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Les clés de la confiance en soi !

La confiance en soi est souvent difficile à garder lorsque les circonstances mettent à mal toutes vos certitudes. Ainsi ces deux dernières années celles et ceux qui avaient bâti une entreprise, dont l’avenir paraissait florissant, ont vu leur chiffres d’affaires chuter avec les différents confinements. La confiance en soi est le sentiment éprouvé quand vous savez que vous pouvez compter sur vos propres capacités pour faire face aux défis. Ce sentiment intérieur impacte vos attitudes et vos décisions au quotidien. Il est donc nécessaire pour l’entrepreneur d’en disposer pour ne pas baisser les bras à la première difficulté. Le niveau de confiance en soi dépend du regard que vous portez sur vous : ce que vous savez, entendez, pensez, croyez. Ce système qui évolue en permanence sera votre force ou votre limite.

Votre Environnement et la confiance en soi

Êtes-vous entouré de personnes qui vous apportent de bons conseils ? Rapprochez-vous et échangez le plus souvent possible avec des personnes constructives et positives. Filtrez les avis parasites en développant des comportements et des attitudes adaptés. Mais surtout évitez de lire les articles aux annonces pessimistes !

Votre comportement et la confiance en soi

Quand vous avez totalement confiance en vous, comment agissez-vous ? Imaginez ce qui pourrait booster votre confiance et augmenter votre envie de réussir avant un moment important : une phrase, une image, une musique, un objet. Faites appel à ce symbole dans les victoires et dans les moments de doute.

Vos capacités et la confiance en soi

Connaissez-vous toutes les capacités et les ressources que vous possédez ? Chaque nouvelle expérience contribuera à votre développement. Pensez à identifier régulièrement toutes les nouvelles capacités que vous venez d’acquérir. Au fur et à mesure vous prendrez conscience de la rapidité et facilité avec laquelle vous progressez. Croire en vous deviendra plus naturel.

Vos croyances et la confiance en soi

D’après vous, qui doit d’abord croire en votre réussite ? Si vous croyez en vous, votre entourage vous suivra. Si vous n’obtenez pas tout de suite ce que vous voulez, soyez patient, utilisez d’autres compétences et restez confiant(e). Listez toutes les compétences et capacités que vous avez et celles que vos proches vous reconnaissent.

Votre Identité et la confiance en soi

Quel rôle avez-vous dans votre projet ? Faites la différence entre vous et le projet. Si on remet en cause un élément du projet, c’est du projet que l’on parle et non de vous. Vous n’êtes que l’ambassadeur de votre projet. Conservez cette distance pour préserver votre confiance en vous.

Votre mission et la confiance en soi

Quelle mission vous êtes-vous donné en créant cette activité ? Imaginez que vous ayez réussi, quel regard portez-vous sur vous ? Et après ?

Pensez à conserver un niveau de confiance minimum dans votre aventure de création d’entreprise. Il vous permettra de relever les challenge d’une route parfois sinueuse et rocailleuse.

Stabilisez votre confiance en listant vos 10 plus belles victoires. Vous pensez ne pas en avoir, alors sondez votre entourage. Vous avez déjà réussi à atteindre un objectif important pour vous, alors vous avez toutes les capacités pour recommencer ! Et puis cherchez à dépasser les imprévus de cette crise sanitaire.

HP Neverstop Laser : l’imprimante préférée des gros consommateurs d’impressions bureautiques

Les professionnels des petites et moyennes entreprises ainsi que les indépendants (notamment les professions libérales) sont d’importants consommateurs d’impressions. Que ce soit pour la facturation, l’administratif, la promotion ou la vente, ces professionnels sont à la recherche de solutions économiques et efficaces ; le tout dans un contexte de travail de plus en plus hybride et mobile. Le choix des équipements, parmi lesquels l’imprimante, est donc important. 

Selon Estelle le Peutrec, Responsable Solutions d’impression chez HP France, « en complément des fonctionnalités du produit, le coût de l’équipement, la facilité d’usage et la simplicité de maintenance sont les principales questions à se poser.  Les professionnels des TPE et PME et les entrepreneurs souhaitent se consacrer aux tâches les plus productives sans les préoccupations liées à la gestion ou à la maintenance du matériel informatique. Par ailleurs, dans une période marquée par l’incertitude économique, la gestion des coûts reste un critère prioritaire. »

Une imprimante adaptée à ses usages

Les constructeurs ont largement enrichi leurs gammes pour répondre aux différents besoins des utilisateurs. Avant de vous lancer dans l’acquisition d’une imprimante, il faut bien s’interroger sur ses attentes. Par exemple, rien ne sert d’investir dans une machine unique et capable d’imprimer en volume si vous êtes plusieurs utilisateurs et avez besoin d’imprimer dans différents espaces de l’entreprise. Il vaut mieux, investir dans plusieurs machines plus compactes. Cela permettra de plus à vos collaborateurs de ne pas patienter pour récupérer leurs impressions. Cela peut s’avérer utile également si vous devez imprimer des documents sensibles. 

