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La monnaie virtuelle consomme-t-elle la réalité ? Eric Larchevêque

A l’ère du numérique, on entend de plus en plus parler du Bitcoin. Cette monnaie virtuelle est mise à l’honneur par Eric Larchevêque, dirigeant de La Maison du Bitcoin. Retour sur la conception et le développement d’un projet qui s’appuie sur un moyen de paiement virtuel, mais n’en reste pas moins bien réel. Le Bitcoin remplacera-t-il la monnaie actuelle ?

Le Bitcoin : la mise en place d’un projet qui semble payer

Le site internet de La Maison du Bitcoin explique son concept : « C’est un espace physique situé au cœur de Paris, dédié au Bitcoin et à son protocole, dont le but est de favoriser l’émergence et le développement de projets ambitieux dans le domaine. Située au 5 rue du Caire à Paris, La maison du Bitcoin est un espace de 220m2 dédié au Bitcoin créé par et pour les entrepreneurs passionnés des crypto-monnaies. » Cet espace pas comme les autres a fait parler les économistes et les politiques en troublant l’ordre établi. Depuis plusieurs mois, cette monnaie virtuelle fait son chemin grâce à l’entrepreneur Eric Larchevêque, homme d’affaires multi-casquettes riche de son expérience de joueur de poker, notamment en ligne, et ainsi, déjà en relation avec l’argent virtuel. Après avoir travaillé dans l’immobilier en Europe de l’Est, il se lance en créant un comparateur de prix pour ensuite se focaliser sur sa nouvelle passion : la crypto-monnaie. Il alimente un blog de manière régulière dans lequel il développe de nombreuses thématiques autour de ses sujets phares, ses projets, ou encore sa passion pour le poker dont la stratégie l’aide dans le développement de ce qu’il entreprend.

Une offre adaptée spécifiquement à 3 types de profils

Les plus sceptiques se posent encore la question de savoir pourquoi ouvrir une maison de Bitcoin à Paris. Pour Eric, il faut penser en terme « d’écosystème ». Il explique que cette monnaie concerne 3 types de profils : 

  • Les entrepreneurs et les porteurs / développeurs de projets qui peuvent avoir accès à un espace de coworking ainsi qu’à différentes ressources techniques, juridiques et financières.
  • Les pouvoirs publics et les entreprises, pour qui il est possible d’avoir recours à des formations afin de présenter le Bitcoin de manière simple et claire. Eric Larchevêque précise qu’ils sont intervenus dans des conférences à l’Elysée, car il faudrait percevoir la monnaie virtuelle comme un renouveau impossible à manquer, un peu à l’image d’Internet au début des années 90.
  • Le grand public est également un élément essentiel de la vie future du Bitcoin étant donné qu’il est le consommateur de demain, choisissant la manière de payer. La Maison du Bitcoin accueille les personnes au comptoir de change afin d’échanger leur monnaie réelle en monnaie virtuelle, et donc les faire participer à cet écosystème, apprendre à s’en servir et à l’optimiser.

La perspective d’une vision long terme

Fondamentalement, quel est l’intérêt de se lancer dans le Bitcoin ? Pour l’instant, il est difficile de l’entrevoir. Il faut pourtant visualiser les répercutions sur un plus long terme. La Maison du Bitcoin permet de fixer dans un monde matériel un élément virtuel. « Le Bitcoin n’est ni bon ni mauvais, c’est juste un outil », c’est avec cette phrase qu’Eric Larchevêque exprime le mieux ses intentions. Et l’entrepreneur ne changera sûrement pas de projet avant que celui-ci soit parfaitement abouti : « Aujourd’hui, Bitcoin est très difficile d’accès, mais cela peut devenir mainstream si l’on crée des services qui permettent de simplifier cette technologie plutôt rude. Ce n’est pas une technologie élitiste. L’objectif du Bitcoin, c’est de redonner le pouvoir à tout le monde sur la monnaie. »

Comment créer une ONG ?

« Après le verbe aimer, aider est le plus beau verbe du monde ». Si certains n’ont pas le temps de soutenir les causes sociales, d’autres en font leur passion et même leur métier ! Connues sous l’abréviation ONG, les organisations non gouvernementales gagnent progressivement du terrain dans les quatre coins du monde. Entre associations pour enfants, pour femmes, pour l’environnement et pour la médecine, il existe tout un éventail d’ONG actives dans le monde entier. Comment procéder pour la naissance de votre propre organisation ? Mode d’emploi.

Avoir un avant-goût

Quelle que soit la cause que vous souhaitez défendre, vous devez vous poser certaines questions avant de commencer. À qui s’adresse cette ONG et pourquoi ? Pour un démarrage en douceur, il est conseillé d’intégrer une association similaire à celle que vous voulez bâtir. L’objectif est de renforcer votre détermination et d’accroître votre expérience. Une fois cette étape franchie, vous pourrez vous pencher sur la naissance de votre propre ONG et définir les missions et perspectives.

