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[Start-up] France Barter : une solution de financement alternatif pour les TPE et PME

France Barter est une place de marché en ligne qui propose aux entreprises françaises un mode de commerce innovant basé sur l’échange de stocks, d’invendus, de productions ou services. Le concept est simple : les entreprises s’affilient à une société coopérative et peuvent acheter et vendre sur le réseau via des unités de compte appelées Credit Barter.

Le Barter : un concept innovant et peu connu en France

Le Barter existe aux Etats-Unis depuis 1930 et est apparu en France dans les années 90, plus particulièrement entre les groupes médias qui procédaient à des échanges d’espaces publicitaires. Afin de faire face à un marché peu mature et à un manque de confiance dans les transactions d’échanges, le Barter s’est développé progressivement en organisant, dans un premier temps, des échanges bilatéraux entre deux entreprises ayant des offres et besoins complémentaires.

Une solution « anti-crise » pour conserver sa trésorerie

Experts du système du Barter, Samuel Cohen, fondateur de B2B EN-TRADE, et Arthur Bard, fondateur du réseau E-BARTER, se sont associés pour lancer la plateforme France Barter, solution « anti-crise » qui répond aux problèmes réels de trésorerie que rencontrent les entreprises. Plus besoin donc de recourir aux banques pour réaliser certains projets, la plateforme permet aux entreprises de financer une dépense avec sa production. Lancée en Juillet 2014, France Barter regroupe déjà sur le réseau plus de 400 entreprises de tout secteur, principalement des TPE et PME.

Une aide pour les collectivités territoriales

Soutenu par le Credit Coopératif et le pôle de compétitivité Finance Innovation, France Barter à moyen terme propose la possibilité de vendre la plateforme en licence à des collectivités, des clusters ou des réseaux d’entreprises désireux d’améliorer les interactions entre leurs membres grâce au système d’échange Barter. Un fort ancrage territorial du service pour amener à dynamiser une zone d’activité.

Pour plus d’infos : www.francebarter.coop

[Emploi] Les villes françaises où il fait bon travailler

Chaque année, l’institut Great Place To Work, filiale française spécialisée dans la gestion des ressources humaines, établit le palmarès des entreprises où il fait bon travailler. Cette fois-ci, le cabinet s’est attaqué au sujet de manière quelque peu différente. Il réalise une étude afin de déterminer quelles sont les villes de France où le bien-être au travail se fait sentir à tous les coups. Focus sur les résultats de cette étude révélatrice.

Bordeaux siège à la première place du classement

L’institut Great Place To Work a eu l’ingénieuse idée de se pencher sur le cas des villes françaises pour sa toute dernière étude. L’analyse consiste à classer les villes selon le bien-être au travail. Étonnement, ce sont les villes du sud qui remportent le plus de succès à ce niveau. La ville de Bordeaux s’est taillée la part du lion. Avec moins de 500 000 habitants, cette ville du sud attire de plus en plus de salariés. Le confort et la proximité justifient clairement cette première place.

Selon l’étude, 39 % des personnes interrogées soutiennent qu’il s’agit d’une ville où il fait bon travailler. D’un autre côté, on constate que 37% des Français quitteraient volontiers leurs villes pour s’installer et travailler en Aquitaine. Et enfin, le titre du Best Workplace de Bordeaux revient à EMC², pour ses valeurs de partage, ses prises de décision, sa coopération et la consultation régulière des managers.

« La ville rose » : pas loin du number one des villes françaises où il fait bon travailler

À la deuxième place du podium : la ville de Toulouse. Et oui, nombreux sont ceux qui confirment que travailler dans cette ville confère bien-être et confort au quotidien. Tout pousse à croire que les salariés y voient la vie en rose ! Avec 39% du sondage qui affirment qu’il y fait bon travailler et 32% qui souhaiteraient s’y installer, la ville de Toulouse se forge une réputation de fer.

Quant au titre du Best Workplace de la ville, c’est Davidson Consulting qui a le mérite d’être applaudi. Avec ses 500 salariés, l’entreprise parvient à rassembler bien-être, valorisation du collaborateur et équilibre de la vie professionnelle comme personnelle, sous un seul et même toit. Par ailleurs, il est à noter que cette société s’est retrouvée à la première place au Palmarès de France 2014 des entreprises de plus de 500 salariés.

