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6 choses que les grands leaders ne font jamais !

La morale édicte des phrases qui sont souvent reliées à cette expression : « il y a des choses qui ne se font pas » mais oublie de dire que le plus important ce sont nos actions, ce que l’on fait. Pourtant, un vrai leader doit dépasser des obstacles pour vivre la réussite et ne pas s’engager dans des impasses en raison de comportements inadaptés.

Écouter leurs peurs

Les leaders ne sont pas des surhommes, comme tout le monde ils ont des faiblesses et des limites. Mais, à la différence des autres, ils savent passer outre et réaliser leurs rêves malgré tout et dépasser leurs peurs. Ils savent aussi ne pas se laisser influencer par les peurs de leur environnement qui les incitent à abandonner. Le courage est leur première qualité.

« Prudence n’est que l’euphémisme de peur. »

Jules Renard

« La peur bloque la compréhension intelligente de la vie. »

Jiddu Krishnamurti

« J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. »

Nelson Mandela

Ne pas se remettre en question

Suivre sa propre voie et ne pas se fier au regard des autres ne signifie pas pour autant ne pas écouter les conseils avisés de personnes compétentes. Aussi, les grands leaders savent ne pas être aveuglés par leur propre vision et recherchent toujours des innovations qui leur permettent de rendre leur entreprise pérenne. Un leader signifie que pour être capable de saisir les opportunités, il doit toujours se demander s’il pourrait faire mieux ou autrement.

« L’important est de ne jamais cesser de se remettre en question. Ne perdez jamais une sainte curiosité ».

Albert Einstein

« Le pouvoir qui a la main de fer dans un gant de velours, a la peur de la spontanéité, du génie propre, du naturel de la jeunesse. Elle dérange parce qu’elle porte à remettre en question un certain nombre de valeurs reçues et le système. » 

Françoise Dolto

Essayer d’être ce qu’ils ne sont pas

La différence entre une personne qui connaît le succès et un vrai leader est que ce dernier n’essaie jamais de se donner un genre ou de paraître ce qu’il n’est pas. Les grands leaders savent que l’authenticité est bien plus efficace que l’autopromotion ! Exit, le moi je qui pollue les relations avec les autres et qui coupe tous les échanges fructueux et l’arrogance n’est jamais leur comportement.

Faire ce que tout le monde fait

Les vrais leaders ont tendance à naturellement ne pas suivre les codes sociaux ou les pensées de groupes et à défier le statu quo. Cependant, ils savent aussi manier la diplomatie qui leur permet d’avancer sans heurter et mener leur barque où ils en ont envie. Il leur arrive de devoir affronter la solitude et de se sentir incompris mais au fil du temps ils acquièrent la confiance des autres.

Avoir peur de la compétition

Les grands leaders tirent leur motivation de la volonté de dépasser leurs concurrents. Ils sont confiants dans leur capacité à gagner la bataille de la concurrence et savent que la compétition les obligent à se dépasser. La compétition est une réelle émulation et ils sont une source d’inspiration qui motive leurs équipes.

Perdre du temps

Les grands leaders ne perdent pas une minute car ils veulent avancer vite dans la réalisation de la vision qu’ils ont pour leur entreprise. Ils ne procrastinent pas et ne perdent pas de temps à se demander ce que les autres pensent ou à vouloir démontrer   qu’ils sont meilleurs que les autres. Ces derniers agissent tel est leur graal. Ils peuvent faire et refaire des expériences et échouer mais ils ne perdent pas de temps à s’attrister sur leur sort et sur les circonstances.

La prise de décision, le casse-tête du dirigeant

Le dirigeant est souvent confronté au fait de prendre des décisions. Il ressent souvent une peur qui peut l’entraîner à éviter de choisir. Pour  avancer, il doit apprendre à la surmonter, à la dépasser. Quelle que soit sa tendance, qu’il soit rationnel, impulsif, intuitif, émotif…il devra en faire une alliée pour qu’elle ne l’empêche pas de faire le meilleur choix.

La vie privée comme la vie professionnelle sont faites de choix et de décisions. Si vous voulez mener à bien le développement de votre entreprise, vous devez apprendre à prendre de bonnes décisions.

Selon Patrice Morot, Président de PwC France et Maghreb :  » Les chefs d’entreprise français expriment plus de prudence que leurs homologues internationaux, parfois trop. Dans un monde qui évolue très rapidement, une faible appétence au risque peut dans certaines situations être protectrice mais poussée à l’excès, elle peut ralentir les capacités d’innovation et de transformation des entreprises. « 

L’influence de l’entourage

Le dirigeant subit, qu’il le veuille ou non, l’influence de son entourage. De nombreux dirigeants prennent des conseils auprès de personnes compétentes car la décision reste une prise de risque. La rapidité du changement, la concurrence obligent à prendre parfois des décisions dans un temps très court qui ne permet pas de cerner toutes les facettes des conséquences des décisions. Il lui faut décider en quelques heures parfois pour profiter des opportunités qui n’attendent pas. Il ne peut pas tergiverser. Certaines décisions ne demandent pas une réflexion approfondie car elles paraissent, a priori, évidentes et logiques, d’autres sont plus complexes lorsqu’elles engagent l’avenir de l’entreprise et donc sa pérennité. Il s’agit pourtant d’un des avantages des petites structures qui peuvent vite évoluer et répondre à des demandes dans un laps de temps très court.

Plus l’entreprise est grande, moins les managers savent décider

Le cabinet de management de transition MPI Executive a présenté les résultats de son premier Baromètre Décision réalisé par l’Ifop : 1007 salariés représentatifs de la population active française ont répondu à la question « votre manager sait-il décider ? ». Ces résultats se présentent comme une remise en cause pour les entreprises des habitudes de sélection et de formation de leurs managers.

Le sondage met en exergue le fait que la capacité à décider diminue à mesure que l’entreprise grandit. Si 37% des collaborateurs de TPE estiment que leur supérieur « sait tout à fait prendre des décisions », le chiffre tombe à 33 % dans les PME… et à 25 % dans les grands groupes. La raison en est, selon les salariés interrogés par l’Ifop, que dans les grandes entreprises, les managers ne se hissent pas au sommet de la hiérarchie en fonction de leur capacité à décider : 54% des salariés de grands groupes estiment que leurs managers « ne sont pas choisis pour leur aptitude à décider », en revanche c’est 44 % dans les sociétés de 50 à 500 salariés, 40 % dans les PME et 31 % « seulement » dans les TPE (moins de 10 salariés).

