Accueil Blog Page 849

Pourquoi ne faut-il rien envier aux millionnaires ?

Souvent les entrepreneurs se lancent dans le monde de l’entrepreneuriat pour devenir riche et ne plus avoir de problèmes. Lorsque vous avez lancé votre entreprise, votre objectif a surement été de gagner beaucoup d’argent tout en faisant ce que vous aimez. La richesse est un objectif que beaucoup se donne pourtant il est bien connu que l’argent ne fait pas le bonheur. Voici les raisons pour lesquels vous n’avez rien à envier aux millionnaires voire aux milliardaires.

Il est vrai que dans notre société tout se concentre sur l’argent. L’argent est la source de nos problèmes et à la fois notre sauveur. Les entrepreneurs ressentent parfois cette frustration d’être en manque d’argent et c’est pour cela qu’il crée leur entreprise car ils ne veulent plus être le serviteur de leur porte monnaie. Néanmoins, les plus riches s’avèrent tristes et misérables car l’argent est devenu la source de leurs problèmes. Certes ils sont à l’abri du besoin mais le bonheur et leurs vies sont loin d’avoir atteint l’épiphanie.

La richesse la réponse à tout

Si vous êtes adepte de livres de développement personnel alors vous être surement familier avec l’importance de se donner des objectifs réels et datés. Par exemple, votre objectif peut être je veux gagner 1 000 000 € avant le 3 juillet 2018 . Pratiquer cette méthode permet de vous motiver au quotidien afin de réaliser vos objectifs. Cette méthode est efficace mais le seul problème serait la manière dont les gens l’utilisent. Effectivement, il est commun de voir certaines personnes penser qu’une fois riche le monde s’ouvrira ainsi que les portes du bonheur. Pourquoi vouloir devenir riche si cela n’apporte pas le bonheur ? Certaines célébrités et grands dirigeants ont affirmé que la richesse n’était pas une réponse. Alors qu’est-ce qui nous fait envier leurs situations ? Sommes-nous formatés par les médias et cette image de richesse ? Cherchons-nous inconsciemment à atteindre la plus haute classe sociale possible pour se sentir supérieur ? Est-ce que nous avons assez de lutter financièrement pour obtenir ce qu’on l’on veut ? Ou Voulons-nous être plus libre et faire ce qu’on l’on a envie sans travailler ?

Une illusion cupide

La richesse n’est qu’une illusion qui se cache derrière votre cupidité et votre égo car en réalité, les plus riches sont les plus misérables. Malgré leurs fortunes, l’argent devient toujours source d’anxiété qui contamine peu à peu leur travail, ce qu’ils aiment et leurs familles. Certains affirment même qu’ils ne sentent toujours pas en sécurité financièrement.
Les jeunes entrepreneurs manquent de plus en plus de valeur. S’ils savaient que 2 millions ou 2 milliards d’euros ne leur apporteront pas nécessaire ce qu’ils veulent alors peut-être qu’ils se concentreraient sur des choses qui aideraient les gens et amélioraient le monde. Nous avons tendance à oublier la chose qui nous rend le plus heureux : aider les autres. Être riche n’est pas mauvais en soi mais aider les autres est le meilleur moyen de supprimer la dépression et d’apporter le bonheur.
« Ceux qui disent que l’argent n’apportent pas le bonheur sont des idiots ! ». Il est extrêmement difficile de faire comprendre aux personnes lambda que la richesse n’est pas importante. Soyons clairs, si vous n’êtes pas heureux dans vos conditions actuelles alors tout l’or du monde n’y changera rien et être millionnaire ne sera jamais la source de la joie. Vouloir être riche pour accéder au bonheur est comme vouloir acheter le plus grand yacht sans savoir où on veut aller. Manquer d’argent n’est pas une excuse pour ne pas être en paix avec soi-même ou ne pas vivre dans l’intégrité.

Une famille déséquilibrée

Les plus riches possèdent les familles les plus détruites. Les parents ont de moins en moins d’autorité sur leurs enfants car leur vision du monde serait changée. Les enfants deviennent plus arrogants, fainéants et sans compassion. En effet, pourquoi faire sa chambre quand une femme de ménage le fera. Pourquoi travailler vu que nous sommes riches. Ils ont de moins en moins de valeurs et de morale et leur éducation passe à la trappe puisque les parents n’ont pas le temps de s’en occuper car ils doivent devenir plus riches … L’argent sera au centre de vos préoccupations et aucun membre de votre famille se sentira réellement indépendant financièrement. Les parents ont souvent tendance à croire qu’offrir une carte bleue à leurs enfants les responsabilisera. Il n’y a rien de plus faux. Au contraire, ils dépenseront plus et ne connaîtrons pas l’importance d’économiser. Donner de l’argent liquide par contre les aide à visualiser et ressentir le poids de leurs actions.

Votre cercle social

Il sera de plus en plus difficile de se faire de véritables amis. La richesse deviendra une barrière pour construire des liens sociaux. Et vous serez à jamais dans le doute « sont-ils là pour l’argent ? ». Vous aurez tendance à cacher votre richesse et vivrez de plus en plus dans le doute.
Être riche ne vous rend pas plus responsable et plus intelligent au contraire. SI vous ne savez pas gérer votre argent : établir des budgets, économiser et investir alors vous serez dans le pétrin avec n’importe quel salaire. Il n’est pas rare de voir des personnes riches noyées sous les dettes, qui ont des problèmes fiscaux et qui dépensent sans compter. L’argent ne vous rendra pas plus sage.

Adieu travail, bonjour liberté.

S’amuser, s’amuser, s’amuser encore et encore. Devenir indépendant financièrement et être payé passivement serait le summum du bonheur. Vous serez à tout jamais en vacances, à vous les voyages, les expatriations, les restaurants, les soirées, les cadeaux et puis … et puis l’ennui. Le travail est la vie. SI vous vous arrêtez de travailler alors l’ennui vous guettera et l’ennui est le pire ennemis de tout le monde.

