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Franchiser n’est pas jouer

En signant leur contrat de franchise, la majorité des candidats à la franchise n’ont pas conscience des risques potentiels auxquels la relation de franchise les expose. Selon Rodolphe GALY-DEJEAN, l’absence d’information entourant ces risques empêche la plupart des futurs franchisés de les anticiper et de protéger efficacement leurs intérêts, quand, le cas échéant, ils surviennent.

Trois exemples de situations réelles vécues par des franchisés

Imaginez que vous avez réussi à intégrer un réseau de franchise depuis plusieurs années et que l’une des situations suivantes se produit.

Comment réagissez-vous ?

Première situation : voilà 10 ans que vous êtes franchisé et que vos résultats vous classent parmi les meilleurs franchisés du réseau. Au terme de votre contrat, vous voulez vendre votre commerce (fonds de commerce et enseigne). Votre franchiseur, qui contractuellement peut ou non agréer l’acheteur qui va reprendre votre affaire sans avoir à se justifier, rejette les uns après les autres les candidats à la reprise que vous lui présentez, vous empêchant de vendre votre magasin comme vous le souhaiteriez.

Deuxième situation : votre franchiseur rachète un réseau. Les points de vente du réseau racheté conservent leur enseigne et mène, sous l’égide de votre franchiseur, une politique commerciale agressive pour gagner des parts de marché. L’un des points de vente du réseau racheté se situe sur votre zone de chalandise et capte une partie de votre clientèle faisant chuter votre chiffre d’affaires.

Troisième situation : votre franchiseur lance une campagne de communication. A la suite de cette campagne, la clientèle se détourne de votre enseigne, votre chiffre d’affaires plonge et les points de vente du réseau tombent en liquidation les uns après les autres.

Deux catégories de franchisés

Il existe ainsi en franchise de nombreuses autres situations devant lesquelles les franchisés ne réagissent pas de la même manière en fonction de leur capacité à gérer le rapport de force qui les lie à leur franchiseur. Cette capacité a gérer ce rapport de force est conditionnée par leur application à avoir anticipé ces situations critiques avant la signature du contrat, par leur tempérament, par leur aptitude à s’entourer de professionnels compétents, etc. Schématiquement, on peut regrouper les franchisés en deux catégories.

Une première catégorie, la plus importante, réunit les franchisés qui n’ont pas les moyens de faire respecter leurs droits et leurs intérêts dans le cadre de la relation de franchise :

  • la grande majorité des franchisés de cette catégorie subissent les comportements opportunistes de leur franchiseur sans s’y opposer,
  • d’autres se lancent dans des bras de fer juridiques qui se soldent par des accords transactionnels et des sentences arbitrales assortis de clauses de confidentialité. Quelques uns de ces bras de fer finissent devant les tribunaux et se concluent souvent par la défaite des franchisés au terme de procédures longues, coûteuses et stressantes.

Ces situations, dont les issues sont en majorité défavorables aux franchisés, ont parfois des conséquences financières dramatiques pour cette catégorie de franchisés.

Une deuxième catégorie réunit les franchisés qui, parce qu’ils en ont le tempérament, parce qu’ils ont su bien s’entourer ou parce qu’ils ont su prendre, en amont de la signature de leur contrat, les dispositions adéquates, sont en mesure de faire face à l’opportunisme de leur franchiseur. Ces franchisés parviennent à tirer des bénéfices de leur activité de manière durable.

Des solutions pour faire face à la première situation évoquée (cas de la revente d’un point de vente)

Une première solution consiste à modifier la clause prévoyant la revente de votre magasin sur deux points. Le premier de ces points doit prévoir l’obligation pour le franchiseur de justifier par écrit les raisons de ces éventuels refus. Le deuxième point doit viser à limiter, à deux par exemple, le nombre de refus du franchiseur. Ainsi, ce dernier sera tenu d’agréer le troisième repreneur que vous lui présenterez.

Une deuxième solution part du constat qu’un organisme, une entreprise, un état ou un individu peut d’autant plus facilement se livrer à des abus que les personnes victimes de ces abus se taisent soit parce qu’elles ont peur, soit parce qu’elles n’ont pas les moyens de s’exprimer. La solution consiste alors à s’inscrire dans une dynamique collaborative et participative favorisant la transparence. Par exemple et dans le cas des franchisés qui nous concerne dans cet article, en acceptant de partager son expérience, que celle-ci soit bonne ou mauvaise, avec les autres franchisés et les candidats à la franchise. Dans d’autres domaines, c’est ce que proposent des sites comme tripadvisor.fr pour les voyages, lafourchette.com pour les restaurants,

… C’est l’ambition du site meilleurs-franchiseurs.fr

Si vous voulez en savoir davantage sur les situations évoquées dans cet article, comprendre les raisons qui poussent certains franchiseurs à adopter des comportements opportunistes, étudier les moyens de se prémunir et de faire face à ces comportements, si vous voulez échanger autour d’une analyse critique des informations publiées sur le monde de la franchise, vous pouvez participer aux formations organisées par Rodolphe GALY-DEJEAN sur le site tassag sur ce thème. La prochaine visioconférence est programmée le mercredi 17 octobre à 18H00 (durée 45 minutes).