Penser au-delà de l’impression

Point crucial à prendre en compte : les fonctionnalités. Aujourd’hui, la tendance est aux multifonctions qui permettent de numériser, de faire de la gestion documentaire, voire de gérer ses impressions à distance. Dans un monde de plus en plus digitalisé, ces fonctions ont une réelle importance pour les tâches quotidiennes, comme transmettre des notes de frais ou envoyer des documents à numériser à des administrations, des clients ou des fournisseurs. Une tendance observée par Estelle Le Peutrec : « Avec l’hybridation du travail et le développement du flex-office, la connectivité des imprimantes est devenue primordiale. L’application HP Smart est une des réponses que nous avons imaginées. Elle permet de numériser et d’imprimer en toute sécurité via une imprimante HP depuis un appareil mobile. L’application donne accès à des fonctions aujourd’hui incontournables, telles que la création de tâches intelligentes, l’automatisation de certains processus ou encore la commande de cartouches. »

Penser à l’ensemble de ces fonctionnalités permet aussi de réduire le nombre d’appareils (scanner, imprimantes, copieur) et donc de diminuer les coûts et le nombre de logiciels à installer, tout en optimisant l’espace du bureau. 

Être attentif au coût à la page

Certains métiers exigent l’impression de documents très volumineux (contrats, rapports, présentations commerciales…) : la question du coût des impressions ne doit donc pas être sous-estimée. Les imprimantes actuelles ont beaucoup progressées en termes de performances. Elles sont notamment capables d’imprimer plusieurs milliers de pages sans besoin de remplacer les cartouches. C’est le cas de l’imprimante HP Neverstop Laser, comme nous le confie Estelle Le Peutrec : « Avec une capacité d’impression 7 fois supérieure à celle d’un équipement laser standard, la HP Neverstop Laser offre la possibilité d’imprimer 5000 pages sans avoir besoin de la recharger en toner. Grâce à la technologie de ses kits de recharge, elle bénéficie de l’un des coûts à la page les plus compétitifs du marché, à environ 1 centime par page. Des atouts très appréciables pour les professionnels indépendants ou les petites entreprises qui doivent imprimer de gros volumes. En effet, les kits de recharge HP Neverstop permettent d’imprimer jusqu’à 2,5 fois plus de pages ».

Eco-responsabilité

Les initiatives en faveur de la protection de l’environnement se développent au sein des entreprises, et la catégorie imprimantes est également concernée par les enjeux environnementaux. Concilier écoresponsabilité, efficacité et faible coût à la page est tout à fait compatible. « La HP Neverstop est une solution laser monochrome rechargeable qui permet d‘imprimer à un coût abordable, en restant simple d’usage et avec un faible impact environnemental. Elle est certifiée éco-responsable puisqu’elle est fabriquée avec plus de 25 % de plastique recyclé et le kit de recharge de toner, avec 75 % de plastique recyclé» explique Estelle Le Peutrec. Lors de votre prochain achat, pensez au critère environnemental, repérable grâce aux certifications telles que Blue Angel ou Energy Star 3.0.

Pour en savoir plus : imprimantes HP.

Ces neuf start-up de livraison qui cartonnent

La livraison représente un secteur porteur. Pour s’imposer, elles comblent les failles des modes de livraison traditionnels. Entre ubérisation de la livraison, réception de nuit ou encore système antivol, voici comment ces cinq start-up révolutionnent le monde de la livraison.

Colibou, la livraison de nuit

Les livraisons via les sites de e-commerce sont devenues courantes et adaptables à nos besoins. Un problème demeure : les horaires de livraison. Ceux-ci correspondent souvent à des horaires qui ne conviennent pas forcément aux disponibilités de la plupart des travailleurs. Un détail qui peut freiner la vente. En 2015, Nicolas van Meerbeke, diplômé en Marketing Communication de l’ESCP Europe et passionné par les nouvelles technologies fonde Colibou, une start-up spécialisée dans la livraison de colis de 20h à minuit (du lundi au vendredi) à un prix fixe de 3.99 euros.

Le principe est simple. Il suffit d’indiquer l’adresse de Colibou à la place de celle du client lorsqu’il passe commande sur n’importe quel site marchand. Les colis seront livrés dans le dépôt de Colibou, qui va se charger de les remettre au client. Celui-ci, choisira la date et l’heure de sa livraison en fonction de ses disponibilités. Le colis peut être stocké jusqu’à 30 jours dans leur centre de réception. Attention car la start-up ne prend en charge que les colis dont le poids est inférieur ou égal 30 kilos. Si pour l’instant elle ne propose ses services qu’à Paris et certaines villes de sa couronne, elle souhaite à l’avenir élargir sa zone de livraison.

Cubyn , l’ubérisation de la livraison

La start-up parisienne lancée en 2014 par Adrien Fernandez-Baca et Mathieu Lemaire propose un système avantageux aux entreprises. Prendre en charge la livraison de leurs colis (emballage, offre avantageuse, prestataires…). Pour une livraison rapide, Cubyn propose de récupérer directement les produits dans les points de vente, de les emballer avec soin et de trouver le tarif le plus avantageux entre les différents livreurs (Fedex, chronopost, ect). «De nombreuses start-up, notamment dans la restauration, sont présentes pour aider les consommateurs sur le dernier kilomètre, mais aucune n’existait pour faciliter la vie des professionnels pour le premier kilomètre à parcourir.» note Adrien Fernandez Baca. Leurs frais de services ne s’élèvent qu’à un euro, incluent une assurance et livrent n’ importe où dans le monde.

Deliver.ee, le dernier kilomètre en toute simplicité

Fondée en 2013 par Romain Libeau et Sébastien Poudat et basée à Paris, la start-up reste une spécialiste de la livraison du dernier kilomètre. Elle décide de connecter un service de coursiers au monde du e-commerce. Afin qu’ils effectuent la livraison le plus rapidement possible dans plus de 2000 villes dans le monde. « Le potentiel était énorme En effet, nous pouvons décliner notre service à des gros sites de e-commerce. Ils peuvent ainsi livrer en quelques heures le produit commandé ou bien pour des sites comme LeBoncoin.fr, pour vous éviter tout déplacement ». La start-up garantie une livraison immédiate ou sur un créneau de 2 heures, ce qui permettrait aux entreprises de fidéliser leurs clients. Ces trajets sont cours et optimisés afin de réduire les risques habituels de livraison (casse, perte, vol).