La morale de cet article est qu’il faut se poser les bonnes questions et savoir ce que l’on veut réellement avant de vouloir être riche. Étudier et s’éduquer pour ne pas tomber dans les pièges. De préférer l’action et de ne plus hésiter. La richesse n’est pas la réponse. L’envie aveugle les entrepreneurs. Basez vos actions sur de bonnes valeurs et ne créez rien au nom de l’argent. 

« Les riches qui pensent que les pauvres sont heureux ne sont pas plus bêtes que les pauvres qui pensent que les riches le sont. »

Mark Twain

Pourquoi apprendre à coder en tant qu’entrepreneur ?

Si certaines entreprises font appel à des développeurs web en freelance pour programmer leur site web ou une application, d’autres préfèrent embaucher un expert dans le domaine. Trouver des spécialistes en fonction des différents langages de programmation utilisés est toujours complexe. Vous pouvez avoir un salarié dédié, mais il s’avère tout de même préférable de s’informer afin de comprendre certaines bases de code et pouvoir prendre les décisions qui sont nécessaires au développement de l’entreprise.

Pour commencer, se cultiver sur le domaine

Apprendre à coder peut sembler basique pour un entrepreneur. Il est souvent difficile d’avoir une idée de la pratique et de ses dérivés sans avoir de connaissance du domaine. La plupart des entreprises se dotent d’un développeur pour programmer une application ou bien développer un site web. Si de nombreuses solutions existent pour créer des sites simplement, apprendre à coder pourrait vous servir au quotidien. Il s’agit pour vous d’avoir les qualités requises pour comprendre le « charabia » des développeurs. Apprendre à coder consiste à se focaliser essentiellement sur les langages utilisés par votre entreprise et sur ce que vous souhaitez développer. Il ne s’agit pas de remplacer vos développeurs, mais simplement de pouvoir les comprendre lorsque vous créez un projet à travers un site web, une application, un jeu ou même une intelligence artificielle. Des langages restent très faciles d’accès, comme le langage HTML qui consiste principalement à apprendre des balises pour mettre en page un texte au sein de votre site. Le développement web s’avère moins complexe que la programmation qui est rarement abordée dans le cas de la réalisation d’un site web. Pour un entrepreneur, il n’est pas obligatoire de plonger les mains dans le code, mais il s’agit de comprendre les expressions récurrentes et les différents langages pour travailler en commun avec ses développeurs.

Avoir un minimum de maîtrise

Contrairement à de nombreuses matières, le code s’apprend à l’aide d’Internet en effectuant de nombreuses recherches. Pour se familiariser avec cet apprentissage, la connaissance passage obligé. La plupart des langages se servent de mots anglais et vous aurez plus de facilité à trouver des solutions pour rectifier vos erreurs au sein de forums en anglais. Apprendre à coder en tant qu’entrepreneur, vous donne l’opportunité de pouvoir résoudre des erreurs sur certains éléments relativement faciles d’accès. Il ne s’agit pas de se lancer dans des algorithmes mais seulement de pouvoir avoir la main sur les éléments fondamentaux qui constituent votre plateforme. N’hésitez pas à demander à votre développeur de vous former sur des problématiques qui peuvent survenir régulièrement. Un site qui ne fonctionne plus, peut parfois engendrer des pertes conséquentes en matière de financements. Si vos développeurs ne sont pas joignables, il pourrait s’avérer utile de savoir maîtriser ces outils.

Continuer d’être à la page en matière d’innovation

Avec l’émergence d’Internet et des différentes plateformes, savoir coder peut devenir un réel atout. Les nouveautés ne cessent de se développer au quotidien et les langages progressent au fil des années. Le code devient essentiel dans bon nombre d’innovations. Les voitures autonomes, par exemple, possèdent chacune une intelligence artificielle qui leur permet de s’autogérer. Ces langages ne restent pourtant pas à la portée de tous, ils demandent une spécialisation et beaucoup d’entraînement. Par ailleurs, étant incontournable, comprendre leur cheminement pourrait vous aider à garder le cap sur l’innovation. En tant qu’entrepreneur, restez à la page pour comprendre ce qui se fait sur le marché fait partie de vos attributions. Apprendre à coder permet de garder un esprit vif et une logique qui coïncident avec l’émergence des nouvelles technologies. Certains langages restent très complexes à appliquer et peuvent demander plusieurs années de spécialisation, mais il s’agit essentiellement de se cultiver pour ne pas perdre le fil dans ce domaine.

Des solutions pour apprendre simplement à coder

Lorsque vous entendez des développeurs parler entre eux, il se peut que vous sembliez perdu face au jargon employé. Il existe des solutions faciles d’accès vous permettant de comprendre les éléments essentiels. Dans un premier temps, ne vous focalisez pas sur tous les langages utilisés, mais plutôt sur celui que vous utilisez au sein de votre plateforme. Pour tout ce qui concerne le développement web, le code en JavaScript reste assez courant. Vous perfectionner dans ce domaine pourrait vous aider à comprendre de nouvelles innovations ainsi que le site d’un concurrent ou même une application qui vous intrigue. Pour apprendre ce type de langage, il existe une application intitulée Grasshopper qui consiste à enseigner le code en JavaScript à l’aide d’un jeu et d’exercices. Il s’agit d’un premier début pour vous familiariser avec le langage informatique. Si vous n’êtes pas rassuré ou bien si vous préférez vous orienter sur des méthodes d’apprentissage plus classique, vous pouvez demander à votre développeur qui vous orientera vers des méthodes simplifiées.

L’innovation et le développement deviennent l’avenir de notre société puisque toutes les nouvelles technologies sont programmées en amont pour réaliser des tâches bien précises. Même si vous ne comptez pas vous spécialiser dans un domaine particulier, comprendre les bases peut vous aider à améliorer vos projets en collaboration avec vos développeurs.

Optimiser votre démarche commerciale

Pour alimenter davantage votre flux de commandes, trois indicateurs sont à soigner tout particulièrement : les rendez-vous obtenus suite à une prospection, les propositions commerciales effectuées lors de ces rendez-vous et enfin bien sûr le nombre de ventes conclues.

