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La vente de produits de luxe en ligne : un secteur d’avenir?

Souvent récalcitrantes à l’idée de « démocratiser » leurs produits, les marques de produits de luxe ont tardé à ouvrir des sites de vente en ligne. Et si aujourd’hui la vente de produits de luxe en ligne était devenue pour ces entreprises un nouveau marché à conquérir ?

Le marché des produits de luxe se porte bien

En pleine crise économique, un secteur résiste avec vigueur: le marché du luxe. Vêtements de créateurs, montres de luxe, cosmétiques haut de gamme ou encore bijoux précieux se vendent à la pelle. Pour preuve, le marché représentait dans l’économie mondiale un peu plus de 1000 milliards d’euros en 2012, et près de 1200 milliards en 2014. En tête du palmarès des plus gros consommateurs de produits de luxe, on retrouve sans grande surprise les Chinois (14% des consommateurs, pour 28% du chiffre d’affaires), les ressortissants des pays du Moyen-Orient (à égalité avec les Chinois), suivis par les Américains (27% des dépenses) et les Européens de l’Ouest (24% des recettes du secteur). L’industrie du luxe regroupe les secteurs de l’habillement haute couture (36% des ventes), des vins et spiritueux (22% des ventes), de la joaillerie (12%), des lunettes et accessoires (11%), de la maroquinerie (10%) et des chaussures (5%). Du point de vue des acteurs du marché, la France et l’Italie occupe toujours le haut du podium avec des entreprises qui affichent un taux de croissance presque toujours exponentiel.

La vente de produits de luxe en ligne, un secteur d’avenir

Aujourd’hui, seulement 6% des ventes réalisées par les entreprises de produits de luxe concernent l’e-commerce. Alors qu’on estime que le chiffre d’affaires des entreprises du luxe pourrait doubler d’ici à 2020, la vente en ligne de produits de luxe peut avoir de beaux jours devant elle. Si les consommateurs n’ont pas encore l’habitude d’utiliser leur ordinateur pour passer ce type de commandes souvent plus onéreuses, l’outil internet reste beaucoup plus accessible que les boutiques de luxe. En mettant en place une stratégie marketing efficace, il est possible d’attirer des consommateurs qui n’auraient jamais poussé la porte d’un magasin haut de gamme. Avec ses 330 millions de consommateurs mondiaux, les marques haut de gamme françaises ont l’opportunité de se faire connaitre sur un marché mondial, et cela, en un seul clic ! Une vraie marge de progression est alors possible, à condition de s’adapter parfaitement aux attentes des consommateurs. Selon une récente étude américaine plus le produit est cher, moins les consommateurs sont enclins à l’acheter sur internet. Par ailleurs, en étudiant les habitudes des consommateurs de produits de luxe, il apparaît que ces derniers achètent plus facilement en ligne des cosmétiques et des textiles que des montres ou des bijoux. Les sites de vente en ligne de produits de luxe doivent donc rassurer une clientèle encore réticente à l’idée de dépenser des sommes importantes sur internet, en se dotant par exemple des meilleurs logiciels de sécurité pour les paiements en ligne.

Les marques de luxe qui ont su tirer parti de la vente en ligne

Face à l’opportunité de fidéliser leurs clients et de séduire de nouveaux consommateurs, certaines marques de luxe ont d’ores et déjà fait le choix de la vente en ligne. C’est notamment le cas de Boucheron. Dès 2007, la célèbre marque de joaillerie lançait une boutique en ligne, et six mois plus tard, le trafic avait augmenté de 400%. Mais le vrai précurseur de la vente en ligne de produits de luxe est sans conteste Hermès, qui se dotait dès 2002 d’un site d’e-commerce, et ouvrait courant 2010 une page Facebook. En 2010, le site de la marque enregistrait plus de 10 millions de visiteurs uniques ! S’il est difficile de connaitre les retombées économiques précises de ces sites de vente en ligne, il y a fort à parier que le marché, encore en pleine mutation, s’oriente vers un avenir radieux.

Connectivité des entreprises : état des lieux, avantages et inconvénients

La connectivité n’est plus un mythe aujourd’hui dans le monde des entreprises. Quels chiffres permettent de faire un véritable état des lieux de cette situation? Quelles peuvent être les conséquences d’une telle présence d’équipements connectés dans nos bureaux et nos espaces professionnels ?