Des managers aux comportements nocifs

Mais la grande surprise de ce sondage est dans le constat qu’un nombre (trop) important de managers ont des comportements nocifs au moment de prendre une décision difficile. Plus d’un tiers des salariés jugent que leur supérieur « rejette plutôt la difficulté sur l’équipe » (34%), qu’il « tend plutôt à dissimuler la difficulté » (38%) et qu’il « ne sait pas prendre de décision courageuse » (34%). Ces attitudes ont bien évidemment des conséquences tant sur le plan humain que financier. Mais la conséquence la plus inquiétante se trouve dans le fait que près d’un salarié sur deux juge aussi que son manager « ne sait pas motiver les membres de son équipe » (42%) et donc nuit au développement de l’entreprise par son manque de compétences dans ce domaine.

Pour prendre une décision, allez à l’essentiel

Au moment de prendre n’importe quelle décision, le dirigeant doit se poser les questions : qu’est-ce qui est essentiel, et qu’est-ce qui est accessoire ? Ensuite, il doit prendre une décision à l’appui des réponses. Il doit se servir de son intuition car celle-ci lui permet de se servir de sa capacité créative. Des chercheurs en neurosciences ont découvert que l’intuition avait sa place dans la prise de décision et lui accorde une certaine confiance.

Un livre pour expliquer

Richard Branson, dans son livre intitulé The Virgin Way : Everything i know about leadership, propose 4 règles à respecter pour prendre à chaque fois une décision :

  • Ne jamais prendre de décisions guidées par ses émotions qui brouillent la capacité à discerner. Nos émotions nous empêchent de regarder la situation d’un œil objectif qu’elles soient positives ou négatives.
  • Cerner toutes les conséquences de vos décisions. Beaucoup de décisions s’avèrent être mauvaises parce qu’on pense surtout aux avantages qu’elles procurent. Richard Branson nous incite à évaluer tous les risques associés à la décision.
  • Evaluer les impacts de chaque décision sur d’autres décisions. Une bonne décision est une décision qui ne nuit pas à la pérennité d’autres déjà mises en place. Avant de s’engager à prendre une nouvelle décision, faire un diagnostic des décisions déjà prises et de l’impact qu’aura la nouvelle décision sur les précédentes.
  • Analyser les retombées et les prendre en compte. Toute décision implique une analyse rigoureuse et de mesurer les avantages et les inconvénients qui lui sont inhérentes et d’anticiper sur leurs retombées.

Prenez des risques

  • Prenez des risques ! Comme le précise Charles Lahmi, fondateur de LuluCastagnette : « Il faut prendre des risques ! Et, lorsqu’une porte s’entrouvre, il faut foncer ! C’est très rare qu’une porte s’entrouvre, alors quand cela arrive, il faut l’ouvrir à fond ! Même si l’on se plante, on n’aura aucun regret, il n’y aura pas de j’aurais dû ». Le « J’aurais dû » est un sentiment terrible ! ».
  • Ne soyez pas paralysé par l’enjeu Un des grands dangers lorsque l’on a à faire un choix difficile demeure de se retrouver dans une espèce de paralysie qui nous empêche de décider. Souvent parce que les variables en jeu sont telles qu’il est impossible de déterminer si la décision sera par avance la meilleure. Le réflexe est alors de réunir un maximum de données objectives et décider en fonction de celles-ci. Mais cela revient en réalité à écarter les facteurs qui nous servent habituellement de guide comme l’intuition, l’instinct ou encore notre ressenti qui sont souvent à l’origine de décisions, sources du développement de l’entreprise.

Top des ESN et ICT françaises avec le plus gros chiffre d’affaires

Retrouvez le top 10 des meilleures entreprises de Services du Numérique (ESN) et de l’Ingénierie Conseil en Technologies (ICT) de l’année 2023 en France. Ce classement est porté sur le chiffre d’affaires effectué en France en milliers d’euros.

CAPGEMINI

Une entreprise de services du numérique française (ESN) créée par Serge Kampf en 1967 à Grenoble, sous le nom de Sogeti. La société fait partie du CAC 40 à la Bourse de Paris.
Siège social : Paris, France.
CA : 4 276 000 K€

SCC FRANCE

Une société de services informatiques d’infrastructure, implantée notamment au Royaume-Uni, en France et en Espagne. C’est une filiale d’un groupe informatique privé fondé par Sir Peter Rigby en 1975 en Angleterre.
Siège social : Nanterre, France.
CA : 2 616 753 K€

ACCENTURE

Une entreprise internationale de conseil et de technologies créée en 1989 sous le nom d’Andersen Consulting, par séparation du groupe Arthur Andersen.
Siège social : Dublin, Irlande.
CA : 2 387 398 K€

SOPRA STERIA

Un leader européen du conseil, des services numériques et de l’édition de logiciels. L’opération de fusion de deux sociétés françaises Sopra et Steria a été réalisée en janvier 2015
Siège social : Paris, France.
CA : 2 039 000 K

ATOS

Une entreprise de services du numérique (ESN) française, créée en 1997 par la fusion d’Axime et Sligos et d’une partie de GSI. Elle fait partie des 10 plus grandes ESN au niveau mondial
Siège social : Bezons, France.
CA : 1 960 000 K

IBM FRANCE

Une société de services et de technologies du traitement de l’information. La société International Time Recording s’est implantée en France en juillet 1914 et en octobre 1948 est devenue IBM France.
Siège social : Bois-Colombes, France.
CA : 1 740 000 K

ORANGE BUSINESS SERVICES

Une filiale et une marque commerciale du groupe Orange, destinée à proposer des services télécoms et informatiques aux entreprises : cloud computing, téléphonie mobile, accès Internet…
Siège social : Paris, France.
CA : 1 494 664 K

ECONOCOM

Un acteur européen de la transformation numérique et digitale des entreprises. Il a été créé en 1974 par Jean-Louis Bouchard sous le nom d’Europe Computer Systèmes.
Siège social : Puteaux, France.
CA : 1 457 000 K

