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Combien coûte un développement en franchise ?

Un développement en franchise entraîne de nombreux coûts liés à la mise en place du réseau. On recense ainsi le coût en ressources humaines, et les coûts additionnels (coûts logistiques, coûts informatiques, etc). Pour vous permettre d’y voir plus clair, voici les principaux coûts liés au développement d’une franchise.

Les coûts du développement en franchise en lien avec les ressources humaines

Le coût associé au développement en franchise est essentiellement dû aux ressources humaines, indispensables à la mise en place du concept. Peu importe le secteur d’activité dans lequel on décide de se développer.

Ces ressources humaines vont mettre en place entre autres :

– Le système de franchise
– Le modèle de développement
– La cible visée
– Le plan média de recrutement de partenaires franchisés

Le développement en franchise liés aux coûts logistiques ou aux structures informatiques

Un exemple parlant. Vous travaillez dans la restauration, vous devez être capable d’approvisionner vos partenaires franchisés en produits.

Il vous faudra mettre en place une centrale logistique pour fournir votre réseau tout au long de votre développement. La mise en place d’une telle structure implique de nombreux investissements (chambre froide, personnel, bâtiment, etc.).

En exerçant dans le domaine des services, vous aurez probablement moins de charges logistiques. Vous allez néanmoins devoir prévoir des investissements à destination des structures informatiques. Ce, afin de les mettre en réseau et ainsi d’accéder aux infos générées par vos franchisés.

Veillez à bien considérer le système informatique en amont de votre projet de développement en franchise afin de limiter les risques de frais supplémentaires en matière de personnel pour traiter l’information, solution très coûteuse.

En termes de fourchette de prix en ce qui concerne les ressources humaines, comptez de 30 000€ à 70 000€.

Concernant votre système informatique, vous pouvez par contre prévoir un investissement de 10 000€ à 15 000€.

Bien entendu, vous n’êtes pas dans l’obligation d’avoir un système informatique prêt dans son intégralité pour votre premier franchisé. Ce poste évoluera en fonction de votre développement et des ressources disponibles.

« Shwopping », la nouvelle tendance ?

Détrompez-vous, il ne s’agit pas d’une faute de frappe, mais bel et bien d’un mot existant ! Et oui, le « shwopping » est un néologisme dérivé du mot anglais « swap » et du mot shopping. Cette pratique astucieuse a pour mission de révolutionner le monde du chalandage. Très en vogue depuis 2012, cette tendance continue à faire parler d’elle, surtout qu’elle permet de toucher à l’économie aussi bien qu’à l’écologie. Zoom sur cette pratique qui consiste à troquer ses vieux vêtements contre des bons d’achat. 

D’où vient le « shwopping » ?

Purement british, le « shwopping » est un concept ayant vu le jour pour la première fois en 2012. C’est la marque Marks & Spencer qui a eu l’ingénieuse idée de lancer cette nouvelle façon d’acheter. Comme l’économie de la mode n’a pas été épargnée par la crise mondiale, il a fallu apporter de l’inédit dans tout ce carnage. La marque anglaise a donc décidé d’inviter ses clients à rapporter leurs vieux vêtements. En échange, les heureux repartaient avec des bons d’achat du magasin. Quant aux habits usagés, ils étaient récupérés et recyclés par l’œuvre caritative Oxfam.

Une vraie arme anti-crise

Cette nouvelle arme anti-crise permet à plusieurs grands magasins de donner une nouvelle vie aux vêtements. Afin de promouvoir le recyclage, les boutiques offrent également un boost économique à leurs marques. Par exemple, en ramenant trois vieux vêtements, le client peut recevoir un bon de réduction de 5 euros utilisable sur 30 euros achetés. 

Écofriendly et même plus…

Les magasins qui proposent le « shwopping » utilisent tous les vêtements repris à bon escient. Les mieux conservés sont envoyés à des œuvres caritatives à travers le monde et aident les démunis à profiter de vêtements chauds en hiver et de vêtements confortables en été. Quant à ceux qui sont trop abîmés, ils sont tout de suite recyclés et servent même à produire de l’énergie.

Pas juste question de vêtements

Ce qui est engageant dans cette démarche, c’est que le « shwopping » ne se limite pas qu’aux vêtements. Et oui, il est possible de troquer ses vieux sacs ou encore les flacons de parfum vides contre des bons d’achat. Voilà de quoi faire du bien au porte-monnaie et à la nature ! À savoir : les économies peuvent grimper jusqu’à 20 euros, alors autant en profiter.

En France, ça donne quoi ?

Au début de l’année 2013, la chaîne Suédoise H&M se laissa emporter, voire inspirée par ce nouveau concept et l’importa en France. « Rapportez vos vêtements usagés, la planète vous en remerciera ». Sa devise saura conquérir les accros du shopping qui ramenèrent leurs vieilles fripes et repartaient tout souriants avec un bon d’achat ou de nouveaux vêtements payés moins cher. « L’environnement vous sera éternellement reconnaissant. Pourquoi ? Tout simplement car les vieux vêtements que vous apporterez ne finiront pas dans une décharge. » 

Le « shwopping », y’a que du bon !

En attendant que le « shwopping » vienne se faire une plus grande place en France, laissons-nous envouter par ce concept tout à fait novateur. Il est économique, écologique et également très amusant. Le shopping version écolo, c’est que du plaisir !

Comment créer une agence de voyage ?

Au cœur de la saison estivale, votre âme d’entrepreneur se laisse peut-être bercer par une idée portée par la vague touristique : et pourquoi ne pas créer une agence de voyage ? Avant de vous laisser guider dans une telle aventure, il est de mise de vous renseigner sur la destination où pourrait vous amener cette activité.

