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Cosmo Tech, la diversité comme fer de lance de l’innovation

Hugues de Bantel, co-fondateur et directeur général de Cosmo Tech, entrepreneur dans l’âme, nous livre les secrets de sa société innovante. L’entreprise, qui connaît un vif succès avec une levée de fonds de 18 millions d’euros, propose de mettre aux services des dirigeants d’entreprise des logiciels d’intelligence augmentée intégrant expertise humaine et intelligence artificielle. 

Quel est votre parcours ?

J’ai suivi mes études dans une école de commerce Neoma et j’ai fait le MBA très international de l’IMD à Lausanne. J’ai commencé par travailler au sein de grands groupes mais j’ai rejoint rapidement des PME technologiques médicales. Ensuite, j’ai passé 7 ans à l’international en Asie du sud-est puis au Japon à créer des sociétés qui distribuaient des produits médicaux fabriqués en France et distribués en Asie. Je suis revenu en France en 2002 pour prendre la direction générale de la société médicale technologique dans laquelle je travaillais qui était basée à Lyon. J’y suis resté jusqu’en 2008 avec un business dont les marchés étaient situés un peu partout dans le monde : en Europe, en Asie et en Amérique du nord.

Qu’avez-vous fait par la suite ?

En 2008, j’ai quitté la société pour développer une activité de conseil dans le but d’aider des sociétés moins matures et même parfois pas encore créées à se développer ou permettre à des entreprises de se créer. Mon objectif était d’utiliser mon expérience professionnelle et de la proposer à d’autres entrepreneurs de sociétés technologiques en France qui sont des leaders mondiaux dans leur technologie. Un an plus tard, j’ai eu l’opportunité de rencontrer Michel Morvan dont les idées ont fait écho aux miennes.

C’est donc l’idée qui vous a rapproché ?

J’ai été mis en contact avec Michel Morvan par l’intermédiaire d’un organisme l’ADERLY (Agence pour le développement economique de la région lyonnaise) reliée à la CCI. Celui-ci avait rencontré l’équipe qui développait une technologie qui leur a paru posséder un réel intérêt pour l’avenir et comme j’aidais des entreprises à se développer et à s’implanter sur le marché, ils ont été convaincus que nous pourrions collaborer. Nous nous sommes rencontrés et son approche m’a persuadé de collaborer avec lui à la création de notre entreprise. Il pensait que le 21ème siècle serait un siècle comportant davantage de complexité avec des choix de plus en plus difficiles à faire dans un environnement très incertain. Michel était convaincu qu’il faudrait de nouvelles technologies et méthodologies pour aider les dirigeants à prendre des décisions optimales. Je partageais cette conviction. J’ai quitté mon activité de consulting pour m’engager dans l’aventure en 2010.

Que propose Cosmo Tech ?

Cosmo Tech propose des logiciels d’aide à la décision pour les dirigeants des équipes de direction de groupes industriels sur leurs sujets les plus complexes et qui sont souvent stratégiques pour eux par ailleurs. A partir d’une approche que l’on appelle l’intelligence augmentée qui permet de combiner de la donnée avec l’expertise humaine pour créer des modèles et proposer plusieurs scénarios.

Ces logiciels de simulation s’appliquent en particulier à l’optimisation des actifs industriels. Pour illustrer de manière concrète l’apport de nos solutions, celles-ci vont permettre à des acteurs comme RTE dans la transmission électrique de piloter leur politique d’investissement et de maintenance sur les réseaux électriques. Ils peuvent ainsi décider des meilleurs investissements et de la maintenance adéquate en analysant l’impact de leurs choix à court, moyen et long terme. Un industriel de l’automobile confronté à une complexité et une incertitude grandissantes peut optimiser sa chaine de valeur, sa supply chain par exemple, en comparant différents scénarios pour faire les meilleurs choix avec un impact business immédiat.

Proposait-elle cela dès le début ?

Pour les grands groupes industriels, l’enjeu est que nous évoluons aujourd’hui dans un monde complexe et que pour évoluer dans celui-ci seule l’approche systémique permet d’appréhender toutes les facettes d’un sujet. Jusqu’à présent ils réfléchissaient à chaque problématique par silo c’est-à dire qu’ils pouvaient séparer les sujets. Cependant, dans ce monde connecté tous les aspects s se relient et ont un impact les uns sur les autres. Iil n’est donc plus possible de les séparer et il faut appréhender l’avenir d’une manière totalement différente.

Le deuxième enjeu c’est que les décisions étaient prises à partir de l’intuition et de l’expérience des dirigeants donc sur des données de l’expérience passée. Or, les données du passé ne suffisent plus pour anticiper les diverses transformations auxquelles font face les grandes entreprises industrielles. Il n’est plus possible de prendre seulement des décisions à partir des habitudes et méthodes développées antérieurement. Pour anticiper dans un environnement complexe, il est essentiel de combiner les données avec l’intelligence collective : c’est ce que nous appelons l’intelligence augmentée.

Quelles ont été vos grandes phases de développement ?

En 2010, nous avons créé une société de services en proposant notre solution pour aider les grands groupes dans leurs prises de décisions stratégiques. Puis en 2014, nous avons réalisé une première levée de fonds pour finaliser le développement de notre plateforme de simulation. En 2018, nous avons réalisé une nouvelle levée de fonds de 18 millions d’euros pour créer des solutions logicielles pour aider les décideurs à prendre les meilleurs décisions pour optimiser la productivité de leurs actifs.

Quelles sont les principales difficultés rencontrées ?

Quand on rejoint une start up, on a beaucoup de passion et il en faut pour traverser les hauts et les bas de la vie d’une startup technologique ! La principale difficulté et c’est ce qui fait l’intérêt de la chose puisqu’on travaille avec des grands groupes industriels, c’est que le temps n’est pas le même pour les deux types de société. Pour une startup la piste de décollage est très courte alors que pour un site industriel elle peut s’inscrire dans des temps un peu plus longs, voire très longs. Cette confrontation entre les deux demeure la principale difficulté à laquelle nous sommes confrontés en tant que start-up. Un mois d’une startup représente un an voire plus dans un grand groupe.

Quelle est votre clé de succès ?

La diversité culturelle ! Une vision commune que nous partageons Michel Morvan et moi-même. Aujourd’hui, chez Cosmo Tech, nous sommes environ 90 personnes avec 15 nationalités ! Ce n’est guère anodin ! Le fait de mettre ensemble des personnes avec des parcours académiques, des parcours d’ingénieurs et aussi avec des nationalités et des cultures différentes, est notre choix. Cela vient surement de mon expérience personnelle. J’ai toujours été amené à travailler avec des équipes très diverses, avec des asiatiques, des distributeurs qui venaient de tous les pays, des salariés issus de différentes nationalités. J’ai géré des sociétés innovantes dans lesquelles l’innovation venait du fait que l’on travaillait avec des nationalités différentes.

