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Pourquoi utiliser le référencement payant sur Google Adwords ?

Apparaître dans les premières recherches de Google peut s’avérer être un véritable défi pour les sociétés en quête de visibilité. Pour autant, il existe des solutions payantes comme Google Adwords pour être dans le top des résultats.

Qu’est-ce que le référencement payant ?

Connu sous différentes appellations comme « liens commerciaux », « liens sponsorisés », « liens payants », Il est désormais devenu courant de parler de référencement payant, c’est-à-dire le SEA (Search Engine Advertising). Lorsqu’une personne utilise le navigateur Google, deux listes de résultats apparaissent : une au milieu de la page qu’on appelle « résultats naturels » classés selon des critères objectifs et pertinents, et sur le côté droit, les résultats provenant de la régie Adwords.  Google exploite son moteur de recherche en vendant un espace publicitaire sous la forme de clics aux annonceurs qui souhaitent apparaître dans les premiers résultats à la suite d’une recherche internet.

En moyenne 30 % des visites de Google sur un site internet référencé proviennent des liens sponsorisés. Le reste, c’est-à-dire 70 %, est issu du référencement naturel.  Ces pourcentages montrent qu’avant de se lancer dans une campagne de mots-clés sponsorisés, il ne faut pas négliger de maîtriser, avant tout, le référencement naturel même si les deux méthodes restent complémentaires.

À quoi sert-il et comment fonctionne-t-il ?

Google Adwords représente un support publicitaire où vous avez une totale maîtrise du texte affiché et de la page sur laquelle les lecteurs vont atterrir. Il va permettre de rendre instantanément visible le site internet de l’entreprise dans les moteurs de recherche. Et c’est là son intérêt.

Le principal avantage d’Adwords demeure sa grande réactivité par rapport au référencement naturel qui peut prendre du temps. Une fois lancée, la campagne apparait dans les pages de résultat en moins de dix minutes en moyenne. Mais ce n’est pas tout, les sites qui ont payé peuvent voir leur site présent aussi sur Gmail, sur les moteurs de recherche partenaires de Google comme par exemple AOL ou Free, sur des sites personnels ou sur des applications de Smartphone. Beaucoup d’entreprises utilisent le référencement payant comme seul moyen de visibilité, ce qui prouve son efficacité. Mais Google Adwords possède aussi un côté pratique puisqu’il permet de recueillir des informations sur les coûts, les gains, les mots-clés ciblés, le nombre de clics. Toutes ces informations restent utiles pour définir avec précision le retour sur investissement (ROI – Return On Investment). Apparaître en haut du classement dépend de plusieurs critères comme le montant que l’on paye au clic (plus on paye, plus on se situe en haut de page), le nombre de clics sur l’annonce, le nom du domaine, les mots-clés qui sont présents sur la page d’accueil. Ces critères sont nommés par Google le “Quality score” qui constitue la concordance entre la publicité et les indicateurs de Google. Adwords demeure un moyen rapide d’être visible sur le moteur de recherche qui représente 93,5 % de parts de marché dans l’hexagone devant ses concurrents Bing et Yahoo (qui comptent respectivement 2 % et 1,3 % de part du marché). Bien maîtrisé, l’outil peut devenir indispensable à tous ceux qui veulent s’imposer sur Google, mais mal utilisé, il peut vite se transformer en véritable gouffre financier. De nombreuses nouvelles entreprises se sont positionnées rapidement sur ce marché comme eskimoz.fr qui nous explique d’ailleurs en vidéo l’axe stratégique pour améliorer sa visibilité sur Google. Ces « agence adwords » accompagnent les sociétés dans une stratégie de référencement payant avec pour objectif le résultat.

6 start-up qui ont su surfer sur la vague du coaching

À l’instar d’un coach sportif sollicité pour former des champions, le coach d’entreprise est destiné aux sociétés ambitieuses qui veulent devenir des piliers économiques. Les carnets de commandes des spécialistes de coaching ne désemplissent pas, mais comment expliquer un tel succès dans ce secteur d’activité naissant ?

