Accueil Blog Page 954

Publicité en ligne : communiquer sans Google Adwords, est-ce possible ?

Se priver de Google Adwords pourrait presque relever de l’hérésie pour de nombreux décideurs et spécialistes en communication digitale : la régie publicitaire la plus connue du monde est tellement omniprésente qu’elle semble totalement incontournable. Et pourtant des solutions existent pour gagner en visibilité, générer des clics et des conversions sans passer par Adwords.

Twitter et Facebook : deux régies puissantes et fonctionnelles

Facebook génère une audience impressionnante dans l’hexagone : 28 millions de visiteurs unique chaque mois selon Benjamin Lequertier, directeur marketing France. 3,3 millions de ces visiteurs sont des CSP+, ce qui fait de Facebook le premier média français sur le segment des classes les plus aisées. Facebook for Business propose des solutions publicitaires efficaces avec des options de ciblage performantes incluant le retargeting, des approches adaptées à différents objectifs et une mesure fine des conversions.

Twitter Ads mise pour sa part sur son interactivité et sa dimension conversationnelle. La régie publicitaire du célèbre réseau de micro-blogging permet de s’immiscer dans les discussions de son audience aux moments-clés. Vous pouvez communiquer lors d’un événement sportif ou d’une manifestation culturelle, d’un congrès ou d’un salon, durant une émission télévisée…

City Guides et moteurs de recherche guidés

Si les annuaires ont quasiment perdu tout intérêt dans une stratégie de référencement ou de visibilité en ligne, d’autres sites ont su tirer leur épingle du jeu en offrant des cadres de recherche plus fonctionnels et interactifs. Les city guides et portails de recherche guidée ont su séduire un large public grâce à leurs critères fins de recherche et leurs informations normalisées. Que ce soit pour trouver un appartement, un prestataire ou un commerce de proximité, ils offrent aux internautes une sélection de résultats présentés tous sous le même format, et enrichis par les retours d’expérience de la communauté.

Le plus souvent, les professionnels peuvent s’inscrire gratuitement et souscrire s’ils le désirent à des formules payantes afin de gagner en visibilité. Un portail de recherche guidée comme SeFaireAider.com recense ainsi plus de 600 000 professionnels dans 300 métiers, tandis que Cityvox.fr s’est imposé comme le guide urbain incontournable, autant pour préparer ses sorties que pour découvrir ou retrouver des enseignes de sa ville. L’inscription est généralement gratuite et les premières solutions de visibilité débutent à quelques euros par mois : le retour sur investissement est généralement acquis
!

Des régies publicitaires toujours plus agiles et compétitives

Les régies publicitaires n’ont d’autre choix que de s’adapter et innover pour faire face au rouleau compresseur déployé par Google Adwords. La facturation au résultat (CPC ou CPA) côtoie ou supplée de plus en plus souvent la facturation à l’affichage ou au forfait, et les prix sont fixés dynamiquement par le principe du Real Time Bidding (ou enchères en temps réel). Le ciblage s’affine avec par exemple le développement du retargeting, qui consiste à exploiter l’historique de navigation et les comportements passés des internautes pour personnaliser encore plus le message publicitaire.

Des régies de niche apparaissent pour répondre à des besoins spécifiques. Digiperf accompagne ses clients pour qu’ils utilisent l’affiliation comme un canal de communication et de vente. Criteo a développé des solutions logicielles pour permettre aux annonceurs d’améliorer la performance de leurs actions de communication, en personnalisant et optimisant le ciblage et le contenu dans le cadre de publicités ou de campagnes d’emailing.

BING : et si Microsoft réinventait Adwords ?

La recherche en ligne n’est pas (tout à fait) synonyme de Google. Bing et Yahoo se sont associés pour proposer une régie publicitaire de qualité, qui n’a rien à envier en termes d’ergonomie ou de fonctionnalités. Si les volumes de recherche couverts par Bing Ads sont faibles par rapport aux requêtes réalisées chaque mois sur Google, la régie de Microsoft pourrait bien offrir une alternative intéressante à Adwords pour des budgets modestes, de quelques centaines à quelques milliers d’euros par mois.

La détermination du coût du clic repose ici aussi sur le principe des enchères en temps réel : la pression concurrentielle moindre pourrait vous réserver de bonnes surprise et vous assurer un retour sur investissement plus intéressant que sur Adwords !

