Accueil Blog Page 854

3 entrepreneurs qui ont entrepris jeunes et qui ont réussi

Dans la série des entrepreneurs qui ont réussi, en voici trois. Pas n’importe lesquels puisqu’il s’agit d’Alexandre Malsch, d’Elizabeth Holmes et de Marjolaine Grondin. Leur particularité ? Ils étaient tous très jeunes au moment où ils se sont lancés dans l’aventure.

Alexandre Malsch

Alors qu’il avait tout juste la vingtaine, l’entrepreneur a cofondé le célèbre groupe média meltygroup. Après avoir quitté sa direction il y a plusieurs mois, l’ex dirigeant est, aujourd’hui, Global Digital Brand Manager pour les marques Quiksilver et Roxy.

Elizabeth Holmes

Dirigeante de Theranos, société spécialisée dans les services médicaux qu’elle a fondée à l’âge de 19 ans, l’entrepreneure aurait fait partie des plus jeunes self-made-woman milliardaire du monde, selon Forbes.

Marjolaine Grondin

Cette jeune entrepreneure de 26 ans a codéveloppé Jam, une plateforme qui répond à vos questions sur Facebook en utilisant l’intelligence artificielle. Avec plus de 100 000 utilisateurs, l’application connaît un succès grandissant.

Facebook F8, une conférence riche en annonces

À San José, le 1er mai se tenait la conférence annuelle de Facebook communément appelée F8. Ce nom fait référence aux hackathon de 8 heures qu’organisait l’entreprise à ses débuts. À l’occasion de cette conférence, des entreprises sont conviées ainsi que des développeurs et des créateurs. Cette conférence se déroule chaque année pour faire part des dernières nouveautés sur toutes les créations que possède Facebook comme Instagram, Whatsapp ou encore Occulus.

Facebook se lance dans le dating avec une nouvelle plateforme

Parmi toutes les nouveautés présentées par Facebook lors de sa conférence, celle qui a fait sensation reste la création d’un service de rencontres amoureuses. Annoncé par Mark Zuckerberg en personne, il proposera prochainement la possibilité de créer un profil distinct de celui de Facebook. Le dirigeant à travers son allocution a assuré que la présence sur le service de rencontre sera « invisible » de tous et que le service ne proposera pas les amis comme âme sœur potentielle. Vu comme un des réseaux sociaux phare ces dernières années, le géant Américain tente de se démarquer et de faire oublier ses déboires à la suite des dernières accusations avec Cambridge Analytica. Cette nouvelle fonctionnalité qui pourrait bien profiter des milliards de personnes inscrites sur la plateforme fait peur aux géants du secteur. Après cette annonce du 1er mai, lors de la conférence F8, le groupe Match propriétaire de Tinder a enregistré une chute considérable en Bourse. Le cours de l’action a perdu 20 % en seulement quelques heures, prouvant l’impact que pourrait bien avoir l’arrivée de Facebook sur le secteur du dating.

Casque Occulus Go, la démocratisation des casques de VR

Facebook a aussi annoncé des nouveautés pour l’Occulus. L’entreprise créatrice des casques de réalité virtuelle a présenté l’Occulus Go, le dernier de la gamme. Il devrait se placer comme le premier casque de réalité virtuelle accessible à tous avec un prix relativement abordable contrairement aux concurrents. Prochainement commercialisé à 219 euros en Europe, il devient le casque de réalité virtuelle le moins cher du marché. Plus simple d’utilisation, puisqu’il ne nécessite plus d’être branché à un ordinateur, il se différencie des concurrents. Samsung et Google ont commercialisé des produits similaires qui nécessitent cependant au moins un téléphone. Son  casque de réalité virtuelle devrait démocratiser la technologie d’ici peu, s’il s’avère répondre à la performance annoncée.

Des nouvelles fonctionnalités pour Facebook

Après le scandale de Cambridge Analytica qui a secoué la firme américaine, Mark Zuckerberg tente de trouver des solutions afin que la vague de désinscription finisse par s’arrêter. Pour que les utilisateurs retrouvent une confiance en Facebook, il compte développer une fonctionnalité appelée Clear History. Celle-ci permettra que chacun puisse effacer son historique de navigation sur la plateforme. Les données transmises par les sites et les applications reliés à Facebook pourront donc être supprimées. Intégrer cette nouvelle fonctionnalité représentera certes un manque à gagner pour le géant Américain mais il a bien que les utilisateurs recherchaient une sécurité optimum concernant leurs données et sa création fait donc sens. Et les nouvelles contraintes sur la cybersécurité sont devenues la préoccupation de toutes et tous.

Avec ses multiples annonces Facebook affiche un choix de se refaire une beauté avec d’autres fonctionnalités comme Watch Party. Sur un groupe, les utilisateurs pourront regarder une vidéo simultanément avec leurs amis tout en la commentant. Elle permettra des interactions en direct sur une vidéo commune, comme le fait déjà le live Facebook.

