Accueil Blog Page 838

Pourquoi les salariés sont stressés

Il n’y a rien de pire pour la performance des salariés que le stress et l’anxiété. Pour que vos salariés ne connaissent pas cette situation et puissent exprimer toute la mesure de leur potentiel il est important de bien s’interroger sur les causes pouvant conduire à la création de ce stress. 

Le trajet quotidien

Premier élément pouvant causer du stress chez vos salariés : les trajets quotidiens pour venir au travail et rentrer chez soi. En venant, les salariés sont stressés car ils ont dû batailler avec les transports en commun ou les bouchons pour arriver à l’heure. Ce stress s’estompe petit à petit au cours des premières heures de la matinée mais ressurgit dans l’après-midi. Les salariés se demandent alors ce que va leur réserver leur trajet retour, et à quelle heure ils pourront rejoindre leur famille.

Les différentes grèves « sévissant » en France aggravent de plus cette difficulté à se rendre sur son lieu de travail dans de bonnes conditions. Pour régler ce problème, il est préférable que vos salariés habitent relativement près de l‘entreprise. Si ce n’est pas le cas, il est toujours possible d’ajuster les emplois du temps pour éviter les heures de pointe. Dans certains cas, le télétravail peut également être retenu. 

La vie personnelle

Si vos salariés sont enclins au stress, cela n’a pas forcément uniquement trait à ce qui se passe au travail. Il n’est pas possible de faire totalement abstraction et de ne plus penser à ses amis, à sa famille. Pour éviter que vos salariés soient stressés sur ce point, faites preuve de souplesse au maximum. Ils doivent savoir qu’il leur sera possible (sauf cas de force majeure) de s’absenter et de moduler leur emploi du temps, pour aller voir un proche qui a eu un accident, pour être auprès d’un membre de la famille qui est malade, pour assister à un spectacle scolaire de leurs enfants… Vous pouvez aussi leur autoriser de courtes pauses de 5 minutes par exemple pour appeler leurs enfants ou leurs proches. Ils seront rassurés et pourront se remettre au travail plus facilement que s’ils doivent attendre jusqu’au soir pour avoir des nouvelles. 

Ce que pense le boss

On ne peut pas croire que les salariés se moquent de ce que pense la hiérarchie. Nous avons tous une propension à chercher la reconnaissance de la part des personnes qui nous dirigent.

  • Pour que sur ce point aucune anxiété n’existe chez vos salariés, privilégiez l’honnêteté et l’ouverture.
  • Pour les éléments les plus performants de l’entreprise, n’hésitez pas à les remercier, les féliciter, leur faire comprendre à quel point vous êtes satisfait de ce qu’ils font.
  • Pour ceux qui sont moins productifs et commettent des erreurs, montrez-leur que vous êtes là pour les aider à s’améliorer, que les erreurs font partie du processus d’apprentissage. 

Leur job

Sur ce point, aucune surprise ne doit être possible. Il est important d’organiser de petits entretiens réguliers avec les membres de votre équipe pour leur rendre compte de la situation. Tenez les informés de leurs perspectives de carrière dans l’entreprise, c’est souvent de malentendus que naissent des conflits à ce niveau.

Le micromanagement

Généralement ce n’est pas l’objectif en soi qui stresse les employés, mais plutôt le contrôle qui est effectué sur la manière avec laquelle l’objectif devra être atteint. Fixez avec l’employé les objectifs, en discutant avec lui de ce qui semble réalisable et laissez la personne (relativement) libre de s’organiser. Si l’objectif n’est pas atteint, vous pourrez discuter ensuite des choses à modifier pour une nouvelle fois la laisser adapter et appliquer les conseils que vous lui avez donnés. Dans tous les cas, ne venez pas à son bureau toutes les dix minutes pour lui demander où elle en est.

Le manque « d’intimité »

Même si l’Open Space semble avoir le vent en poupe en ce moment, il n’est pas nécessairement bénéfique à tous les business. Les personnes au travail aiment avoir un minimum d’intimité, ne pas se sentir observées et écoutées constamment. 

Préparer l’été dans son entreprise

L’été arrive à grands pas, synonyme de soleil et de vacances pour la plupart des gens dans l’hexagone, et demande de la part des entreprises une anticipation en amont. Les mois de juillet et août, très sollicités par les salariés pour partir en vacances, sont en général plus calmes dans certains secteurs, le rythme diminue mais il nécessite une organisation pour que cette période se déroule sans encombre mais aussi soit porteuse de renouveau.

Anticiper les congés des salariés

Dans la plupart des entreprises, l’été devient une période plus calme puisque les salariés partent en vacances et les clients aussi. A cette période de l’année, nombre d’entre eux prennent plusieurs semaines de congé, environ pour la plupart quatre semaines. Pour que l’entreprise continue de tourner, la pose de congés payés doit être envisagée assez tôt, quelques mois auparavant. Il s’agit alors de faire attention à la concordance des dates de chacun afin que l’entreprise puisse continuer à répondre aux fournisseurs et clients entre autres mais aussi pour que les salariés qui restent dans l’entreprise ne soient ni  submergés par le travail ni oisifs en raison de la fermeture des entreprises clientes.

