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Maîtriser son langage corporel

Chez l’être humain, chaque geste est parole. La majorité des messages proviennent du langage corporel comme le démontrent de nombreuses études. Bien que les êtres humains ne s’en rendent pas compte, leurs gestes en disent beaucoup plus que leurs discours. Que ce soit lors d’un échange avec un ami ou un collaborateur, un discours en public ou encore un entretien d’embauche, la maîtrise du langage du corps s’avère indispensable. Alors comment faire pour maîtriser son langage corporel ?

Les formations à l’expression orale  rencontrent un véritable engouement car elles répondent à une demande croissante de collaborateurs  qui veulent se donner toutes les chances de réussir. Pour cela, ils ont pour objectif de surmonter leur trac, développer leur confiance en soi et harmoniser : voix, geste, posture, regard au discours et donc présenter clairement leurs idées et argumentations tout en maîtrisant leur posture.

L’importance de la maîtrise du langage corporel

La maîtrise du langage du corps constitue un véritable enjeu des relations contemporaines. Même en restant silencieux, le comportement permet de traduire des messages que ce soit à travers une posture, des expressions faciales, des regards ou encore des mouvements. Le stress et l’incapacité pour l’individu à gérer son langage corporel peuvent générer une image erronée ou un message faussé.

Éliminer les tics gênants

Que ce soit lors d’un discours en public ou d’un entretien d’embauche, l’orateur qui s’exprime de manière détendue arrive à retenir l’attention de son auditoire. Bien que vous pouviez réussir à retenir l’attention de votre auditeur, les gestes incohérents peuvent nuire au succès de votre discours en raison de quelques tics gênants : balancement, va et vient, grimace…

Rester vous-même

La maîtrise du langage corporel prévoit une règle d’or à ne pas négliger : rester soi-même. Il est impossible pour un individu de maîtriser l’ensemble de ses gestes s’il cherche à avoir une personnalité autre que la sienne. L’auditeur s’attend à une communication et un partage d’idées, et non à un spectacle dans lequel l’orateur émet des paroles enivrantes avec des phrases ampoulées. Restez donc vous même.

Exprimer son énergie

Pour utiliser au mieux votre langage corporel, vous ne devez pas hésiter à faire preuve d’enthousiasme, manifester votre passion. De cette manière, il vous sera plus facile de transmettre le message et de capter l’attention de votre auditoire.
L’expression de votre énergie peut se traduire par le rythme de la présentation, l’intonation ou la portée de votre voix et même les silences et respirations.

Veiller à rester en position d’ouverture

Lors d’une prise de parole, évitez de croiser les bras, les mains et les jambes. Ces positions manifestent un réflexe de protection et leur interprétation n’est jamais en faveur de l’orateur. Les professionnels en matière de langage corporel les traduisent comme un manque d’ouverture envers les autres, un signe de fermeture et d’absence de partage. En évitant ces positions, l’orateur peut d’ailleurs plus facilement exprimer son enthousiasme.

Avoir confiance en soi

La confiance en soi permet à l’orateur de se soustraire de toutes formes de stress. Le stress peut vous faire perdre le fil de vos idées, vous rendre nerveux et gâcher votre discours. Vous ne devez en aucune manière montrer de l’hésitation faute de quoi, vous risquez de perdre l’attention de votre interlocuteur. Pour éviter cela, préparez vos interventions. La préparation varie selon qu’il s’agit d’un discours en public, d’un entretien ou encore d’un rapport auprès du conseil d’administration. S’entraîner chez soi en recourant à l’assistance de vos proches s’avère un moyen fiable et, très souvent, efficace.

Construire sa réputation numérique, les 6 étapes à suivre

Détenir une bonne image sur le web constitue plus qu’une simple tendance pour les professionnels. Cela est devenu indispensable afin de garantir le développement de l’entreprise ainsi que celui des projets qu’elle met en œuvre. Construire sa réputation numérique demeure néanmoins un vrai parcours du combattant. Le respect de ces quelques étapes s’impose. 

Procéder à l’évaluation de sa réputation numérique

Avant toute chose, il est nécessaire de procéder au diagnostic de sa réputation numérique. Pour déterminer la popularité de l’entreprise ou de la marque sur le web, il suffit de saisir son nom dans le moteur de recherche. Les professionnels peuvent d’ailleurs user d’outils en ligne leur permettant de déterminer le niveau de leur e-réputation. La stratégie à adopter doit tenir compte du résultat obtenu.

Définir et élaborer le message à transmettre aux internautes

Le professionnel dispose de multiples outils lui permettant de forger sa réputation numérique. Il doit établir une stratégie méthodique et organisée en fonction des objectifs de l’entreprise. Les caractéristiques des messages varient selon si elles visent à positionner l’entreprise en tant qu’experte dans le domaine où elle exerce, à recruter de nouveaux salariés ou à fournir conseils et astuces…

Protéger son nom

Afin d’éviter qu’un nom similaire à celui de votre entreprise n’occupe les premières pages sur les moteurs de recherche, il convient de protéger son patronyme. Pour ce faire, il faut réserver un nom de domaine et choisir un pseudo non recensé. Ainsi, avant de choisir son nom de domaine, il faut déterminer sa disponibilité sur tous les réseaux. L’affirmation de son identité numérique s’avère indispensable pour éviter qu’un homonyme du nom de l’entreprise ou de la marque n’entrave sa réputation.