Une nouvelle interface pour Messenger

Si le réseau social va subir des petits changements, l’application de messagerie instantanée Messenger subira elle aussi face à une légère refonte. Le design sera plus épuré selon Mark Zuckerberg pour améliorer la navigation. En plus d’un nouveau design, l’application proposera de la réalité augmentée dans ces stories. Les utilisateurs pourront utiliser leur téléphone ou leur tablette afin de visualiser des éléments virtuels dans le monde réel. Plusieurs marques feront partie du lancement comme Sephora, Kia, Nike et Asus. Les utilisateurs pourront par exemple se voir maquillé à travers la réalité augmentée de Sephora pour ensuite poster leur nouveau look sous forme de photo ou de vidéo. Les marques proposeront un côté immersif pour que les utilisateurs s’amusent et deviennent ainsi de potentiels consommateurs.

Les stories revues avec la réalité augmentée

En ce qui concerne les stories des applications Messenger et Instagram, elles bénéficieront de certains ajouts pour être reliées à d’autres applications. Les utilisateurs à travers leurs « stories » pourront désormais partager des chansons provenant de Spotify ou autres. Les fonctionnalités ne cessent de se développer autour de cet outil très utilisé par les jeunes générations.

Propriétaire d’Instagram et aussi WhatsApp, Facebook compte bien développer ses deux autres applications. Pour se moderniser, elles proposeront prochainement la possibilité de réaliser des appels groupés.

La conférence par Facebook de San José fut l’occasion d’annoncer de nouvelles avancées dans différents secteurs. Le scandale ayant ébranlé le géant Américain nécessite le développement de nouveaux outils pour que les utilisateurs continuent d’utiliser les divers réseaux et applications. À l’arrivée du RGPD en Europe, Facebook tente de faire des efforts pour se rattraper auprès des utilisateurs. Les nouvelles fonctionnalités annoncées dans tous les secteurs devraient permettre une navigation plus simple mais avec des éléments toujours plus futuristes. Cette conférence reflète l’émergence de la réalité augmentée et la réalité virtuelle qui deviennent des technologies qui ne cessent d’être explorées et développées par les entreprises.

Business plan : convaincre les investisseurs

Quel que soit le domaine d’activité envisagé, le business plan, ou plan d’affaires, est un document incontournable permettant de présenter le projet de façon détaillée.

Essentiel à la compréhension du concept par les investisseur et autres partenaires, le business plan doit être réalisé avec méthode. Outil de travail, de communication, d’aide à la décision, ce dossier doit renfermer tous les éléments qui démontreront le potentiel de la future entreprise.

Bien qu’il existe des méthodes ou des documents type, le business plan doit avant tout correspondre à l’activité envisagée et en présenter tous les avantages. Il faudra, toutefois, veiller au respect de l’ordre chronologique des opérations.

Les questions auxquelles le business plan doit répondre

Au sein de ce document, les investisseurs potentiels devront trouver les réponses aux questions suivantes : en quoi consiste le concept ? Comment est composée l’équipe dirigeante ? Quels sont les clients visés par ce concept ? Comment est organisée la concurrence ? Dans quel délai l’entreprise sera-t-elle rentable ? Quelles sont les stratégies conduisant à pénétrer le marché ?

Les caractéristiques du business plan (plan d’affaires)

Simple, clair, concis, argumenté, convaincant, telles sont les qualités d’un bon business plan. Un investisseur a avant tout besoin d’être séduit par le projet. Le business plan devra donc refléter les qualités commerciales de l’équipe dirigeante.

Chaque étape doit se conclure par la validation du projet en fonction des paramètres extérieurs (le marché, les données financières, la réglementation…).

Dans la pratique, il est essentiel que ce document ne soit pas trop long, une trentaine de pages complétées par des annexes suffisent généralement à la compréhension du projet.

Par ailleurs, un investisseur est une personne souvent très occupée. Il ne peut généralement pas consacrer beaucoup de temps à la lecture d’un business plan, sachant qu’il en reçoit de nombreux chaque jour. Dans ce contexte, un résumé appelé également « executive summary » permet à l’investisseur de comprendre tout de suite de quoi il s’agit. Véritable exercice de style, ce résumé doit contenir, en deux pages maximum l’essence du projet qui a sûrement nécessité des mois de gestation.

De ce document découleront l’ensemble des moyens à mettre en place afin d’assurer le bon démarrage de l’entreprise.

Article par Alexandra Barth
Agence Pour la Création d’Entreprises
Consultante

Racisme : Bad buzz assuré

Les bad buzz restent souvent provoqués par des propos ou des actes racistes ou sexistes. Depuis l’avènement des réseaux sociaux, les mauvaises pratiques des entreprises ne restent plus dans l’ombre. Dernièrement, Starbucks a vécu une polémique autour d’un acte raciste de la part d’un de ses baristas. Reconnu comme un crime ou un délit puni par la loi, il peut dégrader fortement l’image d’une entreprise. Alors comment faire face à de telles polémiques et  revenir dans le droit chemin ?