Toutes les entreprises ne sont pas nécessairement connectées…

Si de nos jours, trouver une entreprise non connectée semble impossible, force est de constater qu’il existe de nombreuses disparités entre les entreprises dans leur rapport aux outils internet ou aux objets connectés. La notion d’hyper-connectivité dans le monde de l’entreprise reste donc à nuancer. En France par exemple, on avance souvent le chiffre de 60% pour désigner les entreprises qui disposent d’un site internet. Sur le plan international, une étude récente parue dans The Economist Intelligence Unit affirme que 20% des 560 chefs de grandes entreprises interrogés ne sont pas prêts à changer les habitudes de leur entreprise, c’est-à-dire à leur faire prendre le virage d’internet et du digital. Dans le même temps, le refus de s’adapter au digital est perçu par 60% des dirigeants consultés comme un risque majeur, qui pourrait même s’avérer fatal dans les années à venir pour les entreprises réfractaires.

… alors que d’autres profitent du numérique à 200% !

Il s’agit surtout des entreprises dont l’activité se fonde essentiellement sur les nouvelles technologies : les start-up, les entreprises du digital et de l’innovation. Leur approche presque instinctive de l’objet numérique les pousse vers une transformation radicale des relations au sein de l’entreprise : utilisation plus accrue d’appareils techniques, virtualisation des tâches, modernisation (certains diront dégradation) des techniques managériales. Cependant, si l’on perçoit une nette dichotomie entre les entreprises du numérique ou du web, et celles qui rechignent à l’idée d’avoir recours à de tels outils et préfèrent fonctionner ‘à l’ancienne’, cette transformation –inédite dans le monde du travail- commence à devenir indispensable pour les entreprises de tous les secteurs. Toutes ont par exemple besoin d’une certaine visibilité qui passe, inéluctablement, par l’utilisation d’outils techniques et médiatiques qu’il faut maîtriser, comme les réseaux sociaux.

Avantages et inconvénients d’être une entreprise « hyper-connectée »

1. Augmentation de la productivité et création de nouveaux débouchés professionnels

Productivité accrue, pérennisation de l’entreprise, fidélisation des salariés et instauration d’un esprit d’équipe sur le long terme… L’hyper-connectivité semble pleine de promesse pour les entreprises de tous secteurs confondus. Un immense champ du possible s’ouvre grâce à ces nouveaux objets connectés et aux outils issus d’internet. De nouveaux liens économiques se tissent aujourd’hui grâce aux réseaux sociaux et aux plateformes de mise en relation entre les entreprises de tous pays et de tous continents. Selon l’étude de The Economist Intelligence Unit, 60% des dirigeants interrogés affirment même que manquer la transition de l’hyper-connectivité peut causer des défaillances au sein de l’entreprise.

2. Projet libertaire ou liberticide ?

Parler de connectivité au sein de l’entreprise, c’est plus généralement penser le rapport de l’humain à l’objet et se demander si l’outil utilisé est une source de liberté ou d’asservissement. Parler d’hyper-connectivité c’est déjà pointer du doigt un dysfonctionnement, un excès dans les pratiques de certaines entreprises. S’il y a quelques années, un cadre ou un dirigeant d’entreprise pouvait instaurer une limite nette entre sa vie privée et sa vie publique, aujourd’hui, des outils comme les smartphones, les ordinateurs portables et autres tablettes lui imposent un état de connexion permanente, et le rendent apte à répondre à des situations professionnelles lors de ses vacances ou de ses jours de repos.

Indéniablement, l’hyper-connectivité est aujourd’hui un élément central dans l’activité d’une entreprise. Rater ce tournant de la connectivité, du digital et du numérique, c’est s’amputer d’une possibilité majeure de relais de croissance supplémentaires ou d’une visibilité accrue auprès des clients… Il faut néanmoins savoir utiliser les nouvelles technologies sans excès afin d’éviter toute dépendance qui risquerait de compromettre la liberté d’agir, de décider et d’entreprendre.

Ces start-up qui cartonnent dans le domaine de la production audiovisuelle

Ces dernières années, les start-up ont su se développer à travers un grand nombre de secteurs d’activité. C’est le cas notamment de la production audiovisuelle, un domaine qui abrite en France plusieurs jeunes sociétés particulièrement innovantes et dynamiques. Quelles sont ces start-up qui occupent actuellement un rôle majeur sur le marché de la production audiovisuelle ?

Melusyn

Melusyn est un service en ligne qui permet d’optimiser la gestion de toutes les productions audiovisuelles. Cette start-up entend révolutionner la planification des productions en tout genre, qu’il s’agisse de films ou de séries pour la télévision, de documentaires, de publicités ou de clips musicaux. Sa plateforme web propose une interface connectée accessible via tous les supports mobiles, qui permet de faciliter grandement la communication entre tous les départements de production d’un film. Ce service original permet de centraliser et de synchroniser aisément les données et de simplifier ainsi le travail d’équipe en phase de pré-production.

