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Quels métiers vont disparaître avec les nouvelles technologies ?

Avec l’avènement des nouvelles technologies et du numérique, bon nombre de métiers sont vouées à disparaître. Marche inéluctable vers le progrès, quelles sont cependant ces professions qui n’ont pas su ou pu s’adapter aux changements dus au virage technologique ?

Du manuel à l’intellectuel : tous les secteurs sont touchés

Les secteurs les plus touchés sont indéniablement l’industrie, l’agriculture, les différentes administrations et les services aux entreprises. Les secteurs liés aux nouvelles technologies comme l’informatique, le numérique et la robotique ont transformé radicalement le monde du travail. Forcées d’évoluer ou de disparaître, de nombreuses professions sont ainsi en pleine mutation. Ce sont près de 3 millions d’emplois en France qui pourraient disparaître d’ici 2025. Ainsi, entre 1980 et 2012, le secteur industriel a observé une chute de 40 % du nombre d’employés avec une probabilité de voir 42 % des emplois français automatisables.

À l’instar de ce secteur et des manufacturiers, la robotique a permis une automatisation des tâches et une meilleure productivité. Les métiers ont été peu à peu remplacés par des robots.

99 % des téléconseillers sont amenés à disparaître, de même que les techniciens en informatique et les assureurs qui font partie des professions les plus menacées selon le magazine Challenges. 99 % des couseuses subissent aussi de plein fouet l’automatisation, tout comme les généalogistes. D’autres métiers comme les réparateurs de montres, les développeurs photos et les techniciens de saisie informatique font aussi partie de la liste. Sur 702 métiers étudiés par les chercheurs de l’Université d’Oxford, 47 % de ces métiers pourraient être supprimés rien qu’aux États-Unis entre 2020 et 2030.

De même, les professions intellectuelles supérieures ne sont pas épargnées, et les agents de bourse et traders souffrent du développement exponentiel de logiciels gérant des algorithmes complexes. Il n’est pas inenvisageable que voir disparaître 3 millions d’emplois, d’ici 2022 selon les chercheurs d’Oxford et d’Harvard.

Le secteur du numérique et de la robotique

La robotique industrielle pourrait atteindre un niveau record à l’horizon 2020. Ainsi, des robots magasiniers vont peu à peu remplacer les manutentionnaires, les postiers sont également voués à disparaître à l’avenir. Il devrait y avoir près de 1 659 500 unités dans la robotique industrielle en 2016 selon l’International Federation of Robot, ce qui générerait un chiffre d’affaires de près de 22,7 milliards d’euros.

La disparition à terme des informaticiens est aussi envisageable et selon l’économiste Tyler Owen : seuls 15 % de ceux-ci seraient épargnés par la destruction de l’emploi.

L’impression 3D, l’avènement du cloud et des services connectés, sonnent le glas des agents de production, des commerces de proximité et de nombreux services à la personne. Le télétravail, la vidéo-conférence, le cloud et le big data, représentent alors une opportunité non-négligeable et les entreprises qui ne s’adaptent pas à la dématérialisation sont en voie de disparition.

Le secteur du e-commerce impacte directement les commerces et boutiques traditionnelles, aux coûts plus élevés. Paiement en ligne, prix de plus en plus bas et concurrence féroce sur Internet, jouent en faveur du consommateur. Celui-ci n’a alors plus à se déplacer grâce aux smartphones et tablettes numériques qui permettent d’acheter à moindres coûts une grande majorité de produits et services.

Les domaines technologies de l’information et de la communication

Le secteur du recrutement souffre aussi de la concurrence des réseaux sociaux spécialisés. Facebook, Twitter, Instagram et surtout Viadeo et LinkedIn, représentent des relais idéals. Nul besoin de faire appel à une société, quand, d’un clic,  des milliers d’offres permettent d’être en relation avec les professionnels.

Les technologies numériques et de l’information possèdent cet avantage de simplifier les contacts et la mise en relation, tout en épargnant des coûts aux entreprises. Ainsi caissiers, machinistes, conducteurs d’engins compteront de moins en moins de recrutements. Les outils multimédias permettent de facilement remplacer les documentalistes et archivistes, grâce à des programmes de classement et d’archivage de plus en plus perfectionnés. Avocats et juristes pourraient également subir de plein fouet la concurrence des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Les robots vont-ils remplacer les salariés ?