La troisième place attribuée à Montpellier

Montpellier et son beau soleil n’ont pas manqué de se faire une place dans l’étude du cabinet Great Place To Work. Après Bordeaux et Toulouse, le classement se poursuit avec Montpellier en troisième position. Selon les données, 38% des personnes interrogées déclarent que cette ville mérite d’être dans les trois premières où il fait bon travailler. Qui plus est, d’autres résultats démontrent que 33% de ceux qui n’y sont pas encore auraient aimé y apporter leur contribution en tant que salarié. Et comme Best Workplace, c’est Aramisauto.com qui vole la vedette.

Classée 25ème du Palmarès France 2014 des entreprises de moins de 500 salariés où il fait bon travailler, cette entreprise a de quoi attirer les salariés. Pour elle, seulement ces 7 valeurs sont importantes : l’honnêteté, la transparence, l’innovation, l’initiative, l’ambition, le mérite, et l’exigence. Suivi de ce top 3 des villes où il fait bon travailler, nous retrouvons l’Aix-en-Provence, Lyon, Nantes, Rennes, Strasbourg, Nice et en dernier, Paris.

Comment utiliser son téléphone portable à l’étranger ?

Partir en vacances est une bonne chose. Cela dit, pour un entrepreneur, il est déjà suffisamment stressant de laisser sa boite entre les mains de ses collaborateurs, pas la peine d’en rajouter. Vous devez parfaitement être en mesure de joindre vos salariés ou autres. Pour cela, quoi de mieux que de les appeler directement ? Encore faut-il que vous puissiez utiliser votre téléphone portable une fois arrivé à destination …

Une compatibilité limitée

Sachez avant tout que tous les téléphones portables ne fonctionnent pas partout dans le monde. Si la destination choisie est les Etats-Unis ou le Canada, un téléphone tri bandes ou quadri bandes est nécessaire. Pour plusieurs pays d’Amérique Latine, le Japon ou encore la Corée, un portable 3G est requis. Afin d’être sûr que votre mobile soit compatible et qu’il fonctionnera dans le pays où vous avez prévu de passer vos vacances, renseignez-vous auprès de votre opérateur ou vérifiez-en la norme (la marque ainsi que le modèle de votre appareil vous sera alors demandés).

Activation de l’option internationale

Généralement activée par défaut pour les nouveaux abonnés, pensez à activer l’option internationale de votre mobile. Et ce, 48 heures à l’avance. Il s’agit d’ailleurs d’un service gratuit. Auquel cas, vous ne pourriez pas l’utiliser une fois à destination.

Si votre contrat est souscrit depuis plus de 3 ans, vous devez impérativement contacter votre service client afin de bénéficier de cette option.

Ainsi, le « roaming » (système d’accords internationaux entre opérateurs) se met en place automatiquement dès votre arrivée dans le pays dont il est question. Le nouveau réseau du pays, quelques minutes après votre arrivée seulement, s’affichera alors sur votre écran de téléphone.

Les indicatifs internationaux

Des codes d’accès sont requis si vous vous engagez hors de l’hexagone. Pour la majorité des pays, il s’agit de composer le 00 (sauf pour l’Amérique du Nord où il faut composer le 011). Enfin, pour la France, vous devez ajouter 33 avant de composer le numéro de téléphone souhaité en supprimant le premier 0. Ce qui donne par exemple : 00 33 6 10 20 30 40. Si vous souhaitez appeler des numéros de personnes se trouvant dans le pays où vous êtes, l’indicatif n’est pas indispensable.

Consulter ses messages via son répondeur

Pour ce qui est du numéro de la boite vocale, il reste le même (123 pour les clients SFR, 888 pour Orange, 660 chez Bouygues Télécom, …). Le code d’accès de votre messagerie doit néanmoins être personnalisé avant votre départ. Pour pouvoir écouter vos messages, vous devrez au préalable composer un code secret. Notez que la consultation de vos messages vocaux est payante.

Téléphoner à l’étranger : le prix à payer

Ce n’est bien entendu pas parce que vous possédez un forfait illimité (en matière de téléphonie ou d’internet) qu’il l’est également à l’étranger ! A l’international le coût s’avère beaucoup plus élevé.

Selon les zones géographiques où vous vous trouvez, les grilles tarifaires varient. Elles fluctuent également en fonction de votre abonnement et de vos options souscrites, mais aussi selon les opérateurs. N’oubliez pas que vous payez aussi bien les appels sortants que les appels entrants. Gardez donc à l’esprit que si quelqu’un vous appelle de France, ce n’est pas lui qui payera la facture mais vous !