LE COACHING ET LES ENJEUX FUTURS

L’association du management et du coaching est devenue une pratique courante.
Les chiffres avancés par la Société française de Coaching parlent d’eux-mêmes avec une estimation de marché de 105 millions d’euros et pas moins de 1 500 professionnels au service des entreprises nationales et multinationales, dont la majorité est accréditée par une organisation. Spécialisés en management et en relation humaine, les coachs apportent un souffle nouveau aux PME et TPE, leur permettant de mieux s’adapter aux nouvelles données du marché. Plus de 50 % des entreprises coachées concernent le secteur tertiaire et 41 % l’industrie, mais l’effervescence du coaching touche de plus en plus l’ensemble des professionnels.

SIX EXEMPLES DE RÉUSSITE

Le coaching est un marché en expansion avec la montée en puissance des start-up qui exercent avec de plus en plus de succès.

La société de coaching Caminéa en est un exemple. Sa réussite repose sur son concept innovant du « management sourire« , ancré sur les principes fondamentaux du respect et de la confiance. Les résultats sont probants pour les entreprises qui font appel à ses coachs expérimentés et motivés.

Chez UPnUp Coaching qui compte à son actif plus de 200 coachs, on propose également des solutions sur-mesure et de qualité pour accompagner des organisations, des directions de managers, etc. Certifiés par les grandes écoles de coaching, ses intervenants sont régulièrement en mission chez l’Oréal, Leaderprice, Toyota ou encore Alter.

Les sociétés de coaching chaperonnées par la SFCoach et la Fédération Francophone de Coachs se portent bien également. Leurs performances engendrent de nouvelles vocations dans le secteur du coaching. Les interventions d’accompagnements entrepreneuriales se concrétisent dans de meilleures conditions et les résultats sont satisfaisants pour l’ensemble de la profession.

New Horizon s’affiche quant à elle, comme une référence en matière de coaching, avec des méthodes inédites pour renforcer l’esprit d’équipe et permettre aux dirigeants de devenir des leaders nationaux ou internationaux.

Dans le 4e arrondissement à Paris, L’institut du Selfcoaching offre pleine satisfaction dans son cabinet de conseil en conduite de changement de carrière auprès des professionnels bancaires, du bâtiment ou encore dans le secteur des cosmétiques: Adidas, la Banque de France, le groupe BPCE ou encore Guerlain ont bénéficié de ses services hautement performants.

Pour répondre aux demandes urgentes Petite Entreprise.net propose des solutions radicales en une heure. Avec ses 2000 conseillers, sa réussite dans le coaching repose sur sa proximité avec sa clientèle puisqu’elle est présente dans toute la France.

COACH OU DÉVELOPPEURS DE RICHESSES

Il faut compter en moyenne entre 5 000 et 7 000 euros l’intervention d’un coach pour une mission en entreprise. Les experts du coaching se définissent comme des « développeurs de richesses humaines« , des intervenants formés pour aider les entreprises à créer, développer et résister face à la crise et la concurrence de plus en plus rude.

Qu’elles soient des multinationales, des start-up ou des PME et TPE, toutes témoignent de leur grande satisfaction bien que la profession de coaching soit encore très récente et peu réglementée.

Trois entreprises championnes dans la diversité et la responsabilité sociétale

L’économie d’aujourd’hui et les habitudes de gestion des entreprises sont des domaines qui ont grandement évolué. Ces évolutions ne sont pas prêtes de se terminer tant la plupart des entreprises prennent à cœur leur rôle dans la société. Et pour toujours plus mettre en avant ces entreprises, un trophée a même été décerné il y a peu de temps aux meilleurs acteurs et meilleures entreprises de la grande consommation ayant tout mis en œuvre pour assumer et prendre en charge leur RSE. Voici 3 entreprises championnes dans la diversité et la responsabilité sociétale.

Dans le domaine de l’intégration du handicap : Brico Dépôt

Une politique de sensibilisation très importante afin d’encourager toutes les équipes de l’entreprise à intégrer des salariés handicapés et à adapter les processus de vente, de production, de gestion pour ces salariés, voilà quelle est l’idée majeure d’une des entreprises spécialisée dans le secteur du bricolage, Brico Dépôt. De nombreuses campagnes de communication ont donc été menées au sein de la société, mais également à l’extérieur, et ce, depuis 2009, c’est dire depuis l’engagement de cette entreprise. À noter tout de même que la direction a dû faire face à des problèmes importants d’organisation managériale et d’adaptation, mais c’est un défi qui a été relevé avec brio à en voir les résultats. De nombreuses autres sociétés se sont penchées sur le cas de Brico Dépôt pour tenter de percer les mystères d’une véritable mutation couronnée de succès engagée par cette entreprise depuis quelques années maintenant.