Faire les relances avant le mois de juillet

Anticiper la période de vacances d’été consiste aussi à faire attention aux paiements des factures. En été, les entreprises sont peu actives en raison de l’absence des salariés. Avant que la période estivale commence, relancer les entreprises, vos clients, vos prospects afin qu’ils régularisent toutes les éventuelles factures. Afin de ne pas rencontrer de difficultés de trésorerie ou des dossiers en suspens, mieux vaut vous y affairez avant le début de l’été. Il arrive parfois que le paiement demande plusieurs signatures et donc vous prenez le risque qu’une des personnes soit absente et donc de ne percevoir le paiement qu’à leur retour des vacances ce qui peut mettre à mal votre trésorerie.

Préparer les mails automatiques

Comme chaque année et pour chaque départ en vacances, pensez à programmer votre boîte mail. Les mails automatiques permettent de prévenir votre interlocuteur de votre absence. Si vous partez, n’hésitez pas à rediriger vos mails vers votre associé ou vos proches collaborateurs. Ainsi les clients pourront obtenir une réponse à leurs questions et votre absence n’apparaîtra pas comme une attitude laxiste et dans le cas d’un dossier urgent à traiter, le client trouverait toujours un interlocuteur.

Bien qu’il puisse s’avérer tentant de mettre son numéro personnel, n’oubliez pas que partir en vacances consiste à vous ressourcer afin d’être plus performant à votre retour.

Envisager une possible fermeture de l’entreprise

Les années précédentes, vous avez gardé l’entreprise ouverte ce qui ne s’est pas avéré très utile et vous n’avez pas récolté les fruits escomptés de la présence des salariés. Il arrive que durant la période d’été, des entreprises ferment pendant un mois, généralement au mois d’août. Si leur fermeture impacte directement votre entreprise, fermer vos locaux peut se révéler judicieux. Prendre une telle décision demande une certaine anticipation car il faut que tous les dossiers en cours soient traités et que tout soit organisé pour que la rentrée se passe sans encombre.  

Gérer le classement administratif

Vous ne voyez peut-être pas l’utilité de fermer votre entreprise car votre activité même faible pendant l’été est rentable, profitez du rythme ralenti pour procéder au rangement de ce que vous avez laissé s’accumuler sur les bureaux, dans les tiroirs…. Durant l’année, il arrive que des tâches relativement chronophages soient mises de côté pour gagner du temps. Vous aurez enfin le temps de traiter certaines tâches administratives et de mettre de l’ordre dans vos dossiers afin de réaliser une rentrée sereine et performante.

Faire un bilan

Beaucoup d’entreprises suivent le rythme scolaire des vacances et particulièrement celles d’été. Pour vous préparer à ce que vous devez faire durant cette période en envisageant d’éventuels changements, profitez-en pour faire un bilan de votre activité. Vous pourrez alors organiser une nouvelle stratégie à la rentrée de septembre. Avant que vos salariés ne partent en vacances, réaliser une table ronde avec vos collaborateurs pour faire un retour sur l’année est une excellente initiative car l’analyse de celle-ci vous permettra de réfléchir et de trouver des idées qui deviendront votre atout. Il ne s’agit pas d’évoquer seulement les défauts et les qualités de réaliser un brainstorming qui peut vous permettre de mettre en place une organisation optimale.

Revoir son environnement de travail

L’absence des salariés peut constituer une véritable occasion pour vos locaux. Si vous comptez réaliser des travaux ou changer votre mobilier, il s’agit du bon moment. Les travaux ne dérangeront pas vos salariés et comme l’activité tourne généralement au ralenti vous pourrez prendre du temps pour aménager l’environnement de travail pour répondre au bien-être de vos salariés. Repenser ses locaux en été peut permettre de repartir du bon pied en septembre !

Embaucher un employé pour l’été

Le rythme intense de l’année vous oblige parfois à être mobilisé sur plusieurs postes à la fois, ce qui vous empêche de vous occuper du classement. Il s’avère assez courant pour les grandes entreprises de recruter un emploi saisonnier. Il s’occupe de classer, et de gérer une mission pouvant avoir un impact positif sur votre activité durant l’année. Que ce soit pour un ou deux mois, il s’agit d’un atout pour vous aider dans les tâches parfois ingrates mais combien utiles !

Comment entreprendre dans le luxe ?

Le marché du luxe représente environ 270 milliards d’euros partout dans le monde. Il commence à se démarquer en dehors de l’Europe mais le vieux continent reste le précurseur dans ce domaine malgré la concurrence des marchés asiatiques. En pleine expansion, le secteur attire de nombreux entrepreneurs qui souhaitent s’y déployer mais développer une entreprise « haut de gamme » représente un challenge.