CGI FRANCE

Une entreprise mondiale des services-conseils en TI et en management. Elle a été fondée en 1976 par Serge Godin et André Imbeau avant de s’implanter à Montréal.
Siège social : Courbevoie, France.
CA : 1 286 705 K

ALTEN

Une multinationale française et le leader européen de l’ingénierie et du conseil en hautes technologies. Créée par Simon Azoulay, Laurent Schwarz et Thierry Woog en 1988.
Siège social : Boulogne-Billancourt, France.
CA : 1 178 171 K

Étapes clés pour surmonter un échec

L’échec professionnel est fréquent et n’épargne pas les entrepreneurs. Défaillance d’entreprise, dépôt de bilan, licenciement à réaliser : toutes ces situations peuvent survenir dans le parcours d’un créateur d’entreprise. Des étapes clés peuvent pourtant vous permettre de rebondir après avoir surmonté un échec. Certains ont tendance à baisser les bras en considérant l’échec comme insurmontable. Comment rebondir ? Explications.

Aujourd’hui après la crise sanitaire, les guerres qui s’imposent dans le monde entier et qui remettent eu cause toutes les prévision il faut garder espoir. Après l’hiver vient toujours le printemps, n’est-ce pas ?

“Beaucoup rêvent de succès. A mon sens, le succès ne peut être atteint qu’après une succession d’échecs et d’introspections. En fait, le succès représente 1% de votre travail qui comporte lui, 99% de ce qu’on peut appeler échec.”  

Soichiro Honda.

Le dénigrement à écarter

Lorsqu’un échec vous touche, un sentiment d’incompétence survient et atteint votre moral d’acier :

« L’échec professionnel provoque le plus souvent une perte d’identité, une blessure narcissique et un sentiment d’incompétence dont l’impact émotionnel est fort », souligne Vincent Lenhardt, fondateur du cabinet Transformance et spécialiste du coaching en France.

Un impact considérable attend l’entrepreneur qui se confronte à l’échec mais, ne vous leurrez pas, bon nombre d’entre vous ont su franchir cet obstacle pour redémarrer une nouvelle activité du bon pied. Différentes étapes sont à franchir pour surmonter un échec.

Partager ses émotions

Lorsqu’un échec survient, n’ayez pas tendance à tout garder pour vous. Vos proches peuvent se révéler être un soutien sans faille, leur appui représente une force considérable pour vous relever et vous faire prendre conscience que l’erreur arrive à tous et n’en est pas moins insurmontable. Si le soutien de vos proches ne suffit pas, tournez-vous vers des entrepreneurs qui ont vécu la même situation auparavant. Un tel partage d’expérience peut se révéler bénéfique en vous apportant des conseils sur la façon d’entrevoir l’avenir.

Se faire accompagner

Certains professionnels sont spécialistes de ce type de situation et peuvent vous apporter une aide précieuse. Les avocats peuvent vous fournir leur aide juridique ainsi que des conseils en fonction de votre situation. Si l’échec à des conséquences psychologiques, il ne faut pas hésiter à se confronter à un psychothérapeute, par exemple, afin de vous aider à sortir de cette mauvaise passe. L’association 60 000 rebonds s’est d’ailleurs penchée de plus près sur les échecs qui touchent les entrepreneurs et en comptabilise plus de 60 000 par an. Un chiffre qui a poussé Philippe Rimbaud, le fondateur de l’association, à aider ceux qui subissent un traumatisme « financier, professionnel et personnel » à trouver une issue professionnelle. Son association a pu soutenir de nombreux entrepreneurs :

« Mon groupe a été liquidé en 2014. On se retrouve du jour au lendemain, sans cadre professionnel, sans cadre social, sans un sou. L’environnement de 30 ans de vie s’écroule et 60 000 Rebonds dans cette situation-là est d’un secours total », témoigne Thierry Bosne, un entrepreneur, sur le site de l’association.

Analyser les causes de son échec

Une fois que vous aurez pris sur vous, tâchez d’analyser les causes qui vous ont conduites à cet échec : erreur de stratégie ? De business model ? Surcharge de travail ? Elles peuvent être nombreuses et diffèrent en fonction des sociétés. Les causes peuvent également s’avérer externes en ne touchant pas l’entreprise mais directement le marché sur lequel elles se situent. Une fois analysées, il vous faudra en tirer des enseignements pour ne plus les reproduire ou, tout simplement, changer votre manière de procéder.

Changer d’état d’esprit

Travaillez, une fois encore, votre discours intérieur et éliminez toutes les pensées négatives, qui peuvent vous nuire à l’avenir. « J’ai échoué donc je suis incompétent » ou « Je n’arriverais jamais à rebondir » sont des pensées à bannir de votre esprit. Si en France l’échec est mal vu, aux États-Unis, il est synonyme d’expérience et forcément d’enrichissement.
Prenez pour exemple Steve Jobs, le célèbre créateur d’Apple, qui, dans les premiers temps, s’associe pour diriger l’entreprise. Les visions des deux partenaires ont commencé à diverger et le conseil d’administration décide de se séparer de Steve Jobs, le fondateur même de l’entreprise.

« C’est ainsi qu’à 30 ans, je me suis retrouvé sur le pavé », relate-t-il lors de son discours à l’Université de Stanford. Cet échec à conduit l’entrepreneur à repartir de zéro et, cinq années plus tard, il créa deux nouvelles sociétés, Pixar et Next (qui fut rachetée par Apple), et conduit l’entrepreneur à retravailler au sein de son premier projet.


Steve Jobs valorise l’échec : « Tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas été viré d’Apple. La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin. Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. »

Fixez–vous de nouveaux objectifs et ne délaissez jamais vos premières passions, qui vous ont conduit à entreprendre !

Toujours prévoir une issue de secours

La nécessité d’avoir un plan B perdure malgré la réussite (parfois temporaire) de votre entreprise. L’échec peut survenir à tout moment sans que vous en soyez responsable. Créer une issue de secours s’avère évident pour tout entrepreneur prévoyant. Denys Chalumeau, créateur de Promovacances, voit son entreprise tomber en ruines à cause des attentats du 11 septembre, qui freinaient les clients à prendre l’avion.

