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Fichierentreprise : la référence pour l’achat de base email en ligne

Prospecter n’est pas toujours chose aisée et requiert du temps. Et du temps, une entreprise n’en a pas nécessairement. Pour vous aider dans votre lourde tâche, Fichierentreprise se charge pour vous de générer vos fichiers de prospection en un clic. Il s’agit du premier site dédié à l’achat de base email en ligne.

Le 1er site dédié à l’achat de base email en ligne

« Vos fichiers de prospection en 1 clic ! » Tel est l’engagement pris par le site Fichierentreprise depuis sa création en 2010. Édité par EDIFICHIER SAS, le grand spécialiste français du fichier prospection, cet outil accompagne les sociétés dans leurs campagnes d’emailing. De quelle manière ? Tout simplement en mettant à leur disposition un catalogue de fichiers email en téléchargement immédiat. Premier site dédié à l’achat de base email entreprise en ligne, il permet également de cibler l’ensemble des activités professionnelles. Il dispose de toutes types de fichiers en partant du fichier architecte mais aussi pour les clubs de billard, chirurgiens esthétiques, stations de montage de pneus, vignerons et agriculteurs… Autant de domaines recensés par l’outil de prospection. Les fichiers d’emails sont mis à jour tous les trois mois et soumis à un certain nombre de tests, validations et qualifications. De quoi garantir un service de prospection de qualité optimale.

Des fichiers triés par activité et localisation

Avec plus de 450 fichiers et deux millions d’emails de prospects et sociétés répartis sur toute la France, Fichierentreprise effectue un ciblage par activité, région, département ou encore par liste code NAF (Nomenclature d’Activités Française) et APE (Activité Principale Exercée). S’adressant aussi bien aux petites PME qu’aux grands groupes, le site est devenu la référence pour l’achat de base email en ligne. Seulement trois étapes sont nécessaires pour en profiter. D’abord, il convient de choisir les fichiers souhaités en fonction du secteur d’activité et/ou de la zone géographique. Il faut ensuite procéder au paiement en ligne par carte bancaire via le système de paiement sécurisé Hipay du groupe Allopass. Enfin, dernière étape, le téléchargement des fichiers immédiatement (sous format Excel, ndlr) dans son compte client une fois le paiement validé.

Un service à l’écoute de ses clients

2 730, c’est le nombre de devis traités. Côté commandes, 1 350 ont été réalisées grâce à trois commerciaux BtoB, pour un minimum d’achat de 39 euros. « Nous avons eu le plaisir de travailler avec Fichierentreprise, un service client disponible et efficace qui a tout de suite compris notre problématique », témoigne Philippe L. de Kameo. Chez Multimedia ltd, Vanessa D. rapporte : « Fichierentreprise nous accompagne depuis septembre 2014 dans notre communication. Ils ont su me conseiller convenablement selon mes besoins et dans la limite de mon budget. » Et en ce qui concerne le service client, le site assure qu’un membre de leur équipe répond aux attentes des entreprises en moins de deux heures.

L’importance de générer des emailings de qualité

Sachez qu’envoyer des emails en masse sans effectuer un tri au préalable n’est pas toujours opportun, bien au contraire. Une démarche qualitative reste indispensable si vous ne voulez pas voir vos efforts réduits à néant… Bombarder les boites mails tous azimuts et atterrir directement dans les spams vous fera, non seulement, perdre votre temps mais, en plus, risquerait de faire « blacklister » votre adresse IP (« Internet Protocol » en anglais, soit votre numéro d’identification, ndlr). Cette technique permettant d’identifier les fraudeurs, elle pourrait bien rapidement intervenir à votre désavantage si vous ne respectez pas les règles dites de bonne conduite. Faites donc attention tant à votre cible qu’au contenu de votre message en n’indiquant pas de fausses informations et en l’identifiant clairement comme promotionnel. C’est pourquoi un outil de prospection comme Fichierentreprise incluant le tri de fichiers par activité et/ou localisation se présente comme un réel atout pour vos campagnes emailings.

Le 1er avril 2018, les poissons d’avril étaient au rendez-vous 

Le 1er avril 2018, les poissons d’avril étaient au rendez-vous ! Les marques ont rivalisé d’ingéniosité pour séduire leurs clients. Voici parmi le déferlement des poissons d’avril notre sélection.

Burger King, le burger au chocolat, un poisson d’avril qui pourrait donner des idées

Burger King a dévoilé dans un vidéo un tout nouveau produit : le Chocolate Whopper. Ce burger au chocolat serait composé de produits sucrés.  Ouah, j’en veux un !

La douche au chocolat

Les experts de chez KITKAT ont conçu un savon comestible au chocolat. Have a bath, have a KITKAT. Ouah, propre vraiment ?

La meilleure business class du monde

Emirates a présenté ce dimanche 1er avril le SkyLounge, un salon aux parois totalement transparentes installé à bord de la flotte de Boeing 777X que la compagnie aérienne accueillera à compter de 2020. C’est déjà la nouvelle ère !

Voiture sur mesure 

Lexus présente ses « Genetic Select Cars ». Grâce à l’analyse ADN de ses clients, le constructeur automobile sera apte à fournir en 48 heures une voiture totalement personnalisée, de la fermeté des suspensions à la taille des appui-têtes. Le prix s’il vous plaît !

Freebox V7 sera livrée avec un carton de 100 Blu-Ray AB Productions

Xavier Niel sait bien mettre en valeur sa Freebox V7 prévu pour la fin de l’année –et évidemment notre communicant n’a pas oublié de se servir du 1er avril 2018. L’opérateur internet aurait prévu un ingénieux système afin de compenser la détérioration des débits sur le service SVOD Netflix. Plutôt que de pester sur la lenteur de sa connexion, l’utilisateur lésé n’aura qu’à piocher dans un carton contenant 100 Blu Ray, livré d’office avec la nouvelle box de l’opérateur français. Un partenariat aurait été passé avec AB Productions si bien que les utilisateurs pourront ainsi profiter de sitcoms comme Premiers Baisers et les Mystères de l’Amour ! Une bonne idée ? A voir ?

François Hollande devient président de Disneyland Paris

Dans un faux communiqué du site disneylandparisbonsplans.com, on apprend avec enthousiasme que l’ancien chef de l’État a été nommé Président directeur général d’Euro Disney S.C.A et “remplace ainsi Catherine Powell, qui est nommée à la tête de Disney Parks and Resorts Western Region”. Cette nouvelle enthousiasme le Parc parisien et le monde politique dans son ensemble. Il prendra ses fonctions à partir du 1er mai 2018 et dirigera le complexe de loisirs Disneyland Paris ! Une reconversion réussie ?

Il y a de la vie dans l’espace, en voici la preuve irréfutable !

Mais oui Sciences et Avenirs a voulu aussi nous faire sourire le 1er avril 2018. Selon cet article, des caméras ont ainsi surpris un insecte écrasé sur le pare-brise de la voiture Tesla récemment propulsée dans l’espace. “J’ai cru au départ qu’il s’agissait d’un impact sur le pare-brise, provoqué par une micro-météorite ou un gravillon stellaire”, explique un certain April Fischer au magazine. Mais il s’agirait bien d’un moucheron. Désolée le temps n’est pas encore venu !

