Accueil Blog Page 973

Reprise d’entreprise : êtes-vous un bon négociateur ?

Un grand nombre de cadres de haut niveau se considèrent comme d’excellents négociateurs. Ils ont fait leurs preuves dans des négociations difficiles avec des clients grands comptes, des fournisseurs stratégiques, avec des acheteurs de la grande distribution, avec des syndicats récalcitrants, ou encore avec des interlocuteurs coriaces à l’international. Tout porte à croire qu’ils seront alors de redoutables négociateurs face à des cédants, dans le contexte d’une reprise d’entreprise.

Comment expliquer que ces « spécialistes de la négo » se montrent aussi maladroits dans les pourparlers avec les cédants ?

Fortes de plusieurs centaines de négociations menées pour le compte de ses clients repreneurs, les équipes ALTHEO ont mis en évidence quelques explications dans la posture mortifère de négociation de ces repreneurs.

La « sur-implication psychologique » du repreneur

Reprise d’entreprise avec ses propres deniers engendre des comportements exacerbés chez les repreneurs individuels.

De par les enjeux financiers, cette démarche est lourde de conséquences sur leur patrimoine actuel et futur. Lors des échanges avec les cédants, ils pêchent alors par excès de prudence. Par ailleurs, ils peuvent se montrer impatients, pressés par la durée de leurs allocations chômage. Ballottés par ces pulsions contradictoires, les repreneurs peuvent se révéler trop directifs, voire agressifs avec les cédants qui disposent souvent d’un horizon de temps moins contraignant.

La « sur-implication psychologique » du cédant

A l’instar du repreneur, le cédant subit lors des négociations une pression psychologique considérable liée à des phénomènes bien connus : enjeux financiers, perte du pouvoir, attachement à l’entreprise, deuil de l’entrepreneuriat…A son tour, le cédant peut adopter une attitude irrationnelle face à un repreneur qui va le « dépouiller » d’une des composantes essentielles de sa vie.

L’erreur d’appréciation du repreneur dans son rapport de force avec le cédant

Lors des pourparlers, le repreneur en vient souvent à se persuader que le cédant n’a d’autre alternative que de lui vendre sa société. Prenant ses désirs pour des réalités, il considère que l’entreprise ne peut intéresser un concurrent ou un groupe, ou encore, par manque d’humilité, que son offre ne peut qu’être supérieure à celles de concurrents potentiels.
Le repreneur « oublie » également que le cédant dispose généralement d’un choix ultime consistant à proroger son projet de cession si aucune offre ne lui convient !

En guise de conclusion, l’expérience ALTHEO en matière de négociation amène à ce constat, qui a la force de l’évidence : il est bien plus facile d’être un bon négociateur lorsqu’on est seulement concerné (position de celui qui négocie pour le compte d’autrui) que lorsqu’on est directement impliqué.

« Etre concerné » ou « être impliqué », quelle différence me direz-vous ? Dans une omelette aux lardons, la poule est concernée, … et le cochon est impliqué !

Les 10 conseils pour réussir à surfer sur les nouvelles lois pour lancer un business comme 1001Pharmacies

Les 10 points à retenir pour, vous aussi, réussir à surfer sur les nouvelles lois pour lancer un business comme 1001Pharmacies.fr.

Lisez la presse

C’est dans les rubriques juridiques, sociales et économiques, ou dans les articles relatifs à l’Union européenne que vous trouverez les précieuses informations sur les lois qui devraient ne pas tarder à passer.

Armez-vous de patience

Vous ne pouvez pas savoir précisément quand la future loi sera votée. Soyez prêt financièrement et psychologiquement à attendre.

Attendez-vous à connaître des difficultés d’ordre réglementaire

Ne pensez pas que tout vous sera servi sur un plateau d’argent. On risque de vous mettre des bâtons dans les roues.

N’écoutez pas ceux qui vous disent que votre idée est complètement folle

Bien sûr, elle est complètement folle car elle est encore hors la loi !

Tentez de décrocher des financements

Il va vous être difficile de patienter, évangéliser, communiquer, recruter… sans financements.

Etudiez tous les scénarios possibles

… tout en sachant que, de toute façon, les choses se passeront d’une façon que vous n’aurez pas prévue, même dans vos scénarios les plus fous !

Evangélisez vos clients potentiels

Un long travail de pédagogie auprès de vos prospects vous sera nécessaire. N’oubliez pas que les gens ne sont pas forcément toujours très réceptifs aux changements, même positifs.

Trouvez des moyens de créer des barrières à l’entrée de concurrents

C’est là que vous devrez faire appel à toute votre créativité d’entrepreneur.

Respectez bien la loi

Inutile de vouloir aller trop vite et d’arriver sur le marché avant même que la loi ne soit votée. Cela ne pourra que vous desservir.

Réfléchissez à un business model suffisamment solide

pour pouvoir faire face à l’arrivée sur le marché de géants dotés de millions
Cela arrivera dans tous les cas, alors anticipez !

De nouvelles technologies d’impression pour dépenser moins !

Réduire les coûts d’impression sans rogner sur la qualité générale est au cœur des préoccupations de bon nombre d’entreprises. Aujourd’hui imprimer coûte cher et même à l’ère du numérique, nous imprimons toujours autant de documents : fiches de paie, contrats, lettres… Et pourtant des solutions existent : les imprimantes à encre solide et les contrats de coût à la page.