Et la diversité hommes-femmes, il me semble ?

Nous avons aussi appliqué la diversité dans la répartition hommes femmes. Même si nous sommes dans un environnement technologique qui est généralement masculin, nous avons 30 % de femmes ce qui est beaucoup dans un environnement logiciel tel que le nôtre. Nous sommes proactifs sur ce sujet pour créer et susciter cette diversité qui est une réelle opportunité et nous continuerons à le faire. La diversité est une source d’enrichissement incontestable, car elle permet d’appréhender des sujets complexes avec des regards différents et générer des idées innovantes pour anticiper. La richesse de la diversité fait partie de notre ADN et de notre richesse d’innovation.

La diversité est-elle toujours positive ?

Certes, c’est plus facile si vous avez une équipe très homogène, tout le monde a la même culture et donc va s’entendre sans difficultés. L’obtention du consensus sera plus aisée. Mais quand la perception est identique, cela ne va pas forcément créer de l’innovation. Attention tout de même car la diversité peut devenir négative si vous ne mettez pas en place les processus et un esprit d’entreprise basé sur la reconnaissance des différences. A un moment, il faut reconnaître ces différences pour les mettre en exergue et faire de leur reconnaissance une valeur pour chaque collaborateur. Nier la différence peut amener l’effet inverse.

Cela doit être plus dur de fédérer vos collaborateurs ?

Je pense que le plus important est le sens de notre mission. Elle est en phase avec les nouvelles générations qui arrivent sur le marché du travail. Nous avons une moyenne d’âge de 31 ans et les jeunes qui nous rejoignent sont plein d’enthousiasme, de savoir-faire et de compétences. Ils recherchent du sens et notre vision leur parle. Elle entraîne nos équipes qui s’enthousiasment pour ce que l’on fait.

Quelle importance donnez-vous aux réseaux ?

Michel Morvan et moi-même, nous nous impliquons dans des associations ou instituts comme l’Institut de recherche technologique SystemX qui réunissent des académiques, des startups et des industriels ou Think Smartgrids qui a pour objectif de développer la filière Réseaux électriques intelligents (REI) en France et de la promouvoir en Europe comme à l’international. Dans ces centres d’innovations, vous donnez et recevez. Vous renforcez naturellement votre réseau mais vous y consacrez du temps parce que vous croyez à la transformation de l’industrie et que votre conviction est que la France a un rôle à y jouer.

Comment conciliez-vous votre vie personnelle et professionnelle ?

Je suis dans une passion à plein temps mais la sagesse est de se réserver des plages pour soi. Je le fais au travers d’autres passions comme ma famille et d’autres champs qui m’intéressent beaucoup comme la culture. Il est primordial de préserver ses jardins secrets, sources d’inspiration et de respiration dans ce monde d’incertitudes et d’y consacrer du temps.

« Pour une startup la piste de décollage est très courte alors que pour un site industriel elle peut s’inscrire dans des temps un peu plus longs, voire très longs. Cette confrontation entre les deux est la principale difficulté »

4 Conseils de Hugues de Bantel

  • La diversité est un choix qui génère l’innovation.
  • L’ouverture d’esprit vers d’autres mondes.
  • L’enthousiasme qui donne du sens au travail et qui relie les équipes.
  • Regarder devant soi pour anticiper et apporter les meilleures solutions.

La trottinette électrique, devenue star mondiale, parle et dit des obscénités

Les trottinettes électriques font ce qu’elles veulent quand elles le veulent. Elles sont si indisciplinées qu’elles se garent quand l’endroit leur plaît aux risques de faire chuter les passants. Elles roulent où elles le veulent sur les trottoirs mais aussi sur la route en enfreignant les usages du code de la route.

Mais, en Australie, des hackers les ont piratés !

Elles sont devenues si séduisantes qu’en Australie, des hackers ont piraté des trottinettes Lime dans le but de leur faire prononcer des phrases les plus inattendues dont la plupart sont à caractère sexuel. Il faut savoir que la société Lime propose la location de trottinettes électriques dans plusieurs villes de l’Australie. Des trottinettes connectées afin de suivre leur disponibilité et leurs déplacements pour les retrouver en cas de perte mais aussi dans le but de limiter les vols. C’est sa connexion et son système sonore qui a séduit des pirates informatiques et qui les ont comme par magie rendues bavardes mais tendance sexy. Heureusement pour nos chastes oreilles, ils leur font proférer les propos obscènes en anglais.

« Si vous voulez me chevaucher, il faut me tirer les cheveux » ou « Ne m’emmenez pas, parce que je n’aime pas me promener ». Une autre trottinette de Lime s’est également mise à parler en déclarant : « non, où allez-vous ? », lorsqu’elle a été déposée par son utilisateur. Un comble !

Plusieurs vidéos ont été publiées par des internautes sur les réseaux sociaux.

Ainsi, dans une séquence diffusée sur le compte Twitter de la chaîne d’information 7 News Brisbane on peut entendre la plainte d’une flotte de trottinettes stationnées sur le trottoir : « Ne m’emmenez pas, je n’aime pas être chevauchée ».

La société Lime a donc dû retirer une dizaine de trottinettes du parc de la ville de Brisbane à la suite des informations transmises par les utilisateurs. Nelson Savanh, le responsable des affaires publiques de Lime pour l’État du Queensland, n’apprécie guère la blague. « Ce n’est pas intelligent, ce n’est pas drôle », a-t-il indiqué au Brisbane Times. Avec une pointe d’humour, il aurait pu s’en servir pour conduire les utilisateurs à s’en amuser mais bon on imagine sa stupéfaction et son obligation à retrouver d’où vient la faille et de rechercher le pirate qui a peut-être des idées ingénieuses à lui proposer.

En France, tout le monde se moque de la trottinette .

En France, la trottinette est devenue l’objet de nombreuses conversations pour se plaindre de leur insolence. Vincent Lindon, le célèbre comédien dont l’humour nous enchante, invité par Yan Barthès sur TMC lundi 18 mars, s’est exprimé avec fougue entre autres sur les trottinettes qu’il considère comme un fléau « né selon lui d’une requête d’un hôpital réclamant son « quota d’accidents » : les trottinettes. « Une trottinette où on roule très vite, de préférence avec un enfant de 3 ou 4 ans qui est en retard pour aller à l’école, boulevard Sébastopol à 25 à l’heure entre deux bus et surtout, je le demande à tous les Parisiens, sans gants, sans casque. »

C’est dire que si les trottinettes qui rencontrent un véritable engouement pour s’extraire des bouchons, ne font pas l’unanimité.