L’exemple de Starbucks : un acte raciste qui coûte cher

L’histoire part d’une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux qui accuse la célèbre chaîne représentée par une sirène de racisme. Elle montre l’arrestation de deux hommes de couleur dans un Starbucks à Philadelphie. Prise par une cliente du café, elle présente deux hommes qui attendent calmement à une table sans rien avoir commandé et qui se font arrêter par des policiers. Les deux hommes non-violents affirment attendre un ami, ce qui n’a pas suffi pour les policiers prévenus par le signalement d’une barista de l’établissement. Le troisième homme qu’ils attendaient arrive lorsqu’ils se font arrêter. Le commissaire de police de Philadelphie a indiqué que ses agents avaient demandé aux deux hommes de sortir du café, ce qui aurait justifié l’arrestation après un semblant de refus.

La vidéo a fait le tour des réseaux sociaux et a indigné bon nombre d’internautes accusant Starbucks de racisme envers certains clients. L’affaire a pris directement des allures de bad buzz, obligeant alors le PDG de Starbucks, Kevin Johnson à réagir. Ce dernier s’est exprimé sur la polémique en commençant par des excuses aux deux hommes. Au sein de son message, il rappelle qu’aucune forme de discrimination ne peut être admise dans ses cafés.

Les problèmes de racisme étant quotidiens, les excuses du dirigeant ne suffisent pas pour calmer les internautes et pour redorer l’image d’une marque prise en défaut. Pour montrer sa bonne foi, l’entreprise Starbucks a annoncé mettre en place une sensibilisation contre le racisme dans tous ses établissements du pays. En tout, 8 000 d’entre eux fermeront leurs portes durant toute l’après-midi du 29 mai prochain. Une mesure radicale qui fera perdre un chiffre d’affaires considérable à l’entreprise américaine mais qui évitera de possibles dérives. L’entreprise espère ainsi se racheter auprès de ses clients et ne pas subir un possible boycott. Starbucks avec ce bad buzz pourrait bien ne pas être la seule à mettre en place une sensibilisation après des propos ou des actes racistes.

H&M, deux mois plus tard, les retours de la polémique

Deux mois plus tôt, H&M a fait polémique avec sa campagne publicitaire, on ne peut plus contestable. Ayant présenté un enfant noir portant un t-shirt précisant « Le singe le plus cool de la jungle » aux côtés d’un enfant blanc avec un t-shirt « expert en survie », la marque a créé une polémique dont l’ampleur a eu des effets désastreux sur la marque. Les allusions semblent claires et l’indignation des internautes sur la toile n’a pas tardé à se faire sentir, précisant qu’une erreur pareille restait inconcevable, au vu de la taille des équipes publicitaires qui auraient dû percevoir le racisme inhérent à cette publicité.

Les internautes ont relayé en masse l’information créant alors un bad buzz conséquent. Après deux mois, il a impacté les ventes de la marque et les excuses ne suffisent pas pour éviter un boycott. Des manifestations ont eu lieu dans certains pays comme en Afrique du Sud pour lutter contre le racisme généré par  la marque.

Comment se rattraper ?

Quand le racisme surgit au sein des entreprises ou bien à travers leur communication, comment peuvent-elles survivre à de tels propos ?

D’abord et même si elles ne suffisent généralement pas, la présentation des excuses sincères par le dirigeant se révèle fondamental. La réaction doit être rapide et forte pour éviter que l’image de marque se voit entachée. Avec le choix qu’elle a fait de réunir tous ses salariés pour traiter le problème, l’entreprise américaine Starbucks montre que perdre de l’argent au profit d’une lutte contre le racisme est un bien moindre de mal. Bien que radicale, une telle intervention marque les esprits et la polémique perd vite de son ampleur. Une réaction forte demeure donc, en général, une excellente manière de communiquer.

Ensuite, les équipes publicitaires doivent sans cesse se remettre en cause. Les spécialistes pointent souvent un manque de diversité, ce qui mène à des erreurs considérables. La mise en place de process de vérification des campagnes publicitaires représentent également une bonne option pour éviter toute polémique, chaque campagne devant passer par un filtre.

La sensibilisation des salariés à la lutte contre le racisme demeure la bonne pratique et l’inscription dans une charte peut s’avérer primordiale notamment lorsque la taille de l’entreprise grandit. L’inscription dans les valeurs et son rappel régulier éviteront en amont ce type de polémique nuisant fortement à l’image de marque.

3 bonnes raisons d’entreprendre quand on est jeune…

Certains disent qu’il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Une chose est sûre : se lancer lorsqu’on est jeune comporte l’avantage de ne rien avoir à perdre ou presque mais surtout, d’avoir tout à gagner. Voici d’ores et déjà trois bonnes raisons d’entreprendre de créer son entreprise quand on est jeune.