SaveMyPaquet, le système anti-vol breveté

Il arrive souvent que le client ne soit pas disponible aux horaires de livraison habituels, Colibou n’est pas la seule start-up à avoir réfléchie à ce problème. Fondée par Stéphen de Lépinau en 2016, SaveMyPaquet propose de vous livrer chez vous-même si vous êtes absent. Comment ? La start-up a mis en place un système breveté anti-vol : Le livreur dépose votre colis dans un filet métallique (que vous aurez commandé au préalable et installé à votre porte), le ferme et le clipse à votre porte. Vous pourrez ainsi le récupérer en ouvrant tout simplement la porte, en toute sécurité. Les clients n’auront plus besoin de se déplacer pour leur colis. La firme garantie que le filet soit « Réutilisable à l’infini, fonctionne pour toutes vos livraisons, avec tous les transporteurs. Souple et extensible, s’adapte à toutes les tailles de colis. ».

Glovo, la livraison dans sa ville en moins d’une heure

La start-up espagnole Glovo connecte, elle aussi, des coursiers à sa plate-forme. Il suffit pour les clients de choisir parmi l’ensemble des produits diverses et variés présents sur le site Glovo (chargeur, ingrédients culinaires, téléphone…) parmi n’importe quel boutique de votre ville. Cela pour être livrer le plus rapidement possible sans faire de déplacement. Disponible à Paris, le coût de la livraison sera en fonction de la distance parcourue par le livreur qui se déplace uniquement en vélo ou en scooter. Avec plus de 3000 commerces comme partenaires et 2500 livreurs, la start-up à de beaux jours devant elle.

MyTrooperS, « Transportez TOUT ce que vous voulez »

MyTrooperS lancée par Jean Cevaer et Jeremy Chevalier est une start-up spécialisée dans les petits déménagements en ville. Le principe est simple, au lieu de louer un véhicule utilitaire, vous pouvez commander en moins d’une heure (ou à l’avance) un chauffeur appelé Troopers qui viendra chercher ce que vous souhaitez déplacer. La start-up présente dans toute l’Ile de France, propose de déménager à partir de 60 euros. Les clients programment facilement leur déménagement, en étant débarrassés des complexités administratives.

Usend, la livraison comme une course

La start-up parisienne lancée en 2016 par Jean-Marc Bréheret propose d’assurer toutes les étapes de vos livraisons mais pas seulement… Une lettre à poster ? Un fauteuil à livrer ? Usend met à disposition ses 600 chauffeurs disponibles à travers 50 000 communes dans toute l’Europe. L’application permet une livraison de 24 à 72 heures, un temps record pour n’importe lequel de vos colis (avec des tarifs allant de 9 à 388 euros). Cette dernière cible autant les professionnels que les particuliers.

Boxtal, le bonheur des PME

Anciennement « EnvoiMoinsCher », l’entreprise se définit comme l’expert de la livraison pour les professionnels. Leur interface permet de gérer tous les envois de leurs clients. « Historiquement, les transporteurs se sont organisés pour traiter les grands clients avec de grosses commandes, pas les demandes factuelles. Nous sommes là pour absorber cette clientèle. » confiait Virginie Ducrot, présidente de la société aux Echos. Les PME grandement attirées par le service, ont la possibilité de trouver le meilleur équilibre entre les prix et les services proposés. C’est aujourd’hui avec plus de 170 000 clients satisfaits et 5000 e-commerçants en partenaire, que la start-up se place en tête du secteur en France.

Stuart, une livraison rapide et urbaine

La poste acquiert cette année la jeune start-up, du fait de son fort succès dans le secteur de la livraison à la demande. Créée en 2015 par Benjamin Chemla et Clément Benoît, cette dernière est présente dans cinq grandes villes d’Europe (Paris, Lyon, Madrid, Londres, Barcelone). Les livraisons sont effectuées par des livreurs indépendants connectés à la plateforme. Ces derniers sont mis en relation avec les clients grâce à un système de géolocalisation en temps réel. Avec déjà plus de 500 clients à son compte, la filiale de la Poste risque de continuer à révolutionner le monde de la livraison.

Comment développer l’esprit d’équipe dans une entreprise au quotidien

Aujourd’hui où les outils collaboratifs nous obligent à travailler ensemble, la bonne entente entre les collaborateurs est une donnée essentielle. La coopération entre les membres d’une équipe demeure un facteur clé de la réussite d’un projet. Elle crée une meilleure performance ainsi qu’une bonne ambiance au sein de l’entreprise. Les interactions sont nombreuses et ne se limitent pas à des échanges. Elle consiste aussi en un soutien ou encore une complémentarité. Quelles techniques employer pour créer et renforcer ces liens ? Comment faire ? Quelques conseils pour créer un véritable esprit d’équipe dans votre entreprise.

Selon une étude de Harris Interactive/Apec paru sur Capital, les personnes affirmant ne pas aimer travailler en équipe ne représentent que 22% des salariés. Le pourcentage de personnes aimant travailler de façon coopérative reste bien supérieur à celui ne le voulant pas. Il existe trois obstacles principaux qui empêchent la bonne collaboration entre salariés : les différences de personnalités qui peuvent compliquer la communication entre les membres, la méconnaissance des capacités des autres et la croyance que le fait de ne pas partager une information donne un avantage.

