Accueil Blog Page 905

Interview de Farid Mokart, Cofondateur de l’agence Fred & Farid

Interview de Farid Mokart, cofondateur de l’agence Fred & Farid, qui a su se développer à l’étranger pour devenir aujourd’hui le premier groupe français indépendant de créativité digitale.

Quel parcours avez-vous suivi étant plus jeune ?

Après un master spécialisé dans le commerce extérieur puis un parcours à Sciences Politiques et un DEA de stratégie industrielle, je suis entré dans une agence de communication. C’est là-bas que j’ai rencontré Fred. Il occupait à l’époque le poste de planneur stratégique. Quant à moi, j’officiais comme commercial. Mais nous n’étions pas à notre place dans notre travail. Nous avons donc décidé de nous lancer dans la création. Très rapidement, nous sommes devenus les plus jeunes directeurs de création en France.

C’est à ce moment là que vous décidez de monter votre entreprise ?

Nous avons vécu d’autres expériences professionnelles auparavant. Après plusieurs prix décernés pour nos campagnes de communication, nous avons d’abord été débauchés par l’agence BBH à Londres. Nous travaillions alors sur le lancement des consoles de jeux Xbox. Puis nous avons été embauchés à San Francisco dans l’agence digitale n°1 aux États-Unis. Au bout de quatre ans et demi, un groupe nous a demandé de rentrer en France. C’est alors que nous avons lancé l’agence Marcel qui existe encore aujourd’hui. Dix huit mois après, nous avons créé la marque Fred & Farid.

Était-ce important de mener ce projet à deux ?

Lorsque l’on a la possibilité de travailler avec son meilleur ami, c’est toujours plus facile de se lancer dans une aventure entrepreneuriale. Nous partageons les mêmes valeurs de l’entreprise donc nous devions mener ce projet commun, c’était en quelque sorte un passage obligé.

Avez-vous changé votre manière de manager depuis la création de votre entreprise ?

En dessous de cent salariés, l’entreprise fonctionne à l’énergie et à la passion. Notre mode de management suivait un modèle horizontal au sein duquel tous les collaborateurs demeurent au même niveau hiérarchique. Au-delà, il faut commencer à structurer un minimum les processus. C’est ce que nous avons fait. Mais nous avons la chance d’avoir des collaborateurs talentueux qui nous suivent depuis l’aventure Marcel. Nous avons également accueilli beaucoup de nouveaux membres dans la famille Fred & Farid.

Quel regard portez-vous sur le secteur de la création ?

Cela dépend du point de vue. À l’étranger, la communication a totalement changé. Il y a cinq ans, nous parlions de révolution digitale. Aujourd’hui, notre mode de vie, nos usages, nos comportements, tout demeure digitalisé, c’est un fait. Il en va de même pour notre métier, comme pour les marques que nous accompagnons. À l’international, les entrepreneurs ont pris en compte ce changement. La France reste encore dans une période de transition et c’est dommage. Mais il s’agit d’une époque fascinante. Il existe un très bel écosystème de start-ups, de créations d’entreprise, de nouveaux talents qui émergent autour du digital depuis quelques années. Ces nouveaux acteurs représentent une vraie source de collaboration et d’influence pour qui demeure suffisamment intelligent et comprend le monde dans lequel nous vivons.

Cela a-t-il changé la façon d’aborder un projet publicitaire ?

Complètement ! Avant, la communication consistait à raconter une histoire. Aujourd’hui, cette histoire représente juste le point de départ. Le plus intéressant reste l’écho que vous réussirez à faire passer auprès de votre audience. Lorsque nous acceptons une problématique, nous ne pensons pas aux supports sur lesquels nous allons axer notre travail. Ce qui nous intéresse, c’est la propagation du message et les conversations que cela va générer. La véritable créativité provient de cette caisse de résonnance.

S’agit-il de faire le buzz ?

Nous ne nous levons pas le matin en nous disant que nous allons faire le buzz. Cela ne fonctionne pas de cette manière. Une campagne réussie découle au contraire d’un long travail, bien pensé en amont. Si l’on prend l’exemple de la blague Carambar (la marque avait fait croire qu’ils arrêtaient les blagues, ndlr), il s’agit en effet d’un buzz. Mais ce dernier reste bâti sur une réalité. La marque avait oublié qu’elle pouvait faire rire les gens et que sa communication pouvait être le reflet de son produit. Si une campagne de communication devient un sujet de conversation, c’est que nous avons bien fait notre métier.

Quelles sont les qualités d’un bon publicitaire ?

