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Je veux me lancer dans l’entrepreneuriat, mais à qui en parler en premier ?

Depuis quelques temps maintenant, vous avez l’intention de faire le grand pas, de vous lancer l’entrepreneuriat et dans l’aventure passionnante de la création d’entreprise ? Vous souhaiteriez enfin pouvoir voler de vos propres ailes, devenir votre propre patron et être à la tête d’une entreprise qui est le fruit de votre volonté personnelle ? Vous vous imaginez déjà à la tête d’une entreprise synonyme de réussite et de succès aux quatre coins du globe ? Cependant, des questions se posent dans votre tête : vous ne savez pas à qui parler pour lancer, de la meilleure façon possible, votre projet qui n’en est encore qu’à ses balbutiements ? Alors l’article qui suit est fait pour vous !

Les financiers ou les conseillers ?

Pour tenter de trouver une réponse à la question : « A qui dois-je parler en premier pour créer mon entreprise ? », il est important de prendre le temps de réfléchir à certaines choses. La recherche de fonds est un domaine primordial et qu’il ne faut jamais négliger dès lors que l’on se lance dans l’entrepreneuriat. Cependant, avant de lancer définitivement votre projet, il est tout aussi important de discuter, d’échanger avec des personnes d’horizons différents pour glaner le maximum de conseils et synthétiser toutes les informations que vous avez obtenues.

Ainsi, il existe un véritable dilemme lorsqu’il s’agit de choisir les personnes avec qui échanger en premier, en amont de la création de votre entreprise. La réponse peut être très simple : si votre entreprise nécessite des fonds importants pour fonctionner à l’avenir, n’hésitez pas à opter pour les financiers comme premiers interlocuteurs. Des business angels, des fonds d’investissement par exemple seront des interlocuteurs de choix pour vous offrir tous les conseils attendus et utiles pour peaufiner votre projet et mettre votre entreprise définitivement sur pied.

A l’inverse, si votre société future fonctionne sur un concept novateur et original qui ne nécessite pas nécessairement beaucoup de fonds, alors optez pour des personnalités du secteur d’activité de votre choix, celui où votre entreprise va s’installer dans les mois à venir, mais n’hésitez également pas à opter pour des entrepreneurs et des cadres dirigeants du domaine d’activité que vous avez choisi et ce pour obtenir le maximum d’informations.

Faut-il en parler avec son entourage ?

Autre question récurrente : faut-il choisir l’entourage et les membres proches de la famille ? Frères et sœurs, parents, oncles et tantes, la famille peut être un vivier de personnes prêtes à vous conseiller et vous conforter dans vos idées entrepreneuriales. Il peut également s’agir des toutes premières personnes à qui vous allez soumettre l’idée. En toute évidence, leur parler de son projet personnel est une bonne chose, mais attention tout de même à ne pas tomber dans les pièges de l’entourage : des conseils qui iraient forcément dans votre sens pour ne pas vous décevoir, des avis peu ou pas en lien avec vos attentes, des remarques pas nécessairement renseignées… N’hésitez donc pas à parler avec votre entourage de vos projets, mais sachez tout de même faire la différence entre un interlocuteur professionnel et qualifié qui n’aura aucun mal à ne pas aller dans votre sens, et un membre de votre famille dont les réactions seront nécessairement positives mais peu utiles pour vous.

5 astuces pour capter l’attention du public

Lors de la présentation d’un projet à des clients, d’un elevator pitch devant des investisseurs potentiels ou simplement d’une Assemblée Générale, il faut savoir intéresser ses interlocuteurs. Capter l’attention du public et la conserver n’a rien d’évident. Il existe néanmoins quelques petits trucs pour y parvenir.

Première étape : un look d’enfer pour attirer les regards

Vous ne représentez pas le centre du monde, constat douloureux pour certains mais réel. Vous pouvez toutefois le devenir si vous vous donnez un peu de mal. Quand vous pénétrez dans une pièce ou montez sur une scène, l’auditoire ne se concentre pas forcément sur vous de façon immédiate, il faut alors capter son attention. Le cerveau humain perçoit les éléments visuels avant les autres, aussi, faites un effort sur votre apparence. Inutile d’adopter un style trop décalé en optant pour des couleurs criardes mais adopter un look personnalisé attirera les regards. Selon les circonstances, un tailleur se révélera d’une banalité affligeante alors que dans certains cas, il reste obligatoire. Evaluez la situation avant de choisir vos vêtements car, à moins d’avoir le talent d’actrice de Yolande Moreau, personne ne vous prendra au sérieux si vous arborez un style ridicule, débraillé ou déplacé. Un costume porté avec des bottes stylisées peut s’avérer tout à fait adapté, par exemple, de même qu’un tailleur féminin orné d’un collier fantaisie. Efforcez-vous de trouver un juste milieu entre look professionnel et personnel si vous voulez qu’on se rappelle de vous. Pour renvoyer une bonne image, un autre détail demeure primordial : votre sourire ! Montrez-vous avenant et dégagez des ondes positives.