Une entraide à tendance à se former uniquement en cas de crise ou de problème important qui nécessite une alliance pour le résoudre. Il faut tout de fois que cet esprit devienne permanent et spontané.

Devenez un exemple et prenez le temps de dialoguer

Commencez par montrer l’exemple et encouragez la coopération au sein de vos bureaux. Vous pouvez débuter par des gestes simples qui contribueront à créer un lien direct entre vous et vos salariés. Laissez la porte de votre bureau ouverte pour favoriser la conversation et montrer que vous êtes accessible et à l’écoute. N’hésitez pas à circuler dans les couloirs et à interagir avec vos différents salariés. Prenez du temps pour recevoir vos équipes au moins une fois dans la semaine et parler des sujets du moment ou de leur ressenti par exemple. Ces conversations permettront de montrer à vos salariés les bénéfices de la transmission d’informations.

Montrez votre attachement et partagez votre ambition

Si de fortes têtes persistent à compliquer le bon déroulement du travail d’équipe, rappelez-les à l’ordre en indiquant votre attachement à l’esprit d’équipe. Partagez avec eux vos ambitions pour qu’elle devienne commune. « Quand j’ai repris la société, j’ai reçu les 17 employés pour dialoguer avec eux sur ma vision de l’entreprise et nous avons réfléchi ensemble à la direction à prendre», explique Fabrice de l’Epine, PDG de l’agence de publicité Première Ligne dans une interview réalisée par Capital. N’hésitez pas à les valoriser ou les complimenter s’ils ont réalisé un bon travail d’équipe. Ils seront d’autant plus fiers d’appartenir au groupe et renforceront leur lien.

Faites les présentations

Le lancement raté d’un nouveau projet échoue résulte souvent de la méconnaissance de ses partenaires. Prenez le temps avant de commencer de vous assurer que les membres de l’équipe apprennent à bien se connaître. Faites des déjeuners d’équipe ! Au cours de ces moments, vos salariés pourront tisser des liens et plus si affinité ! Ces instants partagés peuvent également faciliter l’arrivée de nouveaux venus, ne pas déstabiliser le groupe et maintenir l’esprit d’équipe. Il existe des formations collectives à la « process communication » pour mieux comprendre comment gérer et amener des personnes aux personnalités différentes à travailler en coopération ensemble.

Luttez contre la rétention d’informations

Pour travailler correctement en équipe, veillez à une bonne organisation de l’échange de l’information. Faites en sorte de lutter contre cette rétention de l’information. Expliquez-leur vos intentions clairement et en groupe pour créer une cohésion dès la prise d’information initiale. Partagez vos informations avec vos collaborateurs dès que vous les avez pour leur montrer l’exemple et incitez-les à faire de même. Faites les réfléchir sur des questions comme « Cette information peut-elle être utile à quelqu’un de l’équipe ? ». De cette façon, vous les responsabiliserez et ils prendront l’habitude de se poser ce genre de questions et penser « esprit d’équipe ».

Mettre en place des outils de partage

Investir dans des moyens technologiques qui facilitent le partage demeure une bonne pratique. Mettez en place des outils et des espaces de travail collaboratif ! De cette façon, si un de vos salariés à un problème, il peut facilement le signaler et tous les autres seront au courant et pourront agir. De même, si quelqu’un partage un document qu’il vient de réaliser, tout le monde pourra y ajouter quelque chose pour le compléter. Un réel travail en collaboration avec chaque membre va pouvoir se mettre en place.

En dernier lieu, il est conseillé d’adopter un système de notation collectif et non individuel. La note personnelle n’encourage en rien le travail collectif. En mettant en place des critères collectifs, l’esprit d’équipe sera fortement encouragé.

Le développement d’un esprit d’équipe n’est pas une tâche facile et se réalise au quotidien. Gardez à l’esprit que vous ne tirerez que des avantages à la bonne cohésion de votre groupe.

10 conseils pour soigner son image

Quand on est chef d’entreprise, indépendant ou en société, il est important de soigner son image et sa communication. Car de cette « image professionnelle » dépend bien souvent la confiance que vous accordent vos clients et vos collaborateurs, et la prospérité de l’entreprise. Certes, depuis les différents confinements, les gestes barrières ont placé un carcan qu’il va vous falloir contourner pour ne pas être limité par un masque.

Soignez l’apparence

Même si l’habit ne fait pas le moine, une tenue vestimentaire soignée vous permettra d’avoir davantage confiance en vous et celle-ci sera perçue par ceux qui vous côtoient.

Vous pouvez respecter les codes vestimentaires propres à votre secteur d’activité ou bien vous caractériser par un look original mais vous devrez être rigoureux car tout est une affaire de détails et le petit défaut qui vous paraît insignifiant (les ongles négligés, les pellicules sur le col de la veste, la tâche de café sur la cravate, la mallette craquelée, les chaussures ou baskets en piteux états etc.) peut très bien ternir définitivement votre image auprès de certains interlocuteurs. Par ailleurs, dans ce contexte où l’on se trouve obligé de porter un masque, il vous faudra en choisir adapté à vos interlocuteurs et non à votre fantaisie créatrice.

Travaillez la posture

Être bien habillé ne sert à rien si vous passez votre temps avachi sur le bureau ou enfoncé dans votre siège en clientèle. Tenez-vous droit, portez la tête haute, le regard au loin et évitez les gestes de fermeture (ex : croiser les bras sur sa poitrine) ou de nonchalance (ex : les mains dans les poches, etc.). Le langage du corps est tout aussi important que le verbe et donne aux autres de précieuses indications sur votre tempérament et votre personnalité.