La miss météo de LCI nous annonce -20 degrés !

Pour cette météo du 1er avril 2018, Chavanne Solene, la présentatrice météo de LCI nous annonce des températures glaciales sur toute la France : – 20 degrés à Nancy, – 12 dans le Cotentin, – 13 à Lille, Nantes et Paris, – 4 degrés à Marseille… Décidément le temps est déréglé !

Porsche se lance dans l’agriculture écologique

Porsche investit pour l’avenir de l’agriculture en concevant le Mission E Tractor. Une machine entièrement électrique qui combine « le meilleur de la tradition et de l’innovation » du constructeur allemand. Le tracteur le plus puissant du monde développe une puissance de plus de 700 chevaux. Le rêve de nos agriculteurs est enfin réalisé !

ShareBED : partagez votre matelas avec un inconnu

Dans cette vidéo virale, la marque de matelas Lucid Mattress nous présente sa nouvelle application “ShareBED”. A la manière de Aibnb, elle propose au célibataires de louer la moité de leur lit à des inconnus pour rentabiliser cet espace inoccupé.

Saviez-vous que l’humain moyen n’utilise que 40% de son espace de lit utilisable ? C’est 60% du lit qui est gaspillé. Jusqu’à maintenant… Louez cet espace inutilisé et gagnez de l’argent pendant que vous dormez. Présentation de ShareBED la plus récente innovation dans l’économie du partage. On a le droit de choisir le ou la partenaire idéal !

La Gendarmerie du Rhône s’équipe d’aigles radars !

Pour contrôler les automobilistes des manières plus écologique et plus efficace, les gendarmes du Rhône ont décidé de s’entourer de nouveaux compagnons volants à la vue perçante : les aigles ! Ces derniers, sont “PLUS FORT QUE DES DRONES!” selon le post facebook du canular et ils seront équipés de mini caméras embarquées permettant de repérer les infractions. “Un prototype de caméra radar est également en test”, poursuit la gendarmerie. Des sous, des sous !!!

Les sapeurs-pompiers parachutistes se la jouent Iron Man pour éteindre le feu !

Dans une vidéo diffusée sur twitter le premier avril 2018 (comme par hasrad), les pompiers de Paris nous présentent leur nouvelle technique pour accéder plus rapidement aux zones difficilement accessibles. Six hommes du feu de la capitale s’entraînent au saut en parachute. Une technique inspirée des “Smokejumpers canadiens”, à en croire le compte Twitter des pompiers de Paris…Ils en seraient capables nos pompiers de cœur !

Un hôtel-casino de 187m de haut ouvrira ses portes en 2022 à Versailles

L’Épi de Versailles : un hôtel-casino au cœur du bois Saint-Martin face au quartier Saint-Louis verra le jour en 2022. La Ville de Versailles est fière de présenter son futur immeuble de grande hauteur, signe fort qui permettra de valoriser la richesse de son patrimoine végétal et architectural tout en y implantant de nouvelles activités économiques. Les versaillais vont adorer sortir de leur torpeur versaillaise !

La station de Méribel en Savoie décide d’agrandir sa montagne

La station savoyarde de Méribel a annoncé, dans un communiqué, que de grands travaux allaient être engagés pour agrandir le Mont Vallon de 50 mètres, histoire de le rendre plus attractif. Près 150 000 m³ vont devoir ainsi être sortis de terre. « Dans un souci de préservation de l’environnement et afin de limiter l’impact écologique de tels travaux, un lac sera creusé au pied du Mont Vallon permettant ainsi d’offrir un lieu privilégié estival propice à la détente dans ce cadre magnifique », précise également le communiqué. Quand on aime Méribel on a des frissons !

Vélo boulot, dodo pour les ministres

Les déplacements officiels à vélo vont devenir obligatoires pour les ministres. C’est l’association Vélove à Montargis qui relaie l’information d’un web magazine dédié aux deux roues. « Tout déplacement réalisé sous la gouvernance Macron et représentant le pouvoir de l’Etat, devra être obligatoirement effectué à bicyclette » est-il écrit dans les modalités d’application de ce futur décret relatif aux déplacements officiels. Pendant qu’ils font du sport, ils ne font pas d’ordonnances, certains seront vraiment contents !

Top 5 des raisons d’embaucher un salarié saisonnier

Le printemps vient à peine de pointer le bout de son nez et nous pensons déjà à l’été et à son soleil qui nous manque tant. Certes cette période est agréable, mais elle veut aussi dire que beaucoup de vos salariés vont partir en vacances à tour de rôle durant les mois de juillet et août. Alors pourquoi ne pas avoir recours à un salarié saisonnier pour accompagner vos salariés dans des tâches simples ou faire ce que vous n’avez pas eu le temps de faire durant l’année ? 

En savoir un peu plus sur le contrat saisonnier

Un contrat saisonnier est déterminé par des activités qui se répètent chaque année à la même période ou encore à la même saison. Il correspond particulièrement aux entreprises concernées par le tourisme durant une saison ou pour les agriculteurs et leurs récoltes. Cependant les entreprises du tertiaire peuvent aussi y avoir recours pour de l’archivage, une mission ponctuelle, une aide quelconque. Le CDD saisonnier dans la logique ne peut pas excéder grand maximum 8 mois, puisqu’il correspond à un travail ne pouvant pas être exercé toute l’année. Depuis l’arrêté de la loi travail du 5 mai 2017, un salarié bénéficie automatiquement d’un droit de reconduction obligatoire si le salarié a travaillé deux années consécutives dans l’entreprise pendant la même saison. En réalité, le contrat saisonnier dispose des mêmes réglementations qu’un CDD habituel. À la seule différence qu’il ne peut pas démissionner avec une rupture conventionnelle et qu’il ne dispose pas d’une prime de précarité à la fin de son contrat. Par ailleurs dans de nombreuses entreprises, le salarié saisonnier est employé avec un contrat intérimaire ou un CDD simple.

L’employé saisonnier dans le tourisme

Bien entendu, dans le secteur du tourisme, le salarié saisonnier est une évidence car il permet de renforcer les équipes pour mieux assumer la saison. La plupart des stations de ski ou de stations balnéaires ont recours à ce type d’emploi chaque année qui permet le plus souvent à des jeunes d’évoluer dans un environnement sympathique et de rendre votre entreprise performante par leur investissement. Le fait de pouvoir agrandir les équipes grâce à un salarié saisonnier peut se révéler être un réel avantage. Il n’est pas simplement un complément, mais il fait partie intégrante de votre équipe pendant une période. Pour cela, il vaut mieux faire le bon choix.

Dans les entreprises du tertiaire, un coup de main non négligeable

En plein mois de juillet et août, les entreprises sont souvent désertes et ce n’est pas forcément pour cela que l’activité s’arrête. Les employés souhaitent tout de même partir en vacances et alternent chacun leur tour pour ne pas plomber l’activité selon un calendrier qui ne les satisfait pas toujours. C’est pourquoi un salarié saisonnier est souvent le bienvenu. Il permettra entre autres de donner un coup de main et d’éviter que la charge ne soit trop lourde pour les salariés qui restent en poste et d’assouplir parfois le rythme du départ des salariés en vacances.

