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Vos premiers pas vers l’international

L’internationalisation d’une entreprise comporte plusieurs aspects. Il s’agit d’un processus temporel mais dynamique qui a pour objectif l’introduction de l’entreprise sur des marchés étrangers, le plus souvent éloignés et différents culturellement, économiquement et juridiquement de ceux du marché national de l’entreprise.

Les raisons invoquées pour l’internationalisation des PME

Si la plupart des PME rencontrent actuellement des difficultés économiques, certaines parviennent à sortir du lot en s’ouvrant hors de nos frontières. Qu’il soit question d’exportation ou d’implantation de succursales à l’étranger, l’internationalisation est un moteur pour les sociétés. Pour les petites et moyennes entreprises, la décision de se développer à l’international est motivée par diverses raisons. Parmi celles-ci, un large développement sur le marché local peut engendrer le besoin d’étendre son champ d’action au-delà du territoire national pour poursuivre sa croissance. également, un ou des marchés présentant un potentiel de développement apparemment plus important que le marché local peut susciter un désir d’internationalisation. Le marché local peut aussi avoir atteint son seuil de développement et entraîner une nécessité de se tourner vers d’autres pays.

Les conditions d’internationalisation des PME

Lorsque des PME françaises vendent à l’étranger, il s’agit la plupart du temps moins d’exportation directe que de sous-traitance dépendante de grands groupes. Très souvent, l’activité de ces entreprises se limite à la fonction de fournisseurs dont la visibilité à l’étranger est soumise à la volonté des groupes dominants. Pour augmenter leurs chances de se développer dans des zones émergentes, les petites et moyennes entreprises doivent dépasser ce positionnement et communiquer sur leurs produits ou leurs savoir-faire de manière autonome. Les entreprises souhaitant se développer dans un nouveau marché doivent y mener une étude pour connaître l’environnement concurrentiel et en estimer le potentiel pour adopter un positionnement stratégique du produit dans le paysage compétitif des pays concernés. La langue, la culture, la situation politique et économique ou encore les conditions environnementales, légales et technologiques peuvent faire obstruction au bon développement de l’internationalisation. Outre ces critères d’ouverture à l’étranger, l’implantation d’une PME au-delà des frontières françaises doit répondre à la responsabilité sociale qui consiste pour l’entreprise à profiter du marché tout en donnant à ce dernier une contrepartie. L’implantation d’une filière dans un pays étranger nécessite d’être structurée. La prospection à l’étranger implique de nombreux déplacements et entraîne des coûts non négligeables pour des PME.

Les accompagnements à l’internationalisation

Pour l’exportation, il faut prévoir de financer de nombreux déplacements, contacts, prospections, présences aux foires internationales, etc. Pour l’implantation d’une filiale, la démarche reste plus onéreuse puisqu’elle nécessite à la fois un autofinancement et un projet crédible pour solliciter des financements, publics ou privés. Dans les deux cas, les PME françaises peuvent obtenir des aides à la prospection internationale avant de se lancer à l’étranger.

Quelques aides à connaître

Le SIDEX (soutien individualisé aux démarches à l’export) est une subvention gérée par Ubifrance qui couvre les frais de transport et d’hébergement du salarié chargé de prospecter. D’un montant compris entre 300 € et 800 € selon les pays de destination, cette aide exclut les PME menant une activité de négoce. La subvention INNOVEXE s’adresse exclusivement aux entreprises membres d’un pôle de compétitivité à vocation mondiale et se situe entre 450 € et 1200 € suivant le pays « d’accueil ». L’assurance prospection COFACE apporte une garantie contre le risque d’échec de leurs actions de prospection. Les bénéficiaires de cette aide reçoivent entre 25 % et 80 % du budget annuel de prospection suivant la taille de l’entreprise.

Les structures utiles

L’agence régionale de développement (ARD) agit en faveur de l’implantation d’entreprises à l’étranger et encourage l’émergence de partenariats économiques et technologiques internationaux entre entreprises et accompagne le développement international et la transition écologique et sociale des entreprises franciliennes. La Bpifrance apporte non seulement un soutien financier renforcé à l’exportation mais également des services d’accompagnement, bientôt accessibles grâce à des guichets uniques régionaux. Ubifrance accompagne les entreprises françaises dans leur développement à l’export et leur implantation sur les marchés étrangers. Les CCI sont des établissements publics qui interviennent dans le cadre du développement de l’activité et de la conquête de nouveaux marchés à l’international. Les pôles de compétitivité ont mis en place des programmes visant à proposer des ateliers de formation et de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC), des conventions d’affaires, des groupements d’entreprises, des accompagnements au financement, des études risques, des aides à l’export, des services de veille et d’intelligence économique.

Les petites et moyennes entreprises françaises sont moins nombreuses à exporter que les sociétés de nos voisins européens. Tandis que l’exportation concerne 400 000 PME en Allemagne et 200 000 en Italie, moins de 100 000 PME sont concernées en France.