L’endurance.

Si l’on peut souvent avoir le sentiment d’être débordé lorsqu’on est jeune, sachez qu’avec le recul, vous n’aurez jamais l’impression d’avoir eu autant de temps à consacrer à vos projets. Et l’entrepreneuriat nécessite de la patience, et donc du temps. Valider une idée, savoir si son business model est viable, tester un produit ou service… Autant de décisions qui prennent du temps. L’avantage en étant jeune, se résume, en partie, sur votre vision long terme et sur votre énergie, qui vous permettront de tenir la distance.

Le manque d’argent.

Si la raison citée peut, au départ, sembler aberrante, réfléchissez d’une autre façon : partir de zéro signifie ne rien avoir à perdre… Pas de famille à nourrir, de carrière à sacrifier ou de dettes à payer. Autrement dit, tout à gagner ! S’ajoute à ce point le fait que, ne pas avoir beaucoup d’argent, vous obligera, non seulement, dans un premier temps, à vous débrouiller avec presque rien mais aussi à en trouver pour perdurer.

Ne (presque) rien savoir.

D’abord considéré comme un obstacle, disposer d’une très faible connaissance sur l’univers professionnel peut se révéler un atout. Votre inconscience et votre insouciance sont en effet synonymes de fraîcheur ! Plus difficile de la faire encore valoir au bout de trente ans de vie active… Et puis, souvenez-vous, la réussite entrepreneuriale passe aussi par le fait de savoir se démarquer.

Mon employeur me propose de devenir dirigeant(e) !

Actuellement cadre salarié(e), votre employeur vous propose de devenir dirigeant(e), mandataire social(e), dans la société (directeur, directrice général(e), directeur, directrice  général (e) délégué(e) ). En dehors de votre fonction proprement dite, qu’est-ce que cela change pour vous ?

Votre contrat de travail peut être soit suspendu, soit rompu, soit cumulé avec le mandat de dirigeant. Chacune de ces situations présente des caractéristiques propres.
Dans une situation de suspension ou de rupture du contrat de travail, le statut de dirigeant se substitue au statut de salarié.

1 – En cas de rupture du contrat de travail (par hypothèse pour cause de démission), le passage du statut de salarié à celui de dirigeant sera définitif.

A la fin du mandat social, vous n’aurez plus aucun lien avec la société, sauf à négocier de nouveaux accords.

2 – En cas de suspension du contrat de travail, celui-ci reprendra automatiquement son cours après la cessation de votre mandat de dirigeant, et ce, quels qu’en soient les motifs.

Cette suspension est automatique, si aucune convention particulière ne prévoit la rupture du contrat de travail ou le cumul de ce contrat avec le mandat social.

Votre nouveau statut de dirigeant(e) fait naître des droits et obligations spécifiques qui dépendent des fonctions qui vous seront confiées et des avantages que la société vous aura consentis.

Au niveau de votre mandat social, votre relation avec la société sera réglementée par le droit des sociétés et par les conventions conclues avec votre société. à titre d’exemple, la révocation de votre mandat de dirigeant ne sera pas obligatoirement motivée, ni indemnisée. D’un point de vue social, vous ne bénéficierez pas automatiquement de la protection sociale complémentaire, ni de l’assurance-chômage ; votre régime de retraite supplémentaire sera encadré. Néanmoins, votre statut de dirigeant(e) pourra être aménagé par une convention conclue  avec la société, prévoyant la souscription à un régime de protection sociale supplémentaire spécifique, une indemnité en cas de rupture, une indemnité conventionnelle d’assurance-chômage…

3 – En cas de cumul mandat social/contrat de travail, les droits et obligations liés à chaque statut coexistent en parallèle.

Outre les particularités liées à la fonction de dirigeant évoquées ci-dessus, vous bénéficiez en qualité de salarié(e), des règles protectrices du droit du travail, notamment des droits qui vous sont reconnus par la convention collective applicable à votre société et par votre contrat de travail (prévoyance, congés, indemnités de retraites, indemnités de licenciement….)

Le cumul des statuts n’est possible que si vous exercez des fonctions techniques distinctes des attributions qui vous sont dévolues en qualité de dirigeant.

En conclusion, afin de définir les aspects pratiques de cette nomination et notamment de choisir :

  • entre le maintien, la suspension ou la rupture du contrat de travail,
  • les droits attachés au contrat de travail et préservés durant l’exercice du mandat de dirigeant,
  • les conditions de l’éventuelle reprise du contrat de travail (rémunération, fonction, mobilité )
  • les conditions de la rupture du mandat de dirigeant (révocation motivée ou non, indemnité conventionnelle…),
  • la rédaction d’une convention avec votre société, avant votre entrée en fonction, est fortement recommandée.

Pourquoi faire une refonte de son site internet ?