Qu’est-ce qu’un agent de voyage ? Il se définit comme un professionnel dont l’activité consiste à vendre des voyages ainsi que des séjours pouvant être individuels ou collectifs. Un agent de voyage est également habilité à fournir des services. Ces services se matérialisent par la délivrance de titres de transport ou la réservation de chambres d’hôtel. Il s’occupe également de l’organisation des visites de musées ou de monuments historiques.

Etape commune lors de la création d’une entreprise

Patience et exigence sont les mots d’ordre dans la création d’une agence de voyage. Cette activité est soumise au Code du Tourisme et se voit régie par la convention collective nationale de travail du personnel des agences de voyages et de tourisme. La première étape est propre à la phase de création de tous types d’entreprises.

D’abord, tout naturellement, vous devez établir un business plan que vous montrerait par la suite à votre banque ou autre investisseur.

Vous devez ensuite vous immatriculer au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) en tant que personne morale, ou encore, vous-même, en tant que personne physique. Il vous faut par conséquent choisir votre statut (S.A.R.L., S.A.S., …).

Des modalités spécifiques

Les conditions qui suivent sont, quant à elles, spécifiques à la création d’une agence de voyage.

Avant de s’installer, il est nécessaire de justifier, envers votre clientèle, d’une garantie financière suffisante. Le remboursement des frais reçus (forfaits touristiques) ainsi que les services fournis, pas uniquement relatifs au transport, sont à prendre en considération. La garantie financière sert ainsi à assurer ces remboursements.

D’un montant minimum de 200 000 euros puis de 10% de votre chiffre d’affaires déclaré, cette garantie se doit d’être souscrite auprès d’un organisme spécialisé dans les garanties collectives, d’un établissement de crédit, une compagnie d’assurance siégeant au sein d’un Etat membre de l’Union Européenne ou d’un groupement d’associations sans but lucratif ayant fait l’objet d’une autorisation particulière par un arrêté du ministre chargé du tourisme.

A mettre également dans vos indispensables, pour ouvrir une agence de ventes de voyages et de séjours, posséder une assurance qui garantie les conséquences financières de la responsabilité civile professionnelle.

Pour créer une agence de voyage vous devez être en mesure d’obtenir une immatriculation. Pour ce faire, certaines conditions sont à remplir en termes de formation ou d’aptitude professionnelle.

Le niveau de qualification professionnelle est au minimum d’un an auprès d’une structure touristique immatriculée auprès d’Atout France.

De manière plus spécifique, l’immatriculation doit être obtenue et se faire au registre des agents de voyages. Cette immatriculation est à renouveler tous les ans. Atout France se place comme l’agence de développement touristique de la France à laquelle vous devez adresser une demande d’immatriculation. Cette demande peut se faire par voie postale en remplissant l’un des deux formulaires (personnes physique ou personne morale) ou par voie électronique par le biais du site de l’agence. Dans chacun des cas, il est nécessaire de remplir le formulaire et de l’imprimer. Avant d’envoyer la demande, vous devez y joindre l’accusé de réception de la demande en ligne ainsi qu’une attestation de garantie financière, une attestation d’assurance de responsabilité civile professionnelle, et les pièces justificatives de l’aptitude professionnelle. A compter de la date de réception du dossier par Atout France, le délai maximum de réponse est d’un mois. Une lettre est envoyée au demandeur en cas de refus d’immatriculation par la commission. Si le cas se présente, les motivations justifiant la décision seront exposées à travers cette lettre. Un recours gracieux peut être adressé auprès du président de la commission. A partir de la notification, il faut compter un délai de deux mois.

Les principales démarches à faire lors de la création d’entreprise

Vous souhaitez vous lancer et créer votre entreprise, seulement vous n’êtes pas sûr de savoir exactement comment vous y prendre. Certaines démarches et formalités sont en effet à respecter. Mais alors, quelles sont les principales démarches à faire lors de la création d’entreprise ?

Après avoir défini correctement votre projet, fait une étude de marché, établi un business plan, trouvé un moyen de financement, il vous faut effectuer certaines démarches et formalités indispensables à la création de votre entreprise.

Les formalités de création d’entreprise sont simples et rapides. Elles sont relativement peu coûteuses et peuvent même être faites à distance. Le tout est de bien respecter chacune des étapes.

La dénomination sociale

Votre entreprise doit avoir un nom afin d’être enregistrée. Il est question de dénomination sociale. Le nom choisi ne doit pas déjà être utilisé par d’autres. Pour cela, renseignez-vous auprès de l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI). Cela vous permet de vérifier si le nom que vous avez choisi a déjà été déposé ou non dans une des classes correspondant à votre activité. Vous pouvez également interroger les greffes du tribunal de commerce de votre département et des départements voisins. Autrement, si vous décidez d’utiliser une dénomination sociale déjà existante, vous risquez d’être accusé de concurrence déloyale. Et ce, même si elle n’est pas déposée en tant que marque auprès de l’INPI.

Faire le choix de créer une entreprise personnelle implique une immatriculation en son nom propre. Cela ne vous empêche pas pour autant de choisir un nom commercial.

Le siège social

Un siège social doit également être défini. Vous disposez de 3 possibilités dans le choix de votre siège social : utiliser un local professionnel que vous avez loué et acheté au sein duquel vous exercez votre activité ; user d’une adresse de domiciliation que vous louez à un organisme spécialisé ; ou établir l’adresse de votre entreprise à votre domicile.

