans l’enseignement supérieur en développant la culture entrepreneuriale et toutes les compétences nécessaires pour la réalisation de projets innovants.

Quatre mesures

  • Des formations à l’entrepreneuriat et à l’innovation dans toutes les filières, dès la licence

Un parcours de formation entrepreneurial sera proposé à tous les étudiants, pour chaque cycle : licence, master, doctorat.

Cet appel à projet couvrira la période 2013-2016. L’objectif est de créer une trentaine de PEPITE, un par communauté d’universités et d’établissements.

Le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et la Caisse des dépôts, conformément à la convention signée en avril dernier à Strasbourg pour les Campusd’@venir, augmentent fortement leur soutien à cet appel à projets. Celui-ci bénéficie d’un financement du ministère des P.M.E., de l’innovation et de l’Economie numérique, en y associant les collectivités territoriales et partenaires privés.

Les projets devront être déposés le 15 décembre et la sélection des projets retenus interviendra en janvier 2014.

Ouverts sur leurs écosystèmes socio-économiques, ancrés sur leurs territoires, les PEPITE auront

  • un rôle de coordination pour la mise en place et la mutualisation des formations à l’entrepreneuriat et à l’innovation.
  • un rôle d’accompagnement des porteurs de projets et devraient permettre de développer les incubateurs ou espaces de co-working au sein des universités.
  • La création d’un statut « étudiant-entrepreneur » pour les étudiants ou jeunes diplômés porteurs de projets de création d’entreprise

Ce statut permettra, pour les étudiants et jeunes diplômés qui créent et innovent, de continuer à bénéficier du statut d’étudiant, et des droits sociaux associés, par le biais d’une inscription au sein d’un diplôme d’université (D.U.) « Création d’Entreprises Innovantes et Entrepreneuriat ». Par ailleurs, les projets entrepreneuriaux des étudiants en cours de formation pourront être pris en compte pour la validation de leur diplôme.

  • Le soutien financier aux meilleurs projets des étudiants et jeunes diplômés par la création d’un prix « Tremplin Entrepreneuriat Etudiant »

Les meilleurs projets issus des PEPITE pourront se présenter au concours national d’aide à la création d’entreprises du M.E.S.R., qui proposera un prix « Tremplin Entrepreneuriat Etudiant » dès l’édition 2014. 

Afin de réaliser ces mesures, le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche intégrera l’entrepreneuriat étudiant dans les contrats de site des objectifs de l’établissement et dans la procédure d’accréditation des établissements d’enseignement supérieur, introduite par la loi relative à l’Enseignement supérieur et la Recherche du 22 juillet 2013.

Un cadeau de noël pour vos salariés ?

La fin de l’année approche et c’est le moment de faire plaisir à vos salariés. Pour éviter de vous retrouver dans l’embarras que vous étiez d’ailleurs promis de ne plus reproduire, prenez-y vous dès maintenant. Cette année, en suivant les conseils de Dynamique, vous allez éviter d’effectuer les achats de dernière minute. 

Alors posons le problème et faisons un peu de brainstorming ensemble. Qu’avez-vous offert l’année dernière ? Rien ! Ou alors boites de chocolats, macarons, marrons, fleurs, vin…et cette année, vous êtes complètement dépourvu d’idées !!!

Pour réussir un cadeau de noël, la première question à vous poser est : Qui sont mes salariés ? Des célibataires, des pacsés, des femmes et des hommes qui ont des familles, des enfants, quel âge ???? Suivant votre réponse, la gamme des cadeau peut devenir immédiatement plus large.

Alors essayons de réfléchir, quels sont les cadeaux qui feront plaisir à chacun parce qu’adaptés à chacun.

La prime ?

La prime, c’est parfait. Mais pensez que si vous donnez une prime cette année, l’année prochaine si vous n’en donnez pas, cela sera mal vécu. Il faut avoir une vision à long terme. A vous de voir !

Un ou deux jours de congés ?

La journée de congés ou deux jours (qu’ils prendre quand ils veulent) est une solution qui ne vous coutera « rien ». Dès son évocation, vous voyez leur sourire s’agrandir ! Et oui cette année noël et le jour de l’an permettent de faire des ponts qui sont presque des vacances : 23 et 24 décembre ou le 26 et 27 décembre ou alors pour le jour de l’an 30 décembre et 31 décembre ou 2 janvier et 3 janvier.
Si votre activité bat son plein justement pendant les fêtes de noël, que cela ne tienne, proposez-leur deux jours en mai ou deux jours de congés à prendre quand bon leur semble !