Source : Université Paul Cézanne, IUP MIIX, Faculté d’Economie Appliquée Master 2Pro Stratégies Industrielles et Commerciales Internationales 2007

Formation : facteur de compétitivité et d’emploi

32 milliards d’euros sont déployés chaque année pour la formation professionnelle. Elle représente une mesure qui soulage le marché de l’emploi, booste l’économie du pays, et renforce nos PME. Pourtant…

Selon la CGPME, la formation professionnelle continue « couvre l’ensemble des actions de formation dispensées après une formation initiale. Le terme recouvre plusieurs dispositifs mis à la disposition de l’employeur, des salariés et des demandeurs d’emploi ». Le syndicat patronal rajoute qu’elle « permet, une fois entrée dans la vie active, à toute personne de continuer à se former pour acquérir de nouvelles compétences. Pour les entreprises, c’est un outil très utile pour recruter et gérer leurs ressources humaines ». Mais pourquoi y faire appel ?

Une source de compétitivité 

La formation assure l’adéquation entre les besoins de l’entreprise et les qualifications du travailleur.  étant donné le contexte économique fragile, le recours à la formation représente, pour les PME, un effort à faire qui doit porter ses fruits et devenir un levier de performance. Elle se doit ainsi d’améliorer la compétitivité des PME et de fluidifier le marché de l’emploi. Le principe majeur de la formation consiste à améliorer la qualité des services de l’entreprise. Celle-ci accroît la qualification de son effectif, et reste compétitive face à la concurrence. La bonne formation des travailleurs développe leur efficacité et fait gagner du temps à la société.

Un argument pour les salariés

La formation professionnelle s’avère être aussi un outil de fédération et d’attractivité. Elle permet d’éviter la « stagnation » des employés, ce qui limite le roulement de l’effectif et favorise ainsi la pérennité de la société. Le personnel, déjà compétent, conserve son employabilité en se formant et apprenant de nouvelles techniques. Dans la continuité, elle aide à rendre l’entreprise attractive en phase de recrutement, un argument de taille pour les PME qui peuvent souffrir dans ce secteur. Les cadres et les jeunes – les plus demandés sur le marché de l’emploi – sont davantage séduits par une entreprise soucieuse d’accroître leurs compétences et à même de les former pour participer à un projet sur le long terme. Elle offre aux salariés des perspectives de carrière et une certaine protection en période économique instable. Toujours pour les salariés, les éléments les plus anciens peuvent s’adapter aux nouvelles techniques et technologies, sans (re)passer par l’école pour se « renouveler ». L’entreprise se modernise plus facilement et rapidement, sans remettre en cause ses bases humaines.

La réforme de la formation professionnelle : quel impact ?

Tout le monde l’observe, la formation représente un véritable challenge pour notre pays. François Hollande l’admet le premier et déclare lors d’un discours en 2013 : « Notre dispositif apparaît comme complexe, il l’est, parce que même pour les professionnels, ce n’est pas facile de s’y retrouver. Il est cloisonné, chacun restant dans ses compétences et parfois faisant doublon et puis il est inégalitaire ». La loi relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratisation sociale, a pour but de répondre à ces inégalités. Adoptée en janvier dernier puis promulguée le 5 mars, elle sera effective le 1er janvier 2015. Petit tour d’horizon…

Une volonté de simplification

Le volet concernant la formation professionnelle veut simplifier le processus, en simplifiant l’accès à la formation pour les bénéficiaires, notamment pour les PME. Deux mesures sont à noter : la possibilité de faire appel au compte personnel du salarié pour recourir à une formation et la création d’une contribution unique (contrairement aux 3 contributions différentes actuellement en vigueur) adaptée à la taille de l’entreprise : de 0.55 % (pour les PME de moins de 10 salariés) jusqu’à 1 % (pour les entreprises de plus de 50 salariés) de la masse salariale. Une partie de cette cotisation se mutualise au profit des PME. Ces mesures ont pour objectif de simplifier la gestion administrative de la formation, la contribution étant versée par les entreprises à leur OPCA qui recouvre l’ensemble des dispositifs.

Une utilisation plus faible par les PME

Statistiquement, la formation professionnelle profite encore majoritairement aux grandes entreprises. Selon la CGPME, 100 % d’entre elles y ont recours … contre 46 % pour les PME. Une utilisation qui diminue quand l’effectif s’amenuise. Les petites entreprises la perçoivent souvent comme une contrainte, voire une taxe et non comme un investissement… Aujourd’hui, 1,6 % de la masse salariale est consacré au financement de la formation, un taux fortement raboté avec la réforme. Cette dernière la réduisant à 1 % entraine le mécontentement de certains dirigeants de TPE et PME qui considèrent que la nouvelle loi n’instaure pas une mutualisation suffisante en leur faveur. La conséquence pourrait être une réduction des budgets sur la base du taux minimum.