Les gens n’attendent rien de la publicité. Pour eux, il s’agit d’un moment forcé. Tout notre art consiste à le transformer en un instant agréable. Pour cela, il faut les surprendre en leur transmettant une émotion particulière qui suscite le débat. En ce sens, le décalage devient nécessaire. Il faut acquérir des qualités d’observation et comprendre le monde dans lequel nous vivons, qui est à la fois physique et virtuel. Le digital fait partie intégrante des transformations de notre société. Les gens vivent de manière connectée en permanence. Je ne conçois pas l’avenir de la publicité sans la prise en compte de cette thématique. Le communicant doit toucher à cette ubiquité que possèdent les gens auxquels il s’adresse.

Quels sont les clés de la réussite de Fred & Farid ?

L’entreprise s’est construite sur la prise de risque. Nous l’assumons. Réussir devient plus facile quand la peur du risque ne constitue pas un frein au développement de la société. De fait, nous nous posons moins de questions que les autres. S’ajoute à cela le fait que nous exerçons ce métier par passion. Il est toujours plus facile de se développer lorsque l’on réalise des choses que l’on aime plutôt que de se trouver contraint de les faire.

Comment conciliez-vous vie personnelle et professionnelle ?

Nous possédons tous les deux des femmes exceptionnelles qui comprennent ce que nous faisons et qui savent nous accompagner et nous y encourager. Elles nous ont toujours soutenus et détiennent de l’influence sur ce que nous construisons. Vous savez, la vie ressemble à une table de mixage. Et c’est parce que nous mixons vie professionnelle et personnelle que nous parvenons à l’harmonie !

les Conseils de Farid Mokart

  • Être convaincu de son projet et de l’utilité de le faire. Vous devez également prendre du plaisir dans ce que vous réalisez. Si vous n’en avez pas, construisez-le !
  • Savoir s’entourer. Parce que le talent, c’est aussi celui des autres !
  • Voir les choses en grand. Il ne faut jamais perdre de vue cet objectif. Même si vous constituez une petite structure, vous devez être ambitieux. Cela vous aidera à avancer.
  • Voir plus loin que son quotidien. Il faut s’ouvrir sur l’idée que nous vivons dans un monde où il n’existe plus de distance.
  • Se projeter dans l’avenir. C’est toujours important de visualiser le point d’arrivée.
  • Ne pas s’enfermer dans des particularismes et des préjugés locaux. Cela vous bloquera et vous empêchera d’avancer.

Interview d’Henri de la Motte Rouge

Quel a été votre parcours avant de vous lancer dans l’entrepreneuriat ?

Intéressé par les questions de Droit et de politiques internationales et surtout pour œuvrer à un monde meilleur, je m’étais d’abord orienté vers un premier Master 2 en droits de l’homme et libertés publiques. Néanmoins, lors d’un stage à l’ONU, j’ai pu me rendre compte que travailler au sein d’organisations internationales ne correspondait pas à mes attentes, c’était trop bureaucratique à mon goût. C’est là que j’ai définitivement compris que ma vocation c’était d’être avocat, pour travailler à proximité des clients dans la défense concrète de leurs intérêts.

Digital native, j’ai grandi avec les technologies que j’ai toujours intégrées dans mon quotidien. Je savais que leur usage révolutionnerait le monde. Je me suis donc orienté pour être avocat dans ce secteur où se posait aussi des questions passionnantes de droits fondamentaux (cybercriminalité, vie privées et données personnelles ; liberté d’expression ; droits de propriété intellectuelle … )

A la fin de mes études, j’ai eu la chance de m’enrichir d’expériences professionnelles au sein de structures de premier plan, Direction Juridique de Lagardère Active et cabinet Nomos avant de collaborer au sein du cabinet Alain Bensoussan, leader français en droit de l’informatique.

Pourquoi vous êtes-vous lancé dans l’entrepreneuriat ?

Pour moi, c’était une évidence, à la fois parce que j’ai toujours eu des personnes intéressées par mes compétences même avant d’être avocat mais aussi et surtout car mes activités extra-scolaires et extra-universitaires ont cultivé une fibre entrepreneuriale. J’ai pratiqué jeune la voile en compétition à haut niveau, ce qui a été pour moi une école de la vie professionnelle. Le sportif et l’avocat entrepreneur ont des caractéristiques communes, tels que le goût la compétition et de la progression, le dépassement de soi, l’apprentissage de ces victoires mais aussi et surtout de ses défaites.

En 2012, j’ai donc créé le cabinet, La Motte Rouge Avocat, qui intervient principalement en droit des affaires en fournissant une expertise de pointe en droit des technologies, cybercriminalité, informatique, internet, e-commerce, propriété industrielle et droit des marques. À l’époque, j’étais assez jeune par rapport à la moyenne, la tranche d’âge de création tournant plutôt autour des40 ans alors que moi, j’en avais pas encore 30.

Comment avez-vous fondé votre cabinet ?

La particularité du Cabinet La Motte Rouge tient du fait que pour répondre à un besoin identifié nous avons constitué une équipe pluridisciplinaire. En effet, le cabinet est né de l’alliance innovante d’un avocat et d’un ingénieur Antoine Lerond. Ce dernier est diplômé de Télécom ParisTech et titulaire d’une licence de Droit. Il suit actuellement la formation du CEIPI pour devenir Conseil en propriété industrielle – Brevet.