Quand Amazon vient concurrencer les campagnes shopping de Google

Amazon s’est taillé la part du lion sur le marché du e-commerce. Si sa place de marché attire de nombreux vendeurs, ses solutions publicitaires plus traditionnelles séduisent un nombre croissant d’e-commerçants. Les Offres d’Annonceurs se positionnent en concurrent direct des campagnes Shopping d’Adwords, avec des annonces intégrées aux pages produits, aux résultats de recherche ou aux boîtes d’achats, un renvoi vers le site e-commerce de l’annonceur (au lieu d’une place sur Amazon) et un paiement au CPC en RTB.

Il y a un avenir à côté d’Adwords

Adwords ne doit pas représenter l’alpha et l’omega de votre communication en ligne. En utilisant les différents leviers à votre disposition, en coordonnant vos actions et en tirant parti de toutes les synergies à votre disposition, vous pouvez réduire considérablement la part de Google Adwords dans votre budget publicitaire en ligne. En analysant le retour sur investissement de différents médias, vous pourriez découvrir de nouveaux canaux plus performants qu’Adwords sur certains objectifs ou pour des cibles bien définies.

Renseignez-vous, suivez l’actualité, échangez avec d’autres chefs d’entreprises : des solutions existent pour vous accompagner dans votre développement et dans la digitalisation de votre communication.

Des « French Tech Hubs » dans les grandes métropoles mondiales ?

Pendant la soirée de présentation des vœux aux acteurs du numérique fin janvier, le gouvernement a annoncé la stratégie qui lui permettra de lancer la « French Tech Hubs » sur le marché mondial. 

Selon Emmanuel Macron et Axelle Lemaire, cette année est l’année de l’accélération du French Tech à l’international. L’annonce a été proclamée devant des invités de marque et des représentants des neufs territoires labellisés, dont Lille, Grenoble, Lyon, Montpellier, Bordeaux, Aix-Marseille, Nantes, Rennes et Toulouse. 

Une ouverture vers l’international

Suite au lancement de la labellisation des métropoles French Tech l’année dernière, le gouvernement choisit d’aider les start-ups à se développer sur le marché international. Le but est d’attirer l’attention des investisseurs, les entrepreneurs ainsi que les talents vers les entreprises du pays. 

Londres, Singapour ou Tel-Aviv recevront ainsi les labels « French Tech Hubs », au même titre que les régions internationales propices à l’innovation comme Londres, Sao Paolo, Singapour ou Tel-Aviv. Les entreprises recevront une labellisation par l’État s’ils répondent aux critères imposés. 

L’État ne les financera pas, mais le ministre les encourage à prendre le maximum de risques pour réussir. Le principal objectif est de provoquer la mobilisation collective, mais surtout de rassembler les acteurs publics comme Business France, les chambres de commerce, les collectivités ainsi que les consulats, les start-ups et les différents investisseurs. 

La plateforme d’attractivité internationale 

Les deux ministres ont également proclamé le lancement de la plateforme d’attractivité internationale de la French Tech. Le programme sera financé par un budget de 15 millions d’euros. Les opérations seront réalisées par Business France. L’organisme sera d’ailleurs présent dans les différents festivals et salons à l’international, à l’image du CES de Las Vegas, pour effectuer la promotion du label. Cela permet d’augmenter la notoriété et la visibilité des entreprises françaises, mais également de les encourager à progresser. 

Business France fera appel aux acteurs privés ainsi qu’aux entrepreneurs afin qu’ils présentent des actions objectives, pour aider à faire progresser cet écosystème français de façon collective.

Zoom sur les outils collaboratifs

Même si les logiciels d’exploitation ont apporté une révolution aux systèmes informatiques professionnels, actuellement l’ère des outils informatiques intelligents, agiles et humains les dépasse. Voici un zoom sur les outils collaboratifs.

DES OUTILS TRÈS PRATIQUES

Les outils collaboratifs font partie des éléments technologiques les plus utilisés aussi bien dans le domaine professionnel que personnel. Simple à utiliser, ce genre d’outil est présent partout, que ce soit sur le web ou sous forme d’application dans les Smartphones.

Si auparavant, il fallait divers logiciels pour pouvoir effectuer une seule tâche, avec l’arrivée des outils collaboratifs il est désormais possible de travailler sur un seul outil. L’interface et le contrôle d’un outil collaboratif s’adaptent en fonction de son utilisateur, qui peut ainsi maîtriser ce type d’outil selon ses envies.

Les outils collaboratifs ont été spécialement conçus afin d’être simples à utiliser. Effectivement, ses interfaces ne sont pas lourdes et nul besoin de formations pour maîtriser son mode de fonctionnement. Sur le web, avec l’aide des certains outils, il est possible de faire des partages ou des modifications de fichiers à tout moment.