Nettoyer les virus

Pour éviter de compromettre sa réputation numérique, le professionnel doit supprimer les contenus désavantageux (s’ils existent) sur son site, notamment ceux qui constituent des propos diffamatoires et mensongers. Il faut néanmoins éviter de supprimer les critiques constructives, car elles permettent à l’entreprise de corriger ses erreurs et d’améliorer ses offres. Pour dissimuler les contenus négatifs sur la toile, l’entreprise peut les noyer avec des contenus positifs et des liens. Pour cela, il faut assurer une présence très active sur les forums, les blogs, les réseaux sociaux…

Selon la Cnil, « La loi française et européenne mettent à disposition de chaque citoyen un éventail de droits qui permettent d’effacer les traces gênantes laissées sur internet. Il existe même des entreprises « nettoyeuses de réputation » qui proposent des services payants pour aider les internautes à supprimer ou à occulter d’Internet certaines informations gênantes. »

Assurer sa présence sur les réseaux sociaux

L’avènement des réseaux sociaux constitue un tournant important pour le monde du web. Incontournables pour les professionnels, les réseaux sociaux offrent un excellent référencement au site. LinkedIn, un des réseau sociaux typiquement professionnels, permettent à l’entreprise de rentrer directement en contact avec des partenaires potentiels, ou de trouver facilement de nouveaux collaborateurs. En France, en 2023, LinkedIn compte plus de 28 millions de membres et 13,5 millions de membres actifs mensuels estimés (et 9 900 000 utilisateurs actifs mensuels moyen de janvier à juin 2023 selon le Transparency Report de LinkedIn  ce qui en fait le 6ème réseau social. 500 000 entreprises ont une page LinkedIn.À part cela, elle doit assurer sa présence sur d’autres réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Google+…

Tenir compte des besoins des internautes (prospects et clients)

Être en contact avec des internautes, notamment les clients et potentiels clients, permet à l’entreprise d’avoir connaissance de la nature de leur demande. Dans ce contexte, elle peut leur fournir des offres adaptées à leurs besoins. Avec une telle stratégie, l’entreprise peut assurer la fidélisation des internautes qui ne peuvent plus se passer de son site, car ils y trouvent tout ce dont ils ont besoin.

Les clés pour prévenir les difficultés en entreprise

Votre entreprise connaît-elle certaines difficultés, ou se trouve-t-elle dans une impasse ? Qu’importe la situation à laquelle vous faites face, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Vous avez toujours l’occasion d’y remédier. 

Si vous êtes au moment même de la constatation du problème, la meilleure chose à faire serait de prendre des mesures immédiates afin d’éviter à tout prix la faillite. En cas de difficultés, il n’est jamais trop tard pour réagir. Pour ce faire, plusieurs moyens sont à votre disposition dans le cas où vous sentez que votre entreprise va très mal.

Comment prévenir les difficultés ?

En premier lieu, si vous constatez un léger changement au niveau de la situation financière de votre entreprise, vous pouvez tout de suite consulter un conseiller bancaire. En effectuant son travail en toute transparence, il est apte à vous donner son avis sur l’état financier de votre entreprise. Cependant, il faudra éviter qu’il s’immisce dans votre gestion.

Par ailleurs, vous aurez sûrement besoin de l’aide d’un expert-comptable ou bien d’un Centre de Gestion Agréé (CGA). Celui-ci est un organisme dont l’objectif est de fournir aux entreprises industrielles, commerciales, artisanales et agricoles une aide technique en termes de gestion/prévention des difficultés économiques et financières de leurs adhérents, d’assistance et de prévention fiscales et de formation. Pour les professions libérales, ce rôle appartient aux associations agréées (AGA).

Ces derniers peuvent vous aider à constater l’apparition d’éventuelles difficultés financières. De ce fait, vous analyserez la comptabilité de votre société en amont, ce qui vous permettra d’éviter de mauvais résultats.

Vous pouvez aussi faire appel à des Groupements de Prévention Agréés (GPA) qui vont vous apporter leur aide en analysant méticuleusement votre situation financière et comptable. Par son rôle, ce groupement vous basculera vers un spécialiste des sociétés en difficultés qui vous proposera, à son tour, des solutions adéquates.

Les procédures en cas de difficultés

A priori, lorsque votre entreprise se trouve en difficultés, vous pouvez engager la procédure Ad Hoc où vous obtiendrez des solutions à la fois juridiques, financières ou économiques. Par contre, le mandataire Ad Hoc ne pourra être réclamé que si votre entreprise n’est pas encore en état de cessation de paiement.

Vous avez également à votre disposition la procédure de conciliation dont le but est de rechercher un accord à l’amiable avec vos créanciers principaux. Cependant, cette solution n’est recevable que pour les entreprises ayant des problèmes financiers gérables. De plus, dans ce cas, vous devrez être en état de cessation de paiements depuis 45 jours et pas plus.

La procédure de sauvegarde

Comme troisième option, vous pouvez engager une procédure de sauvegarde qui consiste à établir un plan de sauvegarde pour votre entreprise. En effet, cela concerne l’apurement de tous vos éléments passifs. Vous pouvez en faire la demande dans le cas où, sans être en cessation de paiements, vous « justifiez de difficultés que vous n’êtes pas en mesure de surmonter » (selon l’article L 620-1 du Code de Commerce). Pour ce faire, un juge-commissaire, un administrateur judiciaire, suivi d’un mandataire judiciaire vous seront envoyés par le tribunal.