Définir les missions et perspectives

Maintenant que vous êtes convaincu que l’idée de fonder une ONG est la meilleure que vous ayez pu avoir, il est temps de donner un sens à vos convictions. Pour ce faire, commencez par mettre en place vos diverses missions et perspectives envisagées pour l’association. Noir sur blanc, inscrivez ce qui vous vient à l’esprit et notez bien les démarches que vous aurez à entreprendre. Les missions de l’ONG reposent sur les actions qu’elle veut concrétiser et les perspectives sont les résultats qu’elle veut obtenir à long terme.

L’étape du recrutement

Tel un oiseau qui, petit à petit, fait son nid, vous allez réaliser votre projet de bâtir une ONG. Déclenchez le radar et dressez une liste des personnes susceptibles de vous rejoindre. Ces dernières peuvent être des membres de votre famille, de votre cercle d’amis ou alors d’une séance de recrutement tout simplement. Avec des membres de l’ONG confirmés, vous aurez affaire à une vraie boîte à idées ! Pensez à recruter des personnalités différentes et veillez surtout à ce qu’elles soient impliquées dans cette démarche, autant que vous l’êtes. Enfin, décidez-vous sur qui fait quoi et les rôles de chacun.

Les décisions à prendre

Ensemble, vous trouverez facilement les réponses à vos questions. Par exemple, il vous faudra trouver une structure pour organiser les réunions et concrétiser vos projets. En regardant les lois autour des associations non gouvernementales et en respectant les formalités administratives, vous parviendrez à démarrer votre ONG sans aucun bémol. Sans surprise, vous saurez que toutes les décisions doivent être prises ensemble. Chaque membre de l’organisation a droit à ses propres idées et chaque décision passe aux votes avant d’être validée.

Le plan d’action

Bien entendu, le plan d’action reste un point capital lors de la création de votre ONG. Avec les membres de l’association, prenez du recul et faites une liste de tâches à accomplir. En définissant une stratégie, vous arriverez à attirer des bénévoles et à faire parler de vous. Le plan d’action aide entre autres à assimiler les risques de vos actions et les tactiques à entreprendre pour réussir. À savoir que le plan d’action concerne surtout le budget et les appuis financiers disponibles. Une fois ces derniers bien définis, vous pourrez passer à l’étape suivante.

Comment se faire connaître ?

Pendant que certains côtoient le bouche-à-oreille, d’autres penchent pour des formes de communication plus modernes. La création d’un site web et l’animation de vos pages sur les réseaux sociaux feront certainement parler de votre ONG. Il faudrait inclure toutes les infos susceptibles d’attirer du monde et de faire parler de vos projets. Postez des photos de vos actions et invitez les gens à venir vous aider. Ainsi, vous développerez un réseau de contacts et inciterez les gens à venir vers vous. Avec leur aide, vous arriverez à atteindre vos objectifs plus rapidement. 

Et voilà, créer une ONG est plus facile que ce que l’on croit, si les étapes sont bien suivies et que tous les membres s’appliquent. Le tout est de s’investir et de viser toujours plus haut, tout en cultivant des stratégies originales.

Ces idées que l’on souhaite amener en France

En 2009, le nombre d’entreprises créées, réunissant tous les secteurs, les formes de sociétés et les différentes personnalités sur le pays, dépasse les 200 000. Certains se réfèrent aux entreprises locales pour concevoir les leurs en y apportant une petite touche personnelle. D’autres préfèrent importer des idées. Malgré le fort développement de la création d’entreprise, le marché français manque de créativité. Les consommateurs cherchent des produits et services innovants, simples et pratiques.

Un service spa dans les maternités

Pour les futures mamans, la consultation en maternité constitue un calvaire. Elles se trouvent tout de même obligées d’y passer plusieurs fois durant leur grossesse. C’est la raison pour laquelle une entreprise américaine procède à l’installation d’un service spa au sein d’une maternité pour alléger les attentes des futures mères. Ce service inclut plusieurs offres : massage, sauna, nourrice de nuit… 

Des kits de secours anti-bobos

Pour soigner et éviter l’aggravation des petits bobos, une entreprise britannique met à la disposition des citoyens des kits de secours anti-bobos. Ce kit contient tous les équipements de secours indispensables pour soigner les maux légers, les blessures et brûlures peu importantes, une entorse… Le kit existe en différents modèles et son contenu varie selon son usage (voyage, enfants, maison).

Livrer à vélo les clients d’un centre commercial

Un centre commercial britannique livre ses clients à vélo. Plus besoin de faire appel à un taxi ou de dépenser du carburant pour faire ses courses, il appartient au centre commercial de se charger de la livraison de ses clients pour leur faire plaisir et assurer leur fidélisation. Le vélo dispose d’une remorque de grande capacité. Il est possible de choisir entre le vélo classique et le système motorisé.