« Mon DAF m’explique alors que, selon ses calculs, la filiale Promovacances serait en faillite un mois et demi plus tard, entraînant toute mon entreprise dans sa chute », explique-t-il.

Le fondateur a pu rebondir en gérant, en parallèle, le site SeLoger.com. Ce dernier insiste et recommande aux entrepreneurs « d’avoir si possible plusieurs projets pour ne pas avoir tous ses œufs dans le même panier ». Cette solution alternative peut se faire par plusieurs moyens : activité secondaire, investissement dans d’autres entreprises… À vous de décider !

Les 7 conseils pour perfectionner son pitch

Faire le pitch de son projet est une étape devenue incontournable pour décrocher des fonds d’investissement et dans de nombreuses occasions dans le périple de l’entrepreneur. Voici 7 conseils essentiels pour perfectionner son pitch haut la main !

Conseil 1 : Créer un pitch adapté à votre auditoire

Ceux qui maîtrisent l’art de convaincre le savent sûrement, il faut toujours ajuster son discours au profil du jury. Chaque businessman, présent devant vous, possède une vision particulière de l’investissement et du business. Répondez à chacune de ses interrogations et montrez lui en quoi votre entreprise sera rentable.

Astuce : Faites en sorte que votre pitch soit composé de réponses indirectes à toutes les préoccupations de votre investisseur, mais surtout à sa vision du business. Pour cela renseignez-vous en amont dans la mesure du possible sur son profil.

Conseil 2 : Travailler en équipe

Le travail en équipe est à lui seul un argument percutant pour convaincre un jury. Vous donnez ainsi l’impression que votre projet possède des bases solides maintenues par plusieurs personnes. Vous n’êtes pas omniscient ni multitâches et donc mettre en valeur les compétences de chaque personne de votre équipe sera une valeur ajoutée.

Astuce : Entraînez-vous à présenter votre pitch en groupe. Mettez en avant votre motivation mais surtout votre complémentarité et votre solidarité. Vous pouvez pour chacun d’entre eux trouvez le mot qui génèrera de la sympathie.

Conseil 3 : Donner à votre pitch la bonne structure

Astuce 1 : Présentez votre projet comme la réponse à un problème. Soulevez ce problème à travers des interrogations directes dès le début de votre pitch. Vous parviendrez ainsi à capter l’attention de votre investisseur de manière naturelle et spontanée.

Astuce 2 : Si votre projet apporte une nouveauté, commencez par la situer dans un schéma existant. Mettez ensuite en avant le plus que vous allez ajouter. Allez droit au but. Synthétisez votre pensée pour gagner la confiance et l’intérêt de votre auditoire.

Conseil 4 : Créer des moments forts dans le pitch

Un pitch réussi s’apparente à un film à succès. Vous devez commencer par une présentation pour retenir l’attention de l’auditoire, sans en faire trop. Créez ensuite un élément de surprise dans votre pitch : accélérez le rythme, modifiez votre voix, accentuez davantage les informations que vous énoncez en modulant votre intonation, …

Astuce : Vous pouvez choisir le rythme qui vous convient à condition d’éviter qu’il soit trop monotone et les informations présentées sur une même ligne d’importance. Votre vision risque alors d’être noyée dans la masse.

Conseil 5 : Travailler votre gestuelle

Votre langage corporel doit inspirer la confiance en soi. L’image que votre auditoire a de vous se fera durant les premières secondes de votre pitch.

Astuce : Dès le début, soutenez le regard de votre jury, sans trop insister. Faites-le de manière naturelle avec une voix percutante qui montre votre enthousiasme.

Conseil 6 : Une bonne préparation pour votre pitch

Votre pitch rappelle une performance théâtrale. Après avoir pensé au contenu de votre prestation, répétez autant que possible la scène que vous allez interpréter. Cela développera votre confiance en vous et vous rendra plus à l’aise au moment venu.

Astuce : Filmez vos répétitions et visionnez-les autant que possible. Après une autocritique sincère, demandez l’avis de personnes qui ne vous connaissent pas. Vous obtiendrez surement un jugement plus objectif que le vôtre.

Conseil 7 : Être concis

Vous ne pouvez qu’augmenter vos chances de décrocher un investissement si vous avez préparé une version concise de votre pitch.  Évitez le délayage ou les digressions inutiles qui montrent que vous n’avez pas l’esprit de synthèse, qualité essentielle chez le dirigeant.

Les entrepreneurs, les maîtres de l’adaptation et de la décision

De nombreux entrepreneurs sont l’unique salarié de l’entreprise. Ceci d’abord en raison d’un manque de moyens financiers. Si l’entreprise commence à se développer, il vous faudra recruter mais il faudra prendre en compte que vos salariés sont parfois moins impliqués que vous et c’est normal. Vous devrez donc faire preuve de leadership pour amener vos employés à s’investir et à partager les valeurs de l’entreprise. Vous devrez apprendre à déléguer même si vous avez l’impression que les choses vont plus vite lorsque vous les faites vous-même. Des décisions qui mettent en jeu l’avenir de l’entreprise. Petit tour d’horizon.

La prise de décision, parfois un choix cornélien

Vous avez appris à suivre, parfois à subir des décisions que vous jugiez mal appropriées lorsque vous étiez salarié. Pourtant, aujourd’hui vous êtes aux manettes, pour aussi bien des choix des plus terre à terre comme l’achat de papier que des grandes décisions stratégiques. Si un aspect de votre entreprise ne fonctionne pas comme il se doit ou n’apporte pas les revenus escomptés, vous devrez parfois le supprimer ou le modifier. Ceci implique de prendre vos responsabilités mais aussi d’expliquer vos choix à vos collaborateurs qui seront par moments critiques à votre égard.

  • Vous devrez décider si la société doit s’engager dans une nouvelle voie à la recherche de plus grands bénéfices.
  • Vous prendrez également des risques et ne ferez pas toujours le bon choix.
  • Vous n’êtes pas devin.