Il est important de savoir qu’il existe une organisation officielle pouvant vous venir en aide gratuitement comme le CODEFI ou Comité Départemental d’Examen des problèmes de Financement des entreprises. Il a pour mission d’orienter les entreprises qui rencontrent des problèmes de financement.. Celui-ci aide les entreprises en difficulté à élaborer et à mettre en œuvre des solutions permettant d’assurer leur pérennité et leur développement. Ainsi, le CODEFI peut accorder, sous conditions, un audit permettant notamment de valider les hypothèses de redressement de l’entreprise ou un prêt permettant de financer sa restructuration. Toutes les entreprises de moins de 400 salariés, quels que soient leurs secteurs d’activité économique, peuvent bénéficier de ce dispositif.

L’entreprise en difficulté doit saisir le CODEFI dans le ressort duquel se situe son siège social. Pour cela, elle doit s’adresser soit au secrétaire permanent du CODEFI à la Direction départementale des finances publiques, soit au Commissaire aux Restructurations et à la Prévention des difficultés des entreprises (CRP) de sa région.

Il essayera d’examiner votre cas et vous conseillera les mesures à prendre de façon discrète. Cela dit, ce comité ne pourra vous apporter son aide que si vous avez moins de 400 salariés dans votre entreprise.

Comment gérer les impayés

Tout chef d’entreprise risque, un jour ou l’autre, de se retrouver confronté à des impayés. D’où l’importance de connaître les mesures à prendre pour réduire cette possibilité et pour recouvrer les sommes non réglées à l’échéance convenue avec le client.

Selon la Coface, en 2023, 97% des entreprises françaises ont accordé des délais de paiement à leurs clients, avec un délai moyen de 48 jours. Malgré cela, 82% des entreprises ont subi des retards de paiement au cours des 12 derniers mois. La majorité d’entre elles déclare qu’ils ont même été plus longs et plus fréquents. Cela entraîne une nette hausse des défaillances d’entreprises. Pour éviter de se retrouver dans cette impasse économique et juridique, il convient aussi et surtout d’être très vigilant et rigoureux tout au long de la relation d’affaires avec le débiteur.

Pour limiter efficacement ses risques d’impayés, il est nécessaire de définir une stratégie de gestion des impayés et du recouvrement et , d’identifier en amont les situations potentiellement à risques.

Évitez les impayés par l’analyse du risque

Lorsqu’un nouveau client vous demande de lui accorder un crédit, il est indispensable d’analyser sa solvabilité. Vous pourrez utiliser les mêmes méthodes qu’un banquier, qui doit étudier une demande d’autorisation de découvert présentée par un chef d’entreprise. En conséquence, vous devrez demander à ce nouveau client de vous présenter les documents suivants :

Ensuite il vous faudra analyser ces documents en étant surtout attentif aux éléments suivants :

  • le niveau des fonds propres, par rapport aux capitaux permanents et au total du bilan. Il faut que les fonds propres soient au moins égaux aux dettes à moyen et long terme
  • le niveau de l’endettement à terme par rapport au cash-flow et la capacité d’autofinancement de l’entreprise. Le total des annuités de remboursement des emprunts à terme ne doit pas dépasser la moitié de la capacité annuelle d’autofinancement
  • le fonds de roulement et les besoins en fonds de roulement. Il faut que le fonds de roulement permette au moins de financer les stocks et que le recours au crédit bancaire à court terme ainsi qu’à ceux accordés par les fournisseurs ne soit pas excessif
  • enfin, en ce qui concerne le compte de résultat, il vous faudra vérifier si l’activité de l’entreprise est suffisamment rentable, si l’entreprise maîtrisent les frais généraux et si les frais financiers ne dépassent pas un pourcentage raisonnable du résultat d’exploitation

Si votre nouveau client est un créateur d’entreprise, demandez-lui de vous présenter son business plan ainsi que l’avis de l’expert-comptable auquel il doit avoir présenté son projet.

La gestion amiable des impayés

Si un client ne paie pas à l’échéance convenue, ne tardez pas à lui envoyer une lettre de rappel. Si cette démarche est suffisante et si vous n’avez connaissance d’aucun élément préoccupant concernant sa situation financière, vous pouvez poursuivre la relation sans problème. En revanche, si le retard de paiement dépasse un mois, il y a un risque important pour que votre client soit de mauvaise foi ou pour que sa situation financière ne soit pas bonne. En conséquence, il faut le contacter par téléphone en vue d’essayer de négocier avec lui. Demandez-lui quelles sont les raisons pour lesquelles il pourrait ne pas être satisfait de votre prestation ou quelles sont les causes de son retard de paiement. Pensez aussi à vous renseigner auprès du Tribunal de commerce pour vérifier s’il n’a pas fait l’objet d’une inscription de protêt ou de privilège du Trésor ou d’un organisme social.

Si ces démarches et si votre négociation avec votre client vous permettent de penser que sa situation financière peut se redresser, mettez en place avec lui un protocole destiné à permettre le paiement de sa dette envers vous.

Les démarches judiciaires

Si vous constatez que votre client ne donne pas suite à vos démarches ou qu’il refuse toute négociation, une procédure judiciaire constitue alors la seule solution. Vous pouvez demander au président du tribunal de commerce de rendre une ordonnance d’injonction de payer. Vous joindrez à votre requête le bon de commande signé par votre client, la facture ainsi que les copies des lettres de rappel et de la mise en demeure que vous lui avez adressées.