DES TECHNOLOGIES HAUTEMENT PERFORMANTES

Les outils collaboratifs permettent d’améliorer les moyens de communication au sein d’une entreprise. Que cela constitue une communication virtuelle ou réelle, ce type d’outil permet d’affiner les échanges dans une entreprise.

Avec un outil collaboratif, la tâche se fait plus efficacement et avec une bonne précision. Ce type d’outil conquiert de plus en plus de grandes entreprises. Permettant d’augmenter la productivité et la performance en même temps, les outils collaboratifs semblent être une solution intéressante dans le domaine professionnel.

LES OUTILS COLLABORATIFS : QUELQUES EXEMPLES

Chaque outil collaboratif a sa propre fonctionnalité. Certains facilitent l’organisation de vidéoconférence comme Cliqmeet par exemple. D’autres ont été conçus afin de pouvoir continuer le travail même en étant en déplacement comme Viewchat. Parmi les outils collaboratifs les plus utilisés, Sellsy permet de faire un suivi en ligne de la relation avec la clientèle ainsi que la gestion des ventes. Huddle est également un outil collaboratif très employé. Permettant de faire un partage en toute sécurité des documents aux membres de votre équipe, ce type d’outil collaboratif simplifie votre tâche.

LES OUTILS DE DEMAIN

Les outils collaboratifs deviennent de plus en plus fonctionnels avec le temps. Ils fonctionnent de manière de plus en plus sophistiquée, tout en conservant une simplicité dans le mode de manipulation. Avec un seul outil collaboratif, il est possible de faire plusieurs choses en même temps. Ces outils sont bien souvent disponibles sur les téléphones portables, tablettes ou autres appareils informatiques mobiles. Il existe également d’autres modèles à installer dans les ordinateurs pour les rendre plus performants.

Plus le temps passe, plus les outils collaboratifs semblent devenir des outils indispensables au sein d’une entreprise.

Le roi du covoiturage

À 24 ans, Victor Clément a la tête sur les épaules. Ce jeune créateur a lancé le concept Wetruck directement à sa sortie d’école de commerce. Aujourd’hui concentré à temps plein sur le projet, il entend développer sa plateforme qui met en relation particuliers et professionnels du transport pour du covoiturage… en camion ! Parcours. 

C’est lors de son passage étudiant à l’école de commerce Neoma que Victor découvre les joies de la création d’entreprise. « À l’époque, nous avons pu assister à plusieurs séminaires de créativité, ainsi qu’à des conférences avec des entrepreneurs et des personnes qui ont participé à des projets innovants », précise le jeune homme. « Dans ce cadre, j’ai découvert le milieu de la création d’entreprise. Comme je n’étais pas vraiment déterminé sur ce que je souhaitais faire après les études et que j’avais certains amis qui se posaient la question de l’entrepreneuriat, l’idée a progressivement germé en moi. » 

D’UNE EXPÉRIENCE PERSONNELLE…

L’aventure Wetruck a débuté suite à une expérience personnelle. Victor est alors dans les Châteaux de la Loire, et cherche à rejoindre la Bourgogne pour y retrouver sa grand-mère. Sans voiture, le jeune homme a deux alternatives : le train, qui lui propose un trajet long et coûteux, et covoiturage.fr, qui ne proposait à l’époque qu’un trajet tous les deux jours, très tôt le matin.
Victor choisit cette dernière solution. « Je me suis rendu compte que l’on pouvait observer de nombreux camions en file indienne sur la route. Ils partaient de mon point de départ et s’arrêtaient à l’entrepôt juste à côté de mon point d’arrivée… », explique-t-il. 

Victor subit à nouveau ce genre de mésaventures et se rend progressivement compte qu’il existe de nombreuses zones en France où les gens demeurent isolés, sans alternative pour se déplacer… Il identifie également le fait que les transporteurs routiers voyagent bien souvent seuls, et qu’il reste des sièges disponibles dans chaque camion. Le jeune homme y voit une opportunité business.
L’entrepreneur se met en tête de mettre en relation ce petit monde pour proposer un mode de covoiturage alternatif. L’idée de Wetruck est née. « J’ai travaillé sur le projet pendant mon alternance. J’ai présenté le concept lors de plusieurs événements dont le Start-up week-end de Rouen en 2013 et j’ai tout de suite vu que Wetruck avait un franc succès auprès des jurys », précise le créateur. 