La fin de la formation professionnelle pour les petites entreprises ?

Ce scénario serait dommageable selon la CGPME puisque 82 % des petits dirigeants ont des difficultés à recruter et mettent en avant des « profils inadéquats » ainsi qu’une « pénurie de candidats ». Une statistique qui ne peut qu’inciter à se diriger vers la formation…

Les aides et dispositifs pour la formation continue

Plusieurs dispositifs en France, financés par les différentes cotisations demandées aux entreprises, participent à l’accès à la formation continue. L’AIF (Aide Individuelle à la Formation) est donnée par Pôle Emploi. Elle contribue au financement des frais pédagogiques. Elle s’adresse au demandeur d’emploi, si « la démarche de formation est cohérente avec un objectif réaliste de reprise d’emploi ou d’activité ». L’aide est directement reversée à l’organisme de formation. Elle nécessite d’être suivie par Pôle Emploi, ou en accompagnement CRP/CTP ou CSP. L’AFAF (Aide aux frais associés à la formation) est attribuée par le directeur d’unité du Pôle Emploi, dans la mesure où elle apparaît nécessaire à la reprise d’emploi.

Le contrat de professionnalisation est destiné aux jeunes de 16 à 25 ans et aux demandeurs d’emploi de 26 ans et plus, son objectif est de permettre d’acquérir une qualification professionnelle ou de compléter une formation initiale par une qualification complémentaire afin d’accéder à un emploi défini. Le DIF (le droit individuel à la formation) est à l’attention des salariés en CDI avec au moins un an d’ancienneté, et au CDD ayant travaillé au moins 4 mois sur les 12 derniers, son objectif est de permettre à tout salarié de se constituer un crédit d’heures de formation de 20h/an, cumulable sur 6 ans dans la limite de 120h. Les frais sont à la charge de l’employeur, mais toujours imposables sur la cotisation. Le CIF (le congé individuel de formation) donne le droit à un salarié de s’absenter de son poste de travail pour suivre la formation de son choix, quel que soit l’effectif de l’entreprise. Pour en bénéficier, le salarié doit obtenir l’aval de son employeur. Il peut également bénéficier d’une prise en charge de sa rémunération et des frais liés au congé, via l’OPACIF et l’AGECIF. Les périodes de professionnalisation servent à favoriser le maintien dans l’emploi des CDI, CDD en insertion, et CUI (contrat unique d’insertion) par différentes formations alternant enseignements pratiques et théoriques.

Le pourcentage d’employés simultanés participant à ces formations ne peut dépasser les 2 % de l’effectif total de la société. La VAE (la validation des acquis de l’expérience) permet à tout travailleur (quel que soit son âge ou sa qualification) de faire valider les acquis de son expérience en une certification professionnelle (en faisant office de diplôme). Pour accéder à cette validation, il faut avoir une expérience d’au moins 3 ans, dans un secteur évidemment en lien avec la certification. D’autres aides d’état sont à étudier comme le FSE, ou les conventions de l’EDEC et du FNE.

Le DIF ou Droit Individuel à la Formation sera vraisemblablement supprimé le 1er janvier 2015 avec la création du CPF ou Compte Personnel de Formation (suivant la réforme de la formation professionnelle).

Le dynamisme comme moteur de la création

Sylvain Puel se définit comme un facilitateur informatique. Fondateur de la société vITamines, l’homme en est à sa quatrième aventure entrepreneuriale et entend bien apporter une aide efficace aux entreprises à travers son dernier projet. Zoom sur son histoire.

L’entrepreneuriat a ses raisons que la raison ignore. Sylvain Puel, 40 ans, a fondé son entreprise dans un secteur d’activité qu’il s’était pourtant interdit de réinvestir auparavant. Curieux, mais pas illogique !

Une vocation : aider les TPE

A la sortie de sa formation d’ingénieur, Sylvain travaille d’abord au ministère de la Défense et effectue ensuite une partie de son parcours dans des structures telles qu’Alcatel, NextiraOne, CyberNetworks et British Telecom.
Travaillant dans le domaine de la sécurité informatique, il se rend compte d’une problématique. Les petites structures avec lesquelles il est en contact ont des difficultés à trouver la qualité et les services dont ils ont besoin à un prix abordable.

Partant de ce constat, il quitte son entreprise pour se lancer dans la préparation d’un projet. « Je n’avais jamais réellement eu à cœur d’entreprendre mais le manque de dynamisme dans l’entreprise dans laquelle je me trouvais m’a poussé à le devenir. C’est à cette période que j’ai commencé à travailler sur 3 projets dont aucun n’a vu le jour. Par la suite j’ai été accompagné par un coach qui m’a aidé à faire naître le projet vITamines. ». Grâce à la création de cette structure, l’entrepreneur replonge dans l’univers de l’informatique… un terrain qu’il s’était pourtant promis d’éviter ! Mais l’aventure entrepreneuriale prend le pas sur le reste et le jeune créateur se laisse mener par la vague vITamines.