Un secteur très exigeant

Choisir de développer un projet dans le monde du luxe se révèle porteur particulièrement en France. Réputé pour ses plus grands couturiers comme Yves Saint Laurent ou encore Christian Dior, les marques de luxe ont sans conteste désormais un rayonnement à l’international. Elles arrivent à attirer les clients par leur rareté, leur excellence, leur style et leur créativité qui ne cesse de susciter l’admiration. Ces éléments expliquent généralement les prix pratiqués qui sont exorbitants pour les personnes lambda. Les acheteurs recherchent un savoir-faire et une excellence permettant de montrer leur appartenance à une catégorie sociale dont les moyens financiers sont très élevés. Ces prix aident à réaliser des marges substantielles pour développer tous les aspects essentiels inhérents au luxe. Une marque haut de gamme sans le marketing et la communication adaptée aura du mal à s’imposer véritablement dans ce domaine car les clients souhaitent pouvoir profiter de la renommée d’une entreprise de luxe pour redorer leur propre renommée. En jouant sur le savoir-faire, la qualité et l’aspect luxueux d’une marque, il est possible de conquérir le cœur des consommateurs qui sont parfois blasés et qui aiment montrer leur originalité en élisant une nouvelle marque.  Certains pays sont friands des marques françaises, il est donc possible pour un jeune entrepreneur créatif de briller dans ce monde fermé.

Développer une stratégie pertinente

Lancer une entreprise dans le luxe peut paraître une évidence en France et pourtant le secteur du luxe n’est pas à la portée de n’importe quel entrepreneur. Vouloir se développer dans le luxe demande une véritable stratégie car les clients de ce secteur sont fort exigeants et les géants du secteur rendent difficile l’accès à ce marché dont ils gardent soigneusement l’entrée. Leur réputation est assurée et ils savent garder leur clientèle car ils ont une véritable expérience dans le secteur et savent mettre en scène leurs clients et ils ont plus d’un tour dans leur sac pour les lier à leur marque. En tant que novice, se faire une place demande de la persévérance et un projet solidement établi qui répond aux exigences des consommateurs aux porte-monnaie bien remplis. Face aux géants du luxe, se faire connaître demande une stratégie imparable en matière de marketing et de communication et une trésorerie qui permette de faire face aux investissements indispensables à la création.

Se lancer dans le luxe, un coût conséquent

Les entreprises du luxe se focalisent essentiellement sur une réputation d’expertise, d’originalité et un critère d’excellence. Créer son entreprise dans ce domaine nécessite de passer par les mêmes étapes que lors de toute création comme déposer son nom à l’INPI, réaliser une étude de marché visée ou encore faire des tests de production. Pour réussir à faire sa place, les entreprises ont parfois besoin de beaucoup d’argent. Installer une boutique avec des produits de luxe, ne peut pas se faire dans n’importe quel quartier. Le luxe vise automatiquement une sphère très aisée de la population nécessitant de se trouver dans des endroits chics. Trouver des locaux dans ces quartiers nécessite des sommes conséquentes, même en location. Entreprendre dans le luxe ne constitue pas une étape infranchissable mais cela engendre souvent des coûts que tous les entrepreneurs ne peuvent pas se permettre. Pour contourner cette difficulté, des entrepreneurs préfèrent envisager de travailler dans un premier temps avec les marques de luxe plutôt que de se lancer seuls. Les collaborations et les contacts peuvent facilement avoir plus d’impact sur un marché dirigé par les grands noms et un jour leur laisser l’opportunité de créer leur marque.

Des solutions pour réussir à s’imposer

Pour aider les créateurs d’entreprises de ce secteur à se lancer, Thomas Mesmin a lancé French Luxe, l’équivalent du label French Tech pour ce secteur. Les entrepreneurs peuvent alors se faire accompagner pour développer leur projet. La plupart des grandes maisons se constituent souvent d’un duo créateur et commercial. Ce modèle est un moyen judicieux pour réussir à s’implanter parmi les plus grands. Se distinguer dans ce secteur demande beaucoup de temps, selon Thomas Mesmin, il faut envisager au moins 10 ans avant que la marque de luxe ne soit reconnue comme telle. Durant tout ce temps les entrepreneurs ont l’occasion de travailler avec des grandes maisons et de développer leur notoriété. La crédibilité et la visibilité sont des points indissociables du luxe, et forger une réputation, cela demande du temps.

Bien que le luxe semble presque inaccessible de par ses coûts et la complexité du marché, le digital et le numérique commence à démocratiser la création d’entreprise dans ce secteur. Les grandes marques ne ressentent pas le besoin de se démarquer sur internet, leur réputation continue de perdurer et la communication passe très peu par les réseaux sociaux et Internet. Certaines start-up du secteur n’hésitent pas à profiter des nouvelles technologies pour elles tracer et ouvrir un nouveau chemin sur leur e-reputation.

Entreprendre dans le luxe ne s’avère pas être mission impossible car rien n’est impossible à celle ou celui qui veut réussir ! Alors serez-vous le suivant ?

Bad buzz pour Adidas : une publicité à épiler ?

Pour sa dernière campagne publicitaire, la marque Adidas a fait appel à la célèbre mannequin suédoise, Arvida Byström. Connue pour ses positions féministes, la jeune femme n’hésite pas à exposer, au sein du spot publicitaire, ses jambes, non épilées. Un pari osé qui vaut à la marque une avalanche de critiques sur les réseaux sociaux. Bad buzz.

Un spot publicitaire, au poil ?