Si la différence entre un vendeur performant et son collègue en difficulté n’était finalement qu’une question de démarche commerciale ? Une marche à suivre objective permettant d’augmenter quasi mécaniquement l’alimentation de son portefeuille en nouveau business. Quelque peu schématique, comme approche ? Elle fait pourtant ses preuves dans toutes les entreprises qui sont revenues de la croyance selon laquelle certains collaborateurs ont la bosse du commerce et d’autres non…
Qu’on se le dise, améliorer sa démarche commerciale exige donc avant tout un plan d’action bien ficelé. Voici comment procéder.

Définissez soigneusement votre cible de prospection

C’est l’étape préalable à toute démarche commerciale efficace. Et en la matière, hors de question de vous fier à votre instinct. Il vous faut au contraire faire preuve de rigueur en commençant par ranger vos prospects éventuels en trois familles : ceux qui n’auront jamais besoin de vos produits ou services, ceux qui pourraient y venir si vous parveniez à les convaincre de leur utilité et enfin les clients de vos concurrents. Une fois cette catégorisation réalisée, il est probable que les deux derniers marchés soient encore trop vastes. Segmentez-les en sous-ensembles liés à des critères pertinents pour votre activité (taille de l’entreprise ciblée, moyens financiers supposés de la cible, coûts d’acquisition d’un nouveau client sur le segment, cohérence avec vos pratiques de prospection, etc.). Vous allez ainsi faire apparaître des segments de marchés mieux délimités sur lesquels vous appuyer pour décider de vos cibles prioritaires. Il vous restera alors à vous constituer un fichier le plus exhaustif possible de prospects correspondant au segment retenu. Les sources sont à la fois internes (fichiers maisons, prises de contacts sur les salons, échanges de fichiers avec d’autres entreprises, etc.) et externes (Kompass, annuaires web spécialisés, CCI, classements publiés par la presse, etc.)

Mesurez vos performances à l’aide d’indicateurs clés

Si vous souhaitez optimiser votre démarche dans la durée, il est essentiel de mesurer les résultats liés à vos efforts commerciaux. Vous devez choisir des indicateurs clés de performance depuis la prise de rendez-vous jusqu’à la conclusion de la vente. Chaque entreprise peut bien sûr affiner ses critères en fonction de son marché, mais le plus simple consiste à se focaliser sur trois ratios pertinents :

  • le nombre de rendez-vous obtenus/le nombre de contacts argumentés face à un prospect ;
  • le nombre de propositions commerciales effectuées/le nombre de rendez-vous obtenus ;
  • le nombre de ventes conclues/le nombre de propositions commerciales effectuées.

L’avantage de ce modus operandi ? Il permet d’analyser avec précision les points d’amélioration de chaque vendeur si des disparités frappantes apparaissent, mais aussi parfois de la démarche commerciale en elle-même dès lors que toute l’équipe est à la peine sur le même ratio. Reste alors à travailler sa performance sur chacun de ces indicateurs. Voici comment procéder.

Augmentez le nombre de rendez-vous obtenus

Souvent considérée comme ingrate, la prospection téléphonique reste pourtant le meilleur moyen pour performer sur ce premier ratio. À condition d’agir avec une méthode qui repose tout d’abord sur une base de données fiable. Comme vu précédemment, de multiples pistes existent pour se constituer un bon fichier. Tachez ensuite d’affiner le profil de chaque prospect : Est-il en croissance ? À quelle période de l’année le contacter ? Comment avez-vous procédé pour approcher d’autres acteurs de son marché ? Etc. C’est grâce à toutes ces informations que vous allez imaginer une phrase d’accroche percutante et un argumentaire convaincant.

Votre partie de chasse peut commencer. Afin de ne pas vous éparpiller, bloquez une plage horaire et essayez de vous y tenir quoiqu’il arrive. Gare à l’excès de zèle, toutefois… Si vous ne voulez pas vous décourager, une à deux heures par jour suffisent. Pour franchir le fameux barrage de l’assistante, à vous de lui prouver que vous avez un réel service à rendre à son patron en restant toujours courtois et chaleureux, mais tenace et précis dans votre argumentation. Lorsque vous parvenez à parler au bon interlocuteur, soyez très bref. Votre but n’est pas de lui vendre quelque chose mais d’obtenir un rendez-vous. C’est là que votre phrase d’accroche et votre préparation à la levée de toutes les objections possibles feront la différence.

Amplifiez votre nombre de propositions commerciales

Obtenir un rendez-vous est une chose, le faire déboucher sur une proposition commerciale en est une autre. Le succès de cette phase repose sur votre capacité à découvrir les enjeux de votre client. Après avoir instauré un climat de confiance avec quelques mots permettant de briser la glace, il est temps d’écouter avec attention ce qu’il a à vous dire et de le lui montrer. Posez au minimum une dizaine de questions préparées en amont, n’ayez pas peur des silences afin d’obtenir la « dernière goutte de ses propos » et surtout ne les interprétez pas dans un sens qui vous arrange. Dans le doute, reformulez de manière à vous assurer que vous avez bien compris.

Ce n’est qu’après cette étape clé que vous pourrez passer à l’argumentation de votre offre. Celle qui, si elle est ficelée en fonction de ce que vous venez d’apprendre, devrait vous permettre d’accroître votre deuxième ratio de manière substantielle.

Faites accroître le nombre de vos conclusions

Vous êtes dans la dernière ligne droite et ce n’est pas le moment de flancher… Réaliser une vente nécessite en pré-requis d’avoir répondu aux attentes et besoins de votre prospect. Mais cette condition n’est pas suffisante. Il vous faut aussi échapper au syndrome de la fameuse peur de conclure. Sachez interpréter les signaux montrant que votre interlocuteur a envie de signer. Par exemple des questions telles que « est-ce que je peux échelonner mes paiements ? » ou « la livraison est-elle possible en conditionnement de 100 ? ». Face à de telles interrogations, il est grand temps de répondre sans hésiter puis d’oser sortir le contrat sans trembler. Laissez passer une petite dizaine de secondes en silence pour vous assurer qu’il n’a rien à ajouter puis… tendez votre stylo !

Article par EVELYNE PLATNIC-COHEN| BOOSTER ACADEMY

Les grands défis des PME en 2018

Interview de François Asselin, président de l’entreprise familiale Asselin et de la CPME qui nous parle des grands défis pour les PME et des clés pour réussir à l’ère de grands changements pour les petites et moyennes entreprises.