En fait vous faites plaisir à tout le monde : les billets de train sont moins chers pour aller chez papa maman, on a le temps d’aller acheter les derniers cadeaux, on peut se remettre du 1 er janvier…..Dynamique vous laisse à votre réflexion.
De plus cerise sur le gâteau, vos salariés hésitaient à vous demander un ou deux jours de congés. Et là vous sentez que vous avez gagné, ils allaient vous le demander comme une faveur et ils l’ont comme un cadeau. Rien de mieux pour l’ambiance !

Les chèques cadeaux ou les coffrets cadeaux ?

En fait ils permettent d’acheter des jouets aux enfants, un cadeau pour maman ou papa. Bref, les salariés peuvent faire plaisir à leurs proches alors qu’ils ont un budget juste en ses temps difficiles.

Les coffrets cadeaux offrent une palette de cadeaux qui touchent de nombreux domaines et votre salarié pourra choisir celui qui lui convient le mieux : aventure, pilotage, sensations fortes, émotions extrêmes, dégustations, bien être, ateliers, week-end ….

Et de plus exonérés des cotisations

Quelles sont les conditions d’exonération des cotisations selon l’Urssaf ?
Les prestations allouées par le comité d’entreprise ou par l’employeur directement, dans les entreprises de moins de 50 salariés dépourvues de comité d’entreprise peuvent sous certaines conditions être exonérées du paiement des cotisations et contributions de Sécurité sociale. 

154 euros exonérés de cotisations pour l’année 2013

Concernant les bons d’achat ou cadeaux, la lettre ministérielle du 12 décembre 1988 a posé une présomption de non assujettissement de l’ensemble des bons d’achat et cadeaux attribué à un salarié au cours d’une année civile, lorsque le montant global de ces derniers n’excède pas 5% du plafond mensuel de la Sécurité sociale (plafond mensuel de la Sécurité sociale = 3086 x 5%). , soit 154 euros pour l’année 2013.

L’attribution du bon d’achat doit être en lien avec l’un des événements suivants :

  • la naissance
  • le mariage, le Pacs
  • la retraite
  • la fête des mères et des pères
  • la Ste Catherine et la Saint Nicolas
  • Noël pour les salariés et les enfants jusqu’à 16 ans révolus dans l’année civile,
  • la rentrée scolaire pour les salariés ayant des enfants ayant moins de 26 ans dans l’année d’attribution du bon d’achat (sous réserve sous réserve de la justification du suivi de scolarité). Par « rentrée scolaire », il faut entendre toute rentrée de début d’année scolaire, universitaire …, peu importe la nature de l’établissement : établissement scolaire, lycée professionnel, centre d’apprentissage …

Son utilisation doit être déterminée :

L’utilisation du bon doit être en lien avec l’événement pour lequel il est attribué. Il doit mentionner soit la nature du bien soit un ou plusieurs rayons d’un grand magasin ou le nom d’un ou plusieurs magasins.

Il ne peut être échangeable contre des produits alimentaires ou du carburant. Les produits alimentaires courants dits de luxe dont le caractère festif est avéré sont admis.

Lorsqu’il est attribué au titre du Noël des enfants, le bon d’achat devra permettre l’accès à des biens en rapport avec cet évènement tels que notamment les jouets, livres, disques, vêtements, équipements de loisirs ou sportifs. 

Les bénéficiaires doivent être concernés par l’évènement. Par exemple, un salarié sans enfant n’est pas concerné par les bons d’achat remis pour la rentrée scolaire, pour le Noël des enfants, ou pour la fête des mères/pères.

Spectacles

Les réductions tarifaires sur les spectacles, quelle que soit leur forme (réductions directement prises en charge par le comité d’entreprise, remboursement total ou partiel des sommes payées par le salarié), sont exonérées de cotisations.

Sports

Les réductions tarifaires accordées pour la pratique d’activités sportives sont exonérées de cotisations, qu’il s’agisse de réductions directement supportées par le comité d’entreprise ou du remboursement total ou partiel des sommes payées par le salarié sur présentation du justificatif.

Voyages

Les réductions tarifaires que vous accordez à l’occasion de voyages touristiques, quelle que soit leur forme (réductions directement supportées par vous ou remboursement direct au salarié sur présentation du justificatif), sont exonérées de cotisations.

Pour en savoir plus : urssaf.fr
Et n’oubliez pas une boite de chocolats ou un repas de noël sont toujours les bienvenus….

L’innovation : recherche et développement – Part 2

Le mois dernier nous avons mis en avant que l’innovation, sujet d’actualité utilisé de manière abusive par nos politiques comme réponse à la crise, ne pouvait pas venir de nos universités car peu de jeunes choisissent cette voie aux perspectives salariales guère prometteuses et timidement reconnues par nos industries. Force est de constater que dans plusieurs domaines spécifiques notre pays regorge d’entreprises mondialement reconnues à la pointe de leur technologie. D’où, nos industriels implantés dans le monde entier, tirent leur avantage innovant pour rester compétitifs…de France ?

