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Sécurité sur internet : quels enjeux pour une entreprise ?

L’année dernière, près de 50% des entreprises perdaient encore de l’argent à cause des différents problèmes liés à l’informatique. Un chiffre peu étonnant, quand on sait que seules 30% d’entre elles veillent à la sécurisation des données transmises sur internet.

Quels sont les risques d’une faille de sécurité ?

Un défaut de sécurité au sein du système informatique peut avoir plusieurs répercussions sur la santé de l’entreprise. Si les virus et les programmes malveillants constituent les risques les plus communs, n’oublions pas que les emails frauduleux et le piratage peuvent également venir endommager l’état des appareils informatiques.

Le bon fonctionnement de l’entreprise peut être mis à mal par l’espionnage industriel, qui tend de plus en plus à se développer entre les sociétés d’un même secteur. Les erreurs de manipulation et la malversation peuvent également venir entraver le travail des employés.

Une mauvaise politique de sécurité sur internet peut avoir une répercussion directe sur le fonctionnement de l’entreprise, notamment dans la relation avec les clients. Une faille dans la sécurité peut vous faire perdre des informations confidentielles, ce qui peut non seulement engendrer la perte de votre avantage concurrentiel, mais également une baisse de confiance de vos clients ou fournisseurs concernés par ces informations. Le tout ayant pour conséquence ultime la perte de chiffre d’affaires…

La sécurité sur internet au quotidien

La sécurité sur internet dans les entreprises passe par quelques gestes simples à effectuer au quotidien. Les mots de passe ne doivent en aucun cas être divulgués à des tierces personnes et doivent être redéfinis intégralement tous les mois ou tous les deux mois. Dans le cas d’une réception de mail de la part d’un expéditeur inconnu, mieux vaut en analyser le contenu avant de l’ouvrir. Le numéro de la carte bancaire de l’entreprise ne doit jamais être envoyé par mail ou donné sur un site. Les échanges dématérialisés provoquent de plus en plus d’intrusions de la part des pirates, mieux vaut donc limiter les risques en adoptant ces gestes simples.

Quelles solutions pour une sécurité sur internet irréprochable ?

Pour que la sécurité internet soit garantie au sein d’une entreprise, il demeure indispensable de protéger l’accès au web grâce à des outils comme la solution SiteLock d’Amen. Le réseau informatique doit se trouver protégé dans sa globalité, au même titre que le contenu du site internet de l’entreprise. Ce dernier reste en effet la vitrine principale de la compagnie et l’image qu’il renvoie doit impérativement refléter le sérieux et le professionnalisme de la société.

D’autres astuces simples peuvent permettre d’assurer la sécurité internet d’une entreprise comme la sauvegarde des données informatiques sur un disque dur externe. Ces dernières représentent à la fois tout l’historique d’une entreprise mais également sa base de travail. Il est donc primordial qu’elles soient protégées au maximum. Les courriers électroniques doivent eux aussi être filtrés manuellement ou à l’aide d’un anti-spam automatique. Afin d’anticiper et de prévenir des éventuels accidents de sécurité sur internet, mieux vaut enfin former et sensibiliser le personnel aux différents risques.

Les 10 logiciels à connaître en tant qu’entrepreneur

En tant qu’auto-entrepreneur, il est indispensable d’avoir de bons outils informatiques pour nous aider. Factures, gestion du personnel, prise de rendez-vous, gestion des stocks… A priori beaucoup de logiciels sont sur le marché, mais quels sont les dix logiciels indispensables à avoir en tant qu’entrepreneur ?

1. CIEL AUTO-ENTREPRENEUR

Ciel est le logiciel par excellence, des TPE et PME. CIEL AUTO-ENTRPRENEUR a été conçu en partenariat avec l’APCE (Agence Pour la Création d’Entreprise). Ciel vous aide pour la gestion des contacts clients et fournisseurs, la réalisation de devis, l’édition des factures, et le suivi de votre activité. Logiciel gratuit, il est téléchargeable sur PC ou MAC.

2. SOLEGIS AUTO-ENTREPRENEUR

Solegis est un logiciel commercial dédié aux auto-entrepreneurs. Ce logiciel gère les ventes de vos produits, vos achats, la réalisation de devis, les commandes, l’édition des factures… Solegis vous permet, par ailleurs, d’inclure la fonction de géolocalisation de Google Maps.