Le choix du statut

Pour créer une entreprise, il vous faut choisir un statut. Sachez que les montants de l’impôt, mais surtout, des cotisations sociales varient en fonction de votre statut.

Une fois avoir choisi le statut de votre entreprise, il est primordial de déclarer votre activité et de procéder à l’immatriculation de votre entreprise.

Les formalités de type administratif et démarches à suivre

Ces formalités administratives varient selon la nature de votre activité ainsi que la forme juridique de votre entreprise.

Avant d’entamer les démarches d’immatriculation, vérifiez si votre activité est réglementée ou non. N’hésitez pas à vous renseigner auprès d’organisations professionnelles, au tribunal de commerce ou à la préfecture.

Cela peut se faire au répertoire Sirene tenu par l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques, au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS), tenu par le greffe du tribunal de commerce. Cela dans le cas où votre activité est de type commercial (sauf pour le régime de l’auto-entrepreneur) ou si vous créez une société. L’immatriculation peut également être faite au Répertoire des Métiers (RM), tenu par la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA). Ceci si votre principale activité est de nature artisanale. Enfin, si vous êtes agent commercial, il existe le Registre Spécial des Agents Commerciaux, tenu par le greffe du tribunal de commerce.

Pour ce faire, il faut vous adresser au CFE (Centre de Formalités des Entreprises) et déterminer le CFE compétent pour déclarer votre activité. Si votre activité est de type commercial ou industriel adressez-vous à la chambre de commerce et d’industrie, si elle est artisanale ou mixte (artisanale et commerciale), à la chambre des métiers de l’artisanat, si elle est libérale, à l’URSSAF, si elle relève d’une activité pour les agents commerciaux (profession civile), au greffe du tribunal de commerce, si l’activité est agricole, à la chambre d’agriculture, si enfin, elle relève d’autres catégories, vous devez vous adressez au service des impôts des entreprises.

Pour respecter la procédure nécessaire à la création de votre entreprise, vous devez veiller au respect de différentes étapes. Les statuts doivent être rédigés et signés par vous, et par les associés s’ils existent. Il vous faut envoyer 5 exemplaires des statuts au service enregistrement de votre centre des impôts. Le capital doit être déposé auprès de la banque. Cette dernière vous délivrera ensuite une attestation de dépôt des fonds. Cette attestation n’est toutefois plus exigée si le nom et l’adresse de la banque sont précisés dans les statuts.

N’oubliez pas de rédiger l’annonce légale. Il est préférable de la faire aussi courte que possible. Cette annonce doit mentionner la date de création, le nom, la nature et l’adresse de la société, l’objet social, le nom ainsi que l’adresse du gérant.
Le texte doit impérativement être envoyé à un journal d’annonces légales comme Le Parisien et être accompagné d’un chèque de provision.

Après avoir reçu les formulaires du CFE, complétez-les et remplissez-les. Enfin, retournez-le accompagnés de différents documents, à savoir : attestation de dépôts des fonds, extrait d’acte de naissance et déclaration de non-condamnation du gérant, lettres envoyées au journal d’annonces légales, justificatif du siège social (lettre au bailleur, copie de bail ou titre de propriété), copie de la carte d’identité, ainsi que 3 exemplaires des statuts enregistrés. Après avoir reçu votre extrait du registre du commerce, la transmission de votre dossier aux organismes sociaux et fiscaux se fait automatiquement par le CFE.

Une fois cela effectué, un numéro unique d’identification, dit numéro de Siren vous sera attribué. Ce numéro vous sera utile dans vos relations avec les organismes publics et les administrations. Un, voire plusieurs numéros de Siret, ainsi qu’un code APE (Activité Principale Exercée) vous sera également délivré par l’INSEE.

A lire également : La création d’entreprise en 10 étapes

Top 7 des actions originales de communication

Par leur originalité, certaines actions de communication ont su marquer l’année 2013. Savoir communiquer est un art dont vous devez disposer. La communication constitue l’une des clés du succès. Retour sur ces actions originales de communication qui ont su retenir l’attention et marquer les esprits.

1. Coca-Cola « Partager du bonheur »

Le concept « Partager un Coca-Cola » joue sur la personnalisation. Les consommateurs peuvent personnaliser leur canette en inscrivant un nom ou un message sur la canette de la marque. Le produit lui-même devient un support de communication. Bien que cette marque possède une forte notoriété, elle ne néglige pas l’aspect innovant au travers de cette campagne de communication. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’idée est fraiche !

2. Dove

La marque, au travers d’une vidéo, met l’accent sur l’émotion. Elle met à contribution un dessinateur du F.B.I. du nom de Gil Zamora. Ce spécialiste de portraits robots va demander à plusieurs femmes, une à une, sans les voir, de se décrire. Puis, il demande à d’autres personnes qui les ont croisées de les décrire. Il fait ainsi deux dessins de chaque femme : celui décrit par elle-même et celui décrit par d’autres personnes. Chacune des femmes a par la suite accès à ces dessins. Elles peuvent voir le dessin fait à l’aide de leur propre description qui reflète la vision qu’elles ont d’elle-même. Et elles voient le dessin fait à l’aide de la description d’autres personnes, c’est-à-dire la manière dont elles sont perçues. Toutes se rendent compte que le dessin fait avec la description des autres est nettement plus joli et plus fidèle à la réalité. Elle réalise alors que leur propre vison d’elles-mêmes est faussée, qu’elles ne se voient pas telles qu’elles sont, et prennent conscience qu’elles sont en réalité plus jolies que ce qu’elles croyaient en se décrivant. Une belle séquence émotion que nous offre la marque défenseur de la beauté et de l’estime de soi.