Une fois que l’ordonnance du tribunal rendue, vous devez la faire signifier au débiteur par un huissier dans un délai de six mois. Si le client ne fait pas opposition dans un délai d’un mois, vous pouvez faire revêtir l’ordonnance de la formule exécutoire. Vous pourrez aussi demander à un huissier de lui signifier un commandement de payer. Huit jours après cette démarche, vous pouvez demander à l’huissier de rechercher les comptes bancaires que possède votre débiteur en interrogeant le fichier dénommé FICOBA, tenu par la Direction générale des finances publiques. Ce fichier national des comptes bancaires et assimilés liste tous les comptes bancaires ouverts en France : comptes courants, comptes d’épargne, comptes-titres, etc. FICOBA liste également les coffres-forts loués en France. Cette demande d’accès est gratuite. Toutefois, les procédures d’accès sont différentes selon la personne à qui appartient le compte bancaire concerné par la demande.

Ensuite, il sera possible de faire saisir toutes les sommes déposées sur les comptes bancaires du débiteur.

Je ne dors plus à cause de mon travail, que faire ?

« Le sommeil est la moitié de la santé ». Comme le stipule ce proverbe français, une bonne santé se construit à base d’un train de vie sain et d’une bonne dose de sommeil. Toutefois, il arrive trop souvent que les gens soient confrontés à l’insomnie. Stress, troubles alimentaires, tabagisme et oisiveté sont les principales causes de cette absence de sommeil. Alors qu’il existe plusieurs facteurs déclencheurs, le travail demeure la raison primaire de l’insomnie. Comment faire pour remettre les pendules à l’heure et gérer cette situation contraignante ? Conseils.

« Dans 20 ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faîtes que par celles que vous avez faites. Alors sortez des sentiers battus. Mettez les voiles. Explorez. Rêvez. Découvrez. »

Mark Twain

Je ne dors plus à cause de mon travail, mais pourquoi ?

La crainte de décevoir ses collaborateurs, le manque de confiance en soi, les rancœurs pour les collègues et la peur de rater un gros contrat viennent perturber les nuits de sommeil. Toute cette anxiété finit par peser lourd, qui font rapidement de vous une véritable victime de l’insomnie. Entre la journée non-stop, l’anticipation d’une négociation délicate avec un client et la crainte d’avoir affaire à un collaborateur ou client désagréable, d’autres facteurs conduisent à une baisse de régime conséquente. Comme chaque problème a sa solution, voyons les quelques astuces infaillibles pour combattre ce malaise.

« L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres. »

Confucius

Un dossier à terminer en une nuit

L’heure tourne et vous n’avez pas encore touché au dossier à soumettre le lendemain ? Pas de panique, il faut juste savoir se préparer à travailler. Le but est d’apaiser l’organisme en privilégiant les douches tièdes, des boissons chaudes et le fait de marcher pieds nus. Le contact du corps au sol froid permet de baisser la température du corps et de préparer ce dernier à se mettre au travail. En prenant du temps pour vous relaxer, vous parviendrez à mieux cerner vos objectifs et à les atteindre. Évitez surtout de vous mettre devant l’ordinateur juste après le diner, car cette action a tendance à provoquer la somnolence.

« Ils ne savaient pas c’était impossible alors ils l’ont fait ».

Mark Twain

Négociation complexe avec un client

À la veille d’une négociation d’une importance capitale, il arrive parfois d’être stressé et anxieux. Pourtant, tout devrait aller bien : le dossier est prêt, les arguments sont choisis et les embuches préconisées. Pour éviter de perdre confiance en vous, essayez de vous imaginer un scénario. Choisissez d’ores et déjà les vêtements, l’ambiance et l’environnement de la négociation. Chassez toutes pensées négatives et jouez plus sur la positivité. Dites-vous que vous avez déjà tout préparé et grossissez les problèmes qui pourraient survenir et trouvez-y une solution. Finalement, nourrissez-vous d’une bonne dose de confiance en vous-même et tout se passera comme sur des roulettes.

« L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres. »

Confucius

Petite accroche avec un de vos associés

Il faut être clair là-dessus. Il n’est pas toujours évident de faire face à ses associés. Pendant que certains se montrent trop curieux, d’autres jouent la carte de l’hypocrisie. Lorsque vous avez une altercation avec un de vos associés, il est tout à fait normal d’y repenser. Toutefois, une fois le temps passé et une fois à la maison, il faudrait éviter de ruminer sur ce désaccord. Si vous commencez à penser aux phrases que vous auriez pu lui sortir à ce moment donné, vous risquez de ne pas dormir. À la place, tentez de vous relaxer, en vous allongeant et en fermant les yeux. Cette forme de méditation englobe une bonne respiration, l’évacuation du stress et favorise nettement le sommeil. Dites-vous que vous saurez gérer cette situation dès demain, sans rancune et sans colère.

« Quand tout semble aller contre toi, souviens-toi que l’avion décolle contre le vent, pas avec. »

Henri Ford

La relaxation, le maître mot pour combattre l’insomnie

La longue journée de travail touche à sa fin et vous avez l’impression d’être toujours dans le bain ? No stress, car il existe plusieurs formes de relaxation adaptées à chaque personne. Le tout est de faire revivre les cinq sens, en pratiquant du sport, du jardinage, de la cuisine ou encore de la lecture. Ces activités peuvent sembler banales, mais il est essentiel de reconnaître leurs bienfaits. Prenez du recul et accordez-vous un bon moment de répit et de détente. Ainsi, vous parviendrez à bénéficier d’une bonne nuit de sommeil et vous serez prêt à reprendre tranquillement le chemin du boulot, avec des pensées sirotées de positivité !

« Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit que se préoccuper de la meilleure manière d’aller de l’avant. »

Paulo Coelho

Pourquoi choisir la cooptation ?

