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Ces start-up qui profitent du recyclage pour se lancer

Les enjeux environnementaux occupent une part de plus en plus importante dans la société. Les entreprises suivent cette tendance et cherchent à innover en matière d’écologie et de développement durable. De nombreuses start-up essaient de se lancer dans cette voie, en basant notamment leurs activités sur le recyclage. Quelles sont ces jeunes sociétés innovantes qui se démarquent sur ce créneau porteur ?

Ennesys

Basée à Nanterre, cette start-up spécialisée dans le recyclage des déchets fait d’ores et déjà partie des plus dynamiques sur le plan français. Ennesys développe une technologie permettant de dépolluer les eaux usées pour les transformer en source d’énergie. Un appareil installé sur le toit d’un immeuble permet de récolter eaux usées et déchets organiques, qui seront traités par phytoplancton pour créer une eau propre et des granulats pouvant être utilisés comme du charbon. L’entreprise veut devenir le leader mondial de ce traitement original.

Cy-Clope

Depuis début 2015, l’entreprise lyonnaise Cy-Clope s’est lancée dans le domaine du recyclage des mégots. Fondée par deux entrepreneurs ambitieux, Antoine Di Tommaso et Thibault Legrand, l’entreprise a mis au point un procédé qui transforme les mégots de cigarettes en plaque d’isolation plastique. L’idée est de mettre en place des bornes dans les coins fumeurs des entreprises pour collecter les mégots et amorcer le processus de recyclage. Avec 70 milliards de cigarettes achetées en France chaque année, il s’agit d’un enjeu majeur, qui pourrait assurer le succès de la société.

Green Creative

La start-up française Green Creative cherche à tirer partie des nouvelles normes industrielles en matière de recyclage. Elle développe des machines innovantes servant à recycler les déchets au sein des entreprises. Deux de ses projets connaissent un succès croissant : Flexidry, un appareil servant à recycler les rebuts de production industrielle, et R3D3, un étonnant robot-poubelle qui trie et compresse canettes et débris plastiques. La société intéresse déjà de grands groupes, avec des machines testées par Veolia et la SNCF, et pourrait connaître un essor important durant l’année 2016.

Cophenol

Depuis 2014, la start-up Cophenol connaît une phase d’étude intense sous l’impulsion de son fondateur, Emmanuel Thiéry. Cette start-up a créé une technique originale afin de transformer les déchets de café en engrais organique. La pyrolyse des différents résidus permet d’obtenir du bio charcoal, un charbon à usage agricole susceptible d’être utilisé dans les pays émergents ou en voie de développement. Les retombées économiques d’un tel produit pourraient être très importantes dans les prochaines années. Une étude de viabilité économique doit être menée pour un premier partenariat avec des coopératives brésiliennes.

Pyrum

Fondée en 2007 en Alsace, cette start-up franco-allemande a obtenu en 2015 le Grand prix du Sénat lors du concours Lépine. Elle utilise un procédé de thermolyse afin de recycler des pneus usagés pour les transformer en énergie réutilisable sous forme de pétrole, de coke et de gaz. L’entreprise vient d’ouvrir en Sarre sa première unité industrielle, capable de transformer 5000 tonnes de pneus chaque année. L’énergie créée va permettre au site de fonctionner en complète autarcie et de prouver l’efficacité de sa technique de recyclage. Pascal Klein, le PDG de Pyrum, souhaite faire de la société le leader du marché dans les prochaines années.

Ces start-up qui ont fait avancer la science

Les secteurs de la recherche médicale et de la santé profitent de l’innovation des start-up. Particulièrement à la pointe de la technologie et bénéficiant des dernières avancées scientifiques, ces dernières font avancer la science depuis de nombreuses années. Quelles sont alors ces start-ups qui innovent et font profiter à tous des fruits de leur recherche ?

Recycler la peau humaine pour faire avancer la science

Toulouse profite de son secteur de pointe dans les biotechnologies pour faire progresser d’un grand pas la recherche médicale. La start-up Genoskin a ainsi été fondée en 2011 par Pascal Descargues et emploie aujourd’hui 5 personnes. Implantée sur le site toulousain de l’Oncopole, la société s’est spécialisée dans le recyclage de la peau humaine à des fins de recherche médicale. Épargnant ainsi les expérimentations douloureuses sur les animaux, Genoskin fait progresser la science en collectant des échantillons de peau principalement dans les cliniques de chirurgie esthétique. En étant à l’origine du projet Native Skin qui sert à traiter de nombreuses maladies dont l’eczéma et les mélanomes, la start-up encourage les travaux de recherche.