Quels vont être les grands défis pour les PME ?

On a déjà commencé à les entamer avec l’impact indéniable du numérique sur le fonctionnement des entreprises particulièrement les PME, que ce soit dans la manière de produire et de traiter les fonctions supports de l’entreprise ou que ce soit pour s’adresser aux clients. Il faut prendre en compte l’évolution des modes de consommation à travers le numérique et comment nous devons « les prospecter ».Les retombées sont considérables et comportent des menaces et des opportunités. Celles qui arriveront à prendre ce sujet à bras le corps vont sortir du lot alors que pour  les autres cela risque de devenir dangereux.

Pourquoi mettre la créativité au centre de la thématique du salon ?

La créativité c’est l’ADN des PME et des TPE c’est-à-dire qu’une PME qui n’est pas créative, sort rapidement de son marché. Le meilleur moyen de continuer à développer son modèle économique, c’est de mettre la création au cœur du projet d’entreprise. Arrêter d’innover revient à arrêter de pédaler. Quand on avance en côte, on sait ce qui se passe. La créativité peut être technique, humaine, organisationnelle, et concerner tous les domaines d’activité. Les TPE-PME sont par essence créatives car leur taille humaine leur offre plus d’agilité que les grands groupes, elles ont moins de moyens par exemple pour communiquer, donc elles sont obligées d’avoir de l’imagination ! J’ai voulu mettre cette thématique au cœur du salon car nous allons vous montrer des témoignages de patrons de PME exceptionnels qui ont osé et qui ont réussi et cela nourrira la réflexion des autres.

Quelles vont être les grandes problématiques abordées dans le salon et quels formats?

D’abord c’est un forum pensé pour les dirigeants de TPE-PME. Le parcours du chef d’entreprise est organisé autour de ses préoccupations que l’on a thématisées en 4 pôles :

  • Esprit d’équipe pour tout ce qui touche à l’homme au cœur de l’entreprise (ressources humaines, management…)
  • Esprit de conquête pour tout ce qui permet de développer son entreprise : notamment l’export, le commercial, le numérique.
  • Esprit avisé permet aux chefs d’entreprise de recevoir des conseils sur la gestion de  l’environnement technique, juridique et comptable, y compris pour tout ce qui touche le chef d’entreprise lui-même avec la prévoyance.
  • L’Accélérateur où on va regrouper des start-ups qui vont présenter leur dose de créativité à l’ensemble des visiteurs.

Une agora, le Plateau TV, sera située au cœur de l’exposition tout au long de la journée, où les politiques et les entrepreneurs viendront pitcher et se faire interviewer en direct. Mais également un concours autour de la créativité. 4 PME seront récompensées pour leur démarche exceptionnelle quant à la créativité de leurs produits, services, leur organisation ou leur stratégie marketing. 12 candidats ont été présélectionnés et j’ai hâte de savoir qui va sortir du chapeau !

Nous avons voulu remettre de la dynamique et de la créativité. Nous aurions pu faire quelque chose de très institutionnel même s’il y en a une avec notamment la visite de ministres. Ce que nous voulions surtout insuffler c’est comment développer son entreprise et recevoir des témoignages d’entreprise sur leur réussite grâce à la créativité afin que chaque participant ressorte avec une nouvelle énergie en se posant la question : quel pourrait être mon modèle économique dans les années qui viennent ?

Le nom du salon a changé pourquoi ?

Nous souhaitions un nom qui parle à tout le monde et quoi de plus simple que « PME ! ». Nous avons créé un salon beaucoup plus tourné sur des témoignages de patrons de PME avec des personnalités emblématiques qui vont faire part de leur expérience, des jeunes dirigeants engagés à fond dans leur projet. C’est vraiment un forum qui est en mode projet avec beaucoup d’interactivité : plateau TV, interview en pitch et en live, un parcours visiteur beaucoup plus fluide avec des intervenants regroupés suivant leur domaine d’expertise. L’idée est de dire : si vous avez des projets venez les partager, si vous êtes en recherche, venez écouter. Et si vous voulez être en contact avec les personnes qui dirigent notre pays, c’est peut-être l’endroit pour les croiser, les interroger et écouter tout ce qu’ils ont à proposer.

Un point pour finir ?

Nous sommes qu’on le veuille ou non, à une période charnière pour nos entreprises. Aussi, nous attendons avec impatience après la séquence des ordonnances travail, une nouvelle séquence à travers la loi Pacte pour améliorer l’environnement des entreprises notamment celui des TPE et PME. Nous espérons qu’avec la présence du Premier Ministre et du Ministre de l’Economie, ils sauront mettre de « la confiance au cœur de leur projet » parce qu’un des moteurs de la créativité, c’est la confiance.

5 raisons de démystifier la création d’entreprise avant de se lancer

Vous avez lu toutes les success story des entrepreneurs et vous ne vous dites pourquoi pas moi. Vous avez certes entendu dire qu’un certain nombre d’entrepreneurs ont mis la clef sur la porte malgré une excellente idée, malgré un travail acharné, même après une levée de fonds qui laissait penser que tous les espoirs étaient permis. Mais avant de vous lancer, voici 5 raisons de démystifier la création d’entreprise.

Croire que vous allez devenir multimilliardaire en 6 mois.

L’appât du gain est un facteur qui motive nombre d’entrepreneurs. Mais il faut savoir qu’il existe souvent un décalage entre le lancement de l’activité et le moment où vous pourrez simplement commencer à vous verser un petit salaire. Un paramètre à prendre en compte avant de se lancer. La tête dans les étoiles mais un plan de trésorerie, un business plan bien étayé sont des valeurs sures qui vous permettront de créer une entreprise pérenne.

Oublier l’idée que l’entrepreneuriat c’est la liberté totale.

Certes vous ne devrez plus rendre de compte à un patron, vous allez devenir maitre à bord et ne plus dépendre de décisions qui vous paraissent absurdes mais vous allez devoir endosser tout seul de lourdes responsabilités et donc vous dire que le seul responsable de l’échec comme de la réussite c’est vous. Une situation qu’il faut être prêt à affronter quelles que soient les circonstances et les obstacles qui se présentent.