Mesdames les trottinettes, vous devriez le savoir, votre liberté vit ses derniers jours. Bientôt une armée de contrôleurs va vous épingler des contraventions, vous intimer l’ordre de rejoindre les parkings à trottinettes encore inexistants et de rouler selon les usages du code de la route. Peut-être un hacker va vous donner la parole pour séduire les contrôleurs mais nous ne savons pas quand cette connexion aura lieu. Dynamique se fera un plaisir de vous informer.

Le droit d’interdire le portable personnel au travail ?

L’utilisation du téléphone portable au travail est une question qui se pose depuis le téléphone portable est devenu un objet quotidien. Certes les communications ne coûtent rien à l’entreprise et l’employeur ne peut pas justifier le refus de l’utiliser pour une raison de charges. Le salarié vient au travail avec sa ligne personnelle qui fait partie de sa vie privée ! Mais peut-il vraiment faire ce qu’il veut ?

La véritable question à se poser préalablement est : « Pourquoi un dirigeant aurait-il besoin d’interdire le portable ? »

Tout simplement parce que le temps pris pour téléphoner à des fins personnelles est un temps pris sur le travail et que le salarié est venu pour travailler et non pour passer de coups de fils personnels ! Et de plus les répercussions sur le travail ne sont guère négligeables : absence de concentration sur le travail, réponse parfois en pleine réunion par l’intermédiaire de texto, immixtion de la vie privée du salarié dans la sphère professionnelle, concentration des autres salariés diminuée…

Cependant, l’employeur  peut apporter des restrictions mais qui doivent être justifiées par la nature de la tâche à accomplir, et proportionnées au but recherché (Code du travail, art L. 1121–1).

Comment s’y prendre ?

Alors le plus simple c’est dès le départ d’être clair sur l’utilisation du portable, dès l’entretien d’embauche, il faut évoquer le sujet sans détours et poser des questions pour que le salarié lui-même fasse son autocritique et décide de prendre une nouvelle attitude.

« A ton avis tu as répondu à combien de coup de téléphone cette semaine (ne dites pas hier car il vous dira que c’est exceptionnel : la rougeole du petit, la fuite d’eau…) ». N’oubliez pas que l’objectif c’est d’essayer de trouver un terrain d’entente.

Le portable dans les espaces partagés

Ainsi vous pourrez instaurer le fait qu’il privilégie les pauses pour téléphoner et qu’il s’isole pour ne pas déranger ses collègues. Le fait même de quitter son poste de travail le conduira à écourter ses conversations car sa place vide retiendra l’attention de ses collègues. « Jamais là, Où est-il encore passé ? Il n’est jamais là quand on a besoin de lui ».

Mais soyez vous-même un modèle

Cependant, il faut être soi-même un modèle !!!! Ce que vous demandez aux salariés vous devez aussi vous l’imposer. Votre responsabilité ne vous donne pas tous les droits et elle commence par le respect.

Quelles limites peut-on finalement imposer ?

Est-ce qu’on peut l’interdire ? En fait non !!!! Mais on peut en limiter l’utilisation. Car chaque salarié a droit au respect de sa vie privée même sur le temps et le lieu du travail. Certes dans l’entreprise, l’employeur est en droit d’attendre des salariés qu’ils consacrent leur temps de travail au travail et il peut légalement en limiter l’usage à caractère privé.

Une interdiction évidente pour certains postes

Toutefois, On peut l’interdire dans les métiers qui nécessitent une attention de tous les instants pour la protection des personnes et pour les métiers qui accueille public afin de garantir la qualité du service à la clientèle ou aux usagers par exemple.Dans ces situations, l’employeur est dans son droit d’interdire à des salariés d’utiliser leur portable ou de recevoir des communications personnelles, sauf en cas d’urgence ou de gravité exceptionnelle. Pour des raisons de sécurité, il est possible d’interdire l’utilisation des téléphones, par exemple lors de la conduite d’engin, la manipulation de produits dangereux, en cas de risque de perturbations d’appareils électroniques come dans les hôpitaux etc.

De l’utilité d’un règlement intérieur ou d’une note de service

Par le règlement intérieur ou par une note de service il est possible de réglementer l’usage du téléphone portable indiquant ainsi clairement les modalités d’usage dans votre entreprise Mais ce qui sera sanctionné en fait c’est l’abus d’appels à caractère privé.

Les astuces pour améliorer sa mémoire

Ces derniers temps, vous avez tendance à oublier de nombreuses informations comme le prénom de la personne que vous venez de rencontrer. La mémoire peut vous être utile dans de nombreuses situations et valorise la personne en face de vous. Quelques astuces utiles pour permettre d’améliorer
votre mémoire et la faire travailler.

Les astuces pour améliorer sa mémoire

Ces derniers temps, vous avez tendance à oublier de nombreuses informations comme le prénom de la personne que vous venez de rencontrer. La mémoire peut vous être utile dans de nombreuses situations et valorise la personne en face de vous lorsque vous l’appelez par son nom ou prénom. Quelques astuces utiles pour permettre d’améliorer votre mémoire et la faire travailler.

1/ La concentration c’est la base

Contrairement à la pensée commune, la mémoire n’est pas un muscle. C’est en réalité votre concentration qui vous permet de mieux mémoriser. Forcez-vous à l’être au maximum et essayez de vous répéter ce que vous souhaitez retenir. Plus vous le ferez, plus votre cerveau va devoir stocker l’information, un peu comme quand vous étiez enfant et que vous vous répétiez plusieurs fois votre poésie jusqu’à l’apprendre par cœur. Si vous souhaitez mémoriser quelque chose, concentrez-vous quelques secondes dessus.

2/ Se créer une image visuelle

Vous souhaitez vous rappeler d’un événement ou d’une situation. Créez-vous une image qui illustre ce que vous souhaitez retenir. Cette technique est notamment utile lorsque vous souhaitez mémoriser une information comme un événement majeur. Plus celle-ci est étrange, plus vous aurez tendance à la retenir. Si vous souhaitez enfin où vous avez mis vos clés par exemple, vous pouvez imaginer des lingots d’or qui tombe sur votre bureau.

3/ Les nombres par groupe.