Savoir écouter et s’exprimer

Un chef d’entreprise doit savoir écouter les autres, mais aussi ordonner, conseiller, expliquer et prendre les bonnes décisions. Evitez donc de parler trop rapidement ou nerveusement. Prenez votre temps et exprimez-vous en regardant votre interlocuteur dans les yeux, sans être insistant. Balayez de votre vocabulaire les termes trop techniques, à moins que vous ne sachiez pas les vulgariser. Evitez les interjections (euh, aaah, etc.), les onomatopées et les tics de langage (« n’est-ce pas ? », « voilà », « logiquement », etc.) qui ne traduisent que doute, embarras et approximation.

Ayez toujours sous la main une carte de visite élégante car elle n’est pas passée de mode et peut contenir un QR code

Celle-ci doit être imprimée de manière professionnelle, affichant clairement vos coordonnées, votre nom, celui de l’entreprise et votre fonction. Evitez les impressions faites à la maison sur du papier cartonné avec une imprimante grand public et de l’encre qui bave. Votre carte de visite est une petite partie de vous-même.

Créez votre propre logo

Ne reprenez pas ceux que vous trouverez dans votre logiciel de traitement de texte. Consacrez un budget à la création d’un logo représentant l’esprit de votre société et confiez cette mission à un professionnel.

Bichonnez votre profil sur les réseaux sociaux (LinkedIn etc.)

Prenez le temps de compléter toutes les rubriques, soyez aussi précis que possible sans en faire trop et sans en rajouter. Ajoutez une photo récente prise dans le cadre de votre activité. Elle ne doit être ni trop sérieuse, ni trop décontractée. Car quand vos clients et prospects chercheront des informations sur vous et votre société en ligne, c’est sur ces différents profils qu’ils tomberont en premier.

Mettez en ligne un site Web qui capte l’attention de vos interlocuteurs

Il sera la vitrine de votre entreprise et de votre activité. Là encore, confiez cette mission à un professionnel aguerri qui sera capable de respecter votre identité et de mettre en place une charte graphique qui vous ressemble. Inutile de charger la mule, décrivez simplement votre activité et vos offres, et soyez prêt à répondre à certaines demandes par mail.

La communication par l’objet a souvent du bon

Et elle contribue aussi à soigner l’image de l’entreprise. Outre les enveloppes et les papiers à en-tête, prévoyez la fabrication d’objets utiles que vos clients et prospects pourront garder avec eux. Le stylo est évidemment le premier auquel on pense, à condition toutefois d’éviter les stylos billes bas de gamme en plastique.

Soignez la décoration de votre bureau.

A fortiori vous allez recevoir de la clientèle. Portez une attention toute particulière aux ambiances lumineuses et aux sièges qui accueilleront vos clients. Ayez une machine à café à disposition et des outils de travail fonctionnels pour pouvoir répondre de manière efficace à leurs besoins.

Prévoyez un budget « cadeaux » pour vos clients et collaborateurs.

Boîtes de chocolat, vins, chèques-cadeaux, etc., différentes formules sont envisageables et leur permettront de constater qu’ils ont de la valeur pour vous.

La stratégie de l’océan bleu, toujours d’actualité ?

L’environnement dans lequel vous vous trouvez est concurrentiel et saturé, tous les produits se banalisent à force de benchmarker le voisin et la guerre des prix fait rage ! Il vous est impossible de dépasser vos grands concurrents et les opportunités de croissance s’amenuisent de plus en plus ! C’est ce que Kim Chan et Renée Mauborgne (auteur du livre la stratégie de l’océan bleu) appellent l’océan rouge.

Quel est donc le principe Océan Bleu ?

Le principe de la stratégie « Océan Bleu » de W. Chan Kim et Renée Mauborgne se résume en quelques mots : cessez d’entrer en compétition. L’affrontement en mode arène n’est pas la solution car l’on ne peut  jamais être vainqueur sans y laisser quelques « plumes ». C’est une dépense d’énergie délétère et de plus préjudiciable et même parfois mortelle pour l’entreprise : l’Océan Rouge, rouge comme le sang.

Quelle est la démarche stratégique ?

L’océan bleu calme et paisible c’est ce dont vous avez besoin, un marché non infecté par la concurrence où vous créez la demande, une croissance rapide et importante avec  de plus une concurrence inexistence puisque les règles du jeu sont encore à définir.

Cette démarche s’appuie sur les points suivants :
1. Rebâtir les frontières du marché
2. Privilégier les questions de fond plutôt que les chiffres
3. Viser au-delà de la demande existante
4. Bien réussir le séquencement stratégique

Voici 4 pistes à suivre pour embarquer dans cet océan de bonheur :

Les groupes stratégiques : créer une cartographie pour innover 

Une analyse classique qui consiste à regrouper par stratégie similaire plusieurs entreprises de secteurs concurrents afin de créer une cartographie qui vous permettra de mixer les caractéristiques de plusieurs groupes stratégiques. De cette manière vous pourrez faire ressortir un nouveau modèle stratégique plus innovant et efficace.

Les produits et services complémentaires : s’appuyer sur le cross-selling.

Cette piste s’appuie sur le principe du cross-selling, qui a pour but initial d’augmenter le panier d’achat du client en lui proposant d’autres produits. Elle est rarement utilisée comme tremplin pour modifier la valeur apportée à son marché. La question que vous devriez vous poser est : dans le contexte de l’usage de mon offre, quel élément déterminant de l’offre complémentaire devrais-je valoriser ? Vous devriez également vous intéresser à la totalité du cycle d’expérience c’est-à-dire l’avant, le pendant et l’après achat.

Les aspects fonctionnels et émotionnels : les équilibrer ou les modifier ?