L’énergie d’entreprendre

Concrètement, l’entreprise vITamines naît en 2012. Sylvain Puel accompagne les structures professionnelles dans leur choix informatique. « Notre rôle, c’est d’aider les entreprises à acheter des infrastructures et expertises tout en faisant des économies, à s’organiser et à mieux travailler avec les outils qu’ils possèdent. Nous les aidons à accéder à de nouvelles solutions et de nouveaux marchés. Nous sommes en quelque sorte leur support au quotidien. », explique-t-il.

L’entreprise, c’est aujourd’hui 3 personnes à temps plein et 4 consultants en externe. vITamines affiche aujourd’hui une cinquantaine de clients et un chiffre d’affaires d’environ 350 000 euros en à peine deux ans. Son fondateur, aujourd’hui marié et père de 3 jeunes enfants, a mis toute son énergie dans ce projet, dont le slogan « Dynamisez votre IT !» prouve à quel point ce dernier considère la vigueur comme un facteur essentiel à l’entrepreneuriat.

3 Questions à … Sylvain Puel

Vous évoluez sur un secteur concurrentiel ! Qui sont les concurrents de vITamines ?

Nos concurrents sont les sociétés de maintenance informatique qui proposent de l’achat-revente de matériel, l’installation et le support en voulant tout faire chez le client. L’expérience montre qu’on ne peut pas être bon partout.
Le service et l’indépendance de vITamines permettent d’aller chercher et d’assembler les meilleures expertises.

Que vous inspire l’entrepreneuriat ?

La vie d’un entrepreneur consiste en la recherche de nouveaux clients, le suivi des facturations, les relances, etc. C’est un fait. Mais ce qui me plaît le plus dans l’aventure entrepreneuriale, c’est le fait de n’avoir aucune limite, si ce n’est les miennes.

Est-ce un frein d’être père de famille lorsqu’on est entrepreneur ?

Absolument pas ! Au contraire, la famille m’aide souvent à décrocher du monde du travail, à prendre du recul. Quand je suis en leur compagnie, je vois les choses différemment et je garde les pieds sur terre. La famille vous soutient dans l’aventure tout en étant à l’écoute. Ce sont des éléments importants pour un entrepreneur.

Coupe du Monde : que faut-il en retenir en tant qu’entrepreneur ?

La coupe du monde de football est l’événement qui a attiré le plus de spectateurs au cours de l’année 2014. Les fanatiques sont impatients de revoir les stars du stade en découdre sur les pelouses des stades russes en 2018. 

Rechercher une stratégie pour se démarquer de la concurrence ou pour fidéliser ses clients n’est pas toujours facile, mais saviez-vous que vous pourriez avoir une illumination en regardant des matchs de foot ?

L’efficience ne provient pas de la grandeur

De nombreuses équipes très talentueuses ont déçu leurs supporteurs au cours de la dernière coupe du monde. Personne ne s’attendait à ce que des grandes nations de football comme l’Angleterre, l’Italie ou même l’Espagne puissent tomber aussi bas. Le monde entier en fut stupéfait. Qui aurait cru que des équipes moins chevronnées comme le Costa Rica, la Grèce ou les États-Unis réussiraient un tel tour de force.

Cette situation se produit également dans les entreprises. Les équipes qui se composent de grands joueurs ne donnent pas forcément les meilleurs résultats. De même, ce n’est pas forcément les grandes entreprises qui obtiennent les meilleurs résultats ou la satisfaction des clients. Les petites entreprises peuvent également être efficientes, en optimisant le peu de moyens qu’elles possèdent pour enfin obtenir des résultats très impressionnants.

Ajouter de la stratégie à votre talent

Avoir du talent ne suffit pas pour obtenir le succès, sinon, l’Espagne serait encore le vainqueur pour cette année. Rappelons que cette équipe rassemble des joueurs très talentueux qui sont engagés par les meilleurs clubs européens, mais cela n’a pas empêché sa défaite face aux Pays-Bas. Prenez plutôt l’exemple du Costa Rica qui a rencontré l’Italie. Les sondages effectués avant ce match ont largement penché en faveur de l’Italie, pourtant, la stratégie du « piège du hors-jeu » a permis aux défenses du Costa Rica de freiner à plusieurs reprises les attaquants italiens. Ce qui leur a permis d’arriver au tir au but et d’obtenir la victoire finale. La leçon à retenir de cette situation est que quelle que soit la grandeur de votre concurrent, une bonne stratégie vous garantira toujours la victoire.