Pour de nombreuses entreprises, le site est devenu un outil incontournable que ce soit pour les clients, les prospects ou encore les partenaires. Il permet notamment de donner des informations sur votre activité ou bien de vendre directement vos produits. Les internautes peuvent trouver votre site obsolète et avoir du mal à y rester. Alors pourquoi ne pas envisager une totale refonte de votre site, pour devenir plus attractif ?

Des bonnes raisons pour tout refaire

Internet a évolué très rapidement ces dernières années et de nombreuses entreprises se révèlent être à la traîne avec leur site, ayant conservé leur site d’origine. Elles souhaitent garder leur interface un peu vieillissante mais un site fort attrayant entre 2000 et 2010, peut parfois ne plus l’être aujourd’hui. Une navigation peu pragmatique et qui demande de nombreux clics avant de parvenir à l’information recherchée mène les internautes à quitter le site pour celui d’un concurrent plus moderne ou disposant d’une interface responsive.

Pour les internautes, le design et la rapidité de chargement constituent, aujourd’hui, un élément clé. Permettre de naviguer aisément avec des couleurs attractives est devenu un incontournable. Moderniser votre site doit être envisagé, par exemple, pour vous adapter aux différentes plateformes comme les tablettes ou les smartphones. Il s’agit alors de rendre votre site « responsive », ce qui nécessite généralement une refonte.

Que mettre en place pour moderniser un site ?

Toutes les entreprises ne bénéficient pas forcément de personnes dédiées à la conception d’un site web en interne. Refaire un site adapté aux nouvelles technologies demande des compétences en graphisme et en développement et vouloir s’improviser webmaster est une gageure qu’il est inutile de tenter.

La meilleure solution pour envisager une refonte consiste, en général, à faire appel à un professionnel ou s’il s’agit d’un simple site vitrine pour ceux qui vous connaissent à faire appel à des solutions clés en main. Le professionnel pourra vous réaliser un site optimisé avec toutes les fonctionnalités nécessaires notamment si vous avez besoin d’un site évolué. Ce spécialiste vous conseillera sur le type de refonte qui s’adaptera à votre plateforme et à vos besoins.

La refonte, s’il s’agit uniquement d’un relooking visuel et non d’agir sur les fonctionnalités, peut effectivement demander peu d’investissement. N’oubliez pas que moderniser un site n’est pas à la porété de tous et que ce sera à vous de déterminer les fonctions dont vous aurez besoin. A défaut, la facture pourrait très bien s’alourdir au fur-et-à-mesure de vos nouvelles demandes. N’hésitez pas à inscrire dans votre cahier des charges les éléments qui vous paraissent essentiels comme l’ergonomie, le temps de chargement ou encore les fonctionnalités. Un des points à ne pas négliger réside dans le design qui est porteur des valeurs de l’entreprise. Aujourd’hui, la plupart des sites possèdent des designs très épurés qui correspondent aux dernières tendances. L’objectif consiste à être pragmatique pour que l’utilisateur ne se perde pas dans la masse de données et il doit pouvoir naviguer sans difficultés et sans chercher une information pendant des heures.

Conserver l’objectif de son site

Moderniser un site reste toujours une bonne idée particulièrement si c’est pour vous mettre à la page. Il faut cependant ne pas oublier vos objectifs et ce que vous voulez transmettre à travers votre site et l’utilisation que vous souhaitez en faire. Une fois ceux-ci déterminés, n’oubliez pas que le référencement jouera également un rôle clé notamment si vous cherchez à attirer une nouvelle clientèle : un site rapide et beau ne vaut rien si personne n’y vient.

Pensez également à vos futures évolutions car le site doit s’adapter aux nouvelles technologies qui ne cessent d’apparaître. Il pourra s’avérer utile de mettre en place certaines fonctionnalités même si vous ne les utilisez pas aujourd’hui.

La maîtrise de l’administration du site reste un plus, elle vous évite de faire appel à votre webmaster dès que vous faites le moindre changement.  Posséder une interface simple, pourra vous faire gagner du temps notamment si vous voulez pouvoir changer votre contenu régulièrement.

Comment se séparer d’un associé ?

Se lancer dans l’aventure ne se fait pas toujours seul. Lors de la création d’une entreprise il est courant de faire le choix de s’associer. La puissance de travail s’en trouve démultipliée au quotidien et une collaboration étroite se forme pour faire perdurer l’activité. Pourtant, il est courant que l’association ne fonctionne pas ou que l’un d’entre eux abandonne. Comment faire pour gérer cette situation difficile et se séparer d’un associé ?

La séparation par l’achat ou la vente des parts

Lorsque des associés ne s’entendent plus, différentes solutions existent. Cette situation de crise demande logiquement un minimum de négociation. Dès la création de l’entreprise, il s’avère préférable de prévoir des clauses afin de prévenir une prochaine mésentente et éviter la paralysie de l’entreprise. Dans le cas, où des clauses n’auraient pas été prévues au préalable, la principale solution utilisée consiste à racheter les parts de votre associé ou des vendre les vôtres.

