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Tout savoir sur le véhicule de fonction

Le véhicule de fonction est un véhicule de la société mis à la disposition des salariés. Il est considéré comme un avantage en nature accordé au bénéficiaire. Ce dernier peut l’utiliser aussi bien pour ses déplacements professionnels que personnels. Le véhicule de fonction est différent du véhicule de service qui n’est accessible que dans le cadre de déplacements professionnels. Le salarié qui utilise un véhicule de service doit le rapporter à la fin de la journée de travail.

L’importance du contrat

Comme tout avantage, le véhicule de fonction est inscrit dans le contrat de travail, il doit être déclaré aux services fiscaux et aux impôts. L’évaluation des charges sociales est fonction des dépenses réelles engagées par le véhicule, c’est-à-dire le coût d’acquisition, les frais kilométriques, les entretiens, les assurances, l’amortissement. L’évaluation est également fonction de l’estimation forfaitaire annuelle du véhicule qui se base sur le coût d’achat du véhicule et la taxe. Bien sûr, l’entreprise s’engage à assumer tous les coûts directs, à savoir l’achat ou la location de ces véhicules, la carte grise, les assurances, le carburant, les entretiens et les coûts indirects comme les impôts société. Sans oublier la cotisation foncière des entreprises et les charges sociales patronales dues sur le montant de l’avantage en nature.

Pour les bénéficiaires

Les bénéficiaires du véhicule de fonction doivent savoir que l’usage de ces véhicules doit être mentionné dans le contrat de travail. La restitution de ce véhicule n’est pas possible sans le consentement du salarié bénéficiaire. À nous de rappeler que l’annulation ou la suppression de l’usage d’un véhicule de fonction doit faire l’objet de modification du contrat et doit être remplacée par une revalorisation salariale. Pour faire court, la mise à la disposition du véhicule constitue un avantage dont il ne saurait être privé sans être indemnisé.

En tout cas, le bénéficiaire devrait connaître tous ses droits en ce qui concerne l’utilisation de ce véhicule. En cas de suspension de contrat de travail, il peut toujours bénéficier de ce véhicule. Même si la cour de cassation estime que le salarié licencié est disposé à effectuer son préavis, il a le droit de ne pas restituer le véhicule, même si l’employeur s’engage à lui verser une indemnité compensatrice en contrepartie, avant le terme du contrat. Ainsi donc, l’utilisation de ce véhicule est conforme à l’exécution normale du contrat qui ne prend fin qu’au terme du préavis.

Pour les employeurs

Les employeurs désireux de dispenser des véhicules de fonction à leurs salariés doivent bien décrire dans les clauses du contrat les règles auxquelles les salariés doivent se conformer en cas de suspension, qu’importe la raison. À défaut, le salarié peut continuer à bénéficier du véhicule pendant la période de suspension du contrat de travail.

3 outils pour rendre performant votre site Internet

Votre site internet est votre première vitrine et vous l’avez compris. Oui mais voilà le trafic n’augmente pas et vous ne savez pas pourquoi. Voici 3 outils pour rendre performant votre site Internet. 

Mots clés, titre, description, contenu ou encore lien pointant vers votre site, autant d’éléments qui influent sur le positionnement de votre site internet sur les moteurs de recherche. Afin d’avoir un site performant qui soit bien référencé, il vous faut bien connaître les règles. Le référencement naturel représente une très large partie du trafic des sites Internet et vous évite d’utiliser des campagnes qui peuvent rapidement devenir un coût significatif. De nombreux éléments peuvent nuire à ce fameux positionnement. Certains outils permettent de mieux analyser votre site Internet afin d’en corriger les défauts, d’améliorer votre référencement sur les moteurs de recherche et d’augmenter votre trafic de manière naturelle.