Mise au point aux Etats-Unis au début des années 90, l’encre solide est une technologie d’impression couleur originale. Au lieu des cartouches et toners traditionnels, les imprimantes à encre solide utilisent des bâtons fabriqués à partir d’un polymère non toxique à base de résine, similaire à celui des crayons. Ceux-ci peuvent ainsi être manipulés sans crainte, ils ne se renversent pas, ne fuient pas et ne tâchent pas les vêtements.

Moins de déchets à gérer et recycler

Grâce à leur forme spécifique, le chargement de ces bâtons d’encre solide dans l’imprimante est par ailleurs extrêmement simple. Chaque couleur (cyan, magenta, jaune et noire) est clairement numérotée et il est même possible de compléter le chargement quand bon vous semble, sans interrompre l’impression. Contrairement aux toners et aux cartouches, il n’y a pas de déchets à gérer et à recycler. Et le conditionnement est suffisamment compact pour pouvoir ranger ces bâtons dans un tiroir de bureau.

Encre solide : un coût total d’exploitation extrêmement bas

Avec son packaging minimaliste et sans cartouche à éliminer, cette technologie génère, en effet, jusqu’à 90% de déchets d’impression en moins que l’impression laser couleur.
Elle offre ainsi un coût total d’exploitation incroyablement bas. Car hormis les bâtons d’encre solide, il n’y a qu’un le seul élément à remplacer : le rouleau de maintenance et de nettoyage. Il affiche toutefois une autonomie de plusieurs dizaines de milliers de pages et ne se remplace, au final, que très rarement au cours de la durée de service de l’imprimante.

Impression laser : des dépenses non prévues au budget

Il faut savoir que 90% des imprimantes professionnelles sont des imprimantes laser.

Sur les imprimantes laser, outre les toners, il faut aussi prévoir le changement des tambours, des courroies de transfert de la feuille et de l’unité de fusion. Autant de pièces et de consommables à renouveler et donc de dépenses importantes à prévoir qui ne sont pas pris en compte par la grande majorité des acheteurs au moment de l’achat.

« Coût à la page », un service tout compris

C’est là que les contrats de coût à la page peuvent être intéressants. Car à l’usage, il y a généralement une différence flagrante entre la capacité d’impression promise par le toner et le nombre de pages réellement imprimées. Voilà pourquoi les entreprises ont parfois tout intérêt à opter pour ce type de contrat qui a l’avantage d’inclure les consommables et les pièces d’usure de la machine, ainsi qu’un assistance technique pièces et main-d’œuvre. Les consommables sont dès lors expédiés gratuitement par le fabricant sur site et tout peut même se faire de manière automatique grâce à un logiciel de gestion du parc d’impression. Quant à la facturation, elle se fait au réel tous les trimestres, sur la base des compteurs intégrés aux imprimantes.
Mais avant d’opter pour un contrat « coût à la page », faites appel à un prestataire spécialisé comme par exemple Le Matériel Informatique afin qu’il réalise une étude de vos besoins et définisse une offre personnalisée, avec à la clé, une meilleure maîtrise de ce poste de dépenses trop souvent fluctuant et chronophage. 

Top Office

Font chier ces salariés !

Ah que cela peut être énormément difficile d’avoir des salariés ! Il faut gérer les personnalités aux multiples facettes, des absences qui coûtent, … sans compter les situations extrêmes découlant de négociations non abouties. Bref, dur, dur d’avoir des salariés.

Des personnalités overstep

Entreprises et salariés. Un mariage parfois difficile. Et pour cause, il y a autant de salariés que de personnalités diverses avec qui il faut composer au quotidien.

  • Le manipulateur

L’une des personnalités les plus difficiles semble être le manipulateur. Et tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins avec une tendance à exprimer leurs colères pour dominer. Alors gare aux réactions émotionnelles impulsives et incontrôlées. Ce type de comportement peut vite arriver à un point de non retour. La solution, attendre que la tempête se calme pour réamorcer un dialogue constructif et serein.

  • Le râleur

Il y a aussi le salarié qui critique à outrance. Une critique qu’il va utiliser pour zapper l’ambiance de travail, créer une tension entre untel et untel, … C’est le champion des rumeurs. Il va sans dire qu’il ne faut pas prendre pour argent comptant ses propos souvent exagérés ou déformés. Jamais satisfait du travail, des collègues, … Rien ne va plus ! Mais là encore, il faudra rapidement essayer de peser le vrai, du faux. A voir…

  • Le démotivé

Rien de pire pour un patron, quelle que soit la taille de l’entreprise, de croiser dès le matin, à la cafétéria, un salarié démotivé. Vous le reconnaîtrez facilement. Il sirote son café alors que ses collègues sont déjà plongés dans les dossiers. Il ne faut pas lui demander quoi que soit. Son mot d’ordre : faire le strict minimum. Alors, il va falloir là encore explorer les raisons de ce manque de punch. Peut-être qu’une petite augmentation lui redonnerait un peu de peps ? Espérons que cela suffise… Sauf si le salarié est tout simplement malade ?

Des salariés jamais contents

Il est rare d’entendre quelqu’un parler du bien de son entreprise. Comme il est rare de voir au travail des salariés investis et motivés. Vous pourrez toujours les payer avec des salaires intéressants ce n’est pas pour autant qu’ils vont s’investir et être joyeux. Vous aurez beau mettre en place des déjeuners, des réunions pour motiver les troupes rien n’y changera. Ils iront même vous dire que l’ambiance est pourrie !