Certes, le taux de chômage ne cesse pas d’augmenter. De nombreux recruteurs admettent pourtant avoir des difficultés à trouver le salarié idéal. Repérer des candidats dont les intérêts peuvent coïncider avec ceux de l’entreprise devient un véritable parcours du combattant. Par conséquent, les recruteurs se trouvent dans l’obligation d’adopter des stratégies telles que la cooptation pour optimiser leur système de recrutement.

Qu’est-ce que la cooptation ?

La cooptation consiste à recruter ses collaborateurs via ses propres salariés et collaborateurs en faisant usage de leurs réseaux et contacts. Pour assurer le succès de ce système, il convient de choisir des salariés intègres qui représentent d’excellents prescripteurs pour trouver les nouvelles recrues aptes à assurer le développement de l’entreprise. Cette pratique demeure la solution idéale pour garantir un recrutement de qualité et limiter le budget y afférent.

Bien établir la différence entre cooptation et piston

Il ne faut pas confondre la cooptation avec le piston. Dans le cas d’une cooptation , un entretien évalue les compétences et les soft skills du candidat après la recommandation. Le coopté n’est embauché que s’il correspond au poste. À contrario, dans le cas d’un piston , le candidat est embauché sans tenir compte de ses compétences réelles. C’est un recrutement toujours mal vécu au sein d’une entreprise, car il signifie favoritisme. Cependant, si un collaborateur présente un candidat qui se révèlera incompétent, il devra en subir les conséquences…

Comment fonctionne la cooptation ?

Le principe consiste à valoriser ou à gratifier les salariés qui arrivent à trouver le candidat idéal pour le poste à pourvoir. Cette pratique manifeste une similarité avec le système de parrainage. Le salarié joue le rôle du parrain. Si le candidat satisfait aux besoins de l’entreprise, celle-ci peut accorder une prime ou un bon cadeau au parrain en guise de remerciement. Bien que le candidat soit recommandé par un salarié intègre au sein de l’entreprise, il doit passer par toutes les étapes de recrutement, notamment le test d’embauche et l’entretien.

Atouts de la cooptation

La cooptation permet de transmettre l’information relative au recrutement aux salariés et à leurs contacts avant qu’elle n’arrive sur un domaine public. Ainsi, ils peuvent découvrir l’offre avant qu’elle ne soit accessible au grand public. Cela permet à l’entreprise d’éviter de recevoir des CV banals qui ne correspondent nullement à ses attentes. En principe, les salariés ne proposent que les candidats les plus à même d’assurer la responsabilité attribuée au poste à pourvoir. Ce qui implique que l’entreprise bénéficie de candidats dotés d’une meilleure qualification non seulement en termes de compétences, mais surtout de personnalité. À part cela, ce système procure un énorme gain de temps à l’entreprise en raison de la rapidité de la transmission des informations.

Cooptation : un système de recrutement très efficace

Le taux de réussite augmente chez le candidat coopté. Ainsi, bon nombre d’entreprises admettent que les nouvelles recrues cooptées assurent avec aisance et responsabilité leurs missions. Ce qui contribue incontestablement au développement de l’entreprise. En outre, la nouvelle recrue a une dette morale envers le salarié qui l’a recommandé à l’entreprise. Pour présenter sa reconnaissance, elle se doit de s’engager dans ses missions avec intégrité.

Exploitation du système de cooptation

Actuellement, la cooptation ne se limite plus au sein de l’entreprise. Des sites professionnels mettent à la disposition des entreprises des outils en ligne leur permettant de dénicher les meilleurs candidats pouvant répondre à leurs besoins. Dans certains cas, les entreprises diffusent leurs offres sur ces sites en contrepartie du paiement d’une certaine somme. Dans d’autres cas, les sites web reçoivent une prime pour toute candidature conclue. Cependant, à la différence de la cooptation pratiquée au sein de l’entreprise, la cooptation sur Internet peut toujours présenter des risques en termes de qualité par rapport aux individus qui se portent candidats au poste à pourvoir.

Comment rendre sa stratégie marketing plus efficace ?

Le marketing joue un rôle important dans le développement de l’entreprise. Il constitue un art qui exige savoir-faire et expérience. Pour le rendre d’autant plus efficace, le manager ne doit pas se contenter d’appliquer le plan marketing initial. Il doit redéfinir sa stratégie marketing selon l’évolution des besoins des consommateurs ainsi qu’en fonction de la tendance du marché et des imprévus. Mais comment rendre sa stratégie marketing plus efficace ? 

L’analyse clients/business

KPMG présente avec l’AFRC une analyse du rôle stratégique de l’Expérience Client aujourd’hui avec la diffusion du classement inédit et multi-secteur de la performance Expérience Client des marques. « Tous les leaders de l’expérience client ont un point commun : ils sont obsédés par le client. « .

Quant à Deloitte, il dévoile la 2ème édition de l’étude Customer Experience Drivers.

Cette étude de la satisfaction client réalisée auprès d’un panel international de 7000 clients, a permis d’identifier les principaux leviers de satisfaction client :dans les secteurs suivants : commerce de détail (non alimentaire), dans le secteur bancaire, assurantiel, du divertissement, des biens de consommation, des transports, des télécommunications et de la santé. Les attentes des clients sont de plus en plus fortes en termes de réactivité et de gestion personnalisée de leurs problèmes. 69% des consommateurs considèrent qu’une expérience personnalisée influencerait positivement leur fidélité. En effet, un client qui se sent écouté et pris en charge, quelle que soit la difficulté, sera susceptible de retrouver de la satisfaction dans un moment d’insatisfaction et renforcer son lien envers la marque.  Si la digitalisation est un atout , elle présente des freins par exemple dans les délais de réponse apportées ou encore dans le suivi du traitement de la demande.