Ces analyses peuvent porter sur le poids de la page, des ressources qui ne sont pas accessibles, la taille des images, les codes commentaires, des redirections malvenues, la longueur d’un titre, les scripts trop longs, le nombre de recherche DNS, des cookies trop longs, des tirets dans l’url… Ces outils, très pratiques pour être bien référencés, vous aideront à corriger ces défauts et à mettre en place une véritable politique de référencement avec les personnes de votre équipe qui s’en occupent. Mais n’oubliez pas que c’est tout de même l’intérêt que vous portent les utilisateurs qui reste déterminant dans leur choix de venir sur votre site ou non. Vous ne pourrez pas négliger l’acquisition directe (sans passage par un moteur de recherche) ou encore l’optimisation de la navigation à l’intérieur de celui-ci. Ils pourront être déterminants sur le « fameux » taux de transformation. Vous n’avez pas encore testé ce type de logiciel ? N’attendez pas car vous pourriez être surpris par le nombre d’éléments que vous négligez et de petites erreurs alors que vous pensiez votre site parfait.

Dareboost

analyse la performance et la qualité des sites web. Vous obtiendrez un rapport intégrant les métriques liées à votre site web (temps de chargement, poids de la page…) et des conseils experts, sur l’ensemble des problèmes qui ont été détectés, personnalisés selon les technologies utilisées par votre site. Vous avez notamment la possibilité de tester la version mobilex. www.dareboost.com/fr

Myposeo

permet de connaître quotidiennement la position de votre site sur les moteurs de recherche, sur 10 pages de résultats et plus de 300 extensions de moteur. L’analyse des données de cet outil est très précise et mise en forme dans de nombreux graphiques et visualisations. La synthèse des données permet ainsi de constater et exporter les évolutions de votre référencement. fr.myposeo.com

Ranks

vous donne un tableau récapitulatif des positions de vos mots clés sur les moteurs de recherche, d’examiner la performance de chacun de vos sites à travers différents indicateurs dont vous pouvez visualiser graphiquement l’évolution sur une période donnée. Le suivi permet l’analyse détaillée du référencement de vos concurrents et le classement des acteurs de votre marché. www.ranks.fr

Comment calculer les congés payés ?

La simple définition attribuée au mot « congés » n’est autre que l’autorisation accordée à un salarié de cesser le travail. C’est également la période pendant laquelle il y a interruption de travail, à l’occasion d’une fête, des vacances ou d’une maladie. Il est à noter que c’est l’employeur qui organise les départs de congés selon les règles internes de l’entreprise.

Durant les jours de congés, l’employeur verse une indemnité de congés payés au salarié. En contrepartie, le salarié n’a pas le droit de travailler pour le compte d’un autre employeur ni d’avoir une quelconque activité rémunérée pendant ses jours de congés. En principe, la durée des congés n’est pas prolongée bien que le salarié tombe malade pendant ses jours libres. Il doit se rendre à son travail et demander à se mettre en arrêt maladie.

Le droit de congés est attribué à tous les salariés quels que soient leurs catégories ou leurs qualifications, la nature de leurs rémunérations et leurs horaires de travails. Le salarié à temps partiel a les mêmes droits que le salarié à temps complet. Généralement, les salariés ont droit à 30 jours de congés chaque année, soit 2,5 jours par mois.

Conditions d’obtention des congés

En signant le contrat de travail, un salarié doit respecter les règles fixées par le code de travail, les conventions et les accords collectifs. Pour avoir droit à des congés payés, le salarié doit effectuer au minimum 10 jours de travail effectifs chez l’employeur. Il doit prévenir son employeur au moins un mois à l’avance de la date de départ. La date de congés doit avoir le consentement des deux parties : l’employé et le salarié. Entre autres, le salarié ne peut prendre des congés à une date fixée par lui-même et ne pourrait pas partir sans l’autorisation de son employeur. Et une fois que la date est fixée, ni l’employeur ni le salarié n’ont le droit de la modifier. Toutefois, un seuil de tolérance est accordé aux conjoints ou aux personnes liées par un pacte civil de solidarité qui travaillent dans le même établissement. Ces personnes ont le droit de prendre un congé en même temps. Les nouvelles recrues peuvent prendre des congés qu’ils ont acquis sans attendre la fin de la période de référence. Un salarié a donc le droit de prendre un congé de 24 jours ouvrables, mais les congés payés ne dépassent pas 12 jours ouvrables. Tous les congés dépassant 12 jours peuvent être fractionnés par l’employeur.