Et en plus, ils tombent…

… malades. Vous avez un panel de toutes ses personnalités dans votre entreprise ? Eh bien sachez qu’eux aussi, vont peut-être tomber malade. Comme apparemment bon nombre de salariés dans l’Hexagone. Et la tendance est à l’augmentation ! Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les dépenses d’indemnisation des arrêts maladies ont flambé de 46% en 10 ans pour atteindre 6,3 milliards d’euros. Le nombre d’arrêts en France est passé de 180 millions de journées à 205 Millions. Et le taux d’absentéisme a augmenté de 18% sur l’année 2012  dans le secteur privé. Ce qui a coûté 6,98 milliards d’euros aux entreprises françaises. Le taux d’absentéisme en 2012 s’élève à 4,53%. Rapporté en jours d’absence par salariés, cela représente 16,6 jours d’absence par salarié contre 14 jours en 2011.

Salariés : restez chez vous !

Tout patron est confronté à l’absentéisme. Un classique pourrait-on dire. Mais avez-vous déjà été confronté à son pendant, le présentéisme. Est-ce mieux ou pire ? Des salariés qui, au lieu d’être en congés maladie, viennent travailler avec en prime, leurs problèmes de santé. L’un avec son mal de dos, un second avec une blessure en cours de cicatrisation,… ou simplement un salarié fiévreux et enrhumé. Le risque est non seulement de contaminer ses collègues mais surtout de faire perdre du temps à l’équipe (s’il y a) et in fine, à l’entreprise. Eh oui ! Time is (always) money. Il ne faut pas oublier qu’un salarié présent est payé en salaires, alors que celui en congé maladie touchera des indemnités journalières de l’assurance maladie ou rien pendant les jours de carence.

Les salariés font de la résistance

Il y a un moment ultime où le patron est confronté à la difficulté d’avoir des salariés, c’est lorsque ces derniers le séquestrent (tout simplement oserait-on dire). Les négociations, le dialogue, … n’ont apporté aucune solution. Que faire ? La loi punit ces actions « sauvages », de 10 ans de prison en dessous de 7 jours. Au-delà de 7 jours, cela est assimilé à un crime passible de 20 à 30 ans de prison. Si la séquestration est le fruit d’une situation de crise. Faut-il absolument porter l’affaire devant les tribunaux ? Certains ne le font pas. En la matière, à chacun d’agir au mieux… selon le contexte.

Alors toujours motivé pour en avoir ?

Les règles à respecter pour lancer votre jeu-concours

Chaque année en France, entre 6 000 et 10 000 jeux-concours sont lancés, et chacun enregistre en moyenne 8 000 participations. Organiser un jeu-concours est sans conteste un bon moyen d’accroître la notoriété de son entreprise, mais également de se constituer une base de prospects, de promouvoir ses produits ou services, ou encore de fidéliser ses clients. Néanmoins, un jeu-concours ne s’improvise pas et doit répondre à plusieurs règles.

Les différents concepts

La première étape pour lancer votre jeu-concours est de déterminer la nature du jeu que vous souhaitez organiser, et en la matière, il y a foule : gratuit ou avec obligation d’achat, par tirage au sort, score ou sélection par un jury, quotidien, hebdomadaire ou mensuel, par courrier, SMS ou internet… Les possibilités sont nombreuses mais votre choix dépendra essentiellement des objectifs et des cibles que vous aurez définis et de votre budget. Vous devrez aussi fixer les modalités du jeu (durée, fonctionnement, conditions…), les lots à gagner (nature, nombre et valeur)…

Vos choix devront également respecter une règle de base : la Loi du 3 janvier 2008 pour le développement de la concurrence au service des consommateurs, interdisant les pratiques commerciales déloyales.

La rédaction et le dépôt du règlement

Après avoir défini tous les paramètres de votre jeu-concours, vous devrez obligatoirement en rédiger le règlement. Ce règlement comprendra les modalités du jeu et les lots à gagner mais également d’autres mentions comme votre responsabilité en tant qu’organisateur, le contact en cas de litiges, le mode opératoire pour le remboursement des frais de participation, ou encore les informations relatives à la loi liberté et informatique puisque votre jeu vous imposera de collecter des données personnelles, et donc d’avoir fait une déclaration auprès de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés). Vous devrez également veiller à respecter la Loi du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, nécessitant l’accord actif et express des joueurs avant de leur adresser des communications ultérieures.

Pour vous simplifier les choses, vous pouvez utiliser des services en ligne pour la rédaction de votre règlement de jeu-concours comme Reglementdejeu.com. Enfin, il est à noter que votre règlement devra être consultable librement et gratuitement.

Un fois votre règlement rédigé, vous devrez obligatoirement le déposer chez un huissier de justice, sous peine d’amendes. Celui-ci vérifiera la conformité juridique du règlement et validera le principe du jeu-concours par rapport à la législation française.

Le cas du tirage au sort

Si vous optez pour ce mode de désignation par tirage au sort du ou des gagnants, il est bon de savoir que vous n’avez pas l’obligation de faire appel à un huissier de justice pour valider le bon déroulement et la régularité du tirage. Néanmoins, cette démarche est parfois conseillée car elle apportera plus de crédit à votre jeu-concours et donnera un caractère incontestable à la sélection des gagnants, notamment quand les lots mis en jeu sont de forte valeur : voyages, véhicules, etc.