Le 26 septembre dernier, la marque de vêtements de sport allemande diffusait sa nouvelle publicité afin de promouvoir les, déjà célèbres, sneakers « Adidas Superstar ». Ils choisissent ainsi la mannequin et photographe suédoise, Arvida Byström. La jeune femme de 26 ans, connue pour ses engagements féministes, a pris le parti de poser pour la marque en exposant, fièrement, ses jambes, non épilées. Des superstars grises et blanches, une robe à dentelle rose et des jambes couvertes de poils… Voilà, en résumé, à quoi ressemble le spot publicitaire. À la suite de ce spot, visionné plus de 1,4 million de fois, la célèbre mannequin, qui affichait déjà, publiquement, ses engagements sur les réseaux sociaux, s’est vue confronter à une avalanche de critiques. Elle a, tout de même, tenu à s’exprimer : « Je pense que la féminité est un concept culturel. Je pense que tout le monde peut être féminine, faire des choses féminines, et j’ai l’impression que dans la société actuelle nous avons peur de ça. » Malgré cette prise de position, les critiques émises autour de la marque n’ont fait que s’accumuler.

Des simples critiques aux menaces de viol

À la suite de la diffusion de la publicité, les internautes ont, rapidement, donné leur avis et, le moins qu’on puisse dire, est qu’une majeure partie n’a pas été séduite… Allant des simples commentaires tels que « Elle ressemble à un homme » aux plus virulents « C’est dégoutant, va te raser ! » ou encore « Les jambes poilues ce n’est pas féminin», la jeune femme aurait également reçu des menaces de viol ainsi que des agressions verbales sur sa messagerie privée Instagram. « Ma photo pour la campagne Adidas a reçu pas mal de commentaires négatifs la semaine dernière. Je suis blanche, en bonne santé, il n’y a que mes poils qui divergent de la norme… J’ai même reçu des menaces de viol. Je n’imagine même pas ce que ça fait d’exister dans ce monde sans avoir tous mes privilèges. Je vous envoie tout mon amour et rappelons-nous que tout le monde n’a pas la chance de vivre les mêmes expériences en tant qu’individu », a répondu la mannequin sur le réseau social. Malgré ce post, les retombées, pour la marque, n’ont pas été plus positives. Certains commentaires iraient jusqu’à décrier les sneakers comme « Eh bah maintenant c’est sûr, je ne porterai jamais d’Adidas », « Chaussures dégoutantes » ou encore « J’ai envie de vomir ». Plus aucun doute, il s’agit bien là d’un bad buzz.

Une publicité qui relance le débat de l’émancipation de la femme 

Si le spot publicitaire reste au cœur d’une polémique, il a également su diviser les avis des internautes. Certains ont choisi de ne voir que le côté positif de celui-ci en félicitant la marque et la jeune mannequin de promouvoir l’image d’une femme naturelle et libérée des contraintes sociétales. On peut lire quelques commentaires qui défendent largement le parti pris d’Adidas : « Soyez vous-même, et ne vous souciez pas de ce que les autres disent. Vous êtes magnifique à l’intérieur comme à l’extérieur ». De son coté, la marque souhaite, selon elle, mettre, avant tout, en avant des mannequins sportifs, artistes et acteurs afin de représenter ses sneakers. Si le choix d’Arvida paraissait judicieux (une femme engagée, féministe et qui casse les codes, de quoi conquérir les consommateurs !), malheureusement, le spot n’a pas profité des retombées médiatiques escomptées.

10 règles d’or pour la prospection téléphonique

Vos fichiers doivent être complets, noms, fonctions, n° de tél., objectif de l’appel. Il faut que vous soyez dans d’excellentes dispositions mentales, votre entrain, votre dynamisme et votre optimisme s’entendent. Voici 10 règles d’or pour la prospection téléphonique.

La préparation de la prospection téléphonique

Vos fichiers doivent être complets, noms, fonctions, n° de tél. , objectif de l’appel. Il faut que vous soyez dans d’excellentes dispositions mentales, votre entrain, votre dynamisme et votre optimisme s’entendent.

L’intonation est prépondérante.

Votre intonation est largement responsable du succès ou de l’échec de votre appel. Un ton hésitant raffermit l’autorité de votre correspondant. à l’inverse, un ton conquérant le fait douter. évitez, à cet instant, les formules de politesse trop pompeuses ou trop longues. Allez droit au but.

Au standard, se présenter uniquement par son prénom !

Essayez un code de communication différent de vos confrères qui appellent tous de la même façon. Présentez-vous uniquement par votre prénom et donnez ainsi l’impression d’être un proche ou un familier.

Au standard, l’annonce de l’objet de votre appel !

évitez les termes génériques qui font forcément penser à votre interlocuteur que vous êtes en phase de prospection. Essayez plutôt quelque chose de très précis qui implique que l’on vous passe le bon interlocuteur : « C’est au sujet des charges externes fixes de votre bilan comptable ». Un maître mot OSEZ !

L’assistante coopérative, impliquez-la !

Faite-lui partager l’objectif de votre appel et l’intérêt qu’a son supérieur de prendre votre communication.

L’assistante « hermétique », contournez son barrage.

Une seule méthode, appelez lorsqu’elle n’est pas là ! Tôt le matin ou tard le soir, c’est souvent le responsable qui décroche, quelle aubaine !

Le premier contact avec l’interlocuteur cible.

Si vous êtes en phase de ciblage, expliquez votre démarche et l’intérêt qu’il a à vous donner une information qui peut être importante pour son entreprise. Si votre objectif est d’obtenir un rendez-vous, ne commencez pas votre vente au téléphone. Vous lui donneriez ainsi toutes les raisons de refuser une entrevue.