Movinmotion

Pour toute production audiovisuelle réalisée en France, l’un des éléments principaux à prendre en compte est la gestion du personnel et notamment l’embauche d’intermittents. La start-up Movinmotion propose une solution en ligne novatrice simplifiant l’ensemble de ces démarches pour les sociétés de production. Son interface adaptée permet de diminuer par quatre, le temps passé sur les tâches administratives lors de la production d’un film, et de réduire de 50 % les frais de gestion. Avec 150 entreprises clientes et plus de 3 000 techniciens inscrits sur la plateforme, celle-ci connaît un succès croissant.

Taketracker

Cette start-up met à la disposition des professionnels de la production audiovisuelle une interface inédite pour favoriser le travail de groupe durant un projet de film. Ce service en ligne permet notamment d’héberger, de partager et d’annoter tous les éléments propres à la création d’un film, qu’il s’agisse de rushs de tournage, de planches de tendances, de photos ou de story-boards. Les post-producteurs, les agences publicitaires et les équipes marketing seront en mesure d’utiliser avec profit cette interface pour simplifier au quotidien leurs tâches dans la réalisation des films.

MovieChainer

Pour les différents producteurs de contenus audiovisuels, la gestion des ayant-droit est bien souvent un casse-tête. La start-up MovieChainer, filiale de l’agence de production européenne BackupMedia s’est ainsi positionnée dans cette branche afin de faciliter la connaissance de ces processus via sa plateforme en ligne. Simple d’utilisation, son interface 2.0 permet aux producteurs, aux distributeurs, aux scénaristes et aux institutions publiques de consulter sur un même site les rentrées d’argent correspondant à leurs contrats de production.

7ème Air

Si les quatre start-up citées précédemment occupent une position de leader sur le marché français (elles ont fondé ensemble l’Association des Entreprises du Numérique pour l’Audiovisuel, visant à révolutionner les outils de production au cinéma et à la télévision), une autre jeune entreprise tire son épingle du jeu ces derniers mois. Il s’agit de la start-up nancéenne 7ème Air, qui met en place un système de financement original permettant d’ouvrir au plus grand nombre, la production audiovisuelle en matière de courts-métrages et de web-séries. Après une année d’existence seulement, elle a déjà su s’entourer de nombreux partenaires fiables pour produire des films selon son système de financement novateur.

Google se transforme pour devenir Alphabet : analyse d’une stratégie

À la surprise générale, Google a annoncé le lundi 10 août une importante restructuration. Google Inc. va, dans les semaines à venir, laisser la place à Alphabet Inc., conglomérat dans lequel Google ne sera désormais qu’une filiale parmi d’autres. Quelles sont les raisons et les conséquences possibles d’une telle stratégie ?

Une division plus marquée des activités du groupe

Brocardée par les investisseurs pour un manque de clarté dans les résultats du groupe, la société de Mountain View a opéré un changement radical de stratégie. Place à Alphabet, « une collection d’entreprises » selon les dires de Larry Page, cofondateur de Google. Ces dernières années, l’entreprise avait multiplié les acquisitions de start-ups innovantes, diversifiant ainsi son champ d’activité. Nest, spécialisé dans les objets connectés et Calico (santé) sont venus compléter Google Fiber (fibre optique), Google X (recherche), Sidewalk Labs (logistique urbaine) et les activités du cœur de métier de l’entreprise (YouTube, Chrome, Androïd, moteur de recherche…).
Avec Alphabet – qui chapeautera le tout – chacune de ses activités deviendra une entreprise présentant sa propre comptabilité et ayant un directeur général à sa tête. Cette restructuration semble, avant tout, avoir été pensée pour répondre aux critiques de Wall Street quant au manque de rentabilité général de la société californienne. En faisant de Google une simple filiale, Larry Page et Sergueï Brin espèrent rassurer les investisseurs quant à la rentabilité des activités traditionnelles de Google. Avec l’arrivée récente de Ruth Porat, ancienne de Morgan Stanley, à la direction financière, c’est le second signe fort que Google envoie à Wall Street en quelques mois. Message parfaitement entendu, semble-t-il : l’action de l’entreprise a grimpé de 6 % le jour de l’annonce.