Une molécule révolutionnaire pour traiter le cancer

Une start-up grenobloise, Ecrins-Therapeutics fondée en 2010 a mis au point une molécule qui s’attaque au cancer. Répondant au nom d’ET-D5, cette molécule anti-cancer sert à diviser les cellules cancéreuses en les empêchant de créer de nouveaux réseaux vasculaires. En partenariat avec l’Institut Curie, Aurélie Juhem la directrice scientifique de la société Ecrins-Therapeutics, espère trouver une source de financement par crowdfunding pour engager des essais cliniques à partir de 2016.

La création d’un mini-cerveau humain

Des chercheurs américains de l’Université de l’Ohio dont le professeur Anand, ont réussi la prouesse technologique de créer un cerveau humain en miniature. À l’origine de la création de la start-up révolutionnaire NeurXstem, le chercheur a présenté à la communauté scientifique son cerveau de la taille d’un taille-crayon et présentant les caractéristiques les plus complètes à ce jour. La start-up cherche alors à améliorer la recherche sur la maladie d’Alzheimer et envisage de commercialiser son processus de développement.

Lutter contre le cancer grâce au corail d’élevage

Coral Biome une start-up marseillaise, est destinée à la production de coraux d’élevage à des fins de recherche contre le cancer. Son fondateur Frédéric Gault, un spécialiste de l’aquaculture, a fondé la société en 2011. Essentiels pour la recherche clinique et les essais en laboratoire, le corail et les microorganismes sont en effet indispensables aux chercheurs. Coral Biome fournit alors une centaine de coraux et a déposé un brevet à l’Institut pour la recherche et le développement pour le succès de ses élevages d’un genre particulier.

La start-up de l’année en 2014

Élue start-up de l’année en 2014 lors du Falling Walls Venture qui s’est déroulé à Berlin, EyeTechCare a inventé un dispositif médical révolutionnaire dans le traitement des glaucomes. Créée en 2008 par un ophtalmologue et spécialiste en microchirurgie, Fabrice Romano, EyeTechCare commercialise son invention depuis 2013. Le dispositif de la start-up est en fait un générateur muni d’une sonde à usage unique, qui permet de traiter un glaucome sans recourir à aucun médicament.

Encourager les énergies renouvelables

L’optique d’In Sun We Trust est d’encourager l’implantation de panneaux solaires. Les installations photovoltaïques constituent l’avenir, et la start-up française fondée par David Callegari a commercialisé une application en ligne qui calcule toutes les informations nécessaires à cette production d’énergie à domicile.

TOP des start-up spécialisées dans la recherche d’appartement

Le logement fait partie des besoins fondamentaux de l’être humain tels qu’ils ont été énoncés par le professeur Drew Eric Whitman. De fait, la recherche d’un logement s’impose à chacun d’entre nous à plusieurs moments-clés de notre existence. De nombreuses start-up se sont positionnées sur ce marché ces dernières années et apportent des solutions innovantes à tous ceux qui souhaitent trouver vite et bien que ce soit à la location ou à l’achat un bien immobilier. Voici trois exemples de ces start-up qui surfent sur la vague de la désintermédiation pour réformer le marché de l’immobilier.

Home ‘n’ go

Via ses agences immobilières partenaires, cette start-up centralise sur son site et ses applications iOS et Android les annonces disponibles dans votre ville de recherche. Les annonces publiées sur Home’n’go comportent de très utiles informations comme les transports, les commerces et les écoles/crèches à proximité. Elle vous offre aussi un panorama du marché immobilier dans la ville concernée : prix au m², taux de la taxe foncière et de la taxe d’habitation et évolution du marché. Des informations très utiles à l’heure du choix. Lancée en 2011 par Adrien Pavillet et Sébastien Zerah, deux diplômés de la branche management et nouvelles technologies de HEC, la start-up propose aujourd’hui plus de 1,2 millions d’annonces diverses. Elle se rémunère principalement au clic et par certains services premiums proposés aux propriétaires.

Locat’me

Cette start-up propose une mise en relation de l’offre et de la demande inversée. Quand un propriétaire décrit son bien immobilier sur le site, une liste de locataires potentiellement intéressés lui est proposée. Il ne lui reste qu’à proposer son bien aux locataires de son choix. Le propriétaire aura accès aux données complètes des locataires qui accepteront la mise en relation. Dès lors, le contact peut s’établir directement. Très utiles pour les personnes en recherche de location qui ne disposent pas de temps pour consulter des pages d’annonces et passer des dizaines d’appels téléphoniques. Ils n’ont qu’à attendre l’appel des propriétaires intéressés par leur profil! Créée par Antoine Marck et Emmanuel Rasitosoa, la plateforme est opérationnelle depuis juillet 2013. Fin 2014 elle comptait près de 70 000 locataires inscrits pour 10 000 propriétaires.