Les bonnes raisons de faire appel à une société spécialisée

Pour vous accompagner dans l’organisation de votre jeu-concours, il est conseillé de faire appel à une société spécialisée comme EVOCLIC (evoclic.com). Celles-ci proposent des prestations spécifiques et des forfaits pour s’occuper de A à Z de votre opération : rédaction, dépôt et publication du règlement, organisation du jeu et tirage au sort, vérification de la conformité des participations, envoi des lots, remboursement des frais éventuels de participation au jeu… En fonction de la formule choisie, vous devez prévoir un budget minimum de 200 euros HT, hors frais techniques pour le développement du jeu et frais de communication. 

La communication

Enfin, il est important d’avoir défini le plan média pour faire connaître votre jeu-concours et inciter un maximum de personnes à s’y inscrire. Vous pourrez par exemple l’annoncer sur différents supports, sur lesquels devront figurer les mentions obligatoires constituant l’extrait du règlement : affiche, produits… Vous pourrez également en faire la promotion auprès des sites spécialisés qui recensent tous les jeux-concours du moment : zone-concours.com, concours.fr, …

Créez votre logiciel ! Créez vos services Web !

Entrepreneur ou futur entrepreneur, vous avez déjà une idée judicieuse mais aussi précise des nouveaux services web que vous allez offrir à vos clients. Mais, qu’en est-il des services informatiques liés ? Aujourd’hui il est difficile d’imaginer un business qui ne repose pas totalement ou en partie sur une application mobile Android ou iPhone, un site web, une application embarquée, ou une boutique en ligne. Même les commerces traditionnels s’y mettent.

Si l’informatique n’est pas le cœur du métier que vous envisagez, quel que soit le produit ou le service vendu, vous avez peut-être imaginé une application pour mobile ou un site web qui permettrait de mieux le valoriser. Quelque chose d’innovant, de différent !

Comment se distinguer de la concurrence ?

Vous avez le choix entre deux possibilités : soit vous trouvez sur le marché un progiciel, un service web paramétrable, capable de concrétiser cette idée, soit vous ne le trouvez pas, et dans ce cas, créez-le. Ainsi vous pourrez vous distinguer de la concurrence et avoir une longueur d’avance.

Mais la création d’une application informatique, quelle que soit sa forme, est toujours une aventure, avec sa part de risques à identifier et à gérer. Voici quelques idées de base pour éviter les erreurs initiales les plus fréquentes c’est-à-dire celles qui coûtent le plus cher.

Quelques suggestions pour vous éviter des erreurs

Nous avons été cette année sollicités par des entrepreneurs pour des métiers aussi divers que la recherche de victimes en montagne, la vente de médicaments en officine, la gestion de communautés en entreprises, des outils pour des études scientifiques auprès de médecin, la vente en ligne de lunettes, la gestion des réponses aux appels d’offre, la création de communautés en web 2.0, la recherche d’ayants-droits sur des fichiers musicaux… la liste est longue. Mais toutes ces demandes ont un point commun : à chaque fois c’était pour concevoir un nouveau logiciel à partir d’une feuille blanche, à partir d’une simple idée.

Comment faire ?

Les grandes étapes sont simples à identifier :

  • Notez vos idées

Tout d’abord, au fur et à mesure que les idées apparaissent sur ce que doit faire le futur système, les noter, au moment où elles se présentent. Se faire une petite collection de toutes les fonctionnalités qu’on imagine. Pour ne pas risquer de les perdre je vous conseille d’utiliser Evernote. Aussi, faire des dessins à la main des écrans qu’on commence à imaginer. Pour l’instant tout ceci n’est qu’une collection pas trop organisée, dont la récolte peut durer longtemps.

  • Identifiez les acteurs

Ensuite bien identifier les acteurs qui vont utiliser votre système. Par exemple un internaute s’étant identifié, un internaute non identifié, un gestionnaire ou administrateur du service, un client ayant déjà commandé, … pour reprendre les incontournables. Identifiez-les car vous allez devoir vous mettre dans « la peau » de chacun d’entre eux successivement pour la suite des opérations.

  • Listez les scénarios

Pour chaque acteur, commencer à lister les scénarios, les cas d’utilisations, qu’il va pouvoir faire avec le système. Pour éviter d’en oublier les lister dans l’ordre chronologique. C’est une description courte, de bon sens, de ce que le système doit réaliser pour eux. Les plus triviaux sont s’enregistrer sur le site, passer l’identification, … Par exemple pour un système de facturation ces scénarios sont créer un client, le modifier, chercher un client, créer une facture, ajouter des lignes, transformer un devis en facture, Envoyer la facture, exporter vers la comptabilité, …

  • Aidez-vous d’un tableur

Attribuer une priorité à chaque cas d’utilisation : « c’est absolument obligatoire que tel type d’utilisateur du système puisse fasse cela », ou bien « ce serait un vrai plus si le système pouvait faire cela »; ou bien « ce serait très confortable si le système pouvait faire cela ». En anglais on parle de « Must have », « should have » et « may have ». Cette phase et la précédente peuvent être rédigées dans une feuille de tableur. Je vous recommande Google Spreadshhet pour un travail à plusieurs.