Pour réussir à trouver un terrain d’entente, une phase de négociation sera nécessaire car il faut s’entendre sur le prix de vente. Or, dans le cas d’un départ, il s’agit avant tout de se mettre d’accord avec un associé qui souhaite désormais préserver son intérêt personnel (en toucher le maximum) contre l’intérêt des autres ou de la société (en payer le moins possible).

Si la séparation est liée à une mésentente, n’oubliez pas que les conflits passés pourraient mettre en péril la bonne marche des choses. Pour mener à bien cette phase, il s’agit de se prendre sur soi et de se mettre d’accord sur un prix de rachat ainsi que sur les conditions de départ de l’autre associé. Réussir à fixer un prix durant un conflit peut se révéler difficile et il vous faudra parfois faire appel à un tiers. Il se chargera de déterminer un prix raisonnable afin que chacun puisse y trouver son compte. Dans le cas d’un désaccord sur le prix, le tribunal de Commerce pourra lui-même désigner un expert. Prenez tout de même en compte que vous ne pouvez forcer, sauf conditions exceptionnelles, un actionnaire à vendre ses parts.

Une fois l’accord passé sur le prix entre les associés, l’étape suivante consiste à rédiger l’acte de cession. Dans le cas de départ d’un associé, il est en général inscrit dans les statuts ou pactes, un droit de préemption ou une procédure d’agrément du nouvel acquéreur. Le droit de préemption permet aux autres associés d’être prioritaires sur le rachat des parts.

En ce qui concerne la seconde solution, elle est souvent inscrite pour éviter les nouveaux associés que personne ne désirerait. La cession justifie la tenue d’une assemblée générale des associés et/ou des actionnaires, qui devront voter la cession des parts à un tiers ou à l’un des associés déjà existants. Lors d’une mésentente et malgré cette clause, il arrive que l’associé sortant refuse de céder ses parts. Dans ce cas et si lors de la création d’entreprise des clauses d’exclusion ou de droit de retrait n’ont pas été fixées, il reste une solution qui s’avère être la plus radicale.

LA solution radicale : dissoudre la société

Malgré une décision commune de la part des associés de se séparer, il arrive qu’aucun accord ne convienne à aucune des parties. Si la cession des parts devient inenvisageable pour chacun, la solution ultime reste celle de la dissolution de la société. Très radicale, elle se produit généralement quand la mésentente ne permet plus un fonctionnement correct de l’activité. L’article 1844-7 du code civil prévoit « la dissolution judiciaire prononcée par le tribunal à la demande d’un associé, pour justes motifs, notamment en cas d’inexécution de ses obligations par un associé ou de mésentente entre associés paralysant le fonctionnement de la société. » car n’oublions pas que ce n’est pas parce qu’un associé fondateur devient inactif qu’il ne peut garder ses parts.

La dissolution d’une société reste relativement encadrée et ne peut être envisagée dans certains cas. Une telle demande nécessite d’être motivée et l’associé qui la demande ne peut être à l’origine des mésententes. Si l’associé fautif réclame la dissolution et qu’il en est à l’origne, il pourrait bien se retrouver condamné à payer des dommages et intérêts. Comme l’article 1844-7 du code civil le prévoit une justification doit être apportée auprès des juges. L’associé responsable de la demande s’engage donc à prouver l’existence d’une mésentente grave et sérieuse paralysant le fonctionnement de la société.

N’oubliez pas que la dissolution dans ce cadre est à l’appréciation du juge qui peut très bien la refuser. Si la société s’avère économiquement viable, un administrateur provisoire sera nominé pour continuer d’assurer le fonctionnement de l’entreprise.

Prévenir la séparation dans le pacte d’associés

Pour éviter une mésentente avérée des associés, il s’avère préférable de prévenir ces situations lors de la création de la société. Vous pouvez très bien prévoir cette situation dans le pacte d’actionnaires ou d’associés.

Un expert juridique pourra vous aiguiller en choisissant les clauses adaptées pour le pacte d’associés. En fonction de celles choisies, diverses solutions s’offriront à vous lors d’un possible conflit. Parmi les plus courantes, il existe la clause de buy or sell qui propose de racheter les parts de l’autre associé ou bien qu’ils doivent les vendre. Dans le cas où il souhaite vendre ses parts, mieux vaut penser à la clause d’agrément. Cette dernière permet d’avoir un droit de regard sur la tierce personne voulant racheter les parts de l’associer sortant.

Lors de la rédaction du pacte d’associés, pensez à envisager une possible clause d’exclusion ou à un droit de retrait. Ils permettent à l’associé sortant de partir avec ses apports tout en quittant définitivement la société.

Lors de conflits entre associés, il s’avère préférable de trouver un bon terrain d’entente afin de ne pas être obligé de saisir la justice. Pour ne pas vous compliquer la vie, mieux vaut, vous préparer à l’avance dès la création de votre entreprise.