L’analyse clients/business s’avère indispensable pendant la conception du projet d’entreprise. Cette étape consiste à redéfinir les enjeux, les opportunités ainsi que les priorités afin de mener à bien le projet. Elle détermine les points forts de l’entreprise pour compléter ses faiblesses et déterminer les meilleures stratégies marketing possibles. Pour garantir la fiabilité du résultat de l’analyse, la mise en place d’un rappel du positionnement marketing de la société ainsi que celui du client demeure indispensable.

Déterminer l’objectif marketing et redéfinir la stratégie

Durant la mise en place du plan marketing, l’entrepreneur doit déterminer ses objectifs qui se trouvent rattachés aux objectifs stratégiques et financiers de l’entreprise. Mais surtout, il doit savoir anticiper les éventuels obstacles dont l’entreprise pourrait avoir à faire face au cours de la réalisation du projet. Et ce, malgré le fait que le plan marketing a déjà été étudié au préalable. Pour garantir le succès de ce dernier, le manager doit constamment redéfinir sa stratégie marketing pour affronter la concurrence.

Ce qu’il faut savoir d’un point de vue stratégique

La redéfinition de la stratégie d’entreprise doit prendre en considération les actions prioritaires ainsi que les risques les plus imminents. Le remaniement de la stratégie n’implique pas la modification de l’intégralité du plan marketing. L’entrepreneur ne doit modifier que les éléments ne correspondant pas aux objectifs stratégiques et financiers de son projet. Dans l’étude réalisée par Deloitte , il apparaît que la conversion du prospect en client est une étape décisive. Si les éléments comme le prix ou la qualité, sont déterminants au moment de l’achat, les éléments émotionnels comme la confiance, la fiabilité, le sentiment de sécurité sont également essentiels. 

Approfondir le contrôle des activités marketing

Le contrôle ne consiste pas uniquement à vérifier la régularité des opérations, il vise également à évaluer les actions en fonction de leurs caractéristiques. Pour assurer le succès du projet, l’entrepreneur doit optimiser les actions les plus efficaces, et éliminer celles qui n’apportent rien à l’entreprise. Ainsi, il doit prévoir des solutions alternatives pour résoudre les actions improductives.

L’innovation de la stratégie

L’innovation devient impérative dans le cadre d’un marketing plus efficace, dans le but de permettre à l’entreprise de répondre correctement aux besoins de ses clients. Elle consiste à intégrer les nouvelles approches marketing (les réseaux sociaux, l’animation des communautés sur Internet…) dans les plans d’action marketing de l’entreprise. L’entrepreneur peut concilier le marketing traditionnel et les innovations issues du développement technologique pour générer davantage de résultats.

L’innovation en matière de produits et de services

L’entrepreneur doit disposer d’une certaine part de créativité afin de répondre aux besoins de ses consommateurs. Étant donné l’importance de la place qu’occupe la concurrence sur le marché, il faut mettre à la disposition de ses clients des produits personnalisés et de bonnes qualités, dans l’idée de proposer un meilleur rapport qualité-prix. Le service rendu doit être à la hauteur des attentes des consommateurs les plus exigeants.

Démarche commerciale : les fautes de communication à ne pas commettre

En tant qu’entrepreneur, vous êtes très certainement un expert dans votre domaine professionnel. Même si vous n’êtes pas un commercial dans l’âme, ce qui n’est d’ailleurs pas forcément votre vocation première, vous pouvez cependant éviter certaines fautes de communication qui tiennent du bon sens. Celles-ci peuvent vous faire perdre des contrats si vous ne les appliquez pas. Explications.

Dans cet article, il ne s’agit pas de donner des conseils mais plutôt de suggérer des attitudes, des actions qui peuvent servir de guide dans les relations avec les clients. Souvent on applique l’une mais pas l’autre. A vous de voir !

Vulgarisez votre offre commerciale

Bien souvent, et particulièrement si l’entrepreneur intervient dans un secteur d’activité plutôt technique, le client n’est pas à même de comprendre la moitié de ses explications à moins d’être un peu éclairé sur son domaine d’intervention. Pour cela, il est important de vulgariser votre technicité, c’est-à-dire d’apporter une solution et des explications claires au client.

Cela passe bien évidemment par l’oral lors de la rencontre avec celui-ci, mais également par l’écrit lors de la rédaction du devis. Bien évidemment les termes spécifiques sont importants car ils prouvent votre professionnalisme, mais ils peuvent aussi faire peur s’ils ne sont pas compris. Pensez-donc à utiliser un vocabulaire simple et explicite pour le client.

Comme lui, vous êtes mal à l’aise et parfois sceptique quand votre expert comptable ou votre conseil juridique utilise des termes qui pour vous s’apparente à une autre langue.

Mettez-y les formes

A cette étape, nous évoquons les formes par lesquelles vous transmettez vos devis au client, ou d’ailleurs vos factures ou toute autre communication. Là encore, certains entrepreneurs manquent de professionnalisme dans cette démarche.

Sans parler de la forme du devis en lui-même, certaines formules sont indispensables avec l’envoi de votre proposition. Si vous la transmettez en pièce-jointe d’un email, il est important de mettre un objet et un message d’accompagnement par lequel vous restez à la disposition du client pour toute question éventuelle. Impossible diront peut-être certains d’entre vous que cela arrive. Certes étonnante, cette situation arrive pourtant fréquemment. Il en va de même si vous envoyez votre devis par courrier postal. Vous pouvez intégrer un courrier en complément ou tout simplement votre carte de visite. C’est une petite attention pour le client qui peut faire la différence.