Dans le domaine de la responsabilité environnementale : Carrefour

Avec son plan national baptisé « Anti-Gaspi« , l’enseigne de supermarchés Carrefour a tout mis en œuvre pour mettre fin à des problèmes récurrents dans nos sociétés développées : le gaspillage des denrées alimentaires. L’opération, largement relayée dans les médias, a donc été soutenue par le Ministère français de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, et ceci dans le but de mobiliser toutes les parties prenantes de l’entreprise, mais également d’autres acteurs majeurs dans notre société. L’idée principale était de tout mettre en œuvre pour réduire la quantité de denrées alimentaires sorties des stocks et tout bonnement jetées à la poubelle. En raison de la nouvelle loi sur l’autorisation faite aux entreprises de supermarchés de donner leurs biens périmés aux associations, il y a fort à parier que l’action du groupe Carrefour soit à l’origine d’un véritable changement des mœurs et l’intellect collectif.

Dans le domaine de la parité hommes-femmes : Vente-privée.com

Le site de vente en ligne au succès retentissant s’est largement distingué grâce à sa volonté de favoriser la progression des salariées, et ce, par le biais d’une politique familiale dynamique garantissant une parfaite égalité entre les hommes et les femmes au sein de l’entreprise. Quel que soit le niveau hiérarchique, on ne retrouve chez Vente-privée.com aucune égalité de salaire, de qualification ou de responsabilité. Et cet engagement-là, initié depuis de nombreuses années maintenant dans l’entreprise, lui vaut ce trophée; une récompense pour une entreprise engagée dans sa responsabilité sociale.

Quelles seront les 10 prochaines innovations de cette année ?

L’une des plus grandes universités du monde, le MIT, a dressé dans sa revue les principales innovations technologiques attendues pour 2015, en cours de développement ou encore balbutiantes. Quelles sont donc les grandes innovations de demain ?

Les objets virtuels

La start-up Magic Leap développe un concept original qui devrait voir le jour dans les prochains mois. Des lunettes spéciales vont permettre de faire apparaître des objets virtuels au sein d’un espace réel, qui pourront être palpables comme de véritables objets !

Les nano-treillis

Les chercheurs de l’Institut de technologie de Californie travaillent sur un projet baptisé Nano-Architecture, ayant pour but de mettre au point des matériaux légers et extrêmement résistants, capables de se déformer sans jamais se briser. Ces nano-treillis intéressent déjà fortement l’industrie automobile.

La communication entre véhicules

General Motors travaille au développement d’une nouvelle technologie susceptible de bientôt équiper ses voitures. Il s’agit d’un prototype qui pourra prévenir les risques de collision, en détectant les déplacements de tous les autres véhicules dans un rayon de plusieurs centaines de mètres.

L’accès à Internet par ballons stratosphériques

Le projet Loon de Google pourrait être une révolution dans les prochains mois. L’idée est de mettre en place un accès internet universel, en utilisant pour cela des ballons stratosphériques économiques ayant les mêmes capacités que des satellites géostationnaires. Un projet ambitieux, à suivre de près.

La biopsie liquide

Plusieurs universités, notamment aux Etats-Unis, en Chine et en France travaillent sur ce procédé de biopsie liquide. Il s’agit d’une alternative médicale aux prélèvements de tissu pour le dépistage d’une tumeur. Cette technique permettra de diagnostiquer plus tôt des cancers, et donc d’augmenter le taux de rémission.

La désalinisation de l’eau de mer

Déjà connu, le procédé d’osmose inverse pour rendre potable l’eau de mer est en passe de connaître un développement important. Jugé trop onéreux jusque-là, le principe a été perfectionné et plusieurs grandes usines de dessalement sont en cours de construction en Israël. Il s’agit d’une immense avancée pour assurer les besoins mondiaux en eau potable.