  • Détaillez les cas d’utilisation

Maintenant vient la partie la plus rébarbative, et la plus importante. Il faut détailler ces cas d’utilisation, le plus possible. C’est souvent là qu’on s’aperçoit que beaucoup de cas qu’on croyait simple ne le sont en fait pas du tout. L’essentiel c’est qu’on en ait pris conscience. C’est à partir de cette rédaction que les informaticiens vont pouvoir déterminer la complexité de chaque cas d’utilisation, et à partir de là vont établir une estimation des charges, et donc du coût et des délais nécessaires à la réalisation de votre système.

  • Finalisez vos dessins

Il est préférable aussi de finaliser les dessins des pages que vous avez faits, de les préciser. On peut utiliser à cette fin un outil quelconque, de Excel à Powerpoint, en passant par, et c’est quand même mieux, un vrai outil de mockup comme Pidoco.

  • Combien de temps faut-il ?

Mis à part la première étape tout peut être fait en une demi-journée ou une journée. En tout cas, si vous voyez que vous avez besoin de plus de temps c’est le signe qu’il faut probablement vous faire aider.

– soit vous n’y arrivez pas, car, effectivement, conceptualiser n’est pas forcément facile pour tout le monde;
– soit le projet est vraiment très important, et il faut peut-être penser alors à partager le travail avec un tiers, en encore à le découper en lots indépendants.

Certaines sociétés et consultants sont spécialisés dans la rédaction de ce type de document, de cahiers des charges. Vous pouvez en trouver en googlant sur « aMOA » ou me demander, j’en connais d’excellents. Ils pourront vous rédiger des documents plus professionnels, et plus compréhensibles pour des informaticiens. Le coût / jour d’une telle prestation tourne entre 500 – 800€, selon l’expérience du consultant et le domaine applicatif.

Hello, facile TILL : la nouvelle application d’entreprise-facile (Publi)

entreprise-facile, éditeur de logiciels de productivité dans le Cloud, dédiés aux TPE/PME, étend sa gamme d’applications et lance : facile TILL, une caisse enregistreuse sur iPad, synchronisée avec une interface web pour la gestion complète du point de vente, et couplée à un gestionnaire d’annonces publicitaires pour diffuser sur les écrans TV du point de vente !

facile TILL est une caisse enregistreuse tactile accessible sur iPad dédiée aux commerçants et aux entreprises commerciales mobiles, telles que les sociétés de vente à domicile ou commerçants réalisant des ventes sur des événements comme foires et salons, pour encaisser facilement leurs clients.

Offrant toutes les fonctionnalités d’une caisse, cette application permet en quelques clics de créer des tickets, encaisser, mettre en attente, réaliser des bons d’avoir ou des remboursements clients ou encore éditer le X et le Z de caisse.

Par ailleurs, facile TILL propose un accès multi-vendeurs, et ce, sans coût supplémentaire. Le nombre de vendeurs par caisse est illimité et l’accès de chacun peut-être sécurisé par un code secret.

Cette solution est synchronisée avec une plateforme web pour piloter son activité, créer un point de vente, ajouter des caisses, gérer des vendeurs et synchroniser le catalogue produits avec l’iPad. Elle offre également des statistiques de ventes détaillées par jour et par heures pour une visibilité, à tout moment, sur le chiffre d’affaire de la boutique !

Si facile TILL est une caisse complète et économique, elle est aussi originale par la fonction de diffuseur d’annonces qu’elle propose aux commerçants, pour optimiser leurs ventes ou générer des revenus complémentaires d’activité. En effet, elle permet de gérer un écran TV du magasin pour y diffuser des publicités pour ses produits ou pour ceux de partenaires. Le commerçant peut ainsi vendre de l’espace publicitaire dans sa boutique !

Pour découvrir et télécharger facile TILL, cliquez ici

Interview de Sébastien Pissavy, Cofondateur du site Jeuxvideo.com

Entretien exclusif avec Sébastien Pissavy, cofondateur du site Jeuxvideo.com

Comment avez-vous eu l’idée de créer Jeuxvideo.com ?

C’était en 1995. J’étais amateur de jeux vidéo, sans non plus être un joueur invétéré qui reste 12 heures par jour devant sa console. à l’époque, les jeux étaient très difficiles à terminer et la plupart des joueurs étaient frustrés car ils n’arrivaient pas à aller au bout. C’étaient des jeux programmés par des informaticiens pour des informaticiens : le grand public ne s’y retrouvait pas. Face à cette situation, une ribambelle de magazines délivrant des astuces de jeux sont sortis sur le marché. Ces astuces permettaient aux joueurs de débloquer les difficultés des jeux et d’aller au bout. L’idée que j’ai eue alors était de rassembler toutes ces astuces de jeux en un seul document numérique et contributif que j’ai appelé L’Encyclopédie des astuces de jeux vidéo. Mon Encyclopédie a été publiée par des magazines de jeux vidéo, ce qui m’a permis de gagner en notoriété. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré mes deux futurs associés et que, face au succès de l’encyclopédie, nous avons décidé de passer à la vitesse supérieure. Nous voulions transformer notre passion pour les jeux vidéo en vrai business.

Vous avez ensuite lancé l’encyclopédie sur Minitel ?

Oui, une société nous a proposé de créer un serveur 3615 sur Minitel. C’est ainsi que nous avons commencé à monnayer notre projet, avant même de créer l’entreprise. La consultation de l’encyclopédie sur le serveur était facturée à la minute. Même si nous n’avions pas beaucoup de trafic, cela nous rapportait un peu d’argent.

