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Adopter la complémentaire santé

Difficile d’échapper à la complémentaire santé pour tous les salariés. Cette obligation légale qui entre en vigueur au 1er janvier de l’année 2016, quelle que soit la taille de votre entreprise, est souvent perçue comme une contrainte par les professionnels. À tort ou à raison ? Éclairage.

Rappel des faits

Le 11 janvier 2013, les partenaires sociaux ont établi un accord national interprofessionnel (ANI) au sujet de la compétitivité et la sécurisation de l’emploi. D’un commun accord, les organisations patronales et syndicales ont décidé de proposer de nouveaux outils de flexibilité aux entreprises et de nouveaux droits aux salariés. Conséquence : l’ANI impose désormais à toute entreprise, quels que soient sa taille, son secteur d’activité ou son statut, la généralisation de la complémentaire santé à tous les salariés à compter du 1er Janvier 2016. Globalement, le principe demeure le même que pour les contrats individuels, à savoir que la complémentaire santé collective permettra aux salariés de bénéficier de remboursements sur leurs soins courants.

Quel est le rétro-planning ?

L’échéance officielle et générale pour la mise en place d’un contrat collectif reste le 1er janvier de l’année 2016, mais cette dernière peut être avancée en fonction des conventions collectives auxquelles sont rattachées les différentes entreprises. Si les partenaires sociaux ont défini un cadre qui s’applique à tout le monde, chaque convention peut négocier un cadre plus avantageux, en fonction du timing ou des garanties qui conviennent à l’entreprise. Pour les garagistes, la complémentaire santé collective devra être généralisée au 1er mars 2015. Dans tous les cas, 2016 constitue le dernier délai pour la mise en place d’une mutuelle santé avec garanties minimales.

Quelles conséquences pour l’employeur ?

À travers l’ANI, deux obligations sont à respecter pour l’employeur. D’abord, les entreprises doivent financer au moins 50 % des cotisations. Ensuite, le contrat doit prévoir un socle minimal de garanties appelé « panier de soins » qui comprend les consultations, les frais de pharmacie, l’optique (forfait de 100 à 200 € en fonction du type de verres tous les deux ans), les prothèses dentaires (remboursement à hauteur de 125 %) et le forfait hospitalier journalier. À ces obligations s’ajoute un avantage majeur pour l’entreprise, à savoir qu’il existe des exonérations sociales et des déductions fiscales. Ainsi, les cotisations qui financent le régime ne sont pas soumises aux impôts sur les sociétés, dans la limite de 5 % du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS) et de 2 % du salaire annuel brut. Le total ne doit pas dépasser 16 % du PASS. Ces cotisations ne sont également pas soumises à des charges sociales, dans la limite de 6 % du PASS et 1,5 % du salaire annuel brut. Le total ne doit pas dépasser 12 % du PASS.

Un levier pour fidéliser les salariés

En plus de montrer que l’entreprise anticipe et se met en conformité vis-à-vis de la loi sans attendre le 1er janvier 2016, l’adoption immédiate d’un contrat de complémentaire santé collective au sein des organismes professionnels se révèle aussi un excellent moyen de fidéliser et de motiver les salariés. Autre avantage : la mise en place d’une complémentaire santé dans l’entreprise permet aux salariés de bénéficier de garanties plus étendues qu’un contrat individuel pour un tarif plus faible. Chaque employé peut, à sa charge, couvrir sa famille et renforcer ses garanties à l’aide de renforts individuels. Il est aisé de comprendre que si une société couvre 50 salariés, tous ne possèdent pas nécessairement des besoins identiques en matière de frais de soins. Chaque salarié peut donc personnaliser sa couverture en fonction de ses besoins au-delà du simple contrat cadre prévu par l’employeur.

Les TPE prennent encore leur temps

Aujourd’hui, ce sont principalement les structures importantes qui s’emparent du sujet. Au total, 80 % des PME et ETI de plus de 50 salariés sont équipées d’une couverture santé collective, alors que seulement 60 % des TPE (de 1 à 9 salariés) affichent pour l’instant une absence de couverture. Et pour cause : les petites entreprises font preuve d’une souplesse plus importante que les grands comptes, ce qui retarde donc un peu la mise en place d’un contrat collectif. Une entreprise qui possède deux salariés pourra amener le sujet plus facilement auprès de ses équipes, alors qu’une société qui possède des représentants des salariés ou un comité d’entreprise devra répondre à une démarche plus réglementée.