Nous avons ainsi été des précurseurs convaincus que pour conseiller nos clients au plus juste dans le domaine des technologies il fallait avoir des compétences techniques fortes. Le fait de travailler avec un ingénieur « Legal-tech » nous a aussi permis de développer des outils et méthodes au service de la productivité et de la qualité juridique.

Sur ces questions nous sommes assez en avance. C’est pour ça que j’ai été nommé co-responsable pédagogique du cycle l’ « Avocat Connecté » au côté du Bâtonnier Christiane Feral Schuhl au sein de l’Ecole des avocats de Paris.

Quelles sont les avantages de votre cabinet ?

La marque de fabrique de notre cabinet c’est l’ «excellence accessible».

Ainsi notre priorité est d’offrir un service juridique de haute valeur ajoutée orienté opérationnel et résultat pour le client. Cette expertise, nous la voulons accessible par le biais d’honoraires attractifs. Nous pratiquons une très forte transparence et de la modération sur nos honoraires. Cela nous est possible grâce à la réduction des frais de structure et le développement d’outils technologiques au service de la productivité juridique et parce que nous sommes passionnés par notre métier avant d’être passionnés par l’argent.

Vous avez développé une offre récemment, pouvez-vous nous en dire plus ?

Nous avons lancé en mai dernier une offre qui s’appelle Avomarque dédiée à l’accompagnement des entreprises dans leur dépôt de marques, leur valorisation, mais aussi dans leurs problématiques judiciaires sur le droit des marques. Déposer une marque est un acte simple mais qui présente de vrais risques, ce qu’oublient parfois de préciser certains acteurs. Nous avons développé une méthode pour visualiser ce risque, qui permet de prendre des décisions opérationnelles pour déposer une marque de manière plus sûre et s’éviter des déboires financiers et d’images qui sont très élevés dans ce domaine.

Quel est l’intérêt du crédit impôt innovation ?

Lancé en 2013, le crédit d’impôt innovation (CII) est une mesure à destination des PME qui peine à séduire en France. On estime qu’une entreprise sur trois ignore l’existence de ce dispositif ! Créé depuis deux ans déjà, le CII a du mal à faire son chemin auprès des entrepreneurs, alors que cette mesure est susceptible de donner un véritable coup de pouce à leurs activités. Quels sont donc les points forts du crédit d’impôt innovation ?

Le principe du crédit d’impôt innovation

Il s’agit d’un dispositif d’aide aux entreprises innovantes mis en place par la loi de finances de 2013, qui intervient en complètement du crédit d’impôt recherche (CIR) déjà existant. Cette mesure fiscale apporte un soutien financier aux PME qui décident de réaliser des investissements dédiés à l’innovation. Toutes les sociétés de moins de 250 salariés, avec un chiffre d’affaires n’excédant pas 50 millions d’euros, sont à même de profiter de ce dispositif. Le CII donne accès à des aides concrètes pour entreprendre des dépenses bien spécifiques au sein de l’entreprise. Cela concerne les opérations de conception de prototypes et d’installations pilote autour de nouveaux produits. Les apports financiers fournis grâce au crédit d’impôt innovation peuvent être appliqués à différents types de dépenses, comme les salaires des employés chargés de la création de nouveaux produits ou les frais de prise de brevets.

La complémentarité CII/CIR

Les PME reprochent surtout au dispositif de ne pas concerner le financement des travaux de recherche et de développement, qui entrent toujours dans le cadre du crédit d’impôt recherche. En effet, le taux applicable est de 20 % pour le CII, alors qu’il s’élève à 30 % pour le CIR. Les entreprises se concentrent donc sur le CIR et ignorent en majorité le CII, sans prendre en compte la complémentarité possible entre les deux dispositifs. Il s’agit du principal intérêt de la mesure pour les petites et les moyennes entreprises : ces deux avantages fiscaux peuvent être combinés efficacement pour réduire les frais de manière importante. Beaucoup de sociétés ignorent qu’elles sont éligibles au dispositif du CII, dont les limites sont plus floues que celles du CIR. En réalité, de très nombreuses entreprises peuvent prétendre au CII, même s’il comporte quelques limitations. Ne sont concernées notamment que les innovations produits, et pas les services.