Comment changer sa boite de pays ?

La pression fiscale n’a jamais été aussi forte en France sur les entreprises… Si bien que de nombreux entrepreneurs se demandent comment changer sa boite de pays et faire jouer la concurrence fiscale.

Changer sa boite de pays : pourquoi ?

La pression fiscale a toujours été très forte sur les entreprises en France. Avec le nouveau Gouvernement et la politique qu’il applique, la fiscalité n’a jamais été aussi forte. Le droit des sociétés et le droit du travail renforcent le sentiment d’inégalité puisqu’ils ne semblent pas en phase avec les nouveaux enjeux de la société. Ils posent des problèmes de la simplicité, flexibilité et rapidité.

La France est aujourd’hui accusé d’avoir 3 décennies de retard en matière d’entrepreneuriat et de nombreux entrepreneurs se demandent comment changer sa boite de pays ! Certains considèrent déjà que ne pas le faire serait une erreur de gestion.

Changer sa boite de pays : comment ?

Selon le droit communautaire, tout citoyen peut entreprendre et faire circuler des capitaux en toute liberté.

Le transfert d’activité doit correspondre à une réalité pour ne pas être reclassé par le fisc en France.
Pour changer sa boite de pays, explorer de nouveaux marchés et booster sa fiscalité, il suffit :

  • d’ouvrir une entité juridique dans le pays correspondant à vos besoins et objectifs,
  • d’y installer une domiciliation ou mieux prendre un petit bureau,
  • d’y ouvrir un compte bancaire professionnel,
  • de transférer une partie de vos activités et salariés dans le nouveaux pays d’accueil,
  • à défaut d’y embaucher du personnel localement : stagiaire, salarié junior ou confirmé,
  • d’étudier la possibilité de vous implanter durablement et de commercer dans votre nouveaux pays d’adoption,
  • de transférer votre siège social et de faire de votre société en France une filiale…

Selon votre cas et la structure de votre entité en France, cela peut se faire dans un délai d’une semaine à une année max.

Quel pays choisir ?

  • un pays avec une fiscalité avantageuse pour l’entrepreneur mais pas que …
  • un pays avec un environnement juridique et fiscal propice aux entrepreneurs et start-ups

Le Top 3 :

  • L’Irlande qui offre un impôt société de 12,5%
  • Le Royaume-Uni qui offre un impôt société de 20% et des charges salariales de 13,8% (part patronale)
  • La Belgique qui offre une fiscalité au top pour les plus-values

Ma juridiction préférée, Londres :

  • Parce que Londres offre le meilleur rapport qualité/prix
  • Parce que Londres offre un environnement au top pour l’entrepreneur
  • Parce que Londres est « The Place To Be » pour une start-up
  • Parce que Londres est hors de la zone Euro et fait preuve de stabilité
  • Parce que Londres n’est pas un paradis fiscal, mais un paradis pour entrepreneur
  • Parce que Londres a mis son administration au 2.0 et tout se règle par e-mail en 48 h max
  • Parce que Londres offre un droit des sociétés et du travail compréhensible par tous et en phase avec la vie d’une entreprise
  • Parce que Londres bénéficie d’une excellente réputation avec La City et après les JO 2012

Légal ou pas ?

Pour répondre à cette question, il faut considérer que votre délocalisation doit correspondre à une réalité dans les faits, pour éviter d’être reclasser par le fisc du pays où vous résidez.

Vous me direz que cela est compliqué pour une TPE et ne vaut pas le coup. Et bien vous serez surpris, car cela vaut le coup si vous travaillez seul et faites au minimum 50.000 Euros de C.A. par an.

Alors prêt pour le grand saut ?

L’esprit d’entreprise menacé de disparition ?

Après une semaine de rébellion des entrepreneurs Français contre les mesures envisagées par le gouvernement je me décide à écrire sur le sujet. Sujet qui me tient tant à cœur, sur lequel je suis sensible, mais à propos duquel recul et réflexion s’imposait afin d’éviter de dangereux raccourcis. Comment faire preuve d’esprit d’entreprise ?

Avant de débuter, je tenais à préciser que je ne fais pas partie des grands entrepreneurs s’étant exprimés ces derniers jours à l’image de Marc Simoncini, Patrick Robin (http://bcove.me/4nf68xe2) ou encore Jean-David Chamboredon. Je ne me compare pas et ne prétend pas être un entrepreneur à succès.