L’été, les vacances, le moment pour réarranger l’entreprise

Le salarié saisonnier peut permettre à votre entreprise d’effectuer des tâches chronophages. Durant l’été de nombreux jeunes et étudiants cherchent un emploi pour financer leurs vacances ou pour subvenir à leurs études. C’est donc le moment de leur confier des missions que vous n’avez pas le temps de réaliser le reste de l’année. Cela peut permettre de faire du rangement afin que la rentrée puisse être opérationnelle ou bien traiter des tâches essentielles à la poursuite de l’activité durant l’année. Il peut s’agir par exemple d’un regroupement d’informations, d’archivage, bref tout ce que vos équipes n’ont pas le temps de faire mais qui sont essentielles.

L’occasion de rencontrer un salarié qualifié

Non seulement un salarié saisonnier peut vous aider à réaliser des tâches parfois trop longues ou fastidieuses, mais cela peut aussi être l’occasion de rencontrer un salarié qualifié. Il sera peut-être satisfait de l’entreprise et de son travail, ce qui peut vous amener à réitérer l’expérience pour une prochaine fois. Non seulement, vous avez trouvé un salarié qui vous aide, mais il pourrait s’avérer être une embauche à l’avenir. Souvent intégré au sein de l’entreprise pendant 2 ou 3 mois, vous pouvez cerner ses compétences et son comportement. Alors vous pourrez peut-être envisager de lui proposer un poste à temps plein après deux ou trois années consécutives avec ses services. Vous gagnerez du temps, puisque la recherche d’un autre employé ne sera pas forcément nécessaire.

Aider les jeunes

Employer un salarié saisonnier est un avantage pour vous, mais aussi pour lui. Généralement, il s’agit de jeunes étudiants ou même lycéens qui postulent pour ce type d’emploi. Ils cherchent à se faire un peu d’argent de poche ou bien à continuer à subvenir à leurs besoins durant l’été. C’est donc l’occasion de faire d’une pierre deux coups. Non seulement, il aura un revenu fixe pendant 2 ou 3 mois, mais il pourra vous aider au quotidien. En plus de cela, c’est une occasion pour lui de découvrir un secteur parfois qu’il ne connaît pas et d’acquérir des compétences professionnelles qui lui seront utiles

Comment se développe le secteur de l’internet des objets ?

En quelques années, les objets connectés sont omniprésents sur la planète. Que ce soit des enceintes avec assistant vocal, des robots ou encore nos smartphones, ils font partie du quotidien des consommateurs. Et se définissent comme l’internet des objets. Ce secteur ne cesse d’évoluer et provoque des tensions entre entreprises et consommateurs qui doivent s’adapter à cette présence. 

L’IoT, un secteur vaste qui fascine

L’internet des objets ou IoT (Internet of Things), est un domaine qui se popularise et se définit comme une « infrastructure mondiale pour la société de l’information. Il permet de disposer de services évolués en interconnectant des objets (physiques ou virtuels) grâce aux technologies de l’information et de la communication interopérables existantes ou en évolution » selon l’Union internationale des communications. Même si en général, il concerne plutôt les objets connectés, le domaine n’est pas défini par des lignes claires, ce qui entraine plusieurs interprétations. Il est donc possible d’inclure d’autres éléments que les objets connectés.

Ainsi, tout ce qui est relatif à Internet et qui possède une utilisation propre peut s’inclure dans ce domaine. Cette définition reste floue et implique que les applications, les objets connectés, mais aussi tout ce qui a un lien avec internet et qui est connecté au réseau à plusieurs éléments se placent dans cette catégorie. Même si on a tendance à cantonner l’internet des objets aux smartphones et aux enceintes avec assistant vocal, par exemple, la domotique fait aussi partie de l’IoT. Le secteur est réellement vaste et tous les domaines en profitent.

Un développement dans tous les secteurs

Le secteur de l’internet des objets connaît une véritable croissance grâce aux objets populaires que les consommateurs achètent au quotidien. Les marques comme Samsung, Apple ou encore Google ont inventé de plus en plus de produits dits « révolutionnaires ». Le nombre d’objets connectés a déjà dépassé le nombre de personnes sur terre mais selon Samuel Ropert, un expert en Internet des objets, il serait possible d’atteindre 40 milliards d’objets connectés à l’horizon 2030. Comme quoi, le secteur vise une totale expansion et s’il devient tellement porteur c’est aussi grâce à son développement dans de nombreux domaines.

Généralement, tout le monde pense que les objets connectés ne concernent que les consommateurs, mais en réalité, ils se trouvent aussi dans les hôpitaux, par exemple. En réalité, ces technologies s’installent aussi à l’hôpital que ce soit avec la surveillance des patients, les logiciels de traitement mais aussi les intelligences artificielles qui accompagnent les chirurgiens. Le but est de concevoir des outils qui aident les médecins comme les patients. L’internet des objets se généralise et il permet de faire avancer la science tout comme d’autres domaine qui sont l’industrie, l’automobile ou même l’administration…

Une tendance chez les consommateurs, mais aussi dans les entreprises

Le secteur se développe pour créer de nouvelles technologies. En réalité, l’on pense que les consommateurs sont les premiers acheteurs d’objets connectés, mais avec la santé, les entreprises médicales sont les pionnières dans ce domaine. Finalement, l’internet des objets est d’autant plus représenté dans le B2B pour que les entreprises progressent à l’aide de nouvelles technologies. Certes les consommateurs sont émerveillés par les nouveaux bijoux des GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) mais les entreprises en ont un besoin impératif. Elles représenteraient 95% du marché alors que les consommateurs seulement 5%, selon Gartner (une entreprise américaine spécialisée en nouvelles technologies).

Mais si finalement les entreprises utilisent l’internet des objets c’est aussi pour servir d’autant mieux le consommateur. À travers des logiciels ou même des objets connectés qu’elles vendent, elles récupèrent des données pour comprendre le comportement des consommateurs. À travers ces big data que possèdent les entreprises, des analyses sont élaborées pour guider le consommateur dans ces achats.

Faire face au stockage des données personnelles

Le secteur de l’internet des objets fascine mais les consommateurs le trouvent de plus en plus inquiétant. Puisque finalement tout devient possible et réalisable et que les entreprises collectent les données, les utilisateurs sont peu rassurés. Un secteur comme celui de l’IoT nécessite une totale sécurité des données personnelles, pour éviter que les marques traquent les consommateurs sur leurs attentes ou bien que leurs données soient piratées. Même si l’internet des objets connaît un véritable engouement, les entreprises vont devoir faire face au règlement général de la protection des données (RGPD). Ce règlement européen qui entre en vigueur le 25 mai 2018 pourrait bien engendrer des difficultés pour les experts de l’IoT. Les entreprises auront pour obligation de regrouper les données, de les effacer si le consommateur le souhaite et surtout de les sécuriser. Un travail de titan qui pourrait bien faire un peu d’ombre au secteur de l’internet des objets.