Actuellement chaque secteur d’activité essaye d’équilibrer les aspects fonctionnels et émotionnels de leur offre. Mais ce qui serait plus judicieux serait de chercher un moyen de modifier radicalement l’équilibre fonctionnel/émotionnel accepté comme le standard du secteur.

Les grandes tendances à bien analyser

Toute les entreprises sont menées par le court terme et suivent les tendances sociétales, économiques et culturelles. Ne suivez plus mais essayez plutôt d’être acteur. Commencez par tenter de savoir à quoi ressemblera le marché si telle tendance est poussée à son ultime conséquence.

En bref….
« Le seul moyen pour écraser la concurrence est de ne pas essayer de l’écraser » en créant une nouvelle demande

Les développeurs s’échangent-ils comme des joueurs de football ?

Qui est apparu le premier, l’œuf ou la poule… Cette analogie pourrait être le point de réflexion sur qui dans une société naissante est le plus important entre le concepteur du produit ou le vendeur qui sera le générateur de liquidité ?

Dans son enquête annuelle intitulée « Les développeurs et leurs métiers », la plateforme de recrutement Codingame a dressé un classement des meilleurs salaires pour ces métiers de la tech en 2021. Devenir concepteur ou programmeur d’applications et logiciels informatiques, en 2021, c’est le jackpot ! Dans le baromètre 2019 des métiers les plus recherchés établi par LinkedIn, 10 des 15 jobs cités sont liés à l’informatique. Ainsi, dans son enquête annuelle, CodinGame révèle les métiers de développeurs les mieux payés et que le secteur de la sécurité est celui qui offre des salaires mirobolants, avec 45 900 euros de salaire annuel moyen, devant celui des nouvelles technologies, de l’assurance, de l’énergie ou encore de la finance. A noter que les développeurs de services informatiques, sont payés 30% de moins avec un salaire annuel moyen de 31 500 euros.

A savoir que les recruteurs s’intéressent de plus en plus aux profils atypiques. En effet, plus de 80 % d’entre eux déclarent recruter des développeurs qui n’ont pas de formation diplômante, et plus d’un professionnel sur trois se considère comme autodidacte, formé via des MOOC, des bootcamps, ou autres formations courtes.

Il est indéniable qu’au départ de toutes initiatives entrepreneuriales, l’entreprise se voit dessiner deux pôles importants qui sont : la partie innovation R&D et la partie Marketing & Commerciale

Vente versus Développement qui gagnera la mise ?

A voir les salaires des uns et des autres, il est clair que les commerciaux qui brillent se voient récompenser en monnaie sonnante et trébuchante immédiatement alors que les salaires des développeurs peinent à se voir réévaluer à la hausse chaque année.…

Néanmoins, cette tendance semble s’estomper depuis quelques temps du côté de la Silicon Valley où les développeurs de talent s’arrachent aux prix fort comme pourrait l’être un joueur de football international…au point que les Grands tels Apple, Yahoo, Google et Facebook ont un accord de principe de non surenchère des salaires pour éviter le débauchage à tout va.

A Quand la trêve de la surenchère des salaires entre Google, Apple, Facebook etc… ?

Cet accord tacite semble avoir trouvé ses limites avec toutes les dernières levées de fonds faites par ces jeunes pousses de ces dernières années qui se retrouvent à la tête d’une trésorerie de plusieurs millions de dollars.

Ce trésor de guerre qui est bien souvent destiné à la partie commerciale et marketing est de plus en plus partagé pour le renforcement des équipes techniques.

Ainsi la valse des développeurs a repris de plus belle en 2021 entraînant une hausse inévitable des salaires qui atteignent des sommets dignes des traders de New York…

Et oui, le vrai « héros » dans cette nouvelle économie est le concepteur qui ravit la place à ceux qui tenaient au préalable les finances.

Mais sans finance… Comment le business peut-il fonctionner ?

Le Marketing viral est-il en train de mettre fin aux commerciaux rois ?

Si nous reprenons les bases du commerce, nous arrivons à un schéma très simplifié qui se résume au processus qui commence par la conception du produit, le suivi de la production, et laisse la place aux commerciaux pour s’adresser aux clients.

Les gros succès de ces dernières années sont basés sur la même logique de vente, au détail près que les commerciaux ont été en partie remplacés par les outils de marketing en ligne donnant une visibilité directe aux clients finaux sans besoin de contact physique.

Une nouvelle génération de ventes vient de voir le jour complètement basée sur les technologies de « targeting » et de recommandation par le client lui-même auprès de son entourage. Ce changement radical dans la vente a mis en lumière qu’une simple société sans grands moyens marketing ou force de frappe commerciale peut largement générer des revenus avec une bonne technologie et stratégie de vente en ligne…mettant ainsi en avant les talents cachés et non valorisés des développeurs coupant des croupières petit à petit au prestige des commerciaux.

La viralité associée à la génération Zapping est le moteur de la course à l’innovation à tout prix ! Faisant le succès et les affaires des développeurs.

Il est clair qu’aujourd’hui il ne faut pas des millions d’euros au départ pour monter une entreprise à succès. Une simple idée, un ordinateur et un développeur font l’affaire. Cette simplicité est la source de milliers d’initiatives cherchant à répondre aux mêmes besoins du client final. 

Le client se retrouve ainsi avec un choix à foison aux qualités plus ou moins similaires et n’hésitant pas à aller sans vergogne d’un fournisseur à l’autre. Le client étant Roi et celui qui détient la « vérité » dans la vente finale, seules les start-ups avec un vrai service ou produit innovant feront la différence…cette différence ne peut venir que des développeurs…

Cette nouvelle génération web pousse ainsi les start-ups levant des fonds à investir dans les équipes techniques plus que dans les équipes commerciales pour mieux conserver leur avance sur leurs concurrents.