Travaillez la musique !

Votre détermination, votre bonne humeur et votre professionnalisme s’entendent au téléphone. Vous devez travailler votre débit et éviter d’être monocorde. Pour cela un seul remède entrainez-vous !

Traitez les objections.

Le malentendu : l’interlocuteur n’a pas compris le sens de l’appel, qui vous êtes, ce que fait votre société… Acceptez sa remarque et apportez la précision qui recadre votre échange. L’objection qui relève d’un inconvénient réel : récupérez alors l’information qui sera le signal de la fin de cet inconvénient et fixez ensemble la prochaine étape. « Votre contrat se termine en novembre, je vous contacte donc le 13 octobre »

Amusez-vous !

Cet exercice est souvent vécu comme une épreuve par la grande majorité des commerciaux. Donnez-lui un sens, soyez persuadé que c’est un préambule à la signature de futurs gros contrats ! Faites-en un jeu et fixez-vous des challenges, seul ou entre collègues commerciaux. 

8 étapes pour créer son logo d’entreprise

La création du logo ou son changement représente toujours une décision délicate pour le dirigeant ou l’entrepreneur. Souvent considéré comme le moyen de s’affirmer pour la marque et son identité, il représente une étape déterminante pour son créateur. Alors, pour mener à bien cette opération, suivez le guide !

1 – Le logo n’est pas qu’un simple dessin

Le logo n’est pas qu’un symbole à faire d’un coup de crayon ou de logiciel graphique. Avant tout, il est porteur de sens. C’est pourquoi il reste essentiel de déterminer les valeurs que vous souhaitez qu’il véhicule. Pour obtenir le logo qui sera votre ambassadeur, il vous faut donc commencer par un travail introspectif : quelles sont les valeurs que doit incarner votre logo ? Comment imaginez-vous le développement de votre entreprise à court terme comme à moyen terme ? Quelles sont les convictions qui vous animent ? Quel est le principal apport de votre produit/service pour celui qui l’utilise ? Pour ainsi dire, quel message souhaitez-vous faire passer ? Ainsi, sa forme ou encore les couleurs utilisées pourraient s’en trouver affectées. Prenez-le temps de bien identifier les valeurs phares que porte votre entreprise afin qu’elles se retrouvent dans votre logo, au même titre que toutes connotations négatives qui ne permettent pas d’arborer un logo et vous voudraient une campagne de dénigrement.

2 – Ne cherchez pas à copier ou à faire tendance

Vous pouvez être tenté de copier ou de vous inspirer d’un logo qui fait l’unanimité en espérant profiter de la notoriété de marque d’une autre entreprise. Se démarquer se révèle néanmoins une meilleure stratégie et vos valeurs ne doivent jamais constituer des éléments qui ne font pas partie de votre ADN. Elles doivent, au contraire, servir à vous distinguer afin que votre marque devienne rapidement reconnaissable de vos clients ou prospects par son originalité. Sachez que les internautes sont devenus fort perspicaces et qu’ils décèlent rapidement les failles d’une communication sans envergure.

Certes, vous pouvez être tenté de surfer sur les nouvelles tendances mais rappelez-vous bien qu’elles sont éphémères. Évitez donc d’opter pour un logo trop temporel, qui perdrait de son efficacité dans le temps. Cherchez, avant tout, à ce qu’il inscrive votre entreprise et son activité dans la pérennité.

En résumé, le logo doit être un « phare » pour l’entreprise car il permet de l’identifier de manière immédiate grâce à ses formes, ses couleurs et son caractère particulier.
Le logo « phare » peut même s’ancrer dans l’inconscient d’une population.

3 – La simplicité avant tout

On ne le dira jamais assez mais un logo efficace reste un logo qui s’installe dans la mémoire de l’ensemble de la population (ou du moins votre cible). Pour ce faire, il doit permettre d’identifier votre entreprise et son activité d’un simple coup d’œil ? Les marques les plus connues disposent, bien souvent, d’un logo lisible et facilement identifiable.

4 – Prendre en compte que le logo n’est pas éternel

Il est commun de penser que le logo est figé et qu’il n’évoluera pas dans le temps. En réalité, tous les logos (ou presque) ont subi des opérations de « lifting » afin de les adapter aux nouvelles tendances. Même ceux les plus connus subissent cette cure de jeunesse et font l’objet d’une refonte tous les trois ou quatre ans en moyenne. Même s’il n’est pas éternel, vous devrez prendre en considération le fait qu’il restera le socle et qu’il ne doit donc pas se révéler trop temporel. Ainsi, les logos de PSA ou de Renault, pour ne citer qu’eux, ont évolué. Si l’évolution peut parfois paraître anodine, comme dans le cas de PSA où le lion couché est devenu un lion debout, ce changement reste porteur de sens pour la marque.

5 – Il doit pouvoir s’adapter à tous les supports

Votre logo est destiné à être implanté sur l’ensemble de vos supports et parfois même, sur ceux de vos partenaires : plaquettes, en-tête de lettre, sites internet, panneaux publicitaires, affiches, cartes de visite… Autant de supports que de tailles différentes. À titre d’illustration, si votre logo s’avère parfait en en-tête, il peut rapidement se révéler illisible au milieu d’une affiche en bas de page. Étant donné la diversité des supports, n’oubliez pas que le format vectoriel demeure à privilégier pour éviter toute perte de qualité. Ainsi, gardez à l’esprit l’aspect multi-supports.