Somhome

Cette start-up créée par Jean-Philippe Bertin propose aux locataires et aux propriétaires de s’inscrire sur sa plateforme. Le locataire y complète son dossier de candidature. Le site lui propose ensuite des annonces correspondants à ses critères et sa situation. Le locataire a ensuite accès à l’agenda du propriétaire pour s’inscrire afin de visiter le bien concerné. De son côté le propriétaire à accès aux éléments du dossier de candidature. Lancée en 2013, la startup Somhome a bouclé au début de l’été 2015 une levée de fonds de 500 000 euros.

L’immobilier reste un secteur hyper concurrentiel dans lequel les transactions de particuliers à particuliers sans autres intermédiaires qu’un site d’annonce en ligne occupent près de 50% du marché. Une start-up qui s’engage sur ce marché doit apporter une réelle plus-value en matière de services tant pour le locataire/acquéreur que pour le propriétaire. Home‘n’go, Locat’me et Somhome semblent tirer leur épingle du jeu, l’avenir seul dira si elles révolutionneront un secteur dont on a par le passé annoncé à maintes reprises le total bouleversement.

Top des plus jeunes entrepreneurs mondiaux

« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. » De très jeunes gens ont démontré dans l’entrepreneuriat la pertinence de cette réplique de Don Rodrigue dans l’acte 2 du Cid (Corneille). Portraits de ces étonnants entrepreneurs qui ont brulé les étapes entre les bancs de l’école et le siège de dirigeant d’entreprise.

Henry Patterson, Grande Bretagne (entrepreneur à 7 ans)

Ce petit garçon du Buckinghamshire, un comté du Sud-Est de l’Angleterre a toujours eu plus d’un tour dans son sac ! Non content de commercialiser, à 7 ans, pour 1 euro le sac, le purin produit par le cheval de la famille, il fonde à 9 ans sa propre boutique de confiseries en ligne « Not Before Tea ». Il crée ses propres bonbons et chocolats et s’apprête à ouvrir une boutique spécialisée à Harpenden, une ville du Hertfordshire, en Angleterre.

Mozah « Mo » Bridges, USA (entrepreneur à 8 ans)

Depuis plus de 4 ans, « Mo » vend ses nœuds papillon stylés années 30 dans 12 magasins du sud des Etats-Unis. Ce jeune styliste aujourd’hui âgé de 12 ans a su se faire un nom dans son domaine de prédilection et son entreprise Mo’s Bows génère 140 000 € de chiffre d’affaires annuel. Il demeure le plus jeune entrepreneur des Etats-Unis.

Leanna Archer, Haïti (entrepreneure à 9 ans)

La petite haïtienne a conquis l’Amérique à 9 ans grâce à ses produits de soins capillaires naturels. Ses recettes ont un tel succès dans son pays, qu’elle décide de s’installer aux USA pour les commercialiser. Succès total ! Aujourd’hui âgée de 17 ans, Leanna Archer est à la tête d’une entreprise de cosmétiques qui lui rapporte plus de 500 000 dollars par an.

Jordan Casey, Irlande (entrepreneur à 13 ans)

En octobre 2012, Jordan Casey, un paisible adolescent irlandais passionné de programmation informatique fonde sa première société. Jordan crée Casez Games qui offre des jeux pour iPhone puis TeachWare une application destinée aux instituteurs soucieux de centraliser et conserver les informations de leurs classes. Aujourd’hui, il touche 70% sur chaque vente d’une de ses applications et empoche plusieurs milliers d’euros par an.

Louis Haincourt, France (entrepreneur à 15 ans)

Ce jeune versaillais avait son petit business de revente d’accessoires pour portables. En 2010, il commande une centaine de coques pour smartphone à un fournisseur chinois pour les revendre à ses camarades. L’engouement est total et il décide de passer à la vitesse supérieure. Il dépose les statuts d’une EIRL et fonde Dealerdecoque.fr ! Son site propose désormais des fabrications originales pour les particuliers et les entreprises. Il a généré 82 000€ de chiffre d’affaires en 2014.

Nick D’Aloisio, Australie (entrepreneur à 15 ans)

Ce jeune développeur informatique est le créateur de l’application Summly qui gère automatiquement les résumés de textes. Cette dernière est élue Best of 2012 par l’Apple Store. En mars 2013, il revend son bébé à Yahoo pour 30 millions de dollars. Il devient ainsi, à 15 ans, le plus jeune self-made-man millionnaire de l’histoire !

Ces très jeunes gens font souffler un vent d’optimisme sur l’entrepreneuriat. Ils démontrent que la nouvelle génération ne manque ni d’idées ni de volonté pour construire l’économie de demain. Une galerie de portraits très rassurante pour l’avenir !

TOP 5 des points juridiques à connaître en tant qu’entrepreneur

Créer sa propre entreprise est le souhait de nombreux individus, mais encore faut-il en connaître le statut juridique et les lois qui s’y appliquent avant de sauter le pas. Quelle est alors la législation à prendre en compte dans le cadre d’une création d’entreprise ? Quels sont les points juridiques à connaître et les règles à respecter tant sur le fond que sur la forme ?