Les objets connectés fascinent de plus en plus de consommateurs et les entreprises sont les pionnières à considérer leur impact comme majeur. Le secteur est une place en or où il ferait bon d’investir dans les prochaines années. Les dépenses liées à l’IoT devraient avoisiner les 772 milliards de dollars cette année, ce qui prouve que le secteur est en pleine expansion. Presque toutes les entreprises sont concernées et vont vouloir se diriger d’ici peu vers une totale connectivité et digitalisation.

Croire en soi, c’est réussir

Quand l’« efficacité subjective » est plus importante que l’« efficacité objective ». Spécialiste en psychologie sociale de la communication, Miruna Radu, titulaire de la Chaire Entrepreneuriat Familial et Société à AUDENCIA Business School, intervient en tant qu’experte dans le champ de l’entrepreneuriat en France et à l’international. Ses travaux les plus récents concernent la transmission, le leadership et le mentorat des entreprises familiales.

« C’est en bonne partie sur la base des croyances d’auto-efficacité que les individus choisissent quels buts poursuivre, combien d’efforts dépenser, combien de temps continuer à persévérer face aux difficultés, quel niveau de stress et de découragement être prêts à subir face aux difficultés et aux échecs » (Bandura, 1989)

Faut-il croire en soi pour réussir ?

Ne serait-il pas plus rationnel de se dire que les compétences suffisent pour avoir du succès, quelles que soient nos croyances les concernant ? Et pourtant, il ne suffit pas de pouvoir faire, encore faut-il croire en sa capacité de faire et s’y investir de manière concrète et systématique, pour que ce qui n’était que potentialité devienne réalité… Oui, il faut croire en soi pour réussir, il faut croire en soi pour entamer la route qui mène vers la réussite, et il faut toujours et encore croire en soi pour poursuivre cette route face aux dangers, aux obstacles et aux échecs.

Toutefois, pendant longtemps, les chercheurs ont étudié les comportements humains dans une perspective béhavioriste, toute action étant analysée comme le résultat d’une influence extérieure, d’un stimulus provenant de l’environnement. Ce n’est qu’à partir des années soixante-dix que cette conceptualisation non agentive de l’être humain a été remplacée par une perspective sociocognitive qui envisage désormais chaque individu comme un « agent d’expériences », exerçant sa force créative et transformatrice sur le monde et sur sa propre vie. Désormais, aussi bien la construction de soi que les comportements sociaux sont interprétés comme les résultats des buts que chacun choisit de poursuivre pour s’épanouir et atteindre ses objectifs.

Renforcer sa confiance en soi est indispensable pour entamer un projet de création

Les chercheurs ont démontré que le niveau d’estime de soi joue un rôle modérateur dans le choix des buts, une estime de soi élevée conduisant les individus à choisir des buts ambitieux, alors qu’une estime de soi faible serait responsable d’une préférence pour les buts modestes. En outre, le genre exerce un fort impact sur le choix des buts, les hommes choisissant des buts plus ambitieux que les femmes.

Des renseignements précieux pour les femmes et les hommes qui désirent entreprendre : renforcer sa confiance en soi c’est indispensable pour entamer un projet de création et, pour les femmes, il faut veiller à ce que leurs buts soient aussi ambitieux que ceux des hommes.

Si certains hommes et femmes choisissent des « buts de performance » pour confirmer leur excellence, d’autres visent plutôt des « buts d’apprentissage » pour acquérir de nouvelles connaissances ou aptitudes. De nombreuses études indiquent que ceux qui favorisent les buts d’apprentissage aiment les défis, n’ont pas peur de l’échec, se lancent dans des activités difficiles et s’exposent à des situations à risque pour progresser. à l’opposé, ceux qui préfèrent des buts de performance ont souvent peur d’échouer, aiment les activités qu’ils estiment à leur portée, et sont préoccupés par le jugement des autres.

Il semble que les premiers envisagent les capacités personnelles comme mobiles et transformables par l’effort personnel, alors que les seconds les envisagent comme immuables et donc impossibles à renforcer. Une recherche de Wood et Bandura (1989) a démontré que dans une situation difficile les entrepreneurs qui croyaient que la prise de décision est une aptitude modifiable avaient une confiance en soi supérieure à ceux qui pensaient que la prise de décision est une aptitude fixe. Les premiers ont choisi des buts plus ambitieux et ont mis en place des stratégies de résolution de problèmes efficaces, alors que les derniers ont montré une confiance en soi faible face aux problèmes, ont réduit progressivement leur niveau d’aspiration et ont échoué dans la mise en œuvre de stratégies de redressement adaptées.

Sans confiance en soi, il n’y a ni entrée dans l’action, ni persévérance face aux défis, ni rebondissement après l’échec

En effet, la confiance en ses capacités d’accomplir avec succès une action (auto-efficacité ou « efficacité subjective ») a un impact décisif sur le choix des buts, leurs planification et implémentation, ainsi qu’en termes d’efforts dépensés pour les atteindre. Celui qui réussit est souvent celui qui croit en sa capacité de réussir et non seulement celui qui a « objectivement » la capacité de le faire. Car, sans confiance en soi, il n’y a ni entrée dans l’action, ni persévérance face aux défis, ni rebondissement après l’échec…

Cela a été confirmé par les études sur la prise de risque en situation d’incertitude. Krueger et Dickson (1994) ont démontré que les entrepreneurs ayant une efficacité subjective forte envisageaient les risques comme des opportunités stimulantes, tandis que ceux ayant une efficacité subjective faible désiraient éviter les situations perçues comme risquantes. Hypothèse validée également dans le cas des innovateurs, dont la probabilité de lancer une nouvelle entreprise est d’autant plus élevée que l’efficacité subjective est forte (Markman et Baron, 1999).

Pour un entrepreneur ambitieux, une efficacité subjective forte lui permet d’atteindre le but visé

L’ auto-efficacité permet de prédire les intentions comportementales, ainsi que les comportements effectifs (Ajzen, 1985). Lorsqu’un entrepreneur poursuit un but ambitieux, une efficacité subjective forte lui permet de se mobiliser et d’agir pour atteindre le but visé. Car le comportement est préparé et imaginé avant d’être réellement effectué, les croyances d’auto-efficacité jouant un rôle majeur dans l’élaboration des « scénarios sur l’avenir» que les individus construisent avant et pendant la poursuite des buts.

Les entrepreneurs qui ont des croyances d’auto-efficacité élevées élaborent en anticipation des événements futurs des scénarios de succès, alors que ceux qui se croient incapables de mener à bien une certaine tâche ou d’accomplir une certaine action diminuent leurs chances de réussite à travers la construction mentale de scénarios d’échec. Des recherches ont montré que les simulations cognitives conduisant les individus à visualiser des scénarios de succès ont un impact positif sur les performances ultérieures. Enfin, la capacité à rester focalisé sur la tâche et à affronter l’échec dépend de l’auto-efficacité. Dans le domaine des décisions professionnelles, l’auto-efficacité influence les choix occupationnels, la persévérance dans la poursuite des objectifs, le changement organisationnel, la créativité, la productivité et la satisfaction au travail.