Suivez vos devis

Le suivi des propositions commerciales est très certainement le point noir de nombreux entrepreneurs, qui souvent n’ont pas suffisamment de temps pour procéder à cette tâche, étant principalement occupés par leurs missions sur le terrain avant d’être au bureau pour les affaires administratives.

Elle est néanmoins essentielle et plusieurs études ont démontré qu’un tiers des devis n’aboutissaient pas faute de suivi après transmission. Le chiffre est impressionnant et intéressant, notamment si on recherche à savoir quels sont les critères de décisions des clients. Envisagez donc de dégager un peu de votre temps pour vous consacrer à cette mission, ou optez pour un autre mode d’organisation, en externalisant cette tâche par exemple.

Affinez votre sens du relationnel en général

Enfin, même si vous n’êtes pas un pro de la démarche commerciale, attachez-vous à adopter des attitudes professionnelles. Un des fondamentaux, par exemple, est de toujours répondre à une sollicitation, même si vous n’avez pas le temps ou les moyens nécessaires. Il ne s’agit pas de faire une offre commerciale systématique, mais simplement d’indiquer à votre interlocuteur que vous n’avez pas le temps suffisant actuellement pour répondre à sa demande. Cette réponse, même négative, laisse la porte ouverte pour l’avenir. Combien de professionnels laissent encore aujourd’hui des sollicitations par email sans suite car ils ne peuvent y satisfaire à l’instant T ? C’est qu’ils ne considèrent le ressenti que pourra avoir leur interlocuteur qui ne s’adressera jamais plus à leur entreprise, alors que demain cette dernière pourrait être intéressée par les affaires potentielles qu’elle pourrait faire avec lui.

EUR/USD et USD/EUR : quelles différences ?

L’euro (EUR) et le dollar américain (USD) se hissent au sommet du classement des monnaies les plus populaires en termes de volume d’échanges sur les marchés financiers mondiaux. La paire de devises EUR/USD est donc la plus négociée et la plus liquide. Cependant, une autre paire impliquant ces deux devises mondiales majeures existe : l’USD/EUR. 

Est-elle aussi populaire que l’EUR/USD ? Quelles sont les différences entre l’EUR/USD et l’USD/EUR ? Comment se fait le choix de la devise de base ? 

Voici ce que tout investisseur devrait savoir sur ces deux paires de devises pour maximiser ses opportunités de trading impliquant l’EUR et l’USD.

Devise de base et devise de cotation

Sur le marché des changes, le Trading se fait toujours par paire de devises, incluant une devise de base (la première devise dans la paire ou le numérateur) et une devise de cotation ou de contrepartie (la deuxième devise dans la paire ou le dénominateur).

Dans le cas de l’EUR/USD :

  • l’euro (EUR) est la devise de base
  • et le dollar américain (USD) est la devise de cotation.

Le taux de change d’une paire de devises reflète donc la quantité de la devise de cotation qu’il faut vendre/acheter pour acheter/vendre une unité de la devise de base.

Si un investisseur fait du Trading sur Forex et que le taux de change EUR/USD affiché est de 1,05, alors cela signifie que 1 EUR permet d’obtenir 1,05 USD.

Quand un investisseur pense qu’une paire de devises va augmenter, il peut décider d’ouvrir une position d’achat (ou position longue) sur cette paire. Dans ce cas, il achète la devise de base tout en vendant simultanément la devise de contrepartie.

À l’inverse, si le scénario principal de cet investisseur est la baisse de la paire de devises en question, il peut ouvrir une position de vente à découvert (ou position courte) sur la paire. Il va ainsi vendre à découvert la devise de base et acheter simultanément la devise de contrepartie.

Bien sûr, les Traders n’ont pas à effectuer manuellement ces opérations. Le courtier s’en charge à chaque fois qu’une position d’achat ou de vente est ouverte ou fermée sur sa plateforme de Trading.

Le choix de la devise de base

Lorsque les Traders font leurs premiers pas sur le marché des changes, l’ordre des monnaies dans les paires de devises disponibles au Trading peut parfois s’avérer déconcertant. 

Or, il s’agit souvent de conventions de cotation qu’il suffit simplement de connaître !

Les acteurs du marché ont en effet tendance à trader les paires de devises d’une manière spécifique, notamment en considérant les cotations directes et les cotations indirectes. Il faut donc comprendre comment fonctionnent ces deux types de cotation et quelles sont les conventions de cotation avant de se lancer.

Lorsque l’on parle de cotation directe, on considère que la devise étrangère est la devise de contrepartie et que la devise locale est la devise de base. Les investisseurs cherchent donc à savoir quelle quantité de devise étrangère est nécessaire pour obtenir une unité de la devise locale.

L’EUR/USD sera donc une cotation directe pour un Français ou pour tout Européen utilisant l’euro comme monnaie principale. 

À l’inverse, une cotation indirecte considère la monnaie étrangère comme la devise de base et la monnaie nationale comme la devise de contrepartie. Ici, les investisseurs cherchent à savoir combien de devise locale est nécessaire pour obtenir une unité de la devise étrangère.

Ainsi, l’USD/EUR sera une cotation indirecte pour les Européens.

En revanche, du point de vue d’un Américain, la situation sera inversée, car la monnaie locale sera le dollar américain et non l’euro. L’USD/EUR sera donc une cotation directe pour cet investisseur américain, alors que la paire EUR/USD sera considérée une cotation indirecte.