Le stock mondial de robots ne cesse de se multiplier. Des machines ultra-performantes/sophistiquées, capables d’une certaine diversité de fonctions pourraient venir menacer le poste de certains salariés. Certaines d’entre elles ont déjà été programmées pour disposer d’une totale autonomie de décision.

L’essor de la robotique : pour le meilleur ou pour le pire ?

Les entreprises du secteur robotique créent des emplois, c’est indéniable. Elles en auraient créé une dizaine de millions en 2013 et le chiffre devrait d’ailleurs continuer de croître. Mais la robotique en détruira également. Les géants du marché robotique affirment pour la plupart aujourd’hui qu’un robot est moins cher et plus productif qu’un employé. Un argument qui touche de plus en plus d’entreprises, tous secteurs confondus. Les chiffres évoquent plusieurs millions d’emplois menacés. Une étude prospective réalisée par des chercheurs de l’Université d’Oxford démontre que d’ici 2020, plus de 45% des employés aux États-Unis seront ainsi remplacés par des machines.

Quels métiers en péril ?

Aujourd’hui, l’utilisation des robots augmente de 5% chaque année pour atteindre un inventaire mondial de plus d’un million de robots en 2016. Face à cet essor du marché robotique, quels sont les métiers qui sont amenés à disparaître ?

– Magasinier
Amazon utilise aujourd’hui des centaines de robots magasiniers. Ces machines s’occupent de la préparation des commandes. Ils se déplacent pour aller trier les produits pour ensuite les apporter d’un point A (zone de stockage) à un point B (zone d’expédition). De nombreuses autres entreprises envient cette technologie et ne devraient pas tarder à l’adopter.

– Chauffeur de taxi/autobus
Tout roule pour les voitures dites « autonomes », c’est-à-dire celles capables de circuler sans chauffeur. Les hommes font de plus en plus confiance à la robotisation et certaines sources concordantes évoquent le fait qu’il existe aujourd’hui 89% de probabilités que les chauffeurs de taxi ou autobus soient amenés à disparaître. Pour l’instant, Google est l’une des rares entreprises à utiliser les voitures autonomes (avec la Google Car, ndlr), mais cette tendance devrait s’accélérer dans les années à venir.

– Astronaute
Et si l’exploration spatiale pouvait se faire sans astronaute à bord ? C’est d’ailleurs déjà le cas, car la NASA affirme avoir développé des robots astronautes qui n’attendent qu’à être envoyés dans l’espace. Dans les prochaines années, on pourrait compter trois robots pour un astronaute.

– Agent de sécurité
Les caméras ont depuis longtemps remplacé les yeux des hommes. Bientôt, leur présence pourrait être complètement remplacée par celle d’un robot. Les constructeurs conçoivent des agents de sécurité robotisés de plus en plus performants, à l’image du K5 de Knightscope.

Les entreprises impactées par le nouvel algorithme Google

Le célèbre moteur de recherche Google a lancé le 21 avril son nouvel algorithme « mobile-friendly » donnant la priorité aux sites adaptés aux Smartphones. Deux mois après, quels sont les sites perdants du « mobilegeddon »», comme l’a surnommé le journal The Guardian ?

91,5 % des clics s’effectuent sur la première page Google, ce manque de visibilité sur celle-ci peut avoir de lourdes conséquences et provoquer une baisse considérable du trafic : les chiffres peuvent se compter en plusieurs millions de dollars pour certains contributeurs. En revanche, un site « mobile-friendly » apparaîtra devant ses concurrents, avec un meilleur référencement, davantage de visibilité, de flux et bien sûr de recettes (publicitaires notamment) ou de ventes. Or selon l’analyse du spécialiste du référencement Yooda, 64 % des sites en français ne sont pas au point sur l’affichage mobile et qui ne correspondent pas aux règles du nouvel algorithme. Voici 5 sociétés qui en ont fait les frais.

1. www.premiere.fr. 

Le spécialiste du cinéma est en tête des pertes de visibilité avec – 25.7 % au lendemain de la mise à jour puis 22 % une semaine plus tard. Le site n’est clairement pas «mobile-friendly » avec ses liens rapprochés et son contenu flash. De son côté, la société ne semble pas réagir et continue ses avancées dans le monde des Smartphones via son application.