Comment les calculer ?

Le principe est simple. Le décompte des jours de congés se faits en jours ouvrables, c’est-à-dire lundi au samedi. En cas d’horaire étalé, on considère quand même comme jours ouvrables les jours non travaillés.

Pour calculer les congés payés : vous devez additionner le nombre de jours ouvrables compris entre le premier et le dernier jour de congés. Mais les jours d’arrêt maladie et les jours de congés de maternité ne doivent pas être pris en compte. En ce qui concerne le calcul d’indemnité de ces congés payés, il se base sur deux les deux modes qui sont les suivants : le premier est égal à la rémunération perçue comme si le salarié avait continué à travailler. Le second est égal au 1/10ème de la rémunération totale brute perçue pendant la période de référence ; cela inclut les primes, les majorations pour heures supplémentaires.

Planifier les vacances de votre community manager

Évidemment, comme tout le monde, le community manager a également le droit de profiter des festivités à venir, que sont les fêtes de Noël et le jour de l’an. C’est un moment où tout le monde aimerait bien passer les fêtes en famille ou entre amis, pour lâcher complètement la pression. Mais le problème c’est que sans le community manager, rien ne va plus sur les réseaux sociaux. Ce serait donc une vraie perte pour une entreprise, notamment en termes de fidélisation client et de prospect.

Les soucis à prendre en compte

Le problème c’est que pour une entreprise, il n’existe bien souvent qu’un seul community manager. C’est ce qui fait que les choses sont compliquées. Evidemment, les réseaux sociaux fonctionnent en continu et ne sont pas sujets aux heures de bureau. Ces réseaux sociaux pullulent de lecteurs potentiels (vos cibles) susceptibles de se connecter à des heures très improbables. Autre problème, ne rien publier signifie perdre en crédibilité. Une page fan vide renvoie une mauvaise image de l’entreprise. Une vitrine vide laissera toujours une marque.

Comment faire, dans ce cas ?

Pour le community manager, les vacances sont proches et il faut s’apprêter à partir. Pour ce faire, il vous suffit de prendre certaines mesures. La première chose à faire est de planifier. En de telles circonstances, Facebook prévoit la possibilité de planifier les interventions. Le community manager doit ainsi rentrer une heure et une date de publication précise et tout est en ordre. La seconde chose à faire est de gérer l’urgence. Tous les messages reçus depuis une page sociale ne requièrent pas toujours une réponse dans l’heure. Un tri entre les requêtes accessoires et les demandes essentielles doit être réalisé par le manager.

Dans le même ordre d’idée que la planification et la gestion d’urgence, il faut savoir trouver un rythme de publication, et potentiellement le ralentir un peu pendant les fêtes. Cela permet au community manager de mieux s’organiser, et ce dernier doit juger s’il est en mesure ou non de poster des billets et à quelle fréquence. Pour recevoir instantanément des alertes, misez tout sur votre Smartphone, un appareil indispensable pour un community manager pour agir rapidement.

Ce qu’il faut savoir

Il est important de noter qu’il existe des comptes qui ne supportent pas une interruption momentanée des activités. Dans le cadre d’un compte qui présente plusieurs interactions journalières, comme Twitter, il serait plus judicieux de remplacer le community manager pour éviter de couper le service. Vous le savez sûrement, la confiance des internautes s’acquiert dans la constance et la durée

Chefs d’entreprise, célébrez Noël au bureau !

Les fêtes de fin d’année débarquent. Bien que Noël soit considéré depuis longtemps comme une fête familiale, les entreprises le célèbrent également. Pour certaines personnes, c’est une fête très amusante, pour d’autres, il est difficile de devoir passer ce moment avec leur dirigeant et leurs collègues. Avant de célébrer Noël au sein de votre entreprise, prenez en compte ces quelques conseils.

Pourquoi célébrer Noël au bureau ?