Le paiement sans contact

Différentes sociétés comme Apple sont en train de mettre au point ce système pour le marché américain, qui pourrait connaître sa généralisation en 2015 et 2016. L’idée est de permettre des paiements dématérialisés pour l’ensemble des achats du quotidien, sans plus passer par la classique carte bancaire.

Les cerveaux embryonnaires

Il s’agit d’une alternative médicale aux prélèvements de tissu pour le dépistage d’une tumeur. Ces mini-encéphales permettent d’étudier le fonctionnement des neurones et de mieux comprendre certaines maladies comme l’autisme et l’épilepsie.

Le perfectionnement de la photosynthèse

Des généticiens philippins et britanniques sont en train de concevoir une technologie révolutionnaire dans le domaine agricole. Des modifications génétiques adaptées donnent la possibilité de développer la photosynthèse des plantes, pour créer des plants de riz ou de blé bien plus productifs.

Le moteur de recherche pour l’ADN

L’Alliance mondiale pour la génomique et la santé, avec l’apport financier de Google, travaille enfin à cette innovation majeure. D’ici quelques mois, la base de données Beacon rassemblera des profils génétiques du monde entier, une avancée qui permettra de faire progresser la recherche médicale.

Les actes les plus fous d’entrepreneurs pour faire passer un message ou défendre une cause

Parce que souvent un grain de folie est nécessaire pour faire passer un message ou défendre une cause, de nombreux entrepreneurs ont eu recours à des actions iconoclastes. Certains d’entre eux ont ainsi trouvé l’idée qu’il fallait au bon moment ou la formule choc pour communiquer, mais qui sont ces entrepreneurs audacieux et novateurs ?

Un grain de folie nécessaire pour entreprendre

Une idée, une formule ou un concept nécessitent parfois une action qui marque les esprits. Soutenir une action humanitaire, se démarquer de la concurrence ou encore faire passer un message, les entreprises ont besoin d’idées originales voire farfelues pour se distinguer des autres.

C’est ainsi le cas de l’ex fondateur et PDG du groupe Virgin, Richard Branson, qui pour assurer la publicité de la multinationale n’a pas hésité à traverser la Manche en kitesurf le 1er juillet 2012 ou encore effectué une traversée de l’Atlantique en ballon gonflable ! Très impliqué dans le monde associatif, le grand public se souvient alors des actions marquantes de l’entrepreneur. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le britannique âgé de 65 ans a le projet fou de commercialiser des voyages dans l’espace et de créer une compagnie de vols spatiaux via sa filiale Virgin Galactic.

Bill Gates reverse 95% de sa fortune personnelle

Créée en 1994 afin d’apporter sa contribution au soutien des populations défavorisées, la fondation Bill et Melinda Gates a dépensé près de 50 milliards de dollars ! L’ex fondateur et PDG de Microsoft n’a ainsi pas hésité à se retirer du monde des affaires pour gérer des fonds humanitaires plus importants que ceux de l’Organisation Mondiale pour la Santé. Bill Gates a en effet reversé la quasi-totalité de sa fortune personnelle estimée à plusieurs dizaines de milliards de dollars afin de lutter contre la famine dans les pays du Tiers monde et aider à l’éducation et la santé en Afrique.

Un tour du monde des start-up à vélo

C’est le projet décalé et un peu fou de Thomas Despin, un jeune entrepreneur bordelais. Afin d’assurer la promotion et la diffusion d’un entrepreneuriat à échelle humaine aux quatre coins du globe, ce dernier a décidé d’entamer un périple à vélo autour du monde. Ce projet de partir à la rencontre d’une centaine de start-up lors de son voyage, permet à cet entrepreneur d’un nouveau genre d’inspirer les jeunes à créer leur entreprise. Dans le cadre de son périple, Thomas Despin envisage alors de filmer son voyage et de diffuser en direct sur les réseaux sociaux via Startup Cycling ses rencontres.

Warren Buffet veut payer plus d’impôts !