Cette tendance commence heureusement à toucher la France avec des ingénieurs qui majoritairement préféraient répondre aux sirènes des banques sachant récompenser leur ingéniosité à la hauteur de leurs études… Le risque est que les sirènes de la Silicon Valley ne soient plus fortes qu’en France et que l’on commence à voir un nouvel exode de nos talents !!

Néanmoins, la France reste un pays de contacts laissant encore de beaux jours aux commerciaux devant eux !

Travailler seul ou avec des salariés ?

Habitués à être le seul maître à bord, vous devrez à un moment donné recruter un ou plusieurs salariés si votre activité s’accélère ou si vous souhaitez davantage vous développer. L’idée ne vous séduit guère. Mais, pouvez-vous vous en exempter ? Etes-vous fait pour travailler seul ou avec des salariés ? Si ce n’est pas le cas, des solutions existent tout de même…

Nombreux sont les créateurs d’entreprises qui se lancent seuls dans l’aventure. Selon les données de l’APCE en Juillet 2013, seul 12%  des entreprises emploient des salariés. Autre chiffre tout aussi éloquent, celui de la projection d’embauche à un an. Ceux qui n’emploient pas de salariés au démarrage ne franchiront pas le pas au bout de 12 mois (47%). On peut dès lors s’interroger. L’entrepreneur est-il fait pour travailler seul ou avec des salariés. La réponse réside à la fois dans la personnalité de chaque dirigeant, mais aussi dans les projets… et la croissance de l’entreprise.

Seul à la création

Une personne qui crée son entreprise est en général animée par une motivation et de l’enthousiasme. Vous savez ? Ce goût d’entreprendre et de relever les défis. Alors, sommes-nous fait pour travailler seuls ? Même sans salariés, certains entrepreneurs ont besoin d’un soutien en amont. Ils bénéficient de soutiens au sein des pépinières d’entreprises, les incubateurs, …etc. D’autres, il est vrai, disposent de compétences et d’une expérience qui leur permet de tout gérer seul.

Chacun son style ?

Comme dans la vue privée, chacun choisit son mode d’existence. Certains entrepreneurs ne voudront mener leur barque qu’en « célibataire ». D’autres trouveront plus d’avantages (humains, gestion, …) à s’adjoindre les services d’une tierce personne. Là encore, tout est question de personnalités mais aussi d’opportunités. Créer une entreprise relève parfois de concours de circonstances qui vont vous amener à rencontrer la personne auquelle vous n’aviez pas pensé et qui dispose de compétences à réelle valeur ajoutée. Donc, quel que soit son profil, rien n’est figé en la matière ?

Se développer seul ?

Dans la réalité, toute entreprise qui est amené à se développer est indubitablement amenée à s’adjoindre les services d’un ou plusieurs salariés. Votre entreprise  est en phase de croissance. Se pose dès lors la question de l’embauche d’un premier salarié ? Même si certains dirigeants disposent de compétences pluridisciplinaires leur assurant une certaine autonomie, la charge de travail risque d’être difficilement surmontable. Habitué à travailler seul, vous allez devoir mettre à profit vos compétences en management.

Alors comment trouver sa moitié sans se tromper ?

Outre le profil de poste auquel vous avez réfléchi en amont, il s’agit de recruter la ou les candidats qui s’intégreront dans votre entité. Et surtout dont la personnalité matchera avec la vôtre… au quotidien. L’idéal est de faire appel à des cabinets de recrutement qui analyseront le profil du candidat via différents tests psychotechnique. Mais cela a évidemment un coût. A voir selon vos finances.

Que faire si ça ne va plus ?

Toutes les précautions ont été prises lors de l’embauche, mais les relations professionnelles avec vos nouveaux salariés sont quelque peu difficiles. Certains profils de salariés sont amenés à exercer leurs compétences au sein de petite structure alors que d’autres ont besoin de s’intégrer au sein de grande structure pour évoluer. Il en est de même pour vous, les entrepreneurs.

Pas de panique. Pour désamorcer une situation tendue mais aussi trouver des solutions pérennes pour le bien-être de chacun et la bonne santé de l’entreprise, un seul moyen : le dialogue constructif. Alors si vraiment l’idée d’avoir un salarié de façon pérenne vous rebute, pourquoi ne pas avoir recours à l’intérim ou encore à l’externalisation de certaines fonctions de l’entreprise (comptabilité, secrétariat, …). De quoi réduire vos coûts fixes structurels et tous les aléas liés au management en interne !

Le point mort ou seuil de rentabilité

Il existe des termes de comptabilité qu’il est difficile parfois d’appréhender. Focus sur point mort ou seuil de rentabilité.

Le point correspond au chiffre d’affaires nécessaire pour que l’entreprise commence à réaliser des bénéfices. On l’appelle également « seuil de rentabilité ». Il demeure essentiel pour connaître non seulement les ventes que vous devez réaliser chaque mois, voire le nombre de mois que vous devrez attendre avant que votre société ne soit rentable.

Autrement dit, il s’agit du moment où les ventes permettent de compenser toutes les charges variables (ou charges opérationnelles) et charges fixes (ou charges structurelles) durant un exercice. Il peut également être modifié pour être réalisé mois par mois si vous souhaitez savoir à partir de quel moment vous dégagez du bénéfice dans votre activité.