UN TRAVAIL SUR LE TERRAIN

Depuis cet été, date à laquelle il a terminé ses études, Victor s’est lancé à temps plein sur le projet. Et il ne ménage pas ses efforts pour réussir. « Pour développer un service de mobilité, il faut comprendre dans le détail quels sont les métiers du transport », explique-t-il. Victor crée donc un contact proche avec des transporteurs, des responsables d’exploitation, des professionnels du secteur, le tout afin de prendre réellement conscience de leur métier au quotidien. « Il fallait que je sache si mon idée allait constituer pour eux une contrainte ou un avantage. Je devais identifier précisément le besoin pour tenter d’y répondre au plus près », s’enthousiasme Victor. 

SURFER SUR LA SHARING ECONOMY

Avec ce projet, le jeune homme surfe clairement sur la vague de l’économie du partage, celle qui a vu les BlaBlaCar et autre AirBnB devenir les réussites que l’on connaît. Mais sur un marché de plus en plus concurrentiel, Victor n’a pas peur de se lancer. Il y voit plutôt une opportunité. « Cette concurrence ne me fait pas peur, au contraire, il s‘agit d’un mouvement enthousiasmant. Grâce au web 2.0 et au processus d’intermédiation, il existe plein de possibilités au niveau de l’entrepreneuriat. Il y a des opportunités de création, même dans l’associatif. Cela ouvre le champ des possibles ! »

Ce qui plaît avant tout à Victor dans ce projet, c’est de placer l’humain au centre, et de développer une entreprise à vocation sociétale. Wetruck devient ainsi une alternative à la voiture dans les zones de banlieues, les zones rurales ou les zones frontalières, qui demeurent encore aujourd’hui assez mal desservies, enclavées. 

Si aujourd’hui, l’entrepreneur se lance seulement dans une phase de bêta test, dans le but de tester la plateforme et la faisabilité du projet, l’objectif à moyen terme reste d’ouvrir une version grand public du site web.
Et de se poser en véritable plateforme complémentaire au covoiturage traditionnel. Affaire à suivre…

TROIS QUESTIONS À… VICTOR CLÉMENT

Que représente l’entrepreneuriat pour vous ?

Entreprendre est à la fois synonyme de liberté, mais cela représente également pour moi une véritable quête de sens et d’épanouissement. Aujourd’hui, je travaille sur des problématiques aussi variées que le juridique, l’assuranciel, la gestion des risques… Je parle avec une grande diversité d’acteurs (transporteurs, élus locaux) et je touche à de nombreux sujets. Il s’agit d’une expérience très enrichissante et c’est d’ailleurs ce qui fait le charme de tous les projets entrepreneuriaux, c’est très stimulant intellectuellement. Je ne suis pas dans l’exécution des tâches, mais je construis un projet sociétal sur le long terme, et je trouve ça génial ! 

Quel type de (jeune) manager êtes-vous ? 

À l’heure actuelle, je travaille en collaboration avec un développeur à temps partiel, un prestataire informatique et deux stagiaires. Avec ma jeune expérience, je me rends compte que cela reste primordial de recruter des personnes autonomes et proactives. Au début d’une aventure entrepreneuriale, le temps est compté. Il faut donc trouver des gens sincèrement motivés, qui veulent s’investir dans le projet et le voir éclore. Le management doit donc être le plus léger possible, afin de laisser aux personnes la possibilité d’être force de proposition et d’agir de manière autonome. 

Quels conseils donneriez-vous à vos confrères entrepreneur(e)s ?

Je dirai qu’il ne faut pas hésiter à rencontrer les acteurs de son marché. Pour ma part, le fait d’être en école de commerce m’a permis de prendre part à de nombreux événements networking. J’ai par exemple pu participer à un « start-up week-end » où j’ai rencontré les acteurs de l’innovation. J’y ai même gagné un prix ! En Ile-de-France particulièrement, les entrepreneurs ont la chance d’avoir accès à un large choix d’événements professionnels. Il est important d’y entrer pour se former et rencontrer soit des partenaires, soit des associés.

Les livres que tout entrepreneur devrait lire en 2015

Il n’est pas suffisant de se fier tout simplement aux compétences. Il faut également faire des recherches approfondies, pour devenir un bon entrepreneur. Voici une liste des livres que tout créateur devrait lire en 2015.

THE STARTUP PLAYBOOK: SECRETS DES STARTUPS PLUS FORTE CROISSANCE DE LEURS ENTREPRENEURS FONDATEURS

Dans son livre, David Kidder évoque les acquis et les expériences de 41 fondateurs d’entreprises. Si vous recherchez des leçons adaptées pour la création d’entreprise, cet ouvrage est ce qu’il vous faut. En feuilletant les pages du livre, vous allez non seulement connaitre les secrets de certains entrepreneurs fondateurs, mais vous allez également pouvoir développer les vôtres de façon agile.