Le statut juridique de l’entreprise

Micro-entreprise, EURL, EIRL, SARL, SA, entreprise individuelle, nombreuses sont les formes que peuvent prendre les sociétés et entreprises individuelles ou collectives. À prendre en compte impérativement avant de créer sa propre entreprise, le statut juridique doit tenir compte du nombre de salariés, de la nature de l’activité et du type de biens et services proposés aux consommateurs. Si un unique individu désire devenir son propre patron, la micro-entreprise constitue alors une solution privilégiée, avec un statut simplifié depuis le 19 décembre 2014.

La nature de l’activité

Commerciale, artisanale, intellectuelle, la nature de l’activité envisagée détermine le statut de l’entreprise. Le régime fiscal n’est en effet pas le même s’il s’agit de la vente de biens et services de nature commerciale, ou la prestation et fourniture de services immatériels non marchands. Avec différents taux d’imposition selon le montant du chiffre d’affaires réalisé, la nature de l’activité principale s’avère déterminante dans le choix de son entreprise.

La fiscalité applicable

BNC ou BIC, les bénéfices sont soumis à une imposition différente. Les bénéfices non commerciaux sont en effet applicables aux professions libérales et concernent principalement les entrepreneurs individuels ou associés réalisant une activité intellectuelle, artistique ou à caractère scientifique. Architectes, cabinets de médecine, artisans, sont alors soumis à une imposition spécifique. Les bénéfices industriels et commerciaux, quant à eux, tiennent compte de la nature de l’activité : commerciale, artisanale ou industrielle. Selon la forme de l’entreprise choisie, l’entrepreneur est alors assujetti soit à l’impôt sur le revenu soit à l’impôt sur les sociétés.

L’obligation d’immatriculation des micro-entrepreneurs

Forme privilégiée par des millions d’entrepreneurs individuels, la micro-entreprise a l’avantage de bénéficier de formalités simplifiées. Cependant depuis le 19 décembre 2014, le micro-entrepreneur auparavant dispensé d’immatriculation, doit s’enregistrer obligatoirement auprès du registre du commerce et des sociétés, ou des métiers et de l’artisanat ou encore à celui de la batellerie selon la nature de son activité. Cette formalité d’immatriculation doit alors être effectuée au moment de la déclaration d’activité, mais reste entièrement gratuite.

L’affectation ou non de son patrimoine personnel à l’entreprise

L’entrepreneur individuel est selon le droit commun des entreprises soumis à une responsabilité des dettes de son entreprise. Peu contraignante mais cependant plus risquée en cas de chute du chiffre d’affaires, l’entreprise individuelle s’adresse alors aux activités peu risquées. Afin de pallier ces difficultés pour les entrepreneurs, l’EIRL a ainsi été créée au 1er janvier 2011. L’entreprise individuelle à responsabilité limitée, dont le statut s’inspire fortement de la SARL, limite alors la responsabilité des dettes en cas de faillite. Les biens personnels de l’entrepreneur sont ainsi protégés en cas de difficultés financières majeures, en déclarant au préalable une affectation des biens au seul patrimoine de l’entreprise. Soumise généralement au régime fiscal de l’impôt sur le revenu, l’EIRL permet d’affecter un patrimoine à son entreprise sur simple déclaration à l’un des registres concernés par la nature de son activité.

10 conseils pour réaliser une newsletter efficace

Dans tous vos plans marketing, il est obligatoire d’incorporer une newsletter, solution qui permet l’envoi d’e-mails électroniques à vos clients. Envoyer des e-mails contenant les actualités de votre entreprise, les nouveaux produits ou services constitue une façon de maintenir le lien entre votre entreprise et vos consommateurs, mais encore faut-il que votre newsletter soit efficace. Voici 10 conseils pour y parvenir.

1. Offrez de la valeur

C’est le conseil le plus difficile à mettre en place car vous aurez toujours envie de parler de votre entreprise. Mais si vous voulez que les utilisateurs apportent toujours de l’intérêt à vos e-mails, le mieux est de ne pas parler seulement de cela. Offrez-leur aussi de la valeur « gratuite » ! Par exemple, écrivez des guides, des documents ou donnez-leur des informations pratiques qui seront précieuses pour votre cible.

2. Soignez le design

Il n’est pas pensable d’envoyer des e-mails réalisés rapidement sans prendre en compte l’image et le design. Créez un modèle attractif que vous pourrez réutiliser pour chaque nouvelle campagne d’e-mailing. Essayez de mettre des liens redirigeant directement vers les contenus de votre site internet. Avant de réaliser le modèle définitif de votre newsletter, pensez à faire en sorte que le message et l’affichage de la newsletter soient les mêmes pour les utilisateurs des différents fournisseurs (Gmail, Hotmail, Outlook, etc.)