Simple entrepreneur je travaille depuis l’âge de 15 ans autour d’un rêve: créer et développer des entreprises en France. Ce rêve étant mis à mal je souhaite réagir sur un point, le sentiment d’un jeune de France face au climat anti-réussite actuel.

Des textes, des taux et des mesures

Le 28 Septembre pas de projet de loi de finances 2013 en vue mais …un tsunami :

  • Comment étais-ce possible ?
  • Comment un gouvernement avait-il pu penser un projet aussi déstabilisant pour le monde des startups ?
  • Comment peut-on envisager plus de 5 minutes et de façon sérieuse taxer à plus de 60% le fruit de la vente d’une entreprise issue d’années et d’années de travail acharné soldé à 9 fois sur 10 par un échec ?

Mais bien au delà de ces incroyables taux j’y voyais surtout une confirmation de mon sentiment depuis des semaines : la richesse, la réussite et l’ambition sont décriées, tout en confondant sans la moindre honte patrons, PDG voyous et entrepreneurs …

« Ces nuits blanches où vous n’étiez pas là (…) Mr Le Président »

Jean-Luc Besset, écrivait cette phrase dans un récent article ; comme elle est criante de vérité et comme je m’y reconnais seul devant mon ordinateur à 3 heures du matin en train d’écrire cet article !

Je n’ai pas peur de le dire : j’aime travailler ! Oui je travaille avec passion, oui je fais deux, trois fois 35h par semaine à moi tout seul, et alors ? J’en suis heureux parce que c’est cela l’entrepreneuriat avant tout, aimer son job, aimer ce que l’on développe, penser création 24/24h et rester motivé coute que coute sur son projet et ses valeurs, envers et contre tout.

Au delà de ce projet c’est aussi cet espoir un peu fou, un peu dingue qui nous caractérise, nous les entrepreneurs, que nous allons changer le monde à notre niveau. Ce rêve, cet espoir, il n’a pas de valeur, c’est lui qui nous permet d’avancer et de nous lever avec joie chaque matin.

Le temps d’un article arrêtons la langue de bois, même si les Français détestent ce mot, parlons d’ARGENT. Oui un entrepreneur endure des sacrifices immenses pour servir son rêve, son idéal d’entreprise, oui il travaillera plus que quiconque et perdra tout en cas d’échec.

Mais arrêtons de penser que tout est gratuit, que l’entrepreneur est un philanthrope, l’argent est un moteur et il le sera toujours, c’est un bon moteur qui est à encourager et à glorifier, pas à critiquer et à salir. L’argent n’est pas sale, il est honorable lorsqu’il est issu de son travail, de ses risques et de ses renoncements.

Un patron n’est pas un entrepreneur …

Venons en à l’amalgame réalisé depuis des semaines qui consiste à inclure dans le même “sac”, sans distinctions, tous ceux qui réussissent, qui se médiatisent et qui gagnent de l’argent. Non et encore non, une distinction convient d’être faite entre le PDG d’un grand groupe nommé en temps que salarié suite à une longue et brillante carrière, certes, mais non constituée des mêmes risques que le parcours d’un entrepreneur. Lui, cet entrepreneur, il aura bien souvent risqué une grande partie de son patrimoine personnel, perdu des proches dans son obsession de réussite. Il n’aura pas trouvé le sommeil durant des semaines à cause des difficultés de son entreprise, alors non ! Par pitié ! Ne mélangez pas ces deux profils aussi méritant l’un que l’autre…

Tous les entrepreneurs ne sont pas riches, et ceux qui le deviennent à la force de leur travail se transforment en modèle pour les plus jeunes, pour ceux qui se disent “voici la réussite que je souhaite avoir” et vont se donner à fond pour atteindre ce but et avoir l’esprit d’entreprise. Mais vous le savez tous durant cette période on est loin d’être riche, tout est loin d’être simple et l’argent facile n’existe pas. En cas d’échec vous serez seul, les autres vous regarderont tomber, personne ne vous aidera à vous relever, vous devrez le faire seul.

Pour montrer l’amalgame, quelques phrases entendues de personne ne travaillant pas dans le monde des startups :

  • “De toute façon ils sont tous pareil avec leur argent”
  • Ils sont riches, ils peuvent bien payer”
  • “Riche ? Riche sur le dos des pauvres oui”
  • “Si je gagnais 10% du montant de la revente de leur entreprise je serais déjà bien heureux tient”

Non un entrepreneur n’est pas un PDG !