Surveillez votre posture pour maintenir l’attention

Toujours au niveau de votre l’image, portez une attention particulière à votre posture. Vos gestes attireront le regard plus que vos paroles alors maîtrisez-les. Rien n’est plus agaçant qu’un orateur mal à l’aise effectuant sans cesse de petits pas tout autour de lui ou arpentant une scène de long en large sans aucun but. Implantez bien vos pieds dans le sol, alignez-vous sur votre colonne vertébrale. L’idée ne consiste pas non plus à vous transformer en stalagmite : une personne totalement immobile et inexpressive perdra rapidement l’attention du public. Restez en mouvement, vous pouvez marcher mais, de préférence, pas de manière tétanisée ou robotique. Utilisez vos bras pour vous faire comprendre, ne restez pas figé et essayez de vous détendre malgré le stress. Tout repose sur la maîtrise de votre corps.. Pour résumer, soyez le plus naturel possible ! Tenez-vous droit, pas de tics ou gestes nerveux, petits ou grands, gardez votre calme et réalisez des gestes démonstratifs avec vos mains, sans pour autant vous transformer en moulin à vent. Votre attitude corporelle contribue à la bonne transmission du message alors ne devenez pas une distraction amusante ni une machine qui débite son discours de façon répétitive et ennuyeuse. Si une personne en mouvement attire l’attention, ne vous dissimulez pas derrière des postures rocambolesques, sous peine de faire oublier le sens de vos propos.

Vous avez des choses à dire, faites les entendre !

L’objectif reste de faire passer un message. Une fois que vous pensez avoir la bonne attitude, décontractée mais professionnelle, concentrez-vous sur votre discours. De manière générale, vous savez ce que vous avez à dire et votre propos est clair dans votre esprit. Si tel n’est pas le cas, travaillez dessus car, lors d’une prise de parole en public, les bégaiements ne pardonnent pas. Les orateurs cherchant leurs mots sont rapidement décrédibilisés alors entraînez-vous avant de passer à l’action. Au moment d’intervenir, ne craignez rien et parlez fort. Une personne qui marmonne peut s’avérer extrêmement énervante et le public n’a pas forcément envie de faire l’effort de tendre l’oreille tout au long de l’intervention. Un constat encore plus dommageable lorsque votre idée est intéressante ! Vous prenez la parole car vous avez des choses à dire alors exprimez-les clairement.

Rythmez votre discours et agrémentez-le

Les gestes, accompagnés d’une voix forte portant un discours bien construit, attirent et maintiennent l’attention de votre auditoire. Pour parfaire votre allocution, pensez à moduler votre voix. Variez les intonations, faites des pauses… Le rythme sollicite l’attention des auditeurs, qui suivent naturellement le propos s’il comporte une certaine musicalité. Pour pimenter davantage vos paroles, n’hésitez pas à utiliser l’arme fatale : l’humour. La plupart des gens se montre très réceptive à ce détail et prête plus volontiers l’oreille à quelqu’un qui les fait rire. Sans passer pour un débutant ou une personne grossière, vous pouvez tenter des plaisanteries pour faire réagir votre auditoire. Si vous sentez que votre stress se voit, jouez dessus et plaisantez à ce sujet ! Vous susciterez ainsi l’empathie de ceux qui vous écoutent. Concernant vos blagues, restez sur des sujets universels ou des comiques de situation, les polémiques présentent un aspect intéressant mais pourraient diviser les participants, ce qui vous ralentirait.

En cas de pépin, improvisez !

Nul ne se trouve à l’abri d’un souci de dernière minute. Une panne d’électricité, votre micro ne fonctionne pas, votre diaporama refuse de s’afficher… De nombreux imprévus peuvent venir perturber le bon déroulement de votre intervention. Il demeure primordial de vous sentir au clair avec les idées que vous comptez exposer. En cas de problème, une seule solution : l’improvisation. Cette technique en terrifie plus d’un, mais constitue pourtant une bonne opportunité pour vous attirer la sympathie du public si vous vous montrez amusant et décontracté. Tenez-vous donc prêt au cas où mais surtout, restez vous-même.
Tous ces conseils paraissent peut-être évidents ou impossibles à suivre en cas de situation stressante mais rappelez-vous que si vous en êtes arrivé là, il y a sans doute de bonnes raisons! Prenez confiance en vous et tout devrait bien se passer.

Intégrer un incubateur : les avantages et les inconvénients

Quels sont les avantages et les inconvénients d’intégrer un incubateur, dispositif très récent que l’on peut aujourd’hui retrouver dans les grandes écoles de commerce, dans les Chambres de Commerce et dans bien d’autres endroits partout en France et à l’étranger ? Faut-il, aujourd’hui pour un entrepreneur en herbe, intégrer un incubateur ? Focus.