3. Donnez une touche personnelle à votre newsletter

La newsletter permet aux petites et moyennes entreprises de pouvoir communiquer avec plus de proximité avec leurs clients. Pour cela, donnez une touche personnelle au message : insérez votre signature, des visuels ou des textes directement adressés à votre cible, le tout afin de permettre une communication plus humaine avec les clients.

4. N’envoyez pas de spam

Le but n’est pas d’acheter des bases de données de qualité douteuse et d’envoyer des messages sans autorisation. Pour garder une bonne réputation, il faut faire attention aux points suivants :

  • L’objet de l’e-mail : évitez les « mots défendus » : gratuit, gagner, offre, réductions. Certains caractères et signes ne sont pas non plus recommandés : exclamation, €, %… ni l’usage de majuscules pour une phrase entière.
  • Le contenu : il doit être équilibré (50 % d’image et 50 % de texte). De plus, le texte doit toujours se situer dans la partie supérieure de l’envoi pour que l’utilisateur puisse le lire même si les images n’arrivent pas à se charger.

5. Respectez la réglementation

Permettez aux abonnés de la newsletter de pouvoir limiter la fréquence d’envoi de votre newsletter ou de se désinscrire. Il s’agit d’un impératif légal ! Aussi, comme dans tout autre type d’envoi, les newsletters doivent posséder des mentions légales dans lesquelles vous expliquez les raisons de la réception de ce message à votre abonné et sous quelles conditions il le reçoit.

6. Concevez une newsletter « sociale »

Les réseaux sociaux constituent les alliés parfaits pour une « viralisation » de votre contenu. N’hésitez pas à placer dans vote newsletter un lien vers vos différents comptes (Facebook, Twitter, Youtube, Pinterest, Google+…). De même, pensez à promouvoir la souscription à votre newsletter (avantages de l’abonnement, concours…) directement sur vos réseaux sociaux ! Cela permettra une interaction entre le canal e-mail et le réseau social, et vous capterez ainsi plus de clients !

7. Soyez à l’écoute de vos abonnés

Être à l’écoute des abonnés de votre newsletter est la base d’une relation qui marche. En effet, cela ne sert à rien d’envoyer une newsletter si aucune action n’est engagée de leur part, ou s’ils ne font que la mettre dans la corbeille dès réception… Il existe plusieurs solutions pour rendre votre newsletter plus participative : ajouter un lien vers le service clientèle, mettre en place un sondage, demander l’opinion des utilisateurs, etc. Cela vous permettra d’attirer leur attention et de réceptionner leur avis !

8. Mesurez le succès de votre newsletter

Pour vous rendre compte de la participation et de l’intérêt de vos abonnés à votre envoi, vous devrez prendre en compte les indicateurs suivants :
– le nombre total d’envois
– la qualité de la base de données (envois réussis/envois totaux)
– le taux d’ouverture (messages ouverts/envois totaux)

9. Périodicité et heure d’envoi

Une newsletter envoyée au bon moment doit pouvoir générer un contenu frais et intéressant. Une fois que vous aurez choisi la périodicité de cette dernière, maintenez-la pour ne pas « manquer » à l’utilisateur qui attend fidèlement votre envoi. Selon une étude récente de GetResponse, 23,63 % des e-mails sont ouverts durant la première heure de sa réception. Les heures qui génèrent le plus de pourcentage d’ouverture sont les suivantes : 8h et 9h du matin, 13h et 16h de l’après-midi.

10. Adaptez votre newsletter aux mobiles

Les ratios d’ouverture d’e-mails depuis des mobiles se situent à 30%, contre 70% depuis un ordinateur. Le design idéal pour une bonne adaptation mobile est d’environ 450-500 pixels de largeur, des boutons et des liens de 44×44 pixels et des textes clairs et attractifs. Pensez-y, car le smartphone devient le canal sur lequel les clients passent de plus en plus de temps pour consulter leurs e-mails !

L’intégration de ces dix points est la clé pour parvenir à l’objectif premier de votre newsletter : capter l’utilisateur et le fidéliser. Si vous arrivez à le toucher au point d’obtenir un clic vers votre page Web, et donc une visite, c’est déjà un premier pas vers la conversion de l’internaute en client !

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L’impact du click-to-chat sur l’efficacité du service client

Parmi les outils de webmarketing, le « click-to-chat » est particulièrement apprécié ces dernières années. Cette solution visant à améliorer les ventes en ligne d’une société se révèle en effet très efficace. On pourra ainsi se pencher avec intérêt vers les spécificités du système. Quels sont donc les bases et les avantages du click-to-chat pour les entreprises ?