6 – Penser international

Il s’agit peut-être d’une évidence mais si vous projetez de vous implanter à l’international, il vous faudra penser votre logo de sorte à ce qu’il puisse franchir les barrières culturelles. De nombreuses images et mots ont des significations différentes suivant les pays. Pour éviter de vous retrouver à devoir créer un nouveau logo dès que vous envisagerez l’international, pensez immédiatement à la signification de votre nom d’entreprise et logo dans les autres pays. Les chrysanthèmes, par exemple, font partie des fleurs favorites des Japonais mais en ce qui concerne la France, elles restent liées à la mort.

7 – Choisir les bonnes couleurs

La majorité des logos sont pensés en monochrome ou avec plusieurs couleurs, mais toujours avec une dominante. Les couleurs détiennent des significations qu’il vous faudra prendre en compte afin de transmettre la bonne émotion. Si, par exemple, en Asie, le rouge est de bon augure, a contrario, le jaune lié au deuil est à éviter.

8 – Monter un cahier des charges

Réaliser un cahier des charges pertinent constitue un travail en amont qui demande une analyse très précise et des échanges approfondis sur la stratégie de l’entreprise. Celui-ci vous permettra, entre autres, de transmettre votre demande à des prestataires et d’obtenir des propositions d’excellente qualité.

Pour créer un logo, des plateformes comme kobOne vous permettent de demander des devis gratuitement en moins de 12 h avec une mise en relation gratuite, sans inscription, ni intermédiaire

À vous de l’appliquer dans votre boîte ! Cécile Reinaud

Retrouvez les conseils tirés de notre interview de Cécile Reinaud dans notre magazine, rubrique « Stratégie ».

Avoir, dans son entourage, 

Un mentor, c’est-à-dire une personne qui a déjà réalisé un parcours entrepreneurial pour vous guider et vous inspirer.

Être perfectionniste quant à la qualité de ses services et produits, 

Et toujours chercher à l’améliorer, même lorsque le succès commercial est déjà établi. 

Se créer une équipe composée de profils complémentaires au vôtre. 

Recruter, en priorité, dans les domaines où vous êtes le moins bon. 

Faire partie d’un club d’entrepreneurs. 

Il demeure très important de bien s’entourer et de profiter de conseils de personnes qui peuvent avoir une petite longueur d’avance sur vous…

Réécrire un business plan après trois ans d’activité pour se donner, 

En quelque sorte, une nouvelle vision ainsi qu’une feuille de route précise. Beaucoup se lancent avec une idée de départ mais pas assez d’objectifs précis alors que cela est fondamental.

Ne pas négliger le besoin d’investissement marketing, pour ceux présents sur internet.

Ne pas sous-estimer l’importance du budget qui doit y être alloué en pensant que les gens vont savoir et connaître votre projet tout naturellement.

Réaliser des études de marché afin d’être certain que le produit, 

Avec ce qu’on en fait, se révèle, véritablement, en accord avec la demande du marché.

Bien comprendre son positionnement unique par rapport à la concurrence.

Il faut se demander quelle est la chose unique que vous offrez, que la concurrence n’offre pas déjà…

Zoom sur le microfinancement de l’ADIE

L’Adie donne les moyens d’entreprendre à ceux qui n’ont pas les moyens

Le microcrédit est un prêt de petit montant accordé à des personnes qui souhaitent créer ou développer leur entreprise et qui ne peuvent pas accéder aux prêts bancaires classiques. Maria Nowak, économiste et présidente fondatrice de l’Adie, a introduit le microcrédit en France il y a plus de vingt ans, en s’inspirant de l’expérience du Prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus au Bangladesh.

Un système importé en France par l’Adie

L’Adie (Association pour le Droit à l’Initiative Economique) est reconnue d’utilité publique. Premier opérateur de microcrédit en France, l’Adie finance et accompagne les personnes exclues du système bancaire. Leur but ? Que celles-ci puissent créer leur entreprise et donc leur propre emploi. Depuis sa création, il y a plus de vingt ans, l’association a octroyé plus de 79  000 microcrédits, permettant ainsi la création de près de 65 000 entreprises et près de 78 000 emplois.

Quelles sont les personnes faisant appel à l’Adie?

Les allocataires des minima sociaux représentent près de la moitié des personnes financées, les chômeurs, plus du quart. Signe des temps, on assiste à l’émergence des travailleurs pauvres parmi les demandeurs de microcrédit : la part des salariés (souvent à temps partiel ou en intérim) a quasiment doublé en 2008 pour atteindre 7 %. L’augmentation de la part des travailleurs indépendants (de 7 à 12 %) traduit notre volonté de financer le développement des jeunes micro-entreprises déjà en activité.

Territorialement, l’activité de l’Adie se situe pour les deux tiers en zone urbaine. D’année en année, le pourcentage des demandeurs issus des banlieues s’accroît. Ils sont, en 2009, 20 % à y avoir créé leur activité. En 2008, 23 % des personnes financées travaillaient en milieu rural et 5 % étaient des gens du voyage.