La solitude de l’entrepreneur, un sujet tabou

Être dirigeant a pour corollaire souvent la solitude que vous ayez des salariés ou non. Les espaces de coworking, les pépinières d’entreprises ou encore les incubateurs ont permis à nombre de dirigeants d’échapper à la solitude de leur domicile. Chaque entrepreneur reste cependant concentré sur ses propres problématiques et n’aura guère de temps à vous accorder pour dialoguer avec vous. Vous aviez prévu un développement rapide ? Des circonstances imprévues l’ont stoppé ? Il vous faudra peut-être y faire face seul.
Vous pouvez être envahi par le découragement au point de tout vouloir laisser tomber et de vous avouer vaincu. Être capable de surmonter le doute et le découragement fait partie inhérente de la condition d’entrepreneur. Parce qu’être entrepreneur, c’est être confronté à un défi permanent, durant lequel il faut faire preuve d’une détermination et d’un espoir que rien ne brise. Pour cela, fixez-vous des objectifs à atteindre et surtout ne baissez pas les bras. N’hésitez pas à aller à la rencontre d’autres entrepreneurs dans des clubs, des conférences, des networking… Ce sont des occasions à saisir pour se créer un réseau, faire des rencontres, se faire connaître mais aussi où des amitiés peuvent se créer.

Le temps, une angoisse permanente

L’entrepreneur ne peut échapper à aucune tâche, surtout s’il est en phase de création de son entreprise. Pour certaines, il sera très compétent et elles lui apporteront de la satisfaction. D’autres représenteront des fardeaux et il lui sera facile de procrastiner. Cela peut le mettre en danger. Aussi, il faut être à 100 % tout le temps et ne pas compter ses heures, ce qui peut être difficile quand vient la lassitude. Dans tous les cas, ne vous plaignez pas et acceptez le challenge. Surtout, planifiez et gérez votre temps ! Ne pas reporter à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui ; facile à dire, me direz-vous, mais dur à réaliser dans la pratique. Pour avancer, fixez-vous des objectifs et focalisez toute votre attention et votre énergie sur un résultat précis.

Les clients, une obsession : avoir la fibre commerciale

Vous avez créé le produit du siècle mais vous n’avez pas la fibre commerciale et cela vous le saviez bien en amont. Pourtant vos moyens financiers ne vous permettent pas toujours de recruter le commercial du siècle. La prospection et la négociation commerciale représentent une part importante de l’activité d’entrepreneur et avant de vous lancer, vous ne devez pas l’oublier. Vous devrez apprendre à vous vendre et à vendre vos produits ou services en quelques mots et en quelques minutes à vos interlocuteurs. Or, l’art de convaincre et la négociation sont deux compétences qui peuvent s’apprendre et que vous pourrez donc développer en vous faisant accompagner par un professionnel ou en suivant une formation. Pour la prospection, si vraiment vous vous en sentez incapable, déléguez cette action à quelqu’un dont c’est le point fort. Il vaut mieux investir que de ne rien faire.

S’adapter sans cesse au numérique pour être performant

Pour un entrepreneur, la question de la visibilité et de la crédibilité de son activité est incontournable. Il est donc nécessaire de raisonner en termes de notoriété. Celle-ci rassure le client. L’entrepreneur doit justifier d’un professionnalisme exemplaire et son entreprise avoir une identité claire. Les entrepreneurs doivent aujourd’hui prendre en compte le numérique et aujourd’hui la mobilité. En 2020, selon StatCounter, 52 % de tout le trafic Internet mondial provenait de dispositifs mobiles et ils ne sont donc plus à négliger. Cela met en évidence l’importance cruciale d’une présence et d’une expérience mobile optimisées pour répondre aux besoins des consommateurs modernes. Avec la prolifération des téléphones intelligents, les consommateurs modernes attendent des interactions mobiles fluides et intuitives avec les entreprises. L’adaptation aux exigences de l’ère mobile n’est pas seulement une nécessité mais aussi l’opportunité d’innover. 

Les moments difficiles pour les entrepreneurs

Les entrepreneurs rencontrent de nombreuses difficultés. Certaines d’entre elles pèsent plus que d’autres sur le moral des dirigeants. Entre les crises, grèves et manifestations, nombre d’entreprises ont été impactées. Mais pendant le confinement et la mise à l’arrêt complet de certains fournisseurs les entrepreneurs ont dû affronter des tempêtes qui ont mis à mal leur croissance. Mais à celles-ci se sont ajoutés des obstacles qui les ont parfois obligés à changer de stratégie. Petit tour de ces moments difficiles pour les entrepreneurs qui font de la direction d’une entreprise un véritable parcours d’obstacles.

“Celui qui s’oriente sur l’étoile ne se retourne pas.”

Léonard de Vinci

Les conflits avec les associés

La première difficulté peut venir de l’intérieur. L’une des premières causes de fermeture d’une société réside dans le conflit d’associés. Il peut avoir de nombreuses origines : divergences stratégiques, mauvaise répartition des rôles entre les associés, conflit lié à l’investissement, manque de compétences, absence d’accord sur le pacte d’actionnaires… Les situations ne se ressemblent pas et peuvent conduire les associés à entrer en conflit. Elles touchent particulièrement les fondateurs car il s’agit d’une cause qui ne vient pas de l’extérieur mais de l’intérieur.

Le manque de ventes

Votre idée peut être géniale, vous pouvez travailler de toutes vos forces chaque jour et être aussi souriant que possible… et pourtant vos ventes ne décollent pas. Il s’agit de l’une des principales causes de stress des dirigeants. Il est tout particulièrement présent dans des métiers comme la restauration où du jour au lendemain votre établissement peut se remplir ou se vider sans raison apparente. N’oubliez pas dans ce genre de situation que vous pouvez avoir le meilleur produit du monde et que ce n’est pas forcément pour cela qu’il se vendra tout seul. En témoignent les nombreux échecs liés à l’incapacité à vendre son produit.

Le manque de trésorerie

On pourrait l’oublier tellement il s’agit d’une situation fréquente pour les dirigeants. Le manque d’argent dans les caisses de la société conduit, d’ailleurs, souvent les chefs d’entreprise à devoir « bidouiller ». Retards sur les délais de paiement fournisseurs, négociations avec l’URSSAF et autres institutions pour pouvoir retarder les paiements, absence de recrutement pour développer l’entreprise sont souvent les conséquences de ce manque et du surcroît de travail pour les dirigeants. Pour éviter cette difficulté, anticipez le plus possible et créez-vous un « matelas » confortable si possible en profitant de nombreuses opportunités de financement. Le gouvernement a offert des possibilités pour retarder les échéances de L’URSAFF dans ce contexte inédit. Bien s’informer est la clef.