Une restructuration permettant l’éclosion des talents

Le grand bénéficiaire de la création d’Alphabet est Sundar Pichai. L’ingénieur indien a gravi discrètement les échelons de Google ces dernières années. De manager produit, le voici dorénavant propulsé à la tête de Google, désormais filiale d’Alphabet. Sa responsabilité s’en trouve élargie : il s’occupera de toutes les activités traditionnelles de la société, les plus rentables. Courtisé par Twitter il y a 4 ans, Google a tout fait pour le garder en son sein : il jouit de la confiance pleine et entière de Larry Page. Alphabet, par sa collection d’entreprises, aura pour effet bénéfique de créer des équipes dirigeantes et des opportunités de carrière dans chacune de celles-ci, pour mieux retenir les talents. La concurrence étant féroce dans la Silicon Valley, beaucoup ont été démarchés ces dernières années. La stratégie de Google pourrait donc aussi bien répondre à des impératifs de management interne.

Les questions soulevées par la création d’Alphabet

Larry Page n’a jamais caché son admiration pour Warren Buffet. Alphabet est, en ce sens, inspiré de la holding Berkshire Hathaway de l’investisseur américain. À une différence près, cependant : alors que toutes les filiales de celle-ci sont viables économiquement, ce n’est pas le cas pour les entreprises d’Alphabet. Google X, spécialisé dans la recherche de technologie futuriste (Google Glass, voitures sans conducteur, implants neuronaux…) et Calico, cherchant des solutions médicales innovantes, sont largement déficitaires. L’effort de rationalisation opéré par la société de Mountain View sera-t-il compatible avec la vue à court terme des investisseurs ? Les « moonshots », ces recherches relevant parfois de l’imaginaire de la science-fiction, continueront-ils à être financés ? Ces questions semblent légitimes, et de nombreux analystes américains craignent une pression accrue sur Alphabet pour se débarrasser des filiales les moins viables. Les investisseurs sont notamment très inquiets sur l’inflation des dépenses : celles-ci ont augmenté de 23 % l’année dernière. Avec Alphabet, les différentes filiales devraient ainsi se montrer plus prudentes.

Comment créer sa société dans un pays étranger ?

Plus de 10% des français installés hors de France ont créé une entreprise dans leur nouveau pays de destination. Ce chiffre permet à lui seul de prendre la mesure d’une tendance actuelle initiée depuis de nombreuses années maintenant : créer son entreprise à l’étranger est une bonne solution pour tenter de pénétrer de nouveaux marchés. Encore faut-il savoir comment créer sa société dans un pays étranger. Quelques conseils dans cet article.

Des informations à prendre en compte au préalable

• Les formalités et démarches spécifiques à chaque pays

Dans un premier temps, il est important de connaître certaines choses en amont, afin de ne pas faire d’impair. Les formalités, les démarches administratives ne sont pas les mêmes dans chaque pays. Il vous faut vous tenir prêt à vous adapter aux formalités de création d’entreprise de chaque pays. A titre d’exemple, l’Irlande s’est dotée d’un organisme gouvernemental visant à aider les créateurs d’entreprise locaux comme étrangers, alors que d’autres pays n’ont rien mis en œuvre pour contribuer à la même tâche. En Amérique Latine, il est obligatoire de passer par les services d’un expert-comptable pour créer son entreprise.

• Etude des modes de consommation

Pensez également à tenir compte des modes de consommation des habitants locaux. On ne consomme pas la même chose en France qu’en Russie ou qu’en Inde, et surtout, pas de la même manière ! Dans certains pays, la carte bancaire n’est par exemple pas le moyen de paiement le plus utilisé. Une étude du cabinet PwC en 2012 montrait déjà que les modes de consommation variaient d’un pays en l’autre en ce qui concerne la consommation sur les sites e-commerce. Ainsi, en Chine, le couponing et les avis d’experts constituent les deux premiers facteurs qui poussent un consommateur à visiter un espace e-commerce, alors que ces facteurs arrivent en 6ème position dans le reste du monde.

Prenez donc bien le temps d’étudier le pays dans lequel vous souhaiteriez vous installer afin de prendre la mesure des démarches administratives à respecter ainsi que des goûts et habitudes de consommation sur place.

Mettez l’aspect financier au cœur de vos priorités

Les finances constituent le nerf de la guerre, particulièrement si vous souhaitez vous lancer à l’international. Quel que soit votre futur pays d’installation, prévoyez large sur vos finances ! N’hésitez pas à épargner avant même le lancement de votre projet car force est de constater que les succursales de banques françaises présentes à l’étranger rechignent souvent à l’idée de prêter à de nouvelles personnes présentes dans le pays. Par ailleurs, n’hésitez pas à solliciter en amont les organismes susceptibles de vous apporter des aides financières comme la Coface (assurance caution et assurance crédit-export) et Bpifrance. Ne négligez surtout pas cet aspect tant la viabilité de votre entreprise sur le long terme passe par sa capitalisation et sa solidité financière. Obtenir des aides vous permettra de gonfler votre trésorerie et facilitera l’embauche des premiers salariés.