Vous voyagez régulièrement ? Sachez qu’il existe des forfaits spéciaux pour les voyageurs. Vous pouvez ainsi contracter auprès de votre opérateur une offre temporaire. Ces offres se présentent sous forme de packs, qu’il s’agisse de la téléphonie ou de la connexion internet. En principe une durée minimum d’engagement est exigée.

Concernant Internet, si vous choisissez d’utiliser la 3G, plutôt que le réseau Wi-Fi, vous ne serez pas facturé selon le temps de connexion mais selon la quantité des données échangées.

Top 7 des livres à lire pour un entrepreneur

Vous partez en vacances ? N’oubliez pas l’un des indispensables à mettre dans vos bagages : les livres mention spécial pour les entrepreneurs. Si vous avez raté notre sélection des 10 films à voir quand on veut devenir entrepreneur, c’est l’occasion de vous rattraper en lisant cette sélection des livres à lire pour un entrepreneur.

1. « Entreprenez », Philippe Hayat

Cette vague d’optimiste donne goût à l’entrepreneuriat. Un livre qui sait redonner aux Français la passion d’entreprendre. Un beau message d’espoir qui cherche à transmettre motivation, conviction et détermination. D’après ce livre, pour faire le choix de se lancer dans le monde de l’entrepreneuriat, une seule chose suffit : détenir une idée et partir de son envie. Cette solution aussi simple qu’elle puisse paraître ne serait autre que la clé qui ouvre les portes du succès, ou plutôt, le fer de lance de toute personne souhaitant devenir entrepreneur.

2. « Réussir … et après », Richard Branson

Richard Branson fait partie des rares chefs d’entreprise qui parviennent à combiner vie professionnelle et vie privée. Sa réussite professionnelle et son niveau de qualité de vie font de lui un exemple à suivre pour tout entrepreneur. Dans son livre, il offre aux entrepreneurs ou futurs entrepreneurs l’opportunité de bénéficier de son expérience et de son parcours entrepreneurial. Notamment par le biais de sa marque Virgin, sa notoriété à l’échelle mondiale et son succès lui confèrent toutes les composantes permettant de proposer à ses lecteurs des conseils pertinents.

3. « Si on faisait confiance aux entrepreneurs », Xavier Fontanet

Ancien dirigeant du groupe Essilor, Xavier Fontanet a tout au long de sa carrière parcourut le monde, découvrant de nouvelles et nombreuses cultures entrepreneuriales. De cette expérience il fait le constat suivant qui l’amène à écrire ce livre : pour réussir dans les affaires, il doit exister une relation de confiance. Une affirmation qui serait prête à remettre en cause les préjugés flottants au dessus de la tête de grands entrepreneurs, dirigeants de multinationales. Ce livre permet de percevoir la mondialisation autrement, sous un meilleur angle, un aspect positif et réconfortant.

4. « Rework : réussir autrement », Jason Fried et David Heinemeier Hansson

Les créateurs de 37signals et de l’un des Frameworks, outils de création d’applications web, les plus connus, du nom de Ruby on Rails renvoient une image novatrice de l’idée même de ce à quoi devrait ressembler une entreprise aujourd’hui. 37signals est une société pour le moins atypique. Elle parvient à générer un chiffre d’affaires considérable puisqu’il se chiffre en plusieurs millions de dollars. Et ce, tout en gardant un effectif relativement restreint (moins de 20 personnes). Le personnel est d’ailleurs réparti dans le monde entier et la plupart travaille de chez eux. Cette entreprise détient un mode de fonctionnement bien particulier mais qui a su faire ses preuves. Au travers de ce livre, l’on découvre la vision que ces créateurs se font de l’entrepreneuriat, une vision qui va à l’encontre des principes habituels, une vision hors normes pour ainsi dire. Ces derniers nous livrent les éléments qui ont su transformer un simple concept en leur réussite.

5. « Histoire vivante de la pensée économique », Jean-Marc Daniel

L’auteur, Jean-Marc Daniel, professeur à l’ESCP Europe enseigne sur le thème économique au travers de son livre de manière ludique. Mais surtout, cassant les idées reçues, il aborde le sujet avec humour afin de captiver les lecteurs, notamment ceux n’ayant pas au départ un goût prononcé en la matière. Qui a dit qu’économiste rimait avec triste ? Ce livre ne perd pourtant rien de son côté didactique et confère à ses lecteurs culture et savoir qui permettront à tout entrepreneur de relancer le débat en société.