Quel organisme choisir ?

La nouvelle règlementation applicable au 1er janvier 2016 a déjà des conséquences sur les contrats des assureurs, qui font basculer leurs contrats de santé individuelle vers des contrats collectifs. Les compagnies d’assurance mettent progressivement leurs offres en conformité avec la règlementation. Pensez à les solliciter individuellement pour connaître leurs différentes garanties. Certains proposent des services de télétransmission ou encore l’accès à un espace web personnel facilitant le suivi des remboursements. Faites jouer la concurrence, renseignez-vous en amont !

En chiffres

  • Au total, 500 000 entreprises (toutes tailles confondues) n’ont pas encore mis en place de couverture santé
  • Cela représente 4 millions de salariés, soit 10 millions de personnes concernées en rajoutant les familles
  • 40% des TPE (1 à 9 salariés) ne sont pas équipées
  • Seulement 20% ne le sont pas chez les PME/ETI de plus de 50 salariés
  • Coût moyen d’un contrat collectif : environ 1 000 € par an et par salarié

En savoir plus

Vous avez des questions, contactez un agent général Aviva proche de chez vous : www.aviva.fr

10 conseils si vous voulez, comme Tribway, lancer un concept novateur

Voici 10 conseils si vous voulez, comme Tribway, lancer un concept novateur.

Proposez un service ou produit qui correspond à un vrai besoin.

Il est toujours plus facile de répondre à un besoin existant que d’en créer un nouveau.

N’attendez pas que votre produit ou service soit parfait pour le lancer.

Procédez plutôt par itération pour collecter du feedback le plus tôt possible.  

Améliorez votre produit ou service en permanence.

Analysez vos chiffres, écoutez vos clients, testez, re-testez, et améliorez en permanence.

N’hésitez pas à pivoter !

Si ça ne marche pas comme vous voulez, tentez d’autres choses. Savoir s’adapter, c’est la clé du succès.

Soyez créatif.

Il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup d’argent pour se faire connaître. Prenez-le temps de chercher des idées « out of the box » ou exploitez les cerveaux créatifs autour de vous !

Pensez 80/20.

Focalisez-vous sur les 20 % des tâches qui apporteront 80 % des résultats. Votre temps est précieux, ne le gaspillez pas !

Entourez-vous bien.

Apprenez à gérer le stress et à décompresser. L’entrepreneuriat, c’est un peu les montagnes russes émotionnelles. Pensez à déconnecter totalement de temps en temps.

Fixez-vous des objectifs réalistes et célébrez vos petites victoires.

Au quotidien, apprenez à savourer chaque petite victoire. Soyez fiers de ce que vous avez déjà réussi !

Soyez patient.

Les choses ne vont jamais assez vite pour les entrepreneurs, mais souvenez-vous que Rome ne s’est pas faite en un jour !

Le top 10 des dirigeants au féminin dans le monde

Réussir en tant que chef d’entreprise n’est pas uniquement réservé aux hommes. Voici une sélection de 10 dirigeants au féminin d’entreprises célèbres.

1- Monique F. Leroux, ex présidente du conseil et chef de la direction du Mouvement Desjardin (Canada)

Depuis 2008, Monique Leroux apparaît comme la première femme de nationalité canadienne en tête d’une entreprise financière dans son pays. Elle dirige le premier groupe financier coopératif au Canada. Avec à son actif 43 600 employés et 5,8 millions de membres, elle parvient à décrocher, en 2011, le Prix Woodrow-Wilson.

Elle est Présidente du conseil d’administration d’Investissement Québec depuis le 27 avril 2016

2- Zhang Yin, fondatrice de Nine Dragons Paper (Chine)

Son entreprise est spécialisée dans le recyclage de papier destiné au domaine de la distribution. Autodidacte et ayant commencé avec moins de 5000 dollars, elle réussi à faire entrer en bourse son entreprise en 2006. Cela lui permet de multiplier sa fortune par 9 pour devenir en 2010 la femme la plus riche au monde.