Ne pas tomber de haut quand vous vous apercevrez que tout met plus de temps que prévu.

Vous pensez qu’en deux mois vous aurez créé la structure, réalisé une levée de
fonds
, trouvé des locaux, embauché deux salariés et finalisé votre plan de communication ? Vous découvrirez que la réalité est quelque peu différente… et surtout plus lente ! L’administratif ne se fait pas en un jour, développer sa clientèle demande du temps. Certes vous pouvez décrocher des contrats prometteurs mais pour que votre entreprise se développe constamment acquérir un portefeuille de clientèle vous demandera d’investir du temps et du talent.

Vous rendre compte que le changement de vie, même s’il est souhaité, peut être brutal.

Êtes-vous bien sûr que vous et votre entourage assumerez la masse de travail qui sera la vôtre une fois que vous vous serez lancé ? Accepterez-vous la situation d’insécurité professionnelle de l’entrepreneur ? et oui vous devrez certainement mettre des projets personnels en attente et en conséquence vos proches seront aussi les premiers pénalisés. Alors, il faudra avant tout leur demander en amont leur soutien.

Pour bien comprendre que vous ne ferez pas uniquement des choses passionnantes !

Même si vous vous lancez dans un domaine qui vous captive, il ne faut pas oublier qu’il vous faudra également assurer la gestion de l’administratif, de la comptabilité et que vous devrez parfois affronter les hauts et bas bancaires et affronter votre banquier.
Une fois démythifier, n’hésitez pas à créer votre entreprise car vous développerez un potentiel que vous ne soupçonnez pas.

La preuve en 4 leçons que vous ne serez jamais un grand leader

On peut lire un peu partout que tout le monde peut être un leader, que cela s’apprend, et facilement. Pourtant, force est de constater que c’est un peu plus compliqué. C’est bien la raison pour laquelle de nombreux chefs d’entreprise pensent être de parfaits leaders, capables d’inspirer et guider leurs équipes, alors qu’en réalité, ce n’est pas tout à fait le cas. S’il est certain que tout le monde peut apprendre les bases du leadership, il n’est pas donné à tout le monde pour autant d’avoir de réelles qualités de leader.

Le « rôle » du leader dans une startup

Si vous êtes dirigeant d’une startup, il est indispensable pour vous d’avoir une réelle légitimité pour motiver vos troupes. Les managers des grands groupes ont l’avantage d’avoir un nom derrière eux, c’est en partie ce nom (en plus des aspects financiers) qui motive les salariés. Il est peu probable, si vous êtes à la tête d’une startup que vous disposiez de moyens financiers suffisants pour que l’argent soit un levier pour motiver vos salariés. Sachant que vous n’avez probablement pas encore le nom, beaucoup de choses reposent sur vous, sur vos qualités.

L’environnement de travail et la qualité des missions auront évidemment un impact direct sur l’implication des salariés mais c’est avant tout votre personnalité qui les poussera à donner le meilleur d’eux-mêmes. Ce point est déterminant. Si vos salariés ne vous perçoivent pas comme légitime pour leur donner des ordres, ils ne pourront pas s’impliquer et se projeter dans l’entreprise.

Pourquoi vous resterez « le boss » et ne serez jamais un vrai leader

Parce que vous voulez faire croire que vous avez toutes les réponses

Il s’agit certainement du point qui pourrait le plus vous porter préjudice et énerver vos salariés. Faites en sorte de rester humble. Il y a forcément des domaines dans lesquels vos connaissances sont inexistantes ou lacunaires. Reconnaissez quand vous ne connaissez pas certaines choses. Au lieu de prétendre que vous savez tout sur tout, d’avoir votre mot sur tout, faites en sorte d’apprendre, de lire un maximum.

Être totalement inculte nuira évidemment à votre position et vous empêchera d’être un vrai leader mais ce sera peut être encore pire si vous tentez de faire croire que vous connaissez tout. Vous devez avoir suffisamment de connaissances pour être légitime mais être assez humble pour reconnaitre vos limites

Parce que vous voulez à tout prix montrer que c’est vous le patron

C’est un autre piège qui peut vous empêcher d’être un vrai leader : vouloir affirmer sans cesse votre autorité. Vous avez une position de dirigeant, vous pouvez donc en déduire que vos salariés l’ont probablement bien compris et qu’ils appliqueront les directives que vous leur donnerez. Ne cherchez pas à affirmer votre autorité absolument. Si un salarié n’a pas fait ce que vous lui aviez dit, il y a certainement une bonne raison, demandez lui simplement et calmement ce qui s’est passé. Il y a très peu de chances pour qu’il ait voulu défier votre autorité alors pas la peine de montrer un excès d’autorité.

Soyez le boss réfléchi, celui qui est calme et prend toujours les décisions sans énervement. Vos salariés doivent savoir que vous êtes là pour les aider, pour les guider, pour qu’ils se sentent bien dans l’entreprise, mais cela ne veut pas dire que vous n’êtes le boss pour autant, vous ne perdez pas d’autorité en faisant cela.

Dans un monde idéal, vous ne faites pas démonstration de votre autorité, et considérez que vos salariés ont tous compris que c’est vous qui dirige et prend les décisions. Partir de ce principe là pourra vous aider. Beaucoup de conflits sont crées inutilement sur un malentendu parce que le patron veut montrer à tout prix que c’est lui qui dirige.

Parce que vous ne faites pas ce que vous dites

Attention, être le boss ne vous donne pas le droit de dire n’importe quoi pour contenter vos salariés. Vous devez être irréprochable quand vous dirigez une entreprise. On pourra pardonner à un salarié de ne pas avoir été capable de faire ce qu’il avait dit mais la donne est différente pour le boss. Tout le monde va écouter avec attention ce que vous dites et surtout retenir vos propos.

Si vous voyez un salarié en difficulté pour diverses raisons et que vous lui dites que vous lui donnerez un coup de main dans la semaine, vous ne pouvez pas vous permettre par la suite de ne pas le faire, ou sinon il faudra lui indiquer pourquoi. Peut être que le salarié avait oublié mais si ce n’est pas le cas, il vous en voudra certainement. Si cela se répète, il finira purement et simplement par ne plus vous faire confiance, ce qui est quand même un comble si vous voulez être un leader.