Œuvrant depuis quelques années en faveur de l’humanitaire, Warren Buffet dont la fortune est estimée à plus de 66 milliards de dollars a soutenu publiquement une action en faveur d’une meilleure redistribution des richesses. L’homme d’affaires américain a ainsi publié dans le New York Times les chiffres de son imposition, à savoir qu’il a payé 6 millions de dollars. Constatant qu’il payait moins d’impôts que ses collaborateurs, Warren Buffet a alors encouragé les plus grosses fortunes du monde à payer plus d’impôts et à redistribuer une partie de leur immense fortune à des œuvres caritatives. Joignant le geste à la parole, le multimilliardaire a ainsi annoncé une donation de près de 37 milliards de dollars à la fondation Bill Gates !

Quels conseils suivre pour créer une application efficace pour son entreprise ?

Avec la place prise par les smartphones dans la vie quotidienne, de nouvelles applications voient régulièrement le jour. Pour les entreprises, il apparaît intéressant de mettre au point des applications mobiles adaptées tant aux besoins de leurs employés que de leurs clients. Quels sont donc les bons conseils pour mettre au point une application mobile pour son entreprise ?

Penser à l’expérience de l’utilisateur

Une application pour tablette ou smartphone répond à des problématiques complètement différentes qu’un logiciel pour PC ou un ordinateur portable. L’application mobile envisagée devra se baser sur la taille d’écran bien différente, les ressources de calcul moindres et les dispositifs de saisie spécifiques. L’interface se doit d’être intuitive pour les utilisateurs et adaptée à son support : copier celle d’un produit pour ordinateur serait une grave erreur. Quel que soit le rôle rempli par l’application, il est donc absolument nécessaire que la qualité de l’expérience utilisateur soit au cœur de sa conception.

Exploiter les différents accessoires

De nos jours, la plupart des supports mobiles du marché disposent de fonctionnalités et d’accessoires particuliers, tels que la 3G ou la 4G, la prise de photos et de vidéos, le GPS, le Bluetooth ou le Wi-Fi. Dans ce contexte de performance, l’application mise au point pour l’entreprise ne peut être conçue sans prendre en considération ces éléments.

Le logiciel devra savoir tirer le meilleur de ces fonctions spécifiques aux appareils mobiles existants sur le marché. On peut penser notamment à une réorientation de l’écran quand l’appareil est placé horizontalement, à la possibilité de télécharger des photos dans le système distant ou à l’envoi de mises à jour basées sur la géolocalisation.

Adapter l’application au contexte de l’entreprise

Il faut également garder à l’esprit que l’application sera utilisée au sein de l’entreprise, ou en fonction de ses activités. Par conséquent, votre application d’entreprise doit être en mesure d’intégrer des services d’application tierce pertinents. On peut évoquer des fonctions intégrant le flux des réseaux sociaux, des informations sur la circulation routière ou encore un système de cartographie. On ne doit pas non plus oublier que l’application mobile sera utilisée dans le cadre professionnel. A ce titre, un examen de sécurité minutieux doit entourer ses fonctions, comme pour tout logiciel de bureau.

Le caractère pratique de l’application dans le cadre de l’entreprise doit être au centre des préoccupations au moment de sa conception. Il ne peut être un simple portage sur support mobile de services d’entreprise déjà existants, ni d’un gadget n’apportant aucune plus-value aux salariés durant l’exercice de leur travail. L’objectif de toute application est d’enrichir l’expérience quotidienne des utilisateurs.

Une application d’entreprise doit donc permettre aux employés d’être plus productifs et plus motivés, ou encore de recevoir une aide concrète pour l’exécution de certaines tâches. Un mécanisme de mise à jour des données en temps réel peut notamment s’avérer pertinent. Une application permettant de gagner du temps, ne serait-ce que quelques minutes sur chaque processus, peut avoir un véritable impact positif dans le fonctionnement de l’entreprise.

Pourquoi les patrons français s’exportent de plus en plus à l’étranger

Qu’ils créent leurs entreprises à l’étranger où qu’ils soient courtisés par des grands groupes internationaux, de plus en plus d’entrepreneurs et de haut cadres français font le choix d’exercer leurs talents à l’étranger où leurs compétences semblent reconnues à leur juste valeur. D’où vient le succès des patrons français aux quatre coins du monde ?