Fortune : 6 milliards de dollars

Elle est la fondatrice et propriétaire de Nine Dragons Paper, groupe chinois de recyclage de papier et premier producteur de papier d’emballage de Chine.

3- Cher Wang, cofondatrice et PDG de HTC (Taïwan)

Avec une fortune de 3,5 milliards de dollars, c’est la femme la plus puissante dans l’univers des téléphones et des tablettes numériques. Son entreprise HTC, en concurrence directe avec Apple, parvient à décrocher les contrats Google et Microsoft pour la vente de leurs systèmes d’exploitation pour Smartphones.

4- Dominique Senequier, fondatrice et présidente d’ARDIAN (France)

En 1996, elle crée l’entreprise Axa (devenu aujourd’hui Ardian) : une entreprise d’investissement. Quinze ans plus tard, « Axa PrivateEquity », filiale d’Axa, acquiert un emplacement de prédilection au niveau européen. Grâce à sa fortune de 28 milliards de dollars, elle devient, en 2010, la femme la plus influente dans le secteur européen de l’investissement.

5- Anne-Laure Constanza, fondatrice de Envie de fraises (France)

En 2008, elle fonde son site marchand de vêtements destinés aux femmes enceintes. Deux ans plus tard, son entreprise réalise un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros et acquiert un succès international, notamment sur le continent européen.

6- Nahed Taher, fondatrice de Gulf One Investment Bank (Arabie Saoudite)

Diplomée de l’université de Lancarster aux Royaume-Uni, elle décroche son doctorat et devient économiste à la National Commercial Bank, une banque saoudienne. En 2005, elle finit par fonder sa propre entreprise « Gulf One Investment Bank » et devient la première femme à la tête d’une banque dans les pays du Golf.

7- Yoshiko Shinohara, fondatrice de Temp Holdings (Japon)

Yoshiko Shinohara crée, en 1973, l’entreprise d’emplois intérimaires « Temp Holdings» qui propose du personnel qualifié dans le domaine des ressources humaines, du commerce en détail, des assurances, des médias, des soins, etc. Avec des ventes de plus de 2.8 milliards de dollars, l’entreprise japonaise compte plus de 131 bureaux dans le pays.

Salon des Entrepreneurs Lyon Rhône-Alpes 2015

Descriptif de l’événement

Que vous soyez dirigeants, porteurs d’un projet de création, de franchise ou de reprise, startups ou jeunes entrepreneurs : ne manquez pas la 12ème édition du Salon des Entrepreneurs Lyon Rhône-Alpes, les 2 & 3 juin 2015 au Centre de Congrès. Le Salon des Entrepreneurs est l’évènement incontournable créé par des entrepreneurs pour des entrepreneurs ! Parce que la réussite de vos projets dépend de votre capacité à vous démarquer : venez profiter du plus grand rassemblement d’entrepreneurs en Rhône-Alpes, pour capter les nouvelles tendances, dénicher les bonnes idées, être à la pointe des dernières innovations, maîtriser les mécanismes innovants de financements, développer votre réseau et booster votre business grâce au numérique !

–  Obtenez des conseils sur mesure auprès de professionnels qualifiés

–  Trouvez des financements pour tous vos projets

–  Formez-vous gratuitement grâce à 100 conférences et ateliers

–  Développez votre réseau et partagez l’expérience de grands entrepreneurs

 Lieu de l’événement

Centre de Congrès 
50 Quai Charles de Gaulle
69463 Lyon Cedex 06

A qui s’adresse cet événement ?

Dirigeants, porteurs d’un projet de création, de franchise ou de reprise, startups, jeunes entrepreneurs

Frais de participation

Aucun

Site internet

http://www.salondesentrepreneurs.com/lyon/4den

Lien d’inscription

Pour bénéficier d’une invitation gratuite valable 2 jours offerte par Dynamique
Entrepreneuriale
suivez ce lien :

http://www.salondesentrepreneurs.com/lyon/inscription/4den

5 secteurs économiques en devenir

Pour monter une start-up qui fonctionne, il faut observer avec attention le marché de la demande. Viser des secteurs économiques qui cartonnent vous garantit une quasi-exclusivité assez prometteuse. Voici alors 5 domaines où vous pouvez investir en espérant une réussite imminente.