Savoir où investir

Il ne faut pas limiter ses campagnes publicitaires dans les espaces de vente ou dans les médias comme les affiches ou la télévision pour construire l’image de l’entreprise et atteindre ses cibles. Mais participez également dans l’éducation et dans les communautés diverses. Il faut entrer dans les différentes communautés où se trouvent vos clients actuels et futurs. Le football est une passion qui est partagée par tout le monde. C’est le sport qui attire un très grand nombre de spectateurs. C’est pourquoi plusieurs entreprises comme Sony, Adidas, Coca-Cola ou Emirates ont profité de cet évènement pour être plus proches de leur consommateur en y affichant leur marque. Inspirez-vous !

Accords Toltèques, quel rapport avec votre entreprise ?

Le terme toltèque est issu du nahuatl et indique les « maîtres bâtisseurs ». Selon les légendes nahuatl, les Toltèques sont à l’origine de toute civilisation, c’est pourquoi ils sont nommés maîtres ou artistes bâtisseurs. À travers sa culture, le peuple Toltèque est représenté comme une civilisation de sages. Ce peuple a amélioré le raffinement dans l’architecture et les arts, ainsi qu’une sagesse qui repose sur le principe d’accords. Quel rapport avec l’entreprise ?

Accords toltèques et entreprise

Les accords toltèques sont des principes qui peuvent particulièrement s’appliquer au manager afin qu’il mène à bien les équipes vers une performance, et ce, en toute sérénité. Pour un manager, les accords toltèques sont une base, un élément-clé pour augmenter la créativité et la puissance collective.

Cette sagesse ancestrale toltèque est une approche qui trouve toute sa place dans le monde contemporain. Les accords toltèques riment parfaitement avec entreprise, stratégie et management. L’application de ces accords facilite l’émergence d’une intelligence collective. En intégrant ces accords dans une entreprise, ils apporteront plus de performance, de sérénité, de confiance et de lumière.

1er accord : que votre parole soit impeccable

Cela signifie qu’en évitant les commérages dans l’entreprise, vous réduirez certainement la perte de temps. Si certaines personnes font du bruir dans le couloir du lieu de travail, c’est pour se donner de l’importance aux yeux des autres. Le manager est donc tenu d’instaurer une certaine discipline. Face à ces faits et gestes, le manager doit pratiquer la parole impeccable et doit tout faire pour éviter que certains colportent des rumeurs. La parole du manager doit donc être irréprochable et dépourvue de dénigrement.

2nd accord : n’en faites pas une affaire personnelle

Au sein d’une entreprise, le manager est confronté à plusieurs personnes et dirige une équipe variée. Ainsi, il ne doit pas considérer chaque mot de ses collaborateurs comme étant un jugement personnel, mais plutôt comme une information qui conduira vers une amélioration. Le manager doit donc apprendre à prendre du recul, à éviter toute condescendance et à se mettre en retrait. Ceci, dans le but de favoriser un travail d’équipe efficace.

3e accord : ne faites pas de suppositions

Le manager doit communiquer de manière claire avec les autres afin d’éloigner les malentendus. Pour se faire comprendre par son équipe, le manager doit poser certaines questions comme : « Avez-vous des commentaires à faire ? Des objections ? Avez-vous bien compris ? » Le manager doit vérifier s’il a lui aussi bien compris le point de vue de ses collègues. Poser des questions n’est pas un signe de faiblesse, au contraire, c’est s’assurer d’avoir toutes les informations nécessaires pour réaliser votre travail.

4e accord : faites toujours de votre mieux

Pour ne pas culpabiliser ou avoir des regrets, le manager doit toujours faire de son mieux. Un bon manager doit user de son potentiel au maximum et reconnaître ses limites. Il y a des jours où l’on est moins bon. L’erreur est humaine. Cependant, il ne faut pas oublier que l’échec permet toujours de progresser.

On peut dire que les accords Toltèques sont en quelque sort un code de conduite qui nous enseigne à appréhender le monde sereinement, particulièrement dans l’univers professionnel où les exigences sont fortes.

Génération Z : bientôt dans les entreprises ?

Vous avez réussi à être en bon terme avec la génération Y qu’on disait difficile à manager. Sous peu, vous allez faire la connaissance de la génération Z.

Née après le milieu des années 1990, elle arrivera bientôt dans le monde du travail. Âgés de 20 ans, ces jeunes d’aujourd’hui sont bien différents de leurs aînés les Y. Les entreprises ont du mal à embaucher un jeune qui dispose de systèmes de valeurs différents, en rapport à l’entreprise et au travail. Quoi qu’il en soit, ces jeunes intègreront bientôt le monde du travail. Les entreprises doivent ainsi trouver des solutions efficaces pour manager ces jeunes et les intégrer dans leur système.

La génération Z : kézako ?