CREATIVITY. INC : VAINCRE LES FORCES INVISIBLES QUI SE DRESSENT SUR LE CHEMIN DE LA VRAIE INSPIRATION

Cet ouvrage est un impératif pour vous entrepreneurs. Pour tous ceux qui aiment le risque, dans cet ouvrage l’auteur met en évidence les bonnes attitudes à adopter pour développer les capacités innovatrices. Ce livre écrit par Ed Catmull fait prendre conscience à ses lecteurs l’importance des nouvelles idées dans le domaine de l’entreprise.

TRUE NORTH

Dans cet ouvrage, Bill George et Peter Sims démontrent les points de vue personnels en leadership de 125 dirigeants d’entreprises. À la fois authentique et surprenant, ce manuel pourrait vous aider à enrichir votre sens du leadership personnel.

UNBROKEN : UNE HISTOIRE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE
DE LA SURVIE, LA RÉSILIENCE, ET DE LA RÉDEMPTION PAR LAURA HILLENBRAND

En tête sur Amazon, ce livre met en évidence les sacrifices et les efforts que Louis Zamperini a réalisés afin de survivre. En lisant cet ouvrage passionnant, vous allez non seulement vous rendre compte des défis que vous devez surmonter, mais vous allez également en tirer les bons moyens pour vous en sortir.

ZERO TO ONE : NOTES STARTUPS, OU COMMENT CONSTRUIRE L’AVENIR PAR PETER THIEL

Ce best-seller vous aide à vous orienter vers de nouvelles choses. En feuillant ce livre de Peter Thiel, vous allez naviguer vers la philosophie d’affaires, mais également vous allez développer votre capacité à trouver des idées neuves.

THINKERTOYS

Michael Michalko évoque dans son livre les attitudes à adopter afin de développer les capacités de création. Il parle également des moyens afin d’apprendre et d’améliorer vos compétences dans le domaine de l’entrepreneuriat.

TEAM EF TEAMS : NOUVELLES RÈGLES D’ENGAGEMENT POUR UN MONDE COMPLEXE

Écrit par le général Stan McChrystal, Chris Fussel, Tantum Collins et David Silverman, cet ouvrage parle des défis que le général Stan Mcchrystal a surmontés devant un ennemi. En lisant ce livre, vous allez pouvoir trouver des moyens permettant de devancer vos adversaires.

ABUDANCE: L’AVENIR EST MIEUX QUE CE QUE VOUS PENSIEZ

Ce livre écrit par Peter Diamandis et Steven Kotler évoque également les diverses interrogations et inquiétudes vis-à-vis des tendances dans le domaine de l’industrie et de la société en ce moment.

La lecture permet d’affiner ses expertises dans le domaine de l’entrepreneuriat. En achetant l’un de ses livres, vous allez pouvoir développer votre capacité dans au sein de votre entreprise avec agilité et réflexion.

Où installer mon entreprise ?

Lors de la déclaration d’activité d’une entreprise ou de la demande d’immatriculation, toute personne est dans l’obligation d’indiquer l’adresse et le lieu d’exercice de l’activité de cette dernière.

Il est important de souligner que l’installation d’une société est indispensable pour sa bonne marche. De plus, renseigner l’implantation de l’entreprise fait partie intégrante des formalités d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés. C’est pourquoi il est important de trouver un lieu propice pour développer vos affaires, pour permettre la bonne marche de votre entreprise. Pour ce faire, voici quelques recommandations.

S’INSTALLER À DOMICILE

Depuis plusieurs années, le législateur a pris des mesures qui autorisent l’installation de l’entreprise ou de son siège social au domicile du représentant légal, et ce, pour une durée indéterminée. Ces dispositions sont légales, sauf dans le cas échéant, des dispositions contractuelles ou législatives contraires. Dans le cas d’une convention ou d’une disposition législative qui contrecarre cette installation, le créateur d’entreprise peut tout de même installer l’adresse ou le siège social de l’entreprise à son domicile. Cette fois-ci, son installation est limitée à cinq ans et ne doit pas dépasser le terme légal prévu. De ce fait, l’entreprise ne sera pas en mesure de recevoir ni clientèle ni marchandises au domicile du représentant légal.