Si vous faites partie des dirigeants qui pensent que célébrer la fête de Noël au sein de l’entreprise n’est pas important, c’est le moment de changer d’avis. Vous devez savoir que la célébration de cette fête entre collègues peut vous apporter beaucoup de choses. La fête de Noël dans votre entreprise est l’occasion parfaite pour rassembler tous les employés. C’est un des moments au cours duquel vous pouvez faire connaissance avec chacun d’entre eux et aussi faire en sorte que personne ne se sente exclu. C’est aussi le moment parfait pour créer des liens avec vos employés. Cette occasion est également le moyen le plus approprié pour leur adresser votre reconnaissance dans le but de les motiver encore plus.

Les préparations pour une fête réussie 

Pour transformer votre bureau en un lieu très convivial et faire vivre à vos employés la magie de Noël, il est important de bien se préparer. 

  • Bien choisir les conditions : certaines personnes aiment se noyer dans la décoration, d’autres préfèrent rester dans un endroit plutôt simple, mais qui rappelle dans tous les cas que c’est Noël. Mettez des sapins avec les décorations appropriées pour faire de votre bureau un endroit convivial. En ce qui concerne le « dress-code », il ne faut pas exiger que tout le monde se mette sur son 31. Il faut juste que cela soit quelque chose de chic et de charmant. Pas besoin de porter une tenue trop chic, ni de venir déguisé en Père Noël. Soyez simples.
  • Évitez d’en faire trop : durant les fêtes de Noël entre collègues, une enquête a révélé que la plupart des personnes se saoulent et se donnent en spectacle. Pour éviter que cela n’arrive dans votre bureau, il est important pour tout le monde de maintenir une certaine modération sur l’alcool. Il est toujours important de garder une bonne image professionnelle, surtout en tant que dirigeant. Dites-vous que vous êtes néanmoins toujours au bureau et qu’il est important de bien se comporter. Il est important de maintenir une certaine retenue pour éviter les regrets au moment où vous reverrez vos collègues à la rentrée !
  • Quelques conseils : pour éviter que votre fête ne tourne à la beuverie, il est important de prendre quelques initiatives dès le début. Essayez de ne pas faire profiter à vos employés d’un open-bar. Vous pouvez également servir des boissons non alcoolisées pour éviter les débordements. N’oubliez pas également de faire en sorte que vos employés mangent suffisamment pour ne pas boire l’estomac vide. Bonnes fêtes !

Quel revenu pour le dirigeant ?

Le revenu d’un dirigeant dépend généralement de la forme de son entreprise et du régime fiscal qu’il a choisi. Bien qu’il soit le chef de l’entreprise, le dirigeant ne peut pas se payer lui-même comme il l’entend. Il faut qu’il suive les procédures qui sont conformes à la loi en vigueur. Toutefois, malgré ses limites, il existe une diversité de choix qui permettent aux dirigeants de choisir le mode de rémunération qui lui convient le mieux.

Quelles sont les options ?

Les dirigeants qui payent l’impôt sur les sociétés ont le droit de toucher une rémunération indépendante des bénéfices sociaux. Par contre, pour une entreprise individuelle ou en nom collectif qui est assujettie à l’impôt sur revenu, le dirigeant tire ses rémunérations des bénéfices de l’entreprise. Pour les dirigeants des entreprises qui sont assujettis aux impôts sur les sociétés, ils peuvent choisir entre la rémunération sous forme de salaire ou de dividende. À ces deux formes de rémunération s’ajoutent d’autres avantages comme des intérêts de compte courant, des revenus fonciers pour les propriétaires du local de l’entreprise et des avantages en nature comme les logements ou la voiture de transport. Dans certains cas, l’entreprise peut également participer au financement de la retraite du dirigeant.

Percevoir un salaire ou attendre les résultats ?