3. Evian « Baby and me »

Suite au succès de la première campagne, Evian mène une nouvelle fois une campagne autour des bébés. Il n’est pas juste question de bébés en train de danser. La marque met en œuvre des moyens importants : spot TV, affiches publicitaires, actions digitales (lancement d’une application pour mobiles qui permet aux utilisateurs de « découvrir sa tête de bébé »). Le dispositif est fait pour que la vidéo soit vue, partagée, et cela fonctionne puisque le nombre de vues se chiffre en millions !

4. Milka : Le dernier carré de chocolat 

Une vidéo réalisée avec des enfants cherche à toucher le public en prônant davantage le côté affectif. La vidéo montre des enfants à qui l’on a offert du chocolat au moment où il ne reste qu’un dernier carré de chocolat. La question : vont-ils le partager ? Une personne propose aux enfants de nombreux cadeaux en échange de ce dernier carré de chocolat (robe de princesse, voiture, etc) mais les enfants refusent. Puis cette personne se lie avec ces enfants et joue avec eux. A la fin, en leur disant que maintenant, ils sont amis, il leur demande donc s’ils acceptent de leur donner le dernier carré de chocolat. Ils acceptent. Cette vidéo, qui impacte la production du produit, et ce dispositif multi-canal font du produit un véritable support de communication.

5. Carambar « La fin des blagues … c’était une blague »

Quoi de mieux pour Carambar que de faire un blague pour rester fidèle à son image de marque ? La marque annonce en effet la fin des blagues Carambar afin de faire le buzz. Puis, dévoile peu de temps après que tout cela n’était en fait qu’une blague. Il en découle des retombées médiatiques d’une importance dont la marque ne s’attendait pas (plus de 50 000 tweets, des milliers de commentaires sur Facebook, etc), et pour la majorité, elles sont positives.

6. Orangina « Mission 404 »

Orangina ne semble pas à court d’idées pour promouvoir ses campagnes. La marque nous le prouve encore lors de sa campagne « Restez vivant, buvez Orangina ». Elle réalise une vidéo longue de 14 minutes environ. C’est avec humour et dans un style décalé que s’inscrit cette campagne de communication. Au vue des 4 millions de vues, on peut affirmer que c’est une mission réussie !

7. Faguo Shoes et sa chasse au trésor

Faguo Shoes organise une véritable chasse au trésor, une idée qui va permettre à la marque de fédérer une vaste communauté de fans en leur offrant la possibilité de se lancer dans une chasse au trésor grandeur nature. Une stratégie originale, naturellement relayée par les réseaux sociaux, qui prouve que n’importe quelle marque peut innover une action de communication aussi originale qu’efficace.

Bonus (spécial 2014) : Burger King

La chaîne de fast-food américaine, sous représentée en France, connaît un franc succès et sa notoriété s’en suit. Un détail non sans importance vient mettre à l’épreuve la patience de certains de ses consommateurs : le temps d’attente. Tweeter laisse transparaître ce mécontentement provenant de certains de ses internautes. Par le biais du compte Tweeter Burger King, c’est pus de 7 500 tweets qui ont été transmis. La marque a répondu à quelques uns de ces tweets, en utilisant l’humour. Elle va jusqu’à répondre à des tweets sur la façade de son restaurant qui ouvrira septembre prochain à Paris, rue Général Leclerc. « Wesh il est même pas 12h Burger King c’est blindé, ouvrez-en d’autres », poste un internaute. La marque répond directement sur la façade à l’emplacement de son futur restaurant : « Salut, pour te faire plaisir on va en ouvrir un ici, t’as vu ». Oser et faire preuve de créativité, font partie, quand elles sont pertinentes, des actions de communication qui priment.

Les 6 business les plus originaux

Pour trouver un business fructueux, il faut commencer par trouver une idée originale. De grands entrepreneurs sont nés de ce concept. En France, 550 000 sociétés se créent chaque année. Les activités sont plus que variées. Tout les business ne fonctionnement pas. Zoom sur les 6 types de business les plus originaux et en vogue du moment.

L’importation

La vente des produits made in France dans les pays étrangers fait partie des business qui connaissent un franc succès dans le monde du commerce. Le secret de ce type de vente repose sur le ciblage des pays avec pour échantillon, un nombre de populations important. Les populations actives détiennent une forte envie de vivre à la manière des Européens ce qui les poussent à consommer des produits importés. Cette catégorie de consommateur dispose en général d’un pouvoir d’achat élevé. Selon les statistiques, les boissons alcoolisées constituent les produits made in France les plus consommés à l’étranger. Les business liés aux textiles peuvent également engendrer des bénéfices.

Production de livres numériques et audio

Par manque de temps, de moins en moins de personnes se penchent sur la lecture. Pour améliorer leurs connaissances, la majorité des intéressés préfèrent aller sur Internet. D’autres achètent tout simplement des livres audio ou numériques. Plus pratiques, ces outils de connaissances attirent un grand nombre de personnes. Enfants et adultes y trouvent facilement leurs comptes. La production de ce type de livres fait partie intégrante des business qui fonctionnent.

Recrutement d’ambassadeurs

Dans le domaine du cosmétique, du textile ou autres, pour assurer la promotion d’un produit, les enseignes choisissent un ambassadeur ou une ambassadrice. Derrière ces recrutements, des sociétés jouent un rôle important. Leurs business reposent sur l’allocation des services des ambassadeurs de grandes notoriétés comme les acteurs ou les sportifs célèbres. Ce type de marché est connu par l’appellation  » le business model « .