Une augmentation des parts de marché

Si l’intérêt d’utiliser le CII semble peu évident pour bien des PME, les sociétés qui emploient le dispositif se montrent quant à elles très satisfaites des résultats obtenus. Une étude a démontré que sept entreprises utilisatrices sur dix reconnaissent que la mesure leur a permis de lancer plus facilement de nouveaux produits. Plus important encore : une sur deux estime que le dispositif lui a donné la possibilité de gagner des parts de marché, en pouvant proposer un prototype plus rapidement et dans de meilleures conditions. Cette mesure s’avère dans les faits moins simple à mettre en place pour les entreprises que le CIR, car plus restrictive, mais les bénéfices susceptibles d’en être retirés sont nombreux. Les PME souhaitant mettre au point un nouveau produit ont donc tout intérêt à réaliser un dossier solide afin de prétendre au crédit d’impôt innovation

Les applications dont il ne faut pas s’inspirer

Si les applications mobiles ont aujourd’hui le vent en poupe, toutes ne sont pas un modèle de réussite. À vrai dire, bon nombre d’entre elles _pour ne pas dire la plupart – ont essuyé un échec cuisant et sont surtout représentatives d’un modèle sur lequel il est préférable de ne pas miser. Voici quelques types d’applications dont il ne faut pas s’inspirer en raison de problèmes éthiques, de sécurité.

Comment ne pas reproduire les erreurs des entrepreneurs qui s’y sont heurtés ? Petit tour d’horizon des maladresses fatales à ne jamais commettre au travers de véritables insuccès.

Une concurrence accrue

Quelque soit votre statut ou votre influence, n’oubliez jamais qu’il vous sera difficile de percer dans un marché d’ors et déjà saturé.

L’univers du streaming musical en est un exemple poignant; Jay-Z lançait en mars 2015 son application musicale « Tidal », censée révolutionner l’écoute et le téléchargement de titres musicaux. Si le coup de communication faramineux permit à l’application de figurer dans le top 20 des téléchargements de la semaine, Tidal fut un véritable naufrage commercial, rapidement relayé au rang de la 50 ème application musicale la plus téléchargée.
Le constat est évident ; face aux géants Deezer et Spotify, il paraît improbable d’espérer décrocher la première place d’un marché occupé, à moins de proposer une véritable innovation.

En juin 2014, Facebook décida d’officialiser « Slingshot ». Se voulant devenir la concurrente directe du fameux Snapchat, l’application sombra dans l’échec. Aux dires des utilisateurs, aucune nouveauté assez « étonnante » ne suffisait à démarquer Slinshot de Snapchat.

Aussi, une logique entrepreneuriale doit être le fondement de toute création, quelque soit le milieu visé, le but premier étant la séduction d’un public de plus en plus exigeant face à un contenu en perpétuel mouvement. Originalité, innovation et démarcation sont les maîtres-mots de l’entrepreneur numérique.

Ergonomie et utilité

Certaines enseignes se sont brûlées les ailes en tentant le développement d’applications « commerciales ». En 2010, Zara lançait sa première application pour iPhone afin de présenter au public ses nouvelles collections, fréquemment actualisées en fonction des arrivages. En somme, l’idée d’un catalogue virtuel aurait pu être bonne. Plantage absolu ; la navigation fluide et le design épuré n’ont visiblement pas suffi à charmer les acheteurs. Pourquoi ? L’application s’est rapidement révélée comme étant assurément inutile. L’absence de prix, de bons de réduction ou d’informations sur les stocks lui furent fatals.

Une logique économique essentielle

En 2009, Pierre-Olivier Latour inaugurait Everpix, une application révolutionnaire dont l’algorithme était en charge du tri et de l’organisation des photos des utilisateurs. Un concept simple, une idée excellente et de surcroît innovante ; tout convergeait vers un succès retentissant. Celui-ci dura un temps, puis s’écroula sous le poids de contraintes financières de plus en plus éparses. En réalité, une bonne idée ne suffit pas à la durée de vie d’un projet. Les développeurs d’Everpix passèrent une année entière à la création de leur application et déboursèrent près d’un million d’euros, après quoi il proposèrent l’application en téléchargement libre. Seulement, des faiblesses en marketing furent le talon d’Achille d’une application trop peu monétisée.

Dans un monde évolutif et de plus en plus exigeant, il est indispensable d’être à l’écoute des utilisateurs et de rester à l’affût de chaque opportunité. Notons qu’une idée seule ne suffit pas ; un accompagnement en communication et marketing est bien souvent crucial, surtout s’il est agrémenté d’une solide culture numérique nécessaire au développement d’une application à succès. Cet audacieux challenge est dès-lors à votre portée, à condition d’être rigoureux en la matière.

Il surfe sur les opportunités du numérique !

Yves Attias crée son entreprise spécialisée dans le digital à l’âge de 22 ans, alors qu’il est encore étudiant. Huit ans après, il compte parmi ses clients des TPE, des Grands Comptes et des institutions.