3. EBP AUTO-ENTREPRENEUR

Au service des entrepreneurs depuis 1984, EBP vous propose toute une gamme de logiciels pour Windows. EBP (Entreprise de bureautique professionnelle), a conçu divers programmes afin que vous puissiez gérer : la comptabilité, les finances, le secteur commercial, la gestion des clients, et même la paie ! Vous pouvez opter, soit pour télécharger des modèles séparés, soit pour télécharger le pack complet.

4. GESTAN

Gestan est familièrement appelé « le couteau suisse de la gestion d’entreprise ». Gestan est un PGI (ou ERP) c’est-à-dire un logiciel de gestion qui regroupe plusieurs fonctions en une. Gestan vous permet également de suivre votre projet avec précision, ou de calculer le temps passé, par chaque intervenant, sur une tâche précise.

5. MEMSOFT OXYGENE

Le logiciel de comptabilité Oxygène est un logiciel haut de gamme. Il permet la saisie guidée des écritures comptables. Il intègre la gestion de la TVA, le bilan, le compte de résultat, les rapprochements bancaires automatiques…

Le logiciel de gestion commerciale Oxygène couvre les principales fonctionnalités de gestion des ventes comme la gestion des articles et des clients, les devis, BL, règlements…

6. MYAE.FR

Ce logiciel gratuit de facturation en ligne, a déjà été plébiscité par des millions d’auto-entrepreneurs. Ici, le facturier est hébergé et bénéficie d’une sécurité de ses données. L’éditeur peut également accompagner l’auto-entrepreneur dans ses déclarations fiscales.

7. AUTOENTREPRENONS.FR

ComptAE est un logiciel de gestion de facturation gratuit dédié aux auto-entrepreneurs. ComptAE est utilisable sur le site de l’éditeur après inscription. Il permet de réaliser facilement des devis, d’établir des factures et de satisfaire aux obligations comptables. Ce service, offert par Fiducial, vous permet d’être accompagné pendant votre projet.

8. MYFACTURE.COM

MYFacture.com vous propose un outil de gestion très simple, afin de gérer votre portefeuille clients en ligne. Toutes les données sont sécurisées. Les fichiers sont  disponibles à chaque instant et vos factures et vos catalogues sont édités avec le logo de votre entreprise.

9. MACOMPTA.FR

Si vous ne possédez aucune notion de comptabilité, MaCompta.fr est un programme qui vous propose de prendre en charge votre comptabilité. Un tableau de bord vous permet de suivre votre situation financière. Vos données sont sauvegardées quotidiennement.

5 exemples de Junior-Entreprises en France

Les Junior-Entreprises s’adressent à de jeunes étudiants qui travaillent souvent pour des grandes entreprises. Ce sont des associations, à but non lucratif, implantées au sein d’une université ou d’une école (souvent, des écoles de commerce ou d’ingénieur). Aujourd’hui, on ne dénombre pas moins de 165 Junior-Entreprises en France, mais nous ne citerons que cinq des plus dynamiques.

1. Junior ESSEC

Il n’était pas possible de ne pas évoquer une des Junior-Entreprises les plus renommées, à travers la France et l’Europe : Junior ESSEC. Pionnière du secteur, créée en 1967, la Junior Essec se situe dans les locaux de l’école de commerce ESSEC, à Cergy-Pontoise et conserve sa place de leader sur ce marché. Pour l’année 2012 – 2013, la Junior ESSEC représente : 1,6 million de chiffre d’affaires, 5 % de croissance, plus de 80 % des entreprises du CAC 40 ont eu recours à ses services.

2. Marketing Méditerranée

Créé en 1969, cette Junior-Entreprise est implantée directement sur le campus de Marseille dans l’école de commerce Kedge Business School. Spécialisée dans l’audit, le conseil aux entreprises et le marketing, cette Junior-Entreprise se distingue par son ancienneté avec un budget avoisinant les 500 000 €, qui lui permettent notamment de mettre en place de nombreuses initiatives.

3. Junior ESC Grenoble

L’école de commerce de Grenoble est déjà réputée pour faire partie des meilleures écoles et la Junior- Entreprise. Junior ESC Grenoble est spécialisée dans les secteurs de l’industrie et des nouvelles technologies. Elle a déjà séduit et bénéficier de la confiance d’entreprises comme Optic 2000, Seb ou encore Lafarge. Certifiée ISO 9001, Junior ESC Grenoble a réussi à se forger une importante réputation et se classer parmi les meilleures.

4. Altéo Conseil

L’école de commerce Néoma Business School de Rouen a la chance d’accompagner chaque année, plus de trente étudiants. Altéo Conseil est née de la volonté mutuelle de l’école et de nombreux étudiants, de mettre en place une association spécialisée dans la communication, la stratégie et le marketing. Malgré un budget plus faible que les autres Junior-Entreprises, l’association connaît un franc succès et se classe parmi les Junior-Entreprises les plus reconnues, et ce, depuis sa création en 1971.