Une publicité écolo

Développée aux États-Unis, la publicité écolo à base de mousse et d’hélium constitue un moyen fiable et efficace permettant de limiter la consommation en énergie fossile des entreprises. La mousse flotte dans l’atmosphère pendant une durée déterminée avant de disparaître.

Des distributeurs automatiques haut de gamme

L’automatisation devient chose courante dans la vie quotidienne. Après les épiceries, les distributeurs de pizza, les distributeurs haut de gamme font leur apparition. Les articles faisant l’objet de distribution peuvent se décliner en parfum, soins du corps, soin du visage haut de gamme…

Un mini bar à volonté

À Amsterdam, un mini bar propose des services à volonté à ses clients. Il ne requiert nullement un serveur. Un mur de mini bars remplace le serveur ou le barman. Fini l’attente et les erreurs de commandes, il appartient au client de prendre directement la boisson qu’il souhaite. 

Louer des magasins dans un centre commercial à la semaine

Dans l’État du Michigan, le responsable d’un centre commercial loue ses stands de manière peu commune. Il n’arrive pas à trouver des locataires permanents. Ainsi, l’entrepreneur met ses locaux en location pour quelques jours seulement. Cela lui évite bien des pertes et garantit le développement de son entreprise. Le loyer perçu de ces locations lui permet d’assurer des dépenses quotidiennes et de limiter les risques de pertes. Ce type d’investissement concerne principalement les professionnels œuvrant dans le domaine immobilier.

Comment bien réussir sa campagne publicitaire ?

La publicité constitue l’un des moyens les plus utilisés par les entreprises pour attirer des clients. Petites et moyennes entreprises, mais aussi sociétés de grande envergure, utilisent la campagne publicitaire pour se faire connaître du public. Le contenu de la publicité confère un message aux consommateurs. La transmission de ce message exige le respect de certaines conditions à défaut de quoi la campagne risque d’échouer.

Les principales règles à suivre

Avant de procéder à quoi que ce soit, la détermination de la cible s’avère indispensable : public (adultes, jeunes ou enfants), professionnels ou collectivité. Par la suite, il faut établir le message. Ce message doit contenir le produit ou le service, objet de la vente, ses atouts, ses fonctionnalités et surtout son historique. Il peut disposer d’un caractère très classique ou académique en fonction de l’objectif de la campagne ou des caractéristiques de sa population cible. Pour garantir le succès du message transmis, la mise en avant du produit ou du service s’avère impérative. Cette remarque demeure valable que ce soit en matière de publicité dans un magazine papier ou sur Internet. 

Bien que la campagne publicitaire pour un magazine papier et celle pour un site Internet visent les mêmes objectifs, il convient de préciser qu’elles manifestent quelques particularités.

La campagne publicitaire pour un magazine papier

Le lecteur consacre généralement 2 à 3 secondes pour lire une publicité. S’il ne trouve rien d’intéressant, il tourne directement la page. Il faut que le message soit non seulement attrayant, mais surtout intéressant aux yeux du type de consommateur visé. Il doit toucher le lecteur et l’inciter à creuser et à déterminer la nature exacte du message. Une excellente publicité doit répondre à quatre critères fondamentaux : l’impact, la mémorisation, la compréhension et le positionnement. Dans ce contexte, la publicité ne doit pas se limiter à attirer l’attention du lecteur. La facilité de mémorisation de la publicité permet à une entreprise d’attirer facilement les clients qui n’hésiteront pas faire des achats. Si le public n’arrive à saisir le sens de la publicité, la transmission du message risque d’échouer. 

La campagne publicitaire sur Internet

Les règles applicables à la campagne publicitaire pour un magazine papier demeurent valables pour une publicité sur Internet. Le monde du web présente des particularités non négligeables, c’est la raison pour laquelle il convient de tenir compte de ces quelques éléments. Les réseaux sociaux constituent un moyen très simple et très efficace garantissant le succès d’une campagne publicitaire. Il faut en profiter. Certes, la majorité de ces plateformes propose des services gratuits, mais pour optimiser la campagne, il ne faut pas hésiter à faire usage de leurs services payants. Si l’entreprise recourt au service d’un site d’annonces, elle doit tenir compte des critères imposés par les moteurs de recherche. Dans ce cas, il faut choisir un site web de qualité, bien référencé et doté d’un meilleur positionnement sur les moteurs de recherche. Le but d’un tel choix vise à assurer la visibilité de la publicité afin de générer de nombreux trafics. 

Les soldes : une stratégie qui fait toujours recette ?

Le bilan des soldes de l’été 2014 s’annonce mitigé. Et encore le mot est faible, le moins que l’on puisse dire c’est que la période des soldes n’a pas été aussi fructueuse qu’espérée. Focus sur les raisons de ce constat.