Un mouvement d’expatriation qui ne se dément pas

Depuis quelques années, l’appel des sirènes internationales a séduit de plus en plus d’entrepreneurs hexagonaux. Par exemple, le groupe allemand de grande distribution Metro a offert en 2012 la division des hypermarchés Real à Didier Fleury, en provenance de Carrefour. En 2014, Didier Leroy devient vice-président exécutif de Toyota, premier constructeur mondial : une véritable révolution pour le groupe nippon. Dans le secteur pharmaceutique, les français sont particulièrement courtisés : on pense à Pascal Soriot, qui est à la tête du suédo-britannique AstraZeneca ou à Christophe Weber, patron du japonais Takeda. Ces managers formés en France et très courtisés à l’étranger par des multinationales ne sont pas les seuls à s’exporter. De plus en plus de jeunes entrepreneurs fondent des start-up en dehors de la France, avec succès. C’est le cas d’eXo Platform, start-up d’édition de logiciels, dont le PDG est Benjamin Mestrallet qui a choisi d’installer le siège social de sa société en pleine croissance en Californie. Selon une étude de l’EDHEC réalisée en 2015, 69% des élèves des prépas commerciales souhaitent s’expatrier à la fin de leurs études. 

La bonne réputation de la formation française

Quelle est la recette du succès des « frenchies » en dehors de nos frontières ? La raison principale réside sans doute dans la bonne réputation de la formation française. Les managers français sont réputés pour leur rationalité, leur esprit d’analyse et de système. Ainsi, parmi les entrepreneurs français présents au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas 2015, la quasi-totalité d’entre eux ont suivi jusqu’au terme leur formation en France (Paris 6, HEC et ESIEE étant les plus représentés parmi eux). Hubert Joly, lui-même diplômé d’HEC, directeur général de l’américain Best Buy résume ainsi les qualités perçues outre-manche des managers français : « les Américains reconnaissent aux Français une formation aux fondations fortes et une vraie culture ».

Les dirigeants et entrepreneurs français posséderaient un autre avantage de taille. Beaucoup ont déjà été à la tête d’une structure privée en France, où la gestion d’une entreprise est réputée difficile du fait de l’environnement culturel et réglementaire. Alain Casparros, haut dirigeant du groupe allemand de supermarché Aldi, confirme cet état de fait en expliquant que gérer une entreprise en France est nettement plus difficile qu’en Allemagne.

Une obstination à quitter la France ?

Enfin, la dernière explication de ces succès à l’international est plus prosaïque. D’une part, la grande majorité des décideurs français ou étudiants dans une école de commerce ou d’ingénieurs possèdent déjà une expérience d’expatriation temporaire à l’étranger (plus de 40 000 étudiants des grandes écoles françaises font chaque année une partie de leur cursus à l’étranger). Par ailleurs, 15% des jeunes diplômés s’expatrient à la fin de leur cursus (dont plus de 35% de ceux d’HEC). Une majorité d’entre eux déplorent l’environnement social et l’état de l’économie, selon une étude réalisée en 2014 par l’IFOP. Et si le succès des français à l’étranger ne venait finalement pas simplement de leur obstination à partir de France ?

Ces start-up spécialisées dans les événements

L’événementiel intègre de nombreuses prestations et services dans différents domaines : voyages d’entreprise, soirées à thème, congrès et séminaires, événements sportifs, … Afin de communiquer et organiser un événement en particulier, les start-up rivalisent d’ingéniosité en proposant des offres sur-mesure aux particuliers comme aux entreprises. Quelles sont alors ces jeunes entreprises qui œuvrent dans l’événementiel et proposent des solutions innovantes ?

Une Destination Management Company

Oreva France est spécialisée depuis 13 ans en France dans l’organisation de voyages d’affaires, d’animations et manifestations culturelles et sportives. La start-up bénéficie ainsi d’un réseau composé de 6 agences réparties dans tout l’hexagone, afin d’offrir un service personnalisé aux entreprises. Traitant près de 600 dossiers chaque année, Oreva France propose son expertise dans l’organisation variée d’événements originaux comme une journée en mer à bord d’un voilier, une soirée thématique au Louvre, ou encore une chasse au trésor en zodiac sur la Seine.