Le défaut de paiement d’un client

Il s’agit de l’une des pires difficultés que peut rencontrer une entreprise. Un client insatisfait et qui n’a pas obtenu ce qu’il souhaitait de votre prestation peut entraîner des conséquences catastrophiques pour une entreprise. Le défaut de paiement d’un client (et notamment quand il s’agit d’un de vos principal client) peut rapidement vous entraîner vous aussi dans une spirale infernale et vers la faillite. Pour cela, anticipez en essayant de diversifier soit votre activité, soit vos clients en ne faisant pas trop peser votre entreprise sur un client unique. Il est souvent conseillé que celui-ci ne représente pas plus de 30% de vos ventes.

Le licenciement d’un salarié

La situation est dure du côté du salarié mais elle l’est également du côté du patron. Cette situation mêle en général l’humain et le professionnel car il est souvent difficile de devoir licencier une personne que l’on aime bien. Défaut de compétences, difficultés économiques, inadaptation par rapport au poste, absence de performance, … peuvent rapidement vous conduire à devoir vous séparer d’un collaborateur. Le plus difficile reste de comprendre que cette situation est difficile pour vous mais aussi pour votre salarié.

La fermeture de la société

Comment ne pas en parler ? Entre les différents licenciements, les fournisseurs ou les salariés que vous ne pourrez pas payer, la perte de votre emploi et le sentiment d’échec, la fermeture d’une société est l’un des moments les plus difficiles pour les entrepreneurs. Afin que cette situation soit le moins difficile possible, anticipez-là dès que possible et ne vous sur-endettez pas car vous pourriez avoir du mal à vous relever.

Ceci n’est bien entendu pas une liste exhaustive des difficultés rencontrées par les dirigeants mais elles valent souvent bien le coup d’être vécues tant l’expérience est belle.

“Beaucoup de ceux qui ont échoué n’ont pas réalisé qu’ils étaient aussi près du succès quand ils ont abandonné.”

Thomas Edison

“Il faut viser la lune, parce qu’au moins, si vous échouez, vous finirez dans les étoiles.”

Oscar Wilde

Comment Éviter les Erreurs en Trading

Le trading, qu’il soit centré sur les actions, les devises ou le crypto trading, peut être une activité lucrative, mais aussi risquée. Pour les traders, novices ou expérimentés, comprendre comment minimiser les erreurs est crucial pour maximiser les profits. Cet article explore des stratégies pour trader efficacement en évitant les pièges communs.

Connaître son Marché

Avant de plonger dans le trading, la première étape est de bien comprendre le marché sur lequel on souhaite opérer. Cela signifie étudier les tendances historiques, les facteurs économiques influençant les prix, et les spécificités des produits financiers concernés. Par exemple, le crypto trading requiert une connaissance des particularités des crypto monnaies, qui sont souvent beaucoup plus volatiles que les devises traditionnelles ou les actions.

Établir un Plan de Trading Clair

Avoir un plan de trading est essentiel. Ce plan doit inclure vos objectifs de profit, votre seuil de tolérance au risque, et les stratégies que vous comptez utiliser. Un bon plan de trading est aussi dynamique; il évolue avec vos expériences et les fluctuations du marché. L’anticipation des mouvements du marché est nécessaire pour adapter rapidement votre stratégie. Il est également important de régulièrement revoir et ajuster ce plan en fonction des performances passées et des changements dans le contexte économique ou financier. Cela implique de rester informé des dernières nouvelles économiques, des analyses de marché et des prévisions qui peuvent affecter vos investissements. En intégrant une revue périodique de votre plan, vous pouvez vous assurer qu’il reste aligné avec vos objectifs à long terme tout en restant flexible face aux opportunités ou défis émergents. Cette approche proactive et réfléchie est cruciale pour réussir dans le trading.

Gestion Rigoureuse du Risque

La gestion du risque est l’une des compétences les plus importantes en trading. Elle implique de définir à l’avance le montant maximal que vous êtes prêt à risquer sur chaque transaction. L’utilisation d’ordres stop-loss pour limiter les pertes potentielles est une pratique courante. Cette approche limite les impacts négatifs d’une mauvaise décision ou d’un retournement de marché inattendu.

Utilisation des Stop-Loss et des Take-Profit

Implémenter des ordres stop-loss et take-profit peut automatiser une partie de votre stratégie de trading et aider à sécuriser vos gains tout en limitant les pertes. Ces outils sont essentiels, surtout dans un marché aussi imprévisible que celui des cryptomonnaies. Ils permettent de clôturer une position à un niveau de prix prédéfini, ce qui est crucial pour gérer les risques et protéger le capital.

Formation Continue

Le monde du trading est en constante évolution. Ainsi, la formation continue est indispensable pour rester à jour avec les nouvelles pratiques, outils et régulations. Participer à des webinaires, suivre des cours en ligne et lire les publications des experts sont d’excellentes méthodes pour aiguiser vos compétences de trading. En outre, l’adhésion à des forums de discussion et des groupes de trading peut fournir des perspectives précieuses et des conseils pratiques partagés par des traders plus expérimentés. Ces communautés en ligne offrent souvent un soutien et des retours d’expérience qui peuvent être cruciaux dans les moments de doute ou d’incertitude.

S’abonner à des bulletins d’information spécialisés et participer à des conférences de trading sont également des moyens efficaces de comprendre les tendances actuelles et les changements technologiques qui influencent le marché. Les traders qui investissent du temps et des ressources dans leur développement professionnel peuvent mieux anticiper les mouvements du marché, adapter leurs stratégies en conséquence et éviter les erreurs coûteuses. En embrassant l’apprentissage continu, les traders assurent non seulement leur compétitivité dans un environnement en rapide mutation, mais renforcent également leur capacité à prendre des décisions éclairées, basées sur les connaissances les plus actuelles.