Appelée également Génération alpha, la génération Z est celle qui entre dans un nouveau temps du rapport de l’homme et de la machine. Cette génération est celle qui est née avec les nouvelles technologies de l’information et de la communication. La génération Z comprend les enfants nés après 1995. Elle a été également nommée, vers 2005, génération C, d’après les théories américaines des générations. Une lettre qui regroupe toutes les caractéristiques de cette génération : Créativité, Connexion, Collaboration et Communication.

Un peu proche de la génération Y dans ses attentes, cette génération est susceptible de trouver un emploi dans les pays émergents. La génération Z est reliée à tous les savoirs, est plus agile et rapide que leurs managers et ne reconnaît que l’exemple et les compétences, et non le statut et l’expérience.

Les talents d’aujourd’hui et les leaders de demain

Pour un avenir et une réussite pérenne, les entreprises en 2015 auront un enjeu fort : adopter une politique managériale de fidélisation et de développement des hauts potentiels et des talents de la génération Z. Pour ce faire, l’entreprise doit détecter, attirer et recruter de manière objective des talents et des potentiels. L’entreprise doit également mettre au point une politique de management et de développement particulière pour hisser ces jeunes au sommet de leur art et en faire de véritables leaders.

Fidéliser et attirer les talents de la génération Z

Aujourd’hui, ce sont les entreprises qui semblent devoir s’adapter à la façon de travailler de la génération Z, dans la mesure où cette dernière représente un fort potentiel pour les entreprises dans les années à venir. C’est pourquoi fidéliser et attirer les talents de la génération Z demeure un avantage conséquent pour toute société. Il faut donc savoir tirer parti du potentiel et des ressources de la génération Z pour qu’ils soient vos leaders de demain. Il faut également profiter de l’ambition de ces jeunes au travail pour les mettre en réseau afin d’étendre leur leadership et leurs compétences managériales.

Aujourd’hui, la génération Z est vue comme une bombe à retardement pour les entreprises. Cela, puisqu’elle est la première génération à apprendre des choses à leurs parents, et possède bien une longueur d’avance. Désormais, c’est aux entreprises de s’adapter, de recruter, former et fidéliser cette génération qui paraît, en théorie, si prometteuse.

Ces plateformes web qui rachètent vos produits

Dans une société où les denrées et produits apparaissent de plus en plus périssables, certaines entreprises développent leur business autour de l’exploitation et du rachat des produits usagés des consommateurs.

Téléphones, ordinateurs, véhicules… Les cycles de vie des produits de consommation sont de plus en plus courts, ce n’est un secret pour personne. Or, malgré les discours politiques qui tentent de sensibiliser le grand public aux notions de développement durable et d’exploitation des déchets, la revente et le recyclage des produits d’occasion reste encore un peu à la marge, notamment en France. Face à ce constat, de nombreuses entreprises ont décidé de se baser sur la puissance d’internet et fondent leur business sur le rachat des produits de consommation.

Un écosystème quisemble dynamique

Le nombre de start-ups qui se basent sur le rachat de produits aux particuliers paraît en pleine ébullition. Ainsi, dans le domaine automobile, la jeune entreprise française vendezvotrevoiture.fr rachète des véhicules d’occasion ou hors service. Du côté des mobiles, les sociétés
fleurissent également fonebank.fr est une start-up qui fonde son business en rachetant des téléphones, iPods ou tablettes, à la fois auprès des entreprises et des particuliers.

Répondre à un besoin du consommateur moderne

À n’en pas douter, ces entreprises ont toutes compris qu’il était crucial de répondre aux exigences nouvelles d’un consommateur de plus en plus connecté, toujours plus pressé, qui ne prend souvent pas le temps de revendre rapidement ses produits de consommation usagés.

A titre d’exemple, dans le domaine automobile, si le consommateur décide de vendre lui-même sa voiture sur internet, il doit se préparer à occuper une grande partie de son temps à gérer les appels, faire le tri entre les demandes sérieuses et celles qui ne le sont pas, organiser les rencontres et finalement vendre son véhicule ! Un parcours du combattant qui décourage bien souvent les propriétaires de voitures désireux de revendre leur bien.

Du côté des nouvelles technologies et particulièrement des mobiles, même constat. L’organisme TNS SOFRES note qu’il existe aujourd’hui près de 60 millions de téléphones portables en circulation en France. Au total, seulement 16% d’entre eux sont recyclés et 52% demeurent rangés au fond d’un tiroir.

Fluidité et facilité des plateformes web

C’est pour répondre à ce besoin que bon nombre de ces plateformes de rachat utilisent la fluidité du web 2.0 pour simplifier le parcours du consommateur, qui peut alors se débarrasser de son bien en quelques clics seulement. Bien souvent, ces entreprises proposent à l’utilisateur une estimation en ligne du coût de rachat du produit concerné. Ce dernier a ensuite le choix du moyen de paiement (chèque, virement ou espèces) et en 24 ou 48 heures de temps le plus souvent (ce délai peut aller jusqu’à 5 jours, ndlr), il obtient la somme sur son compte. Efficace !