Mais vous vous êtes rapidement lancés sur Internet ?

Oui, nous avons lancé le site Internet Jeuxvideo.com en 1997, alors qu’Internet n’en n’était alors qu’à ses premiers balbutiements en France. Moi-même, je ne disposais pas de connexion Internet à l’époque. C’était bien avant que Google ou même Caramail n’arrivent sur le web. Mais un de mes associés nous a convaincus qu’Internet allait tout révolutionner et qu’il fallait qu’on s’y place le plus tôt possible. Et, comme nous étions parmi les premiers à lancer un site Internet en France, le nom de domaine Jeuxvideo.com était encore disponible.

C’est à ce moment-là que vous avez réellement créé l’entreprise ?

Exactement. Et la petite particularité c’est que, mes deux associés et moi-même, nous ne nous étions jamais rencontrés avant de signer les statuts de l’entreprise ! Nous avions travaillé à distance, chacun dans une ville différente. Je me rappelle encore de la tête des experts-comptables lorsque nous les avons sollicités pour créer l’entreprise : situés en Auvergne, ils avaient plus l’habitude de travailler avec des agriculteurs ou des commerçants qu’avec des entreprises innovantes. Et, lorsque je leur ai expliqué que je n’avais pas encore rencontré mes associés avant… je les ai sentis très sceptiques !

Mais le regard sur votre projet a vite changé ?

Quand nous parlions de l’entreprise en 1997, les gens étaient perplexes et ne croyaient pas vraiment en notre potentiel. Puis, vers 98-99, nous sommes entrés dans une autre période, cela a été un vrai tournant. Subitement, avec le gonflement de la bulle Internet, nous sommes devenus à la mode ! Nous avons appris que nous avions créé une start-up sans le savoir ! Des entrepreneurs du web levaient des millions avec un concept qui tenait sur un post-it ! Les start-ups faisaient la une de tous les journaux et nous avons pu bénéficier de cet engouement médiatique.

Avez-vous profité de l’essor de la bulle Internet pour lever, vous aussi, des millions ?

Non, car nous ne nous sommes jamais vraiment sentis dans cette mouvance des start-ups. Nous avons toujours géré l’entreprise en bon père de famille, sans dépenser l’argent que nous n’avions pas. Mais, comme nous avons vu que la valorisation de l’entreprise commençait à bien augmenter, nous avons fait le choix d’en céder 80 % en mai 2000 au groupe Gameloft. Nous avons continué à développer le site Internet avec une autonomie de décision à peu près totale. Et, en 2006, Gameloft a cédé ses actions à un autre groupe français, Hi Media. Aujourd’hui, le site Internet est devenu le plus grand média de jeux vidéo en Europe.

Vous avez finalement quitté l’entreprise l’an dernier. Pourquoi ?

Car j’avais l’impression de tourner en rond. Et puis je ne retrouvais plus dans ma situation la liberté dont je bénéficiais au départ en tant qu’entrepreneur. J’ai alors quitté l’entreprise avec de nouvelles idées de création en tête. Et, dans la foulée, j’ai concrétisé un projet qui me tenait à cœur depuis longtemps, celui d’écrire un livre pour raconter toute mon aventure d’entrepreneur.

Comment avez-vous vécu le fait de partir de l’entreprise que vous aviez vous-même créée ?

J’avoue que les premiers jours c’était difficile : je continuais à aller sur le site Internet pour vérifier que tout allait bien, qu’il n’y avait pas de bug informatique ! Cette entreprise c’était un peu mon bébé, j’ai travaillé dessus pendant 17 ans ! C’est finalement l’écriture du livre qui m’a permis de décrocher, de faire un bilan de cette aventure. Ce livre, c’est un peu comme une sauvegarde que vous faites lorsque vous venez de faire une bonne partie dans un jeu vidéo !

Auriez-vous un conseil à donner aux futurs entrepreneurs ?

Je leur conseillerais de ne pas attendre d’avoir une idée de génie, un concept incroyable qui va vous rendre milliardaire, pour se lancer. Si vous avez une idée simple qui comble un besoin non couvert, faites-le, et faites-le jeune. C’est là où nous avons le plus d’énergie et le plus de temps. Dans notre secteur, toutes les grosses réussites se font avant l’âge de 30 ans. Les Facebook, Apple ou Dell n’ont pas été créés par des retraités !

Interview de Franck Mesnel, Cofondateur d’Eden Park.

Entretien exclusif avec Franck Mesnel, ancien champion de rugby et cofondateur de la marque de vêtements Eden Park.

Devenir rugbyman n’était pas votre première vocation ?

Non, je me destinais plutôt à devenir architecte. En parallèle de mes études aux Beaux Arts, je jouais au rugby en amateur dans une équipe de 3e division. Comme j’étais assez doué pour le rugby, mes amis me poussaient à tenter l’aventure à un niveau supérieur. J’ai quand même décidé de franchir le cap, à 25 ans. Je me suis alors énormément entraîné et, un an plus tard, je me suis retrouvé sélectionné pour la première fois en équipe de France pour jouer contre les All Blacks ! J’ai mené mes deux carrières d’étudiant et de rugbyman en parallèle, puis il a fallu que je fasse un choix. J’ai finalement décidé de jouer à fond la carte du rugby.

Avec votre équipe du Racing, vous aviez la réputation d’être des joyeux lurons !