5. Escadrille Toulouse Junior Conseil

Créée en 1978, ESCadrille Toulouse Junior Conseil est la Junior-Entreprise de Toulouse Business School anciennement Groupe ESC Toulouse. Elle est spécialisée dans les domaines du marketing, de la communication et de la stratégie d’entreprise. L’association réalise de nombreuses prestations dont des études de marché et de satisfaction, des audits RSE et organisationnels… Escadrille Toulouse Junior Conseil se compose d’une trentaine d’étudiants. Parmi les clients de cette Junior-Entreprise, on recense de grands groupes tels que SNCF, Groupama ou encore Vinci.

TOP 5 des plus grosses levées de fonds

Depuis quelques années, les start-ups constituent les principaux centres d’intérêt des investisseurs. Récemment, des sociétés d’envergures variables ont réalisé des levées de fonds exceptionnelles.

1. Uber : 2,8 milliards de dollars

2,8 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros), telle est la somme collectée par la start-up californienne au début de cette année 2015. En révolutionnant la location de véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) Uber n’a eu de cesse de susciter l’intérêt des investisseurs. La première dotation s’élevant à 1,6 milliard de dollars provenait de la banque d’investissement Goldman Sachs au mois de janvier. Elle a été suivie d’un autre apport de 1,2 milliard de dollars en février. Au cours des 5 dernières années, les fonds levés par Uber se chiffrent à quelque 5 milliards de dollars, grâce à la contribution de plusieurs investisseurs, dont Google Ventures, Wellington Management et Sequoia Capital.

2. Delivery Hero : 523 millions de dollars

Delivery Hero a conclu l’année 2014 sur l’annonce de la collecte de 523 millions de dollars (456,8 millions d’euros) suite à la conclusion de 3 tours de tables. La société allemande spécialisée dans la livraison de repas à travers des commandes en ligne bénéficiait de trois apports, de 88 millions de dollars en janvier, 85 millions en avril et 350 millions en septembre 2014. La société Rocket Internet quant à elle, a injecté 568 millions de dollars (496 millions d’euros) en février 2015 pour acquérir 30 % des actions de la société allemande.

3. Ayden : 250 millions de dollars

Ayden a réalisé une levée de fonds de 250 millions de dollars (218 millions d’euros) en décembre 2014 grâce aux apports de Temasek, General Atlantic, Index Ventures et Felicis Venture. La société néerlandaise propose une solution de paiement en ligne, sur mobile et en magasin physique, supportant 187 devises. Ayden a géré des transactions à hauteur de 14 millions de dollars à travers 250 méthodes de paiement en 2013 et dispose d’un portefeuille de 3 500 clients, dont Facebook, Evernote et Groupon. Grâce à cet apport dans son capital, elle ambitionne de renforcer sa présence internationale, notamment en Asie-Pacifique et Amérique du Nord.

4. Ozon : 150 millions de dollars

Ozon détient désormais le record russe de la plus grosse levée de fonds. La société de commerce en ligne a enregistré un apport de 150 millions de dollars (131 millions de dollars) en avril 2015. Cet apport provient de la société russe de holding, Sistema et de l’opérateur télécom, Mobile TeleSystems. Ozon doit son expansion à l’amélioration de la connectivité à internet dans en Russie. Elle ambitionne désormais de développer ses démembrements, Ozon.ru, Solutions Ozon, Ozon.Travel, O-Courrier et Sapato.ru.

5. Sigfox : 114 millions de dollars

Sigfox, la start-up française de télécommunication a annoncé en février 2015, avoir levé des fonds à hauteur de 114 millions de dollars (100 millions d’euros). Ce troisième tour de table constitue un record pour la société qui a déjà collecté un total de 27 millions d’euros en 2014. Sigfox doit ce nouvel apport à BPIfrance, Partech Ventures, IXO PE, Elaia, Air Liquide, GDF Suez, Telefónica, SK Telecom, Eutelsat et Elliot Managment Corporation. Anne Lauvergeon, PCA de la société annonce que la boîte se concentrera désormais sur sa future présence internationale et sur la stratégie marketing y afférant. En proposant, une alternative au GSM a déjà installé 1 300 antennes de réseaux à bas débit pour couvrir plusieurs localités françaises, espagnoles, et belges.

Quelles aides à la création d’entreprise ?