6. « L’entreprise du bonheur », Tony Hsieh

L’entrepreneur américain et PDG de zappos.com (site de vente en ligne du groupe Amazon), Tony Hsieh raconte l’histoire de son entreprise depuis sa création. Un livre qui saura vous apporter de nombreux conseils au travers d’une expérience acquise par ce que l’on peut appeler une success story.

7. « La semaine de 4 heures », Timothy Ferriss

Histoire de terminer sur une touche positive qui fait rêver plus d’un entrepreneur, quoi de mieux que de parler de « La semaine de 4 heures » de Timothy Ferriss ? La vie au bureau c’est bien mais ce n’est pas tout. Ce livre confère bon nombre d’astuces permettant de rentabiliser au mieux ses heures de travail. Mais pas seulement car cela laisse place aux rêves en prenant tout simplement le temps de vivre !

A vous entrepreneur de vous lancer dans ces lectures ! Une liste non exhaustive mais qui donne envie de bouquiner pendant l’été. Et vous ? Quels sont vos livres préférés ? Faites-nous partager vos lectures. 

Et s’il vous reste du temps, pourquoi ne pas écrire un livre à votre tour ?

Les sites de petites annonces : un business model florissant !

Parmi les business models qui se veulent en pleine croissance, on relève notamment celui des sites des petites annonces. De nature diverse et variée, ces sites peuvent s’avérer gratuits ou payants et leur nombre ne cesse de croître.

A l’ère du numérique

De nos jours l’on trouve pour ainsi dire de tout sur Internet. Il est démontré selon certaines études, qu’Internet détient un rôle prépondérant dans les habitudes de consommation mais également dans la vie quotidienne des internautes. Internet est en plein essor et des études amènent à penser que sa croissance va se poursuivre durablement.

Un basculement vers le web est notable, surtout en ce qui concerne les petites annonces.

Sur Internet, on recense les biens les plus achetés et vendus par catégorie : culturels, techniques, habillements, voitures, motos, et enfin les biens immobiliers.

Le modèle économique des petites annonces classiques repose sur le paiement d’un forfait pour la publication d’une annonce pour une durée limitée.

Lieu d’échange et de rencontre entre les acheteurs et les vendeurs, la place de marché s’apparente comme un business model visant à mettre en relation ces derniers selon leurs besoins. Pour ce qui est de la rémunération, elle s’effectue sous la forme de commission sur les ventes. Cette commission peut être fixe ou variable. Il s’agit de la vente aux enchères (eBay), des petites annonces, etc. 

Des sites internet comme eBay, site américain, connaissent un franc succès et puisent leur force dans leur communauté. eBay est le premier site internet à mettre en place un système de commission et a su le banaliser auprès des internautes. De nombreux sites reprennent ce modèle.

Après les modèles gratuits ou payants : les modèles intermédiaires

Les modèles gratuits et payants se voient de plus en plus remis en question. Emergent alors les modèle intermédiaires. La source d’inspiration émane principalement de stratégies des gratuits dont leur modèle de financement repose sur la gratuité d’accès tel que le freemium, la gratuité sélective ou la monnaie virtuelle. Le Bon Coin, site d’annonces reconnu, s’appuie d’ailleurs sur un modèle de type freemium.

Les menaces qui pèsent sur les sites web de petites annonces 

Principalement sur les plateformes d’annonces qui mettent en relation les particuliers, l’expansion de la gratuité fait rage. Certains sites internet ont d’ailleurs été contraints de renoncer à facturer des annonces de particuliers (ParuVendu, TopAnnonces).

Avec l’apparition d’idées de plus en plus innovantes, on note pour menace la concurrence des nouveaux concepts.

En dernier lieu, compte tenu du fait que le marché des petites annonces en ligne tend à sa maturité, on constate que les différentes plateformes pourraient entreprendre de mener une certaine guerre des prix.

Face aux menaces : l’utilisation de propres ressources

Dans le but de pallier les difficultés, les acteurs du marché liés aux petites annonces en ligne peuvent user de différentes options. 

Le développement des compétences techniques et informatiques qui se fait auprès des annonceurs se voit de plus en plus monnayé par les éditeurs de plateformes. Ce concept induit une diversification des revenus. Une part considérable des revenus provient de la réalisation, de l’hébergement et du référencement de sites internet pour le compte de tiers. 

Il est aussi possible de faire le choix de monter en gamme en augmentant ses prix. Cette solution n’est toutefois pas facile.

La diversification géographique est également une solution à envisager. Ceci engendre toutefois un coût relativement élevé. S’attaquer à un nouveau pays n’est pas une mince affaire. Cela demande un important investissement sur le plan commercial et marketing.