L’impact des croyances d’auto-efficacité sur les comportements à travers des processus cognitifs, motivationnels et affectifs a été confirmé dans de nombreux types de contextes (scolaires, professionnels, sportifs, de santé, etc.) et à un double niveau (individuel et collectif). La force prédictive de l’efficacité subjective est considérable, à la fois en termes de performances effectives et de bien-être. Son rapport fondamental aux buts l’indique comme étant l’une des dimensions les plus importantes à prendre en compte pour stimuler la confiance en soi et la persévérance face aux obstacles.

Penser au destin de la confiance en soi

Au-delà du travail de développement des compétences entrepreneuriales, il faut donc penser au destin de la confiance en soi. En effet, il faut effectivement croire en soi pour réussir, et réussir à sa manière, en affirmant sa différence et l’unicité de son regard. Et la croyance en sa propre capacité de faire sera à chaque fois plus importante pour la réussite que la capacité effective de faire, mesurée par un regard extérieur « objectif ». Pour se lancer dans l’aventure, il faut croire en soi et y puiser du courage, de la ténacité et de l’ambition. Aucun regard extérieur ne sera en mesure de remplacer la confiance en soi, comme aucun regard extérieur ne pourra l’ébranler définitivement si elle est accompagnée par le désir profond d’accomplissement de soi.

Article par Miruna Radu

Ces entreprises qui devraient révolutionner le quotidien

Au quotidien, tout le monde essaye de trouver des solutions pour résoudre des petits problèmes parfois sans importance. Des gadgets se développent et attirent de plus en plus de curieux, au point que certains concepts deviennent très populaires. Dans quelques années, ils disparaîtront à cause de leur performance ou bien, ils révolutionneront le quotidien de chacun en s’installant dans les habitations. Ces entreprises ont cherché à révolutionner et digitaliser et les appartements ou bien à satisfaire les fainéants et les personnes pressées.

DGMK et son miroir digital, Dirror

L’entreprise allemande DGMK basée à Berlin a conçu un objet qui devrait bientôt révolutionner le quotidien de chacun. Les écrans se trouvent partout même dans les miroirs. Ce concept intitulé Dirror consiste à utiliser le miroir comme un écran digital avec toutes ses fonctionnalités. Malgré l’existence des télévisions miroirs, celui-ci est différent puisqu’il est interactif et se définit comme une tablette géante dans votre salon. L’entreprise possède déjà des partenariats avec les plus grands comme Spotify ou encore Sonos. Les utilisateurs pourront s’en servir au quotidien. Son prix reste tout de même peu abordable pour le moment, il varie de 970 à 2000 euros en fonction de la taille du miroir.

Kineti et sa table basse

Dans le même concept que Dirror, l’entreprise Kineti Technologies a fait le choix de développer un meuble connecté. Les écrans sont donc voués à envahir notre quotidien et nos habitations. L’entreprise française a présenté sa table basse connectée en septembre 2017 à l’IFA (Internationale Funkausstellung Berlin) qui s’avère être le petit CES berlinois. La table possède en son cœur, un ordinateur recouvert d’un verre très épais. Vous avez donc peu de risques d’endommager le meuble en renversant un verre de vin ou autre. La technologie s’installe désormais dans tous les meubles de la maison. Même si peu de personnes en profitent pour le moment, ce type d’objets est voué à se développer dans les prochaines décennies. La technologie sera donc à portée de main dans le salon.

Le frigo de Panasonic

Même si la technologie s’installe véritablement dans le quotidien depuis plusieurs années, les fondamentaux comme le frigidaire sont encore incontournables. Mais des entreprises s’y intéressent aussi pour en faire des innovations. C’est le cas de Panasonic, avec son frigo-robot qui se déplace tout seul dans la maison. Même si lors de sa présentation en septembre 2017, il ne s’agissait que d’un prototype, le concept reste futuriste et pertinent pour les industries. Le frigo se déplace donc seul à l’aide d’une commande vocale de la part de son propriétaire et évite tous les obstacles de la maison. Il y a tout de même de quoi devenir fainéant.

Le galet anti-ronflements de Smart Nora

Tout le monde a déjà vécu l’enfer des ronflements de quelqu’un, particulièrement les couples qui se plaignent régulièrement de leur conjoint et de ses ronflements. Pour répondre à ce calvaire vécu par tous, la start-up Smart Nora Inc. a fait le choix de développer un galet qui révolutionne le quotidien de tous les ronfleurs et leur compagnon. À l’aide d’une poche et d’un gonfleur, le galet détecte les ronflements et transmet le signal au gonfleur pour remplir la poche sous l’oreiller. Cette technologie permet de déplacer la tête du dormeur et ainsi de solliciter ses muscles de la gorge qui arrêtent automatiquement les ronflements. Une vraie révolution pour beaucoup de couples. Il en coûtera tout de même 299 euros pour avoir accès à cette technologie.

Pistache qui incite les enfants à faire les tâches quotidiennes

Développée par Appinest, Pistache est une application destinée aux enfants. Mais elle révolutionne aussi bien l’éducation que la vie des parents et celle des enfants. À travers, cette plateforme éducative, les petites têtes blondes sont poussées à réaliser des missions en rapport avec les tâches du quotidien. Finalement, ranger, faire son lit, mettre la table devient littéralement un jeu d’enfant. Ils apprennent simplement à faire des tâches du quotidien tout en s’amusant, une fois les missions réalisées, ils obtiennent des clés qui délivrent des récompenses comme des jeux ou des vidéos ludiques. Le concept satisfait les grands comme les petits pour révolutionner un quotidien parfois rempli de crises et caprices.

Smart Duvet Breeze et sa couette

Parfois monopolisé par le travail, la famille ou bien tout simplement la vie, certains se laissent aller au niveau du rangement, au point que ne pas faire son lit est devenu commun. Une start-up canadienne a fait le choix de résoudre ce petit oubli de tous les jours. Pour que le lit soit fait chaque jour, elle a développé une couette qui peut se remplir automatiquement d’air sur commande. À l’aide de l’application vous pouvez donc programmer une heure pour qu’elle se remette en place toute seule. La start-up Smart Duvet a même conçu des réglages pour ajuster la température de chaque côté de la couette, pour un confort optimal destiné aux couples. Ce gadget réjouira tout de même plus d’un fainéant ou d’un frileux.

La plupart de ces concepts vont sûrement se démocratiser d’ici les dix prochaines années. Mais avec toutes ces technologies à portée de main, l’humain ne deviendrait-il pas fainéant ? La question reste entière. Tout pourra bientôt être contrôlé à distance et les applications interviennent désormais dans l’éducation des enfants. Alors même si ces avancées fascinent, devraient-elles inquiéter tout autant ?

Comment tester son offre et/ou son service ?