Les dirigeants salariés recevront une déduction forfaitaire de 10 %. Cela couvre les frais de déplacement, la restauration, les frais de documentation ou de formation. Mais si cela n’est pas suffisant pour le dirigeant, il peut demander une déduction des frais réels. Dans ce cas, il faut qu’il justifie sa demande. Il faut ajouter dans ces demandes les indemnités ainsi que les remboursements de frais en nature. La rémunération en dividende est plus avantageuse dans le sens où l’impôt sur le revenu sur les résultats est plus léger que le salaire d’un même montant. Pour distribuer ou classer les dividendes, il faut obtenir la décision de l’assemblée générale. Les dividendes sont soumis à différents impôts et abattements sur les revenus. Suite à cela, les bénéfices ne sont pas tout de suite partagés aux actionnaires, la loi impose aux dirigeants d’effectuer certaines réserves. On peut citer l’exemple de la réserve légale, de la réserve statuaire, de la réserve réglementée et de la réserve facultative. C’est seulement après que l’entreprise peut placer des parts dans leur capital ou dans d’autres investissements et partager le reste aux dividendes. 

Choisir la forme la plus avantageuse pour l’entreprise

Toutefois, les dividendes que le dirigeant perçoit ne sont soumis à aucun impôt ni cotisation sociale. Il est donc assez difficile de définir quelle stratégie est la plus avantageuse, car si le dirigeant opte pour un salaire régulier, celui-ci ainsi que les charges sociales qui sont liées aux salaires sont déductibles aux résultats de l’entreprise, ce qui permet de diminuer les impôts sur les revenus de la société. Il faut donc effectuer le calcul et voir si l’impôt sur le revenu imputé à l’entreprise est plus lourd que les impôts et les charges sociales que subissent les salaires des dirigeants.

Le coworking : un mode de travail en plein essor

Nouveau mode de collaboration professionnelle insufflé par la technologie, le coworking ou travail coopératif est un nouveau concept développé à San Francisco en 2005. Il regroupe deux notions. Le coworking est à la fois un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs, ce qui encourage l’échange et l’ouverture. Le coworking couvre maintenant les cinq continents et l’on compte près de 2000 espaces dans le monde.

Des conditions de travail conviviales

Le coworking est fréquenté par différentes catégories de travailleurs qui veulent rompre leur solitude et leur isolement ! Les centres sont souvent remplis de développeurs, concepteurs, blogueurs, architectes web, consultants commerciaux ou auto-entrepreneurs. Les espaces de coworking sont appréciés pour l’harmonie et la convivialité qui s’en dégage.

La précarité du monde du travail d’aujourd’hui a renforcé le réseau de la solidarité et de partage pour pouvoir se maintenir dans l’emploi et partager des outils dédiés à cette forme de travail. En tant qu’espace de travail, les espaces de coworking ont joué un rôle prépondérant en favorisant la structuration d’un véritable réseau de cotravailleurs facilitant les échanges, la coopération et la créativité.

Ils offrent la possibilité de travailler plus efficacement et de mêler les expériences et compétences de chacun au sein de l’espace. Les professionnels qui partagent les mêmes bureaux peuvent ainsi travailler de façon collaborative sur des projets en commun. Cette situation impose des règles.

On y partage plus que de l’espace 

En tant que concept et en tant qu’espace, les coworkers baignent complètement dans le partage. Ces espaces offrent un type d’organisation du travail qui permet de partager els compétences d’un réseau de travailleurs, ce qui améliore l’échange et l’ouverture sur autrui. Puisqu’il est né de la multiplication du nombre de travailleurs indépendants souhaitant partager un lieu d’exercice de leur activité́, il facilite la créativité́ et il permet de partager bien plus que de l’espace. 

On peut tirer nombreux profits du coworking. Avant tout, il peut être un véritable atout pour les entreprises. Ces dernières ont tout à gagner en testant la formule. Pour les collaborateurs désireux de travailler à distance, le coworking fournit une solution adaptée à leurs attentes s’il se trouve à proximité de leur domicile. 

Le coworking permet également aux entreprises de s’implanter sur un autre continent, mais sans y être physiquement présente. Il permet à l’entreprise de limiter leurs dépenses immobilières et de faciliter la gestion. Avec le coworking, une entreprise peut éviter de contracter un bail. 

Les membres ont tout à gagner aussi. Leurs complémentarités permettent à chacun un accès facile, naturel et enrichissant à des ressources variées. On y trouve les pôles de compétences principaux de l’entreprise comme les créatifs, les managers, les communicants. D’où la naissance de l’échange et des collaborations.