Quelques organismes proposent des solutions clé en main

Vous avez la vive intention de partir vous installer à l’étranger pour créer votre entreprise mais vous peinez à trouver un organisme suffisamment solide pour vous accompagner durant toutes ces péripéties ? Pensez d’abord à vous renseigner auprès de certains organismes gouvernementaux à destination des créateurs d’entreprise en devenir, comme par exemple Ubifrance, l’UCCIFE ou encore le CNCCEF. Par ailleurs, renseignez-vous auprès d’entreprises commeCompany Creation, qui proposent des aides à la création et un accompagnement des futurs créateurs d’entreprise à l’international. Sollicitez de telles solutions vous permettra d’accéder à des démarches administratives simplifiées, quel que soit votre futur pays d’installation. Pour quelques milliers d’euros, vous pourrez obtenir une solution offshore sur-mesure. Près de 4000 clients font déjà confiance à cet organisme qui donne la possibilité à chacun d’aller développer son projet en-dehors de nos frontières.

Comment exploiter les logiciels de discussion à des fins professionnelles ?

À l’ère du 2.0, nombreux sont les logiciels de communication pouvant être utilisés en entreprise. On cite par exemple, Skype, Hangouts et Messenger. Ils permettent non seulement de communiquer instantanément, mais en plus de simplifier le recrutement des employés, la recherche de partenariat et de prospects de qualité. Mais quel outil et les logiciels de discussion choisir ?

Tour d’horizon sur les logiciels de discussion

Les outils de messagerie instantanée sont des logiciels libres, mais aussi polyvalents. Qu’il s’agisse de Skype, de Messenger ou d’Hangouts, on peut les utiliser pour faire suivre des messages vers son téléphone. Ils peuvent véhiculer de la vidéo, de la voix et de l’image en tout temps. Ces logiciels de discussion mettent également à la disposition des entreprises de nombreuses fonctionnalités comme la vidéoconférence, les courriels et l’appel téléphonique. Tout cela pour faciliter l’interaction de l’entreprise avec ses salariés, ses prestataires et ses clients. L’utilisation de ces outils de discussion permet aux professionnels de faire connaître et de promouvoir leurs activités.

Le choix des logiciels de discussion pour un usage professionnel

En entreprise, le choix des outils de communication fait partie du métier des responsables informatiques. Parmi les critères qu’il faut prendre en compte figurent les besoins et l’infrastructure de l’entreprise. Dans le cas de l’assistance client, il serait judicieux d’utiliser Messenger. Celui-ci peut être intégré au site web de l’entreprise afin de communiquer directement avec les clients.
Ces derniers peuvent ainsi obtenir plus d’informations sur leurs achats et entrer en contact rapidement avec le service client pour des questions spécifiques. L’utilisation de Messenger permet de gérer jusqu’à six conversations de manière simultanée. De plus, il est moins cher qu’un appel téléphonique, ce qui permet aux entreprises de réduire leur budget dédié à la communication. Avec le chat Messenger, on peut arriver à fidéliser ses clients en répondant instantanément à leurs demandes. On a également la possibilité de dialoguer visuellement et vocalement avec ses fournisseurs et ses clients via Messenger.

Qu’en est-il de Skype et Hangouts ?

En matière de recrutement, Skype se présente comme un bon outil pour sélectionner ses nouveaux employés. Il permet aux services RH de réaliser une pré-qualification avant l’entretien physique. Skype offre également aux recruteurs la possibilité de gagner du temps puisqu’un entretien en visioconférence ne dépasse pas les 40 minutes. Ainsi, on peut avoir un profil atypique du candidat tout en renforçant son ressenti envers ce dernier. Pour les entreprises disposant des employés travaillant à l’étranger, elles peuvent se servir de Skype pour des réunions. Les dirigeants peuvent rassembler jusqu’à 250 participants dans le cadre de la réalisation d’un projet quelconque. 

Outre cela, Skype demeure un logiciel de communication idéal pour dispenser des formations à ses salariés où qu’ils soient. En ce qui concerne la gestion des courriers électroniques, Hangouts semble le meilleur. Il est également adapté à la communication interne de l’entreprise du fait qu’il est gratuit. On peut l’intégrer facilement avec les services Google comme Gmail, Google Drive, Google +, etc. Il offre aussi des fonctionnalités intéressantes comme la modification de documents. Même si ses collaborateurs ne disposent pas d’Hangouts, ils peuvent consulter les messages instantanés sur Gmail. Cet outil s’avère particulièrement pratique pour communiquer en open space, surtout si le domaine d’activité demande des échanges permanents entre les collaborateurs.