En réalité, ce n’est pas tant le nombre de Français ayant acheté qui est remis en cause mais plutôt la somme dépensée par chacun d’entre eux. Certes, les Français continuent d’acheter mais pour un budget moindre …

Alors quelles sont les raisons de cette baisse des dépenses ? Crise financière ? Baisse du pouvoir d’achat des Français ? Promo toute l’année (e-commerce) et ventes privées ? Ou encore raisons météorologiques ?

Bilan : négatif

A la fin de la période des soldes, les commerçants accusent des ventes à la baisse. Selon la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP), on note 56% des commerçants parisiens qui qualifient le résultat global de « peu ou pas satisfaisant ». Soit plus de la moitié.

A une échelle plus générale, on relève une diminution de l’ordre de 4%, en comparaison avec la période d’été 2013, pour ce qui est de la consommation d’habillement et d’articles textiles. L’institut français de la mode met en effet en évidence dès début juillet un recul de 4% de la valeur des ventes.

Avec 66% de commerçants insatisfaits, dont 71% ayant enregistré une baisse de leur chiffre d’affaires de l’ordre de 10%, le bilan au niveau national est encore plus amer. 

Seul le groupe Galeries Lafayette tire légèrement son épingle du jeu en enregistrant des ventes affichant une hausse de 0,3% en comparaison avec l’année précédente.

Autrement, d’après les données de la Fédération des Enseignes d’Habillement (FEH), on déplore une perte de 5% du chiffre d’affaires des enseignes succursalistes de l’habillement. En parallèle, au mois de juin, c’est un recul de 3% que laisse afficher la Fédération des Enseignes de l’Habillement (FEH).

En moyenne les Français dépenseraient 5,4% de moins que l’année dernière : on passe d’une moyenne de 222 euros dépensés à 210 euros, d’après une étude réalisée par les cabinets de conseil et d’études marketing Promise Consulting et Panel on the Web.

Tout ceci n’empêche pas pour autant de constater une progression globale du e-shopping. Et ce, notamment au sein de 3 régions : le Nord-Pas-de-Calais, la Basse-Normandie et la Picardie pour la période 2013-2014.

Les facteurs explicatifs 

Les Français, pourtant plus nombreux à avoir participé aux soldes, achètent moins. L’explication ? Les gros acheteurs sont moins nombreux. Des sommes moins importantes sont dépensées durant la période des soldes. D’après un sondage réalisé par Radins.com sur un échantillon de 2 420 internautes, 80% déclarent avoir moins dépensé pendant les soldes. Une tendance qui se poursuit déjà depuis quelques années.

Concernant les ventes faites sur Internet, bien que les résultats soient bons dans l’ensemble, le panier moyen y étant consacré à également diminué (on passe de 113 euros à 111 euros). 

L’un des premiers facteurs expliquant ce résultat trouverait sens dans la baisse du pouvoir d’achat des Français. Les achats compulsifs laissent place aux achats raisonnés, en somme moins importants. Selon 78% des commerçants, c’est bel et bien la cause principale. Ainsi, ils sont amenés voire contraints de dépenser moins.

Une des autres causes renvoie à l’instabilité de la météo au cours du mois de juillet. Une météo défavorable n’incite pas les consommateurs à acheter.

D’ailleurs, le fait est aujourd’hui il y a des promos toute l’année ! Suite à cela, certains ne voient plus l’intérêt de faire les soldes alors qu’ils peuvent trouver le bonheur toute l’année, et ce, à moindre coût. De même pour les ventes sur Internet. Les sites de ventes en ligne ne sont pas déçus. Sarenza, par exemple, spécialiste de la chaussure, enregistre une progression de 17% de son activité au moment des soldes. Les sites de e-commerce affichent une hausse de 11% de leur chiffre d’affaires.

Ventes à prix cassés et promotions en cours de saison, multiplication des ventes privées, ventes par Internet qui apportent un certain confort d’achat (livraison, pas de bousculade), … Entre ventes en ligne et ventes privées, il y a de quoi faire pour que les consommateurs ne voient pas d’un aussi grand intérêt d’attendre les soldes pour acheter. Notez toutefois que la suppression des soldes flottants est prévue au 1er janvier 2015, ce qui pourrait relancer la consommation en période de soldes. La fédération du prêt-à-porter féminin souhaite d’ailleurs se faire entendre quant aux dates de soldes adaptées ainsi que sur les promotions et sur le système de ventes privées.

Idées de fêtes de fin d’année

Les fêtes de fin d’année constituent un outil de motivation des salariés. Actuellement, ils deviennent de plus en plus sensibles aux évènements en entreprise. Cela permet de les impliquer dans la vie de la société. La fête de fin d’année ne doit nullement faire l’objet de négligence. Une telle erreur pourrait compromettre l’harmonie de la relation entre salariés et employeur. L’organisation de la fête appartient au manager, cela ne l’empêche pas de solliciter l’assistance de ses collaborateurs pour garantir son succès.