1- Le secteur de la santé mobile

Avec l’engouement grandissant pour les applications mobiles, le secteur de la santé n’a pas été épargné. Désormais, vous pouvez réaliser les actes médicaux les plus simples par vous-même. La technologie a ainsi rendu accessible des interventions médicinales importantes comme :

  • un bracelet pour mesurer le rythme cardiaque
  • un dispositif sous forme de réveil mesurant la régularité du sommeil -une ceinture dorsale signalant un relâchement

Avec une demande grandissante au sein de ce secteur, il serait intelligent d’y investir votre argent. Les résultats de cet investissement seront plus rapides que vous ne le pensez.

2- Le secteur du fait-maison

Les préparations industrielles ont connu un succès notable tout long des 10 dernières années. Faute de temps et de motivations, hommes et femmes préfèrent se procurer des produits prêts à l’emploi aussi bien pour leurs plats cuisinés que pour leurs produits de cosmétique ou de nettoyage. Aujourd’hui, la tendance s’est inversée. Les préparations « bio » ou « fait-maison » répondent à une exigence de qualité de la part du consommateur. Il serait donc bénéfique d’investir dans ce secteur en grand développement.

Vous pouvez dès lors proposer :

  • des masques beauté, crème de gommage et baumes à lèvres fait-maison
  • des kits complets pour préparer des sushis, des fajitas, etc.

La vente de dispositifs électroménagers a parallèlement bondi. Encore un domaine où vous pouvez investir !

3- Les applications de messageries instantanées

Selon le rapport dévoilé par PortioResearch, le marché de la messagerie instantanée (Skype, WhatsApp, Viber) représentera un chiffre d’affaires de 260 milliards de dollars en 2016. Une estimation prometteuse qui incite de plus en plus d’entrepreneurs à investir. Même si plusieurs géants du secteur détiennent à eux seuls des millions d’utilisateurs, les nouvelles applications continuent à attirer beaucoup d’adeptes. Il faut néanmoins proposer de nouveaux services, plus de facilité et des options qui développent des techniques de communication plus modernes.

4- Les services funéraires

Le secteur funéraire demeure également en pleine expansion. Vous pouvez alors monter votre propre entreprise et vous faire une place dans ce marché. Dans ce cas, il est important de proposer des services adaptés aux profils de vos clients :

  • crémation ou inhumation
  • cérémonie funéraire -possibilité de choisir le monument funéraire -assurance obsèques Sachez aussi que les entreprises funéraires ont accès à une rente locale.

Pour calculer votre investissement, veuillez tenir compte du fait que vous aurez besoin de monter votre affaire en zone rurale. Ce qui réduit considérablement vos dépenses.

5- L’industrie du luxe en occasion

Le marché de la seconde main a permis de rendre les objets de luxe accessibles à tous. Plus besoin de faire partie de la jet-set pour vous offrir un sac à main Chanel ou des chaussures Fendi. Vous pouvez donc prendre une part de ce marché en créant votre propre site de vente d’articles de marques en occasion (comme « Videdressing » ou « Instant Luxe »).

Avec la crise économique et la recherche de gains de pouvoir d’achat de la part des consommateurs, ce secteur se veut prometteur !

En réalité, pour monter une start-up à succès, misez sur une idée gagnante et essayez de trouver le compromis parfait entre vos attentes et la situation du marché !

L’entrepreneur qui fait gagner du temps aux entreprises

Après un parcours dans le monde de la business intelligence financière pendant 10 ans, Jérôme Larose crée la société Time Is Life en 2011. Portrait d’un entrepreneur qui a su se lancer au bon moment afin d’apporter une nouvelle solution aux entreprises.

Jérôme Larose effectue une grande partie de sa carrière professionnelle dans le secteur financier pour des grandes banques et institutions financières. « J’ai acquis une solide expérience en création de moteur de calcul et de reportings pour maximiser la rentabilité des investissements », explique-t-il.