Excel est-il un outil suffisant pour sa comptabilité ?

Le tableur Excel intégré dans la suite Office de Microsoft est un outil puissant qui peut être utilisé pour tenir une comptabilité d’entreprise à condition de respecter les obligations légales.

Excel, un outil suffisant pour des TPE voire des PME

Le tableur Excel offre désormais des fonctions puissantes permettant aisément de tenir une comptabilité simple en enregistrant les recettes, dépenses et bilans. Il suffit de dédier une feuille différente à chaque livre comptable et d’utiliser les fonctions du tableur pour consolider les informations d’une feuille à l’autre (par exemple pour récupérer dans le compte de bilan des éléments provenant du compte de recettes).

L’exercice est particulièrement simple dans le cadre d’un micro-entrepreneur qui a pour unique obligation la tenue d’un livre chronologique de recettes (ainsi que d’un livre des achats dans le cas d’une activité commerciale). Cela semble un peu plus compliqué dans le cadre d’une TPE et peut se révéler plus complexe encore dans celui d’une PME, les obligations légales augmentent avec le chiffre d’affaires effectif de l’entreprise.

L’usage d’Excel dans le cadre d’une micro-entreprise est ainsi à la portée d’un simple utilisateur alors que dans le cadre d’une PME, il faudra se plonger un peu plus dans les aides largement disponibles au sujet du tableur (aide intégrée du logiciel, forums sur internet, ouvrages dédiés). En revanche un usage plus poussé d’Excel permet de l’utiliser pour une véritable comptabilité analytique en étudiant la ventilation des coûts et leur évolution d’une année sur l’autre – il faut là maîtriser les formules et les références Excel – mais on peut obtenir de véritables résultats riches d’enseignement ainsi et s’en servir comme d’un véritable outil de pilotage de son activité.

Attention au respect des obligations légales

Les faiblesses d’Excel pour la tenue d’une comptabilité ne sont pas à rechercher dans les capacités calculatoires du logiciel, mais dans son adéquation ou plutôt son inadéquation aux obligations légales.
L’entrepreneur est en effet légalement tenu de conserver pendant dix ans sa comptabilité et de pouvoir la présenter en cas de demande de l’administration (par exemple dans le cas d’un contrôle fiscal ou social). Or Microsoft ne garantit aucunement la pérennité pendant dix ans de la version actuelle de la suite Office (et l’expérience tendrait à démontrer le contraire…) Il est fort possible que les tableaux, patiemment construits pour assurer la comptabilité de l’entreprise, supportent mal ensuite les évolutions de ces versions futures de la suite Office.

Le risque est réel puisque les tableaux des anciennes versions d’Excel (extension .xls) souffrent de « pertes mineures de compatibilité » lorsqu’ils sont lus avec les versions actuelles et ceux issus de la suite gratuite Works de Microsoft ne sont plus du tout lus désormais ! Et si l’entrepreneur ne peut fournir sa comptabilité lorsqu’elle lui est demandée, il s’expose à un redressement basé sur une estimation forfaitaire de ses bénéfices,estimation rarement favorable…

L’autre problème lié à l’utilisation d’Excel est l’absence de possibilité de figer définitivement les données contrairement aux logiciels spécialisés dans la comptabilité. Cette difficulté peut être corrigée en imprimant périodiquement les journaux comptables et en les datant et paraphant page par page de façon manuscrite ou en les recopiant patiemment dans un livre comptable papier.

Le top 10 des start-up spécialisées dans le tourisme

Le secteur du tourisme s’avère extrêmement dynamique en matière de nouvelles technologies. Chaque année, de nombreuses start-up se positionnent avec succès sur cette branche en plein essor. Quelles sont donc les dix start-up les plus intéressantes dans le domaine du tourisme ?

1. Simpki

Simpki est l’une des jeunes entreprises les plus prometteuses dans ce secteur d’activité. Doté d’une interface intuitive, ce site bénéficie d’un moteur de recherche performant permettant de trouver instantanément les meilleurs prix pour l’hébergement et le transport.

2. Make it Travel

Make it Travel donne la possibilité de réaliser des économies en vacances. Il s’agit d’un site de location d’affaires de voyage entre particuliers qui permet de trouver facilement le matériel de son choix. Son interface ergonomique et son concept malin sont à l’origine de son succès.