Des activités et sorties collectives

Pour la fête de fin d’année, le manager peut proposer à ses collaborateurs des activités ou des sorties collectives. De nombreuses compagnies de transport en commun proposent des offres permettant aux entreprises de louer des autobus et de réaliser des sorties collectives pour visiter la ville et découvrir ses décorations lumineuses à la tombée de la nuit. Pour finir la soirée en beauté, ils peuvent partager un buffet apéritif ou aller au restaurant ensemble. À part cela, le manager peut préparer des visites guidées des rues et monuments historiques. Pour animer la visite, il peut préparer des commentaires qui permettent en même temps de donner vie à l’activité et de procurer des connaissances à ses collaborateurs. De cette manière, l’activité ne se limite pas au divertissement, mais surtout au partage de connaissances.

Des animations au sein des locaux

Les locaux de l’entreprise peuvent se transformer en une salle de divertissement. En ayant recours à un décorateur, le manager arrivera à épater ses collaborateurs. Les animations doivent correspondre aux caractéristiques des salariés si le succès de la fête veut battre son plein. Lors de l’animation, l’entreprise peut préparer des surprises à ses salariés : des cadeaux pour les salariés les plus intègres, des cadeaux de bienvenue aux nouvelles recrues, des paniers-surprises… Pour que tous les salariés s’amusent pleinement tout au long de l’évènement, il convient d’organiser plusieurs activités de divertissements.

Des animations pour les enfants des salariés

Pendant les fêtes de fin d’année, l’entreprise ne doit pas se limiter à satisfaire ses salariés. Elle doit tenir compte de leur famille, notamment de leurs enfants. Pour répondre aux attentes de ses collaborateurs, le manager peut organiser des évènements d’entreprise destinés particulièrement aux enfants des salariés. Il peut réaliser des ateliers manuels dans les locaux de la société qu’il aménagera de sorte à assurer à ce que ces petits s’amusent à fond. Il peut aussi faire appel à des professionnels en animation pour enfants (des clowns, des magiciens…).

Le repas

Pour fêter la fin d’année, l’entreprise peut inviter son personnel à prendre le repas ensemble. Le manager peut réserver un petit restaurant très chic pouvant satisfaire les attentes de ses collaborateurs ou leur proposer de préparer eux-mêmes le repas de fin d’année. Cette seconde option constitue la solution idéale pour optimiser la convivialité en petit groupe. Cependant, l’accomplissement d’un tel projet peut présenter des difficultés si l’entreprise compte plusieurs effectifs. Afin de garantir le succès de la cuisine préparée par la collectivité, le manager peut faire appel à un chef cuisinier pour guider et aider les salariés à réaliser de très bons plats.

Entreprise individuelle : avantages et inconvénients

L’entreprise individuelle constitue la forme la plus prisée des jeunes entrepreneurs. Malgré qu’elle présente des risques non négligeables, elle demeure l’une des plus avantageuses et des plus faciles à gérer parmi les différentes formes d’entreprises. Le développement qui suit permet de déterminer attraits et contraintes liées à l’entreprise individuelle.

Quelques principes

L’entreprise individuelle peut constituer une entreprise commerciale ou civile. La détermination de son statut varie en fonction des caractéristiques de ses activités (libérales, commerciales…). Le fondateur d’une entreprise individuelle ne possède qu’un seul patrimoine. Il est tout à fait possible d’engager sa responsabilité personnelle dans le cas où il commet des infractions dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités professionnelles. Il demeure responsable personnellement pour les créances contractées au nom et pour le compte de son entreprise.

Avantages de l’entreprise individuelle

– Fonctionnement simple

À la différence des autres formes d’entreprises, la société individuelle constitue une entité dans laquelle le pouvoir de décision appartient uniquement à l’entrepreneur. Dans certaines entreprises la prise d’une décision importante requiert la réunion de tous les membres du conseil. Étant donné que l’entreprise individuelle ne fait pas la distinction entre le patrimoine professionnel et le patrimoine privé de son fondateur, la société ne risque aucunement de faire l’objet d’abus de biens sociaux. Elle ne nécessite d’ailleurs pas de capital social.

– Coûts réduits et régime fiscal assoupli

Vu la simplicité de la formalité afférente à la création d’une entreprise individuelle, son coût reste moins élevé. Elle n’exige pas de statut, et l’entrepreneur ne doit satisfaire qu’à une seule procédure qui consiste à déposer un simple dossier auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE). Aussi, au cours de sa vie, l’entreprise n’est soumise à aucun formalisme juridique. Sur le plan fiscal, la société bénéficie du régime de la micro-entreprise et profite d’un régime du micro social, d’un prélèvement libératoire d’impôt sur le revenu.