Le business du low cost

Si le low cost s’est surtout fait connaitre dans l’aéronautique, depuis quelque temps, la tendance s’est propagée dans quasiment tous les domaines. En mettant en vente un produit low cost, une société peut gagner gros. Ces produits et ces services vendus à prix réduits attirent de plus en plus de consommateurs. Cela est probablement dû à la baisse des pouvoirs d’achat qui incite les consommateurs à se tourner vers ce type d’offre.

Les ventes en ligne

Avec internet, il est devenu très facile de créer sa propre entreprise. Pour démarrer le projet, il n’est pas nécessaire de posséder un grand fonds de commerce. Pour commencer, il suffit de créer un site de ventes en ligne et d’y afficher quelques produits susceptibles d’attirer les consommateurs.

Le vide-grenier

Considérée comme une simple activité de quartier, à grande échelle, le vide-grenier peut devenir un business plus qu’intéressant. Pour faire un maximum de bénéfices, l’astuce repose sur un vide-grenier chic et tendance. Avec ces deux critères, le businessman peut espérer en tirer un profit honorable.

Les avantages et les inconvénients du télétravail

Qui n’a jamais entendu parler du télétravail ? Ce mode de gestion est très en vogue à travers le monde et s’est même installé dans les entreprises françaises. Selon une étude dirigée par le cabinet LBMG Worklab sur 20 entreprises, il y aurait au moins 12% de télétravailleurs en France. Ils sont plus de 2 millions de salariés à promouvoir cette pratique depuis 2006. À savoir que le télétravail requiert une discipline de fer et une touche de qualités indispensables. Zoom sur les avantages et les désavantages de cette culture d’entreprise plutôt attirante.

D’où vient le télétravail ?

Avant de souligner les bénéfices et les inconvénients du télétravail, parcourons un peu l’historique de cette formule de travail. Originaire des États-Unis, le télétravail consiste à exercer ses tâches professionnelles à distance. Que ce soit à la maison ou encore dans un lieu de coworking, l’employé est en mesure de travailler, du moment qu’il a accès à internet. C’est en 1950 que ce concept fit son apparition en Amérique par le mathématicien Norbert Wiener. Ce dernier relate l’histoire d’un architecte qui supervisait à distance la construction d’un immeuble aux USA, et ce, à l’aide de transmissions de données. Et ce n’est qu’en 2002 que des millions de télétravailleurs sont recrutés en Europe.

Avantages :

Le télétravail pour un meilleur train de vie

Le télétravail apporte de multiples avantages aux employés et aux employeurs. Les télétravailleurs sont connus pour être moins stressés. Oui, moins de stress, car ils ont droit à un environnement plus adapté, du point de vue professionnel, familial et personnel. Inutile de se presser pour aller prendre le métro et rejoindre le bureau, car tout se fait au domicile même. Cette absence de trajet amène le salarié à être plus efficace et productif. Qui plus est, le fait d’être en télétravail permet de mieux gérer le quotidien. Grâce à la flexibilité, les gens consacrent plus de temps à leurs familles et à leurs passions. Cela leur permet d’avoir un train de vie tranquille et sans stress.

Comme un sentiment de liberté

Outre la « zen attitude », le télétravail inspire un réel sentiment de liberté. Tant que le travail est fait, tout va comme sur des roulettes. Le télétravailleur peut s’accorder le droit de dormir une ou deux heures de plus que les autres, de s’installer confortablement devant son ordinateur et de laisser place à une belle journée de travail. Concrètement, l’employé démontre qu’il peut être autonome et productif à la fois. Mieux encore, ce dernier n’est pas distrait par ses collègues. Cet environnement espacé conduit à une bonne performance professionnelle et suscite un vrai sentiment d’affranchissement, sans aucune surcharge d’activité. Libre à l’employé de déterminer ses horaires de boulot et d’instaurer son propre plan de travail.

Une culture d’entreprise à privilégier

Le télétravail symbolise un important gain d’argent aux yeux des employeurs. Les télétravailleurs ne sont pas les seuls à bénéficier des avantages de cette délocalisation. Pour les entreprises, permettre le télétravail aux employés leur fait faire des économies. Nul besoin de payer liés à la location d’un espace de travail, les frais d’entretien et les coûts de transports. Et pendant que la productivité augmente, le taux d’absentéisme, quant à lui, se voit être complètement réduit. Les échanges entre collègues sont plus riches et les causes de distractions comme les coups de téléphone et les bavardages sont rayés du tableau. Bref, le télétravail est une culture d’entreprise à privilégier, si vous souhaitez faire des économies.

Inconvénients :

L’employé se sent isolé

En contrepartie, le télétravail n’est pas toujours rose. L’employé travaillant de chez lui rencontre quelques inconvénients, s’il ne trouve pas un équilibre. Le plus gros désavantage d’être en télétravail est le manque d’interaction. Isolement, manque de confiance et perte d’intérêt peuvent facilement venir envahir le quotidien des télétravailleurs. Exerçant de chez eux, les employés ne trouvent pas forcement l’intérêt de communiquer avec les autres et s’habituent vite a cette routine. La possibilité d’acquérir une promotion semble difficile, même si ce n’est pas réellement le cas.

La discipline est de mise

Être en télétravail, oui, mais sans discipline, tout peut facilement basculer. Au tout début, l’employé démontre une attention particulière à son travail. Il prévoit un emploi du temps strict ; heure de début, de fin et de pause. Une fois habitué à ce rouage, le télétravailleur finit par se lasser et ne respecte plus son propre emploi du temps. Cela affecte malheureusement sa productivité et fait perdre du temps aux deux parties (l’employé et l’employeur).