Deux expériences qui motivent sa création

L’ingénieur de l’époque avait la responsabilité de mettre en œuvre deux projets qui seront déterminants pour la suite de sa carrière. Le premier consiste à fusionner les portefeuilles d’actifs des banques Natexis et ICIB pour n’en créer plus qu’une seule, devenue depuis Natixis. Le second correspond à la création d’un moteur de calcul de risques pour la caisse des dépôts. « Cet outil a permis de diminuer de 20% les effets de la crise financière sur l’économie française », se souvient Jérôme. Ces deux expériences l’influencent dans son idée de créer sa propre entreprise. Il se rend compte qu’il a toujours mis en place des outils performants et que ses managers étaient contents de son travail. Pourquoi ne pas se lancer seul ? L’idée fait son bout de chemin.

La volonté de se développer à l’international et notamment aux Etats-Unis le pousse à démissionner le 4 juillet 2011. Cette date n’est pas le fruit du hasard. Elle correspond au jour anniversaire de l’indépendance des Etats-Unis. Son entreprise Time is Life verra le jour une semaine plus tard !

Améliorer la productivité et la rentabilité des entreprises

« Le cœur de notre métier demeure la business intelligence » explique Jérôme Larose. Il s’agit de répondre à des questions précises rapidement à partir des données disponibles en interne. Le but final étant de faire gagner du temps à l’entreprise et donc d’augmenter à la fois sa productivité et sa rentabilité. « En 3 ans, nous avons fait économiser plus de 300 semaines d’analyse à nos clients » précise-t-il.

Pour se financer, l’entrepreneur n’a apporté que des fonds propres avec de l’argent personnel, économisé au fil de ses années de salariés. 

« Je savais qu’un jour ou l’autre, je créerais mon entreprise. J’ai donc mis 10 000 euros de côté afin de financer mon projet ». La première année, Jérôme Larose réalise un chiffre d’affaires de 30 000 euros. Ce dernier est multiplié par quatre l’année suivante. « Au total, nous avons décuplé les retours sur notre investissement initial et sur notre chiffre d’affaires » précise-t-il.

L’entrepreneur explique la raison du succès : « Je crois beaucoup à la prise de risque. Sans cela, je n’aurais jamais rencontré un des PDG de Microsoft qui m’a ouvert un réseau professionnel important en Europe ! ». En effet, le géant américain a cru au projet de l’entreprise française, au point de devenir l’un de ses partenaires au niveau professionnel. « La confiance apportée par Microsoft m’a permis de lever 150 000 euros provenant de ma banque en janvier dernier » poursuit Jérôme.

Son projet entrepreneurial se développe également à l’international avec des collaborations en Allemagne, en Belgique et en Suisse. Une belle croissance pour cette entreprise qui a multiplié son chiffre d’affaires par huit depuis sa création ! Jérôme Larose ne s’attendait pas à un tel succès : « par rapport à cette expérience entrepreneuriale, je pense que le défi est déjà relevé ! ». Reste à prolonger la dynamique de l’entreprise. Un nouveau challenge à relever !

Deux questions à… Jérôme Larose

En quoi consistait le projet avec la caisse des dépôts ?

J’ai créé un moteur d’analyse intitulé Bale II dont la problématique était de pouvoir évaluer le niveau de risque d’un emprunt accordé à une banque ou un pays membre de l’OCDE, sur une durée pouvant aller jusqu’à 99 ans. Une crise de confiance et économique imminente était sur le point de se produire. C’est de loin l’un des projets les plus complexes que j’ai eu à mener et cette problématique reste encore plus que jamais d’actualité.

Qu’est ce qui qualifie un bon entrepreneur d’après vous ?

Je pense que sa motivation à innover et à proposer des idées pour faire avancer des projets constituent deux aspects essentiels. Il faut également être persévérant et toujours chercher à penser différemment lorsque l’on se retrouve confronté à des obstacles. J’ai toujours réussi à le faire auparavant pour les autres et aujourd’hui je continue de l’appliquer pour Time is Life au quotidien.