L’Adie : un organisme d’accompagnement aussi…

Afin d’aider ses clients à pérenniser et développer leur activité, l’Adie leur propose des services de conseil et de formation. L’offre d’accompagnement est accessible aux créateurs avant, pendant et après la création de leur entreprise. Elle se présente sous la forme d’un accompagnement individuel : démarches administratives, aide en gestion, appui commercial, marketing et insertion bancaire. Cette aide est même complétée par des formations collectives aux techniques commerciales, en gestion et en informatique. Un accompagnement global pour donner toutes les chances aux personnes exclues du système bancaire de faire un pas vers le succès.

Comment organiser un événement professionnel avec succès

Organiser un événement est souvent le meilleur moyen de faire connaître son entreprise et de développer votre notoriété.

En proposant à vos clients ou partenaires un événement professionnel, vous  vous donnez par la même occasion la possibilité de jouer positivement sur votre notoriété et votre image. Cependant si votre événement est un échec, il aura évidemment l’effet inverse et nuira à votre société, d’où l’intérêt de ne rien laisser au hasard et ne pas hésiter à se faire aider par des spécialistes dans cette tâche périlleuse qu’est l’organisation de l’événement.

Les premières étapes de l’organisation d’événement professionnel

Étape 1 : définir l’objectif et le public ciblé

La première étape consiste à définir l’objectif de votre événement professionnel. Souhaitez-vous stimuler vos collaborateurs ou les remercier ? Développer l’esprit d’équipe au sein de votre société ? Sensibiliser vos clients à votre nouvelle offre ? Trouver de nouveaux partenaires ?

Même s’il s’agit « simplement » d’accroître la notoriété de votre entreprise, il faut tout de même se poser les bonnes questions, comme par exemple « quelle image souhaitez-vous renvoyer ? »

Rien ne sert d’organiser un événement simplement pour organiser un évènement. C’est une fois que vous aurez défini l’objectif de l’événement que vous pourrez vous pencher plus concrètement sur son organisation. De la définition des objectifs découle bien sûr le choix du public visé, qui lui-même déterminera la nature de l’événement.

Étape 2 : définir le thème et le format de l’événement

Une fois que vous savez clairement pourquoi vous voulez organiser un événement et à quel public il sera destiné, vous pouvez vous interroger sur la nature et le thème de celui-ci.

Pour le format, les choix sont multiples : petit déjeuner, soirée Networking, séminaire, congrès, voyage de motivation, salon, conférence, colloque…

S’il s’agit d’un événement du type conférence le thème doit prioritairement viser à transmettre un savoir ou un savoir-faire, répondre à une interrogation que se pose le public. Faites bien attention au choix du thème, pour ne pas risquer de choisir un thème sur lequel de nombreuses autres conférences sont prévues.

Le choix des intervenants dépend bien sûr du public visé, par exemple, pour une réunion à destination de vos clients privilégiez une personne de la société, alors que pour un événement visant un public interne il est souvent préférable d’opter pour une personne extérieure, de préférence connue.

 Étape 3 : fixer la date

Vient ensuite la fixation de la date. Elle doit être susceptible de convenir à un maximum de personnes. Pour cela il y a quelques règles de base à respecter, comme ne pas prévoir l’événement pendant les vacances scolaires, ou pendant un pont. Le mardi et le jeudi sont par ailleurs plus propices à l’organisation d’événements professionnels. Uns fois que vous avez une idée précise de la date il est nécessaire de s’assurer qu’aucun autre événement du même type, pouvant concurrencer le votre, n’a lieu le même jour.

L’étape décisive du choix des lieux

Le choix des lieux déterminera grandement le succès de votre événement. Pour mettre toutes les chances de votre côté n’hésitez pas à bien regarder les offres proposés sur internet  pour organiser  votre événement: séminaires, congrès, conventions, incentives, voyages de motivation… Concrètement, il s’agit de trouver le lieu le plus adapté à vos besoins. Plusieurs offres sont disponibles sur le site internet pour vous aider lors de l’organisation de vos événements mais n’oubliez pas que la situation géographie, la facilité d’accès sont des choix prioritaires.

 

La publicité en extérieure : un bon moyen pour se faire connaître

La communication renferme une multitude de techniques et outils qu’une entreprise peut utiliser en fonction du budget dont elle dispose. Parmi les grands classiques, la publicité en extérieure fait partie des indémodables. Quel que soit votre secteur d’activité ou votre taille de structure, cette méthode sait attirer l’œil des prospects. Les détails.

Avec la signalétique et la PLV (Publicité sur les Lieux de Vente), la publicité en extérieure constitue l’un des moyens de communication visuelle les plus prisés des annonceurs. Pour développer la notoriété d’une entreprise, ce dispositif est, plus qu’à considérer, à envisager. Découvrons ensemble ses particularités.

Une large visibilité pour un faible taux de sélectivité

Alors qu’elle fait partie des médias publicitaires traditionnels tels que la presse, la radio ou même la télévision, la publicité extérieure (ou « outdoor advertising », en anglais, ndlr) se confond souvent avec l’affichage. Ce moyen de communication ne concerne pourtant pas que l’extérieur puisqu’il concerne aussi bien des panneaux agencés en bord de route que des affiches situées dans des aéroports ou des métropolitains, par exemple.