Un partenaire à 360°

Pour toutes les personnes désireuses de créer une entreprise, il existe plusieurs dispositifs pour leur venir en aide : organismes pour aider à la levée de fonds, entreprises mettant en œuvre des partenariats pour aider au développement des sociétés en devenir, solutions directement proposées par le gouvernement au travers de ses représentants locaux (Chambre de Commerce, région, département etc…) et bien d’autres possibilités encore. Cependant, la multiplicité de ces solutions rend la tâche peu aisée aux futurs créateurs d’entreprise. En effet, il reste compliqué de savoir quelles sont les étapes à franchir pour profiter au mieux de l’ensemble de ces dispositifs d’aide et d’accompagnement. Les incubateurs se positionnent ainsi comme un partenaire idéal à 360° pour les jeunes pousses.

Les avantages de l’incubateur d’entreprise

Accompagnement réalisé par des professionnels issus de nombreux secteurs d’activité, rassemblement de tous les dispositifs d’aide à la création d’entreprise en un seul et unique endroit, mise à disposition de moyens techniques et matériels très importants, conseils apportés par des professeurs et des spécialistes reconnus, rencontres avec des apporteurs de fonds qui peuvent être à même d’assurer toute la partie financement du projet… L’incubateur d’entreprise est une véritable solution clé en main pour aider les créateurs d’entreprise à mettre leur projet sur pied.

L’idée est très simple : fournir tous les moyens nécessaires et requis par un créateur d’entreprise et son équipe pour venir à bout d’un projet bien défini et qui doit, en amont, séduire un jury pour être accepté dans l’incubateur. En toute évidence, cette solution permet des avancements conséquents sur des projets entrepreneuriaux qui n’auraient peut-être pas aboutis sans l’aide de l’incubateur. Et au regard de la situation économique française, où le nombre d’entreprises créées l’année passée est plutôt à la baisse, ce type de dispositif est une véritable aubaine pour offrir une solution innovante et accessible.

Les inconvénients de l’incubateur d’entreprise

Cependant, l’incubateur d’entreprise n’a pas que des bons côtés, il est important de prendre cela en considération. Un manque d’accessibilité pour les projets qui ne parviennent pas à sortir du lot ou à mettre en avant une originalité fortement recherchée, des tendances plutôt marquées vers les projets écologiques ou les nouvelles technologies, tendances qui peuvent bloquer la voie à d’autres initiatives entrepreneuriales différemment orientées…

Le revers de la médaille existe pour ce dispositif qui reste tout de même très intéressant. En toute évidence, lorsque l’on se penche sur le développement actuel des incubateurs en France, force est de constater que les plus grands investisseurs et business angels du pays se penchent allègrement sur ces dispositifs (Xavier Niel, Marc Simoncini et tant d’autres). Il faut donc reconnaître que les incubateurs d’entreprise ont encore un bel avenir devant eux et que les projets entrepreneuriaux issus de ces dispositifs seront, dans les années à venir, de plus en plus nombreux.

Faut-il tout accepter en business ?

Quand vous vous lancez dans l’entrepreneuriat, vous avez sûrement tendance à tolérer plus facilement n’importe quelles propositions commerciales, même si elles ne sont pas avantageuses pour vous. Devez-vous accepter toutes les offres malgré le fait qu’elles ne vous soient pas favorables ? Quelles en sont les conséquences ? Faut-il tout accepter en business ? Et que faire dans ce cas-là ?

Céder à la facilité… ou pas ?

J’ai été confronté très (voire trop !) régulièrement à cette situation. Au moment où notre entreprise ne se porte pas forcément bien, nous sommes pour la plupart très vite tentés par l’acceptation de compromis commerciaux dans le but de continuer à « survivre ». Je me suis rendu compte que, dans la plupart des cas, l’opération s’avérait plutôt bénéfique pour l’entreprise sur le moment, mais à long terme, cela m’avait plutôt desservi. On ne se rend souvent pas compte de l’impact que peut avoir cette attitude qui consiste à tout accepter en business. Cela nous semble anodin, mais céder à la facilité peut avoir des conséquences terribles pour le business !

Ne pas dévaloriser ce que vous faites

A vouloir réduire la valeur de votre produit ou service, vous la dévalorisez. Avez-vous déjà vu Apple réaliser des promotions sur ces téléphones ? Bien sûr que non… Diminuer son prix revient à en diminuer sa rentabilité, voire à ne pas être rentable… tout court ! Les supermarchés appliquent cette technique en tentant de mettre un produit en avant, sans aucun objectif de rentabilité sur cette vente, mais dans l’objectif d’en vendre d’autres qui possèdent une valeur supérieure, pour obtenir plus de bénéfices.