Parce que vous vous isolez

S’isoler est une autre erreur qui distingue les leaders des simples managers ou boss. Le vrai leader donne toujours l’impression d’être proche, qu’on peut compter sur lui. Le mauvais manager tient à garder une certaine distance, parce qu’il pense que cela lui donnera plus d’autorité. En réalité, il est important de cultiver cette proximité avec vos salariés. Bien sûr, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse mais tout l’art du leader se situe dans ce délicat compromis. Il conserve son autorité et sa légitimité mais donne l’image de quelqu’un d’accessible, d’humble. C’est pour ce genre de personnes que l’on a envie de donner le maximum et de s’impliquer.

Pourquoi les entrepreneurs qui réussissent se lèvent tôt

Quand on est à la tête d’un business il y a une ressource qui fait toujours cruellement défaut : le temps. Pour palier à ce « problème » beaucoup d’entrepreneurs décident de commencer leurs journées très tôt. Alors qu’est-ce qui fait que les premières heures de la journée sont si favorables à l’augmentation de votre productivité et à l’accomplissement des tâches qui doivent être effectuées ? Voici quelques éléments de réponse qui vous pousseront peut-être vous aussi à mettre le réveil un peu plus tôt.

Dans son livre intitulé What The Most Successful People Do Before Breakfast (Portfolio Trade, 2013), Laura Vanderkam nous explique pourquoi ce moment de la journée est si spécial et propice à l’efficacité.

Plusieurs facteurs explicatifs :

Vous êtes moins susceptible d’être dérangé le matin

Quand on est entrepreneur les journées ont tendance à passer à une vitesse telle qu’on ne se rend souvent pas compte de l’avancement du temps. Si bien que si vous attendez l’après-midi pour faire des choses pour vous-même, comme de la lecture ou de l’exercice, vous allez probablement être contraint d’annuler pour effectuer d’autres tâches. Il y aura forcément quelque chose qui fera que vous ne pourrez pas vous accorder ce temps pour vos tâches personnelles dans l’après midi. 

En plus du temps que vous dégagez pour vos tâches personnelles sans interruption, le matin est également propice à la réflexion sur les points stratégiques et complexes. Vous pouvez vous concentrer entièrement sans risquer d’être interrompu par un coup de fil ou autre chose de moindre importance.

Votre volonté est plus forte le matin

Votre volonté est souvent plus importante le matin qu’en fin de journée. L’auteur de l’ouvrage nous montre que même votre volonté peut s’épuiser au fil des heures. Au cours de la journée vous devrez prendre des décisions, traiter avec des personnes parfois désagréables, si bien que vous n’aurez pas forcément la lucidité pour traiter les sujets les plus importants dans l’après midi ou la soirée.

Se lever tôt permet de bien lancer sa journée

Tout le monde sait que commencer la journée par un échec ou avec du retard va avoir un impact sur votre humeur et votre productivité de la journée. Se lever tôt constitue déjà une victoire qui vous met sur de bons rails pour la suite de votre journée.

Les quatre étapes pour parvenir à se lever plus tôt

Si pour vous aussi sortir du lit au lever du jour est une torture, pas de panique. L’auteur nous propose quatre étapes pour forcer sa nature.

1. Tenir un “time journal”.

Beaucoup de personnes n’aiment pas le matin uniquement parce qu’elles veillent trop tard le soir et ont par conséquent des difficultés à se réveiller ou à rester éveillées le matin. Laura Vanderkam recommande donc de tenir ce qu’elle appelle un “time journal” pendant une semaine par exemple pour repérer où vous perdez du temps. Pour mieux utiliser votre temps la première étape est de savoir comment vous l’utilisez actuellement. Écrivez ce que vous faites le plus souvent possible.

Vous vous rendrez probablement compte que ce qui vous fait veiller tard n’est pas particulièrement urgent et pourrait être fait avant. En faisant cela vous vous donnez les moyens de mieux vous organiser pour ne pas avoir à veiller tard et donc pour pouvoir vous lever plus tôt le matin, quand votre productivité est à son maximum.

2. Imaginer sa matinée parfaite.

Pour vous motiver vous pouvez commencer par imaginer ce que vous pourriez faire si vous aviez une heure en plus dans la journée. Peut-être liriez vous, ou bien feriez vous de l’exercice. Peut être en profiteriez vous pour lire les journaux au lieu de simplement jeter un coup d’oeil aux titres. Vous prendrez conscience que se lever plus tôt n’est pas une punition mais au contraire quelque chose de bénéfique, à tout point de vue. Vous ne trouverez pas la force de sortir du lit si vous n’êtes pas convaincu d’une bonne raison de le faire.

3. Planifier sa matinée.

Une fois que vous avez decidé de ce que vous voudriez faire de votre temps supplémentaire, il est temps de penser à la manière donc vous allez executer ces « tâches ». Il est important de préparer un maximum de choses la veille pour vos activités du matin. Par exemple si vous comptez vous lever tôt pour faire de l’exercice, vous pouvez préparer la veille le matériel et les habits nécessaires.

4. Prendre le temps de se construire de nouvelles habitudes.

Si vous tentez de changer vos mauvaises habitudes d’un coup vous allez simplement vous retrouver chaque matin à écraser le bouton snooze de votre réveil pour vous rendormir juste après. Vous pouvez à la place, par exemple, avancer votre alarme de 10 minutes chaque jour. Vous pouvez commencer également en vous couchant plus tôt, le temps de vous habituer.

Les techniques marketing à réinventer

Le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données), mis en place par l’Union Européenne le 25 mai 2018, va induire de nombreux changements au sein des entreprises. Ce règlement génère une révision du traitement des données personnelles des clients, des prospects et même des salariés. Zoom sur les changements induits.

Les entreprises ont pour contrainte de faire le nécessaire pour sécuriser les données personnelles. Comme tous les domaines, le marketing y est aussi contraint. Nombre de pratiques autrefois utilisées nécessitent d’être revues et réinventées pour répondre aux obligations de ce nouveau règlement européen, qui, s’il n’est pas appliqué, entraînera entre autres de lourdes sanctions financières.