Son but premier reste de diffuser une information, particulièrement un message publicitaire. L’enjeu s’avère donc de capter l’attention de son public cible. Véritable médium publicitaire, la publicité extérieure permet toutefois une grande visibilité avec un faible taux de sélectivité. Idéale lors du lancement d’un produit ou service de type grande consommation, ou d’une campagne destinée au grand public. Retenez également que, si ce dispositif est souvent utilisé pour promouvoir un produit/service ou une marque, il peut tout aussi bien situer un commerce ou le siège d’une entreprise. Lorsque vous imprimez vos baches publicitaires sur mesure, ses nombreux choix de format laissent libre cours à la créativité pour des affiches toujours plus surprenantes et attractives.

Des formes et supports variés

Trois formes principales de publicité extérieure sont à distinguer. La première concerne l’exploitation d’espaces publicitaires à travers le mobilier urbain ; suivie de l’affichage publicitaire sur la voie publique, et enfin, de la publicité dans les transports. Pour les supports, il faut bien différencier les enseignes, « toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble et relative à une activité qui s’y exerce », selon le site du Gouvernement, des pré-enseignes, qui indiquent, quant à elles, la « proximité d’un immeuble où s’exerce une activité déterminée ». Et quand on parle d’enseignes, là aussi des comparaisons s’opèrent entre celles dites lumineuses, de magasin et publicitaires.

Les enseignes lumineuses présentent l’avantage d’être visibles même aux heures de fermeture. Peu importe la technique d’éclairage utilisée, ce dispositif est équipé d’un système d’éclairage soit à LED (qui renvoie aux diodes électroluminescentes, ndlr), soit à néon. Ses inscriptions, formes et images lumineuses permettent ainsi de se démarquer de la concurrence. De quoi valoriser son entreprise de jour comme de nuit.

Classique et indémodable, l’enseigne de magasin constitue le porte-drapeau de votre activité comme de votre image. Prolongement de son nom commercial, celle-ci se fond avec la vitrine et la signalétique du commerce sur lequel elle est apposée. Au-delà de son caractère informatif, il s’agit également d’un visuel décoratif.

Enfin, comme son nom le suggère, l’enseigne publicitaire vise, avant tout, à promouvoir son activité commerciale. Cette technique marketing se matérialise, en principe, par une enseigne placée à proximité du lieu où s’exerce ladite promotion. Ce moyen de signalétique extérieure sert ainsi de mise en valeur de son activité.

L’exemple de la bâche publicitaire

Encore une fois, il existe une large variété de modèles et supports pour lesquels vous pouvez opter, en fonction de vos besoins, de vos goûts, de votre budget ainsi que de votre stratégie commerciale. Parmi les plus connus, la bâche publicitaire, aussi appelée « banderole publicitaire », demeure sans doute l’un des supports privilégiés dans le domaine. Alliant forte visibilité et faible coût, la bâche publicitaire pas cher se compose simplement d’une toile publicitaire que l’on peut, en principe, apposer directement sur la façade de l’immeuble en question. Bâche sur-mesure, standard, grand format, adhésive ou encore avec œillets…, autant de choix possibles. Au-delà de sa facilité de stockage, le fait qu’elle puisse être utilisée en intérieur comme en extérieur en fait également un atout en termes de communication. Mais avant de se lancer tête baissée, quelques dispositions sont à connaître en matière d’affichages publicitaires.

L’affichage, une liberté encadrée

Située sur la voie publique, la publicité extérieure doit répondre à un certain nombre de règles régies par le Code de l’environnement afin d’en délimiter l’usage, l’affichage et l’exploitation. Celles-ci ont pour objectif de préserver le paysage urbain et d’encadrer la liberté d’affichage. Toute entreprise souhaitant communiquer par ce biais doit en effet suivre scrupuleusement la réglementation relative à l’affichage. Auquel cas, elle s’expose à des sanctions. Des critères d’emplacement, de hauteur et de dimensions doivent ainsi être pris en compte. À titre d’exemple, l’un des principaux principes à respecter demeure qu’il ne faut en aucun cas installer un panneau publicitaire à plus de 2,20 mètres de hauteur au-dessus du sol.

Si l’on en croit la loi relative à la création de publicité, aux enseignes et pré-enseignes, l’affichage publicitaire est autorisée « dans les environs immédiats des centres commerciaux à condition que le règlement local de publicité l’autorise » ; « à l’intérieur des agglomérations » ; « en dehors des agglomérations à condition que ce soit précisément dans les aéroports ou dans les gares. Autrement, dans les zones qualifiées de  »zones de publicité autorisée » » ; ainsi que « sur un équipement sportif de 15 000 places et plus ».

Notez toutefois que les restrictions fluctuent selon les communes. Devant être adopté en collaboration avec le préfet et les services municipaux notamment, le règlement local de publicité peut prévoir des zones de publicité autorisée, élargie ou non autorisée. Les sites culturels et protégés disposent, eux aussi, de réglementations spécifiques. Il est, par exemple, strictement interdit d’apposer une banderole publicitaire sur un arbre, un site classé, une réserve naturelle ou encore sur la façade d’un musée quel qu’il soit. Dans tous les cas, il vous incombe de vous renseigner sur chacune des dispositions relatives à l’affichage publicitaire. La fameuse maxime « Nul n’est censé ignorer la loi ».