Des conséquences néfastes pour le business

Les conséquences d’une telle démarche peuvent être multiples. Le client peut y voir une habitude et il vous sera difficile de revenir au tarif pratiqué habituellement, sauf si vous le faites à des périodes bien particulières comme les soldes. Mais dans ce cas précis, l’objectif est de créer une attente à un moment précis. La conséquence principale d’une baisse de prix alors qu’elle n’est pas justifiée revient à se placer en position de faiblesse, c’est-à-dire que, ce faisant, vous mettez en évidence le fait que vous avez besoin du client pour vivre alors que, ne l’oubliez pas, c’est lui qui a besoin de vous ! Il est impératif d’inverser cette courbe de pensée. Enfin, dernière conséquence non négligeable : l’image de ce que vous vendez en sera aussi impactée et vous perdrez en crédibilité, à moins que vous fassiez du « low cost » votre stratégie, comme c’est le cas par exemple pour les boutiques Hema ou Primark qui affichent des prix très attractifs.

Rattraper l’erreur commise avec tact

Il est souvent très compliqué de faire machine arrière sans heurter la sensibilité de votre client. En effet, ce dernier aura l’impression de vous avoir rendu service, alors que vous lui apportez autant de services, voire plus ! Si vous arrivez à ce point de non-retour, il paraît difficile de pouvoir s’en sortir sans créer de dommages collatéraux. Il ne faut jamais oublier que derrière tout business, il y a des hommes et femmes, ce qui induit une partie importante d’humain et d’ego. Une préparation psychologique est nécessaire afin que votre client ait le temps d’assimiler l’information et de la digérer. Si vous avez la possibilité de le contacter par téléphone et de le rencontrer, faites-le. Evitez de faire machine arrière par e-mail, car cela laisse transparaître peu d’émotions et cela risquerait d’avoir un effet néfaste sur votre relation.

Ce qu’il faut faire

1- Ne dévalorisez jamais votre produit ou service même si vous êtes dans une situation financière difficile.

2- Il faut toujours mettre en évidence ce que vous pouvez apporter à votre client et non ce que eux peuvent vous apporter.

3- Prenez le temps d’analyser ce que vous êtes prêt à concéder. Quelles sont les limites à ne pas dépasser ? Avez-vous la possibilité de faire machine arrière ? Jusqu’à quel point ?

4- Un partenariat se construit sur la durée. Il faut donc imaginer ce qui se passera dans un ou deux ans si vous décidez de modifier vos tarifs. Est-ce une opération « one shot » ou est-ce une personne qui pourrait revenir acheter votre produit/service ?

5- Rappelez-vous d’une chose : diminuer un tarif revient à diminuer la valeur du produit. Que pensez-vous vous-même des entreprises qui proposent régulièrement des promotions ou des remises ? Quand on vend un bon produit ou service, il n’est pas nécessaire d’en réduire le prix.

Devenir entrepreneur : peut-on résister à prendre la grosse tête ?

Tout chef d’entreprise est-il condamné, face à toutes ses responsabilités et toutes ses possibilités financières, à devenir une personne irrespirable et hautaine ? La perte des réalités est-elle le lot de toutes les personnes désireuses de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale ?

Pourquoi les entrepreneurs peuvent prendre la grosse tête

Des chefs d’entreprise perçus comme des personnes hautaines n’ayant plus le sens des réalités, des cadres à hautes responsabilités qui perdent complètement les pédales à force de rémunérations astronomiques et d’autres avantages irréels pour le commun des mortels… Le monde des affaires fait l’objet d’une mauvaise réputation, auprès de certaines personnes qui ne cessent de tout mettre en œuvre pour abîmer ce domaine de notre économie qui, il est vrai, peut parfois faire preuve de certaines errances. Evasion fiscale, rémunérations largement supérieures aux résultats obtenus, les errances sont nombreuses et il est difficile de défendre le monde des affaires dans certaines situations, le scandale des Panama Papers le prouve une fois de plus.

La simplicité reste la meilleure des recettes dans le business

Des personnalités comme Mark Zuckerberg, Xavier Niel ou encore Bill Gates… Leur nom est connu de tous, mais étonnamment, que pour des bonnes raisons. Nul scandale d’évasion fiscale, nulle présence de leur nom dans l’affaire récente des Panama Papers, ces grands hommes d’affaires ont très vite compris que dans le business, une seule recette était possible : la simplicité ! Et c’est là un conseil à donner à toutes les personnes désireuses de se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise que de tout faire pour rester simple, malgré les possibilités financières nouvelles qui se présentent, malgré les responsabilités importantes, la simplicité se doit d’être l’objectif numéro un pour éviter la « grosse tête » !

Il est si facile de tomber dans l’excès, à l’image des joueurs de football professionnels par exemple, aujourd’hui véritable hommes d’affaires : des hôtels dans les quatre coins du monde, des jets privés en veux-tu en voilà pour tous les joueurs dont les revenus font pâlir d’envie les PDG des entreprises du CAC 40… Les footballeurs incarnent à merveille l’exemple de ces hommes d’affaires qui ont totalement perdu le sens des réalités et qui s’offrent des voitures de sport comme on pourrait s’acheter une baguette de pain.