L’émergence croissante de ces start-ups montre à quel point internet est devenu une plateforme de relais entre particuliers et professionnels, notamment en matière de rachat et de recyclage et ce d’autant plus en temps de crise.

Quelles aides pour innover en région ?

Au sein d’une entreprise, il est toujours important de vouloir innover. Cela permet d’assurer et de donner une valeur à un produit ou un service. Les innovations permettent également à une entreprise de distancer la concurrence et d’affirmer sa notoriété. Innover est particulièrement important, surtout pour les TPE, les start-ups et toutes les entreprises de taille intermédiaire. En région, de nombreuses entreprises se sont engagées dans la voie de l’innovation

Innover en région : l’importance des ressources

Pour innover, il est important de connaître à l’avance quelles seront les ressources qui seront utiles à l’aboutissement du projet. Pour éviter tout chambardement, il est conseillé de se faire assister par des consultants. Les entreprises peuvent également bénéficier de certaines aides financières de la part des principaux organismes de financement français (dont Bpifrance, ndlr). Notons que ces aides sont proposées aux entreprises qui veulent étendre leurs activités en région, et pour ce qui est du montant, il est très intéressant.
Ces aides permettront aux entreprises de mieux planifier leurs projets du début jusqu’à l’accomplissement, c’est-à-dire du financement jusqu’au développement de l’entreprise à l’international. Il y a également l’aide au recrutement, l’aide au conseil et à l’investissement. Et enfin l’aide à l’export et à l’implantation internationale.

Quelles aides ?

En matière de financement, les entreprises peuvent opter par exemple pour le dispositif « Fonds Innov’ess » qui est proposé par l’organisme France Active, et qui s’échelonne entre 5 000 et 500 000 €. On peut également faire appel à un prêt d’honneur délivré par le réseau Entreprendre, Initiative France ou les conseils Régionaux avec un montant de 15 000 à 90 000 €. Il y a également le prêt participatif d’amorçage financé par Bpifrance. On note aussi les aides à la faisabilité du projet innovant, qui sont pour la plupart soutenues par Bpifrance comme la prestation technologique réseau, l’aide au projet innovant, l’aide à la création d’entreprise innovante, ou l’aide au partenariat. Une entreprise peut également faire appel à l’aide régionale à l’innovation et au transfert de technologie (ARITT) soutenu par Critt/Biocritt. 

Exemples de projets d’innovation en région

Parmi les projets innovants en région qui ont marqué le paysage économique cette année, on peut citer la voiture Bee-Bee, véhicule de loisirs inspiré du légendaire modèle de Citroën Méhari, qui a vu le jour au Mans. À Toulouse, les start-ups sont également dynamiques : la jeune société Wimha a développé un livre d’or des voyages du particulier en mode 2.0. Une autre entreprise toulousaine a également eu la bonne idée de créer des salons de coiffure mobile. Le salon de coiffure peut se déplacer dans des endroits qui ne sont pas couverts par les salons classiques. Certaines entreprises en région ont par ailleurs des produits totalement novateurs comme les traqueurs de soleil ou bien le pansement révolutionnaire imperméable pouvant se décoller.

L’émergence et le succès des boutiques en ligne sur le net

Depuis la popularisation des boutiques de vente en ligne, les habitudes d’achat des consommateurs ont complètement changé. Les e-shoppeurs deviennent de plus en plus exigeants sur les services offerts par ces sites, et si certaines plateformes e-commerce parviennent à répondre à toutes les demandes, les autres peinent à fidéliser les clients. Focus.

Selon la FEVAD (Fédération E-commerce et Vente à Distance), 59% des français ont acheté en ligne au cours de l’année 2013. À l’approche des fêtes de fin d’année, ce chiffre devrait même gonfler d’ici la fin de l’année. Pourquoi les boutiques en ligne affichent-elles un tel succès ?

La praticité avant tout

Quelle que soit la nature du produit vendu, un site e-commerce est nettement plus facile à gérer qu’une boutique physique. Les marchands ne sont pas obligés de passer du temps à administrer le site, et peuvent aménager leur planning à leur convenance. Autre avantage : le commerçant peut attirer sur sa boutique virtuelle un nombre quasiment illimité de visiteurs, alors qu’il est limité au cadre de son local. Du côté des consommateurs, acheter sur un espace e-commerce représente un gain de temps (car pas de déplacement à prévoir) et une disponibilité des produits à toute heure du jour ou de la nuit ! Pour gérer une boutique en ligne, nul besoin d’être un ingénieur ou un informaticien de génie. Les nombreuses solutions offertes par les prestataires facilitent grandement la tâche des marchands.