Innovation émergente de la France ?

Tous ces groupes mondiaux de premier rang ont la chance de pouvoir utiliser les savoir-faire et les talents innovants partout dans le monde où ils sont implantés. Cette répartition géographique est un atout majeur dans la course à l’excellence. Néanmoins, est-ce que cette innovation de nos industriels français peut-elle être considérée comme émergente de la France ? La réponse est non !

Est-ce que finalement le crédit d’impôts recherche, qui se trouve en fait souvent être un salaire déguisé sous couvert de la recherche, ne devrait-il pas être redéfini pour « obliger » nos entreprises à réellement dédier de façon transparente cet argent à la recherche ?

Que se passe-t-il de l’autre côté de l’atlantique ?

Depuis quelques années, les compagnies américaines se sont aperçues qu’elles ne faisaient plus que de l’innovation par croissance externe. A tel point que certains serials entrepreneurs se positionnent comme de vrais spécialistes de l’anticipation des futurs besoins de grosses industries et développent des produits pour que leurs sociétés se fassent absorber dans les 3 ans.

Liberté, moteur de l’innovation 

Cette démarche est très intéressante car elle montre bien que l’innovation doit être détachée de la vie de l’entreprise avec ses besoins de rentabilité. Si l’on remonte un peu dans l’histoire, la plupart des grosses entreprises innovantes américaines de ces dernières années ont commencé dans un garage. Ces sociétés, avec peu de financement, étaient pourvues de ressources intellectuelles phénoménales et ont su démontrer à l’époque que cette liberté était très certainement le moteur de l’innovation.

Google : 20% de temps dédié à des projets personnels

Fort de ce constat, Google, ce pionnier innovant, est le premier à « imposer » à ses développeurs un quota de temps (20%) obligatoire dédié à des projets personnels qui sortent du cadre professionnel, redonnant ainsi une liberté à l’esprit créatif.

Depuis, toutes les grosses sociétés (Apple, LinkedIn etc..) lui ont emboité le pas, en constatant que de nombreuses innovations qui en ressortaient, n’avaient aucun lien direct ou indirect relié au cœur du business de l’entreprise.

Comment ces groupes agissent-ils ? Tout simplement en créant un incubateur interne avec des fonds dédiés. Cette création à trois vocations essentielles :
1. La valorisation de l’employé qui se révèle plus talentueux dès que son cadre restrictif est levé.
2. L’accompagnement de l’employé par l’employeur entrepreneur dès le départ. Etre innovant ne signifie pas être entrepreneur. Et d’ailleurs qui mieux que l’employeur entrepreneur pour épauler, guider et conseiller son employé pour prendre son envol ?
3. La fructification de son investissement, loin d’être anodine, qui existera dès le premier jour d’embauche de son employé et continuera sous forme de participation lorsque celui-ci développera une innovation.

Je pose la question : à quand une société française qui serait une spin-off d’un grand groupe et qui deviendrait mondialement connue sans être absorbé avant cette reconnaissance ?

Fast and furious !

Comment créer un buzz pour promouvoir la vitesse et le caractère innovant d’une nouvelle voiture : voici la question que se sont posée les équipes de Peugeot à l’occasion du lancement de leur nouveau bolide, la RCZ, Fast and furious.

Dotée d’un moteur réactif et puissant, la RCZ a la particularité d’atteindre la vitesse de 140 km/h en 11 secondes. Il n’en fallait pas moins pour inspirer aux communicants du groupe une idée un peu saugrenue : proposer aux twittos de se confronter à la voiture sur le réseau social ! Comment ? C’est simple, en lançant aux internautes le défi de faire mieux que le bolide et de réussir à taper un tweet de 140 caractères en 11 secondes. Mais attention, pas de triches !

Les internautes devaient recopier un texte déjà écrit, sans faire de copier/coller, et en intégrant le hashtag de l’opération. Quoi de plus efficace pour pousser les fans de vitesse à inonder leur profil Twitter de messages publicitaires pour la marque ? Les 500 joueurs les plus rapides ont été tirés au sort et le meilleur a remporté un week-end sur un circuit automobile pour expérimenter enfin, dans le monde physique, ce qu’est la vraie vitesse !