D’où je viens ? Où je vais ?

Autre question importante qui doit sans arrêt rester dans votre esprit : d’où je viens ? Cette question, banale au demeurant, vous permet de comprendre toutes les étapes que vous avez dues franchir avant de vous retrouver ici, à votre poste, aujourd’hui, avec toutes ces responsabilités et ces possibilités financières et personnelles nouvelles. Des hommes d’affaires, là encore connus à travers le monde entier, permettent de comprendre en quoi cette prise de recul est indispensable : Lakshmi Mittal en est l’exemple parfait. Cet exemple de l’homme d’affaires parti de rien, qui triait les métaux dans son pays pendant sa plus tendre jeunesse, et qui aujourd’hui est devenu l’un des businessmen les plus crains au monde, un véritable stratège dès lors qu’il s’agit de conquérir des marchés ou de défendre les intérêts de son entreprise.

Travailler dans un espace de coworking

On ne compte pas moins de 200 espaces de travail sur toute la France et même si ce phénomène se répand de plus en plus, ce n’est pourtant pas donné à tout le monde de travailler efficacement dans ces lieux où la distraction est permanente. C’est pourquoi il semble important de bien choisir son espace communautaire en fonction de ses attentes et de son mode de vie.

Trouvez l’espace qui vous convient.

Établissez vos critères de sélection. Posez-vous la question « qu’attendez-vous de cet espace ? » Quels détails sont importants à prendre en compte pour vous (les services fournis, l’ambiance de travail, quelles sont les formules les plus adaptées à votre activité, plutôt à la journée (hot-desking), à la semaine ou au mois ? Si votre activité venait à se développer et si vous deviez embaucher, comment cela se passerait-il ? Comment est géré l’espace de travail, la géolocalisation du lieu vous convient-elle ? Voulez-vous des bureaux isolés ou travailler en open space ? Quel prix voulez-vous mettre ? Cherchez-vous une ambiance particulière ? Certains espaces ont une thématique prédominante. Si votre activité nécessite que vous ayez de nombreux rendez-vous, préférez un espace bénéficiant d’un accueil. Une fois que vous avez pris en compte tous ces critères, renseignez-vous sur les différents espaces de coworking qui répondraient à vos besoins. En général, vous avez la possibilité de les tester durant une journée avant de choisir de vous y installer. Vérifiez qu’il est équipé des ressources nécessaires à votre activité et que le cadre et les habitants de l’espace correspondent à vos attentes.

Bien s’intégrer dans l’espace de travail.

Chaque espace de coworking à un univers bien à lui. C’est à vous d’observer et de décrypter l’ambiance générale pour vous familiariser avec les us et coutumes du lieu. N’arrivez pas en terrain conquis. Le mieux reste de débuter par une phase d’observation, puis petit à petit, d’apporter votre petite touche à la vie de cet espace, mais chaque chose en son temps. Lorsque vous arrivez dans un site de coworking, dire bonjour demeure primordial pour faire bonne impression (cela paraît peut-être évident, mais ça ne l’est pas pour tout le monde !) Vivre en communauté avec des secteurs bien différents du vôtre, suppose de suivre certaines règles pour ne pas troubler l’ensemble de l’espace, et aussi pour intégrer un groupe déjà fait. Faire sa vaisselle le midi pour que les suivants puissent réutiliser les ustensiles peut-être un exemple. N’essayez pas d’aller à contre-courant, bien au contraire, commencez par vous renseigner auprès des autres habitants pour connaître les petits rituels, les choses à faire et à ne pas faire, se renseigner sur les environs (restaurants ou activités à faire dans le coin), partagez vos expériences bonnes ou mauvaises, peuvent permettre de briser la glace assez rapidement et simplement. Participer aux événements prévus (apéros, ateliers, tournois de babyfoot le midi, pauses-café) constituent de bons moyens pour rompre avec l’isolement et s’intégrer plus vite et plus facilement au sein de l’espace de travail. La Mutinerie dans le 19e arrondissement de Paris, propose à la fois des apéropitchs où chaque membre fait le point et parle de l’avancement de son projet, mais aussi une fois par semaine a lieu une projection de film choisie par l’un d’entre-eux. Dans le cas où vous êtes dans un open space, évitez de vous mettre à l’écart des autres, on risquerait d’avoir une mauvaise opinion de vous dès le départ et essayez de varier votre emplacement plutôt que de vous enfermer dans des habitudes de bureau, cela vous donnera l’occasion de discuter avec d’autres personnes. Gardez en tête que ce sont avant tout des lieux d’échanges et de partage.

Ne voyez pas le coworking simplement comme un espace de travail.