Fonctionnement du click-to-chat

Le click-to-chat est un outil susceptible d’être mis en place sur un site de e-commerce. Il propose à l’internaute d’ouvrir en un seul clic une fenêtre de dialogue pour entrer en contact avec un conseiller. Cette méthode est considérée comme une solution adaptée à la navigation web pour augmenter le taux de conversion. La possibilité de communiquer directement avec un employé de l’entreprise est un gage de sécurité pour les clients, qui peuvent obtenir rapidement une réponse sûre à leurs questions. Le principe, très simple, est donc de permettre un échange humain au cours d’une transaction numérique. Le conseiller en ligne joue alors le même rôle qu’un vendeur au sein d’une boutique physique. Pour les PME et les TPE, il s’agit également d’une solution économique, qui fonctionne avec une interface facile à installer à laquelle se connectera le conseiller.

Le click-to-chat pour améliorer les résultats de l’entreprise

Le click-to-chat est un procédé en ligne apportant une véritable plus-value aux sites commerciaux. De nombreuses entreprises ont fait ce pari en constatant les excellents résultats fournis par cette méthode, rapportés dans différentes études. On a pu se rendre compte que le taux de conversion des visiteurs ayant bénéficié de l’assistance d’un conseiller est de 25 %, avec un coût de contact moins important de 30 %. Deux autres statistiques montrent tout l’intérêt de cet outil pour les sites de e-commerce : on observe plus de 50 % de ventes incrémentales et une augmentation de 30 % du panier moyen des clients ayant pris contact avec un conseiller. Le click-to-chat offre donc de meilleures performances en terme de vente, mais constitue aussi un plus au niveau de la relation client. Il s’agit à l’heure actuelle de la méthode d’assistance en ligne la plus efficace et la plus appréciée des internautes. Près de 90 % des utilisateurs se disent satisfaits de cette assistance en temps réel.

Les points forts du click-to-chat

Le click-to-chat est un canal de communication qui offre plusieurs avantages aux entreprises. Il est d’abord peu coûteux, ne nécessitant que quelques dizaines d’euros mensuels pour être utilisé. Il a ensuite un impact direct sur les ventes réalisées et le montant des achats passés en ligne par les clients. Mais le principal avantage de cette méthode est d’améliorer considérablement le service client sur un site de e-commerce. Les internautes plébiscitent l’assistance en ligne, surtout quand elle est simple, instantanée et totalement gratuite comme c’est le cas ici. Le fait de pouvoir bénéficier d’une aide avec un temps d’attente très court est également un avantage majeur, qui répond aux attentes des clients. Cet outil permet de plus de renforcer la relation commerciale en ligne, en remettant de l’humain dans le secteur des transactions en ligne. Cette technique améliore donc l’image de l’entreprise, en la rapprochant des préoccupations de ses clients.

L’entrepreneuriat féminin : où est-il le plus avantageux ?

Depuis 2013, la société Dell publie chaque année le Gender GEDI, un index composé de 30 indicateurs qui permet de définir le dynamisme d’un pays en matière d’entrepreneuriat féminin. La version 2015 de cette étude fournit des données intéressantes pour comprendre quels sont les pays les plus développés dans ce domaine. Quels sont donc les endroits où il est le plus facile d’entreprendre pour les femmes ?

Les Etats-Unis

Les Etats-Unis font figure de numéro 1 dans le domaine de l’entrepreneuriat féminin. Le pays brille par son taux élevé de création d’entreprises par des femmes, qui culmine selon l’étude à 71 %. Parmi les femmes de 18 à 64 ans, près de 3 % ont déjà créé une entreprise sur le sol américain. De nombreuses femmes sont à la tête de grandes sociétés, comme la dirigeante de PepsiCo Indra Nooyi, la PDG d’IBM depuis 2012 Ginny Rometty ou encore Elizabeth Holmes, fondatrice et PDG de l’entreprise Theranos spécialisée dans le domaine médical. On note cependant que moins de 5 % des fonds distribués par les business angels le sont à des entreprises dirigées par des femmes.

Le Canada

Le Canada occupe le deuxième rang des pays les plus favorables à l’entrepreneuriat des femmes. Même si des progrès restent à faire, le Canada compte 3 % de femmes PDG de grands groupes, 25 % de femmes cadres supérieures et plus de 20 % de femmes dans les conseils d’administration. Des initiatives sont menées afin de favoriser l’entrepreneuriat au féminin dans tout le pays. On peut citer la société Sheo créée par Vicki Saunders, qui se présente comme un incubateur d’entreprises permettant aux femmes de fonder leurs propres sociétés innovantes.