L’avocat qui donne un coup de jeune au secteur du droit

De par son vécu, Jean-Philippe Touati est un entrepreneur inspiré et réfléchi. En partant de l’expérience de la dématérialisation de son propre cabinet il y a 5 ans, ce professionnel du droit a développé une nouvelle méthode de travail basée sur les nouvelles technologies. Avec certains de ses confrères, il vient de fonder le réseau AvocatSphère, réseau innovant d’avocats, actuellement en phase de lancement. Parcours.

Jean Philippe Touati, inscrit au Barreau de Paris depuis 20 ans, est un entrepreneur-avocat. En 2009, il quitte ses associés et se lance dans une expérience inédite en créant le cabinet e-touati.com, avocat 2.0, dédié au monde de l’entreprise. « L’idée était de repenser entièrement la manière dont j’exerçais mon métier en y intégrant toutes les possibilités offertes par les nouvelles technologies afin d’être non seulement plus efficace mais aussi plus proche de mes clients, plus réactif et compétitif ». À 46 ans, il affiche délibérément l’objectif de faire bouger les lignes, d’innover et de participer activement à la mutation que sa profession est en train de vivre.

Élément déclencheur

C’est une situation peu commode qui a poussé Jean-Philippe Touati à innover sur le plan professionnel. Travaillant dans un cabinet à taille humaine, il décide d’acquérir en 2007 avec ses associés de l’époque des locaux professionnels dans un immeuble ancien du VIIIème arrondissement de Paris. Mais les travaux prévus pour ne durer que deux à trois mois vont en fait perdurer pendant près de deux ans.

« Durant cette période, je me suis retrouvé à devoir payer une infrastructure d’avocat qu’il m’était impossible d’utiliser. Mon bureau était un véritable champ de ruines. Il m’a fallu trouver du jour au lendemain une solution alternative pour continuer à exercer mon activité. J’ai alors mis en place une organisation relevant du système D afin de pouvoir travailler à distance et me suis rendu compte assez rapidement qu’il existait potentiellement une autre façon d’exercer ma profession, d’autant qu’en dépit de conditions de travail très difficiles, j’avais réussi à maintenir mon chiffre d’affaires. Je suis alors passé du système D au concept en créant de nouveaux outils dédiés à la profession d’avocat ».

En 2011, Il crée et lance la plate-forme web « vacations-avocats.fr » permettant notamment à chaque avocat inscrit sur le site (environ 1.500 actuellement) de mettre en ligne son agenda d’audiences.

Un avocat est « un chef d’entreprise à part entière ». Cette prise de conscience a d’ailleurs conduit le Barreau de Paris à créer « le Barreau entrepreneurial » ». Mais à présent, Jean-Philippe Touati a décidé d’aller plus loin dans le concept de la dématérialisation du cabinet d’avocat. « Il m’a fallu du temps avant de maîtriser toutes les étapes menant à cette dématérialisation. Mais à présent, je dispose d’outils performants et efficaces que j’ai en partie conçus et perfectionnés avec le temps. Le cœur de mon cabinet est notamment constitué d’un outil de gestion électronique de documents full web répondant aux normes de sécurité les plus exigeantes. Le nouveau mode d’organisation que j’ai adopté m’a permis notamment de réduire mes charges fixes ». Mais il ouvre la voie, selon ses dires, à de formidables opportunités. « Les avocats doivent non plus se considérer comme des concurrents entre eux mais comme de possibles partenaires. Le droit se complexifie chaque jour davantage. Pour répondre aux besoins de nos clients, il faut savoir faire appel aux compétences des uns et des autres pour traiter un dossier dans son ensemble ».