2. Le site Canalplus.fr 

Canalplus.fr perd plus de 19 % de visibilité ce qui est particulièrement marquant lorsque l’on connaît l’implication du groupe Canal dans les médias. Leur site n’est pas du tout optimisé pour les portables et dans l’immédiat, ils semblent vouloir se focaliser sur leur application tout comme Premiere.fr

3. BNP-Paribas

Ici, le problème ne vient pas du site, mais de l’algorithme lui-même. Lorsque vous sollicitez bnpparibas.net via un Smartphone, vous arrivez sur une page d’accueil demandant si vous désirez continuer vers l’application ou si vous préférez la version mobile optimisée de leur site. Google ne prenant pas en considération cette page choix, son algorithme estime qu’il n’est pas « mobile-friendly ». Avec ce problème de page qui n’est pas prise en compte, le site bancaire perd 14.4 % de visibilité. Ils attendent une mise à jour de Google.

4. Le Bon Coin 

Le site Le Bon coin cède 14 % de visibilité. Il a pourtant un espace mobile optimisé, mais qui n’invite pas l’internaute (qui navigue sur leur site via un mobile) à aller vers l’application ou le site optimisé. Une erreur qui devrait être réparée rapidement.

5. Le Crédit Mutuel

Le site du Crédit Mutuel a perdu 10 % de visibilité en raison des différents facteurs qui ne le rendent pas pratique aux yeux du consommateur : contenu flash, liens peu visibles obligeant l’utilisateur à zoomer pour comprendre les titres… La société ne compte pas modifier son site internet et se repose davantage sur son application.

Ces sociétés qui utilisent des robots

De nombreuses sociétés utilisent des robots, principalement dans l’industrie, et pour des usages très variés. Apparus progressivement depuis le début des années soixante, les robots se sont rendus incontournables, mais quelle place occupent-ils réellement dans le paysage industriel ?

Dans l’automobile, des bras par milliers

En France, le principal utilisateur de robots industriels reste le secteur automobile. Des cohortes de bras articulés et re-programmables, quasiment à l’infini, assemblent chaque jour des dizaines de milliers de véhicules. L’ancienne régie nationale des usines Renault fut d’ailleurs parmi les pionnières en créant une division robotique en son sein (ACMA, aujourd’hui absorbée par un des leaders mondiaux : ABB).

Paradoxalement, ces robots, capables de manipuler des charges dépassant la tonne, d’enchaîner les points de soudure sans relâche, de peindre et d’être insensibles à la répétitivité des tâches qu’on leur assigne, ont contribué à préserver l’emploi dans le secteur automobile en augmentant la productivité globale des usines (et donc leur rentabilité). Sans robot, on peut supposer qu’on ne fabriquerait plus de voiture en France en raison du faible coût de la main d’œuvre en Corée par exemple.

Des technologies high tech pour préserver les traditions

D’autres secteurs bénéficient eux aussi d’un apport important de la robotique : l’industrie horlogère en Suisse, pays réputé pour la cherté de sa main d’œuvre. Patrick Fleury, PDG de la société CLA à Delémont (spécialisée dans l’automatisation pour l’horlogerie et dans la micro-technique) l’affirme : il n’aurait pas été possible à l’industrie horlogère helvète de prospérer et de développer l’emploi local sans l’apport des solutions robotiques.

Une autre entreprise suisse, Crevoisier Sa aux Genevez, a même développé un robot polisseur programmé par vidéo : un opérateur humain exécute le polissage parfait d’une pièce sous les caméras, puis le robot est capable de reproduire le geste à l’infini. Face à la pénibilité du métier de polisseur et à la difficulté de trouver du personnel pour ces tâches, le robot apporte une solution idéale. Ainsi, l’horlogerie, activité de tradition en Suisse romande, perdure et prospère dans un contexte mondial pourtant difficile.

Les robots : de précieux auxiliaires

Dans la logistique, les activités de conditionnement pénibles et fastidieuses conduisent à de nombreux troubles musculo-squelettiques (première cause d’arrêt de travail). La robotisation de ces activités permet de résoudre ce problème tout en permettant d’augmenter les cadences de travail.

Les robots humanoïdes dans notre quotidien

La société française Aldebaran, passée sous contrôle japonais, a conçu Nao : un petit humanoïde de moins de soixante centimètres de haut et capable d’interagir verbalement avec les humains. Nao n’est pas le seul robot humanoïde, puisqu’en 2009, est créé son grand frère Roméo nettement plus grand, capable de venir en aide aux personnes âgées et en 2014 c’est le robot Pepper, capable de reconnaître les émotions.