LES SOCIÉTÉS DE DOMICILIATION

Dans l’optique de simplifier les démarches des créateurs, le législateur permet au futur dirigeant d’entreprise de faire appel à des sociétés de domiciliation. Ces dernières proposent, en général, la même prestation comme une salle de réunion, un secrétariat, une permanence téléphonique, une location de bureaux, une adresse commerciale et autre. Les prestations et les coûts changent selon les prestataires de services. Plusieurs centres d’affaires proposent, en effet, ces mêmes services. Ainsi, pour commencer son activité, tout créateur peut recourir à ces prestataires, du moins le temps de trouver un local.

Trouvez votre espace de coworking ou votre bureau partagé

Des espaces de travail collaboratifs et de coworking qualitatifs adaptés aux besoins des Entrepreneurs.

PÉPINIÈRES ET INCUBATEUR

Il est important de rappeler qu’il existe différentes sortes de pépinières. Une pépinière généraliste est celle qui héberge les créateurs d’entreprise et les suit sur une période de 23 à 48 mois. Par contre, la pépinière de projets également appelée « incubateur » est celle qui accueille le futur dirigeant ainsi que son projet depuis le stade de l’idée jusqu’à la création de sa propre entreprise. Cette formule présente un avantage double. Les pépinières sont souvent dirigées par des experts de la création d’entreprise. Elles peuvent donc apporter conseils et soutien. Aussi, les charges de fonctionnement sont partagées entre les différents créateurs.

LE BAIL COMMERCIAL

Tout créateur d’entreprise est libre de faire appel à la location d’un local commercial. Ce choix se fait, dans la plupart des cas, en fonction de l’importance de l’activité ou du projet exercée par l’entreprise. La réalisation du contrat de bail commercial avec le bailleur permet au créateur d’entreprise de profiter du statut des baux commerciaux selon le Code de commerce. En fait, pour profiter de ce statut protecteur, le preneur est tenu de respecter certaines conditions comme l’immatriculation au Registre du commerce et de sociétés et l’exploitation d’une activité artisanale ou commerciale.

Les deux amis qui se saoulent à l’entrepreneuriat

Pierre Laurichesse et Clément Mathieu se sont lancés dans l’aventure entrepreneuriale en 2012. Ce n’est que deux ans plus tard qu’ils créent leur première entreprise spécialisée dans la production et la vente de liqueur à base de vodka. Portrait de deux jeunes passionnés.

Après un baccalauréat scientifique, Pierre Laurichesse et Clément Mathieu entrent en école d’ingénieur à l’ICAM, l’institut catholique des arts et métiers. Ils suivent une prépa intégrée pendant deux ans puis un cursus en apprentissage jusqu’à un niveau master. « C’est au cours de ce cursus scolaire que nous avons eu la volonté de devenir entrepreneurs »explique Pierre Laurichesse. A cette époque, les deux amis assistent à de nombreuses conférences sur le thème de l’entrepreneuriat et rencontrent des créateurs d’entreprise. Leurs parents sont eux-mêmes entrepreneurs. « Nous étions à la recherche d’une certaine indépendance » se souvient Pierre.

Parallèlement à leurs études, les deux compères suivent un parcours intitulé « Les entrepreneuriales », qui vise à leur apprendre à créer leur boîte tout en étant étudiant. Ils travaillent sur un projet autour des vins spiritueux, domaine qu’ils connaissent bien puisque leurs familles travaillent dans la production de Cognac. « Ce programme nous a permis d’obtenir une dynamique, de rencontrer des professionnels et de se faire accompagner sur des points que nous n’avions pas toujours étudié dans notre formation » détaille le jeune entrepreneur.

Ce programme prend fin en avril 2012 alors qu’ils sont encore étudiants. Mais ils n’abandonnent pas leur projet. « Lorsque nous avons été diplômés en septembre 2013, nous avons décidé de lancer notre entreprise en lien avec notre projet » explique Pierre. Les deux jeunes créateurs lancent leur premier produit intitulé Instable, une liqueur à base de vodka sous la forme de shooter.

Ils créent leur entreprise C&P Innovation en avril 2014. Ils gèrent toute la chaine de production, de l’élaboration jusqu’à la commercialisation du produit principalement à l’attention des bars et boites de nuit. « Ce qui nous a beaucoup aidé, c’est le fait de posséder une base de réseau dans ce domaine grâce à nos familles » analyse Pierre Laurichesse. Pour autant, cela n’a pas toujours été aussi simple. La commercialisation de leurs produits a mis plus de temps que prévu à décoller, notamment à cause des réglementations administratives très strictes sur l’alcool.