Inconvénients de l’entreprise individuelle

– Inconvénients liés au caractère illimité de la responsabilité de l’entrepreneur

Le fait que l’entrepreneur soit personnellement responsable des actes contractés au nom et pour le compte de son entreprise ne présente pas que des avantages. Cela risque gravement de compromettre à son patrimoine personnel. En cas de dépôt de bilan, les conséquences sur son patrimoine privé et sa vie personnelle risquent d’être lourdes. Pour assurer la sécurité de ses biens, l’entrepreneur peut réaliser une déclaration d’insaisissabilité sur les biens personnels. 

– Autres inconvénients de l’entreprise individuelle

Du point de vue social, le régime de couverture de l’entrepreneur individuel ne lui permet pas de profiter d’une profession sécurisée. En cas de faillite, il ne bénéficie pas des couvertures procurées par l’assurance-chômage du régime général. Si l’entreprise réalise des revenus dépassant les seuils imposés par la loi, elle fera l’objet d’une imposition à un niveau très élevé. 

Certes, l’entreprise individuelle demeure la société la plus facile à concevoir, toutefois, elle ne peut pas forcément correspondre à tous les projets. C’est la raison pour laquelle il convient d’établir une étude sérieuse pour déterminer la forme juridique adaptée à sa future entreprise.

Entre leasing auto et location longue durée pour les professionnels

Dirigeant d’une entreprise, vous pouvez être amené à louer des véhicules utilitaires pour votre société. En tant que professionnel, vous détenez le choix d’opter pour du leasing auto ou de la location longue durée. Reste à savoir quels sont les critères sur lesquels vous devez vous baser.

Notez bien la différence entre le leasing automobile et la location longue durée (LLD).

Pour en savoir plus sur les offres des marques, nous vous invitons à visiter le site d’Arval sur le leasing auto

Le leasing automobile

Le leasing se caractérise comme une opération financière qui fait intervenir obligatoirement 3 personnes, à savoir : un vendeur ou un fabricant chargé de fournir le matériel, un utilisateur qui loue le matériel (crédit preneur), et un établissement de crédit (banques, entreprises de crédit-bail habilitées à effectuer des opérations bancaires et disposant d’un agrément de l’Association des sociétés financières) qui assure le financement du matériel (crédit bailleur). Il existe des banques qui ont d’ailleurs développé des filiales spécialisées dans le crédit-bail dont certaines sont spécifiques à un secteur professionnel donné.

Une opération dite de leasing a d’ailleurs l’obligation de comporter 3 conditions : la vente d’un bien, un bail de location du bien, ainsi qu’une promesse unilatérale (résultant du fait d’une seule personne) de vente. 

Vous devez vous adresser à un organisme de crédit ou à une entreprise de crédit-bail spécialisée. Cette dernière étant en charge de faire l’acquisition du matériel correspondant et ainsi vous le louer. Ceci contre un loyer généralement mensuel et préalablement déterminé.

Ce type de contrat est assorti d’une option d’achat. Entrepreneur, vous choisissez directement votre matériel (véhicule) auprès du fabricant, l’occasion de négocier les conditions de vente.

Sachez également que, théoriquement, il ne vous est pas octroyé le droit de résilier ce contrat avant son terme. Sauf exception, avec l’accord du bailleur, induisant également des pénalités.

Arrivé au terme de la location, vous disposez de 3 possibilités : soit vous mettez fin à l’opération et restituez le matériel loué à la société de crédit-bail, soit vous décidez d’acquérir le bien en levant la promesse unilatérale de vente que, dès l’origine, vous a consentie la société de crédit-bail, ou soit vous renouvelez le contrat de location pour une nouvelle période avec de nouvelles conditions.

Si vous levez l’option d’achat, la possibilité d’acquérir le matériel à un prix relativement bas tenant compte de l’usure du bien, s’offre à vous.

Le leasing se veut à la fois une location, une vente et un crédit. Le leasing automobile est utilisé par les professionnels pour la location de véhicules utilitaires. Il s’agit donc d’un mode de financement de matériels professionnels (biens d’équipement, matériel d’outillage, bien immobiliers à usage professionnel). Pour ce qui concerne les biens d’équipement et le matériel d’outillage, il est question de crédit-bail mobilier. Le leasing automobile en fait donc partie.

Les professionnels pouvant utiliser le leasing peuvent aussi bien représenter des entreprises industrielles, commerciales, artisanales, agricoles, des professions libérales, des associations, des entreprises publiques, des administrations, des collectivités locales, etc.

Pour un professionnel, le leasing automobile comporte certains avantages. Il vous permet de vous procurer un bien professionnel sans mise de fonds de départ (pas d’apport personnel) tout en vous permettant d’en devenir propriétaire. Les loyers sont considérés comme des charges déductibles d’un point de vue fiscal. C’est également la possibilité pour vous de remplacer de manière régulière du matériel à l’obsolescence rapide.