Un rêve oh combien fragile et en partie brisé

C’est avec une pointe d’émotion que j’ai écouté l’interview de Marc Simoncini au micro de Stéphane Soumier dans Good Morning Business. Une émotion particulière car j’admire le journaliste ainsi que l’entrepreneur. Ces mots décrivaient un sentiment que je partage « Les gamins ils feront cela d’ailleurs, ailleurs, ils ne resteront pas en France avec des gens qui leurs disent, tu va bosser 12 ans et tu va me laisser, à moi Etat, 60% à la sortie »

L’esprit d’entreprise

La machine à entreprendre, c’est la rêve, le rêve de réussir, le rêve de se voir rétribué entre autre financièrement de ces années, parfois dizaines d’années de sacrifices sans vacances, sans salaires, sans grande considération. Comment voulez vous qu’un entrepreneur rêve avec une société qui le considère d’avance comme un patron voyou tout en le taxant d’un montant exorbitant en cas de réussite ? C’est impossible…

Le monde est vaste, internet l’a rendu accessible d’un clic, à quoi bon rester à survivre dans ce climat alors qu’à quelques centaines de kilomètres se trouve une ambiance différence admirant la réussite, ELLE ? Aucun intérêt, et par pitié arrêtons de parler de conscience patriotique, cet argument à bon dos. Oui la nation, sa propre nation est d’une grande importance mais ne donnant pas droit à tous types de dérives et surement pas celle qui consiste à faire des entrepreneurs les décriés d’un modèle économique qui n’en finit plus de mourir …

Vous savez, l’optimisme c’est ma raison d’être, mais aujourd’hui sur la situation de l’entrepreneuriat et l’esprit d’entreprise en France et je ne le suis pas, je n’arrive plus à l’être lorsque je vois les messages envoyés à ceux qui sont prêts à tout sacrifier pour réussir, à ceux qui ne manifestent jamais, à ceux qui ignorent même la signification du mot RTT …

A quand un gouvernement accueillant des entrepreneurs ? Je le rêve !

Ps: Pour éviter toute reprise politique de ma tribune je précise que non, je ne suis pas militant UMP, je partage et défend les bonnes idées sur l’esprit d’entreprise, qu’elles soient de droite ou de gauche.

Les salariés aiment toujours leur boite

Selon le sondage Ethic « J’aime ma boite » réalisé par OpinionWay, 67% des salariés déclarent aimer leur boite. Ce chiffre est en augmentation de +3% par rapport à 2011. Il reste toutefois inférieur au niveau d’avant crise qui s’élevait à 79% (en 2008).

Les raisons d’aimer sa boite

Si les salariés aiment toujours leur boite, c’est également car ils ont l’impression d’être aimés par celle-ci puisque pas moins de 75% des interrogés déclarent se sentir aimé par elle. Mieux 69% déclarent être de bonne humeur en pensant à la journée de travail qui les attend.

Chiffre assez surprenant : 79% déclarent que le soutien des citoyens pour leurs entreprises est important voire très important.

Les raisons qui poussent à ne pas l’aimer

Si 67% déclarent aimer leur boite, 33% d’entre eux déclarent ne pas l’aimer. Le sondage nous donne les principales raisons de se désamour :

  • 47% déclarent ne pas aimer leur boite à cause du management
  • 28% à l’entreprise elle-même
  • 15% à la crise économique en général

Le gouvernement n’aime pas ses patrons.

A l’inverse de ce premier mouvement, 52% des répondants ont affirmé que le gouvernement actuel n’aime pas les patrons. On imagine bien qu’avec les évènements récents, ce sentiment a pu baisser depuis ce sondage pourtant tout juste sorti.

Les éléments incitant à apprécier davantage son entreprise

Ce récent sondage donne également les clés de « l’amour de l’entreprise ». Ils donnent les raisons principales incitant à apprécier davantage son entreprise :

  • 61 % déclarent que la reconnaissance est un bon facteur
  • 50% que l’attention significative au bien être des salariés est un levier 
  • Enfin 20% déclarent que la souplesse dans la gestion de l’emploi du temps aurait une influence

A noter : vous pouvez fêter « j’aime ma boite » dans votre entreprise le jeudi 18 octobre 2012. Pour en savoir plus rendez-vous sur www.jaimemaboite.com

Ce sondage a été réalisé auprès d’un échantillon de 930 salariés représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus constitué selon la méthode des quotas entre le 12 et le 20 septembre.

Ciel, résolument Fournisseur de solution globale

Les entrepreneurs, notamment les créateurs et les dirigeants de petites entreprises, n’identifient pas forcément les logiciels de gestion comme un investissement nécessaire. Ils sont pourtant un gage de pérennité supplémentaire pour l’entreprise, à condition que leurs utilisateurs adoptent, dès le début, les bons réflexes de gestion.

Leader sur son marché, Ciel s’engage pour soutenir les entrepreneurs au quotidien avec des logiciels simples et faciles à utiliser et des services qui leur permettent d’acquérir ces réflexes, de gagner en efficacité et de consacrer plus de temps à développer leur business.

L’éditeur renforce son positionnement de fournisseur de solution globale et développe, pour ses versions 2013, de nouvelles offres qui marquent la volonté de Ciel d’être un « facilitateur » pour les petits entrepreneurs.

Un Expert-Comptable dans les packs Ciel !