Cela peut notamment vous être utile pour les numéros de téléphone par exemple. Plutôt que d’essayer de retenir d’un coup le numéro de téléphone vous pouvez associer les différents chiffres. Par exemple, vous aurez 06 qui donne le mois de juin, 12 les urgences, … Il vous suffit que pour vous de mettre un sens à chaque chiffre afin de les mémoriser beaucoup plus facilement. Vous pouvez même vous créer une image qui vous permettra de garder en tête ces numéros en positionnant les différents symboles de gauche à droite. Ceci est particulièrement utile pour vos numéros de comptes, vos identifiants s’ils sont numériques…

4/ Les acronymes pour mémoriser plusieurs éléments

Si vous souhaitez mémoriser une liste de choses, vous pouvez créer un acronyme qui rassemble l’ensemble des éléments de votre liste. Par exemple, si on vous a donné une liste de courses avec des pizzas, du beurre, de la menthe, des olives et un livre, vous pouvez prendre l’ensemble des premières lettres, P B M O L, est en faire un seul mot comme PLOMB.

5/ Les acrostiches pour un ordre

La plus connue de toutes demeure celle de l’ordre des planètes. « Mercredi, viendras-tu manger avec Jules sur une nappe propre ». En l’occurrence Mercure, Vénus, Terre, Mars, La ceinture d’Astéroïdes, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton (même si celle-ci est désormais considérée comme une planète-naine). Vous pouvez créer ce type d’acrostiche qui vous permettra de mémoriser à peu près tout et très longtemps.

6/ Écrire pour mémoriser

Certains d’entre nous mémorisent mieux quelque chose quand elle est écrite. Par ailleurs, votre cerveau est stimulé par l’écriture. Il devient alors plus facile de mémoriser ce que vous souhaitez apprendre. L’écriture sur papier reste plus efficace pour mémoriser donc n’hésitez pas à prendre un bloc note avec vous. Si vous écrivez mal, c’est mieux. Tentez de vous déchiffrer. Votre cerveau devra faire un effort dessus et vous aurez une meilleur mémoire.

7/ Faites appel à vos sens pour vous rappeler.

Vous pouvez utiliser vos différents sens pour vous rappeler. Vous pouvez par exemple, utiliser l’ouïe en vous répétant oralement l’information ou qu’un certain son a été fait au moment où on vous donnait l’information, la vue en l’écrivant ou en associant quelque chose que vous avez vu avec elle, l’odorat en associant une odeur à un prénom par exemple, …

8/ Mettez les objets dans une position anormale

Si vous souhaitez vous rappeler que vous devez faire les courses par exemple, n’hésitez pas à déplacer une chaussure en plein milieu de votre couloir. En l’apercevant dans cette position, vous saurez que vous avez quelque chose à faire et vous aurez des chances de vous le rappeler si vous avez associé ce que vous devez faire avec ce déplacement. Ceci est particulièrement utile si vous avez des actes à faire régulièrement comme allez faire des courses.

9/ Répétez le à voix haute

Si par exemple vous souhaitez enfin vous rappelez des prénoms de votre interlocuteur, répétez le à voix haute. Par exemple, si vous venez d’être présenté à un Olivier et qu’il vient de vous donner son prénom. N’hésitez pas à dire « Bonjour Olivier, ravi de faire te rencontrer ». N’hésitez pas à vous répéter son prénom dans votre tête plusieurs fois. Au bout de huit secondes de concentration, vous devriez l’avoir imprimé dans votre mémoire. N’hésitez pas à renouveler l’expérience au bout de quelques minutes.

10/ Faites du sport et déstressez

Avec le sport, vous améliorez votre circulation sanguine et donc votre cerveau reçoit plus d’oxygène. De nombreuses études appuient que même de manière modérée (une simple marche à pied), vous allez améliorer votre mémoire.

Vous êtes également moins stressé, ce qui vous permet de retenir plus facilement les choses et de vous concentrer plus facilement. Le stress n’est pas bon pour votre cerveau donc double raison de vous y mettre. Vous pouvez également penser à la méditation.

11/ Dormez, le sommeil est une des clefs de la mémoire

Le sommeil améliore votre capacité à vous souvenir. Moins vous dormez, plus vous aurez du mal à retenir des informations. Il vous faut au moins de dormir 7 heures pour que celui-ci aide votre cerveau.

Lean start-up : dérives, contraintes et limites de la méthode

Concept développé en 2008, la Lean start-up a pour objectif d’établir une stratégie préalable au lancement d’un produit. Méthode jugée performante par les entrepreneurs pour vérifier si un modèle économique est viable, la Lean start-up bénéficie cependant de quelques limites et inconvénients qu’il ne faut pas ignorer. Quelles sont alors les dérives de la méthode Lean start-up, et quelles en sont les principales limites ?

La persévérance indispensable

Le lancement d’un produit et d’un service doit pouvoir bénéficier pour le secteur marketing d’une étude de marché optimale et correspondre aux besoins réels des clients. Afin d’établir avec le plus de certitude possible que ce dernier est bien en adéquation avec le modèle économique d’une entreprise, la Lean start-up vient alors vérifier, améliorer et ajuster une stratégie.

Un canevas de modèle économique est ainsi créé, répondant en principe à l’ensemble des questions que l’entreprise doit se poser dans le cadre de son business model. Cependant, cette méthode écarte une vision à long terme du produit. Cette stratégie s’avère donc être un frein à une vision d’avenir. Certaines innovations demandent un temps pour devenir performantes et d’attendre un certain temps avant que le modèle économique devienne rentable. Les exemples sont fort nombreux de start-up qui ont dû attendre un certain temps avant de pouvoir avoir pignon sur rue. Même si dans un souci de rentabilité une stratégie marketing doit être la plus efficace possible, rien ne peut prédire avec une certitude absolue qu’un produit ou un service rencontre l’adhésion des consommateurs et l’évolution des innovations peut venir contrecarrer mis trop tard sur le marché.

 

Ne pas trop solliciter les clients

Facteur temps et vision à long terme sont alors les points principaux négligés par cette pensée Lean, qui réduit de plus en plus les cycles de production et de commercialisation des produits. Dans une optique de politique de retour client efficace, un risque de lassitude peut survenir à force de solliciter les utilisateurs. Cette méthode requiert une sollicitation continue des prospects. la Lean start-up doit mesurer régulièrement les progrès réalisés par le lancement d’un nouveau produit ou service. De même dans le cadre d’une politique de tests régulière, les principaux intéressés peuvent vite se lasser du produit et ne pas se fidéliser par la suite. Cette vérification de la validité des concepts ou design itératif ne constitue pas une méthode miracle, et rien ne prédit pour les entrepreneurs qu’elle s’appliquera exactement à l’ensemble des besoins futurs de l’entreprise.