Vous souhaitez connaître les offres que propose aujourd’hui les
marques comme Arval en leasing auto 

La location longue durée

La location longue durée automobile, quant à elle, ne permet pas d’acquérir le bien au terme du contrat de location. Vous n’avez en effet pas la possibilité, à la fin du contrat, de devenir propriétaire par le biais de ce type de contrat, il vous faut donc restituer le bien. Deux possibilités s’offrent à vous : restituer le bien ou prolonger la durée du contrat et ainsi poursuivre la location. Le paiement de la location est mensuel ou trimestriel.

La LLD peut se présenter sous différentes formes. 

Elle peut s’avérer de nature opérationnelle. Ceci implique que les loyers forfaitaires comprennent les frais d’exploitation et d’entretien de l’équipement. 

La LLD peut également être de nature financière. Dans ce cas, les opérations d’entretien et de maintenance, mais aussi les frais relatifs, sont à la charge de l’utilisateur du bien.

On préférera ce type de solutions en cas d’un besoin de renouvellement fréquent de vos biens.

Vous pouvez aussi lire
l’article sur les avantages fiscaux du leasing

Les astuces pour sécuriser son site internet

Les actes malveillants sur la toile sont monnaie courante et les pirates n’épargnent pas les détenteurs de sites internet : intrusion dans votre interface pour y intégrer des spams et des contenus frauduleux, ou tout simplement remplacer votre site par un autre. Ces attaques peuvent conduire jusqu’à la suspension et la fermeture du site. Quelles précautions prendre face à ces risques ? Hier Orange, aujourd’hui Ebay, voici quelques conseils pour limiter la vulnérabilité de votre site web.

Quelques règles de base

Avant toute chose, tous les détenteurs de sites, quel que soit leur niveau de compétences informatiques, doivent appliquer quelques principes simples.

D’abord et on ne le dira jamais assez, chacun doit se prémunir d’un bon mot de passe, qui contient 8 caractères minimum, alternant des chiffres et des lettres, en majuscule et minuscule, et qui n’ait aucune correspondance avec un mot de vocabulaire et si possible avec aussi des caractères spéciaux. En effet, il existe des logiciels permettant de craquer les mots de passe en quelques heures voire quelques minutes seulement. De plus, celui-ci doit être unique pour chaque application, car le cas échéant, vous laissez la porte ouverte à tous vos espaces personnels. Une solution complémentaire consiste à installer un logiciel qui limite le nombre de tentatives de connexion.

Un second conseil qui peut paraître désuet, mais qui pourtant contribue à compliquer un peu les choses si quelqu’un cherche à s’approprier vos contenus en ligne. Pensez à les protéger avant leur publication, de sorte qu’ils ne puissent pas être récupérés par un simple « copier / coller » ; profitez-en également pour bien mettre à jour vos mentions légales, dont celles relatives aux droits de reproduction.

Là encore une règle très logique mais qui mérite pourtant d’être rappelée. Si vous laissez la possibilité aux internautes de poster des commentaires sur votre site web, il convient de mettre en place un contrôle des messages avant leur publication et/ou de vérifier régulièrement les contenus diffusés par vos visiteurs. Vous n’êtes pas en effet à l’abri de posts sans lien avec votre sujet mais qui redirigent vers d’autres sites.

Vous pouvez être amené à communiquer une adresse e-mail sur votre site internet. Dans ce cas, celle-ci peut très vite être envahie de spams en tout genre. Première solution, il est préconisé d’éviter les préfixes les plus fréquemment utilisés comme « contact@ » ou « support@ » qui sont très vite repérés par ce qu’on appelle les robots spammeurs. Cette précaution vaut également pour le nommage de vos fichiers, dont les modules de formulaire qui peuvent être rapidement détectables. Deuxième solution, vous pouvez crypter votre e-mail, depuis le site www.aspirine.org par exemple.

Les solutions professionnelles

Renseignez-vous avant de choisir votre prestataire d’hébergement. Ils n’offrent pas tous les mêmes garanties en termes de sécurité car ils n’utilisent pas forcément les mêmes
méthodes et n’ont pas les mêmes niveaux de mises à jour.

Testez régulièrement la sécurité de votre site internet. Pour se faire, il existe des solutions que proposent certains hébergeurs comme Amen avec Site lock qui protège votre site internet contre les menaces et attaques de pirates

Si vous faites partie d’un public plus averti qui maîtrise les lignes de scripts, vous pouvez intégrer plusieurs règles à votre site web qui vous permettront de vous protéger contre les principales menaces. Comme ce n’est pas le cas de la majorité des utilisateurs, il peut être fort utile de faire appel à un professionnel qui vous apportera une solution globale. Sont entre autre proposés un audit de vulnérabilité complet, la mise en place des protections adaptées, mais aussi la restauration de votre site en cas de suspension de celui-ci, même s’il est possible de faire vos sauvegardes par vous-même.

Il est bon de rappeler qu’une bonne protection de son site internet passe également par la sécurité de son ordinateur.