Les techniques marketing à réinventer

En marketing, Internet, devenu un moyen essentiel pour convaincre les futurs clients, facilite notamment la prise de décision d’achat du consommateur. Les pratiques établies n’ont pas dans de nombreux cas prises en compte, il faut le reconnaître, le consentement de la part du client. Avec la réglementation RGPD, les décisions des consommateurs et des internautes devront être sollicitées et respectées sous peine de sanctions financières. La volonté du client à diffuser ses données prime désormais sur les pratiques marketing et commerciales.

A titre d’exemple, les entreprises ont profité de la simplicité d’Internet pour convertir aisément le prospect en consommateur en utilisant notamment l’opt-in, technique par laquelle un individu donne son consentement avant une possible prospection commerciale. Il s’applique généralement à l’aide d’un formulaire avant l’envoi de newsletter. Pour trouver la meilleure solution d’envoi de newsletter, vous pouvez vous référer à des sites spécialisés. L’opt-in demande habituellement un consentement clair et vérifié, mais il existe un opt-in passif qui contourne parfois la volonté de l’individu. Celui-ci ne donne pas de manière explicite son consentement, car il lui demande son consentement par l’intermédiaire de cases pré-cochées et en conséquence la réelle volonté de l’utilisateur est contournée. Le RGPD ne permet plus aux entreprises de proposer des formulaires pré-remplis. Le consentement de l’individu devra désormais être clair et volontaire.

Le marketing actuel se base essentiellement sur l’analyse du comportement des utilisateurs et le nouveau règlement européen devrait complexifier la stratégie des entreprises dans ce domaine. Il n’était pas obligatoire auparavant d’évoquer le profilage réalisé sur les visiteurs d’un site, d’une plateforme ou d’une application. Désormais, ils devront être informés en amont lors de chaque visite. Un éventuel suivi devra être signalé et approuvé par l’utilisateur. Cette nouvelle mesure va engendrer des difficultés d’analyse pour comprendre les souhaits des consommateurs, car ils auront la possibilité de refuser le profilage mis en place par les entreprises. Les professionnels du marketing devront alors revoir entièrement leur technique d’analyse. Les anciennes données stockées avant le 25 mai nécessitent donc une révision. Les utilisateurs dont les données sont détenues par les entreprises devront être consultés afin d’obtenir leur consentement pour toute démarche marketing. Le RGPD demande d’envisager de manière impérative de nouvelles pratiques concernant le consentement des utilisateurs. Les entreprises qui ne soumettraient pas pourraient se voir infliger une amende allant jusqu’à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires annuel.

Les bonnes pratiques à appliquer

Pour éviter les sanctions et respecter le RGPD, les pratiques marketing vont devoir subir un véritable lifting. La transparence devient le maître-mot entre les entreprises et le consommateur. Elles ont pour obligation de pouvoir démontrer le consentement des utilisateurs en cas de contrôle. Il s’agit souvent d’opter pour le double opt-in afin de s’assurer qu’il s’agit d’un choix réfléchi et donc proposer une double confirmation. Sous forme de case à cocher volontairement suivi d’un lien contenu dans un mail, le consentement de l’individu pourra donc être confirmé à deux reprises.

Une fois, celui-ci mis en place, il s’avère préférable de réécrire des textes clairs et concis à propos des données stockées et de l’utilisation de celles-ci. Les CGU (Conditions Générales d’Utilisation) devront désormais être courtes et compréhensibles par tous. Mise en avant, la transparence pourrait générer une certaine confiance auprès de vos visiteurs. Devenus conscients depuis quelques mois de l’importance de leurs données, ils vont privilégier les entreprises qui ont pour principe le respect de leurs données. Évoquer clairement le traitement des données personnelles de vos prospects et clients devient incontournable avec le RGPD. Il se peut que certaines personnes refusent l’idée d’être observées et profilées à des fins marketing, ce qui engendrera éventuellement une perte d’abonnés pour les newsletters, par exemple, mais dans le contexte actuel la transparence sera de toute évidence un argument qui valorise les entreprises et qui procure de la confiance chez les utilisateurs.

L’emailing une pratique à mettre à jour

Parmi toutes les pratiques marketing, l’emailing reste une de celles qui va nécessiter davantage de changements. Les e-mails automatisés et le profilage restent encore possibles, mais ils seront plus largement encadrés. Un travail approfondi de renseignements sur votre base de données s’avère nécessaire avant l’application du règlement. Il s’agit de réaliser un audit pour connaître si dans celle-ci, les utilisateurs ont fait part de leur consentement pour recevoir des e-mails. Si tel n’est pas le cas, vous aurez pour interdiction de les utiliser dans votre campagne. L’emailing, très utilisé par les marketeux, peut s’utiliser simplement à l’aide de logiciel emailing qui s’occupe de tout. MailPro, par exemple, est un logiciel qui accompagne les petites et moyennes entreprises dans la réalisation de leur emailing. Il permet de créer aisément des newsletters automatiques et des campagnes simplifiées. Bien que les entreprises nécessitent de revoir leur stratégie en fonction du RGPD, l’e-mail reste un moyen de communication incontournable. Les logiciels du type MailPro s’avèrent faciles d’utilisation pour les envois et la création
newsletter
, ce qui permet de fidéliser ou même parfois de convertir un prospect, tout en respectant les règles du RGPD.

Pour ceux dont le consentement a été approuvé, vous avez pour obligation de conserver ces informations dans une base de données en cas de litige car les utilisateurs devront avoir accès à toutes les informations concernant leurs données personnelles. Dans vos conditions, n’oubliez pas de préciser les personnes auxquelles il faut s’adresser en cas de problème, la manière dont seront conservées leurs données et la possibilité d’une utilisation par un pays non-membre de l’Union Européenne.

Assurer la continuité de son activité avec EDF Entreprises

Parce que chaque professionnel a des besoins spécifiques liés à son activité, EDF Entreprises propose des offres d’énergie dédiées, complétées par des services qui leur permettent de travailler en toute quiétude. Démonstration avec le service Assistance Dépannage.