Mercedes-Benz

La campagne Social media

#GirlsHaveNoLimits

Méthode

Focus sur l’objectif de la marque

Les marques doivent se démarquer et s’adapter au monde actuel. Elles se positionnent de manière à générer un impact social, sans se concentrer uniquement sur la génération de revenus. Cette stratégie peut générer de nombreux résultats, en particulier du côté de la Génération Z, socialement avertie.

La campagnes Social Media #GirlsHaveNoLimits a uni Mercedes-Benz avec Matchbox et le projet NGC, pour changer la perception des filles concernant les voitures.

Lancé le mois dernier seulement, ce contenu vidéo a déjà généré 59 200 vues de vidéos sur Twitter, 5 100 vues sur Facebook et 18 200 vues sur Instagram.

Aux États-Unis, ce hashtag ne générait que 1% des mentions de la marque environ après son lancement. Leur objectif n’était pas d’augmenter le nombre de mentions, mais de changer les perceptions de la marque sur le long terme.

Le sentiment positif généré par cette vidéo est beaucoup plus élevé que celui de la marque Mercedes. Cela montre que la campagne peut aider à générer des émotions plus positives pour une marque.

Ce qui saute aux yeux en observant ces résultats, c’est le changement de sentiment. Dans la semaine qui a suivi le lancement, le sentiment net de Mercedes a augmenté de 425% par rapport à la semaine précédente !

On connaissait les liens étroits entre Instagram et la mode, le tourisme et la food. Mais les millions d’utilisateurs de la plateforme de partage de photos sont aussi très nombreux à « liker » les publications qui ont un rapport avec l’automobile.

Une étude commandée par Facebook (qui a racheté Instagram en 2012) réalisée l’été dernier montrait que près de la moitié des utilisateurs interrogés ont découvert une nouvelle voiture sur les réseaux sociaux. Plus d’un tiers prend même sa décision en ligne ! Plus fort encore, 44 % ont déjà partagé du contenu en rapport avec l’automobile et les amateurs de voitures se connectent environ 18 fois par jour sur Instagram !

130 millions d’utilisateurs « d’insta » cliquent chaque mois sur un post Shopping (une fonctionnalité lancée il y a un an en France et qui permet d’acheter un produit en cliquant sur une publication le plus souvent sponsorisée). Il n’en fallait pas plus pour que les constructeurs flairent la bonne affaire.

Instagram, un vrai moteur d’achat

Si l’intégralité, ou presque, des marques automobiles sont présentes sur le réseau, certaines en font déjà plus que d’autres. C’est le cas notamment de Porsche qui, outre ses comptes traditionnels, a créé, en collaboration avec Instagram, @Type7.  C’est un compte qui mêle lifestyle, architecture, voyage, sport et, forcément, automobile. En bref, tout l’univers de Porsche en moins corporate.

Maxime Mellah est Client Partner Automobile chez Instagram. Son rôle ? Accompagner les constructeurs et distributeurs dans la transformation de leur communication digitale. Il coordonne leurs stratégies marketing en fonction de l’évolution de l’acte d’achat d’une voiture. A son avis, les marques ont compris qu’Instagram est devenu un terrain d’expression prioritaire qui génère du business. Un vrai moteur d’achat, plus qu’une simple plateforme visuelle. Ainsi, elles adaptent leur communication.

Mellah explique l’intérêt d’un compte comme Type7 pour un constructeur comme Porsche : « L’objectif est de rajeunir la cible et de travailler la présence à l’esprit des futures générations. Grâce à Instagram, lieu visuel où les gens se connectent et partagent autour de leurs passions et leurs expériences, les marques ont appris à reconnecter avec leurs consommateurs à travers ce qu’ils aiment. Le réseau social devient leur nouveau terrain de jeu. 59 % des acheteurs automobiles se disent être influencés par Instagram au moment de l’achat ! »

La recette du succès

Et pour convaincre un peu plus les marques de son potentiel, Instagram sait se renouveler. « Une des forces d’Instagram est d’écouter et d’observer sa communauté. En introduisant régulièrement des fonctionnalités comme les sondages et les questions, dernièrement nous étendons le champ des possibles, explique Maxime Mellah, nous créons encore plus d’engagement entre les grands noms de l’automobile et leurs consommateurs. »

Les secrets pour faire parler de sa marque sur Instagram ? Le storytelling, « aujourd’hui, les gens recherchent plus qu’une voiture, ils veulent comprendre l’histoire de la marque », partager un message visuel cohérent, constamment mesurer ses résultats pour « optimiser la meilleure performance par rapport à ses objectifs », être agile et ne pas craindre l’échec. « Instagram permet aux marques d’essayer de nouvelles choses. Ces changements peuvent être faits rapidement, il ne faut pas avoir peur de la prise de risques »,  détaille Maxime Mellah.  Il faut tirer le meilleur parti des outils proposés par le réseau social comme les « Stories » et le ciblage pour les publications sponsorisées et ne pas se concentrer sur le nombre d’abonnés. Cela car « le plus important est de savoir si les gens s’engagent avec la marque, par exemple en commentant un post ou une story et en taguant leurs amis ».