3. Bubble Globe

Cette start-up propose aux touristes de réserver en ligne des activités pour la ville de leur choix. Ils peuvent s’appuyer pour cela sur les informations données par des guides locaux qui recensent l’ensemble des activités touristiques, culturelles et artistiques pour chaque destination.

4. Vayable

Vayable est une entreprise spécialisée dans le e-tourisme particulièrement novatrice. Cette plateforme axée sur la découverte permet à des particuliers de réserver des séjours dans des villes du monde entier en compagnie d’un guide local. Un moyen original de découvrir des endroits sous un angle nouveau.

5. Hellotrip

Des études ont prouvé que le premier critère dans l’organisation des vacances en France demeure le prix. La start-up Hellotrip (anciennement Grapy) propose ainsi des recherches détaillées de lieux de vacances par le prisme du budget alloué. Le service permet de trouver aux prix les plus avantageux vols et hôtels pour toutes les destinations.

6. Kazaden

Cette entreprise est la première start-up française spécialisée dans le domaine du sport outdoor. Elle met en relation des touristes avec des professionnels de la mer et de la montagne et donne l’occasion de réserver des séjours sportifs partout en France. Elle organise également des séjours pour les entreprises.

7. TripnCo

Cette start-up française a fait le pari du voyage collaboratif en proposant aux particuliers d’entrer en contact avec des personnes partageant les mêmes projets et centres d’intérêt qu’eux. Le but de la plateforme est de permettre d’organiser des voyages en groupe et d’obtenir ainsi des offres avantageuses des tours-opérateurs.

8. Sépage

Sépage est une jeune société française travaillant dans le data marketing dédié au tourisme. Grâce à un algorithme complexe, elle exploite les données trouvées sur le web pour proposer des voyages ciblés aux internautes. Dotée d’un grand potentiel, elle a remporté récemment le Prix de l’innovation technologique.

9. Day Use

Cette entreprise française est une plateforme en ligne proposant des réservations de chambres d’hôtel à la journée. L’idée est d’accroître le taux de remplissage des hôtels très faible en journée et de fournir aux touristes présents, notamment pour affaires, des chambres à des tarifs très inférieurs aux prix du marché.

10. Travel-Wifi

Cette société propose aux touristes présents sur le territoire français de louer à la journée des boîtiers hotspot et des bornes 4G portables. Le principe est de permettre aux vacanciers de profiter d’un accès internet immédiat : vaste marché quand on sait que la France accueille 80 millions de visiteurs par an !

Les meilleurs acteurs du cloud

Le cloud est ce que l’on pourrait définir comme un « stockage dans les nuages » et qui propose aujourd’hui de nombreuses solutions innovantes et très intéressantes pour les entreprises de tous les secteurs. Les Trophées 2015 d’EuroCloud France récompense d’ailleurs les acteurs français dans le domaine du cloud. Quels sont les meilleurs acteurs dans ce domaine ? 

Opalexe et la dématérialisation des documents juridiques

Utilisé par plus de 36 cours d’appel et 166 tribunaux de grande instance, le service de dématérialisation de documents juridiques Opalexe fait aujourd’hui de nombreux émules, et ce, parmi les plus grandes institutions françaises. Fort d’un agrément donné par la Chancellerie et le Conseil National des Barreaux et conforme au code de procédure civile, ce service de stockage de données n’a pas fini de se développer. Il compte offrir de nouvelles possibilités aux entreprises désireuses de stocker leurs données et autres documents juridiques sur des serveurs parfaitement sécurisés.

Treeptik et son service de migration de cloud

Lza start-up Treeptik, aussi primée lors des Trophées EuroCloud France 2015, propose un service complexe au prime abord, mais qui s’avère très utile en vérité. Le cloud proposé, est basé sur une architecture dite en « containers », et offre un environnement à destination des entreprises entièrement configurées. Il vous sera donc tout à fait possible de cloner des applications, de gérer facilement vos sauvegardes de données, tout en évitant le recours à un développeur pour toutes les tâches d’infrastructure. Arnaud Lambert, fondateur et directeur général de Treeptik, résume simplement son offre comme un nouveau champ de possible entièrement en ligne offert aux entreprises pour la gestion de leurs tâches courantes.

Itelios, le e-commerce possible grâce au cloud

On aborde le cas d’une start-up qui a complètement bouleversé notre paysage économique en proposant des solutions de e-commerce, et ce, grâce au cloud. L’idée était simple : proposer des solutions « clés en main » aux entreprises désireuses d’héberger leur site de vente entièrement en ligne.