Le sujet des aides destinées à faciliter la création d’entreprise revient très régulièrement sur le devant de la scène. D’un côté, les chefs d’entreprises et les nouveaux créateurs d’entreprises estiment que ces aides sont insuffisantes pour assurer leur survie. De l’autre, les organismes chargés de verser ces aides souhaiteraient voir leurs montants réduits. Alors qu’en est-il vraiment? Petit tour d’horizon des dispositifs existants et de leurs conditions d’obtention.

Les aides permettant de créer son entreprise avec plus de facilité

Les débuts d’une entreprise pouvant être difficiles et coûteux, l’Etat et les collectivités locales proposent des aides destinées à faciliter la création d’activité ou la reprise d’activité pour les porteurs de projet.

Il peut s’agir du versement d’une prime telle que la prime d’aménagement du territoire qui peut atteindre 15 000€ par emploi créé.

Le Nouvel Accompagnement à la Création ou à la Reprise d’Entreprise a quant à lui vocation à aider les personnes en recherche d’emploi à créer ou reprendre leur entreprise, grâce à un prêt à taux zéro d’un montant de 1 000€ à 8 000€.

Le Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise met à votre disposition des moyens techniques et financiers pour faciliter le montage de votre projet, grâce à la signature d’un contrat d’une durée de 12 mois, renouvelable deux fois. Le montant de l’avantage concédé dépend du projet soutenu et des avantages proposés.

Enfin, l’Etat favorise largement la création d’entreprise dans les domaines innovants ou dans certains secteurs en perte de vitesse tels que l’agriculture, grâce à des aides comme l’aide à l’installation des jeunes agriculteurs, qui peut atteindre 35 900€ selon la région d’installation choisie.

Chaque créateur d’entreprise ne sera bien sûr pas éligible à l’ensemble de ces aides, mais il est important d’obtenir la vision la plus large possible des aides existantes, afin que les nouveaux chefs d’entreprise puissent être en mesure d’aller frapper à toutes les portes.

Les aides permettant de faciliter le fonctionnement des entreprises et de dégager de la trésorerie

Une fois l’entreprise créée, les charges peuvent se révéler importantes et limiter la marge de manœuvre des entrepreneurs. L’Etat propose ainsi une exonération d’impôt sur les bénéfices des entreprises installées dans des zones prédéfinies. Cette exonération est totale pendant les 24 premiers mois de vie de l’entreprise, puis dégressive pendant les trois années suivantes.

De même, il existe une exonération de la part revenant à l’Etat sur les impôts locaux de ces mêmes entreprises, permettant ainsi de redynamiser certaines zones. Certaines collectivités locales font également le choix de mettre en place des dispositifs complémentaires à ces exonérations, pour favoriser l’installation et le maintien sur leur territoire. Il convient de prendre l’attache des services compétents pour savoir si votre projet est éligible.

L’Aide au Chômeur Créant ou Reprenant une Entreprise permet une exonération de charges et cotisations sociales pendant une durée d’un an pour les chômeurs qui ont fait le choix de créer leur propre emploi.

Le dispositif d’aides permettant la création d’entreprise semble donc très complet. N’hésitez pas à solliciter toutes les personnes ressources, car votre projet peut sûrement être éligible à certains contrats d’aides.

Les régions où il fait bon d’entreprendre

Entreprendre oui, mais où ? La question se pose à bon nombre d’entrepreneurs, soucieux de mettre tous les atouts de leur côté. Quelles sont les régions où il fait bon d’entreprendre en France ? Une étude réalisée en 2014, livre des résultats inattendus, aussi bien concernant le palmarès des régions que les critères déterminants.

Quels sont les critères pour implanter son entreprise ?

Le choix d’implantation d’une entreprise est capital et influe directement sur sa réussite ou son échec. Longtemps dicté par la seule origine régionale de l’entrepreneur, le choix d’implantation s’effectue de plus en plus par la prise en compte de critères objectifs. Dans le contexte de la lutte acharnée que se mènent les territoires pour se montrer les plus attractifs, l’entrepreneur a tout intérêt à regarder au-delà de l’horizon et à comparer différentes options. Les entrepreneurs se montrent sensibles à la capacité de recrutement, à l’écosystème éducatif et formatif, au taux d’imposition, au soutien apporté aux entreprises, à la disponibilité immobilière, aux infrastructures, aux transports, à l’équipement, au réseautage, mais aussi au cadre et à la qualité de vie ! L’entrepreneur est aussi un citoyen et un père ou une mère de famille. C’est ainsi que la santé, le logement, l’éducation, les loisirs, le tourisme et la sécurité sont des points fréquemment cités par les chefs d’entreprise sondés par la start-up Starofservice et la Fédération des Auto-entrepreneurs, en 2014, sur le sujet.