Dès l’âge de 18 ans, Yves Attias se passionne pour la création de projets, particulièrement dans l’univers du numérique. « J’ai toujours aimé l’informatique et je me suis intéressé assez vite aux sites internet » raconte l’entrepreneur. Il commence par créer des sites web pour lui-même avant d’en réaliser pour quelques clients. Quatre ans plus tard, en janvier 2006, alors qu’il étudie à l’Institut de Préparation à l’Administration Générale (IPAG), une école de commerce située à Paris, il décide de se lancer en créant une société spécialisée dans le web et le digital qu’il nomme Yateo. « à l’époque, je ne possédais pas forcément de compétences sur Photoshop, ni en matière de développement informatique. Mais mes quelques connaissances et ma passion du digital m’ont convaincu d’entreprendre dans ce domaine » relate le créateur.

En parallèle, Yves poursuit son parcours étudiant. Un an après la création de Yateo, il est recruté par une agence web en qualité de stagiaire. « Je me suis vite intégré car je possédais déjà des compétences dans ce secteur par rapport à d’autres qui découvraient ce milieu » se souvient-il. Malgré le fait que son entourage lui conseille d’abord d’intégrer une grande entreprise avant de se lancer seul, Yves refuse le CDI que lui propose la société afin de poursuivre le développement de son entreprise. « Il faut être têtu lorsque que l’on débute une aventure entrepreneuriale. Si l’on ne croit pas en son projet, il demeure difficile d’aller bien loin » affirme le fondateur.

En 2007, Yves acquiert ses propres locaux à Paris et embauche son premier salarié. « Le lancement a été beaucoup plus lent que je ne l’imaginais. Nous devions petit à petit nous bâtir une réputation, un réseau et une équipe » poursuit l’entrepreneur. Aujourd’hui, l’entreprise emploie une dizaine de collaborateurs. Elle intervient dans quatre domaines principaux : la création de sites web sur mesure, le search, l’optimisation des performances commerciales d’un site et le développement d’applications iOs et Android.

Les clients de l’entreprise demeurent très variés. Ils vont de la TPE-PME aux grands comptes comme BNP Paribas et Lipton.

Avec le recul, l’entrepreneur reste convaincu que l’arrivée d’internet a constitué une chance incroyable pour sa génération. « Avec un peu d’argent et beaucoup de volonté, on peut inventer quelque chose qui est susceptible de changer le monde. En réalité, nous ne sommes qu’au début de la digitalisation du monde » assure Yves qui souhaite désormais continuer la croissance de Yateo pour en faire une grande agence web internationale.

Pourquoi il faut investir dans les fintech ?

Les fintech concurrencent de plus en plus les banques avec leurs produits innovants, reconnus pour faciliter la démarche des clients. C’est un train à grande vitesse qu’il ne faut surtout pas rater en tant qu’entrepreneur. Mais en quoi les fintech sont-ils différents ?

Qu’est-ce que c’est ?

Pour les non-initiés, les fintech ne sont autres que ces entreprises technologiques qui apportent un renouveau au secteur financier et bancaire. Elles investissent dans les services financiers et couvrent de nombreux services comme le paiement en ligne, l’épargne, le financement de projets, les prêts, la gestion de fortune…Les fintech portent bien leur nom puisque leur succès provient de l’introduction judicieuse de la technologie dans la finance.

Une évolution fulgurante

Bien qu’elles commencent leur apparition, les fintech ont su s’imposer avec une vitesse remarquable. Elles représentent 21 millions de dollars d’investissement sur le territoire français et totalisent une évolution de 201 % si l’on se réfère au marché mondial.

Cette croissance exponentielle était attendue du fait que l’économie numérique a su gagner sa place, apportant encore plus de souplesse dans les transactions, à l’image de Bluepaid, créée pour sécuriser les paiements en ligne, désormais acceptés par les entreprises les plus réfractaires. Grâce à Bluepaid, les utilisateurs et les commerçants sont assurés contre les fraudes qui constituaient un frein au développement des transactions numériques.

Une alternative aux banques

Depuis la crise financière de 2008, la confiance des gens envers les banques a changé. Les fintech sont alors apparus comme une alternative au financement traditionnel. Les banques elles-mêmes se sont tournées vers elles pour la mise en place de produits capables de rénover les produits bancaires classiques. Elles commencent aujourd’hui à investir en finançant des incubateurs et en misant sur les start-up.

SharePay illustre parfaitement ce besoin d’innovation des banques. Cette fintech permet de diviser le paiement par carte et d’effectuer deux prélèvements différents pour un même achat ou service. Le titulaire de la carte SharePay décidera le pourcentage de partage, ce qui permet d’échapper aux calculs complexes lors d’un achat commun. Les couples n’ont plus besoin de compte joint puisque la carte se suffit à elle-même pour diviser les charges.

Une innovation continue

L’évolution des fintech continue au point qu’elles commencent à devenir une substitution aux services bancaires les plus basiques. La solution Sesame Touch en constitue une référence frappante. Produit créé conjointement par Ticket Surf International et Trust Designer, qui est un portefeuille électronique intégrant le système biométrique dans sa méthode d’authentification. Il s’impose désormais comme un moyen de sécurisation associé à l’utilisation des smartphones, tablettes…

On voit bien que les fintech commencent à concurrencer directement les institutions financières préexistantes au point de constituer une menace à leur rentabilité. On parle même de risque d’uberisation des banques. Ces dernières ont de plus en plus de mal à s’aligner devant tant de facilité de fonctionnement.