Que ce soit en phase de création ou de développement de son activité, il est impensable de lancer un nouveau produit ou service sans en avoir vérifié le potentiel. Dans ce cadre, l’étude de marché doit permettre à l’entrepreneur de valider la faisabilité de son projet auprès de possibles clients, au moyen de différentes méthodes, et d’effectuer le cas échéant les changements de direction nécessaires. Comment tester son offre et/ou son service ? Focus sur les outils à votre disposition.

Avant de soumettre son idée

Avant de partir à la conquête de clients potentiels pour leur soumettre son projet, il est primordial de passer par plusieurs étapes préparatoires pour obtenir une analyse la plus juste possible. En effet, l’entrepreneur doit établir son questionnaire d’enquête, en s’assurant que celui-ci permette bien de recueillir toutes les informations souhaitées, et ce de manière claire (questions fermées, ouvertes, à choix multiple…). La seconde phase consiste à déterminer l’échantillon représentatif destinataire du sondage. Ensuite pourront alors être envisagées les différentes méthodes pour l’administrer (enquête de terrain, entretien téléphonique, internet…), tenant compte de du temps, du budget et des compétences de l’entrepreneur. A noter que ce dernier peut choisir entre un mode unique ou plusieurs.

L’enquête de terrain

Grand classique, l’enquête de terrain est la méthode idéale et largement déployée par les entrepreneurs envisageant de lancer une activité de proximité. En effet, celle-ci est particulièrement adaptée pour confronter son idée en face à face à un public local, départemental voire régional. Outre les avis récoltés sur le projet, elle est aussi un moyen de se faire connaître voire d’obtenir des contacts. Cependant, elle peut s’avérer compliquée et nécessiter un accompagnement si l’entrepreneur n’est pas à l’aise dans l’exercice de la prise de la parole.

L’entretien téléphonique, un moyen chronophage

Alternative possible, l’entretien téléphonique peut aussi être réalisé par l’entrepreneur lui-même, et permet de couvrir un échantillon plus large sur le territoire. La méthode, moins directe, présente néanmoins l’inconvénient que beaucoup de personnes n’apprécient pas d’être sollicitées par téléphone, et les risques de refus peuvent donc être importants.

Le courrier et le fax, des moyens obsolètes

Le courrier et le fax sont des ancêtres qui paraissent peu adaptés au monde d’aujourd’hui. En effet, les frais d’envoi sont onéreux par rapport à d’autres moyens, pour des taux de retour faibles. Ils restent toutefois utilisés dans des cas bien particuliers, notamment si la mission a été confiée à un institut spécialisé.

Le sondage sur internet, un outil indispensable

Plus dans l’ère du temps, on peut estimer que les enquêtes administrées via internet ont remplacé en grande partie le courrier et le fax. En effet, la méthode présente de sérieux avantages. Tout d’abord, grâce au web, il n’est plus nécessaire de dépouiller les questionnaires et d’en saisir les résultats, via un logiciel spécifique acquis spécialement pour le traitement de ces données. Un gain de temps et d’argent donc.
Dans ce cadre, il existe deux variantes possibles. L’entrepreneur peut réaliser le sondage par lui-même, en s’appuyant sur les solutions gratuites comme Docs.google.com ou Mon-enquete-enligne.fr par exemple, ou faire appel à un institut spécialisé comme Survey Monkey. Le principal intérêt de prendre l’attache d’un professionnel est qu’il dispose de panels de répondants qualifiés, alors qu’en opérant par lui-même, l’entrepreneur peut vite se rendre compte que le moyen repose sur un réseau d’importance et une communication spécifique pour diffuser le questionnaire vers le public cible.

Le test et la réunion de consommateurs, une remise en question nécessaire

Enfin, toujours via l’attache d’un professionnel, l’entrepreneur peut valider son idée par le biais de tests ou de réunions de consommateurs. Dans le premier cas, il s’agit de faire essayer le produit à un individu seul ou en groupe, puis de recueillir les impressions. Dans le second, aussi appelé groupe de parole, il s’agit de réunir plusieurs personnes et de les faire échanger sur un service, un thème…

Comment financer votre restaurant ?

Ouvrir un restaurant implique de dépasser les idées reçues qu’il suffit d’un bon cuisinier et de bonnes idées et le tour sera joué. Les finances et les réglementations sont des obstacles qu’il est impossible de contourner. Avant de vous engager sur le chemin de la restauration, mesurez avec justesse tous les paramètres. Il existe plusieurs seuils financiers à ne pas franchir et d’autres à atteindre afin de ne pas mettre la clef sous la porte.

Construisez votre budget

Pour établir le plan de financement initial de votre restaurant, commencez par cataloguer toutes les dépenses consacrées aux « investissements de départ » à ne pas confondre avec vos « charges d’exploitation ». Cela vous permettra de vous rendre compte du coût précis de votre projet. Ces dépenses comprennent les frais d’établissement (honoraires, frais d’actes et d’immatriculation de votre entreprise), la première publicité (le budget publicitaire pour le lancement d’un restaurant représente en moyenne 4% du chiffre d’affaires prévisionnel), le pas-de-porte ou droit au bail, les travaux d’aménagement, les achats de matériel, d’équipements de cuisine, de mobilier de salle, les dépôts et cautionnements (loyers en garantie) ou le stock moyen de marchandises et de boissons qui sera nécessaire en permanence.

Établissez un plan de financement

Lorsque vous connaîtrez le coût initial de votre projet, vous pourrez alors envisager de le financer par un apport personnel, un emprunt bancaire, un crédit-bail mobilier, etc. Le montant des investissements de départ s’élève à près de 300 000 euros pour un restaurant créé sans reprise. En réalité, les banques interviennent rarement au-delà de 60% des besoins durables. Sachez que l’accord de prêts est plus simple si vous justifiez d’une expérience réussie dans le secteur et des diplômes correspondants, si vous apportez des preuves de compétence en management d’équipe, si vous défendez la crédibilité du projet avec une étude de marché et un plan de financement, si vous avez déjà constitué un apport de l’ordre de 40% des besoins durables exprimés, si vous bénéficiez d’un réseau d’accompagnement (CCI, association Entreprendre…) ou d’un prêt d’honneur (PCE, Adie, etc.).

Élaborez votre compte de résultat prévisionnel

En plus de l’établissement de votre plan de financement initial, examinez attentivement toutes les charges et recettes prévisionnelles auxquelles vous devrez faire face dès l’ouverture de votre restaurant. Cela vous permettra de réaliser le compte de résultat prévisionnel et ainsi, de calculer votre « point mort » (le chiffre d’affaires minimal à réaliser pour couvrir l’ensemble de vos charges).
Aisément mémorisables, les charges fixes sont certaines et prédéterminées. Il s’agit du loyer, de la quittance d’assurance, des salaires fixes du personnel permanent mais également de la dotation annuelle aux amortissements. Les charges variables dépendent de l’achat de produits alimentaires et de boissons, des frais de blanchissage, des « extra », etc.
Pour fixer un chiffre d’affaires prévisionnel, vous devrez recouper différentes données (statistiques nationales et locales de la profession, observations de terrain, évaluation de la concurrence, etc.) en tenant compte de la rotation de la clientèle qui peut différer de 0,8 à 3 couverts par jour et par place. Pour une saine gestion de votre restaurant, le coût total des matières premières et l’ensemble des rémunérations ne doivent pas dépasser 70% de votre chiffre d’affaires.