Ces machines donnent naissance à une nouvelle ère en quittant le monde de l’industrie et de la logistique pour entrer dans celui des services. Dans nos pays occidentaux vieillissants, les robots seront amenés à prendre en charge toujours plus de choses. Dès cet été, l’hôtel Henn-na au Japon, accueillera ses clients avec des humanoïdes !

Doit-on percevoir ces humanoïdes comme une menace pour les humains ? Peuvent-ils les remplacer ? Si on considère les aspirations toujours plus grandes à une société du bien-être et des loisirs, la réponse est non. Laisser les machines travailler aux taches peu gratifiantes, n’est-ce pas l’idéal ?

La protection de la marque sur Internet

Le « squat » des noms de domaines reste une pratique courante sur le web. Il est donc essentiel de préserver votre marque des « cyber-squatteurs » qui risquent de nuire au succès de votre société. Pourquoi et comment protéger votre marque sur Internet ?

Pourquoi faut-il protéger sa marque sur internet ?

Les « cyber-squatteurs » peuvent aisément choisir un nom de domaine qui se rapproche du vôtre. Ils s’imposent alors en tant que concurrents directs en optant pour une nouvelle extension. Par exemple, si vous avez en votre possession « Transportmaritime.fr », ils peuvent choisir « Tranportmaritime.com ou .org » en toute impunité.

Ainsi, vous devez prendre au sérieux la protection de votre marque pour éviter :

  • que vos concurrents se positionnent mieux que vous sur les moteurs de recherche en utilisant votre marque.
  • que vos clients se dirigent sur le site de vos concurrents par erreur en pensant qu’il s’agit de votre société.
  • que vos clients soient victimes de « pishing » en tombant sur un « site-piège » identique au vôtre, mais conçu pour voler leurs informations personnelles.

Si les « cyber-squatteurs » s’approprient votre marque, ils peuvent vous la revendre à des prix très élevés, alors qu’elle vous revient en premier lieu. Insensé et déloyal ! Mais sachez que cela peut arriver.

Comment protéger sa marque sur internet ?

Pour protéger votre marque sur internet, il faut, dans un premier temps, l’enregistrer à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI).
Cependant, le véritable travail de protection concerne précisément le nom de domaine.

  • Conseil n°1 : achetez le plus grand nombre d’extensions

Pour contrer le travail des « cyber-squatteurs », il est essentiel de réserver un maximum d’extensions pour votre marque (.com, .fr, .eu, .biz, .info, .org, etc.). Sachant que le prix moyen d’un nom de domaine ne peut pas dépasser les 20 euros par an, n’hésitez pas à réserver tous ceux qui se rapportent à votre marque. Cet investissement peut ainsi vous éviter d’avoir à perdre du temps pour trouver les solutions à ces problèmes. Combien et quelles extensions faut-il choisir ? Vous pouvez opter pour un service d’experts. Par exemple, l’hébergeur Amen vous accompagne sur la protection de la marque et la gestion personnalisé d’un portefeuille de nom de domaine.

  • Conseil n°2 : examinez régulièrement les noms de domaines libres

Sachez que les noms de domaine peuvent être réservés un jour et se retrouver libres le lendemain. Il est important de bien les surveiller afin d’acheter celui qui correspond à votre marque dès qu’il est de nouveau disponible. Plusieurs services de surveillance de noms de domaines comme cscglobal ou Namebay sont disponibles pour vous aider à vous tenir au courant des nouveaux enregistrements.

Quelles sont les démarches pour protéger
sa marque sur internet ?

Si surveiller les noms de domaines reste essentiel pour la protection de votre marque, vous devez également connaître des démarches juridiques qui préservent vos droits.

Pour mieux protéger les cyber-entreprises, un organisme a été mis en place. Il s’agit de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), qui vous permet de signaler l’appropriation illégale de votre marque par quelqu’un d’autre. Cette procédure extrajudiciaire vous garantit les droits de propriété de ce qui vous revient, même si la procédure peut coûter assez cher : entre 1000 et 5000 dollars.

Attention : la France ne réserve aucune sanction pénale pour ce type de « squattage ». Néanmoins, en cas de conflits entre commerçants, un affrontement devant le tribunal de commerce ou le tribunal de grande instance peut être envisagé.