Les nouvelles banques

Les fintech vont encore plus loin quand elles reprennent la main là où les systèmes de financement traditionnels ont échoué.

Finsquare, par exemple, est une plateforme en ligne offrant aux TPE et PME un nouveau mode de financement, fondé sur le système participatif. Ainsi, au lieu de présenter un dossier chez le banquier, ce sont les particuliers, via le crowdfunding qui s’occupent de la partie financière de la création d’entreprise.

Pour résumer, investir dans les fintech équivaut à souscrire une assurance pour l’avenir. La concurrence indirecte qu’ils instaurent à l’égard des banques passe en première ligne pour justifier ce pronostic.

Comment faire pour réussir dans le secteur économique du sport ?

Des marques de vêtements en passant par les entreprises de boissons énergétiques et par les entreprises de technologie dédiée au sport, tout le monde veut sa prendre sa place sur le secteur du sport. Un marché qui, d’ailleurs, ne cesse de se développer à travers le monde et de prendre une importance toujours plus grande dans les pays en développement. 

La question se pose alors de savoir comment réussir dans le secteur économique du sport alors que la bataille fait rage et que les annonceurs sont de plus en plus nombreux à se proposer pour apposer leur marque et laisser une trace dans les plus grands événements de la planète ? Quelle stratégie mettre en œuvre pour être certain de gagner une part de marché conséquente dans un domaine en pleine expansion ?

Taper fort d’entrée de jeu

La première stratégie à mettre en œuvre, et non des moindres, reste bel et bien la technique du désormais célèbre « buzz » médiatique. Les événements sportifs quels qu’ils soient sont aujourd’hui relayés dans toute la planète, et faire voir sa marque ou son entreprise dans un tel contexte pour vite prendre des proportions énormes. On prend ici l’exemple de la marque de ballons et d’accessoires de handball Select, qui à force de sponsoriser les compétitions régionales et nationales, a réussi à séduire les institutions internationales. Aujourd’hui cette marque ne sponsorise que les ballons des matchs officiels certes, mais les retransmissions dans le monde entier font de cette marque, une entreprise qu’on ne peut ignorer.

Nouer des accords avec des sportifs influents ou des jeunes espoirs

Une deuxième stratégie payante et souvent mise en œuvre par les entreprises du secteur du sport : nouer des accords avec des sportifs de haut niveau et influents ou alors avec des jeunes espoirs, et ce, quel que soit le sport. Un accord peut passer par un simple sponsoring et aller jusqu’à ce que la personnalité sportive soit une véritable égérie et qu’elle représente votre marque à travers le monde entier. A vous de choisir l’étendue de votre partenariat, mais force est de constater que c’est là une stratégie payante. On pense bien évidemment à Puma qui, après de mauvais résultats sur plusieurs années et un rachat par le groupe Koering, a pris la décision de choisir Usain Bolt comme égérie. On connaît la suite.

Cibler les marchés porteurs

Mais pour conquérir le secteur économique du sport, il ne suffit pas d’adopter la stratégie marketing idéale mais bien de cibler les marchés porteurs.

Sur le marché des textiles sportifs par exemple, de nombreux leaders se bataillent déjà la première place. L’exemple de la start-up lyonnaise Cityzen Sciences est intéressant : très vite spécialisée sur le créneau des textiles connectés, cette jeune entreprise a signé un gros partenariat avec Asics il y a quelques mois. Cet exemple souligne donc l’importance de trouver une idée novatrice en premier pour conquérir une branche particulière sur le marché du sport.

Concernant les objets connectés, l’idée est de permettre de nouveaux usages dans le cadre de la pratique d’un sport ou d’une activité particulière. On donnera là l’exemple de la caméra GoPro pour illustrer à merveille cette nécessité de nouveauté et de praticité pour s’imposer sur le marché du sport. Pensez également à privilégier les partenariats avec des personnalités en devenir pour accroître la réputation générale de votre marque.

Ces start-up qui cartonnent dans le secteur traditionnel du livre

Avec la révolution du numérique, le secteur traditionnel du livre a longtemps souffert d’une concurrence acharnée. Forcé de s’adapter aux nouvelles exigences d’un marché qui représente près de 15 % des ventes totales, les métiers du livre ont su se renouveler pour désormais afficher une complémentarité avec les sites en ligne. Des start-up ont ainsi investi le marché du livre avec succès en proposant une nouvelle approche de la lecture. Quelles sont alors ces plateformes numériques qui affichent une croissance réelle dans le secteur traditionnel du livre ?