Conseillère clientèle EDF Entreprises, Isabelle Afonso est à l’écoute quotidienne des professionnels. Pour coller au plus près de leurs besoins, EDF Entreprises a conçu des offres adaptées aux typologies d’activités. Dès le premier contact téléphonique, grâce à un questionnaire, Isabelle Afonso prend connaissance des attentes et souhaits des entreprises en matière de fourniture d’énergie. Elle peut alors proposer l’offre qui convient le mieux au client. Ainsi, à côté du Contrat Garanti, existent des contrats davantage personnalisés. Pour les métiers de la boulangerie-pâtisserie, où les pics de consommation sont concentrés le matin, EDF Entreprises a créé le contrat Matina(1), avec des prix plus attractifs sur les heures creuses (entre 23h et 3h & 6h et 7h) et super creuses (entre 3h et 6h du matin). Et pour les activités saisonnières exercées par les agriculteurs et l’hôtellerie de plein air notamment, le contrat Estivia(1) propose des prix plus attractifs en période estivale. En parallèle de ces offres adaptées qui aident les professionnels à réduire leurs dépenses énergétiques, EDF Entreprises propose des services qui leur permettent de suivre et optimiser leur consommation énergétique ou d’assurer la continuité de leur activité.

Une garantie anti stress : le dépannage en moins de 3 heures

De nombreux professionnels, dont l’activité est fortement dépendante de l’électricité, ne peuvent pas subir la moindre panne. Et si celle-ci se produit, il leur faut être extrêmement réactifs. Conscient des enjeux financiers et du stress occasionné, notamment pour les métiers de la restauration pour lesquels presque tous les équipements fonctionnent électriquement, EDF Entreprises propose un service qui permet d’identifier la panne d’électricité et de remettre en service des installations intérieures très rapidement. Ainsi, avec le service Assistance Dépannage(2), le professionnel bénéficie, via un numéro dédié, joignable 7 j / 7 et 24h / 24, d’une première assistance téléphonique, avec une analyse de la nature de la panne et une aide à sa résolution. Dans un deuxième temps, si nécessaire, un réparateur local qualifié se rend sur place, avec une prise en charge des frais occasionnés à hauteur de 600 € TTC, dans un délai express : sous 2 heures pour l’électricité et sous 3 heures pour le gaz, la plomberie et le chauffage. Une garantie inestimable pour le professionnel.

5 raisons de choisir Assistance Dépannage Service

1 – Une ligne téléphonique dédiée 2 – Une intervention rapide (moins de 3 H) 3 – Un service garanti 4 – Une prise en charge des frais jusqu’à 600 € HT 5 – Une gamme adaptée aux besoins des professionnels

Pour en savoir plus sur la gamme Assistance Dépannage : rendez-vous sur edf.fr/entreprises ou appelez le 3022 (gratuit)

L’énergie est notre avenir, économisons-la ! 

Mentions légales (1) Offre destinée aux entreprises et professionnels pour leur site d’une puissance supérieure à 36 kVA et disposant d’un compteur Saphir ou PME-PMI. Voir caractéristiques sur le site edf.fr /  entreprises (2) Les services d’Assistance dépannage sont garantis par Europ Assistance (Entreprise régie par le Code des Assurances – 1, Promenade de la Bonnette 92230 Gennevilliers – S.A. au capital de 23 601 857 € – 451 366 405 RCS Nanterre) selon la commune du client (liste des communes couvertes, disponible sur simple appel auprès d’EDF. EDF mandataire d’assurance immatriculé au Registre des Intermédiaires en Assurances (Orias) sous le n° 07 025 771 – Registre des intermédiaires d’assurance librement accessible au public sur le site www.orias.fr.

Contenu en partenariat avec EDF Entreprises

6 conseils pour créer la cohésion dans votre équipe

La souffrance au travail intervient lorsque que les collaborateurs ne se sentent pas reconnus, ni considérés par les managers. Quelques règles faciles à mettre en place dans votre petite entreprise pour créer une atmosphère de cohésion dans votre équipe.

Faites rire vos salariés !

Rire ensemble est un bon moyen de se détendre et de créer une dynamique d’équipe. Certaines entreprises se sont même aperçues que, grâce à 10 premières minutes d’humour avant une réunion, les participants étaient plus productifs et celle-ci durait moins longtemps grâce à l’efficacité de l’équipe.

Concevez des bureaux chaleureux

Créez de la convivialité dans vos locaux pour que les membres s’y sentent bien. Mettez sinon en place un espace détente pour que les collaborateurs puissent se réunir et échanger, une manière de susciter une énergie positive. Concevez des bureaux fashion !

Faites prendre conscience qu’on est plus fort en équipe que seul.

Valorisez l’entraide entre les collaborateurs. Vous pouvez par exemple mettre en place un système de covoiturage ou créer des groupes de réflexion ayant pour objectif de rechercher des moyens d’améliorer le quotidien dans l’entreprise.

Pensez bien votre team building

Veillez à ce que l’activité du team building ne soit pas contre-productive. Une telle activité de groupe doit se baser sur une égalité physique, sans mettre de côté les moins forts qui se sentiraient rejetés d’une équipe de basket par exemple. Le teambuilding n’est pas non plus le lieu pour se sentir dénigré sur son niveau intellectuel ou émotionnel (un collaborateur qui a le vertige vivra très mal une session de saut à l’élastique !).

Sortez du cadre professionnel

En invitant les participants à déjeuner hors de la société, ou en organisant le repas de noël chaque année par exemple.

Organisez des activités de team building, sans vous fixer seulement sur des activités sportives.

Des sociétés proposent aujourd’hui des ateliers créatifs/artistiques ou de réflexion autour des valeurs de l’entreprise, ce qui est très fédérateur. Selon une étude menée par l’Agefi, le team building augmente en moyenne de 30 % l’efficacité des entreprises. Pour définir le type de team building à mettre en place, détectez les problèmes dans votre entreprise et analysez le comportement de vos équipes pour voir ce qui ne va pas. Par exemple un atelier théâtre sera parfait pour mettre en scène et dépasser un conflit entre des équipes.