Les limites ?

Concernant un produit spécifique, la Lean start-up néglige l’aspect humain de façon notable en accentuant la stratégie sur la rapidité et le retour utilisateur immédiat. Les entrepreneurs et leurs collaborateurs font souvent des choix entre les avis et parfois à écarter des idées pourtant judicieuses mais qui requièrent plus de temps.

Cette vision à court terme impacte alors directement l’avenir de l’entreprise et le facteur humain, dont les réactions sont souvent imprévisibles et pas toujours rationnelles. Dans le même ordre d’idées, une Lean start-up étouffe l’innovation avec cette vision à court terme car elle privilégie plutôt une innovation incrémentale plus axée sur les détails et leur perfectionnement. Un aspect négatif de la Lean start-up à ne pas négliger est la difficulté pour de nombreux entrepreneurs à dénicher des investisseurs. Peu d’entre eux se satisfont en effet d’un projet avec un modèle économique sans vision à long terme dont rien dans le futur ne prédit le succès.

Des risques non négligeables pour la santé  

Les effets non désirés du lean sur la santé sont connus depuis longtemps. Le lean management seraient source de troubles psychosociaux et musculo-squelettiques, selon l’INRS (L’Institut national de recherche et de sécurité).

L’INRS souligne cependant que « dans le cas où une entreprise est consciente de ces points de vigilance et qu’elle adopte une vision globale de la performance sur le long terme, la mise en place d’une démarche de lean ou de certains de ses outils peut devenir une opportunité pour aborder et améliorer les aspects de santé et de sécurité au travail. ».

Comment devenir un orateur hors pair ?

Vous avez une présentation orale à faire et vous désirez progresser dans ce domaine ? Vous trouvez que vos prestations ne sont pas à la hauteur du travail effectué ou tout simplement vous désirez sortir du lot ? Quelques conseils utiles pour devenir un orateur hors pair qui va marquer les esprits et vous améliorer.

En amont de votre présentation

1/ Bien préparer votre message

Une bonne présentation commence par une bonne préparation. Pour commencer, vous devez avoir préparé votre sujet afin de passer la ou les bonnes informations à votre public. Définissez votre ou vos messages clés dès la base. Il ne s’agit pas de noyer votre public sous un flot d’information qu’il ne retiendra pas. Choisissez judicieusement maximum 3 grands messages à passer. Il s’agit en général de donner une information qui n’a pas été entendue ailleurs pour susciter l’attention de votre public mais aussi qu’il se rappelle que c’est vous qui lui avez appris cette information.

2/ Soignez vos slides

Si vous avez des slides, faites en sorte qu’elle ne soit pas trop chargée et qu’il n’y ait pas de phrase trop longue à lire. Les personnes doivent être concentrées sur ce que vous dites et ne doivent pas passer leur temps à lire. Vos slides sont là pour vous appuyer et non pas pour concentrer l’attention sur elles … même si cela vous rassure. Ecrivez des mots clés afin de vous rappeler ce que vous à dire.

3/ Insérez une histoire ou une anecdote

Pour bien commencer, vous devez accrocher votre public. Quoi de mieux qu’une petite histoire personnelle pour bien commencer ? Non seulement vous attirez l’attention mais en plus raconter une anecdote vous permet de vous enlever du stress. Le public adore qu’on lui raconte une histoire alors ne le décevez pas. N’oubliez pas qu’elle doit être en lien avec ce que vous allez raconter. Vous pouvez aussi bien commencer par votre petite histoire et finir sur une autre. Gardez à l’esprit qu’il s’agit de respecter le thème de votre présentation. Pensez que votre sujet peut être abordé sous différents angles.

4/ Répétez !

Une fois votre road map établie vous pouvez passer à la répétition. Attention tout de même, il ne s’agit pas de répéter comme un robot ! Vous devez rester naturel mais aborder tous les points clés qui vous intéressent.

Surtout, ne lisez pas vos slides, rien de plus désagréable que d’avoir quelqu’un qui ne fait que retransmettre en audio, ce que vous lisez. Tout au long de votre présentation, vous devrez balayer votre public des yeux afin qu’ils se sentent concernés et vous n’aurez pas le temps de les regarder.
Si nécessaire filmez-vous afin de voir vos tics de langage mais surtout votre gestuelle. Vous communiquez énormément d’information par vos gestes et votre ton, ils sont donc à travailler pour emporter le public. Lors de la répétition, n’oubliez pas que vous devrez occuper l’espace. Evitez donc de commencer en croisant les bras pour éviter de rester dans cette position pendant toute votre conférence. Adoptez une position d’ouverture qui vous permettra dès le début d’être sur le bon chemin.

N’oubliez pas lors de votre préparation de mesurer le temps que vous prenez. Vous avez un timing à respecter !

5/ Vérifiez votre matériel

Alors cela peut paraitre bête mais vérifier que tout fonctionne avant votre présentation vous évitera énormément de soucis. Regardez si votre slide fonctionne, si la vidéo se lance, si la télécommande a bien été rechargée ou encore les micros. Ces soucis de dernière minute peuvent vite vous déstabiliser alors prenez-les en compte.

6/ Travaillez votre diction

Au-delà de choisir un bon message, de bien le faire passer au travers de vos gestes, la diction peut se travailler au travers de nombreux exercices. N’hésitez pas à faire des exercices pour être plus facilement audible. Avec un peu de travail chaque jour, vous aurez un maximum de résultats !

Lors de la présentation

1/ Déstressez

Etre stressé est normal ! Au bout de quelques minutes, même si vous avez des symptômes comme le tremblement des mains ou de la voix ou encore les mains qui chauffent, ceux-ci vont disparaître. Vous allez rapidement être dans votre sujet et redevenir à la normale alors  inutile de paniquer. Dites-vous que votre public est rempli d’amis ou imaginez que tout le monde soit nu… Peu importe la technique mais arrêtez de vous mettre la pression, vous ne jouez pas votre vie sur cette présentation. N’hésitez pas à prendre votre temps et à boire une gorgée d’eau avant de commencer.

2/ Etre passionné et dans l’humour

Votre passion se communique. Même si le sujet n’est pas le plus passionnant du monde, vous devez être à fond dedans. Il s’agit de transmettre votre énergie au public et de faire en sorte qu’il voit que vous lui parlez de votre passion. N’hésitez pas à mettre des touches d’humour pour que le public ne s’endorme pas mais aussi qu’il ait de vous une image amicale. Attention tout de même à ne pas faire de l’humour douteux qui pourrait se retourner contre vous.