Supervision difficile de la part des employeurs

L’autre inconvénient de cette délocalisation est l’impossibilité de superviser l’employer. Toutes les communications sont faites en général via l’internet. L’employeur se retrouve dans une situation délicate, où il ne peut faire un suivi convenable sur ses employés et le rendu de leur travail. Impossible de vérifier si l’employé travaille vraiment ou s’il a des problèmes à compléter ses taches. L’esprit d’équipe et les communications se font rares et il est quasiment impossible d’avoir un œil sur tout à la fois.

Télétravail, à prendre… ou à laisser !

Le télétravail représente autant d’avantages que d’inconvénients. Si l’employeur et l’employé arrivent à tomber d’accord sur un système effectif, en toute discipline, cette culture d’entreprise a tout pour réussir. Même s’il n’est pas fait pour tout le monde et pour tous les types de business, le télétravail reste un mode de fonctionnement moderne, à adopter ou pas.

Ces magasins connectés comme fruit de la modernité

L’innovation apportée par les magasins connectés marque l’avènement d’une nouvelle ère. Cela se manifeste par l’abolition des barrières existantes entre les magasins physiques et les boutiques virtuelles. Ce nouveau système vise particulièrement à permettre aux consommateurs de bénéficier des bienfaits de l’e-commerce et de conserver les atouts de l’achat auprès des magasins.

Magasins connectés : vers de nouvelles opportunités

La digitalisation des points de vente devient indispensable pour les magasins. Les consommateurs requièrent des services de plus en plus sophistiqués de sorte à faciliter leurs tâches. L’importance de la concurrence sur le marché oblige les commerçants à instaurer des stratégies innovantes afin d’optimiser la vente de produits ou de services. 

La digitalisation constitue une opportunité incontestable non seulement pour les magasins, mais aussi pour les consommateurs. Ces derniers peuvent consulter des catalogues interactifs en ligne, découvrir les stocks disponibles et bénéficier des conseils sur les achats qu’ils réalisent. 

De leur côté, les magasins disposent de moyens plus pratiques leur permettant de fournir les mêmes services que ceux procurés par l’e-commerce. La majorité d’entre eux développe un certain nombre d’applications complémentaires et met à la disposition des vendeurs des outils (tablettes, Smartphone, terminaux mobiles) innovants et efficaces. Grâce à ces moyens, les vendeurs optimisent leurs stratégies commerciales en mettant à la disposition des consommateurs des vidéos de démonstrations ou des photos des articles vendus par la boutique, mais indisponibles au moment de la visite des consommateurs. 

Les tendances à suivre

La forte croissance de l’e-commerce n’empêche pas les points de vente physiques de s’épanouir malgré une légère régression. L’harmonisation du système de vente traditionnel et des nouvelles technologies garantit le succès de cet épanouissement. 

– Les stratégies web to store

L’e-commerce et les magasins physiques constituent deux éléments complémentaires, et non contradictoires. Étant donné le fort développement de la technologie, les besoins des consommateurs évoluent. L’e-commerce se présente comme un support pour le magasin. Le site génère du trafic et optimise les ventes de ce dernier qui en profite pour mettre en valeur ses principaux atouts. 

– Coupler son appli avec celle des centres commerciaux

Le mode d’achat des consommateurs a fait l’objet d’une évolution importante. Ils consultent d’abord l’article ou le produit sur le site Internet du magasin avant de se déplacer pour l’acquérir. Ainsi, munis de Smartphones ou de tablettes, ils se connectent à Internet dès lors qu’ils arrivent au centre commercial pour connaître les détails sur le produit qu’ils souhaitent acquérir (disponibilité en stock, promotion…). Afin d’éviter les problèmes de réseau, il convient d’installer un réseau Wi-Fi dans l’enceinte du magasin. 

– Mettre en place des systèmes de fidélisation

Bon nombre de boutiques proposent à leurs clients des jeux en ligne leur permettant de gagner des lots (bons d’achats, cadeaux, réductions sur les achats…). Cette stratégie de fidélisation des clients devient une tendance incontournable depuis l’avènement de l’Internet et de l’e-commerce. Les résultats s’avèrent irréprochables. 

– Étendre l’espace de vente

Pour diverses raisons, les boutiques ne peuvent pas élargir leurs espaces de vente. Cela implique qu’elles ne peuvent présenter physiquement leurs produits. En intégrant la digitalisation dans leur stratégie commerciale, elles disposent d’un moyen sûr et efficace pour présenter leurs produits aux clients de sorte que ceux-ci puissent les consulter. Certains magasins installent des écrans tactiles dans leurs locaux afin que les clients puissent consulter tous les détails afférents aux produits disponibles.

Quel type d’hébergement choisir pour son site internet ?

Héberger son site internet soi-même reste possible. Cette fonction, par sa complexité requiert des compétences appropriées, et demeure dans la majorité des cas confiée à un prestataire spécialisé. Le choix entre la multitude d’offres proposées est alors loin d’être simple. Si l’accessibilité et la rapidité représentent deux facteurs déterminants, d’autres éléments essentiels à la prise de décisions existent. Quelles sont les différentes solutions existantes ? Quels critères prendre en compte pour choisir son mode d’hébergement ? Eléments de réponse.

L’hébergement web, de quoi parle-t-on ?

Toute entreprise possède – ou devrait envisager – d’avoir un site internet pour sa visibilité. Sans hébergement, cela reste impossible : tout site web requiert un ordinateur spécifique, appelé serveur, en permanence connecté en très haut débit pour permettre l’accessibilité aux internautes.