Des offres internationales en seulement quelques clics

Lorsqu’un internaute désire acheter un produit qui n’existe pas sur le territoire, c’est sur internet qu’il se tourne. Les boutiques en ligne offrent la possibilité d’effectuer des comparatifs de prix et de qualité. Autrement dit, les internautes peuvent comparer les offres sans avoir à se déplacer d’une boutique, à un autre, ou même d’un pays à un autre.

Des investissements moins contraignants

Pour un marchand, concevoir une boutique en ligne engage très peu d’investissements financiers mais plus un investissement en temps. Pour être visible sur le net et booster ses ventes, le commerçant devra travailler son référencement naturel et éventuellement investir dans du référencement payant. À l’inverse, pour faire connaître une boutique physique, il faut passer par des démarches marketing, ainsi qu’une campagne publicitaire sur mesure, bien souvent très coûteuse.

Comment conserver le client sur sa boutique en ligne ?

Quand on sait qu’un internaute ne passe en moyenne que 8 secondes sur un site, il est impératif de retenir son attention. L’ergonomie et le design du site sont donc les premières choses que les visiteurs vont percevoir. Les prestataires e-commerce proposent des canevas modulables à souhait, dans l’optique de développer une boutique au design le plus abouti et le plus agréable possible. Attention à bien travailler l’ergonomie, au risque de voir l’internaute se perdre sur votre site et de fait quitter votre boutique, ne trouvant pas ce qu’il cherche. Les sites à succès comme def-shop.fr, qui commercialise des vêtements streetwear, en ont pris conscience en simplifiant au maximum leur interface pour proposer à l’internaute une expérience optimale de navigation. 

Si les boutiques en ligne connaissent actuellement un franc succès, n’oublions pas de préciser qu’il est essentiel pour toute enseigne qui ne possède pas son site web de se rendre visible sur la toile de façon générale. À vos clics !

2 outils pour créer votre boutique en ligne 

Prestashop : www.prestashop.com/fr
Wix : fr.wix.com

Création d’entreprise : quelles formalités administratives ?

La création d’entreprise n’est pas un processus si facile à réaliser. Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, il est important de connaître toutes les règles qui régissent les procédures de création. 

L’exercice d’une activité implique un ensemble de formalités et obligations administratives

En quoi consiste une formalité administrative ?

La formalité administrative est le fait de déclarer une activité et de demander par la suite une immatriculation. Pour obtenir cette fameuse immatriculation, il vous suffit d’entrer en relation avec les administrations qui seront également vos contacts réguliers à partir du moment où votre entreprise est considérée comme telle. Il s’agit entre autres des organismes sociaux et des services fiscaux. La meilleure façon d’effectuer ces démarches est de s’adresser au Centre de Formalités des Entreprises, le CFE.

Une fois que vous aurez fini de réaliser toutes ces démarches, vous obtiendrez votre SIREN. Vous obtiendrez aussi votre numéro d’identification. Sachez qu’il est unique. Il est utilisé pour les relations avec les organismes publics et les administrations. Pour la création des établissements, vous obtiendrez un ou plusieurs numéros de Siret, délivrés par l’Insee. Vous obtiendrez également ce qu’on appelle un code d’activité APE ou Activité principale exercée, qui est aussi remis par l’Insee.

La remise du certificat d’immatriculation 

La déclaration doit se faire à la fois auprès des répertoires Siren de l’Insee et aussi auprès du registre du commerce et des sociétés (RSC), soutenu par le greffe du tribunal de commerce, dans le cas où vous avez créé une société ou une autre forme d’activité commerciale. Si votre activité principale est l’artisanat, l’immatriculation est procurée par le répertoire des métiers. Cet organisme est sous l’égide de la chambre des métiers et de l’artisanat ou CMA. Si vous êtes agent commercial, allez plutôt chez le registre spécial des agents commerciaux qui œuvre au sein du greffe du tribunal du commerce.

Les rôles des centres de formalités des entreprises

Tout au long de la création d’entreprise, vous allez fréquemment vous rendre auprès du CFE. Cette plateforme est en charge du contrôle formel des pièces de vos dossiers. Après l’investigation, le CFE va les attribuer aux diverses organisations et administrations intéressées par la création de votre entreprise comme les services fiscaux, le RSI, l’URSSAF… Sachez que le CFE ne prend pas en charge les activités artisanales, les professions qui sont réglementées ou les emplois à domicile.

Les services de formalités en ligne

Afin de faciliter la création d’une entreprise, un service en ligne a été créé pour permettre la consultation des fiches qui mentionnent les activités réglementées de l’APCE. Via cette plateforme, vous pouvez avoir accès à toutes les informations dont vous avez besoin. Le site permet également de déposer la demande d’immatriculation et de suivre l’état d’avancement de votre dossier. Vous pouvez encore réaliser en partie sur internet l’ensemble des formalités utiles pour le lancement de certaines activités réglementées comme la demande de carte et d’autorisation.