Chaque mois, Ciel offre à 1.200 créateurs d’entreprise 2 heures de conseils avec un Expert-Comptable, grâce au partenariat que l’éditeur vient de nouer avec le CJEC, le Club des Jeunes Experts-Comptables et Commissaires aux Comptes. Cette offre est réservée en exclusivité aux entreprises qui n’ont jamais employé d’Expert-Comptable. Une offre originale qui permet au créateur de prendre conscience des obligations comptables d’une entreprise et des risques auxquels il s’expose s’il y contrevient.

1 heure d’initiation gratuite, le bon démarrage !

Difficile pour un dirigeant de petite entreprise d’envisager passer des journées entières à maîtriser un nouveau logiciel. Ciel facilite la prise en main de ses produits en offrant à ses clients une heure de conférence téléphonique gratuite avec un formateur Ciel pour tout achat d’un nouveau logiciel. Un ordinateur connecté à Internet et un téléphone suffisent. L’utilisateur suit en direct toutes les actions du formateur lors d’une séance conçue, à chaque fois, pour un logiciel spécifique.

Pour plus d’information : www.ciel.com

De Scellier à Duflot, ce qui va réellement changer

Nous attendions tous avec impatience, le remplacent du dispositif Scellier ; enfin celui-ci est arrivé. Baptisé « Dispositif Duflot » nom attribué par sa créatrice Cécile Duflot ministre du logement, devrait être mis en place des 2013.

Ce nouveau dispositif ne diffère que très largement par rapport au dispositif Scellier, en effet, le même principe est conservé et on observe qu’un remaniement des principes. 

Le dispositif Duflot en détail

Celui-ci sera tous comme son prédécesseur un décret permettant de bénéficier d’une défiscalisation dans le cadre d’un investissement locatif mais avec des principes différents dus à son nouvel objectif qui est de stopper la crise de pénurie de logements et de donner une nouvelle impulsion à ce secteur qui est au ralenti depuis quelques années maintenant. 

La différence principale : un dispositif plus incitatif

Les grandes différences du dispositif Duflot avec le Scellier portent sur les réductions fiscales et les nouvelles exigences sociales. 

En effet, ce premier sera plus incitatif fiscalement avec un taux de réduction de l’imposition compris entre 17 et 20% selon le dispositif Duflot choisit dans la limite de 300 000 euros d’investissement. Si le logement recueille d’excellentes performances énergétiques il apparait que le taux de réduction pourrait être augmenté.

Des exigences plus fortes

En contrepartie d’une augmentation des réductions fiscales, il impose des exigences plus fortes.
Premièrement la zone géographique va être fortement réduite puisqu’elle se limitera aux zones dans lesquelles les pénuries de logements sont les plus importantes.

Deuxièmement, un plafonnement des loyers va être instauré. Les propriétaires de logements devront louer leurs biens à des loyers plafonnés qui devraient être inférieurs de 20% au prix des loyers du marché. 

Enfin dernière exigence, un plafonnement des ressources des locataires sera également mis en place, celui-ci sera baissé par rapport à celui-ci du dispositif Scellier intermédiaire.

Une dernière information importante

Dernière information importante à noter, le dispositif Duflot entrera dans les niches fiscales, et fera l’objet d’un plafonnement à hauteur de 10 000 euros.
Ce nouveau dispositif a été globalement plutôt bien accueilli par les professionnels de l’immobilier puisque d’après ceux-ci, il devrait avoir un réel impact sur la pénurie des logements en France et à long terme sur la baisse des loyers.

Non occupation du logement d’un bail mixte : quel risque ?

Le renouvellement d’un bail mixte peut être refusé si le locataire utilise le local de façon professionnelle exclusivement.

Pour donner congé à un locataire qui dispose d’un bail mixte (à usage professionnel et d’habitation), le bailleur doit justifier sa décision par la volonté de le reprendre, de le vendre, ou par un motif légitime et sérieux. Il en est ainsi pour un locataire qui ne respecte pas l’une de ses obligations : paiement des loyers, dégradation des locaux, respect des conditions du bail

Mais le fait, pour un locataire titulaire d’un bail mixte, de ne pas utiliser la partie à usage d’habitation constitue-t-il un motif légitime et sérieux ? La Cour de cassation a répondu par l’affirmative, dans un arrêt de la 3e chambre civile du 5 septembre dernier.

Pas résiliable en cours de bail

La Cour de cassation estime ainsi qu’un locataire qui n’utilise pas au moins une partie des locaux pour son habitation principale ne peut se prévaloir du droit au renouvellement de son bail.

Par contre, la Cour de cassation précise que, pendant la durée du bail, si le locataire se sert des locaux uniquement pour un usage professionnel ou uniquement comme habitation principale, cela ne constitue pas un motif justifiant la résiliation du contrat pour défaut de respect de l’une de ses obligations.