Les 2 différents types d’hébergement internet

L’hébergement web mutualisé, qui se caractérise par le partage du même serveur par plusieurs utilisateurs, est certainement la solution la plus commune. Si celle-ci est la plus avantageuse en termes de coût (abonnement mensuel à moins de 10 euros), elle peut présenter des risques en matière de sécurité et de lenteur du système. L’outil demeure limité dans ses fonctionnalités et ses développements qui doivent être les mêmes pour tous.

Pour palier aux inconvénients de l’hébergement mutualisé, le serveur web dédié peut représenter une solution. Plus fiable et personnalisable, il nécessite toutefois un suivi technique plus régulier et plus poussé pour fonctionner correctement. Cette offre, certes la plus complète du marché, reste néanmoins la plus chère (abonnement mensuel moyen de 50 euros par mois) et demande certaines compétences techniques.

Les critères pour choisir son mode d’hébergement

Si au premier abord le choix entre l’une des deux principales solutions semble simple à opérer, celui-ci est pourtant plus complexe, et votre décision doit reposer sur une étude approfondie.

L’objet de votre site internet, qui découle de la nature de l’activité de votre entreprise doit être pris en compte. Si vous souhaitez par exemple réaliser un site vitrine pour votre PME ou association, comportant quelques pages, et avec un niveau d’audience raisonnable, un serveur mutualisé peut amplement suffire. A contrario, si vous prévoyez un site d’e-commerce avec un large éventail de produits mis en vente, privilégiez un serveur dédié, pour avoir des capacités suffisantes de stockage, et un niveau de sécurité optimal notamment pour les transactions financières. Les sites enregistrant un nombre important de visiteurs et de paiements privilégient les hébergements dédiés, ou optent directement pour une offre spécialement conçue pour les entreprises d’e-commerce.

Il convient de déterminer les différentes fonctionnalités que vous souhaitez allouer à votre site internet. Là encore, si vos besoins restent basiques, un hébergement mutualisé peut convenir, tandis que s’ils sont plus spécifiques et requièrent des développements personnalisés, l’hébergement web représente la solution.

Si vos moyens financiers restent un facteur de décision important, vos moyens humains doivent l’être également. En cas d’insuffisance de compétences pour gérer les développements et la maintenance de votre
serveur, celles-ci doivent être incluses dans l’offre que vous choisirez.

Une fois vos besoins et vos moyens identifiés, vous êtes alors en mesure de savoir quel type d’hébergement vous convient le mieux. Ne vous lancez pas sans avoir bien pris soin au préalable de comparer les offres de plusieurs prestataires, en appliquant si possible un ratio qualité / prix. Si plusieurs solutions paraissent similaires, elles diffèrent pourtant sur de petits détails comme le niveau d’assistance technique en cas de problèmes.

Une vidéo d’Amen qui explique les raisons de l’utilisation d’un serveur dédiée et aussi comment l’installer : 

La viabilité d’une entreprise : « Plus c’est simple, mieux c’est. »

C’est en avril dernier que la société Wiiziijob prend vie. Nicolas Belnou, fondateur et dirigeant de l’entreprise, démontre un concept qui se veut simple et efficace. Mais surtout, il a conscience d’une chose : pour que les autres croient en son projet, il faut déjà commencer par y croire soi-même.

A la veille du projet 

Nicolas Belnou est issu d’un parcours académique classique. Il est diplômé en économie et fait une école de commerce pour ensuite devenir ingénieur en informatique et systèmes d’informations. 

Le fondateur commence d’abord par travailler comme salarié dans des activités de conseil et évolue ensuite dans le digital au sein de différentes sociétés. « Je comprends très vite que le statut de salarié n’est pas du tout fait pour moi. Pour moi, c’est plus comme une fatalité, je ne voyais pas quoi faire d’autre. Je n’ai pas choisit d’être entrepreneur, c’est quelque chose qui s’est imposé à moi. Je ne sais faire que ça, j’ai envie de me lever le matin avec le sourire. J’ai envie que personne ne m’impose ni horaires, ni quoi que ce soit d’autre », confie le dirigeant. Partant de ce constat, il décide de créer sa propre structure, elle compte aujourd’hui entre 40 et 50 salariés.

La naissance d’un projet unique

Wiiziijob découle d’un concept très simple : des entrepreneurs au service des entrepreneurs. « C’est la base même du concept », précise Nicolas Belnou. C’est une société de conseils et d’externalisation qui permet aux TPE et aux PME de créer leur propre équipe digitale à moindre coût. Les entreprises peuvent recruter, grâce à Wiiziijob, des développeurs web, des rédacteurs web, des community managers, des SEO managers. Une société peut bénéficier de l’une ou de toutes ces compétences. Cette dernière peut disposer ainsi d’un collaborateur à temps plein, dédié à son projet, à son produit, à son entreprise. 

L’étymologie du nom de Wiiziijob puise son sens de la manière suivante : de façon phonétique, on a « we » qui signifie « nous », « easy » qui veut dire « facile », enfin « job » renvoie au fait qu’ils recrutent, pour le compte de leurs clients, des collaborateurs. « Ensemble c’es facile et donc ensemble le job c’est plus facile, c’est Wiiziijob », ajoute le fondateur.

Wiiziijob a pour principal objectif l’optimisation en fournissant une compétence de qualité à un tarif qui défie aujourd’hui toute concurrence. « Les clients européens s’attendent à une norme de travail et une qualité européenne mais dans les activités d’externalisation, généralement, il n’y a pas cette norme. C’est plutôt une norme locale qui joue alors que les clients attendent une vraie qualité de service ».

Une présence au niveau international

Wiiziijob c’est une marque mais aussi 3 pays : la France (Paris) qui couvre toute la commercialisation de l’offre au niveau européen, le Vietnam avec la partie développement informatique (équipe développer web), et les pays du Maghreb avec la partie rédacteur web, community manager et SEO manager.