Oui, en arrivant au Racing en 1985, je suis tombé sur une bande de loustics qui avaient, comme moi, l’envie de s’amuser. Nous avons, par exemple, joué en portant des bérets basques ou avec nos chaussures peintes en doré. Ce décalage est vite devenu notre image de marque. Puis, est arrivée la première finale de la Coupe de France que nous avons joué au Parc des Princes. Nous souhaitions trouver un détail assez « classe » pour symboliser ce moment de fête. Nous avons pensé au nœud papillon et, comme notre mascotte était la panthère rose, nous avons pris des nœuds roses. Ce jour-là, malgré notre très bon jeu, nous n’avons pas gagné le titre. Mais ce petit nœud a fortement marqué les esprits et nous avons été submergés à partir de là par une vague médiatique qui nous a complètement échappé. Nous avons même sorti une chanson à cette époque et nous sommes passés 30 fois en prime time à la télévision, toujours avec nos petits nœuds roses. Ce nœud est vite devenu le symbole d’un état d’esprit jovial que nous véhiculions.

C’est à cette époque là que vous avez eu l’idée de créer Eden Park ?

Oui, je me trouvais dans l’avion direction la Nouvelle Zélande pour jouer la finale de la Coupe du monde avec l’équipe de France et je me suis dit qu’il fallait absolument faire quelque chose avec ce petit nœud rose. Avec mes amis du Racing, nous avons commencé à gamberger pour coller ce nœud et cet esprit à un produit. Nous avons pensé faire du Champagne, du vin… Puis, naturellement, l’idée du maillot de rugby est arrivée sur la table. Très vite, en 1988, une première collection se formalise et nous lançons Eden Park.

Vous avez monté l’entreprise seul ?

Non, au départ nous avons fait un tour de table avec les 3/4 des joueurs de l’équipe du Racing. Au final, nous avons été seulement deux joueurs à nous impliquer activement dans la création de la marque, Eric Blanc et moi-même. Les autres associés étaient déjà occupés par leurs carrières respectives. Mais, encore aujourd’hui, ils continuent à suivre l’évolution de l’entreprise et à nous conseiller.

Lorsque vous avez fondé Eden Park vous étiez encore rugbyman ?

Oui, nous avons monté l’entreprise tout en continuant à jouer. Comme nous n’étions pas une équipe professionnelle, nous étions obligés d’avoir une activité à côté pour subvenir à nos besoins. Donc le week-end, nous jouions les matchs et le lundi nous redevenions entrepreneurs, tout en nous entraînant trois fois par semaine. L’avantage d’avoir créé la marque à cette époque était que nous bénéficiions d’une bonne notoriété : toutes les semaines nous avions la chance d’être interviewés par la presse sportive qui ne ratait jamais l’occasion de nous demander comment se passait la construction de notre entreprise.

Comment avez-vous réussi à pérenniser la marque au-delà du coup médiatique ?

Entre 1988 et 1993, Eden Park a connu une vraie success story, ce qui a permis de faire connaître largement la marque, au-delà du simple coup médiatique. Ce succès était dû à la qualité de nos produits bien entendu, mais également à la notoriété dont bénéficiait notre équipe et nos fameux petits nœuds roses. Nous avons développé la marque petit à petit, en créant un réseau de boutiques puis un réseau de points de vente multimarques et enfin un réseau de franchises. C’est une entreprise familiale, nous ne nous appuyons pas sur des fonds extérieurs, donc nous devons être extrêmement vigilants et toujours bien anticiper.

Vous avez rapidement arrêté de vous cantonner aux simples maillots de rugby ?

Nous avons élargi la gamme au fur et à mesure en partant du simple maillot de rugby pour proposer aujourd’hui un large choix de vêtements, de l’horlogerie, de la bagagerie, des cosmétiques, des textiles de décoration intérieure… Pour développer ces nouveaux pôles de production, qui ne sont pas forcément dans notre ADN et que nous maîtrisons moins bien, nous nous sommes appuyés sur des licences.

Eden Park est une marque qui s’impose de plus en plus à l’international. Quelle est votre stratégie ?

Aujourd’hui, Eden Park est distribuée dans 34 pays, et le développement à l’international ne fait que commencer ! Il y a des zones sur lesquelles la marque plaît beaucoup, comme au Moyen-Orient par exemple. Au Canada et au Mexique également, nous connaissons de beaux succès. Nous essayons de nous développer aujourd’hui en Chine en joint venture, mais nous y allons prudemment, sans nous précipiter. J’ai beaucoup étudié la culture du pays avant que nous commencions à aborder ce marché géant où les opportunités sont fantastiques. Mais, dans tous les pays que nous abordons, le positionnement de notre marque est légèrement différent de celui que nous adoptons en France. à la demande de nos partenaires, Eden Park y est positionné plus haut de gamme, plus cher.

Quel manager êtes-vous dans votre entreprise ?

Pour manager mes équipes, je m’inspire beaucoup des entraîneurs que j’ai connus dans le rugby. J’estime que mon rôle de dirigeant est d’entraîner mes salariés. Je ne suis pas un homme de discours, je me sens beaucoup mieux sur le terrain. Aujourd’hui encore, je continue à partager les efforts de mes équipes sur le terrain, à aller soulever des cartons avec eux, à mettre en place des showrooms… Les salariés ont besoin d’être entraînés avec des actions concrètes, pas seulement avec des mots.

3 Conseils

Ne misez pas tout sur l’idée.