3/ Interpellez votre public

Le public n’est pas votre ami, bien au contraire. Il se peut qu’il soit un peu fatigué et donc que son écoute ne soit pas à son paroxysme alors réveillez-le ! N’hésitez pas à lui poser des questions simples, tels que « est-ce que cela vous est déjà arrivé ? » en racontant une anecdote. Faites en sortes de le faire tout au long de votre conférence afin de réveiller leur attention qui ne dure pas plus de quelques minutes. N’hésitez pas à le faire intervenir afin qu’ils posent ses questions.

4/ Soyez modeste

Vous avez beau être le génie que le monde attendait, restez humble ! Vous devez communiquer des émotions positives et non pas attirer haine et jalousie. Ce n’est pas parce que vous souhaitez mettre en avant quelque chose que vous devez forcément mettre en avant que vous êtes le meilleur partout.

5/ Mettez un espion dans le public

Avoir une personne dans le public, qui note les réactions du public à vos différentes interventions, représente une bonne pratique. Elle peut vous dire les messages qui ont particulièrement interpellés votre auditoire de manière positive ou négative. Si elle n’a pas écouté votre présentation au préalable, elle peut également vous faire un retour sur ce qui l’a surpris, elle. Une personne dans le public peut même se révéler un atout en mettant l’ambiance pour vous !

Bonne présentation !

L’autorité au travail

On entend souvent parler de l’autorité au travail et des problèmes qui en découlent. Nous n’avons pourtant pas tous la même notion d’autorité. Si elle peut paraître parfois juste, sa légitimité pose parfois question au sein des entreprises. Et les discussions sur ce que deviendra l’autorité dans l’avenir vont bon train.

Une autorité définie par les décisions

Pour tous les Français la définition de l’autorité n’est pas la même. Pour 60% d’entre eux à peine, il s’agit de prendre des décisions. La manière de voir l’autorité diffère même si elle consisterait d’abord à faire respecter les règles (45%). La gestion de projet à la part belle puisque 42% estime que diriger un projet va dans ce sens.

Plus subtilement 36% pensent qu’elle est utile pour faire progresser les autres salariés et s’occuper des conflits internes (32%) ou encore amener à suivre une hiérarchie (25%)

De manière plus moderne, ils sont déjà 23% à estimer que l’autorité est là pour inspirer les autres salariés, démontrer une expertise (22%) ou encore gérer la relation client (18%). Le fait de donner des ordres est reléguer à 19% ;

Une autorité légitimée par les compétences.

On peut se dire souvent que l’autorité provient de la fonction. En réalité son fondement est bien différent puisque l’immense majorité pense qu’elle provient des compétences (72%).

Le leadership (30%), le soutien des dirigeants de l’entreprise (24%), l’ancienneté dans l’entreprise (22%), la performance commerciale (16%), les diplômes (13%), le titre (11%), ou encore l’âge (8%) viennent loin derrière.
Vous pouvez donc agir sur ces derniers mais comme moyen. Autrement dit, il vaut mieux faire monter en compétences vos managers et l’autorité devrait venir naturellement.

L’autorité va changer

Déjà, il faut noter que 92 % des Français pensent que ma manière d’exercer l’autorité va changer. Et pour cause : 88% d’entre eux pensent qu’il y a trop de « petits chefs qui abusent de leur autorité en entreprise ». A une heure où me management évolue, on voit bien que cette écrasante majorité représente un souci pour les salariés. Malgré tout, ils sont près de 79% à la respecter et 77% à estimer qu’il est nécessaire de la respecter pour réussir en entreprise.

Si elle peut paraître contraignante, elle ne doit pas pour autant disparaître puisqu’ils sont 67% à penser qu’ils en ont besoin pour progresser. Paradoxalement, le stress ayant deux côtés, elle est source d’anxiété pour 59%, peut nuire à l’épanouissement personnel des salariés pour 44% et pire être contreproductive pour 39%

Celle-ci aurait tendance à disparaître puisque 30% estime qu’elle n’existe plus et 44% pensent que les dirigeants ne l’exercent plus. Une forme de management moderne qui serait différent. On peut se demander s’il n’y aurait pas une forme d’abandon…

L’avenir de l’autorité en entreprise

S’ils sont nombreux à craindre l’autorité et en même temps à penser que l’autorité va disparaître, ils sont peu nombreux à savoir ce qu’elle va devenir. Ils sont seulement 19% à penser qu’elle va reposer sur la confiance mutuelle entre le salarié et l’employeur. Et elle devra dans « l’avenir récompenser davantage le mérite (13%), impliquer davantage le salarié dans la prise de décision (13%), respecter davantage les salariés (13%), permettre à chacun de s’exprimer (8%), favoriser la circulation de l’information et la transparence (8%), accorder plus d’autonomie aux salariés (5%), faire tomber les barrières entre les différentes équipes d’une entreprise (5%) ». Certains estiment qu’elle ne devrait plus être lié à l’âge, au titre, ou à l’ancienneté

Les domaines où l’autorité devrait être transférée

Si vous souhaitez mettre en place un management moderne, sachez que la définition des missions prioritaires (liées à leur poste) et leur manière de travailler avec leurs collaborateurs est pour près de 80% d’entre eux la priorité.

Les technologies ont la part belle puisqu’ils souhaitent choisir celles qu’ils utilisent pour 72% d’entre eux. Plus surprenant mais logiquement, ils souhaitent aujourd’hui définir la culture de l’entreprise (71%). La liberté représente un facteur déterminant dans l’avenir puisqu’ils voudraient pour 70% avoir le choix sur le temps de travail et 66% sur le lieu.

Tous ces critères montrent la volonté des salariés d’avoir un management différent qui a du sens et qui délègue des responsabilités.
Résultats selon un sondage OpinionWay pour Dropbox de mai 2019 sur l’ « autorité au travail » réalisé sur un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18ans et plus et selon la méthode des quotas ,

Transparence sur l’étiquetage, un incontournable

Les français sont devenus exigeants à la suite des nombreux scandales qui ont touché toutes les catégories de produits alimentaires mais aussi parce qu’ils sont maintenant conscients que les produits viennent de nombreuses provenances. Fabriqués en France, étiquetés en France… Internet et les médias regorgent d’histoires les plus édifiantes sur certains produits portant vantés par les marques.

Plus d’1 Français sur 2 a déjà renoncé à un achat à cause d’un manque d’information sur un produit alimentaire et c’est d’ailleurs dans ce contexte Alkemics et OpinionWay ont cherché à savoir comment et à quelles fins les Français les recherchent ? Comment les jugent-ils ? Quelles sont leurs attentes quant à l’étiquetage alimentaire ? Quelles sont les incidences de l’étiquetage alimentaire en termes de comportements d’achat ?