Développement & stratégie

Concernant le temps de la mise en place du projet, c’est simple : « Le temps de le penser ! Wiiziijob, c’est une telle évidence que c’est quelque chose d’extrêmement simple à mettre en place ». Il ne s’écoule qu’un mois entre la naissance de l’idée et la commercialisation du service proposé. 

« Malgré tout ce que l’on peut dire je pense que la France est un très beau pays pour entreprendre. Je ne pense pas que ce soit aussi facile dans tous les autres pays », affirme Nicolas Belnou. 

Le fondateur prend la décision de ne pas faire de levée de fonds. Le projet est d’ailleurs entièrement autofinancé par les associés. Le défi à relever étant le suivant : faire en sorte que Wiiziijob devienne suffisamment solide financièrement et accélérer le développement (recruter davantage).

La stratégie de communication du projet est axée sur le bouche à oreille en travaillant principalement avec les gens de son réseau. Le dirigeant affirme : « Je n’ai même pas besoin de vendre l’offre, il suffit que j’explique ce qu’on fait pour que tout de suite les gens voient la grande image. Aujourd’hui, quand une TPE ou une PME veut développer sa présence sur le web, son influence digitale, sa capacité à vendre différemment grâce au e-commerce, il faut qu’elle intègre de nouvelles compétences, qu’elle signe de nouveaux contrats de travail. Avec les charges que cela représente sur le plan social, avec la lourdeur que cela représente sur le plan juridique et réglementaire, Wiiziijob allège une charge de travail conséquente ». 

Quant au site internet, il n’a pas de véritable vocation à drainer des prospects, il constitue simplement une vitrine. Le vrai business réside dans la prospection commerciale, dans la rencontre avec des TPE / PME.

Vaincre les réticences avant tout

D’après le dirigeant, on trouve parfois une certaine forme de réticence de la part des prospects à externaliser la rédaction web, le community management, la gestion du référencement naturel. Pour certains dirigeants d’entreprise, lorsqu’ils se développent, ce n’est pas l’orientation qu’ils souhaitent prendre au départ. La difficulté serait de leur expliquer en quoi Wiiziijob peut les aider. en s’occupant de recruter à leur place des développeurs web au Vietnam, par exemple. « Pour certains, le Vietnam, c’est une autre planète, cela les effraie je pense.

Ce qui est drôle, c’est que certains font des vrais blocages par rapport au fait d’externaliser telle ou telle compétence chez Wiiziijob. Par contre, une fois qu’ils l’ont fait, ils deviennent nos premiers défenseurs. Ceux qui étaient les plus récalcitrants au départ, aujourd’hui deviennent de vrais alliés et de vrais sponsors. Si l’on réussit à convaincre les gens du sérieux de Wiiziijob et surtout de la qualité humaine, je pense que c’est tout simplement parce qu’il n’y a pas de fumée sans feux ».

3 questions à Nicolas Belnou, CEO de Wiiziijob

Avez-vous eu des coups de chance au travers de votre aventure entrepreneuriale ?

« Je considère que le fait d’avoir une idée, une énergie pour créer une société, pour créer un projet, c’est déjà une chance en soi, et je pars du principe que la chance est quelque chose qui se provoque. Donc est-ce que j’ai eu des coups de chance ? Oui. Lesquels ? Aimer ce que je fais et faire du mieux possible. Si c’est ça la chance alors je suis l’homme le plus chanceux du monde ».

Quel type d’entrepreneur êtes-vous?

« Un entrepreneur fêlé parce que je pense qu’il faut être un peu fêlé pour entreprendre. Quand on a un parcours académique honorable, accumuler les expériences en France et à l’étranger dans le salariat demande de sortir d’une certaine position confortable. J’aime bien ce côté en moi, ce côté un peu décalé. 

Ensuite, j’ai juste envie de changer le monde et je crois que c’est mon moteur. Certains vont comprendre ça comme quelque chose de très prétentieux et beaucoup de gens vont passer à côté du message que je délivre. En gros, changer le monde pour moi ça veut simplement dire participer à changer le monde tel que moi j’aimerais qu’il soit. Evidemment ce n’est pas changer l’ensemble de la planète, c’est y participer, en tout cas, mettre de son énergie, mettre de sa vision des choses, mettre de sa croyance dans ses actions et faire que ses pensées soient conformes à ses actions. 

Enfin, je suis sérieux, en tout cas, j’essaie de l’être le plus souvent possible quand les enjeux sont importants, mais je ne me prends pas au sérieux. Je ne suis pas quelqu’un qui va se glorifier de certaines victoires ou qui va s’effondrer de certaines défaites ».

Une anecdote ?

« Quand on a une idée de projet et qu’on a envie de la concrétiser, surtout avec de l’expérience, on pense toujours se heurter à beaucoup de difficultés. On a toujours le sentiment qu’il va falloir énormément batailler pour faire que ce projet devienne une réalité. J’ai été extrêmement surpris, lorsque j’ai exposé ce projet aux personnes devenues mes associés, de n’avoir eu aucune résistance. Ils ont vu de suite la grande image, le potentiel de Wiiziijob et la manière dont on pouvait créer une société viable très rapidement avec une rentabilité assez intéressante. Mais surtout la façon dont on peut aider des entrepreneurs à franchir certains caps. Avant tout, un projet, c’est une logique, il faut que la mécanique business soit d’une simplicité enfantine, et en même temps que cette mécanique business soit rentable. Plus c’est simple, mieux c’est. »