Véritable pilier pour votre business, ce concept permet avant tout d’accroître votre réseau. Selon une étude, la majorité des coworkers ferait 3,6 nouvelles connaissances utiles en à peine deux mois (ce chiffre peut varier en fonction de la taille de l’espace de travail. Les plus grands permettent davantage de rencontres). Ayez conscience qu’il s’agit d’un réel vivier professionnel que vous pourrez facilement solliciter en cas de doutes ou si vous avez besoin de tester un produit / service. Les coworkers seront peut-être vos premiers clients, prenez en compte leur avis et conseils, ils donneront des idées pertinentes pour rendre performant votre produit ou service. Ce partage, cette entraide réciproque vous aidera à améliorer votre projet car vous pourrez découvrir de nouvelles techniques, outils, tendances… Les ateliers et les formations proposés peuvent également jouer un rôle pour compléter vos compétences, découvrir de nouveaux clients. Ces espaces sont une véritable mine d’or professionnelle à tous les niveaux, il n’est pas rare d’observer de nombreuses collaborations naissantes entre les coworkers autour de nouveaux projets.

5 qualités qui font le bon dirigeant

Un dirigeant efficace doit donner confiance à ses collaborateurs afin de mieux les préparer aux défis de demain. Quelles sont les 5 qualités indispensables d’un bon dirigeant ?

Confiance 

La confiance en soi et la confiance qu’on inspire aux autres est un atout majeur si ce n’est essentiel du manager. Avoir de l’assurance vous apportera un certain courage, nécessaire pour inspirer vos collaborateurs.

Optimisme

Ne pas se laisser abattre est une nécessité pour l’entrepreneur. Il est en effet rare qu’une entreprise ne rencontre aucun problèmes, ne doive subir aucun revers du sort ou ne doive franchir des obstacles insurmontables. C’est en positivant que vous réussirez à aller de l’avant. 

Aventurier

Un entrepreneur doit savoir prendre des risques. Il doit pouvoir refuser des clients et se lancer dans de nouvelles initiatives afin de conquérir toujours un peu plus le marché.

Travailleur 

L’entrepreneur ne doit pas ménager ses efforts pour mener à bien les projets en cours. Mettre du cœur à l’ouvrage est un gage de réussite et cela inspirera aussi vos collaborateurs. La paresse n’est pas la bienvenue.  

Visionnaire 

L’entrepreneur se doit d’être visionnaire. Il doit par ses idées et son imagination anticiper les besoins et tendances de demain. Ce n’est que comme cela qu’il arrivera à se démarquer des autres et à se maintenir sur le marché.  

Le secret de tous les entrepreneurs qui réussissent

La réussite d’une entreprise n’est pas le résultat d’une recette miracle. Néanmoins, certains ingrédients sont indispensables pour parvenir au succès qui est la conséquence de plusieurs facteurs. Mais l’un d’entre eux fait la différence.

Les fausses idées reçues

Lorsque l’on pense à « créer une entreprise« , la première idée qui vient à l’esprit est « investissement », que ce dernier prenne la forme de capitaux personnels injectés ou d’un emprunt bancaire conséquent, donc de dettes à régler. La seconde idée qui saisit est la notion d’expérience, maladroitement confondu avec l’âge ; particulièrement en France où l’âge moyen des personnes occupant des fonctions de cadres, est de 45 ans. La troisième idée, particulièrement en France encore une fois, résulte des 2 premières. Elle est véhiculée par une sorte de pessimisme ambiant, qui consiste à penser que prendre l’initiative de créer sa propre entreprise est un très grand risque qui peut nuire à sa vie sociale et personnelle. Et pourtant… L’histoire nous démontre que des personnes ayant des capitaux conséquents ont vu leur entreprise faire faillite ; alors des entrepreneurs partis de rien sont aujourd’hui à la tête de multinationales. Plusieurs millionnaires actuels ont moins de 30 ans, ayant su proposer des projets innovants et puiser dans leurs savoirs-faire ; pour certains, n’ayant qu’un bureau, un ordinateur et une idée de départ, sans capitaux ni emprunts. La gestion fait partie intégrante de l’aventure, qui peut être d’ailleurs une décision familiale et riche pour le couple ;pourquoi envisager les problèmes éventuels au lieu de se fixer sur l’essence et la stimulation du projet ?

Les ingrédients de base

« Gestion » et « décision » sont les deux piliers sur lesquels reposent la vie d’une entreprise et donc, une partie des raisons de sa réussite. Dans la gestion, il est bien évidement question de la comptabilité ; mais en amont, elle est également une notion d’organisation d’un point de vue structurel : gérer les priorités, savoir refuser un marché si ce dernier peut nuire à la qualité du service ou du travail déjà en cours. Ce qui nous conduit à la notion de décision où tempérance et pragmatisme sont de rigueur. Prendre une décision entend engager sa responsabilité, sa crédibilité. Elles ne doivent pas être mis en jeu sur le coup des émotions. Ceci étant, il est important de se faire confiance et de suivre parfois ses intuitions.