Par ailleurs, notez qu’il existe deux services fondamentaux en matière de protection de marque sur internet : le TMCH (Trademark Clearinghouse) et le DPML (Domains Protected Marks List). Il s’agit de deux dispositifs distincts qui permettent de protéger sa marque sur internet. Le premier, le TMCH, est une base de données géante qui va centraliser, authentifier, stocker et diffuser les informations relatives aux droits de marques. Quant au dispositif DPML, il s’agit d’un service payant qui permet aux marques déjà enregistrées par la TMCH de bloquer l’ensemble des labels identiques à la marque avec toutes les nouvelles extensions.

Top 5 des entreprises basées sur la sécurité

En pleine expansion, le secteur de la sécurité entraîne dans son sillage bon nombre de créations d’entreprise et d’emplois. Il s’agit d’un domaine désormais bien implanté en France, qui profite à quelques grands groupes qui ont su tirer leur épingle du jeu. Quelles sont ces entreprises qui dominent le marché de la sécurité ?

Securitas AB

Firme suédoise fondée en 1934, Securitas AB est aujourd’hui le numéro 1 du secteur de la sécurité privée au niveau mondial. Le groupe occupe une position dominante avec une implantation dans plus de cinquante pays et près de trois cent mille collaborateurs dans le monde. En France, 130 agences de proximité ont été ouvertes pour mener des actions dans le domaine de la surveillance humaine et de la télésurveillance, de la sûreté aéroportuaire et en entreprise. Elle assure la sécurité des biens et des personnes avec une expertise reconnue, qui lui a permis de devenir le numéro un du marché de la sécurité privée.

Samsic Sécurité

Samsic Sécurité est une enseigne de sécurité privée qui emploie 3 400 salariés en France, pour un chiffre d’affaires de deux cent cinquante millions d’euros. La société s’est spécialisée dans la prévention des risques à destination du monde de l’entreprise. Elle assure des missions de surveillance, installe de l’équipement de télésurveillance, intervient pour des évènements et réalise également de la sécurité aéroportuaire. Il s’agit d’une des enseignes leaders de sécurité privée dans son domaine, susceptible d’intervenir dans n’importe quelle entreprise.

Safran SA

Le groupe industriel Safran, au chiffre d’affaires de quinze milliards d’euros en 2014, a développé ses activités dans le cadre des métiers de la sécurité. En se positionnant très tôt sur le marché du high tech, l’entreprise a pu devenir le leader mondial dans le secteur des technologies biométriques. La firme œuvre dans le domaine de la sûreté intérieure, en assurant la sécurité d’un grand nombre d’institutions, de frontières et d’aéroports. L’entreprise répond à la fois au besoin de sécurité des entreprises et des états, en commercialisant des systèmes d’identification et de détection des substances toxiques.

Axis Communication

Bien que le marché mondial de la vidéosurveillance soit dominé par les firmes chinoises, le groupe Axis Communication se place au deuxième rang des entreprises spécialisées dans ce secteur, en détenant près de 5 % du marché mondial à lui seul. L’enseigne a fait de la sécurité sa priorité industrielle en développant des produits de vidéosurveillance à destination des groupes privés et des collectivités. Avec ses caméras performantes adaptées au bâti urbain, Axis Communication assure la vidéo-protection des villes, des lieux publics et des immeubles d’affaires, en permettant l’identification des personnes et des véhicules même avec une très faible luminosité.

123 Alarme

Créée en 2005, la société française 123 Alarme occupe un rôle important dans le domaine de la sécurité sur le territoire national : elle est le leader du marché de la vente d’alarmes sur internet. Elle commercialise en ligne les systèmes de sécurité de toutes les grandes marques dont des caméras et des coffres destinés tant aux particuliers qu’aux professionnels. Ses produits assurent la sûreté aussi bien des domiciles que des entreprises grâce à des équipements de vidéosurveillance et des caméras de dernière génération.

Top 5 des entreprises qui facilitent le quotidien

Améliorer le quotidien des utilisateurs est l’objectif de nombreuses entreprises. Qu’elles proposent des produits innovants ou des services, certaines d’entre elles ont su se démarquer efficacement de la concurrence. Quelles sont ces sociétés qui ont trouvé le succès tout en facilitant le quotidien ?

Epson

Le groupe Epson, géant japonais de l’électronique au soixante-quinze mille employés à travers le monde, et dont le chiffre d’affaires dépasse le milliard et demi d’euros, s’est lancé depuis 2014 sur le marché des objets connectés. Le principe est simple : mettre à la portée de tous des objets intelligents, véritables trésors de technologie permettant de faciliter le quotidien. La marque se concentre sur deux produits majeurs : des lunettes connectées permettant de visualiser à tout moment du contenu HD et en 3D, et des montres connectées intégrant un capteur de foulée et un moniteur GPS pour modifier totalement son expérience du footing.