La communication et les réseaux sociaux

La série Mad men illustre 10 ans de communication entre les années 60 et les années 70. La série débute par une réflexion autour des slogans qui figureront sur des affiches puis continue par la réalisation de séquences de publicité pour la télévision. Aujourd’hui, il faut évidemment prendre en compte Internet. L’audience est désormais plus présente sur YouTube et sur Twitter qu’à la Télévision. Prenons pour exemple, le basketteur Lebron James qui détient plus de 6 millions d’abonnés sur Twitter. Ses tweets touchent des centaines de milliers de personnes instantanément. Et si vous pouviez avoir le même pouvoir de communication et les réseaux sociaux pour votre start-up ?

Depuis que nous sommes entrés dans l’aire du web 2.0, les internautes ne se contentent plus de faire de simples recherches mais se sont mis à partager : on est passé à une communication participative. Les blogs, les forums, les réseaux sociaux sont plus que jamais d’actualité. Autrement dit, depuis la « révolution web 2.0 », une liste exhaustive d’outils s’est créée. Les principaux acteurs exploitent le « réseau social » de façon différente.

Exemple : les étapes de l’utilisation d’un blog…

Comment tous ces outils se combinent entre eux ? Pour cela, nous vous proposons d’entrer dans la peau d’un Community Manager qui cherche à optimiser les visites sur un blog.

Il commence, tout d’abord, par rédiger un article afin d’aborder un sujet d’actualité. Puis, il le met en forme en l’illustrant à l’aide de photos et vidéos.

La seconde étape consiste à faire rapidement un maximum de visites sur le site. Le blogueur profitera donc de la viralité des réseaux sociaux pour que son information passe avant celles des autres. Pour cela il faut être rapide, car sur le Web une information devient vite obsolète et il reste capital d’être le premier.

…Par médias sociaux

Commençons par Facebook, il publie le lien de son article sur sa « Fan Page » puis partage l’article à son cercle d’amis (généralement son réseau est bien constitué et dépasse souvent les 1000 amis). Si son article intéresse, il en obtiendra un maximum de « likes » et un maximum de partages.

  • Il relaye ensuite l’information sur les groupes Facebook susceptibles d’être intéressés par cette dernière.
  • Il rédigera obligatoirement un « Tweet », comportant l’adresse de l’article, accompagnée d’Hashtags de référencement bien choisis et d’arobases pour destiner le message aux « followers » (ndlr : suiveurs) les plus concernés.
  • Il fera un court passage sur le site Pinterest pour y épingler une image présent dans l’article. Malheureusement, force est de constater que Pinterest est peu connu en France.
  • Il ne pourra pas vraiment cibler au mieux ses lecteurs potentiels: nous avons toujours un train de retard sur les pays anglo-saxons, le temps que ça traverse l’Atlantique et la manche.

S’il veut optimiser son temps, le Community Manager utilisera des applications mobiles telles qu’Instagram : il pourra publier une photo exclusive sur plusieurs réseaux en même temps dont Facebook et Twitter font partis. S’il s’agit d’un blog de mode ou de produit HighTech, nous lui conseillons aussi de partager son image sur Fancy. Cette application illustre, sur vos mobiles, toutes les dernières photos à la mode ou sur les objets que vous convoitez tant.

En dernier lieu, un bon Community Manager analysera son trafic. Il utilise de nombreux outils performants comme par exemple Google Analytics. Il perfectionnera le suivi de son influence sur le web grâce à des outils tels que Klout.

L’influence des mobiles

Avec les téléphones mobiles, le processus s’accélère, il se résume en deux axes :

  • traitement rapide de l’information en direct
  • envoi sur de multiples supports à la fois.

L’industrie du téléphone mobile l’a bien compris. Leur futur est fortement lié aux réseaux sociaux. Quid d’un bon film de super-héros

Américain, le prochain Captain America des mobiles ? L’Iphone 5 pourrait être celui-ci puisque ses ventes devraient dépasser les 160 millions d’unités (leader du marché), et que son utilisation a été optimisée pour les réseaux sociaux : selon la keynote d’Apple du 12 septembre 2012, il suffira de faire glisser l’écran de bas en haut pour écrire un message ou partager une photo sur son mur Facebook ou sur Twitter.

En conclusion

Pour être un bon Community Manager, il faut être appliqué et rapide. Le Community management est un métier à plein temps et ne doit pas être pris à la légère. Cette fonction implique de personnaliser ses messages pour avoir un maximum d’impacts. 

Pour l’optimiser, à défaut de pouvoir le gérer en interne des solutions existent comme l’externalisation auprès de professionnels du métier. Ceci vous permettra de minimiser les coûts, de gagner du temps et également de vous assurer un retour optimum. A vous dans ce cas, de bien choisir un prestataire.