Respectez les ratios du métier

À titre référentiel, voici huit ratios indispensables d’une bonne gestion :

  1. Le loyer ou coût d’occupation ne doit pas dépasser 10% du chiffre d’affaires.
  2. Les achats de matières premières doivent s’élever à 30% maximum du chiffre d’affaires.
  3. Les frais de personnel ne peuvent excéder 30% du chiffre d’affaires.
  4. Comptez 2% du chiffres d’affaires en matière de coulage (perte/casse)
  5. Les charges de personnel, les matières consommées et les marchandises constituent 70% du chiffre d’affaires.
  6. La marge brute représente 70% du chiffre d’affaires.
  7. Concernant le budget de promotion, 4% du chiffre d’affaires sont nécessaires pour le lancement et 1% à 2 % pour le développement.
  8. Pour le résultat net après impôt, le chiffre idéal à atteindre dans les trois ans correspond à 10% du chiffre d’affaires.

Attention : Avant de trouver de l’argent, évitez d’en perdre en suivant scrupuleusement les normes d’hygiène et de sécurité !

Plus que dans les autres secteurs, la restauration est soumise à des règles d’hygiène très contraignantes. Pour toute création, reprise ou transformation d’un restaurant, une déclaration doit être effectuée auprès de la direction départementale en charge de la protection des populations (DDPP) avant l’ouverture de l’établissement.
Cette déclaration est obligatoire pour permettre au service Hygiène et sécurité alimentaire de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) de programmer les visites de contrôle sanitaire : la 1e a lieu après l’ouverture de l’établissement, et les contrôles suivants sont programmés à échéances régulières ou effectués de façon inopinée.
Si vous ne voulez pas avoir de problèmes, conformez-vous à l’arrêté du 9 mai 1995 sur l’hygiène des aliments remis directement au consommateur http://www.legifrance.gouv.fr/. Ce respect est d’autant plus impératif que l’inspection des services d’hygiène effectue des contrôles. La présence d’une personne formée à l’hygiène alimentaire dans l’établissement est impérative. En cas d’infraction, les sanctions vont de l’amende à l’emprisonnement, en passant par la fermeture pure et simple de l’établissement ! Aussi, pour ouvrir votre restaurant dans la légalité, rapprochez-vous des organismes professionnels, qui ont réalisé un « guide de bonnes pratiques d’hygiène du restaurateur ».
Classé ERP (établissement recevant du public), votre restaurant devra également respecter des normes de sécurité contre les risques d’incendie et de panique en cas d’évacuation (matériaux, issues de secours…). Si vous faites exécuter des travaux de construction, de transformation ou d’aménagement, soumis ou non à un permis de construire, vous devrez adresser au maire un dossier de demande d’autorisation de travaux ou de permis de construire selon le cas. Autant dire que ces règles de sécurité vont conditionner votre projet. Vérifiez avant de le choisir que votre local est bien compatible avec les contraintes sécuritaires imposées par votre activité de restaurateur. Si ce n’est pas le cas, prenez en compte, dans votre plan de financement, les travaux d’adaptation qui seront nécessaires.

Vous devez vous y préparer, la restauration dégage une faible rentabilité nette de 2% en moyenne. Pour cette raison, vous comprendrez facilement qu’une gestion rigoureuse de votre établissement s’impose, si vous ne voulez pas confronter votre chiffre d’affaires au coulage et votre restaurant…à la noyade !

Comment gérer un salarié dépressif ?

Gérer un collaborateur dépressif laisse souvent les managers désarmés. A la suite de difficultés personnelles ou professionnelles, un salarié peut devenir dépressif et rendre complexe le travail des équipes. Pour faire face cette situation particulièrement délicate, voici quelques pistes pour vous aider vous et votre salarié à traverser cette passe difficile. 

La dépression chez le salarié, difficile à vivre pour l’entreprise

Elle reste compliquée à déceler pour le manager ou l’équipe, les symptômes sont fort nombreux et peuvent différer d’une personne à une autre. Un salarié préférera camoufler sa dépression mais certains signes sont révélateurs et peuvent vous alerter. Le plus souvent, ils se caractérisent par l’isolement, une démotivation, une tristesse permanente même si les circonstances prêtent à l’optimisme. Le salarié doit être pris en charge et nécessite de lui porter une attention bienveillante et d’essayer de lui apporter l’aide indispensable afin que son état n’empire.

La dépression s’avère être difficile à vivre et l’entreprise pâtit aussi de la situation et souvent les collègues se voient attribuer des tâches qui lui reviennent et ont du mal à supporter une personne perpétuellement pessimiste. Plus de 10 000 maladies psychiques ont été reconnues comme accident du travail en 2016. Elles ne sont pas toujours liées au travail, mais elles ont pour conséquence un impact pour l’entreprise en matière d’absentéisme, d’arrêt maladie, d’influence négative sur les équipes ne savent pas toujours gérer cette maladie. Etre attentif à ses salariés reste un des points primordiaux car ils doivent pouvoir se confier en cas de malaise et de difficultés au travail.

Dans le cas d’une dépression, l’employeur a obligation de se soucier de son salarié et ne peut rester passif face à une telle situation. Il est responsable de ses collaborateurs devant la loi et ne prendre aucune mesure pour aider le salarié peut donc lui porter préjudice. On peut l’accuser de laxisme et d’inhumanité et l’ambiance de l’entreprise peut devenir délétère. Il s’agit alors de remettre en question l’environnement de travail car même si la dépression a pour source un motif personnel, elle peut être liée ou aggravée parles relations   avec les autres salariés, la pression, les missions difficiles et autres. Tous ces facteurs jouent un rôle crucial dans le développement d’une maladie psychique. Cependant attention, l’entreprise n’a pas un rôle de spécialiste ou de psychologue, il est donc impératif d’amener le salarié à consulter un professionnel. N’hésitez pas à lui conseiller de le faire. Même si l’humeur et la dépression de votre salarié semblent futiles à vos yeux, il ne faut pas les prendre à la légère.

Comment aider son salarié ?

Bien entendu, en tant qu’employeur vous n’êtes pas qualifié pour gérer une dépression, le salarié se doit tout de même d’être accompagné et écouté. Pour reconnaître des symptômes précurseurs d’un tel mal-être, la proximité avec vos équipes reste primordiale. Une bonne connaissance des salariés permet de déceler des comportements révélateurs de la dépression. N’hésitez pas à questionner l’équipe sur l’attitude du salarié possiblement dépressif. Une fois repérée, communiquer directement avec le salarié reste la meilleure des solutions. Les questions peuvent porter sur le moral, les difficultés encourues au travail ou encore les problèmes personnels s’il le souhaite. Un salarié dépressif fera rarement état de sa dépression directement auprès de son employeur, elle doit être décelée et requiert une attention empathique.