Basse-Normandie, Alsace, Franche-Comté et Auvergne en tête de classement

Près de 2600 chefs d’entreprise de moins de 50 salariés ont jugé que la Basse-Normandie, l’Alsace, la Franche-Comté et l’Auvergne offraient l’environnement le plus propice à l’implantation et à la création d’entreprise. Ces résultats peuvent surprendre, mais lorsque que l’entrepreneur analyse ces différents critères un à un, il s’éloigne rapidement des évidences initiales et des idées reçues ! Le temps de parcours par rapport à un centre stratégique, est plus indicatif que le nombre de kilomètres. Recherche, création de filières et de pôles, soutien à l’innovation, aides à la formation et au recrutement sont les axes d’une politique d’attractivité réussie. Aimer les entreprises et le faire savoir, c’est ce que semble avoir réussi les régions en tête du palmarès ! L’Auvergne par exemple, n’a pas ménagé ses efforts ces dix dernières années. Très haut débit, TGV, soutien aux pépites (Pôles Etudiants pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat), l’économie et l’emploi. La région met tout en œuvre pour dynamiser son image. La Basse-Normandie joue à fond la carte de l’innovation tandis que l’Alsace et la Franche-Comté mettent en avant un tissu industriel performant et une situation géographie stratégique avec les frontières allemande et suisse. Toutes défendent la qualité de vie qui règne sur leur territoire, loin des zones urbanisées saturées, embouteillées et polluées.

Les critères d’implantation et de développement des entreprises sur les territoires sont plus variés et dépassent le cadre purement économique. Il semble que la Basse-Normandie, l’Alsace, la Franche-Comté et l’Auvergne l’aient compris avant tout le monde. Ces régions ont su adapter efficacement leur politique publique. Elles offrent actuellement un environnement particulièrement favorable aux affaires comme au bon vivre.

TOP 5 des applications mobiles les plus utilisées par l’entrepreneur

Le smartphone constitue un véritable assistant incontournable pour chaque entrepreneur, grâce à des applications toujours plus performantes et riches en fonctionnalités. Quelles sont les applications mobiles les plus utilisées par les entrepreneurs pour optimiser leur productivité et leur gestion ?

Hangouts

Hangouts permet d’effectuer des appels vidéo et d’envoyer des SMS gratuitement à travers le module chat de Gmail. L’application fonctionne depuis un smartphone ou une tablette, mais aussi sur un ordinateur. Elle permet par conséquent de lancer des conversations avec ses clients, ses collaborateurs ou ses partenaires, où qu’ils soient. Avec Hangouts, il est également possible d’organiser des conférences téléphoniques vidéo en invitant jusqu’à 9 autres participants sur une même conversation. L’application prend en charge les plateformes Android et iOS.

SplashTop Remote Desktop

SplashTop Remote Desktop est l’application idéale pour synchroniser parfaitement ses activités sur son ordinateur et son smartphone. L’application permet d’échanger facilement des fichiers avec un ordinateur de bureau, depuis un mobile. Il offre également une possibilité d’interaction avec un ordinateur à distance et de prendre le contrôle de celui-ci. L’accès à distance de l’ordinateur cible est géré par Splashtop Streamer, installé et paramétré préalablement. L’application prend en charge plusieurs niveaux d’accès différents pour des collaborateurs, avec des actions plus ou moins limitées sur l’ordinateur distant, selon les réglages choisis. SplashTop Remote Desktop est disponible dans une version gratuite et une version professionnelle pour une installation sur Android, sur iPhone ou sur iPad.

AroundMe

AroundMe fournit rapidement des informations sur les locaux et les centres d’intérêt d’une zone géographique dans laquelle vous êtes situé. L’application informe son utilisateur sur la position de l’agence bancaire, de la station-service, de l’hôtel, du distributeur de billets ou encore de la boutique la plus proche. Chaque endroit renseigné sur la carte peut être sélectionné pour afficher un itinéraire très précis. L’application AroundMe intègre une fonctionnalité de réalité augmentée et peut être connectée au GPS d’une voiture. Elle prend en charge les systèmes Android et iOS.