Faciliter l’organisation d’événements festifs

Happhapp propose à ses clients d’organiser et de prévoir tous types d’événements festifs et autres soirées à thème. Le site offre en effet un service complet de mise en relation des internautes avec des prestataires spécialisés. Afin d’épargner un temps non négligeable, la start-up propose à ses clients un questionnaire détaillé pour cerner au mieux leurs besoins, et planifie ensuite un événement en fonction des réponses fournies. De la recherche d’un traiteur à la location d’une salle et du matériel, Happhapp offre des prestations personnalisées en fonction du budget alloué.

Le marketing sportif

Très en vogue aujourd’hui, le marketing sportif constitue une solution idéale pour organiser une manifestation sportive dont les retombées profitent au monde de l’entreprise. Quaterback est ainsi une agence spécialisée qui propose aux professionnels d’assister à des événements sportifs dans le cadre de leur communication. Implantée à Paris et à Marseille, l’agence fournit des prestations sur-mesure aux entreprises pour fidéliser leur clientèle et développer leurs relations professionnelles.

La conception de séminaires

Selon un cahier des charges précis, Magellan Organisation prépare et organise des séminaires pour les entreprises en France et à l’étranger. Avec un budget et des exigences propres, la start-up prend en charge tous les séminaires de A à Z en établissant un Road Book détaillé. Les entreprises disposent alors d’un grand choix de destinations comme Marrakech, la Côte d’Azur, ou encore la Laponie et le désert tunisien.

L’événementiel 3.0

Profitant de l’apport du numérique à la préparation d’un événement particulier, IKcom innove en commercialisant un logiciel d’analyse des données sur les réseaux sociaux. Propice à un travail de recherche en amont afin de dénicher les événements les plus populaires auprès des internautes, l’application Xink de la plateforme permet de trouver tous les partenaires adaptés. En scannant l’ensemble des réseaux sociaux, le logiciel élaboré par IKcom profite aux entreprises dans leurs campagnes promotionnelles et organisation de communication événementielle.

Congé maternité et entrepreneuriat au féminin : quelques conseils pour bien gérer

Si 60% des femmes âgées de 18 à 29 ans pensent devoir mettre leur carrière en pause pour devenir mère (étude IPSOS), cela ne peut pas être une option pour les femmes entrepreneures. Elles ont, en parallèle de leur grossesse, à s’occuper de leur entreprise. Mais comment bien gérer le congé maternité et la diminution d’activité qui y est liée ?

S’assurer un revenu durant le congé maternité

Afin de ne pas souffrir financièrement de l’arrêt de leur activité, les femmes chefs d’entreprises peuvent bénéficier, grâce au Régime Social des Indépendants, d’un congé maternité indemnisé. En adressant à leur organisme conventionné un certificat d’arrêt de travail et une déclaration sur l’honneur attestant de l’interruption d’activité, les femmes entrepreneures bénéficient d’indemnisations calculées en fonction du montant annuel perçu durant les 3 dernières années d’activité. Cependant, certaines conditions sont à respecter : l’indemnité est versée si l’activité est interrompue durant 44 jours consécutifs, dont 14 jours avant la date présumée d’accouchement. L’arrêt de 44 jours peut être prolongé d’une ou deux fois 15 jours consécutifs. Afin de palier la diminution d’activité et de productivité entourant le congé maternité, une allocation est également versée aux femmes entrepreneures. La première partie étant alors versée à la fin du 7ème mois de grossesse et la seconde après l’accouchement.

L’annonce

Si les femmes entrepreneures n’ont pas à annoncer leur grossesse à leurs supérieurs hiérarchiques elles se doivent cependant d’en informer leurs clients, fournisseurs, employés et collaborateurs. Cela leur permettra de comprendre la diminution ou l’arrêt d’activité mais également de s’organiser en l’absence de la chef d’entreprise. L’annonce doit être faite au bon moment (pas trop tard) pour que des solutions satisfaisant les besoins des clients durant le congé puissent être trouvées. L’annonce du départ doit également servir d’annonce de la date de retour. Cela souligne que l’entrepreneure reste une professionnelle fiable et qu’elle ne quitte pas le marché. Les clients et collaborateurs s’organiseront alors en prenant en compte cette date de retour plutôt qu’en faisant appel à une autre entreprise.