La devise de base peut donc varier en fonction de l’emplacement du Trader et de sa monnaie locale. Cependant, des conventions de cotation existent aussi, ce qui explique pourquoi certaines paires de devises sont plus populaires que leurs opposées.

Étant donné le rôle central de la devise américaine dans le commerce international, la finance mondiale et le marché des changes, il est courant d’utiliser des cotations où le dollar américain est la devise de base. 

Cependant, il existe des exceptions à cette pratique qui incluent notamment l’euro et les devises issues du Commonwealth comme la livre sterling (GBP), le dollar australien (AUD) ou encore le dollar néo-zélandais (NZD).

Le choix de faire du Trading de la paire EUR/USD plutôt que celui de la paire USD/EUR découle donc de conventions historiques et de normes du marché. C’est la paire EUR/USD qui sera le plus souvent présente sur les plateformes de Trading.

Cette pratique contribue à instaurer une cohérence et une uniformité sur le marché des changes, facilitant la compréhension et l’exécution des transactions des paires de devises pour l’ensemble des parties prenantes.

Changer la devise de base

Malgré les conventions de cotation, il existe une formule mathématique simple pour passer d’une cotation à l’autre.

Si la paire de devises d’origine est l’EUR/USD (avec l’euro comme devise de base), voici le calcul nécessaire pour obtenir le taux de change de l’USD/EUR (avec le dollar américain comme devise de base) : USD/EUR = 1 / (taux de change de l’EUR/USD)

En reprenant notre exemple précédent d’un taux de change de l’EUR/USD à 1,05 (dans lequel 1 EUR vaut 1,05 USD), le taux de change de l’USD/EUR sera de 1/1,05, soit 0,9524. Dans ce cas, 1 USD vaudra 0,9524 EUR.

Comprendre les différences entre l’EUR/USD et l’USD/EUR est donc essentiel pour les Traders ou les investisseurs sur le marché du Forex. 

La maîtrise des conventions de cotation leur permettra de naviguer avec une plus grande confiance sur le marché des devises, en comprenant mieux comment les taux de change sont exprimés et comment ils influencent leurs transactions. 

De plus, cette compréhension est particulièrement utile dans certaines stratégies de Trading comme l’arbitrage, notamment l’arbitrage triangulaire qui exploite les variations des taux de change entre trois devises.

Comment motiver les salariés sans leur donner envie de demander une augmentation ?

On dit souvent que le salaire est le principal levier de la motivation. Pour cette raison, dans le but de récompenser un bon collaborateur ou de forger la performance d’un autre, certains managers proposent une augmentation de salaire. Mais comme la crise ne permet pas souvent d’accorder une augmentation, il est essentiel de trouver d’autres méthodes de rétribution et par la même occasion, d’éviter que le salarié nous pose sa demande d’augmentation.

Trois ans après le début de la crise sanitaire, l’enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de
l’Engagement met en exergue les tendances et impacts perçus par les managers et les collaborateurs en matière d’engagement au travail. L’étude souligne que même si l’individualisme prend de l’ampleur, l’étude révèle des collaborateurs davantage engagés au profit de leur équipe et non plus de l’entreprise.

Libérez (un peu plus) vos salariés

Une étude a montré que nombreuses personnes ont quitté le travail et choisi le télétravail ou ont créé leur propre entreprise parce qu’ils se sont lassés des pressions et contrôles qu’ils subissaient au bureau. Pour motiver votre collaborateur donc, commencez à lui donner plus de liberté. En particulier, les jeunes aiment qu’on leur accorde plus de souplesse au travail. Ils apprécient qu’ils fixent eux-mêmes leurs horaires de travail ou les personnes avec qui ils veulent travailler. Les employés se considèrent plus responsables lorsque leur manager les considère comme des adultes, mais non pas comme des enfants qui auraient besoin d’être guidés et tout le temps surveillés. Mais pour limiter les abus, veillez tout de même à réclamer régulièrement des comptes-rendus de leur travail.

Formez votre équipe pour plus de motivation

Lorsqu’une personne maîtrise son travail, la motivation se stimule en elle automatiquement. Par contre, un travailleur qui n’arrive pas à résoudre les problèmes se décourage très vite. La confiance en soi peut donc être une bonne source de motivation, le salarié est plus impliqué dans un travail qui lui tient à cœur que dans un travail qui lui permet une prime. Pour obtenir cela des salariés, le manager doit savoir donner le bon travail à la bonne personne, en fonction de ses compétences et de sa personnalité. L’entreprise peut également offrir des formations aux personnes qui en ont besoin.

Récompensez autrement

La récompense possède plus de valeur aux yeux des salariés que les chiffres sur leur fiche de paie. Elle représente pour eux la reconnaissance des efforts qu’ils ont fournis, c’est la preuve qu’ils ont réussi le défi qui leur a été lancé. La récompense n’est donc pas forcément une prime en fin d’année, ni une augmentation de salaire. Vous pourriez proposer un dîner avec le gérant, un week-end en famille en thalasso ou deux billets pour un match. Les salariés aiment également recevoir des félicitations, que cela soit en public ou en privé. Vous pourriez même demander à un client de féliciter votre commercial suite à sa satisfaction. Certains managers mettent des équipes en compétition, et le seul fait d’être le gagnant est largement gratifiant.
Il se peut que dans votre équipe, vous ayez des personnes âgées, des jeunes de moins de trente ans ou des mères de famille. La façon dont il faut les traiter ne sera jamais la même. L’essentiel est de savoir les comprendre. Un bon manager ne doit pas juger hâtivement ses équipiers, il faut leur accorder un maximum de compréhension. Pour cela, vous devriez les écouter.