Des avocats 2.0 en réseau

C’est sous cet angle qu’est née l’idée du réseau AvocatSphère. Le but : pouvoir travailler ensemble sans partager nécessairement les mêmes locaux en disposant des outils technologiques et d’une organisation adaptée au travail collaboratif. AvocatSphère est né également de la volonté de proposer aux clients et prospects une sorte de guichet unique où ces derniers n’ont plus à se soucier de savoir si tel ou tel avocat a bien toutes les compétences nécessaires pour traiter leurs dossiers. La raison est simple : chaque avocat du réseau, recruté pour ses compétences et son éthique, possède la capacité de former une équipe de confrères de confiance disposant du savoir-faire et de l’expérience requise dans chaque secteur du droit considéré.

« Ce mode de fonctionnement permet à chaque avocat de travailler en mode projet et de décupler ainsi son potentiel, par la mise en œuvre d’associations éphémères entre confrères, le temps d’un ou plusieurs dossiers, selon les besoins. Le client s’y retrouve puisque les frais fixes sont bien moins importants que ceux inhérents aux infrastructures traditionnelles d’avocats regroupés par compétences au sein d’un même bâtiment ».

Les clients de Jean-Philippe Touati se sont habitués à travailler en étroite collaboration avec leur conseil par écrans interposés, « ce qui n’empêche pas de se voir physiquement pour discuter de vive voix d’une affaire ou d’une stratégie à arrêter », nous précise l’avocat. « La dématérialisation du cabinet n’est pas la dématérialisation de l’avocat »

Jean-Philippe Touati a décidément pris le train de l’innovation en marche pour l’appliquer à son secteur d’activité. Une profession en pleine mutation auquel contribue l’avocat, enthousiaste pour l’avenir.

Trois questions à … Jean Philippe Touati 

Quel regard portez-vous sur votre profession ? 

Le métier d’avocat doit évoluer pour s’adapter aux exigences d’un monde en transformation permanente. Je conçois le fait de travailler en mode dématérialisé comme l’ouverture d’un nouveau champ des possibles, permettant aux avocats de collaborer avec les membres d’autres professions (experts-comptables, notaires, huissiers, consultants, etc.) afin de proposer une gamme de services dépassant le simple périmètre du droit.

Comment voyez-vous l’avenir d’AvocatSphere ? 

Très vite, ce réseau devrait être présent aux côtés des entrepreneurs qui ont envie de « changer le monde » et deviendra pour les avocats qui en font partie la source d’échanges fructueux, d’opportunités de travail, de partages et d’associations durables.

Depuis quand êtes-vous passionné de droit ? 

Je n’étais pas passionné au départ mais c’est véritablement venu avec le temps. Je trouve cette aventure entrepreneuriale exaltante. Ce n’était pas forcément le cas au démarrage lorsqu’il s’agissait de mettre mes pas dans ceux des confrères qui m’avaient précédé jusque-là. Il y a désormais de nouvelles pages à écrire qui laissent une place importante à la créativité. J’exerce un très beau métier et suis heureux d’apporter ma petite pierre à l’édifice pour innover dans ce secteur en plein changement.

Dialogue social en entreprise : la négociation s’enlise

La négociation autour du dialogue social en entreprise patine. Malgré les nombreuses réunions organisées pour faire évoluer le projet, rien n’a réellement avancé. Si cela fait du surplace, c’est surtout à cause d’un manque d’organisation dans les marges de négociations. Pendant plus de six heures la semaine passée, les syndicats ont souligné leurs propositions et leurs commentaires, sans que le projet n’apparaisse tangible. Explications.

Un accord à trouver d’ici la fin de l’année

Voilà maintenant plusieurs jours que la négociation sur le dialogue social en entreprise se poursuit, sans pour autant atteindre son but. Le 11 décembre dernier, le patronat et les syndicats se concertaient dans l’optique de faire bouger cette négociation. Pour rappel, il s’agit d’une discussion autour de l’efficacité du dialogue social dans l’entreprise et l’amélioration de la représentation des salariés, proposée par Manuel Valls. Or, jusqu’à présent, rien n’a été officiellement décidé. Ils sont au total, cinq confédérations syndicales représentatives et trois organisations patronales (Medef, CGPME et UPA) à vouloir trouver une entente et un espace de progression pour le projet. Manuel Valls a par ailleurs donné un ultimatum (jusqu’à la fin de l’année) aux représentants pour faire avancer la négociation. Le premier Ministre s’attend à ce que l’effort émane de tous les côtés pour concrétiser le projet une bonne fois.