Quelques conseils pour optimiser votre flotte

Voici quelques conseils pour optimiser votre flotte Acquérir un ou plusieurs véhicules pour votre entreprise est une décision stratégique qui peut avoir un impact significatif sur vos opérations. Pour vous aider à optimiser votre flotte, voici quelques conseils à considérer :

Pensez à faire jouer la concurrence.

Avant d’acquérir le ou les véhicules, n’oubliez pas que c’est votre premier levier de négociation. En dehors de cet élément, plus le nombre de véhicules à acquérir sera élevé, plus votre pouvoir de négociation sera fort.

Et l’auto-partage ?

Si l’utilisation du véhicule n’est que partielle, n’oubliez pas que vous pouvez faire appel à l’auto-partage. Vous pourrez ainsi diminuer votre flotte et vous assurer d’une meilleure utilisation de celle-ci.

N’oubliez pas les cartes carburants !

Celles-ci peuvent réduire considérablement le coût et vous permettre un meilleur suivi de vos dépenses. Vous pouvez également les limiter pour éviter une utilisation abusive du véhicule.

Sensibilisez vos salariés à l’éco-conduite. 

Cela ne vous coûtera presque rien et pourra vous rapporter gros. L’éco-conduite réduit considérablement les consommations. N’hésitez pas à responsabiliser vos salariés sur l’impact écologique de leur conduite.

Utilisez la géolocalisation. 

N’oubliez pas que vos salariés doivent en être informés. Grâce à la géolocalisation, vous savez où vos véhicules se trouvent, ce qui vous permet d’en optimiser l’utilisation notamment en cas de conducteurs multiples.

Protéger son entreprise des risques

Toute activité professionnelle est susceptible d’engendrer des dommages importants, notamment financiers. Pour répondre à ces enjeux, il est important de s’armer d’outils performants. Focus sur la responsabilité civile des entreprises !

La Responsabilité Civile Entreprises, c’est quoi ?

De manière générale, la responsabilité civile est une des règles de base de la vie en société. Elle impose à celui qui cause des dommages à autrui de les réparer qu’ils soient occasionnés de son propre fait ou par une personne dont il a la responsabilité. Appliquée au monde professionnel, elle prend le nom de responsabilité civile entreprise. Cette dernière peut être engagée dans tous les actes professionnels effectués par l’entreprise, à partir du moment où lesdits dommages sont causés aux clients, aux fournisseurs (dans le cadre de leurs engagements contractuels) ou à des tiers (même en dehors de tout contrat).

La nécessaire concordance de trois éléments

Pour que l’on puisse parler de responsabilité civile, il faut la conjonction de  trois éléments. Il faut tout d’abord une faute, que cette faute engendre un dommage à un tiers et qu’il y ait un lien de causalité entre cette faute et le dommage subi par le tiers. La faute à l’origine du dommage doit être commise par l’auteur responsable de la faute, ou, à défaut, par une personne placée sous sa responsabilité ou par une chose dont il a la garde (machine, véhicule, bâtiment).

Que couvre-t-elle ?

Pour ce qui est de la Responsabilité Civile Entreprise, les assureurs distinguent trois types d’assurances de responsabilité civile. D’abord, la (RCE) : elle couvre les dommages causés à autrui, clients ou salariés du fait de l’activité de l’entreprise. Par exemple : vous recevez des clients et un morceau de tôle tombe du toit et blesse l’un d’entre eux. C’est alors votre RCE qui indemnisera la victime. De même si, à l’occasion d’une prestation, vous provoquez un incendie dans les locaux de votre client, ou si, en tant que restaurateur, vous causez des intoxications alimentaires à vos clients. La responsabilité civile professionnelle (RC Pro), pour sa part, garantit les prestations effectuées par l’entreprise. Elle couvre ainsi la réparation des dommages causés à autrui de votre fait ou du fait de vos préposés comme la faute professionnelle, la négligence, l’omission, le manque de prudence, le retard dans l’exécution d’une prestation, entre autres… Par exemple, si l’un de vos responsables de projet est absent et que le retard engendré pénalise votre client, vous devrez dédommager ce client. Enfin, la responsabilité civile « après-livraison ou après travaux » intéresse les produits livrés, les produits que vous mettez en circulation et qui peuvent causer des dommages à autrui. Par exemple : des plaquettes de freins livrées par l’assuré sont défectueuses et engendrent des dysfonctionnements graves.