A lire également : Quel modèle économique pour les annonces en ligne ?

Le régime micro-entreprise, c’est quoi exactement ?

Typique à l’entreprise individuelle, le régime micro-entreprise dispose de multiples avantages. Les entreprises peuvent bénéficier de ces avantages sous réserve de respecter certaines conditions. Étant donné qu’il s’agit d’une entreprise individuelle, les entrepreneurs constituent des professionnels indépendants (libéraux, commerçants ou artisans) soumis à l’impôt sur le revenu. 

Fonctionnement du régime fiscal

Dans le cadre du régime micro-entreprise, l’entrepreneur doit reporter la totalité de son chiffre d’affaires (CA) sur la déclaration de ses revenus annuels. Le bénéfice imposable de la micro-entreprise s’élève à hauteur d’un pourcentage de son CA. Elle est régit par un régime d’imposition forfaitaire. Cette forme d’entreprise individuelle ne requiert nullement la déposition d’une déclaration de résultat. Par contre, elle doit impérativement procéder à la déclaration de ses activités au centre de formalités des entreprises. L’abattement forfaitaire se procède comme tel :

– abattement de 71 % sur le CA des activités d’achat/revente, des activités de fourniture de logement.

– abattement de 50 % sur le CA des prestations de services industrielles et commerciales.

– abattement de 34 % sur le CA des activités non commerciales.

Les entreprises concernées

Toutes les entreprises individuelles peuvent profiter des avantages fournis par ce régime à condition qu’elles soient immatriculées auprès de l’organisme adapté en fonction des caractéristiques de leur activité. Le régime micro-entreprise exclut certains professionnels, notamment le marchand de biens, les lotisseurs… Pour bénéficier des avantages du régime micro, le CA réalisé par l’entreprise ne doit pas dépasser le seuil imposé par le régime obligatoire.

Les dispositifs fiscaux liés au régime micro-entreprise

– La TVA : les entreprises soumises à ce régime ne procèdent pas à une collecte de TVA, ni à une déduction sur la TVA payée.

– Les formalités : l’entrepreneur doit tenir un livre-journal pour les recettes et un registre pour les achats. La conservation des pièces justificatives des achats et des ventes ou prestations de service s’avère indispensable. La déclaration d’impôt ne nécessite que de simples formalités. L’entrepreneur doit seulement fournir quelques informations relatives à son entreprise. A savoir, l’état civil de l’entrepreneur, le numéro SIRET, l’adresse de l’établissement, le nombre de salariés et la nature du revenu réalisé. Il appartient à l’administration fiscale d’assurer la suite en procédant au calcul du montant du bénéfice imposable.

– La taxe sur les salariés : les micro-entreprises ne paient que la taxe professionnelle, elles sont exonérées de taxe sur les salariés.

Quid sur la Loi Pinel

L’intégration de la Loi Pinel au sein du système fiscal français générera des conséquences non négligeables sur les micro-entreprises. À partir du 1er janvier 2015, les modalités de paiement des cotisations et de l’impôt seront les mêmes pour toutes les entreprises individuelles. Cela concerne autant les micro-entreprises que les auto-entreprises. Cela entraîne la suppression du système de base forfaitaire au profit du principe de pourcentage prélevé selon le chiffre d’affaires réalisé. 

Les entrepreneurs doivent tenir compte de cette modification pour éviter les mauvaises surprises. En cas de besoin, ils ne doivent pas hésiter à faire appel à un professionnel pour fournir des informations plus précises relatives à leur entreprise. Ce professionnel doit pouvoir leur donner des conseils et astuces en vue d’assurer le développement de leur entreprise.

La monnaie virtuelle consomme-t-elle la réalité ? Eric Larchevêque

A l’ère du numérique, on entend de plus en plus parler du Bitcoin. Cette monnaie virtuelle est mise à l’honneur par Eric Larchevêque, dirigeant de La Maison du Bitcoin. Retour sur la conception et le développement d’un projet qui s’appuie sur un moyen de paiement virtuel, mais n’en reste pas moins bien réel. Le Bitcoin remplacera-t-il la monnaie actuelle ?