Un été malin pour une rentrée sereine

A peine l’été arrivé qu’on pense déjà à la rentrée… Et une bonne rentrée sereine, ça se prépare ! Comme les écoliers qui, l’été venu, se ravitaillent en cahiers et stylos pour bien démarrer l’année, les entreprises doivent, elles aussi, anticiper.

Pourquoi ne pas profiter des mois de juillet et août, où les carnets de commandes sont généralement moins remplis, pour faire toutes ces dix milles choses qu’on n’a par ailleurs pas le temps de faire ? Mettez toutes les chances de votre côté pour démarrer la rentrée avec l’esprit léger : commandez dès maintenant toutes les fournitures qui vont vous être nécessaires jusqu’à l’été prochain. Vous serez bien content d’avoir suffisamment de feuilles blanches dans votre stock quand il faudra, dans le rush, imprimer des contrats en plusieurs exemplaires ! Promis, en suivant nos conseils, vous pourrez partir à la plage le cœur tranquille… et la to do list de rentrée allégée ! Les entrepreneurs à succès vous le diront tous : un des secrets du succès vient de l’anticipation.

Gagner en efficacité

Se procurer des fournitures oui, mais autant faire en sorte que la recherche du bon matériel soit la plus efficace possible. Se balader d’une papeterie, pour trouver des stylos, jusqu’au un marchand de meuble, pour dénicher un nouveau bureau, en passant par le supermarché, pour faire le plein de gobelets en plastique… vous avez bien d’autres choses à faire ! La solution la plus adaptée pour les professionnels reste la vente à distance auprès d’un acteur spécialisé dans les fournitures de bureau. Ces distributeurs vous proposent de commander en un site unique toutes les éléments nécessaires pour équiper entièrement votre bureau. Ces sites proposent en général un large choix de fournitures de bureau qui peuvent vous être livrées dans des délais très brefs. Un élément essentiel pour faire preuve de réactivité face à vos clients !

Faire le bon choix

En matière de fournitures, le dirigeant doit savoir faire les bons choix. Vous trouverez sur Internet des fiches pratiques et des conseils pour vous aider à sélectionner les fournitures les plus adaptées à votre secteur et à vos modes de travail. Pratique pour choisir, par exemple, un siège de bureau qui conviendra parfaitement à l’usage que vous en ferez. N’oubliez pas : la qualité du poste de travail est le premier élément qui contribue au bien-être de votre salarié dans l’entreprise. En matière d’achat de fourniture comme dans la création d’entreprise, être bien accompagné est une des clés de la réussite !

Réduire ses coûts

Avide de conseils pour optimiser au maximum votre trésorerie ? Alors il vous faut savoir que, pour réduire ses coûts structurels, il faut d’abord commencer par traquer, pour chaque petite dépense, les meilleurs prix sur le marché. « Si l’on fait attention à chaque centime, notre fortune est faite » dit l’adage populaire. En clair, si vous voulez couper au maximum vos dépenses, une des actions de base que vous pouvez entreprendre est de trouver un prestataire bon marché pour vos fournitures de bureau. Bon marché, certes, mais sans rogner sur la qualité ! Les acteurs spécialisés dans la vente en ligne de fournitures pour professionnels sont les mieux à même de répondre à ces deux impératifs en proposant des marques certifiées, mais à des prix compétitifs. Un bon plan pour faire le plein de cartouches jet d’encre ou de cartouches laser pour votre imprimante. Guettez bien : sur les sites de ces distributeurs, vous trouverez de nombreuses offres spéciales sur les cartouches qui vous permettront de vous équiper à moindre frais.

Efficacité, qualité et économies : en choisissant un bon distributeur de fournitures pour équiper vos bureaux cet été, pas de doutes, pour vous cette rentrée ne rimera pas avec stressé !

 

Les jeunes, un second souffle à l’entrepreneuriat

Manque de temps et/ou d’argent, peu voire pas d’expérience professionnelle, absence de réseau… Autant de difficultés auxquelles se heurtent bien des jeunes désireux d’entreprendre. Forts de leur ambition et de leur énergie, ce sont, pourtant, eux les entrepreneurs de demain. 

La période de crise n’étant pas totalement derrière nous, les jeunes mettent en exergue la peur de prendre des risques comme l’une des raisons pour ne pas entreprendre. S’ajoute à cela, leur manque de temps et d’argent notamment pour ceux encore étudiants, leur faible expérience professionnelle ou encore leur absence de réseau solide. Les jeunes entrepreneurs qui ont réussi sont, pourtant, nombreux : Mark Zuckerberg n’avait que 19 ans lorsqu’il a cofondé Facebook en 2004, Larry Page et Sergey Brin soufflaient, eux, leur 23ème bougie quand ils se sont lancés dans l’aventure Google… Les Américains ne sont d’ailleurs pas les seuls à détenir leurs « success stories » entrepreneuriales puisque d’autres comme Pierre Kosciusko-Morizet, qui a cofondé PriceMinister à l’âge de 23 ans ou Xavier Niel, à l’origine de Free, se sont, eux aussi, démarqués par leur réussite.