La plateforme francophone spécialisée dans le résumé de livres

YouScribe est une plateforme communautaire créée en 2010 par Juan Pirlot de Corbion. Spécialisé dans l’aide aux étudiants, mais aussi aux particuliers qui recherchent une fiche de synthèse ou de lecture sur tel ou tel ouvrage, le site offre un service exclusif réservé à ses abonnés. Des dizaines de milliers de titres sont ainsi accessibles à l’ensemble de la communauté, qui peut partager son expérience des livres et offrir des avis pertinents. Fournissant un service précieux pour les membres en quête de résumés littéraires sur un ouvrage en particulier, YouScribe est un innovateur dans son secteur.

Une application smartphone dédiée à la création littéraire

La start-up Storylab est spécialisée dans la création littéraire numérique. À la fois éditrice et agence de création de livres, la plateforme en ligne innove en proposant une application smartphone entièrement dédiée et pensée pour les séries littéraires. Nicolas Francannet, son fondateur, explique alors que cette nouvelle façon de consommer un produit culturel comme le livre permet de bénéficier du succès des nouveaux supports numériques.

Une maison d’édition historique

Basée sur le concept du Cercle de la Librairie créé en 1847, la filiale Electrelaboutique est à la fois une base de données pour professionnels du livre, un index bibliographique et un outil de promotion des libraires et détaillants spécialisés. Avec plus de 1,5 million de titres et ouvrages disponibles, le site en ligne constitue une référence pour les bibliothécaires et bibliophiles.

Le spécialiste du numérique

Kobo est une plateforme en ligne canadienne qui est l’un des leaders, derrière Amazon, dans le secteur de l’ebook et du magazine. Second vendeur mondial de liseuses, le site crée en 2009 dispose de plus de 4 millions d’ouvrages numériques en streaming ou en téléchargement.

Le spécialiste de l’édition pour particuliers

L’avènement du numérique a apporté au monde de l’édition une nouvelle façon de consommer les produits culturels. Leader en France dans son secteur, le site Iggybook permet ainsi aux auteurs et internautes de publier leurs romans et nouvelles sur internet. Prenant en charge de A à Z l’édition de livres numériques auprès des multinationales et e-librairies, la plateforme d’édition permet une large diffusion de livres écrits par des particuliers, contribuant ainsi au renouvellement du secteur traditionnel du livre.

Une start-up 100% française

Créée en 1907 à Lyon, Decitre a lancé en 2012 son site communautaire pour diffuser et vendre plus de 450 000 ouvrages. Offrant un véritable service de libraire en prodiguant conseils de lecture, proposition de titres en fonction des goûts et rencontres privilégiées avec les auteurs, le site Decitre s’est imposé comme l’un des leaders sur internet de la vente de livres.

Quels sont les nouveaux outils utiles pour l’entrepreneur ?

Chaque jour, de nouvelles applications et de nouveaux logiciels sont mis au point afin de faciliter le quotidien des professionnels. De nombreux programmes disponibles en ligne sont en mesure d’apporter des solutions à la fois pertinentes et innovantes aux entrepreneurs. Quels sont donc les outils récents les plus efficaces pour les entreprises ?

Slack

En matière d’applications à destination des entrepreneurs, Slack constitue sans conteste la révélation de ces derniers mois. Créée par Stewart Butterfield, le cofondateur de Flickr, Slack est une application conçue pour favoriser la communication à l’intérieur des sociétés. Elle permet de créer et de classer des groupes de discussion, en simplifiant considérablement les travaux de groupe et la communication entre collègues. Depuis sa valorisation à hauteur d’un milliard de dollars en octobre 2014, cette application connaît un succès foudroyant dans les entreprises du monde entier.

Mobile Apps Insight

Récemment mise au point par la société Viavoo, cette application vient de se voir remettre le « E-commerce Awards 2015 ». Dernier ajout apporté à la plateforme Viavoo Social Play, cette application propose un service original pour les entreprises spécialisées dans le e-commerce. Elle met en œuvre un ensemble d’outils en ligne pertinents afin d’analyser en continu les commentaires des internautes, et les transformer en données utilisables par les entreprises pour affiner leur stratégie marketing. Pour les entrepreneurs, cette solution innovante permet de mieux comprendre l’expérience client et de réagir en conséquence avec une plus grande rapidité.

Docker

En moins d’un an, la start-up américaine Docker est devenue la société la plus en vogue dans le secteur de l’Open Source. Actuellement valorisée à plus de 400 millions de dollars, cette entreprise innovante issue de la Silicon Valley a su séduire rapidement les professionnels et nouer de nombreux partenariats. Sa technologie se base sur un système de packaging qui permet de créer des applications personnalisées pour les entreprises à partir de n’importe quel code source. Lancée à l’origine en France, la start-up a dû par la suite continuer son développement aux Etats-Unis afin de trouver les financements nécessaires. Docker est devenu aujourd’hui un outil indispensable pour les développeurs et les administrateurs système des entreprises.