Le secret des entrepreneurs qui réussissent

Un élément est commun à tout entrepreneur connaissant le succès. Certains appelleront ce principe « l’audace ». En réalité, l’audace est le signe extérieur du secret sans lequel elle ne s’apparenterait qu’à un coup de folie, à un bluff. Ce qui nourrit et façonne l’audace, ce qui crée le fait d’oser aller où les autres ne se risquent pas, c’est la notion de »confiance en soi ». 3 mots simples à écrire, et pourtant si peu ont cette mesure qui permet d’accéder au succès. La réussite, c’est une part de calcul et une part d’inconnu appelée « chance » ou « destin ». La première permet de mener à bien une entreprise, sans prendre de risques inconsidérés ; la seconde crée le succès. De grands hommes confessent avoir fait leur fortune sur une intuition. Certains se vantent même de prendre les plus grandes décisions dans les 15 premières secondes de leurs analyses de dossier. C’est ce que l’on nomme l’intelligence intuitive. Pour l’exercer, il est indispensable de se faire confiance, suffisamment pour ne pas craindre l’échec et plutôt le considérer comme un élément stimulant.

En définitive…

En France, la peur de l’échec occupe la pensée et prédomine dans le monde de l’entrepreneuriat. Outre-atlantique, l’échec est vécu comme une expérience forcément enrichissante, à tel point qu’une personne n’ayant jamais connu l’échec a moins de chance d’obtenir un poste à responsabilité que celle qui l’a côtoyé. « Se faire confiance » et « osez suivre ses idées », voilà la mentalité commune à tous ces entrepreneurs qui se sont vus couronnés de succès.

A la découverte du CFD Trading

Les contrats sur la différence (contract for difference en anglais) correspondent à une forme de trading qui s’applique pour désigner des produits à effet de levier. Il s’appuie sur la différence de cours d’un actif entre le moment où vous ouvrez une position et celui où vous clôturez.

En d’autres termes, il s’agit pour vous d’anticiper la valeur d’un actif dans le futur et de prendre position sur sa hausse ou sur sa baisse. Si les CFD proposent des rendements très intéressants, les pertes potentielles sont à prendre en compte puisqu’elles peuvent excéder vos dépôts. Il est donc fortement conseillé d’avoir une excellente maitrise de la gestion du risque avant de vous lancer dans ce type de produits. A l’heure actuelle une baisse des frais de courtage, liée à la forte concurrence des courtiers en ligne, en fait une technique qui peut se révéler intéressante mais, rappelons-le, risquée. Vous lancer à l’aveuglette représente un risque inutile, pouvant entrainer la perte de votre capital souvent durement épargné.

Un CFD ou un contrat sur la différence, quels en sont tenants et les aboutissants ?

Le CFD surfe ou spécule sur la hausse ou la baisse des cours de marchés financiers (ou produits) internationaux affichant une forte volatilité tels que actions, indices, matières premières, devises et obligations… Il s’agit d’un contrat entre un client (particulier ou entreprise) et un courtier/banquier mais qui n’oblige pas le client à être propriétaire de l’action comme c’est le cas pour les actions traditionnelles.

Les CFD sont des produits sur marge. En conséquence, vous pouvez ne déposer qu’un pourcentage, même minime, de la valeur totale de la transaction pour ouvrir une position. Ce trading sur marge a pour corollaire l’augmentation de vos gains potentiels, mais a contrario une possible augmentation de vos pertes car elles se sont fondées sur la valeur totale de la position, vous pouvez donc perdre plus que le capital investi.

Il faut savoir que le risque de perte se révèle élevé si l’on a fait le mauvais choix de miser sur la baisse d’une action alors que celle-ci monte. Mais le plus grave, demeure que cette perte peut même dépasser l’investissement initial en raison des appels de marge. Aussi, les intermédiaires préconisent l’utilisation des ordres «stop garantis» même s’ils coûtent plus cher. Il convient toutefois de surveiller fréquemment l’évolution de ses positions et faire appel à des courtiers spécialisés tels que IG n’est pas un luxe.

Les obligations du courtier

L’effet de levier permet aux traders d’investir plus que ce qu’ils ne possèdent réellement sur leur compte. Chez tous les courtiers régulés en France, on retrouve l’avertissement suivant: « Le service d’exécution d’ordres sur CFD présente un risque élevé et peut aboutir à des pertes excédant votre investissement initial. La négociation sur CFD ne convient pas à tout type de client. Veuillez-vous assurer que vous avez pris pleinement conscience des risques inhérents à ce type d’opérations. »

La création d’un compte spécifique.

Si vous souhaitez utiliser cette technique, sachez que pour accéder aux CFD, il vous faut ouvrir un compte spécifique chez l’un des émetteurs spécialisés tels que Igm Markets, X Trade Broker, Cmc Markets, Saxo Banque ou bien chez les courtiers en ligne tels que Fortuneo, Bourse Direct, Financeli, Cortal Consors B, Capitalb… qui en sont partenaires et utilisent leurs plateformes technologiques. Chacun gère toutefois ses tarifs et ses conditions en termes de surface financière de l’investisseur.