Pourquoi l’anticipation est nécessaire ?

Anticiper les mouvements du marché est crucial, surtout dans des marchés volatils comme ceux des cryptomonnaies. Cela implique non seulement de suivre les tendances actuelles mais aussi de comprendre les facteurs externes qui peuvent influencer les prix, comme les changements réglementaires ou les évolutions technologiques. L’anticipation permet aux traders de réagir de manière proactive plutôt que réactive, ce qui est souvent la clé pour maximiser les rendements et minimiser les pertes.

Tester des Stratégies en Simulé

Avant d’appliquer une nouvelle stratégie en live, il est judicieux de la tester en utilisant des données historiques ou via un compte démo. Cela vous permet de voir comment la stratégie aurait performé par le passé sans risquer de l’argent réel. C’est une étape fondamentale pour évaluer l’efficacité d’une approche de trading, surtout dans le domaine complexe et imprévisible du crypto trading.

Conclusion

Faire du trading sans commettre d’erreurs n’est pas possible, mais minimiser ces erreurs est réalisable avec la bonne approche. En se concentrant sur la connaissance approfondie du marché, une planification rigoureuse, une gestion efficace des risques, et en continuant de se former, un trader peut considérablement améliorer ses chances de succès. L’anticipation des tendances et des retournements de marché joue aussi un rôle prépondérant dans la capacité à réaliser des profits tout en naviguant de manière sécurisée dans le monde du trading, notamment celui des cryptomonnaies.

Votre meilleure manière de développer votre business ? Votre service après-vente

Votre meilleure manière de développer votre business ? Vos clients ! Le bouche à oreille est d’une efficacité qui dépasse toutes les campagnes commerciales. Si on dit qu’un client satisfait en parle à trois autres, il semblerait qu’un client mécontent en parle à onze. Ne pas négliger tout ce qui se passe après la vente reste donc une nécessité pour les entreprises qui souhaitent se développer. Oui mais comment faire ?

Soyez empathique, respectueux et humain

Il s’agit du point le plus important. Un bon service client passe d’abord par le fait de le comprendre. Pour cela, il suffit de vous mettre à sa place et de vous demander pourquoi il agit ainsi. Un client insatisfait peut avoir tort ou raison. Dans tous les cas, le traiter avec respect doit être au cœur de votre préoccupation. Il s’agit avant tout d’un être humain avec sa sensibilité.
Essayez au maximum de prendre chaque situation en compte et de personnaliser votre réponse. Suivre les règles doit s’accompagner d’une certaine flexibilité. N’en fixez pas trop à vos salariés ou à vous-même.

Anticipez les éventuels problèmes

On dit souvent : « Il vaut mieux prévenir que guérir ». Dans le cas du service client, il vous faut malheureusement guérir votre client de son mécontentement. Pour que cette guérison se passe le mieux possible, vous pouvez anticiper les principaux problèmes et prévoir des réponses rapides en cas de soucis. La préparation de réponses automatiques pour chaque type de problème rencontré est indispensable afin de répondre le plus efficacement à votre client. Pour qu’il vive bien cette situation, la communication est essentielle. Il doit impérativement connaître le délai de réponse si vous ne pouvez pas lui apporter la solution immédiatement. Si vous sentez que vous ne pourrez pas tenir le délai annoncé, n’hésitez pas à en informer votre client. Cela lui évitera de faire la démarche et d’amplifier son mécontentement.

N’oubliez pas que vente ne signifie pas livraison

Ces dernières années, les systèmes de suivi de livraison se sont énormément développés. Il est possible de suivre en direct l’arrivée de votre produit de sa préparation, en passant par son envoi et jusqu’à son arrivée à destination. La géolocalisation et le suivi de commande sont de plus en plus performants et constituent souvent une bonne partie du service après-vente. Afin de répondre au mieux aux attentes de votre client, notamment en cas de vente à distance, rien ne vous empêche d’utiliser ces moyens afin qu’il soit rassuré de la future bonne réception de sa commande. De la même manière en cas de retour d’un produit défectueux, n’hésitez pas à le tenir informer.

Suivre son colis en temps réel

Vous pouvez  suivre en temps réel l’expédition de votre colis vers chaque destination en France comme à l’international et connaître les différentes étapes de livraison de vos documents et marchandises. Ce service gratuit est disponible en ligne  par la plupart des entreprises de livraison avec des avantages spécifiques pour chacune d’entre elles. Les services de livraison rivalisent d’efficacité. Les clients peuvent suivent via leur mobile ou ordinateur leur colis à partir du moment où il est traité, puis remis au service de livraison, puis remis au transporteur et au moment où il arrive chez vous. Nous sommes loin des heures d’attente chronophage d’il y a encore peu de temps.

Les différents modes de livraison

Le client a le choix mais il le fera selon ses attentes et ses besoins.

La livraison à domicile

C’est le mode de livraison préféré de 85 % des acheteurs en ligne selon le baromètre FEVAD/Médiamétrie. Pas besoin de vous déplacer, vous recevez votre colis directement chez vous et donc vous gagnez du temps.

La livraison en point relais

C’est le 2e mode de livraison privilégié par les acheteurs en ligne. Le point relais est particulièrement plébiscité par les salariés qui souhaitent récupérer leurs achats à proximité de leur entreprise ou de leur habitation. Les colis sont stockés 14 jours mais c’est  aussi un mode plus économique pour les entreprises, car il permet de réduire les déplacements des transporteurs en leur évitant de livrer chaque client.

La livraison express

Le délai de livraison de leurs commandes est un critère essentiel d’achat. La livraison express, à domicile ou en point relais, est un excellent moyen de développer une clientèle qui aime qu’on réponde à sa commande le plus rapidement possible même si cela lui coût plus cher.

La livraison sur rendez-vous

Cette solution répond au besoin d’immédiateté des clients. Avec la livraison sur rendez-vous, l’acheteur peut choisir la date, l’heure et le lieu de réception de sa commande.

Le retrait en magasin (click and collect)

Le click and collect est de plus en plus apprécié par les consommateurs en ligne car il présente de nombreux avantages dont celui de la gratuité aussi bien pour le vendeur que l’acheteur.

Quel ticket de caisse pour demain ?