Samsung

Samsung, le conglomérat coréen spécialisé dans le domaine de l’électronique, a décidé de développer ses efforts dans le secteur de l’électroménager high tech. L’entreprise au chiffre d’affaires de trois cents milliards de dollars propose à présent une solution innovante avec le principe de la maison intelligente, permettant à chacun d’optimiser son mode de vie. Depuis n’importe quel smartphone de la marque, il devient possible de gérer l’ensemble des appareils domestiques Samsung : un service novateur, appelé à révolutionner le quotidien.

Loxone Electronics

Créée en Autriche en 2008, la marque Loxone Electronics développe des solutions pour mettre à la portée de tous, la domotique et le concept de smart home. Son objectif est de développer une stratégie globale pour faire de la maison connectée une réalité. L’idée est de faciliter la vie des personnes au quotidien, en leur donnant la possibilité d’ouvrir des volets roulants, d’activer une alarme ou d’allumer n’importe quelle lumière de la maison en toute simplicité depuis un smartphone. Ce marché semble porter ses fruits puisque la société a réalisé un chiffre d’affaires de vingt millions d’euros en 2014.

Conciergerie privée

Conciergerie privée est un réseau de conciergeries basé sue l’ensemble du territoire, qui propose de nombreux services pour accompagner au quotidien les particuliers, les entreprises et les vacanciers. La marque se classe au premier rang en France dans ce secteur d’activités. Elle cherche à faciliter au maximum la vie de ses clients, en prenant en charge tout ce qu’ils ne souhaitent pas accomplir eux-mêmes : transports, réservations, achats ou encore livraisons, L’enseigne offre également des services à la carte et une gamme exclusive de prestations de conciergerie de luxe.

Axeo

La société Axeo, forte de ses cent cinquante agences sur l’ensemble du territoire, se positionne comme le leader du marché français du service à la personne. Elle rencontre un succès croissant, avec un chiffre d’affaires de quarante millions d’euros en forte augmentation (20 % sur un an). L’entreprise propose une vaste offre de services pour venir en aide aux particuliers comme aux professionnels, au quotidien. Les services de proximité comprennent l’entretien de la maison, la garde d’enfants et l’accompagnement de personnes âgées. Pour les entreprises, il s’agira entre autres du nettoyage de locaux ou de l’entretien d’espaces verts.

Top 4 des entreprises qui pourraient guérir ou accompagner certaines maladies

Ces dix dernières années, la mondialisation a permis un progrès spectaculaire des technologies qui ont un impact non seulement sur les communications ou la vie quotidienne, mais aussi sur la santé et le traitement de maladies qui, avec le vieillissement et l’accroissement de la population mondiale, devient la priorité de chacun. Des entreprises travaillent au quotidien pour améliorer notre santé et celle des générations futures.

Perfint Healthcare

Cette entreprise basée en Inde a pour but d’aider les médecins pendant les opérations de chirurgie en leur apportant une aide robotisée. Le dernier-né, appelé Maxio, est capable d’aider les médecins notamment pour le traitement des tumeurs en indiquant aux médecins comment insérer l’aiguille dans la tumeur, en la guidant dans le corps du patient … Il s’agit d’une aide médicale qui permet de soulager le travail des chirurgiens, mais aussi d’éviter des complications au cours de l’opération et de traiter plus efficacement et plus rapidement la tumeur. Ce robot a déjà été testé aux Etats-Unis, en Inde, en Allemagne et en Russie et s’apprête à être commercialisé au Japon, en Corée et en Chine.

Elminda

Notre cerveau est un peu comme un réseau autoroutier. Les connexions entre les neurones sont des routes et les neurones des points de passage à partir desquels l’information se transmet. La société Elminda a mis au point le scanner BNA et grâce à 256 électrodes placées sur la tête d’un patient, on peut visualiser la carte de notre cerveau et déterminer à quels endroits les informations sont les mieux transmises ou au contraire là où les neurones n’accomplissent pas leur travail. Il s’agit là d’une véritable révolution pour les maladies dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson, car on sera susceptible d’identifier les zones à traiter et on pourra déterminer l’effet de différents médicaments sur ces zones grâce à la carte du cerveau fournie par le scanner.