Aujourd’hui, leur réseau de distribution s’étend de Bordeaux jusqu’à Tours mais ils ne comptent pas s’arrêter là. « Nous sommes en train de négocier pour commercialiser le produit dans le sud de la France, dans les stations des Alpes et à Paris » précise Pierre. Les deux jeunes sont également tentés par l’aventure à l’international. Ils prévoient d’exporter leurs produits en Angleterre, en Espagne et en Allemagne dans un avenir proche.

2 QUESTIONS À … PIERRE LAURICHESSE

Pourquoi adressez-vous seulement le marché des professionnels ?

Nous nous sommes positionnés sur un produit très spécifique. Nous avons donc besoin de volume pour générer du chiffre d’affaires. Se lancer directement sur une boutique en propre en ne s’adressant qu’aux particuliers ne nous permettait pas de générer suffisamment de flux. C’est pourquoi nous nous sommes dirigés vers les bars et boites de nuit. Mais nous n’excluons pas un jour de commercialiser nos produits en B to C.

Quelles satisfactions avez-vous rencontrées lors de votre parcours entrepreneurial ?

Nous avons été agréablement surpris du retour des clients sur notre produit. Ils ont tout de suite accroché. Par ailleurs, le fait que tous nos fournisseurs acceptent notre jeunesse et notre vision de l’innovation produit dans les spiritueux est un point très positif. Nous avions peur qu’ils ne nous prennent pas au sérieux du fait de notre âge. Ce n’est pas le cas, et cela nous fait plaisir !

Créer son site web : comment choisir un CMS ?

Les logiciels de « Content Management System », abrégés aussi CMS, ont été créé pour lancer des sites Web simplement et rapidement. Ils apparaissent comme des outils, des clés dont vous devrez vous munir si vous souhaitez vous lancer dans la grande aventure des pages web et ouvrir votre site.

Ne demandant aucune connaissance particulière, le CMS est le partenaire privilégié des novices en matière de programmation web. Seule une bonne dose de discernement et de déduction vous sera nécessaire car il existe plus d’une centaine de logiciels de ce type. Alors, comment choisir son CMS pour créer son propre site ?

Les bons outils au bon endroit

La plupart des geeks et autres cadors en informatiques sourient à l’idée d’utiliser des CMS… Et pourtant, ces derniers ont facilité et facilitent encore la vie de nombreux utilisateurs du web. Le logiciel vous aide à créer votre page en gérant l’aspect technique, et vous n’avez plus qu’à vous concentrer sur le contenu : textes, photos, vidéos… Le tout via un serveur FTP le plus souvent.

Évidemment, tous les CMS ne se valent pas, le choix doit être fait en fonction des besoins de son utilisateur. Certains possèdent des caractéristiques plus techniques que d’autres. Il existe deux grands groupes de CMS : les Open Source qui sont gratuits et les commerciaux, disponibles en Cloud, qui constituent des services en ligne.

Les CMS Open source

Dans cette catégorie, les CMS les plus connus sont : WordPress.org, son grand rival Joomla et Dotclear, qui a fait une percée significative en France. Sur WordPress, la star des CMS et de loin le plus plébiscité, la plupart du travail d’installation doit être réalisé par l’utilisateur, tout comme l’achat du nom de domaine et l’hébergement. Si les atouts de WordPress sont indéniables, notamment en matière de flexibilité, le logiciel nécessite néanmoins des connaissances techniques importantes, dès lors que l’on se penche sur les multiples extensions et que l’on rentre dans le détail de ses caractéristiques.

Les CMS commerciaux disponibles en Cloud

Avec les CMS commerciaux disponibles en mode « Cloud », les fonctionnalités sont simples, sans mauvaise surprise et l’utilisateur peut bien souvent bénéficier d’un accompagnement intéressant dans la mise en œuvre. L’installation est gérée par le logiciel, ainsi que les mises à jour et les sauvegardes.

L’un des inconvénients des CMS commerciaux en ligne réside dans leurs coûts qui sont parfois très excessifs. Dans le détail, les plus connus sont l’Américain Weebly (qui possède une version française), Squarespace (disponible uniquement en anglais), e-monsite, un logiciel français qui commence à faire ses preuves depuis environ 2 ans et iPaoo, une petite start-up made in France qui possède d’innombrables fonctionnalités et une maintenance constante.

Il existe donc un nombre important de CMS sur le marché. Et pour s’y retrouver, il suffit de bien cibler ses besoins, les modalités d’utilisation, le temps passé à l’installation, à la maintenance… Cela dit, il reste judicieux d’acquérir quelques bases et connaissances en termes de programmation, ce qui vous permettra de passer à l’étape supérieure et pouvoir utiliser un CMS plus compétent, ou de profiter des extensions multiples offertes par les CMS traditionnels Open Source.