Comment s’informer ?

Les inscriptions sur l’emballage sont une source d’information qui intéressent particulièrement les consommateurs (64%).  Cependant, on peut constater que selon le budget et l’âge le comportement se modifie :  48% des foyers dont le revenu mensuel ne dépasse pas 1 000€ recherchent des informations sur un emballage alimentaire contre 74% des foyers dont le revenu dépasse 3500€. Les 65 ans et plus demeurent également attentifs aux inscriptions sur un emballage (78%) contre 58% des 18-24 ans.

Même s’ils sont moins nombreux avec un budget restreint à prendre en considération les informations, ils sont quand même 48% qui montrent que le budget n’est pas un frein à l’intérêt qu’ils portent aux informations des produits alimentaires.

Quelles sont les informations recherchées ?

Près d’1 Français sur 2 focalise prioritairement son attention sur la composition, la provenance et la DLC (date limite de consommation)  d’un produit alimentaire. Le Nutriscore, Programme National Nutrition Santé,  lancé dans le cadre de la loi de modernisation du système de santé en 2016 et encore très peu déployé, attire déjà 9% des consommateurs qui déclarent y être attentifs lors de l’achat d’un produit alimentaire. Enfin, 10% de Français affirmant être attentifs aux scores d’applications mobiles telles Yuka ou Foodvisor, l’usage de ces dernières ne semble pas encore majoritairement répandu mais elles font partie de nouvelles habitudes qui vont certainement s’insérer dans le paysage et elles devront cependant pour cela être des applications qui ne cachent pas un intérêt financier avec une marque. Les français sont très vigilants aux raisons de leur déploiement.

Les 3 critères : qualité, made in France et santé !

Trois critères qui sont à prendre en compte pour les dirigeants : l’origine du produit, sa composition et ses bénéfices auxquels s’ajoutent les considérations d’ordre éthiques et environnementales. 88% des personnes interrogées considèrent qu’être mieux informées leur permet de consommer des produits de meilleure qualité, de connaître leur origine (85%) ou encore de privilégier le made in France (87%).

Des consommateurs avisés

Seulement 53% jugent les informations fiables, 37% suffisantes, 35% transparentes et 34% complètes. Les Français regardent avec circonspection l‘étiquetage.

Plus de 70% des Français font confiance aux informations sur la traçabilité, la composition ou encore l’apport nutritionnel d’un produit. Il s’agit là d’indications factuelles inhérentes au produit ne pouvant être sujettes à interprétation.

Les consommateurs ne sont pas dupes

Ils ne croient pas tout ce qui est écrit. Ainsi, les allégations nutritionnelles du type « faible teneur en graisse » ou encore « riche en fibres », souvent considérées comme un argument marketing bien qu’encadrées juridiquement, ne remportent pas l’adhésion du public. En effet, seuls 49% des Français ont confiance dans ce type d’affirmation. Il en va de même des informations en lien avec le respect animal dont seulement 49% des consommateurs déclarent avoir confiance.

Local et commerce physique, gages de confiance

Si les informations diffusées par les producteurs locaux (90%) ou les marques françaises (82%) remportent la confiance des consommateurs, cette dernière s’effrite avec les marques distributeurs (66%) et s’effondre avec les marques étrangères (35%). En matière alimentaire, le local fait foi. Concernant les lieux de vente, le commerce physique remporte la palme. Ainsi, 82% des Français font confiance aux informations produits dans les commerces de proximité, 74% dans les magasins bio ou encore 73% sur les marchés et 67% en GSA. A l’inverse, moins d’un Français sur deux fait confiance aux informations émanant de sites internet. Avec 56%, les sites marchands de GSA (Grandes Surfaces Alimentaires) font un peu mieux.

Quel étiquetage souhaitent-ils ?

Alors que l’intérêt des Français pour l’étiquetage alimentaire se recentre principalement sur trois informations, à savoir l’origine du produit, sa composition et des considérations d’ordre éthiques et environnementales, il en va de même pour leurs attentes.

Ainsi, les consommateurs souhaiteraient que l’affichage d’informations d’un produit soit plus gros pour les catégories suivantes :

ORIGINE

  • Provenance du produit (54%)
  • Traçabilité des ingrédients (44%)

COMPOSITION

  • Composition du produit (52%)
  • Informations nutritionnelles (39%)
  • Présence d’allergènes (37%)

ETHIQUE & ENVIRONNEMENT

  • Respect du bien-être animal (39%)
  • Impact environnemental (34%)

Pas ou peu d’informations : pas d’achat

Si le consommateur souhaite que marques ou commerçants fassent preuve de diligence quant à leur obligation d’information, un défaut de leur part peut se traduire sous la forme d’un renoncement à l’achat d’un produit alimentaire.

Ainsi, 54% des Français ont déjà renoncé à l’achat d’un produit en raison d’un manque d’information sur la DLC (date limite de consommation) ou la provenance et 53% pour manque d’information sur la composition.

Enfin, 56% des Français ont déjà renoncé à l’achat d’un produit étranger pour manque d’information, 51% à l’achat d’un plat préparé ou d’un produit de premier prix.

Cette étude a été réalisée sur un échantillon de 1057 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus réalisée du 17 au 18 avril 2019.

En revanche, l’étiquette rêvée des Français réduirait ou ferait totalement disparaître la marque du produit (25%), les allégations nutritionnelles (type « faible teneur en graisse », « riche en fibres » … – 22%) mais aussi les conseils sur la préparation du produit (20%) ou le type d’emballage (recyclé, recyclable, suremballage… – 20%).

 

Alfipa.fr, l’entreprise spécialiste de l’aluminium

La société Alfipa, fondée en 1994, s’est spécialisée dans les feuilles d’aluminium, de cuivre, d’acier inoxydable et de plastique, de papier et de feuilles composites minces destinées au secteur de l’emballage et au marché de l’isolation. Zoom sur une entreprise qui bénéficie de l’expérience de 40 ans de son fondateur.

L’origine de l’entreprise

Karl Quadt commence sa carrière en tant que Business Development Manager au sein de l’entreprise VAW à Grevenbroich (aujourd’hui HYDRO) et noue des contacts étroits avec la production. Il intègre ensuite des postes dans la vente et dans la direction au sein de National Luxembourg Aluminium (aujourd’hui EUROFOIL) et de Aluminiumfolie Merseburg (aujourd’hui MFC). Constatant un manque de produits sur-mesure destinés aux secteurs de l’emballage et de l’isolation, il décide de monter l’entreprise en 1994.