La préparation du congé maternité

Une fois l’annonce faite, il est important pour les femmes entrepreneures de préparer leur départ et leur période d’inactivité. Un congé maternité étant prévisible, il est alors aisé de l’anticiper. Préparer le départ passe notamment par la finalisation des dossiers en cours, la préparation d’un planning pour les employés (s’il y en a)… Une bonne gestion de la période de congé est également importante pour éviter les dysfonctionnements de la société en l’absence de la chef d’entreprise. Celle-ci doit alors se charger, avant son départ, de désigner un remplaçant et de faire passer ses consignes.

Anticiper son retour

La reprise du travail peut être difficile pour les femmes entrepreneures si celles-ci n’ont pas anticipé leur retour. Bien entendu, le congé maternité n’est pas une période de travail mais cela n’empêche pas de rester en contact avec ses employés et collaborateurs. Avant de revenir, il est ainsi préférable de s’informer sur les dossiers en cours, les tâches à accomplir ou encore les problèmes éventuels. De même, il est judicieux de reprendre contact avec le monde professionnel quelques jours à l’avance afin de rappeler son retour et sa présence sur le marché. Ce contact peut être l’occasion de prévoir des rendez-vous avec les clients et collaborateurs afin de faire le point et développer de nouveaux projets.

Facebook et Twitter, des business models à imiter ?

En moins de dix ans, l’outil formidable qu’est Internet a grandement révolutionné nos modes de vie. Facebook et Twitter reflètent à eux-seuls cet impact : des changements radicaux, des habitudes nouvelles, des modes de réflexion bouleversés. Pour les consommateurs comme pour les entreprises, ces deux réseaux sociaux apportent un lot considérable de possibilités nouvelles. Mais une question demeure : la stratégie mise en place par ces deux mastodontes de l’Internet peut-elle permettre à d’autres entreprises, pas nécessairement du même secteur, de faire fortune ? Comment s’en inspirer pour tenter de l’apposer au mode de fonctionnement de notre propre structure ou de notre projet futur ?

De véritables cash-machines

Allons tout de suite à l’essentiel : Facebook et Twitter sont de véritables machines à gagner de l’argent. Alors qu’il y a encore quelques années, Mark Zuckerberg, le désormais célèbre CEO de Facebook, rechignait encore à l’idée d’axer la stratégie de son réseau social sur la publicité de contenus, il y a fort à parier qu’il ne regrette pas son changement d’avis. Facebook a gagné en 2014, selon des cabinets spécialisés d’analystes américains, 10,04 dollars par utilisateur. Les chiffres de Twitter sont un peu plus faibles (à 5,48 dollars par utilisateur) mais ils restent tout de même très encourageants. Mais comment ces deux réseaux sociaux font pour autant monnayer leur audience ?

Une stratégie simple mais efficace

Facebook et Twitter monnaient leur audience en passant des accords avec d’autres entreprises parmi les plus grandes du monde, pour leur ouvrir les portes de leur réseau social. La stratégie est gagnante lorsque l’on sait qu’ils rassemblent, par jour, plusieurs centaines de millions d’utilisateurs (1,49 milliard au total pour Facebook et 304 millions pour Twitter). C’est une garantie certaine pour une entreprise X souhaitant toucher une large audience que de passer des pages de publicités ou de simples petites images sur de tels sites. Mais comment donc tenter de mettre en œuvre cette stratégie de publicité ailleurs que sur un réseau social ?

Un modèle compliqué à mettre en œuvre ailleurs

Soyons clairs : il est très compliqué de s’inspirer de la stratégie de Facebook et de Twitter ailleurs que sur des réseaux sociaux. Mais cela reste tout de même tout à fait possible. En tant que chef d’entreprise ou cadre dirigeant, il vous sera nécessaire pour tenter de gagner de l’argent, de bien identifier l’audience du site de votre entreprise, la nature de votre clientèle, et ce dans le but de cibler les publicités à mettre en place. D’autres entreprises souhaiteront utiliser l’espace publicitaire de votre site Internet si l’audience et la nature de votre clientèle en vaut la chandelle. C’est là une force majeure de Facebook et Twitter : rassembler des personnes de tous horizons, de tous âges, mais qui feront face de la même manière aux publicités proposées : un coup d’œil rapide mais une trace laissée dans l’esprit. C’est cette stratégie-là que vous devez viser !