Les sites d’e-commerce à la portée de tous

Avec un chiffre d’affaires de plus de 51 milliards d’euros engrangé par environ 138 000 e-boutiques actives en 2013, la France est le troisième pays en termes de chiffre d’affaire e-commerce en Europe. Si ce résultat semble important, le secteur est toujours en plein essor et le nombre d’intervenants sur ce marché ne cesse de se développer. Les opportunités pour créer sa e-boutique en quelques clics se démocratisent et l’e-entreprenariat devient un eldorado à portée de tous…

La naissance d’un marché réservé à un public averti

Comme souvent avec la technologie, la création de sites e-commerce était d’abord réservée à quelques entreprises qui avaient les moyens techniques et financiers d’investir ce marché. Il a longtemps été impossible de s’y lancer sans un budget conséquent et le savoir-faire d’un développeur et d’une agence, sans compter que le challenge de trouver une clientèle était loin d’être gagné : les internautes ont longtemps été  réticents à acheter en ligne, entre autre en raison des craintes liées à la qualité des produits et à la sécurisation des paiements.

Mais le charme a opéré, notamment parce que les coûts de stockage et les charges fixes sont bien plus réduits sur internet, si bien que l’e-commerce est aujourd’hui plus qu’un mode de consommation ancré dans les mœurs. Il a par exemple amené Les 3 Suisses, pourtant acteur historique du secteur, à arrêter leur activité historique de la vente par catalogue pour ne plus se consacrer qu’au web. Et on ne parlera même pas de la nouvelle réalité multi-channel, qui intègre désormais complètement l’offline et l’online.

Ma e-boutique en quelques clics

Aujourd´hui, tout le monde est à même de créer sa e-boutique en quelques clics. La technologie a été incroyablement simplifiée en 10 ans, et son coût a plongé : plus besoin de l’aide d’un informaticien. Les prestataires du web, dont les hébergeurs comme Amen, proposent des solutions clés en main de qualité professionnelle et à des tarifs très compétitifs. Ils intègrent un panel d’outils simples et automatisés permettant à tout un chacun de créer un site au graphisme propre et moderne, et d’offrir à la vente des centaines d’articles avec descriptifs et photos, classés par catégories, que les clients achètent mais aussi notent, commentent et partagent sur les réseaux sociaux.

Non seulement ces technologies proposent des vitrines de qualité quasi professionnelle, mais derrière se cache des interfaces qui incluent des modules de gestion des commandes, des livraisons et des paiements, de suivi des stocks, de management clients avec espace personnalisé pour ces derniers, de création de promotions, de newsletters, ou de statistiques de ventes poussées. Les possibilités sont donc impressionnantes… jusqu’à l’intégration du calcul automatique des taxes internationales et de modules de produits personnalisables ! La barrière technologique est tombée, parce que l’on a rapidement standardisé ses composantes : langages simplifiés, fonctionnalités fiables même en série, et bien sûr, hébergement de la technologie en cloud qui a considérablement rationalisé les coûts.

Tous e-entrepreneurs ?

Avec une technologie désormais à portée de main – et de porte-monnaie, nombreux sont ceux qui se sont lancés dans l’aventure e-commerce, pour développer des revenus complémentaires ou en faire leur activité principale. Tout comme le rêve américain, la déception peut être grande. Différents facteurs font que certains n’arrivent pas à faire véritablement démarrer leur affaire et finissent purement et simplement par abandonner.

Dans les faits, 67% des ventes sont réalisées par quelques 1 000 entreprises dont Amazon, Cdiscount et La Fnac. Il est donc plus difficile pour les petits, dont la majorité opère moins de 100 ventes par mois en moyenne, de se faire une place.

L’erreur la plus commune constatée, c’est la croyance qu’un site e-commerce est comme un site web : une fois qu’il est prêt, on a fini le travail. Archifaux : il doit vivre, et il doit d’ailleurs être pensé comme une boutique physique, dans laquelle on renouvelle ses vitrines et ses collections, et organise des animations. Souvent, les e-commerçants n’ont pas ou très peu de budget à allouer à la communication pour se faire connaître et perdurer, voire ne se posent même pas la question. Et même si les habitudes d’achats des Français évoluent, ces derniers restent très attachés à la (re)connaissance et la confiance dans le vendeur. Autre raison, la gestion d’un business, même sur le web, ne s’improvise pas, et requiert un minimum de bon sens pour fixer ses prix, gérer ses stocks ou tout simplement déterminer quels produits vendre et auprès de quelles cibles.

Faire sa place dans l’e-commerce reste possible, et plus on agit sur un marché de niche, plus c’est faisable, mais cela demande du travail.

Amen l’a compris et via son amenschool.fr, propose régulièrement des formations en ligne gratuites sur le sujet. Vous pouvez visionner 3 de ces conférences par Amen et ePages, fournisseur de leur solution e-commerce, pour vous guider dans le lancement de votre boutique : http://www.amenschool.fr/