L’Australie

L’Australie se situe en haut de ce classement, avec l’excellent travail fourni en amont pour valoriser l’entrepreneuriat féminin. On observe que plus de 50 % des créatrices d’entreprises affichent un excellent niveau d’études. Des initiatives sont de plus régulièrement menées par l’Etat pour mettre en avant les entreprises fondées par des femmes, comme le top 30 des dirigeantes générant plus de 25 millions de dollars de revenus annuels. L’Australie compte en son sein des femmes parmi les chefs d’entreprises les plus notables du pays, comme Barb de Corti, présidente et fondatrice de la société ENJO, une entreprise dédiée aux produits de nettoyage écologiques dont le chiffre d’affaires dépasse les 100 millions de dollars.

La France

Présente dans le top 5 des pays où l’entrepreneuriat féminin occupe une place notable, la France affiche aussi de bonnes performances dans le domaine de l’égalité professionnelle entre hommes et femmes. Depuis 2010, plusieurs mesures ont permis de connaître de vrais progrès en ce sens, comme la loi Copé-Zimmerman. Les femmes restent encore sous-représentées malgré tout dans la création de start-up. Un autre point positif cependant : une étude du Comité international des femmes dirigeantes a montré que la France se classait en tête des pays européens en ce qui concerne la place des femmes au sein des conseils d’administration. La France se distingue enfin par plusieurs femmes chefs de grandes entreprises, comme Anne Lauvergeon, présidente d’Areva de 2001 à 2011, ou Isabelle Kocher, qui prendra la tête de GDF Suez en 2016.

Le Groupe Casino entre au capital de l’Entreprise Laitière de Sauvain

Le Groupe de Jean-Charles Naouri a reçu une décision favorable du tribunal de commerce le 3 septembre 2015 : le groupe Casino devient alors actionnaire majoritaire de l’Entreprise Laitière de Sauvain (ELS), PME de la région Rhône-Alpes. Partenaire du l’enseigne depuis 2013, laquelle distribuait une partie de sa production de lait et de fromages, l’entreprise compte aujourd’hui sur le groupe Casino pour moderniser son équipement et élargir la distribution de ses produits.

Un savoir-faire à sauvegarder

Située dans les Monts du Forez de la région Rhône-Alpes, l’Entreprise laitière de Sauvain compte à l’heure actuelle 17 salariés. Chaque année, elle achète et collecte auprès de 26 exploitations laitières du Forez près de 4,7 millions de litres de lait, en appellation « lait de montagne ». Partenaire de Casino depuis deux ans, cette dernière distribue chaque année localement 1,4 millions de litres de cette production, sous la marque « lait des éleveurs des Monts du Forez », mais aussi différents fromages locaux, notamment la fourme AOP de Montbrison « Tarit », fabriquée depuis 1931 et rendue célèbre par un sketch de l’humoriste Gad Elmaleh.

L’enseigne de distribution de Jean-Charles Naouri s’engage auprès des filières locales

Entré au capital de l’usine de conditionnement de volailles Gastronome-Luché début mai, le géant de la distribution française renouvelle son engagement pour le développement de ses partenaires locaux.

Reprise par Eric Soubeyrand en 2012, l’Entreprise Laitière de Sauvain connaissait déjà des difficultés en 2013 suite à l’arrêt de la production d’un producteur de fromage AOC. Un partenariat avait alors été signé avec le distributeur, pour aider la PME à trouver de nouveaux débouchés. Aujourd’hui le groupe de Jean-Charles Naouri va plus loin en devenant actionnaire majoritaire de l’entreprise.

Si Casino compte réduire de nombre de produits fabriqués par l’entreprise – une quinzaine à l’heure actuelle -, ce nouveau partenariat permettra à ELS de profiter du réseau de distribution de l’enseigne dans toute la France, et non plus seulement en Rhône-Alpes. « La fourme AOC, sous marque Tarit, notamment, sera vendue dans tous nos formats, y compris Leader Price et Monoprix » précise dans une interview le directeur des relations extérieures du groupe, Claude Risac, au lendemain de la nouvelle.

Un partenariat qui aura permis l’établissement d’un contrat de 7 ans avec les éleveurs des 26 exploitations laitières du Forez, assurant dans le même temps la valorisation de la collecte du lait identifié de montagne, utilisé pour la fabrication de fromages AOP.

Un entrepreneur de l’immobilier à l’accent chantant

Gilles Ogor a fondé la société Algiciel en 2008. Cette holding englobe aujourd’hui plusieurs entités, dont la plateforme Les-terrains.com, un site d’annonces gratuites qui permet de géolocaliser tous les terrains à bâtir disponibles en France. Portrait d’un entrepreneur pragmatique du Sud-Ouest. 