Pourquoi faut-il souscrire cette garantie ?

Il devient de plus en plus difficile aujourd’hui pour un dirigeant d’évaluer l’ensemble des risques encourus dans le cadre de son activité, notamment au regard des nouvelles tendances sociétales : concurrence accrue, exigence croissante des clients, judiciarisation de la société, émergence de nouveaux risques… Certaines garanties proposées dans les contrats de RC sont ainsi devenues incontournables pour les entreprises : on peut ainsi citer les frais d’image ou encore les frais de gestion de crise. Des cas médiatiques comme Spanghero et  Findus en sont de justes illustrations. Une preuve de plus, s’il en est encore besoin, que la pérennité d’une entreprise demeure intimement liée à son image et à ses méthodes de communication. Une bonne assurance de responsabilité civile constitue donc un élément essentiel de pérennité financière pour une entreprise.

Est-ce obligatoire ?

Pour certaines professions, comme les professions règlementées, l’assurance de responsabilité civile est obligatoire. La loi française impose en effet la souscription d’une assurance aux professionnels du bâtiment, aux professionnels de la santé (médecin, infirmier, sage-femme, etc.), aux professionnels du droit (avocat, huissier de justice, notaire, etc.), aux experts-comptables, aux agents immobiliers, aux agents généraux d’assurance et aux architectes. Hors professions règlementées, la souscription à un contrat d’assurance de responsabilité civile demeure facultative, même si elle est fortement conseillée. Au-delà de l’assurance responsabilité civile des entreprises, d’autres contrats d’assurance sont aussi importants lorsque l’on est un chef d’entreprise. Ayez donc en tête l’assurance de la responsabilité des dirigeants (RDD), qui vise à vous protéger des fautes personnelles que vous pouvez commettre dans l’exercice de vos fonctions, l’assurance dommages aux biens qui couvre quant à elle les dommages subis par les biens appartenant à l’entreprise ou encore la garantie Protection Juridique, qui vous aide à assurer la défense de vos intérêts en cas de litige.

En chiffres

  • 100% des entreprises de 10 à 250 salariés ont une assurance responsabilité civile
  • 75% des artisans commerçants, prestataires de service et professions libérales sont couverts

En savoir plus

Vous avez des questions, contactez un agent général Aviva proche de chez vous : www.aviva.fr

Les concours en aide aux entrepreneurs

Permettre l’émergence des porteurs de projets innovants, telle est la vocation des concours en aide aux entrepreneurs et régionaux organisés en France.

Il s’agit de repérer et d’accompagner les entreprises créatrices d’emplois. Les challenges entrepreneuriaux passent également par les accélérateurs d’entreprises, pour faire face aux enjeux économiques de la mondialisation.  Tour d’horizon.

Organisés par le gouvernement

Depuis une dizaine d’années, les concours destinés aux entreprises innovantes pour leur permettre d’augmenter leur chiffre d’affaires et accélérer leur visibilité sur le marché mondial se multiplient. Les gouvernements sont les premiers à organiser les challenges qui vont contribuer au développement économique de leur Pays. En France, il existe des concours régionaux et nationaux pour les porteurs de projets de tous horizons. Des budgets conséquents sont dégagés pour l’organisation de ces concours qui sont une manne financière.

Lancé par la Direction Générale des Entreprises et du chef de l’état français, le Concours Mondial d’Innovation 2030 fait partie des grandes initiatives pour « construire l’avenir de la France ». L’objectif : faire émerger les jeunes entrepreneurs et futurs champions, afin de les aider financièrement dans leur projet d’entreprise. Le concours Innovation 2030 est financé en partie par la Banque Publique d’Investissement à hauteur de 300 millions d’euros. Une récompense partagée entre les lauréats qui ont su défendre des activités à la hauteur des ambitions gouvernementales. Lesquelles portent sur l’essor du numérique, l’urbanisation, l’allongement de la durée de vie, l’énergie, l’eau potable ou encore les matières premières.