Dès 2010, Itelios se lance dans cette aventure avec un succès plutôt timide dans les premiers temps. En se rapprochant du géant américain Microsoft, l’entreprise a réussi à se faire connaître au fil du temps en signant des contrats de plus en plus importants. Aujourd’hui, Itelios œuvre aux côtés de géants de leur secteur, d’entreprises majeures comme Jennyfer, Dim, Picard et bien d’autres encore. Le succès est enfin là, l’entreprise est reconnue par tous les acteurs de l’économie comme le précurseur, le pionnier sur le secteur des sites de e-commerce réalisés grâce au cloud. Une réussite qui ne doit son origine qu’à la pugnacité et la volonté de son créateur, qui aujourd’hui, jouit d’une véritable réputation bien méritée.

CloudScreener, un comparateur de cloud efficace

Vous êtes à la recherche de la meilleure offre possible sur le marché du cloud ? Alors ne cherchez plus, CloudScreener est la start-up qui vous propose l’outil dont vous aviez envie. L’idée, qui a émergé en 2012 dans les têtes d’Anthony Sollinger et de Nicolas Drouet, était de mettre sur pied un comparateur performance/prix des différents services de cloud disponibles sur le marché. La start-up a été primée comme start-up de l’année 2015 par les Trophées de l’EuroCloud France.

Les avantages de Gmail Sponsored Promotions

Gmail reste toujours à la pointe pour toucher les consommateurs. Son format d’annonce publicitaire Gmail Sponsored Promotions (GSP) innove par son attractivité. Explications au service des conversions.

Un format adapté à l’usage des internautes et aux marques

La publicité se conçoit aujourd’hui directement sur le Net en fonction des besoins des internautes. Avec 20 % du temps passé pour les recherches, il est plus intéressant de s’intéresser à une communication directe avec l’internaute dans sa boîte Gmail.

Google Adwords permet de diffuser vos annonces au format enrichi directement dans la messagerie de vos clients et prospects ou dans l’onglet promotions. La facturation se fait au clic aussi appelé cost-per-click (CPC). Le montant payé par l’annonceur correspond au clic qui amène le visiteur sur le site depuis un moteur de recherche ou un éditeur de site.

La notoriété de la marque gagne en puissance et l’internaute est véritablement séduit par le produit. Les ventes sont plus faciles avec un encouragement au cycle de conversion : passer de client à prospect devient plus facile et renforce les relations existantes entre la marque et ses clients.

L’annonce teaser apparaît dans l’onglet « Promotions » ou sur la colonne de droite après l’ouverture d’un e-mail. L’annonce élargie peut s’ouvrir quand l’internaute clique sur le teaser. Une annonce élargie se compose d’un texte avec des images, des liens ou un formulaire, des vidéos et des extensions d’appels.

La précision pour s’adresser à une cible

Ce type de campagne facilite un affinage précis de vos cibles grâce aux mots-clés, à la géolocalisation et aux centres d’intérêt du client. Comme critère, on peut aussi utiliser la profession de l’utilisateur. Gmail devient ainsi un bon moyen de donner à votre site une visibilité optimum. Gmail Sponsored Promotions est adéquat pour mettre en place un plan de communication, être visible dans les moteurs de recherche et communiquer sur la toile et les réseaux sociaux.

Un choix de format large

La marque peut s’adresser aux internautes avec différents supports comme l’ordinateur, le mobile ou la tablette. Un éditeur WYSIWYG est fourni par Google Adwords  et permet de personnaliser ses formats. L’enrichissement est possible grâce aux codes HTML. Il est ainsi possible d’intégrer des vidéos, des jeux ou des questionnaires de satisfaction ou d’identification des intérêts de l’internaute. On peut choisir soit une image cliquable, soit une promotion de produit avec un descriptif ou une vitrine de produits. À chaque fois, c’est un prétexte pour inciter à l’action.

Une publicité bien visible

L’annonceur peut s’adresser à 400 millions d’utilisateurs Gmail. Les annonces dans Google sont souvent saturées de messages. Pour Gmail, le format est encore peu connu et peu utilisé. Du coup, il est plus remarqué. Attention, comme vous touchez beaucoup de monde, on peut vous accusez de spamming ou usage abusif d’un système de messagerie électronique. Il faudra alors faire attention à votre capping publicitaire c’est-à-dire la fixation d’un seuil limite d’affichage d’un même message auprès d’un même visiteur. Rien ne sert de matraquer l’internaute. Et de toute façon à la fin de la campagne, vous avez un reporting complet de l’action de communication.