Une négociation difficile

Cette négociation devrait donc être bouclée d’ici la fin de 2014, mais qu’en pensent les syndicats ? Selon Marylise Léon de la CFST, « La balle est dans le camp du patronat, Si on voit que sur les grands principes on peut avancer ensemble, mais que c’est compliqué d’aboutir avant la fin de l’année, il faudra une date en janvier ». Pendant que certains tentent de rester positifs, Marie-Alice Medeuf-Andrieu, représentante de Force ouvrière, ne serait pas du même avis. Le fait de devoir tout boucler dans deux semaines aura déclenché comme une vague de colère et elle confirme donc son absence des prochaines rencontres.

3 outils pour communiquer à distance

Vous êtes parfois amené à vous déplacer pour une durée plus ou moins longue et par conséquent à vous absenter de votre lieu de travail habituel. Voici 3 outils pour communiquer à distance.

Cet éloignement vous stresse parce que vous craignez de perdre le contrôle de votre entreprise. Pour vous déplacer en toute sérénité, certaines mesures s’imposent. La veille de votre départ, distribuez les tâches à votre équipe en expliquant de manière précise la quantité et la qualité attendues. N’hésitez pas à user d’une démonstration en segmentant les étapes clairement. Selon la durée de votre absence, établissez un planning sur un ou plusieurs jours. Inutile de demander à vos salariés plus de travail qu’ils ne pourront accomplir, d’autant plus que cela pourrait les décourager. Mais soyez tout de même prudent en envisageant un décalage de quelques jours sur la durée prévue de votre séjour.

Déléguez à un collaborateur vos fonctions et légitimez son autorité auprès des autres salariés en annonçant votre décision à ces derniers. Dans vos bagages, prenez les coordonnées de votre remplaçant temporaire afin de vous tenir informé de l’évolution des tâches laissées et de contrôler le suivi de vos recommandations. En cas de doute sur le bon déroulement des tâches, intervenez avec délicatesse mais fermeté. N’oubliez pas d’emmener avec vous les documents nécessaires lors de votre séjour externe. Vérifiez les date, heure et lieu de vos rendez-vous et envisagez toujours de pouvoir contacter vos correspondants en cas d’imprévu. Communiquer à distance lorsque vous vous déplacez reste une bonne solution, mais il est probable que ce soit les autres personnes qui désirent faire avec vous une réunion, une conférence, etc… Dans ce cas, n’omettez aucun détail concernant l’accueil de vos « convives ». De bonnes conditions de travail passent par votre capacité à fédérer. Faites preuve d’efficacité du point de vue de la synchronisation pour éviter de perdre et faire perdre du temps. À cet effet, sachez qu’il existe des outils pour communiquer à distance de manière simple et économique.

Skype

Vous fait bénéficier d’appels gratuits entre utilisateurs Skype vers des lignes fixes et mobiles dans le monde à des tarifs très économiques. Ce logiciel vous permet d’organiser des conférences à distance de 3 à 10 personnes. Pour passer un appel vidéo, allez dans vos contacts, vérifiez la présence en ligne de la personne et cliquez sur son nom puis sur « Appel Vidéo ». www.skype.com

Gotomeeting

Ne requiert aucune formation préalable d’utilisation. Vous pouvez contacter en toute sécurité votre équipe, vos clients, etc… disséminés dans le monde. Ce site permet de planifier et organiser des conférences en ligne, réunions, etc. avec maximum de 25 participants. Démarrez une réunion en cliquant sur « Se réunir maintenant » dans la fenêtre de démarrage GoToMeeting. www.gotomeeting.fr

Mikogo

Vous évite de transférer vos fichiers sur Internet avant de commencer une session de partage de bureau. Cette multiplateforme vous permet de diffuser sur le web n’importe quel contenu affiché sur votre écran d’ordinateur. Quel que soit le type de documents, tous les participants de votre réunion ou conférence en ligne pourront voir ce que vous effectuez en temps réel. www.mikogo.fr