Il est utile de connaître son point mort afin de déterminer les ventes à réaliser par jour / par mois pour que l’entreprise soit bénéficiaire. Ainsi, Il peut notamment permettre de fixer des objectifs à atteindre et vous permettre de bien visualiser si vos fonds sont suffisants.

Pour le calculer : déterminer l’ensemble des charges

Calculer son point mort revient d’abord à déterminer l’ensemble des charges de l’exercice et les lister. Il s’agit de les diviser en deux catégories :

  • Déterminer l’ensemble des charges fixes : dépenses hors exploitations. Ce sont par exemple les loyers, salaires, charges sociales, primes d’assurance… Il s’agit des charges qui existent peu importe que vous fassiez des ventes ou non et que vous devrez payer de toute façon. Si votre chiffre d’affaires ne l’atteint pas, autant vous le dire tout de suite : vous n’êtes pas rentable du tout. Mais attention : ce n’est pas parce que vous couvrez vos charges fixes que vous êtes rentables car vous devez aussi prendre en compte les charges variables (voir explication ci-dessous)
  • Déterminer l’ensemble des charges variables : dépenses d’exploitation (découlant du niveau de ventes). Ce sont par exemple les approvisionnements, les frais de transport, le commissionnement sur ventes… Pour un exemple concret : si vous revendez des ordinateurs, vous devez prendre en compte que chaque ordinateur vendu, vous compte de l’argent à acquérir et que vous devez donc déduire son prix d’achat pour connaître votre marge hors charges fixes. Attention ici aussi : les charges fixes sont souvent négligées dans le calcul de la rentabilité et notamment le salaire des dirigeants qui se réfractent généralement sur toutes les ventes.

Quelques chiffres issus du point mort :

1/ La marge sur coût variable

Marge sur coût variable = montant prévisionnel des ventes – charges variables

2/ Le taux de marge sur coûts variables : % des ventes

Une fois la marge sur coût variable obtenue. Il s’agit de la diviser par le total des ventes (chiffre d’affaires) et de multiplier le résultat par 100.

3/ Diviser les charges fixes par le taux de marge sur coût variable

Ceci vous donnera le montant des ventes (chiffre d’affaires) qui permettra de payer toutes les charges fixes et donc vous permettra de calculer le point mort.

La positive attitude

L’attitude positive est un moyen exceptionnel de donner un coup de pouce à son entreprise. Cet art de vivre permet de retourner les soucis, contraintes et contretemps en autant de défis, ou de challenges à relever, tout en profitant des succès à leur juste valeur. Elle vous booste le moral et décuple votre productivité ainsi que celle de vos équipes.

Relâcher l’énergie négative et créer de la positive

Être créateur ou dirigeant d’entreprise est une aventure stressante par nature. Si vous voulez tenir le coup et ne pas faire fuir vos proches, mieux vaut trouver des exutoires, des soupapes que vous ouvrez pour évacuer le négatif.

Pour cela, n’hésitez pas à faire des activités différentes de votre quotidien de chef : faites du sport régulièrement, prenez le temps de lire ou engagez-vous en tant que bénévole au sein d’une association. Pratiquer ces activités d’entreprise vous permettra de vous aérer l’esprit et de déstresser.

Ces moments de détente ne représentent pas une perte de temps. Il s’agit d’accumuler de l’énergie supplémentaire pendant que vous vous réalisez par ailleurs. Vous décuplez votre productivité et évitez de devenir cette personne qui mine le moral de tout le monde en arrivant au bureau.

Relativiser, prendre du recul

Rappelez-vous qu’un simple changement d’état d’esprit permet souvent de transformer des situations de type perdant en une structure gagnant.

Que la situation soit difficile ou non, c’est votre manière de la prendre qui va déterminer si elle va vous affecter ou non. Un échec n’est souvent qu’un apprentissage. Il faut donc relativiser, prendre du recul et analyser la situation pour essayer de bien la comprendre, plutôt que de ruminer dessus.

Vous devez au maximum prendre le temps d’analyser et interpréter avec justesse, faire preuve d’empathie, et d’en ressortir le positif plutôt que de vous concentrer sur ce qui ne vous a pas satisfait. Là où vous restiez braqué sur un problème, vous vous retrouvez à le considérer tel qu’il est, avec du recul, et à décider comment agir ou réagir calmement. Vous pouvez décider de transformer un problème en un jeu de résolution par exemple.

Voir à long terme

On peut considérer un échec comme un facteur bloquant pour réussir son projet. On peut également voir une réussite comme l’élément déclencheur du succès du projet. Mais dans ces deux cas, on a généralement tort !

Un échec ou une erreur ne remettent que rarement en cause l’ensemble du projet. De la même façon, un seul succès, petit ou grand, ne garantit pas la réussite totale de l’entreprise. Il s’agit d’éléments qui vont jalonner toute votre vie d’entrepreneur alors autant les prendre avec recul.

A noter que quand on regarde a posteriori, on remarque souvent que la réussite se compose d’une succession d’erreurs, d’échecs, et de succès et ce n’est pas Thomas Edison, l’inventeur de l’ampoule électrique, qui nous contredira !

En adoptant une vision à long terme de sa société, on considère les erreurs et les échecs comme des apprentissages alors arrêtez de garder cette énergie négative et passez à la suite. Tous ces apprentissages vous permettent d’avancer et de progresser. C’est bien l’essentiel !

Faites de vos succès des facteurs d’encouragements, tout comme vos tentatives. Cette vision à long terme est d’un grand secours pour s’éviter des coups de cafard inutiles… tout autant que de rester les pieds sur terre quand une bonne nouvelle arrive (même si une petite victoire fait toujours plaisir).