En accompagnant les marques dans le développement de leur communication digitale, Instagram leur permet de la maîtriser sans faire de la publicité dont les utilisateurs des réseaux sociaux connaissent de mieux en mieux les ficelles. Et si les constructeurs devenaient leurs propres influenceurs ?

Rebondir avec la reprise d’une entreprise !

La crise économique perdure malgré les propos rassurants livrés de ci de là par nos gouvernants. En ces temps difficiles, il devient commun de constater que la variable d’ajustement dans les restructurations intervenant dans les entreprises, c’est l’effectif salarié. C’est ainsi que nombre de personnes se retrouve entre 40 et 50 ans à engager une nouvelle carrière, à préparer un rebond, une reprise d’entreprise.

Et après, que fait-on ?

Beaucoup s’interrogent sur le fait de pouvoir créer une entreprise, mais beaucoup se demandent s’ils ne peuvent pas « reprendre » une entreprise ? A cet égard, quelques recommandations peuvent être édictées.

Préparer votre reprise d’entreprise.

Tout comme un projet de création, il paraît essentiel de « verbaliser » son projet. Il ne s’agit pas d’annoncer que l’on souhaite être un repreneur, il faut réfléchir à son objectif et « écrire » ce que l’on souhaite entreprendre, et avec quels moyens. Plus tard, cette formalisation deviendra la base de la présentation de votre plan d’affaires. Si l’on considère qu’il devient vital de reprendre une entreprise, il est aussi vital d’exposer son projet à celui ou celle avec qui l’on partage sa vie, c’est une étape incontournable, impérative ! Celui ou celle qui est à vos côtés sera votre premier supporter, mais peut devenir votre pire ennemi, s’il est écarté de ce que vous souhaitez faire.

Les précautions à retenir dans le déploiement du projet.

Tenter l’aventure de la reprise d’entreprise réclame quelques précautions. Il est à privilégier des cibles d’entreprises proches de ses aptitudes professionnelles, de ses passions, de sa formation initiale. En effet, personne ne saurait s’improviser maréchal- ferrant, cuisinier ou mécanicien !

Il faut ensuite :
– analyser quelles seraient les activités porteuses, les secteurs géographiques favorables, l’état de la concurrence, la capacité d’absorption du marché, etc.
– ne pas hésiter à faire appel à des intermédiaires pour toucher les entreprises à céder.
La cible identifiée, il convient alors de pouvoir obtenir un maximum d’informations sur les plans comptables, financiers, contractuels, fiscaux et sociaux. Un expert-comptable peut vous aider en cela, et pourra exercer un œil critique pouvant vous permettre de recueillir une information pertinente.

Le projet de reprise : qui finance ?

L’ensemble de ces informations va vous permettre d’élaborer un plan d’affaires, et une étude prévisionnelle de trésorerie. Ces supports seront la pierre angulaire du dialogue avec les banquiers en vue du financement nécessaire à cette reprise.

Vous aurez à vous interroger d’une manière parallèle aux ressources que vous êtes prêts à investir dans votre projet, et quelle limite maximum vous êtes prêt à sacrifier de vos économies – c’est définir un seuil psychologique que vous n’accepterez pas de dépasser en cas de difficultés, vous n’êtes pas un joueur, vous ne remettez pas sur le tapis pour voir !

Il y aura lieu aussi de prêter attention aux exigences de garanties en provenance des banques. La caution personnelle du chef d’entreprise est toujours le vecteur le plus prisé des banquiers pour assurer une garantie active de leur financement, mais il est le plus destructeur potentiellement pour le chef d’entreprise en cas de

difficultés. Il conviendra donc de n’accepter que ce qui peut être tolérable dans le temps.

Quel de type de société pour reprendre ?

Pour ce qui concerne le véhicule juridique de reprise, avocats et experts comptables seront les meilleurs professionnels pour vous conseiller et trouver la structure sociétale qui sera la mieux adaptée, tant à votre situation personnelle du moment qu’à l’ambition affichée par votre reprise. SAS, SARL, SA, la forme juridique doit correspondre au mieux de la forme de la reprise !

Par ailleurs, l’ancienneté de votre statut social favorisera, aussi, ou non un choix plutôt qu’un autre dans votre qualité de futur dirigeant : gérant majoritaire ou minoritaire, président, etc….
La reprise d’entreprise c’est aussi l’aventure d’entreprendre.
Le rebond professionnel est essentiel. Cultivez le défi, vous en serez récompensé.