Le Bitcoin : la mise en place d’un projet qui semble payer

Le site internet de La Maison du Bitcoin explique son concept : « C’est un espace physique situé au cœur de Paris, dédié au Bitcoin et à son protocole, dont le but est de favoriser l’émergence et le développement de projets ambitieux dans le domaine. Située au 5 rue du Caire à Paris, La maison du Bitcoin est un espace de 220m2 dédié au Bitcoin créé par et pour les entrepreneurs passionnés des crypto-monnaies. » Cet espace pas comme les autres a fait parler les économistes et les politiques en troublant l’ordre établi. Depuis plusieurs mois, cette monnaie virtuelle fait son chemin grâce à l’entrepreneur Eric Larchevêque, homme d’affaires multi-casquettes riche de son expérience de joueur de poker, notamment en ligne, et ainsi, déjà en relation avec l’argent virtuel. Après avoir travaillé dans l’immobilier en Europe de l’Est, il se lance en créant un comparateur de prix pour ensuite se focaliser sur sa nouvelle passion : la crypto-monnaie. Il alimente un blog de manière régulière dans lequel il développe de nombreuses thématiques autour de ses sujets phares, ses projets, ou encore sa passion pour le poker dont la stratégie l’aide dans le développement de ce qu’il entreprend.

Une offre adaptée spécifiquement à 3 types de profils

Les plus sceptiques se posent encore la question de savoir pourquoi ouvrir une maison de Bitcoin à Paris. Pour Eric, il faut penser en terme « d’écosystème ». Il explique que cette monnaie concerne 3 types de profils : 

  • Les entrepreneurs et les porteurs / développeurs de projets qui peuvent avoir accès à un espace de coworking ainsi qu’à différentes ressources techniques, juridiques et financières.
  • Les pouvoirs publics et les entreprises, pour qui il est possible d’avoir recours à des formations afin de présenter le Bitcoin de manière simple et claire. Eric Larchevêque précise qu’ils sont intervenus dans des conférences à l’Elysée, car il faudrait percevoir la monnaie virtuelle comme un renouveau impossible à manquer, un peu à l’image d’Internet au début des années 90.
  • Le grand public est également un élément essentiel de la vie future du Bitcoin étant donné qu’il est le consommateur de demain, choisissant la manière de payer. La Maison du Bitcoin accueille les personnes au comptoir de change afin d’échanger leur monnaie réelle en monnaie virtuelle, et donc les faire participer à cet écosystème, apprendre à s’en servir et à l’optimiser.

La perspective d’une vision long terme

Fondamentalement, quel est l’intérêt de se lancer dans le Bitcoin ? Pour l’instant, il est difficile de l’entrevoir. Il faut pourtant visualiser les répercutions sur un plus long terme. La Maison du Bitcoin permet de fixer dans un monde matériel un élément virtuel. « Le Bitcoin n’est ni bon ni mauvais, c’est juste un outil », c’est avec cette phrase qu’Eric Larchevêque exprime le mieux ses intentions. Et l’entrepreneur ne changera sûrement pas de projet avant que celui-ci soit parfaitement abouti : « Aujourd’hui, Bitcoin est très difficile d’accès, mais cela peut devenir mainstream si l’on crée des services qui permettent de simplifier cette technologie plutôt rude. Ce n’est pas une technologie élitiste. L’objectif du Bitcoin, c’est de redonner le pouvoir à tout le monde sur la monnaie. »

Comment créer une ONG ?

« Après le verbe aimer, aider est le plus beau verbe du monde ». Si certains n’ont pas le temps de soutenir les causes sociales, d’autres en font leur passion et même leur métier ! Connues sous l’abréviation ONG, les organisations non gouvernementales gagnent progressivement du terrain dans les quatre coins du monde. Entre associations pour enfants, pour femmes, pour l’environnement et pour la médecine, il existe tout un éventail d’ONG actives dans le monde entier. Comment procéder pour la naissance de votre propre organisation ? Mode d’emploi.

Avoir un avant-goût

Quelle que soit la cause que vous souhaitez défendre, vous devez vous poser certaines questions avant de commencer. À qui s’adresse cette ONG et pourquoi ? Pour un démarrage en douceur, il est conseillé d’intégrer une association similaire à celle que vous voulez bâtir. L’objectif est de renforcer votre détermination et d’accroître votre expérience. Une fois cette étape franchie, vous pourrez vous pencher sur la naissance de votre propre ONG et définir les missions et perspectives.

Définir les missions et perspectives

Maintenant que vous êtes convaincu que l’idée de fonder une ONG est la meilleure que vous ayez pu avoir, il est temps de donner un sens à vos convictions. Pour ce faire, commencez par mettre en place vos diverses missions et perspectives envisagées pour l’association. Noir sur blanc, inscrivez ce qui vous vient à l’esprit et notez bien les démarches que vous aurez à entreprendre. Les missions de l’ONG reposent sur les actions qu’elle veut concrétiser et les perspectives sont les résultats qu’elle veut obtenir à long terme.