Evernote

Evernote représente une sorte de couteau suisse de l’entrepreneur. Il permet de prendre des notes, de faire des captures à tout moment, de collecter des données sur le web et de synchroniser les documents sur un smartphone, sur un ordinateur et sur le Cloud. Il est également capable de numériser des cartes de visite pour ajouter les informations dans un carnet d’adresses et collecter des données complémentaires sur la personne concernée. L’application embarque un gestionnaire de documents et un générateur de diaporama. Il propose aussi un module de partage, capable de créer plusieurs niveaux d’accès différents. Evernote est disponible en trois versions, Basic (gratuite), Plus et Premium, et prend en charge les systèmes Android, iOS, MacOS et Windows.

Mint

Mint permet à chaque entrepreneur de gérer facilement ses comptes à travers un smartphone. Comptes et cartes bancaires, investissements, actions, virements ou transactions en liquide. Chaque aspect des recettes et des dépenses régulières est pris en charge par l’application. Mint assure la gestion de toutes les ressources financières de l’utilisateur pour centraliser les données sur une seule interface. Il peut également classer chaque catégorie de dépenses effectuée chez un fournisseur, dans un restaurant ou dans une boutique d’habillement, pour présenter un rapport régulier. Mint fournit des détails sur la situation budgétaire de l’utilisateur à chaque instant, et peut même conseiller un seuil de dépense pour maintenir un niveau de solde préalablement fixé. L’application peut être installée sur les smartphones Android et iOS.

L’entrepreneure qui sabre le champagne

Pétillante, à l’image de sa maison de champagne. 

C’est ainsi qu’on pourrait qualifier la passion de Valentine Clerc pour son métier actuel. La jeune femme, qui a très tôt tracé sa voie, n’avait toutefois pas choisi l’entrepreneuriat comme sacerdoce. Après des études en école de commerce à l’Essec BBA, elle devient responsable commerciale chez Samsung. Un poste où elle fait ses preuves car en moins de trois ans, elle évolue rapidement. La prochaine évolution (le poste de sa directrice) lui semble bien loin. « C’est à ce moment là que je me suis posé des questions même si mon expérience dans l’entreprise m’a beaucoup appris. ».

Valentine est née dans une famille d’entrepreneurs et selon la légende, serait tombée, enfant, dans la marmite du bon vin et de la gastronomie française, initiée par ses deux grands-pères. Cette éducation est devenue une passion. « Chez Samsung, je vendais des processeurs, des machines. Le vin, lui, est un produit vivant qui continue d’évoluer, jusqu’à sa mise en bouche.
Il meurt quand on le boit… »
s’enthousiasme la jeune femme. En 2012, elle tente le tout pour le tout et envoie son dossier pour un master spécialisé en œnologie au Bordeaux International Wine Institute. Lorsqu’elle reçoit une réponse positive, c’est le déclic ! Elle quitte son poste de commerciale et se lance dans cette nouvelle formation.

A la sortie, elle est recrutée comme responsable commercial d’une maison de champagne, créée par deux passionnés, Pierre Emmanuel et Mickaël. Un coup de foudre professionnel ! Valentine est séduite par le travail du champagne : la finesse des bulles, peu d’acidité et de sulfites… Les deux fondateurs se sont associés à un producteur local pour allier la tradition de l’élaboration du champagne et la modernité d’une analyse des besoins d’aujourd’hui. « C’est un orgueil français que de croire que parce qu’un vin est bon, il se vendra. Il faut comprendre ce que veulent vraiment les consommateurs » explique Valentine. Résultat ? Trois cuvées médaillées d’or, un grand champagne, plus sain et plus naturel. La société a de beaux projets mais est mal structurée.
Fin 2013, les deux associés refondent l’entreprise et repartent de zéro… Valentine monte à bord comme cofondatrice !

Le cœur de métier est concentré à 75 % sur les entreprises. « Nous travaillons autant avec des grands groupes qu’avec des TPE/PME en adaptant nos services à chaque type de besoins. » explique la directrice associée. Charles Legend qui joue dans la cour des grands, souhaite casser les codes de la maison de champagne haut-de-gamme et inaccessible en misant sur des relations de confiance. Même stratégie pour la partie caviste et CHR. « Notre but est de rester exclusif chez des professionnels qui choisissent leur bouteille au coup de cœur et apportent des conseils à leurs clients. ». D’ici la fin de l’année, Valentine Clerc se fixe comme objectif d’avoir référencé son champagne chez un caviste de chaque arrondissement de Paris et grande ville de France.

Nouvelles extensions 2014 : bilan et projection

L’année 2014 a connu un bouleversement dans l’activation des nouveaux noms de domaine. Devenus simples et intuitifs, ils confirment leur statut de nouvel outil marketing pour améliorer la visibilité de votre entreprise.