Organovo

Les médicaments passent par plusieurs tests cliniques : il y a d’abord les tests dans une boîte de Pétri, pour observer leurs effets, puis chez les souris et enfin chez l’Homme. De nombreux médicaments passent avec succès les deux premières phases, mais échouent au test clinique sur les humains. Cela ralentit énormément la recherche et empêche des médicaments très efficaces d’être mis sur le marché avant au minimum 10 ans. Organovo s’est spécialisé dans la recherche biologique alliée aux dernières prouesses technologiques comme l’imprimante 3D pour concevoir un corps qui reproduirait à l’identique le fonctionnement d’un vrai être humain sur le plan physiologique. Elle a réussi à répliquer des cellules et à les organiser comme dans un corps pour observer les effets de médicaments sur l’organisme. Cette invention pourrait révolutionner la recherche pharmaceutique en accélérant le processus d’essai clinique et en permettant à des médicaments d’être mis très rapidement sur le marché dans le cas d’une épidémie par exemple. La prochaine étape d’Organovo est de créer des organes à partir de l’imprimante 3D afin de combler la pénurie d’organes disponibles et ainsi sauver de nombreuses vies.

Hemarina

Le manque de sang est un frein à l’accès aux soins médicaux dans les pays pauvres, mais aussi dans les pays riches puisque 100 millions de litres de sang manquent dans le monde chaque année. La start-up Hemarina promet donc une véritable révolution dans le monde médical avec la découverte d’un liquide sécrété par un petit ver marin contenant des molécules pouvant transporter l’oxygène à la manière des globules rouges. Tous les avantages sans les inconvénients : n’étant entouré d’aucune cellule, cette molécule ne possède pas de groupe sanguin ou de rhésus et est donc universelle. De plus, elle est plus petite qu’un globule rouge classique et peut donc apporter de l’oxygène là où l’accès est difficile (traumatisme crânien, hémorragies…). Il s’agit donc d’une découverte qui pourrait considérablement bouleverser le monde de la médecine.

Quels sont les outils à utiliser pour le travail collaboratif ?

Le travail collaboratif ne se décrète pas, il se prépare. Au-delà des formations à mettre en place pour le personnel, l’adoption d’outils performants s’avère être la clé de cette organisation des tâches.

Qu’est-ce que le travail collaboratif en entreprise ?

Au sein d’une entreprise, un groupe de personne participe à l’élaboration et la réalisation de chaque étape d’un projet en vue de sa réalisation. Son organisation repose sur trois grands axes :

  • tous les collaborateurs doivent garder à l’esprit que chaque tâche fait l’objet d’une amélioration continue ;
  • le travail peut être divisé en séquences auxquelles chacun apporte sa compétence ;
  • les informations doivent circuler rapidement et être modifiables par tous.

L’intérêt du travail collaboratif consiste à associer les capacités de création de tous pour obtenir de meilleurs résultats. La motivation des différents acteurs joue un rôle essentiel. Il faut donc des outils à la mesure de l’ambition affichée.

Quels sont les outils les plus appropriés au travail collaboratif ?

L’organisation et le suivi d’un planning, d’un budget, d’enquêtes ou d’études de marché font parties des tâches que vos collaborateurs auront à gérer. Chaque mission est particulière et ne peut se faire sans outil adéquat. Les fichiers en ligne (agenda, documents word, excel) ont l’avantage d’être consultables et modifiables à distance. Ils peuvent être lus par tous types d’appareils et mis à jour simultanément.

Parmi les agendas gratuits sur internet, on trouve Google Agenda, l’application calendrier sur Outlook.com ou encore l’agenda de Yahoo Mail. Certains comme celui de Google permettent de disposer d’un code couleur, ce qui simplifie l’organisation globale. L’application d’Outlook permet quant à elle de s’abonner aux plannings d’autres utilisateurs ou encore de donner une priorité à telle ou telle tâche.

En matière d’outils collaboratifs en ligne, les plateformes qui permettent le partage, le stockage et l’actualisation en temps réel de documents font partie des plus usités chez les professionnels. On répertorie entre autres Google Drive, Dropbox et Onedrive. Les outils bureautiques traditionnels comme Microsoft Office 365 développent eux aussi progressivement des versions cloud et des applications pour partager et modifier tous types de documents, par tous les collaborateurs, à partir de tous les postes.