Un tremplin pour l’entrepreneur

Le Réseau National d’Appui aux Entrepreneurs (BGE) organise pour sa part, le Concours des Talents, toujours dans l’optique de valoriser les réussites entrepreneuriales en récompensant les acteurs responsables. Le concours est ouvert aux jeunes entreprises qui se lancent sur le marché et qui sont soutenues par une structure d’aide à la création d’entreprise.

Organisé conjointement par le SENAT et L’ESSEC, le concours Tremplin Entreprise est également une belle opportunité pour les nouveaux acteurs économiques, implantés sur le territoire français et capables d’innover et d’entreprendre des projets pérennes. Plusieurs prix d’envergure sont destinés aux lauréats de Tremplin Entreprise dans divers secteurs d’activités. Le but du concours est d’apporter une aide financière aux TPE ou PME afin qu’elles puissent augmenter leur chiffre d’affaires, leur effectif et parvenir à s’implanter dans divers pays.

Les accélérateurs de start-ups aux commandes

Pour faciliter la création d’entreprises innovantes et génératrices d’emplois, il existe désormais des structures d’accueil, associatives ou privées plus communément appelées accélérateurs d’entreprises ou de start-ups. Leur mission : doper et développer les activités récentes ou en difficulté afin de permettre leur développement rapide et leur succès sur le marché.

Dans le cadre du Programme d’Investissement d’Avenir, la French Tech se mobilise pour la croissance des jeunes entreprises innovantes. Elle accompagne et soutien, créé des liens et des réseaux en faveur de l’entreprise… Elle met en œuvre des stratégies de marketing et de visibilité pour accroître les ventes.

A Paris, les accélérateurs de start-ups sont nombreux. Parmi les plus connus, l’on compte 1000 start-ups, 50 partners ou encore Paris Pionnière qui innove, en misant sur des entrepreneures actives, pour une réussite entrepreneuriale au féminin.

Les accélérateurs d’entreprises sont des organisations à but lucratif, exploités par des investisseurs ayant une grande expérience de l’entreprise. Afin de développer avec succès son activité, il est important d’être bien informé pour faire appel au prestataire qui saura réellement répondre à ses besoins.

Ces applications mobiles pensées pour votre productivité

Le Smartphone semble être devenu un compagnon essentiel pour tout entrepreneur. Le succès de ce dernier tient avant tout aux applications mobiles, dont certaines peuvent vous aider à travailler plus efficacement. Tour d’horizon.

Flowdock 

Flowdock est un véritable système pour le travail en équipe. Application facile et intuitive, elle s’adapte à tous les navigateur et les plates-formes mobiles. Cet outils vous permet de communiquer, d’échanger des fichiers, d’être à jour (en temps réel) sur le travail de vos collègues et d’envoyer des e-mails en interne. L’application regroupe vos différentes boîtes mail et a pour but de remplacer les messagerie instantanée ou les chat. Avec l’intégration de plus de 50 outils, vous serez toujours connecté avec votre équipe. 

CloudMagic 

Vous avez oublié où vous avez enregistré votre fichier? CloudMagic est un moteur de recherche qui vous aidera à le retrouver, en effectuant une recherche dans tous vos comptes, de Gmail à Dropbox, d’Evernote à Hotmail, etc. Une application efficace pour simplifier et garder trace de tous vos travaux.

WinStreak

WinStreak a pour but de développer votre productivité et votre concentration. Notez les trois principaux objectif du jour et définissez les trois autres que vous souhaitez atteindre demain. Cette application vous aidera à mieux vous focaliser sur les priorités de votre journée et les mesures que vous allez prendre pour atteindre vos objectifs.

Wunderlist

Marre de coller les post-it sur chaque meuble de la maison ou sur votre bureau? Wunderlist est une application de type « to-do-list » qui peut être synchronisée sur tous vos appareils, du smartphone à la tablette en passant par le PC et qui vous permet également de partager vos activités avec vos collègues de travail, pour collaborer ensemble à la réussite et au succès d’un événement.

Genius Scan 

Un scanner dans votre téléphone. Il s’agit d’une application qui vous permet de numériser des documents et de les envoyer en format PDF.