L’étape du recrutement

Tel un oiseau qui, petit à petit, fait son nid, vous allez réaliser votre projet de bâtir une ONG. Déclenchez le radar et dressez une liste des personnes susceptibles de vous rejoindre. Ces dernières peuvent être des membres de votre famille, de votre cercle d’amis ou alors d’une séance de recrutement tout simplement. Avec des membres de l’ONG confirmés, vous aurez affaire à une vraie boîte à idées ! Pensez à recruter des personnalités différentes et veillez surtout à ce qu’elles soient impliquées dans cette démarche, autant que vous l’êtes. Enfin, décidez-vous sur qui fait quoi et les rôles de chacun.

Les décisions à prendre

Ensemble, vous trouverez facilement les réponses à vos questions. Par exemple, il vous faudra trouver une structure pour organiser les réunions et concrétiser vos projets. En regardant les lois autour des associations non gouvernementales et en respectant les formalités administratives, vous parviendrez à démarrer votre ONG sans aucun bémol. Sans surprise, vous saurez que toutes les décisions doivent être prises ensemble. Chaque membre de l’organisation a droit à ses propres idées et chaque décision passe aux votes avant d’être validée.

Le plan d’action

Bien entendu, le plan d’action reste un point capital lors de la création de votre ONG. Avec les membres de l’association, prenez du recul et faites une liste de tâches à accomplir. En définissant une stratégie, vous arriverez à attirer des bénévoles et à faire parler de vous. Le plan d’action aide entre autres à assimiler les risques de vos actions et les tactiques à entreprendre pour réussir. À savoir que le plan d’action concerne surtout le budget et les appuis financiers disponibles. Une fois ces derniers bien définis, vous pourrez passer à l’étape suivante.

Comment se faire connaître ?

Pendant que certains côtoient le bouche-à-oreille, d’autres penchent pour des formes de communication plus modernes. La création d’un site web et l’animation de vos pages sur les réseaux sociaux feront certainement parler de votre ONG. Il faudrait inclure toutes les infos susceptibles d’attirer du monde et de faire parler de vos projets. Postez des photos de vos actions et invitez les gens à venir vous aider. Ainsi, vous développerez un réseau de contacts et inciterez les gens à venir vers vous. Avec leur aide, vous arriverez à atteindre vos objectifs plus rapidement. 

Et voilà, créer une ONG est plus facile que ce que l’on croit, si les étapes sont bien suivies et que tous les membres s’appliquent. Le tout est de s’investir et de viser toujours plus haut, tout en cultivant des stratégies originales.

Ces idées que l’on souhaite amener en France

En 2009, le nombre d’entreprises créées, réunissant tous les secteurs, les formes de sociétés et les différentes personnalités sur le pays, dépasse les 200 000. Certains se réfèrent aux entreprises locales pour concevoir les leurs en y apportant une petite touche personnelle. D’autres préfèrent importer des idées. Malgré le fort développement de la création d’entreprise, le marché français manque de créativité. Les consommateurs cherchent des produits et services innovants, simples et pratiques.

Un service spa dans les maternités

Pour les futures mamans, la consultation en maternité constitue un calvaire. Elles se trouvent tout de même obligées d’y passer plusieurs fois durant leur grossesse. C’est la raison pour laquelle une entreprise américaine procède à l’installation d’un service spa au sein d’une maternité pour alléger les attentes des futures mères. Ce service inclut plusieurs offres : massage, sauna, nourrice de nuit… 

Des kits de secours anti-bobos

Pour soigner et éviter l’aggravation des petits bobos, une entreprise britannique met à la disposition des citoyens des kits de secours anti-bobos. Ce kit contient tous les équipements de secours indispensables pour soigner les maux légers, les blessures et brûlures peu importantes, une entorse… Le kit existe en différents modèles et son contenu varie selon son usage (voyage, enfants, maison).

Livrer à vélo les clients d’un centre commercial

Un centre commercial britannique livre ses clients à vélo. Plus besoin de faire appel à un taxi ou de dépenser du carburant pour faire ses courses, il appartient au centre commercial de se charger de la livraison de ses clients pour leur faire plaisir et assurer leur fidélisation. Le vélo dispose d’une remorque de grande capacité. Il est possible de choisir entre le vélo classique et le système motorisé.