A lire Absolument

Créateurs, comment partir sur de bonnes bases ?

Descriptif de l’événement 

Le salon des entrepreneurs est l’événement n°1 des créateurs, start-ups et dirigeants d’entreprises

Si vous êtes tenté ou que vous venez de commencer l’aventure entrepreneuriale ne manquez la conférence « Créateurs, comment partir sur de bonnes bases ? » 

Découvrez toutes les étapes à franchir et les secrets des dirigeants à succès. De l’idée au développement de l’entreprise en passant par la création, découvrez les clés pour réussir dans cette conférence qui répondra à vos questions.

Intervenants

– Dominique MENTHA ancienne directrice de la section de recherche APCE

– Jérémie RENOUF Enseignant chercheur en entrepreneuriat ISC Paris

– Didier BARBET Fondateur Entrepreneur-engine

– Alexis KRYCEVE co-fondateur Altereco, Pur projet, Treez

– Pierre-Henry DEBALLON Fondateur Weezevent

Animé par

– Olivier Nishimata, rédacteur en chef chez Dynamique Entrepreneuriale 

Lieu de la conférence

Palais des Congrès de Paris – Porte Maillot Salle 253 – Niveau 2 

Dates et horaires de la conférence 

Jeudi 5 février de 16:30 à 18:00

http://www.salondesentrepreneurs.com/paris/conferences/3288/createurs-comment-partir-sur-de-bonnes-bases#ascenc

Comment devenir un auto-entrepreneur ?

L’auto-entrepreneuriat offre diverses possibilités pour les étudiants, les salariés, et les retraités. Vous voulez devenir auto-entrepreneur ? Voici les étapes à suivre et les formalités à connaître !

Il n’y pas de forme juridique spécifique pour l’auto-entrepreneur, c’est ce qui simplifie sa déclaration. La fiche à remplir est à retirer soit en ligne sur le portail des auto-entrepreneurs, soit auprès du CFE (Centre de Formalités des Entreprises). C’est sur le site Service public que vous allez pouvoir avoir accès au formulaire de déclaration et également au service de télé-déclaration.

Le statut à stipuler dans le formulaire sera le statut d’entreprise individuelle. Il est à noter que ce système s’applique aux personnes physiques voulant créer une entreprise individuelle toujours permis de changer de statut à tout moment.

L’activité d’auto-entrepreneur est soumise automatiquement au régime microsocial. Ce régime possède des modalités très simples concernant les cotisations et les contributions au niveau social. Vous pouvez payer mensuellement ou trimestriellement et le calcul des charges s’effectue en fonction des chiffres d’affaires de l’auto-entreprise. Ces sommes versés périodiquement remplacent les charges sociales exigées aux travailleurs indépendants. Si la personne concernée a opté pour le versement libératoire, l’impôt sur le revenu et les charges sociales ne seront prélevés qu’une seule fois.

LA FISCALITÉ

Il y a des seuils à ne pas dépasser concernant le montant du chiffre d’affaires dans le domaine de l’auto-entrepreneuriat. L’auto-entrepreneur est soumis au choix entre le régime de la micro-entreprise ou bien encore le régime libéral qui offre la possibilité d’effectuer toutes les cotisations et contributions fiscales à la fois.Le régime de la micro-entreprise s’applique uniquement aux entrepreneurs individuels soumis à l’impôt sur le revenu dans la classe micro-BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) dans la profession commerciale ou artisanale ou la micro-BNC (Bénéfices Non Commerciaux) dans la profession libérale.L’auto-entrepreneur bénéficie d’une exonération sur la TVA, en raison de la franchise en base de TVA. Pour les auto-entrepreneurs qui dégagent moins de 500 000 euros de chiffre d’affaires, ils sont exonérés de la CVAE (Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises). Durant sa première année, un auto-entrepreneur est également exonéré de la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Une fois l’année écoulée, l’auto-entrepreneur y est soumis.

DROITS SOCIAUX

La couverture sociale de l’auto-entrepreneur est la même que celle des autres professions indépendantes. L’auto-entrepreneur bénéficie d’un remboursement sur les frais médicaux et les droits de formation continue. Pour ce qui est des charges sociales et des impôts, il peut se faire trimestriellement.À la différence des autres statuts, le statut d’auto-entrepreneur est plus simple, autant pour les formalités que pour sa mise en place.