A bientôt 50 ans, Gilles Ogor a tout d’un entrepreneur épanoui. Après un parcours professionnel de commercial indépendant, l’Homme se tourne très rapidement vers la création d’entreprise. « Depuis 20 ans, je travaille dans le domaine de la construction de maisons individuelles », explique-t-il. « J’ai d’abord monté une société de commercialisation dans ce domaine avec un associé en 1998. Il s’est occupé de la vente des terrains pendant que je gérais les outils informatiques nous permettant de devenir plus performant.»

D’un besoin personnel à un service d’envergure nationale

Progressivement, les entrepreneurs émettent l’idée de lancer des logiciels à destination des constructeurs. C’est dans cette optique qu’ils fondent ainsi l’entreprise Algiciel en 2008. L’idée d’un nouveau service germe alors que les deux gérants rencontrent une difficulté dans leur travail au quotidien. Gilles Ogor précise : « En tant que constructeur de maisons individuelles, nous avions du mal à trouver une plateforme qui centralise l’ensemble des terrains à bâtir. En France, il faut savoir que 50% des terrains disponibles sont mis à disposition par des lotisseurs. Or, le lotisseur et le constructeur perdent énormément de temps à dialoguer entre eux pour savoir quels sont les lots disponibles. »

D’abord pour leur propre compte, les entrepreneurs décident de faciliter les choses. En 2009, ils lancent une plateforme sur laquelle les lotisseurs peuvent déposer l’ensemble des terrains disponibles. Le but : faire économiser des dizaines de coups de téléphone et éviter une perte de temps inutile à l’une et l’autre des deux parties. « Les lotisseurs nous ont incités à développer ce service pour tous les constructeurs de la région ! L’un d’entre eux, Monsieur Mercier, était le patron de l’entreprise Villas et Maisons de France à Toulouse. Il a été tout à fait séduit par l’idée et a investi 250 000 euros dans le service pour que nous le développions au niveau national », raconte le fondateur.

C’est le lancement du site de petites annonces Les-terrains.com qui devient une entité pleine et entière de la holding Algiciel. Le modèle économique de la plateforme est simple : les lotisseurs nationaux déposent leurs annonces gratuitement et les constructeurs payent afin de diffuser leur publicité sur la plateforme.

Un décollage rapide et des projets en cours

Gilles et son associé mettent 2 à 3 ans pour développer le site. Les entrepreneurs engloutissent rapidement les 250 000 euros investis au départ. L’année suivante, la société parvient à l’équilibre. « La notoriété et le référencement grandissant, les constructeurs ont souhaité de plus en plus devenir nos partenaires », précise Gilles. « Depuis lors, notre société s’auto-finance. »

L’entreprise travaille aujourd’hui avec 7 collaborateurs. Elle réalise près de 700 000 euros de chiffre d’affaires chaque année depuis 2012. Le résultat net d’Algiciel s’élevait à 180 000 euros en 2012, puis à 100 000 l’année suivante. En 2014, Gilles a décidé d’investir dans un nouveau service : habitatneuf.com. Le but ? Calquer l’idée du site Les-terrains.com mais en proposant au grand public des programmes immobiliers dans le neuf. Un projet qui se développe tranquillement, et pour lequel Gilles Ogor n’exclut pas l’entrée de nouveaux investisseurs au capital d’Algiciel.

Un enthousiaste de l’entrepreneuriat

Aujourd’hui, Gilles affiche un regard positif sur son parcours de créateur d’entreprise. « Depuis toujours, je voulais travailler à mon compte», détaille-t-il. « J’apprécie la liberté de créer et l’enthousiasme procuré par l’entrepreneuriat. Le côté responsable m’attire aussi énormément. J’aime être responsable de mon travail, de mes rémunérations, de mes horaires. »

D’un parcours professionnel débuté dans la région Midi-Pyrénées, Gilles Ogor a réussi à mettre en place une plateforme connue et reconnue par l’ensemble de la profession en France. Une satisfaction personnelle qui n’entache pas le côté pragmatique de l’entrepreneur. « J’avais fait un pari en me lançant à mon propre compte. Je me suis toujours dit : ‘tant que je peux courir, je cours. Normalement, si j’ai suffisamment couru, je dois pouvoir me reposer un peu plus tôt que tout le monde’. »

Une belle métaphore de la part de celui qui, avec le temps, a appris à concilier vie personnelle et vie professionnelle avec harmonie. « Il est important d’équilibrer sa personne. Pour y parvenir, je travaille toujours selon trois axes : la tête [le business], le cœur [la famille et l’amour] et les jambes [les loisirs]. Même si cet équilibre est toujours en mouvement, particulièrement quand vous devenez entrepreneur, il reste important de prévenir votre entourage de ce que cela va changer pour eux, si les affaires prennent un peu plus le pas sur la vie familiale par exemple. Aujourd’hui, je parviens à concilier les deux sans aucun problème ! », conclut-il.

Visitez son site sur … http://www.les-terrains.com/