Sans conséquence claire, peu d’avancée ou d’effort

On parle souvent d’objectifs mais très peu souvent des suites qui en résultent. A travers deux anecdotes, qui m’ont particulièrement interpellé cette semaine nous allons illustrer l’utilité de bien anticiper ceci.

1) Un chef d’entreprise, franchisé, me confie son agacement :

Il a beau répéter, lors des réunions hebdomadaires avec ses 3 jeunes commerciaux, qu’il faut augmenter la prospection, relancer les devis en cours, se secouer, sinon ça risque de mal finir, les réactions sont insuffisantes. A ma question : « sont-ils tous les 3 aussi peu réactifs ? », il avoue qu’en réalité l’un se donne du mal, le second fait parfois quelques efforts, mais le 3è a beaucoup d’excuses, avec la tendance à entraîner ses collègues dans ses justifications

2) Cet excellent prestataire de services, que je commence à accompagner depuis quelques semaines, avoue sa perplexité :

7 propositions commerciales en cours, et 7 clients potentiels qui souhaitent « réfléchir » avant de prendre leur décision. « C’est la crise », et il espère que je vais avoir le « truc » incontournable qui va lui assurer l’accélération de ses commandes. Quel lien entre ces 2 histoires, tellement banales en apparence ? La notion de conséquence, jamais évoquée pourtant. Mais encore ?

La nécessité d’anticiper et de penser aux conséquences

Si des commerciaux se donnent plus ou moins de mal, et que la seule conséquence, pour eux, de la part de leur patron, est une mise en garde générale, cela ne suffit pas. Pour celui qui fait des efforts, recevoir le même commentaire que ses collègues le démotivera (le fait qu’il touche peut être plus de commissions n’est pas un élément suffisant, nous aurons l’occasion de revenir sur le sujet).

Et celui qui trouve des justifications (au lieu de chercher des solutions !) ne voit aucune raison de se remettre en cause, puisque les conséquences ne sont pas plus négatives pour lui que pour ses collègues. Bref, de chacun de nos actes découle une conséquence. Positive si nous allons dans la bonne direction, négative en cas contraire. Lorsque notre comportement managérial est similaire en toute situation, ceux que nous aurions du féliciter deviennent indifférents, et ceux qui devraient se bouger n’ont aucune raison de le faire, puisque cela ne change rien pour eux

Le lien avec la deuxième situation

Quel lien avec mes propositions commerciales en attente ? Imaginons ce qu’il se passe dans le cerveau de notre prospect. Qu’il passe commande ou pas, qu’est ce que cela va changer pour lui ? S’il a l’impression que cela ne modifiera pas vraiment son quotidien, son résultat, son plaisir, ou son image (par exemple), pourquoi se presser ? Aussi, pour qui fait une proposition commerciale, il est primordial d’insister sur les conséquences, positives si on fait appel à lui, et négatives dans le cas contraire. Si je crois que je vais gagner 1000€ par jour en utilisant une solution, je ne vais jamais « réfléchir », mais plutôt insister pour démarrer dès que possible.

Donc, en faisant une offre de services, posons nous la question, systématiquement : que se passe t il si l’on fait appel à nous ? Si la réponse est : « rien », il est temps de changer de métier, ou de faire une pause de réflexion marketing.

Anticiper : La morale de l’histoire

En effet tout service ou produit implique une amélioration, même minime, dans la vie de l’acheteur. Si ce n’est pas le cas, ne soyons pas surpris qu’il repousse à bien plus tard une décision d’achat sans conséquence apparente pour lui (à part le coût !)

Pour la même raison, si notre collaborateur, quel que soit son niveau d’implication, ne ressent pas de conséquence différente dans sa vie ou notre considération envers lui, il fera naturellement moins d’efforts.

Aussi la prochaine fois par exemple, que vous participerez à un « business meeting », ou que vous rencontrerez des partenaires ou prospects, insistez bien mieux sur les conséquences et résultats de vos prestations, et non sur vos objectifs (équivalents à des vœux pieux) Flaubert le disait déjà : « le succès est une conséquence, non un but »

Entrepreneurs : See Concept, innovation et design

La marque See Concept, fondée par trois jeunes entrepreneurs, connait une très forte croissance et se déploie au niveau international. Leurs lunettes pour presbytie en libre service se vendent comme des petits pains.

A 25 ans, les trois fondateurs de See Concept, Charles Brun, Quentin Couturier et Xavier Aguera peuvent déjà parler d’une vraie réussite pour leur jeune entreprise d’à peine 2 ans. L’entreprise qui met à disposition des lunettes d’appoint pour presbytes connait une croissance continue depuis sa création. 

Parcours divers et passion commune 

See Concept, c’est avant tout l’association de trois amis d’enfance aux parcours variés, qui se sont rencontrés sur les bancs du lycée, en 1ere. Leurs parcours universitaires respectifs les envoient dans des voies différentes : Xavier Aguerra se forme en classe préparatoire, puis étudie au Canada, où il retrouve Charles. Quentin, quant à lui, étudie en école de commerce à Paris. L’envie d’entreprendre les rassemble à nouveau dans l’idée de développer un produit innovant et pertinent. 