Les Cadeaux au Japon, une tradition incontournable

Les cadeaux (O-miyage) au Japon font non seulement partie de la vie privée mais occupent aussi une place très importante dans la vie des affaires. En France, le cadeau garde son sens originel de cadeau c’est-à-dire de faire plaisir. Au Japon, il fait partie des obligations incontournables et répondent à des traditions.

La valeur du cadeau

La valeur du cadeau fait partie des difficultés à gérer. En général, vous recevrez un cadeau de valeur identique à celui que vous avez offert. N’offrez pas un cadeau au delà des moyens de votre interlocuteur, vous le mettriez dans la situation de perdre la face s’il n’était pas dans la capacité de vous le rendre. La subtilité des relations japonaises se comprend d’ailleurs à travers la symbolique des cadeaux.

Faire plaisir

Il s’agit de faire plaisir. Offrez ce qui coûte cher au Japon, ce qui est rare au Japon tels que les parfums même en petite quantité, le vin, et de manière générale tout ce qui porte une marque ou qui montre l’origine française. Offrez dans la mesure de vos possibilités un petit cadeau même très modeste, à chacun de vos interlocuteurs.

Sans vous ruiner

Vous êtes une jeune entreprise, inutile de vous ruiner. Choisissez des cadeaux, certes symboles de la France et qui feront que l’on se souvienne de vous mais notez ce que vous offrez car si vous réussissez à établir un contact, il faudra à la rencontre suivante ne pas donner les mêmes cadeaux…Les chocolats et les macarons sont très prisés au Japon et ils ne vous ruineront pas.

Présenter le cadeau avec les deux mains

Lorsque le cadeau est offert il doit être présenté à deux mains et vous devez le saisir à deux mains tout en vous inclinant et en remerciant. Au moment de transmettre le cadeau, vous insisterez sur la modestie de votre cadeau. Il est d’usage d’accompagner la remise par une phrase comme « tsumaranai mono desu ga » (ceci est une petite chose) afin de ne pas mettre mal à l’aise la personne qui reçoit le cadeau.

Les paquets cadeaux, un art

Veillez à ce que les paquets portent l’étiquette du magasin dans lequel vous l’avez acheté, mais aussi que l’emballage soit très soigné. L’origami est un art au Japon et les paquets cadeaux en sont le reflet.

Quand vous offrez les cadeaux, prévoyez toujours un sac pour que vos interlocuteurs puissent les porter aisément. Si vous possédez des sacs au sigle de votre entreprise, il serait bon d’en emporter un certain nombre dans vos valises.

Ouvrir son cadeau ou non

Faut-il ouvrir son cadeau ou l’accepter sans l’ouvrir. Au Japon, on n‘ouvre pas en général le cadeau offert. La raison en est pour ne pas mettre en difficulté celui qui offre, si son cadeau ne vous plait pas ou est modeste. Il est par ailleurs d’usage de refuser le cadeau effectué par son hôte. Celui-ci se doit alors d’insister marquant à ce moment la possibilité pour son interlocuteur d’en prendre possession.

Si par hasard, vous l’ouvrez, il faudra défaire le papier avec délicatesse, évitez de déchirer le papier. Votre attitude montrera à vos interlocuteurs le respect que vous leur témoignez. Vous n’êtes pas en train d’ouvrir vos paquets de Noel…. l’effervescence n’a surtout pas lieu d’être.

Et n’oubliez pas d’apporter une brochure…

Si vos voulez en savoir plus sur le Japon et la langue japonaise, lisez le livre Yamato Le japonais en 16 leçons, éditions ellipses

Concours à la création d’entreprise : l’essentiel c’est de participer…ou pas

La participation aux nombreux concours est un exercice indispensable auquel tout entrepreneur doit se confronter. Le point qui rebute souvent, à juste titre, est le temps consacré à la rédaction du dossier et le retour sur investissement parfois jugé nul. De nombreux experts en la matière vous expliqueront l’importance de participer aux Concours à la création d’entreprise pour avoir un retour pertinent sur votre projet ou business plan, faire connaître votre projet ou obtenir une dotation financière. 

Aucune formule ne vous permettra de calculer le ROI d’un concours. En revanche, bien avant de vous lancer, il existe des moyens simples d’évaluer vos chances et l’intérêt d’y consacrer du temps en étudiant par exemple la forme, les partenaires et la cible.