Rappel théorique

Le nom de domaine (DNS en anglais) est un identifiant de domaine internet (par exemple : paris-france.fr). À la fin du nom de domaine se trouve l’extension, appelée aussi « domaine de premier niveau » (TLD en anglais), qui est précédé par un point. Actuellement, les plus courantes sont : .com ; .net ou encore .fr.

De nouvelles extensions sur le marché tous les mois

Depuis 2013, un programme visant à lancer des nouvelles extensions a débuté. Il est piloté par un organisme américain indépendant, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), le régulateur technique du nommage sur l’internet mondial. Cet organisme surveille les bureaux d’enregistrement comme Amen qui proposent, en collaboration avec les « registres » (Donuts, par exemple), la vente des noms de domaine aux administrations publiques, entreprises et particuliers.

Ainsi, tous les mois, de nouvelles extensions arrivent sur le marché, qu’elles soient de type géographique (.paris ou .bzh), de type professionnel comme .boutique ou .restaurant, génériques (.business) ou originales (.vin). Les extensions les plus récentes ont vu le jour en avril 2015. Il s’agit des .tirol, .fashion, .garden, .college, .poker, .gold, .golf, .mobie, .plus, .tours, .amsterdam, .cafe, .express et .fit.

Quels chiffres ?

Les perspectives de l’ICANN pour 2015 prévoient que le nombre de noms de domaines comportant des nouvelles extensions se situera entre 8 et 10 millions à la fin de l’année. Mais les volumes d’enregistrements semblent déjà inférieurs aux attentes.

Le site internet Ntldstats.com publie les statistiques concernant la réservation des nouvelles extensions de noms de domaine. Fin décembre 2014, on dénombrait près de 3,7 millions d’enregistrements de sites qui comportent des nouvelles extensions pour 327 TLDs disponibles au total. D’autre part, leur répartition paraît loin d’être homogène. La plupart des nouvelles extensions ne sont pas ou peu réservées : à peine 1% des nouvelles TLDs créées se partagent des centaines de milliers de noms de domaine.

Néanmoins, les nouvelles extensions pesaient malgré tout fin 2014 près de 50% de l’ensemble des extensions déjà existantes, selon une récente étude de l’Afnic (Association française pour le nommage Internet en coopération) publiée dans le cadre de l’Observatoire du marché des noms de domaine. Ce chiffre tend à prouver le potentiel de ces nouvelles extensions à convaincre les acheteurs, à condition toutefois qu’elles parviennent à s’imposer face aux extensions déjà en place, comme le .com qui semble ne pas souffrir beaucoup de la concurrence de ces nouvelles TLDs.

Quels avantages pour une entreprise ?

Pour une TPE, le choix de son nom de domaine et de son extension est crucial. Il participe d’abord à la visibilité de l’entreprise sur les moteurs de recherche, dans la mesure où ces derniers accordent généralement plus d’importance aux adresses URL les plus descriptives. Pour l’internaute, une nouvelle extension de nom de domaine prouve votre spécificité, car elle évoque plus directement votre activité, et rentre plus facilement dans sa mémoire, ce qui améliore votre fidélisation des clients.

Choisir son assurance professionnelle pour protéger son entreprise

Protéger son entreprise ne semble pas la préoccupation première de tout entrepreneur. Pourtant, exercer une activité professionnelle sans avoir souscrit un contrat d’assurance spécifique pourrait engendrer des conséquences négatives pour votre business.

Les conseils pour bien choisir

Vous pourrez souscrire un contrat en vous adressant directement à un assureur professionnel, à un intermédiaire, agent ou courtier en assurances, ou enfin choisir une assurance pro en ligne. Quoi qu’il en soit, il convient de suivre quelques conseils avant de s’engager dans une démarche de souscription à un contrat assurantiel. Votre choix devra tenir compte de la nature de votre activité, des risques encourus et de leur conséquences financières, ainsi que de la proximité et l’écoute de vos interlocuteurs sur le terrain. C’est pourquoi, il demeure essentiel de comparer les offres, demander des devis et négocier ! Pour plus de fiabilité sur la couverture qui vous correspond, pensez à demander un audit personnalisé pour votre activité. Certaines professions possèdent un fonctionnement particulier entraînant un surcroît de travail à certaines périodes. Votre contrat ne sera ainsi pas le même si vous êtes un fleuriste de quartier, qui réalise un gros chiffre d’affaires pendant la fête des mères et doit donc avoir un stock plus important, que si vous travaillez comme fabricant de jouet, que vous faites grossir le stock toute l’année pour l’écouler intégralement en décembre, avant les fêtes. Les assureurs ont pour mission de prendre en compte ces particularités et les intégrer dans votre contrat. N’oubliez pas de vous renseigner sur les modalités d’actualisation de votre contrat, car il vous faudra informer votre assureur de tous les changements concernant votre entreprise ou votre vie privée, qu’il s’agisse de l’acquisition de nouveaux biens professionnels, de l’agrandissement des locaux, de la variation de stock au-delà des limites du contrat ou bien du changement de votre régime matrimonial. C’est un point important, car vous pourriez ne pas être couvert par votre contrat si vous n’avez pas pris le temps d’actualiser ce dernier.