Les débuts du projet 

Les jeunes hommes avouent avoir puisé leur inspiration dans un constat général : les presbytes ont une vue mal adaptée, si bien que leurs lunettes, portées occasionnellement, sont souvent oubliées. Il s’agit de mettre à leur disposition des lunettes spéciales presbyties dans les lieux publiques où il est nécessaire de lire des textes écrits souvent en tout petit (banque, restaurant…). Alors qu’ils sont en stage de fin d’études, ils commencent à travailler sur leur projet après la sortie du travail, deux fois par semaine. Les jeunes hommes en réalisent rapidement l’immense potentiel. Après des tests sur le terrain, les résultats du « Go no Go » s’avèrent très concluants. Une fois diplômés de l’ESCP, les trois amis lancent l’entreprise.

Une production sociale et responsable en quête de clients : 

Le cœur de cible établi dans un premier temps est constitué par les banques et agences d’assurance auxquelles ils proposent le produit. L’ajout de valeur sociale était la préoccupation majeure dans la chaîne de production. Les entrepreneurs sont parvenus à proposer un produit 100% français. Dans la région de Lyon d’où ils sont originaires, les entrepreneurs sont allés chercher des partenaires industriels français de la « Plastic Valley », tout en réussissant à rester compétitifs. See Concept développe de nombreux atouts : les lunettes sont en plastique recyclable, développé dans un CAT, qui emploie des personnes handicapées. Sur le plan relationnel, cette production responsable donne au service client de l’entreprise concernée une aura très favorable. Il s’agit de rechercher véritablement le confort du client. Premier client, première victoire : le Crédit Coopératif signe avec enthousiasme le contrat pour bénéficier des produits de la gamme See Up. 

2011 : des 1ers succès commerciaux à l’expansion d’un phénomène grand public

Le succès est contagieux : l’équipement en lunettes s’étend dans plusieurs grandes entreprises comme la GMF, le CIC-Crédit Mutuel, la Société Générale, sans compter les banques régionales.
En septembre 2011, un tournant au sein de la jeune entreprise est amorcé : ce sont les débuts de la reconnaissance du grand public. L’entreprise lance ses premiers plans de communication fondés sur l’universalité de leur produit (un modèle unique pour tous), l’innovation à l’échelle mondiale, la cible qui touche 1/3 de la population, le label « made in France » et la volonté d’offrir réellement un service utile aux clients.

See Concept apparait au JT de France 2 à deux reprises et à l’émission On n’est pas couchés de Ruquier. Trois types potentiels d’acheteurs émergent : ceux directement intéressés, les proches qui le conçoivent comme un cadeau, mais aussi des personnes intéressées par le design. 

Perspectives de développement : vers l’international et chez le particulier

Les investisseurs étrangers et les distributeurs se penchent avec grand intérêt sur le projet très prometteur de ces trois entrepreneurs précoces. Aussi, chez les particuliers, il a fallu adapter les modalités de vente. Il s’agissait de travailler sur son image, afin de la rendre suffisamment attractive. Le travail de design, sous la houlette de Julie Couturier, a pris un essor conséquent afin de produire un objet séduisant. Le marché insoupçonné du particulier est découvert et s’avère très prometteur.
L’élection « Coup de Cœur » du salon Marie-Claire Maison, qui recense 2000 exposants, a été la cerise sur le gâteau et a concrétisé le rêve de notoriété des entrepreneurs, « le Graal ultime » selon les mots de Xavier Aguerra. Les entrepreneurs décident de commercialiser leur produit si les ventes lors de ce salon atteignent les 1000 exemplaires. Avec plus de 7500 unités écoulées, le challenge est relevé haut la main ! La gamme See Home a donc été lancée, et est distribuée dans 270 points de vente. 

Au Japon, à Chicago, à Paris ou à Bruxelles : les points de distribution ne cessent de s’étendre. Ce sont les concepts stores, design ou déco qui sont visés en priorité. Le succès est fulgurant, à tel point que de nombreux points de vente s’affichent en rupture de stock. Nouvelle perspective à explorer, celle de proposer leur produit chez les opticiens, dès octobre. 

De la réussite à la diversification des produits 

La gamme « See Up » était davantage orientée B to B, institutionnelle, et par conséquent manquait d’attractivité pour le privé. Les entrepreneurs ont désormais des envies de renouveau pour See Concept, en s’intéressant notamment à d’autres secteurs. Les salons de coiffure ou les hôtels seraient des emplacements idéaux. 

Les trois cofondateurs ont recruté 4 personnes ainsi qu’un ingénieur qui supervise la production. Les jeunes gens cherchent désormais à créer des emplois de commerciaux et à lancer une campagne de communication.