Vérifiez dans le dossier l’indication d’un contact

A la lecture du règlement du concours, vérifiez la présence d’un contact avec un nom, un e-mail et un numéro de téléphone. Si un de ces éléments manque tentez de l’obtenir avant de ne remplir ne serait-ce qu’une ligne du dossier. Si vous n’y parvenez pas, passez votre chemin. Les organisateurs de concours professionnels et sérieux indiquent un contact dédié au concours, qui vous enverra une confirmation de réception de votre dossier immédiatement après l’envoi en vous remerciant d’avoir pris le temps de constituer votre dossier. Ce même contact vous informera en cas de sélection ou non de votre dossier mais à ce stade une fois le dossier envoyé, vous ne devriez plus vous soucier du résultat. Etre lauréat est toujours gratifiant mais un client ou un partenaire satisfait vous apportera tout autant, voire plus !

Choisissez un concours adapté à votre activité

En parcourant le dossier de candidature, passez les questions classiques dont les réponses sont dans votre business plan et recherchez la question pertinente en relation avec le thème du concours. Méfiez-vous des canevas de concours construits à la hâte qui ne vous apporteront rien de plus que ce que vous savez déjà sur votre activité et votre environnement. Tout ce qui mérite d’être réalisé mérite d’être correctement réalisé. Si vous avez le profil d’entrepreneur rigoureux, ne répondez qu’aux concours rigoureux qui constituent un challenge pour vous. Le reste n’est que perte de temps.

Quels sont les partenaires du concours ?

Tel lauréat, tel donateur. Cette règle peut vous permettre d’économiser un temps dont vous ne disposez pas en dehors de vos 3 jours de congés annuels. Hormis l’organisateur, qui sont les partenaires du concours ? Une coopérative ? Une grande école ? Un supermarché ? Une institution publique ? Un grand groupe ? Evaluez vos chances de réussite en fonction de ces acteurs de l’ombre souvent présentés en pied de page du règlement du concours. Pour éviter d’épuiser votre crédit temps dans la rédaction de dossiers concours, il peut être utile de faire appel à des structures spécialistes du montage de dossier de concours et de subventions. Là encore prenez des précautions et réclamez des références avant de signer tout accord. Aux dernières nouvelles, il n’existe pas de site d’évaluations de concours mais vous pouvez tenter d’interroger d’anciens participants et lauréats dans votre réseau d’entrepreneurs pour avoir un retour d’expérience concret.

Etudiez la cible du concours

Ce concours propose d’obtenir 10.000 euros pour un projet innovant dans le secteur des NTIC. Vous avez beau avoir un site internet développé sur mesure par un ami geek, il en faudra plus pour faire partir des lauréats. D’autant que la tendance est à l’innovation technologique à impact social reproductible, inclusif, essaimable. Ne perdez donc pas votre temps si aucun de ces mots clés le peut être introduit dans vos réponses. Même les concours ciblant les jeunes créateurs d’entreprise reposent sur un ensemble de critères très précis basés sur le contexte économique et social actuel (chômage, pauvreté, discrimination, pollution, maladies, malbouffe…) La bonne nouvelle est qu’ils font désormais la part belle aux entrepreneurs sociaux ex : Futur en Seine, SFR jeunes Talents entrepreneurs sociaux, Gem Entreprendre, concours européens de l’innovation sociale.
Bonne chance !

Comment maîtriser l’art du mensonge

Vous êtes en retard à un rendez-vous, vous avez loupé une conférence importante pour le boulot et vous n’avez aucune excuse valable ! Il ne vous reste plus qu’à mentir mais le hic c’est que vous ne maîtrisez pas cet art ? Voici quelques tuyaux pour devenir un « virtuose du mensonge »

Préparez-vous à l’avance

Un mensonge ne se fait pas à l’improviste, il se prépare.

Construisez votre argumentation sans rien laisser au hasard. Visualisez la scène du mensonge, vivez là. Cette technique est utilisée par les sportifs de haut niveau lors des compétitions. Avant chaque épreuve de force ils s’aident en visualisant l’effort. En effet, le cerveau n’a pas de réalité précise puisqu’il n’est pas dans vos habitudes de mentir. En visualisant votre mensonge vous l’accoutumerez à une situation qu’il va intégrer comme vécu.

Maîtrisez votre langage corporel

Mentir n’est pas qu’une affaire de mots. On a beau avoir toute la volonté du monde notre corps peut nous trahir à tout moment : transpiration excessive, bégaiement et tics nerveux. Essayez de gérer vos émotions et occupez vos mains afin d’éviter de triturer vos vêtements ou autre. Rangez vos fichiers en débitant votre mensonge par exemple.

Et surtout ne regardez pas en l’air (signe typique du menteur qui cherche une excuse), ne fixez pas exagérément votre interlocuteur pour paraître plus convaincant : vous susciteriez le doute et vous créeriez un sentiment de malaise.