Une entreprise qui se spécialise

Pour se démarquer de la concurrence, il se spécialise dans les formats inhabituels et les quantités réduites, qui sont par ailleurs difficiles à se procurer notamment grâce aux contacts du dirigeant qui lui assurent de pouvoir se trouver les matériaux difficiles à se procurer. Il offre ainsi la possibilité d’opter pour une fabrication spécifique et personnalisée même quand le marché ne peut fournir les dimensions dont le client a besoin. Comme pour le métro parisien pour lequel Alfipa a livré les plaques d’aluminium.

Afin de se démarquer toujours plus de ses concurrents l’entreprise propose des conseils techniques gratuits afin d’aider les clients à déterminer quels matériaux correspondent le mieux à leurs demandes.

Pour le dirigeant, pas de doute, il faut miser sur la « qualité des prestations » et pouvoir « produire la quantité de produits selon les besoins, que la quantité demandée soit petite ou moyenne » et mettre une toute particulière attention à livrer dans les temps. Attachant de l’importance au service client, au dynamisme de son équipe et au respect des normes européennes comme le DIN EN546-4., l’entreprise connaît un essor rapide.

Une spécialisation qui reste large

Si l’entreprise a une particulière appétence pour l’aluminium c’est parce qu’en réalité, il est utilisé dans différents secteurs industriels. La feuille d’aluminium, qui possède différentes caractéristiques est souvent destinée à emballer les denrées alimentaires. Elle est également utile dans le secteur pharmaceutique afin de conditionner les médicaments. Le film en aluminium offre l’avantage de préserver la qualité des produits jusqu’à la date de péremption.

L’aluminium reste compatible avec l’impression, le laquage et la combinaison avec des matériaux composites. Il sert aussi de revêtement d’isolants afin de garantir une bonne isolation thermique, phonique et frigorifique.

Finalement, les produits proposés par Alfipa peuvent être utilisés dans plusieurs domaines d’activité tels que le transport, la science ou encore le bâtiment.

Et il faut dire qu’ils peuvent servir à réaliser de nombreuses choses : emballages alimentaires, de boissons ou de médicaments, matériaux composites comme revêtements dans beaucoup de domaines, isolants, recouvrir du bitume ou des panneaux de mousse…

Pour en savoir plus sur l’entreprise ou obtenir un devis, vous pouvez vous rendre sur site d’Alfipa

15 voyages en train pour vous faire gagner du temps

Nous avons tendance à penser que l’avion est beaucoup plus rapide et moins cher que les autres moyens de transport. Et pourtant, ce n’est pas aussi évident, il n’est pas rare de retrouver des itinéraires bien plus rapides en train que par l’intermédiaire d’un vol. D’autant plus que les enjeux environnementaux viennent désormais s’immiscer dans un voyage. Tour d’horizon autour de 15 trajets en train pour faire gagner du temps tout en réduisant votre empreinte carbone.

Voyager en train plus aisément en Europe

Les voyages en train à l’étranger ne sont pas toujours évidents, à cause de la barrière de la langue. Il est vrai que pour réserver un billet de train en Allemagne n’est pas facile pour celui qui ne parle pas l’allemand, malgré la monnaie unique en Europe. Par ailleurs, voyager en train est une manière bon marché et éco-responsable. Sans compter que l’on peut réserver son billet en français et payer en euros pour des billets partout en Europe. En effet, ils sont nombreux à s’être interrogé si de voyager en train n’était pas la meilleure des solutions pour gagner du temps tout en pensant à notre planète. Le voyage en avion est très régulièrement perçu comme le moyen de transport le plus compétitif dans son rapport au temps. Et pourtant dans bien des cas, le train est le moyen de transport le plus intéressant. Et les 15 trajets à venir en sont les illustres exemples.

15 itinéraires pour gagner du temps tout en préservant la planète

Le classement prend en compte trois éléments importants : le dioxyde de carbone économisé, la consommation d’énergie économisée et le temps gagné par trajet.

Trajet 1 : Entre Munich et Vienne. Le dioxyde de carbone économisé est de 122,9 kg, la consommation d’énergie économisée est de 49,1 litres et le temps gagné est de 15 minutes.

Trajet 2 : Entre Marseille et Lyon. Le dioxyde de carbone économisé est de 121,1 kg, la consommation d’énergie économisée est de 43,7 litres et le temps gagné est de 1h27 minutes.

Trajet 3 : Entre Bruxelles et Paris. Le dioxyde de carbone économisé est de 118,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 44,4 litres et le temps gagné est de 2h38 minutes.

Trajet 4 : Entre Bruxelles et Londres. Le dioxyde de carbone économisé est de 111,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 40 litres et le temps gagné est de 2h08 minutes.

Trajet 5 : Entre Londres et Manchester. Le dioxyde de carbone économisé est de 109,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 44,2 litres et le temps gagné est de 1h21 minutes.

Trajet 6 : Entre Londres et Paris. Le dioxyde de carbone économisé est de 106,3 kg, la consommation d’énergie économisée est de 37,5 litres et le temps gagné est de 9 minutes.

Trajet 7 : Entre Bruxelles et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 41 litres et le temps gagné est de 43 minutes.

Trajet 8 : Entre Munich et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,8 kg, la consommation d’énergie économisée est de 42,6 litres et le temps gagné est de 21 minutes.

Trajet 9 : Entre Valence et Barcelone. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,6 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,8 litres et le temps gagné est de 16 minutes.

Trajet 10 : Entre Milan et Zurich. Le dioxyde de carbone économisé est de 102,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,8 litres et le temps gagné est de 15 minutes.

Trajet 11 : Entre Barcelone et Toulouse. Le dioxyde de carbone économisé est de 101 kg, la consommation d’énergie économisée est de 39,4 litres et le temps gagné est de 1h07 minutes.

Trajet 12 : Entre Barcelone et Madrid. Le dioxyde de carbone économisé est de 98,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 34,7 litres et le temps gagné est de 1h15 minutes.

Trajet 13 : Entre Paris et Francfort. Le dioxyde de carbone économisé est de 98,2 kg, la consommation d’énergie économisée est de 27,9 litres et le temps gagné est de 22 minutes.

Trajet 14 : Entre Madrid et Valence. Le dioxyde de carbone économisé est de 97 kg, la consommation d’énergie économisée est de 36,9 litres et le temps gagné est de 1h28 minutes.

Trajet 15 : Entre Manchester et Édimbourg. Le dioxyde de carbone économisé est de 94,3 kg, la consommation d’énergie économisée est de 37,4 litres et le temps gagné est de 21 minutes.