La peur de l’échec en période de crise

Parmi les jeunes de moins de trente ans qui affirment ne pas envisager la création d’entreprise comme une possibilité pour leur avenir, 25 % évoquent la peur d’échouer comme frein principal, selon une étude réalisée par l’AFE (Agence France Entrepreneur, anciennement l’Agence Pour la Création d’Entreprises, ndlr) de 2016. Pour John Chambers, ex dirigeant de Cisco, leader mondial de la transformation numérique, de l’IT et des réseaux, « le rapport à l’échec est perçu en France de façon diamétralement opposée à La la Silicon Valley où il est perçu comme un élément inhérent de la prise de risque, et nécessaire au progrès ». Si le phénomène lié à la peur de l’échec semble persister, en France, des aides sont prévues par l’État afin d’inciter les jeunes à entreprendre et les aider dans leur démarche entrepreneuriale, pas toujours évidente.

Les aides dédiées aux jeunes créateurs

En plus de la « love money », financement provenant de la famille, d’amis ou de proches et destiné au lancement de l’activité, et du crowdfunding, forme de financement participatif, des aides spécifiques existent pour aider les jeunes créateurs d’entreprise.

  • Le dispositif Nacre (Nouvel accompagnement à la création ou la reprise d’entreprise) se présente comme une aide au montage du projet de création ou de reprise d’entreprise ainsi qu’au développement de celle-ci. Ce dispositif s’adresse aux personnes âgées de 18 à 25 ans ou ayant moins de 30 ans dans le cas où elles ne seraient pas indemnisées par l’assurance chômage ou reconnues handicapées. Il prévoit également un prêt à taux zéro et sans garantie d’un montant allant de 1 000 à 10 000 euros.
  • CréaJeunes se place, quant à lui, comme un programme d’accompagnement à la création d’entreprise. Il se voit proposé, gratuitement, aux jeunes de 18 à 32 ans par l’Adie (Association pour le droit à l’initiative économique). Il s’agit, principalement, d’ateliers regroupant une dizaine de participants sur six à huit semaines, qui visent à aider les jeunes créateurs à préparer leur projet et à leur permettre d’accéder à un microcrédit.
  • Proposé par France Active, Cap’Jeunes est destiné aux jeunes demandeurs d’emploi de moins de 26 ans. À la clé, un accompagnement renforcé mais aussi une prime de 2 000 euros pour le démarrage de leur activité.
  • Dans la limite de 120 % du Smic, l’Accre (Aide aux chômeurs créateurs et repreneurs d’entreprises) prend la forme d’une exonération de charges sociales pour une durée d’un ou trois ans, en fonction des cas. Cette aide vise différentes catégories de créateurs et de repreneurs notamment celle des 18 – 25 ans ainsi que pour les personnes de moins de 30 ans non indemnisées par l’assurance chômage ou reconnues handicapées.
  • Autre dispositif : le statut de jeune entreprise universitaire. Permettant des avantages sociaux et fiscaux, il concerne les entreprises dirigées ou détenues directement par des étudiants à hauteur d’au moins 10 % de leur capital, des personnes titulaires depuis moins de cinq ans d’un master ou d’un doctorat, ou bien affectées à des activités d’enseignement ou de recherche.

Le statut d’étudiant-entrepreneur a tout pour plaire !

Vous êtes jeune, étudiant et vous souhaitez vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale ? Alors n’attendez pas la fin de vos études pour sauter le pas ! Le statut d’étudiant-entrepreneur s’adresse aux étudiants ou jeunes diplômés âgés de moins de 28 ans qui détiennent un projet de création d’entreprise. Afin que les étudiants mènent à bien leur projet, le dispositif prévoit un encadrement au sein d’un PEPITE (Pôle étudiant qui accompagne les jeunes entrepreneurs, ndlr), des aménagements d’emploi du temps, des crédits ECTS et la possibilité de substituer au stage le travail sur son projet. Toujours côté étudiants, le statut permet de profiter d’un accompagnement personnalisé, d’une aide à la recherche de financements, d’une mise en réseau et d’un accès au lieu de coworking du PEPITE. Il est également possible de signer un Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE) et d’obtenir un diplôme. Pour ceux déjà diplômés, ce dispositif constitue le moyen de conserver ou de retrouver leur statut d’étudiant (avec tous les avantages qui vont avec). Une formation qualifiante, dédiée et personnalisée (D2E) à l’entrepreneuriat et à la gestion ainsi qu’un accompagnement par des professionnels sont également au programme. Plus de 3 000 personnes se sont déjà portées candidates à l’obtention du statut national d’étudiant-entrepreneur lors de l’année universitaire 2016 – 2017.