Rapprochez votre mensonge d’une vérité

Tout inventer de A à Z est la chose à ne pas faire. Pour maîtriser l’art du mensonge rien de mieux que de s’accrocher à un détail réel. Déformez légèrement la réalité en procédant par omissions et imprécisions. Cela vous évitera d’inventer des histoires incohérentes.

Évitez de mentir en face à face

Si vous mentez occasionnellement et que vous n’avez pas acquis la méthode, évitez le face à face. Utilisez le téléphone ainsi votre interlocuteur ne vous verra pas vous dandiner d’un pied à l’autre. Si lors de votre mensonge votre voix fait des vibratos, mentez par email. Par mail, vous aurez tout le temps de formuler vos phrases correctement et de peaufiner votre mensonge.

Et n’oubliez surtout pas …

C’est vous qui prouvez quelque chose à la personne à qui vous mentez, pas elle. Alors ne la laissez pas vous interrogez. Si vous dîtes NON je n’ai pas fait ça, vous ne l’avez pas fait. Soyez ferme mais pas agressif.

Et sachez que le mensonge doit rester exceptionnel et que vous pouvez vous rendre définitivement ridicule et perdre la confiance de vos interlocuteurs, si vous oubliez votre mensonge !

Comment bien choisir son fournisseur de bureau et de mobilier sur internet ?

Où acheter votre mobilier et vos fournitures ? Où trouver la meilleure qualité à un prix défiant toute concurrence ? Quelles sont les possibilités les plus adaptées à votre entreprise ? Comment bien choisir le prestataire qui réunit le maximum de critères pour vous faire gagner du temps et de l’argent ? Catalogue en ligne, catalogue papier, devis immédiat, vente en petite quantité, prix compétitif ou encore délais de livraison rapide… Autant de considérations que les TPE, Professions Libérales, Cabinets juridiques, Professionnels de santé, Artisans, PME, Créateur d’entreprise doivent prendre en compte. L’objectif ? Acheter son matériel au meilleur rapport qualité/prix.

Votre mobilier, reflet de votre dynamisme

Le choix de votre mobilier sera le reflet de la personnalité de votre entreprise. Mobilier design, mobilier classique auront un impact différent sur ceux qui viendront vous rendre visite. A vous de bien étudier celui qui correspond le mieux à votre vision de l’atmosphère de votre entreprise.

Et le confort de vos équipes

Le bien-être de vos équipes est essentiel à leur performance. Le matériel choisi est révélateur de l’attention et on pourrait dire même du respect que vous leur portez. Si le matériel se dégrade rapidement, les difficultés dans la vie quotidienne auront une influence sur l’ambiance et la productivité de vos salariés. Un tiroir qui se coince peut parfois arriver à soulever un vent de révolte !

Attention ! Le matériel de bureau n’a pas un usage identique à celui que vous utilisez à la maison. Un bureau utilisé par plusieurs personnes se détériore plus facilement. Le matériel doit donc être adapté à la vie de l’entreprise.

Les fournitures de bureau

Les fournitures de bureau sont pour la plupart des entreprises un budget de dépenses assez faible comparé aux autres charges. En revanche, le temps passé à trouver le bon prix et la bonne qualité d’un produit le sont moins. L’achat de fournitures de bureau sur Internet a permis aux entreprises de faciliter leur quotidien et surtout de proposer une large gamme d’offres.

Les avantages de l’achat en ligne

• Un gain de temps évidemment car plus besoin de se déplacer pour trouver la bonne boutique aux tarifs compétitifs. Et surtout se faire livrer directement dans son entreprise.
• Pouvoir comparer rapidement les tarifs et la qualité d’un même produit
• Une meilleure visibilité et contrôle de ses dépenses
• Pouvoir enregistrer ses anciennes commandes et en quelques clics les recommander.
• Un large choix de produits
• Acheter en petite et grande quantité

Les critères de sélection d’un bon fournisseur

• Les délais de livraison
• Les coûts de livraison
• La qualité du SAV : horaires d’ouvertures, la facilité de les avoir par email ou par téléphone
• La qualité des produits
• Le choix du mode de paiement : carte bleue, paypal, chèque, virement
• Le financement : par exemple pouvoir payer en 3x sans frais

4 prestataires que l’on recommande

• http://www.top-office.com/ : Top Office se lance dans les 10 jours mobilier pour l’entreprise. Les réductions fusent et s’additionnent sur des articles, profitez-en !
• http://www.bruneau.fr‎
• https://www.jpg.fr
• http://www.welcomeoffice.com