Les différents types d’assurance

Avant de se pencher sur l’ensemble des assurances professionnelles existantes sur le marché, il est important de s’appuyer sur le type de risques qu’elles couvrent dans le but de bien les distinguer et d’effectuer un choix judicieux pour son activité professionnelle. On distingue quatre grands types d’assurance.

Assurance « outils de travail » 

Vous devrez assurer à la fois vos locaux et l’ensemble de vos outils de travail. Traditionnellement, les risques couverts dans ce cadre restent toujours les mêmes. Les contrats garantissent les dommages incendie, tempête, dégâts des eaux, vol, bris de glace, bris de matériel informatique. N’oubliez pas d’assurer votre perte d’exploitation en cas de sinistre important. L’assurance « pertes d’exploitation » compense les conséquences du sinistre sur l’activité de l’entrepreneur. Dans un tel cas, l’assureur vient couvrir les charges fixes (impôts, loyer, salaires,…), ce qui permet de replacer la société dans la situation financière qui aurait été la sienne si le sinistre n’avait pas eu lieu.

Assurance Responsabilité Civile

L’entreprise peut être responsable de dommages corporels, matériels ou immatériels causés à des tiers pendant son activité. Dans ce cas, c’est l’assurance Responsabilité Civile (RC) qui est engagée. Il existe trois types d’assurances responsabilité civile : la RCE (Responsabilité Civile Exploitation), la RC Pro (Responsabilité Civile Professionnelle) et la Responsabilité Civile « après livraison ou après travaux », qui couvrent toutes des champs différents. Si vous êtes un conseiller en management, vous faites face à des risques immatériels liés aux conseils prodigués à vos clients. Vous engagez donc votre RC Pro en cas de dommages. Le RC Exploitation intervient dans le cas où, vous provoquez un incendie chez un client et endommagez son matériel. Si vous êtes garagiste et que vous livrez au consommateur une pièce détachée défectueuse qui implique des conséquences sur sa sécurité, vous engagez votre RC « après livraison ou après travaux ».

Assurance Automobile

Si vous possédez des véhicules professionnels, il vous faudra penser aussi à les assurer ainsi que les marchandises que vous transportez. En fonction du nombre de véhicules, sachez qu’il peut être intéressant de souscrire un contrat flotte plutôt que des contrats mono-véhicules, car cela vous apportera plus de souplesse dans la gestion du contrat, et vous permettra accessoirement d’échapper au système de bonus-malus. Notez que la loi rend obligatoire la souscription d’une garantie de responsabilité civile pour tout véhicule terrestre à moteur destiné au transport de marchandises ou de personnes. En cas d’accident, cette garantie permet l’indemnisation des dommages causés aux tiers par le conducteur ou l’un de ses passagers comme les blessures ou le décès d’un piéton, d’un passager, les dégâts causés aux autres voitures, aux deux-roues…

Assurance de personnes

Pensez également à souscrire à des assurances de personnes lorsque vous créez une entreprise. Assurez d’abord vos salariés en matière de retraite, santé et prévoyance collective. Notez premièrement que les complémentaires santé, qui complètent la prise en charge de la Sécurité sociale, deviennent obligatoires pour tous au 1er janvier 2016. Pensez à vous assurer en tant que chef d’entreprise, notamment à travers l’assurance « homme clé », qui intervient dans le cas ou le dirigeant est amené à ne plus pouvoir exercer ses fonctions.

Des tarifs variés

Il est rare de trouver les tarifs de son assurance sur les brochures ou les sites Internet de ces dernières, car il varie beaucoup d’une entreprise à l’autre. Le montant dépend de nombreux critères comme le chiffre d’affaires de l’entreprise, réalisé ou prévisionnel, de la taille et le statut, le secteur d’activité, et les risques auxquels elle est exposée. En matière d’assurance liée au vol par exemple, un salon de coiffure sera exposé à un risque plutôt faible, alors qu’un opticien devra s’assurer plus fortement, dans la mesure où le risque de cambriolage est plus élevé dans son activité.

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