Un impératif : connaitre le service clientèle des courtiers et des banques

L’excellence de l’assistance clientèle reste une condition indispensable pour la sécurité. Il faut pouvoir les joindre et obtenir l’aide adéquate au moment où l’on en a besoin. Certaines sociétés offrent un service clientèle 24/7 qui permet de contacter le courtier soit par chat soit par téléphone.

Quels sont les coûts associés au trading de CFD ?

Le spread : spread correspond à la différence entre le cours à l’achat et le cours à la vente.

Les frais de financement : à la fin de chaque journée de trading (17h00 heure de New-York), toute position détenue sur le compte pourrait se voir assujettie à un frais appelé « frais de financement », qui peut se révéler positif ou négatif.

Les frais d’accès aux données de marchés : pour connaitre les données de cours pour les CFD actions, vous devez activer les données de marchés correspondantes, pour lesquelles un frais est prélevé.

Attention ! L’utilisation de l’effet de levier n’est pas gratuite si la position dépasse une durée supérieure à une journée. A chaque journée supplémentaire, il faut s’acquitter d’intérêts. En conséquence, il demeure indispensable de connaître les taux qu’applique l’intermédiaire financier afin de bien cerner coût réel d’une telle opération. Prenez en compte que vous devez rembourser toutes les sommes engagées même si vous réalisez une perte. Engagez-vous avec beaucoup de prudence.

L’uberisation est-elle une opportunité ?

Phénomène macroéconomique majeur, l’uberisation marque un changement accéléré des rapports de force dans certains secteurs grâce à la numérisation de l’économie. Ce néologisme tiré de la célèbre startup américaine Uber fait désormais référence à une transformation économique marquée par l’esprit communautaire, l’innovation et l’indépendance. Mais l’uberisation est-elle une opportunité ?

L’uberisation c’est quoi ?

L’uberisation est réputée proposer une solution alternative à l’offre classique. A l’image d’Uber qui, mettant en relation conducteurs particuliers et usagers du transport, contourne les taxis. Elle raccourcit ou contourne les circuits de distribution classiques en utilisant l’esprit communautaire du Net à des fins économiques. Suite logique de la numérisation de la société, elle entend augmenter le pouvoir d’achat du consommateur en proposant un service de proximité à très faible coût. A l’image de ce qui se passe en France avec les taxis, ce modèle économique est perçu comme une menace par les acteurs de l’économie traditionnelle qui observent la progression du phénomène de secteur en secteur : l’hôtellerie avec Airbnb, la vente avec Amazon ou l’immobilier avec Ommi. L’uberisation s’appuie sur des ressources digitales disponibles pour tous et partout grâce aux outils de connexion mobile.

Plus qu’une opportunité, un virage à négocier !

Comme tout changement, ce nouveau modèle inquiète et plus particulièrement en France où la société semble malheureusement rétive à toute évolution. Le choix de ce néologisme est emblématique de cette crainte ! Uber est définitivement attaché à un conflit extrêmement dur avec les taxis qui depuis que l’automobile existe incarnent un modèle classique et régulé par l’Etat du secteur du transport. L’uberisation n’est, ni plus ni moins, que la progression continue de l’offre numérique née d’une révolution technique qu’il nous faudra bien admettre et intégrer. Cette évolution offre pourtant de nombreuses opportunités pour relancer la croissance ! Il s’agit d’encourager la création et le développement des start-ups françaises plutôt que se renfermer une fois de plus dans un réflexe de rejet qui laissera aux autres la possibilité de s’imposer. La France a tous les talents pour négocier correctement ce virage économique inéluctable, il serait aberrant qu’elle en soit empêchée par le conflit entre les deux offres de services, classiques et numériques.

Vent debout contre l’uberisation ?

Cette évolution économique trouve devant elle tous les habituels caciques de l’ordre établi. Plutôt que voir les potentialités offertes par ces circuits directs, en termes de pouvoir d’achat ou de création d’emplois et de valeur ajoutée, syndicats et corporatismes n’y voient que les risques apportés par cette concurrence qu’ils n’avaient pas anticipés. On brandit la peur de l’uberisation comme en son temps celle de la mondialisation !

Comme la plupart des virages économiques, l’uberisation découle de l’évolution technologique. Vouloir la rejeter en bloc est illusoire et contreproductif. Il reviendra à l’Etat dans les prochains moins de lui trouver un cadre juridique pour le moment encore flou et aux acteurs de l’économie classique de s’adapter et pourquoi pas de contrer les acteurs numériques sur leur propre terrain. Un challenge qui dans certains secteurs tiendra de la survie. Dans une situation économique difficile, le consommateur ira toujours au plus simple et au moins cher ! Surtout lorsque la qualité du service est au rendez-vous. Plus qu’une opportunité, une obligation !