Dans un monde de plus en plus dématérialisé, le ticket de caisse fait figure de vétéran. Des applications mobiles proposent aux consommateurs et aux commerçants de révolutionner le bout de papier en « smart ticket ». C’est le cas de l’application Skerou qui permet de scanner le contenu de son ticket de caisse pour en utiliser les informations pour de prochains achats (programmation d’une liste de course…) et faire des économies. L’application, en lien avec les supermarchés partenaires, donne notamment la possibilité de recevoir des réductions sur des produits préférés. Limpidius est une application qui permet aux commerçants d’envoyer aux clients un ticket accessible sur un compte web ou sur smartphone. Les bénéfices pour le client sont multiples : plus de perte de la garantie, des coupons promotionnels… Pour le commerçant, c’est surtout une nouvelle relation qui se met en place. L’extraction des données permet d’améliorer  la connaissance du client et de bénéficier d’informations pertinentes pour affiner les services proposés

55 Académie lance ses formations ?

Interview d’Etienne Grosjean, co-fondateur de 55 Académie.

Comment t’es venu l’idée de créer 55 Académie ?

Tout est parti d’une réflexion avec mes associés chez 2 Heures 56 Productions, Henri et Thibault. Nous cherchions à diversifier notre activité. Notre idée, c’était de se lancer dans la formation. D’abord, parce que nous avons constaté le lien éventuel entre l’e-learning et nos compétences et équipements audiovisuels. Nous avons commencé à mettre en place notre projet d’organisme de formation. Au début, nous avons lancé l’e-learning et au final, pour différentes raisons, nous nous sommes recentrés sur le présentiel/distanciel. C’est ainsi que nous avons développé un organisme de formation qui, pour l’instant, n’est pas lié à la vidéo. L’e-learning, nous y reviendrons peut-être plus tard, mais c’est comme cela qu’est venue l’idée de 55 Académie.

Justement, 55 Académie propose quoi aujourd’hui ?

Aujourd’hui, 55 Académie, ce sont des formations présentielles et distancielles sur les compétences dites transverses, que nous proposons uniquement en B2B. L’idée, c’est vraiment d’accompagner les chefs d’entreprises, les dirigeants, les managers, les collaborateurs… sur toutes les compétences qui se situent au-delà de leur cœur de métier, de leur expertise. Autrement dit, tout ce qui va leur donner l’opportunité de gagner en efficacité, en productivité et en bien-être au travail et permettre ainsi à l’entreprise de se développer.

Concrètement, qu’est-ce que vous proposez aujourd’hui ? Des sessions de formation online, offline ? C’est quoi ?

Nous proposons des sessions de formation en présentiel, qui se déroulent soit chez le client, soit dans des locaux proposés par 55 Académie, ou en distanciel. Celles-ci se font en visio, avec plusieurs créneaux horaires proposés. Nous proposons des sessions en intra comme en inter. Tout dépend du nombre de participants à la formation, du client également, de combien il a de collaborateurs à former.

Combien de temps durent vos formations ? C’est quoi le rythme ? 

Cela va vraiment dépendre des formations. Généralement, en temps global, nous sommes entre une demi-journée et deux jours de formation. Quelques formations peuvent offrir aussi un mode renforcé, sur deux jours, par exemple, sur les formations digitales, comme sur ChatGPT. Après, en distanciel, ce que nous proposons et qui est généralement mieux perçu et plus facile pour l’acquisition de compétences pour les apprenants, c’est de morceler la formation en demi-journées. Par exemple, pour une formation de deux jours, nous les déclinons en quatre sessions de demi-journées réparties sur quatre semaines. Cela permet d’avoir une meilleure acquisition de compétences sur le distanciel qui peut être parfois plus rébarbatif que le présentiel, qui a l’avantage de la présence humaine.

Comment se distingue la formation des autres formations qui existent dans le domaine ?

Notre but, c’est vraiment d’avoir un catalogue de plus en plus diversifié. Pour l’instant, nous proposons une cinquantaine de formations et le catalogue va encore s’enrichir. Grâce à notre large réseau de formateurs, nous pouvons répondre à des demandes spécifiques de formations. Ainsi, nous ne nous limitons pas à notre catalogue. Si nous avons un client qui a une demande spécifique de formation sur un thème qui est hors catalogue, nous avons le réseau pour lui développer une formation adaptée à ses besoins. Nous souhaitons proposer un service presque sur mesure à nos clients.

Depuis quand est lancée la formation ?

L’entreprise en elle-même est lancée depuis l’année dernière, mais le site n’est sorti qu’en janvier 2024. 2024 est vraiment la première année de 55 Académie, c’est l’année du lancement de notre catalogue,  même si l’année dernière, a été une année chargée pour tout mettre en place. 

Qu’est-ce que vous allez proposer à l’avenir ?

Nous sommes en train de mettre en place un catalogue de formations destiné aux artisans. La période actuelle n’est pas facile pour eux et les formations proposées ne s’adressent en général pas vraiment à eux et à leurs problématiques qui sont bien spécifiques au contexte de l’artisanat. C’est pourquoi nous prévoyons de sortir d’ici la fin de l’année un catalogue de formations qui s’adressera exclusivement aux artisans. 

Est-ce qu’il y a un point que je n’ai pas abordé que tu souhaites aborder ?

Nous avons une dimension solidaire, puisqu’en fait, chez 55 Académie, nous reversons 5,5% du prix de la formation à l’Afev. L’Afev, c’est une association qui s’occupe du soutien d’élèves en difficulté scolaire. Ils organisent des sessions de mentorat pour les élèves du primaire au lycée par des étudiants bénévoles. Nous reversons 5,5% à cette association pour montrer qu’il n’y a pas d’âge pour la montée en compétences et les connaissances acquises jeunes sont une base essentielle pour la carrière et les salariés de demain. Au-delà de l’aspect solidaire qui nous intéresse, il y a vraiment ce parallèle avec nos apprenants. Nos formateurs qui sont aussi un peu les mentors de nos apprenants pour les accompagner à monter en compétences et permettre à leurs entreprises d’améliorer leurs résultats. Et chaque fois qu’un apprenant monte en compétences, il permet à un élève de le faire également.