Une publicité écolo

Développée aux États-Unis, la publicité écolo à base de mousse et d’hélium constitue un moyen fiable et efficace permettant de limiter la consommation en énergie fossile des entreprises. La mousse flotte dans l’atmosphère pendant une durée déterminée avant de disparaître.

Des distributeurs automatiques haut de gamme

L’automatisation devient chose courante dans la vie quotidienne. Après les épiceries, les distributeurs de pizza, les distributeurs haut de gamme font leur apparition. Les articles faisant l’objet de distribution peuvent se décliner en parfum, soins du corps, soin du visage haut de gamme…

Un mini bar à volonté

À Amsterdam, un mini bar propose des services à volonté à ses clients. Il ne requiert nullement un serveur. Un mur de mini bars remplace le serveur ou le barman. Fini l’attente et les erreurs de commandes, il appartient au client de prendre directement la boisson qu’il souhaite. 

Louer des magasins dans un centre commercial à la semaine

Dans l’État du Michigan, le responsable d’un centre commercial loue ses stands de manière peu commune. Il n’arrive pas à trouver des locataires permanents. Ainsi, l’entrepreneur met ses locaux en location pour quelques jours seulement. Cela lui évite bien des pertes et garantit le développement de son entreprise. Le loyer perçu de ces locations lui permet d’assurer des dépenses quotidiennes et de limiter les risques de pertes. Ce type d’investissement concerne principalement les professionnels œuvrant dans le domaine immobilier.

Comment bien réussir sa campagne publicitaire ?

La publicité constitue l’un des moyens les plus utilisés par les entreprises pour attirer des clients. Petites et moyennes entreprises, mais aussi sociétés de grande envergure, utilisent la campagne publicitaire pour se faire connaître du public. Le contenu de la publicité confère un message aux consommateurs. La transmission de ce message exige le respect de certaines conditions à défaut de quoi la campagne risque d’échouer.

Les principales règles à suivre

Avant de procéder à quoi que ce soit, la détermination de la cible s’avère indispensable : public (adultes, jeunes ou enfants), professionnels ou collectivité. Par la suite, il faut établir le message. Ce message doit contenir le produit ou le service, objet de la vente, ses atouts, ses fonctionnalités et surtout son historique. Il peut disposer d’un caractère très classique ou académique en fonction de l’objectif de la campagne ou des caractéristiques de sa population cible. Pour garantir le succès du message transmis, la mise en avant du produit ou du service s’avère impérative. Cette remarque demeure valable que ce soit en matière de publicité dans un magazine papier ou sur Internet. 

Bien que la campagne publicitaire pour un magazine papier et celle pour un site Internet visent les mêmes objectifs, il convient de préciser qu’elles manifestent quelques particularités.

La campagne publicitaire pour un magazine papier

Le lecteur consacre généralement 2 à 3 secondes pour lire une publicité. S’il ne trouve rien d’intéressant, il tourne directement la page. Il faut que le message soit non seulement attrayant, mais surtout intéressant aux yeux du type de consommateur visé. Il doit toucher le lecteur et l’inciter à creuser et à déterminer la nature exacte du message. Une excellente publicité doit répondre à quatre critères fondamentaux : l’impact, la mémorisation, la compréhension et le positionnement. Dans ce contexte, la publicité ne doit pas se limiter à attirer l’attention du lecteur. La facilité de mémorisation de la publicité permet à une entreprise d’attirer facilement les clients qui n’hésiteront pas faire des achats. Si le public n’arrive à saisir le sens de la publicité, la transmission du message risque d’échouer. 

La campagne publicitaire sur Internet

Les règles applicables à la campagne publicitaire pour un magazine papier demeurent valables pour une publicité sur Internet. Le monde du web présente des particularités non négligeables, c’est la raison pour laquelle il convient de tenir compte de ces quelques éléments. Les réseaux sociaux constituent un moyen très simple et très efficace garantissant le succès d’une campagne publicitaire. Il faut en profiter. Certes, la majorité de ces plateformes propose des services gratuits, mais pour optimiser la campagne, il ne faut pas hésiter à faire usage de leurs services payants. Si l’entreprise recourt au service d’un site d’annonces, elle doit tenir compte des critères imposés par les moteurs de recherche. Dans ce cas, il faut choisir un site web de qualité, bien référencé et doté d’un meilleur positionnement sur les moteurs de recherche. Le but d’un tel choix vise à assurer la visibilité de la publicité afin de générer de nombreux trafics.