Skype for Business

Les équipes de développement de Skype vont lancer pour la fin de l’année 2015 une nouvelle messagerie instantanée pour les entreprises, baptisée Skype for Business. La version bêta de l’application, déjà disponible sur Android et sur iOS, laisse entrevoir les possibilités importantes offertes aux entrepreneurs. Il s’agit d’une refonte complète de l’ancienne messagerie Lync. Cet outil complet, parfaitement adapté au monde de l’entreprise, permettra d’avoir plus de 250 contacts, d’afficher facilement les prochaines réunions et d’accéder aux conversations récentes. Il disposera en outre d’un moteur de recherche des contacts perfectionné.

Invoice2go

La dernière version de l’application Invoice2go constitue une amélioration certaine pour les entreprises devant fournir régulièrement factures, devis et bons de commande. Ce programme dédié aux professionnels est conçu pour être utilisé efficacement depuis un iPhone, un iPad ou l’Apple Watch. Il est possible d’enregistrer les heures de déplacement, de réaliser des factures professionnelles de manière instantanée et de recevoir des notifications de paiement. Les données font l’objet d’une synchronisation sécurisée, pour un parfait suivi des factures.

Pourquoi utiliser le référencement payant sur Google Adwords ?

Apparaître dans les premières recherches de Google peut s’avérer être un véritable défi pour les sociétés en quête de visibilité. Pour autant, il existe des solutions payantes comme Google Adwords pour être dans le top des résultats.

Qu’est-ce que le référencement payant ?

Connu sous différentes appellations comme « liens commerciaux », « liens sponsorisés », « liens payants », Il est désormais devenu courant de parler de référencement payant, c’est-à-dire le SEA (Search Engine Advertising). Lorsqu’une personne utilise le navigateur Google, deux listes de résultats apparaissent : une au milieu de la page qu’on appelle « résultats naturels » classés selon des critères objectifs et pertinents, et sur le côté droit, les résultats provenant de la régie Adwords.  Google exploite son moteur de recherche en vendant un espace publicitaire sous la forme de clics aux annonceurs qui souhaitent apparaître dans les premiers résultats à la suite d’une recherche internet.

En moyenne 30 % des visites de Google sur un site internet référencé proviennent des liens sponsorisés. Le reste, c’est-à-dire 70 %, est issu du référencement naturel.  Ces pourcentages montrent qu’avant de se lancer dans une campagne de mots-clés sponsorisés, il ne faut pas négliger de maîtriser, avant tout, le référencement naturel même si les deux méthodes restent complémentaires.

À quoi sert-il et comment fonctionne-t-il ?

Google Adwords représente un support publicitaire où vous avez une totale maîtrise du texte affiché et de la page sur laquelle les lecteurs vont atterrir. Il va permettre de rendre instantanément visible le site internet de l’entreprise dans les moteurs de recherche. Et c’est là son intérêt.

Le principal avantage d’Adwords demeure sa grande réactivité par rapport au référencement naturel qui peut prendre du temps. Une fois lancée, la campagne apparait dans les pages de résultat en moins de dix minutes en moyenne. Mais ce n’est pas tout, les sites qui ont payé peuvent voir leur site présent aussi sur Gmail, sur les moteurs de recherche partenaires de Google comme par exemple AOL ou Free, sur des sites personnels ou sur des applications de Smartphone. Beaucoup d’entreprises utilisent le référencement payant comme seul moyen de visibilité, ce qui prouve son efficacité. Mais Google Adwords possède aussi un côté pratique puisqu’il permet de recueillir des informations sur les coûts, les gains, les mots-clés ciblés, le nombre de clics. Toutes ces informations restent utiles pour définir avec précision le retour sur investissement (ROI – Return On Investment). Apparaître en haut du classement dépend de plusieurs critères comme le montant que l’on paye au clic (plus on paye, plus on se situe en haut de page), le nombre de clics sur l’annonce, le nom du domaine, les mots-clés qui sont présents sur la page d’accueil. Ces critères sont nommés par Google le “Quality score” qui constitue la concordance entre la publicité et les indicateurs de Google. Adwords demeure un moyen rapide d’être visible sur le moteur de recherche qui représente 93,5 % de parts de marché dans l’hexagone devant ses concurrents Bing et Yahoo (qui comptent respectivement 2 % et 1,3 % de part du marché). Bien maîtrisé, l’outil peut devenir indispensable à tous ceux qui veulent s’imposer sur Google, mais mal utilisé, il peut vite se transformer en véritable gouffre financier. De nombreuses nouvelles entreprises se sont positionnées rapidement sur ce marché comme eskimoz.fr qui nous explique d’ailleurs en vidéo l’axe stratégique pour améliorer sa visibilité sur Google. Ces « agence adwords » accompagnent les sociétés dans une stratégie de référencement payant avec pour objectif le résultat.