Même si vous avez une idée géniale, mettez-la de côté et focalisez-vous sur le produit et sur sa qualité. Votre bonne idée doit venir en plus, un peu comme un joker, une fois que votre produit est déjà excellent. Commencez par faire les choses de façon un peu basique, mais en misant tout sur la qualité. Ce n’est qu’une fois que vous avez fait cela que vous pourrez y implémenter votre idée.

Faites du sport !

Ne suivez pas l’adage de Churchill qui disait que le secret de sa longévité était de ne pas faire de sport ! Tous ceux qui ont déjà fait un peu de sport, ou simplement marché dans la nature vous le diront, c’est dans ces moments-là que les idées viennent.

Faites des efforts.

.Il ne faut pas se dire que le succès viendra tout seul. Nous sommes dans un pays magnifique, mais où tout n’est pas fait pour faciliter la vie aux entrepreneurs. Monter son entreprise, cela demande de faire beaucoup d’efforts et quelques concessions. C’est le challenge à relever pour entreprendre en France.

Où chercher vos futurs salariés ?

Recruter son futur collaborateur n’est pas chose facile. Bien que la demande soit importante, de nombreux chefs d’entreprises éprouvent des difficultés à trouver du personnel compétent et motivé, ou font tout simplement face à l’absence de candidatures. Mais où trouver et chercher ses futurs salariés ? Focus sur les principales méthodes pour embaucher à coup sûr.

Définir le profil recherché, un pré-requis indispensable avant de vous lancer

Avant d’entrer dans le vif de votre démarche de recrutement, la définition du profil de votre futur salarié est essentielle pour vous éviter toute erreur de castings, et donc toute perte de temps qui pourrait être préjudiciable au bon fonctionnement de votre entreprise. Missions et responsabilités confiées, compétences professionnelles, qualités relationnelles… voilà les principales thématiques auxquelles vous devez répondre au préalable, qui se matérialisent sous la forme d’une fiche de poste. C’est à cette étape que vous déterminez votre budget, et le mode de recrutement de votre collaborateur.

Votre offre d’emploi sur internet

Publier son annonce sur les sites d’offres d’emplois en ligne est un grand classique et a remplacé, dans la grande majorité des cas, les insertions dans les journaux spécialisés. Le principal avantage de ce mode est d’offrir une large diffusion de votre annonce, parfois gratuitement, mais au détriment du ciblage des candidatures. Il pourra vous arriver de recevoir foule de CV à étudier dont seulement quelques uns répondront partiellement à vos attentes. Toutefois, vous pouvez opter pour des sites spécialisés par secteur d’activité, Aérocontact pour l’aéronautique ou l’Apecita pour l’agriculture par exemple ; vous recevrez peut-être moins de candidatures, mais elles seront certainement plus en adéquation avec vos critères de recherche. A noter également que certains de ces sites mettent leur CV-thèque à votre disposition. Dans tous les cas, votre annonce doit répondre à des obligations légales en termes de rédaction,  pour lesquelles il convient de vous renseignez.

Le vivier des agences de placement

Passer par une agence de placement est sans doute l’un des moyens les plus sûrs de recruter. Ces agences, généralistes (Pôle Emploi, Manpower…) ou spécialisées (Vert l’intérim pour le paysage, Serendip pour le médical…), disposent d’un vivier de profils à vous présenter, et effectuent pour vous recherche et sélection préalables des candidatures, et premiers entretiens des postulants. Cette technique a le mérite de vous faire gagner du temps et d’avoir l’appui d’un expert. De plus, ces agences sont très utiles si vous recherchez un candidat plus difficile à trouver, du fait du niveau de qualification requis ou de votre secteur d’activités par exemple. Le recours à une agence nécessite néanmoins de vous doter d’un budget plus conséquent pour votre recrutement.

La montée en puissance des réseaux sociaux

Surfer sur la vague des réseaux sociaux est un incontournable dans l’air du temps. Vous pouvez poster votre annonce sur les réseaux professionnels tels Viadeo ou Linkedin, pour les plus connus, puis y rechercher et contacter directement des candidats dont le profil aura retenu votre attention. Le principal intérêt de cette méthode est de pouvoir solliciter des personnes qui ne seront pas forcément en recherche active d’un emploi mais juste à l’écoute du marché, et qui pourront être amenés à saisir une opportunité. De plus, les réseaux sociaux nous en apprennent souvent bien plus sur les candidats qu’un CV, mais il convient cependant d’être vigilent et de savoir rester objectif en ne négligeant pas le profil professionnel en faveur du personnel.

L’incontournable bouche à oreille

Parler de votre besoin à votre entourage reste une façon simple de recruter. Qu’il s’agisse de vos connaissances professionnelles ou personnelles, votre futur salarié peut être un ancien collègue ou l’ami d’un ami. Le bouche à oreille permet d’embaucher un salarié dont vous connaissez les capacités, ou dont les compétences  vous ont été garanties, ce qui limite la notion de risque et facilite votre sentiment de confiance à l’égard de votre collaborateur. Attention toutefois aux désillusions qui peuvent s’installer, notamment car l’exercice du pouvoir hiérarchique n’est pas toujours évident dans ce genre de situation.

Il n’existe pas en définitive de modèle idéal de recrutement, mais il convient de chercher votre futur salarié au bon endroit, fonction des besoins que vous aurez clairement identifiés et de votre budget, et de vous laisser du temps.