Les points importants à respecter

Un outil efficace devra tenir compte des phases de travail synchrones (vidéoconférence, audioconférence, chat, web conférences…) et asynchrones (partage ou rédaction de documents) propres à l’entreprise dans laquelle le travail collaboratif est mis en œuvre.

La maîtrise des technologies de l’information et de la communication (TIC) est au cœur de la mise en place d’une stratégie de travail collaboratif. Quel que soit votre choix, il faut donc garder à l’esprit que votre outil de travail doit à la fois rester facile d’utilisation et le plus complet possible afin d’éviter une multiplication des logiciels et des technologies utilisés.

Enfin, la motivation et l’implication de tous les collaborateurs demeurent des points déterminants dans le but de réussir la mise en place d’une stratégie de travail collaboratif. Pour que l’équipe donne le meilleur d’elle-même, il convient de lui faciliter la tâche par l’adoption d’un logiciel performant, simple d’utilisation, lisible sur différents appareils, modifiable par tous et sécurisé, dans le but de conserver précieusement les informations confidentielles de l’entreprise.

Top des entreprises qui fonctionnent à l’énergie solaire et qui cartonnent

Plus pérenne que le pétrole et le gaz, moins polluante que le charbon et moins dangereuse que le nucléaire, l’énergie solaire est sans conteste la ressource énergétique de demain. Certaines entreprises l’ont bien compris, et ont décidé d’utiliser l’énergie photovoltaïque au sein de leurs structures. Quelles sont ces entreprises qui ont fait le pari audacieux de l’énergie solaire ?

Google

Le géant américain a décidé de franchir le pas dès 2006, en se lançant dans une installation de panneaux solaires à l’ampleur inédite. La firme californienne a fait poser sur le site de Mountain View, où se trouve son siège social, un parc privé comptant près de dix mille panneaux high tech équipés de cellules photovoltaïques. Cet ensemble d’équipements démesuré permet de produire une quantité d’énergie considérable, estimée à 1,6 mégawatt, qui dépasse largement les besoins de Google sur le site. La branche Google Energy a été créée par la suite pour revendre la surproduction d’électricité solaire à l’État de Californie. Par son geste, Google a voulu témoigner de son intérêt profond pour les énergies renouvelables, tout démontrant une nouvelle fois son souci d’innovation.

Steria

On ne saurait trouver un exemple aussi frappant en France, mais il faut néanmoins souligner la démarche de la firme Steria, cinquième entreprise des services du numérique sur le marché français. Elle a fait construire à Meudon son nouveau siège social, des locaux de dernière génération entièrement dédiés aux énergies propres, fournis en électricité d’origine exclusivement solaire. Ce premier immeuble à énergie positive de France, élaboré par la société Bouygues, fonctionne à l’aide de dizaines de panneaux photovoltaïques. Ceux-ci sont disposés selon plusieurs angles différents sur les toits du bâtiment, au-dessus des parkings et sur les façades sud et ouest de la construction. L’énergie produite, bien trop importante pour n’alimenter que le bâtiment de la firme, est ensuite revendue au réseau EDF.

Casino

De manière moins spectaculaire mais tout aussi concrète, le groupe de grande distribution Casino s’est lui aussi engagé sur la voie de l’énergie solaire via une stratégie globale innovante. L’entreprise développe, depuis 2007, l’ambition de devenir l’un des principaux groupes industriels français à utiliser de manière massive l’énergie solaire. La filiale Green Yellow a été créée et a permis de développer une nouvelle stratégie basée sur les énergies renouvelables. L’enseigne Casino a concentré ses dernières implantations commerciales dans des zones de fort ensoleillement, tout en investissant de manière importante dans la filière photovoltaïque pour équiper ses supermarchés. On peut citer notamment l’exemple du centre commercial de Pessac, à proximité de Bordeaux, qui est entièrement alimenté par l’énergie que fournissent ses treize mille panneaux solaires.

Michelin

Il est bon d’évoquer enfin les ambitions similaires du groupe Michelin, qui cherche lui aussi à se positionner dans ce secteur en plein essor. L’enseigne a frappé un grand coup en 2011, en alimentant son site industriel du Puy-en-Velay, en Haute-Loire, par une gigantesque installation solaire. Ce véritable toit photovoltaïque, rassemble près de dix-sept mille panneaux solaires sur une superficie de trois hectares et demeure à ce jour l’un des équipements les plus vastes à l’échelle européenne dans ce secteur.