Si le dialogue ne se crée pas, un collègue apprécié par la personne aura peut-être plus de facilité à déceler les problèmes. L’abord d’un sujet comme celui-ci s’avère compliqué et le salarié ne doit pas être pris en pitié ou encore culpabilisé. Des conseils s’appliquent par la suite, comme consulter un professionnel directement à l’aide de la médecine du travail, d’une assistante sociale ou encore dans le cadre privé. Il s’agit de fournir les meilleures options pour votre collaborateur sans le brusquer. Par la suite, il reste préférable de lui donner un peu de repos et avec une consultation psychologique régulière, la guérison sera plus aisée. La dépression se caractérise comme une longue maladie pouvant durer des mois, voire plus. Se séparer de son salarié durant une telle période, à cause d’un arrêt maladie, reste impossible à entrevoir pour l’entreprise. La meilleure des solutions reste de se focaliser sur une période de congé et si votre salarié est pris en charge régulièrement, la dépression sera plus simple à vivre pour lui et pour votre entreprise. Il s’agit juste d’avoir les clés pour le manager durant cette période.

Comment manager un salarié dépressif

La dépression étant un processus lent, le salarié doit généralement faire face à sa maladie dans son environnement de travail. Pour cela, l’employeur doit trouver une solution pour gérer le salarié sans l’empêtrer dans sa dépression. Le point essentiel d’une gestion de la maladie passe toujours par la communication. Faites-en sorte que l’équipe entière puisse manifester de l’attention au salarié, qu’il se sente écouté par ses collègues et ses supérieurs. En ce qui concerne les taches et les missions, il reste préférable de donner des missions sans deadline, n’engendrant pas de pression auprès du salarié. Il s’agit tout de même de lui fournir des tâches intéressantes et captivantes pour son poste. S’il est désintéressé de son emploi et en dépression, il n’arrivera pas à progresser. L’essentiel est d’essayer de garder une productivité tout en aménageant les activités du salarié. Ceci permettra d’éviter de rencontrer des difficultés à la suite de la dépression de votre salarié, pouvant le culpabiliser par la suite.

Souvent très longues, les maladies psychiques d’envisager des options, comme celle du télétravail ou d’un emploi à mi-temps. Le fait d’être au plus près de son environnement personnel l’aidera à guérir plus simplement. Ce type de situation reste très difficile à appréhender dans le cadre de l’entreprise, mais elle nécessite d’être jugée avec sérieux. Vous pouvez aussi pour mieux appréhender la situation le site souffrance & travail de Marie Pezé, sur la souffrance au travail qui vous donnera des clefs pour trouver les meilleures solutions.

Faut-il embaucher un stagiaire en CDI à la fin de son stage ?

Ah le stagiaire parfait, toutes les entreprises en rêvent, quand il est là, on aimerait bien ne plus le lâcher. Poursuivre sur un CDI après un stage se fait assez régulièrement pour les étudiants en dernière année d’études. Bien entendu le stagiaire à son mot à dire, mais ça peut-être une solution intéressante pour l’entreprise et pour le stagiaire. 

Ce qu’il faut savoir légalement

Embaucher un stagiaire à la fin de son stage implique de connaître les réglementations pour son contrat de travail. La loi possède des dispositions particulières seulement si l’embauche a eu lieu dans les 3 mois qui suivent le stage. Sinon le stagiaire devient seulement un salarié « normal ». Dans l’imaginaire collectif, la poursuite d’un stage sur un CDI n’engage pas de réglementations et pourtant des éléments nécessitent d’être retranscrits, surtout en ce qui concerne la période d’essai. Il bénéficie en effet d’une réduction de celle-ci, selon des critères bien spécifiques. La réduction s’applique seulement de moitié, si le stagiaire n’est pas embauché pour le même poste, sauf selon des dispositions conventionnelles ou collectives. Par ailleurs, s’il pratique les mêmes tâches que lors de son stage, il bénéficie d’une réduction intégrale de la période d’essai. Si le stagiaire par exemple a effectué un stage de 4 mois, et qu’il poursuit sur un CDI pour le même poste, les 4 mois seront déduits intégralement de la période d’essai fixée par le contrat de travail.

Bien entendu, une fois devenu salarié, l’ancien stagiaire bénéficie des mêmes droits que ses collaborateurs mais en matière d’ancienneté, la période de stage effectuée est prise en compte. Son statut de salarié est reconnu lors de la signature du contrat à durée indéterminée mais il a déjà de l’ancienneté par rapport à un premier emploi dans l’entreprise. S’il s’avère utile de connaître les réglementations avant de se lancer mais il vaut mieux tout d’abord se poser les bonnes questions et réfléchir à la situation.

Que faire avant de prendre la décision ?

– Évaluer ses qualités de travail

Si les salariés sont la plupart du temps recrutés à la suite d’un entretien, la situation de votre stagiaire/futur salarié est bien différente. Certes, il a eu un entretien mais l’objectif était concentré sur son stage alors que cette embauche a d’autres objectifs. Dans l’ensemble, son expérience dans l’entreprise a beaucoup plus de valeurs qu’un entretien de motivation. Avant votre décision renseignez-vous tout de même sur son assiduité, son ambition et ce que pense son tuteur de son travail. Avec ces éléments, vous serez d’autant plus rassuré sur sa qualité à bien travailler.

– Savoir s’il est bien intégré

Dans un second temps, après s’être renseigné sur ses qualités de travail, il est important de comprendre son implication et ses relations avec le reste de l’équipe. Il peut être accepté au sein du groupe en tant que stagiaire, mais peut avoir des difficultés à s’intégrer par la suite en tant que membre à part entière d’une équipe. Pour éviter cela, pourquoi pas se renseigner auprès de ses collaborateurs pour savoir ce qu’ils pensent de son intégration et s’ils pourraient le voir en tant que salarié. Tentez tout de même de rester neutre et de ne pas trop éveiller la curiosité des salariés sur le sujet. Mais avant d’embaucher un stagiaire, il est toujours préférable de savoir s’il est bien intégré, autant pour lui que pour vos salariés.

– Est-il professionnel ?

Faire évoluer un stagiaire vers un poste en CDI engendre automatiquement plus de responsabilités et pour cela, il faut s’assurer qu’il est professionnel. Le principal est donc de regarder comment il s’est comporté tout au long de son stage. Pour cela, n’hésitez pas à l’observer pour voir s’il passe du temps uniquement avec d’autres stagiaires, s’il prend son poste au sérieux, bref, voir s’il a les qualités d’un salarié en général. Même s’il s’intègre bien, le principal est de savoir s’il est suffisamment mature pour le poste que vous souhaitez lui donner.

– Quel poste lui donner à la fin de son stage ?

Une fois la personnalité de votre stagiaire cernée, il est nécessaire de déterminer le poste que vous envisagez pour lui. Faut-il qu’il garde le même poste avec les mêmes responsabilités dans un premier temps ou lui donner plus de responsabilités ? La question reste complexe, puisque pour vous, il n’est pas utile d’embaucher un stagiaire en CDI s’il y a encore des tâches qu’il ne peut pas maîtriser. Si vous souhaitez vraiment le garder, faites-lui confiance. La meilleure option, c’est qu’il garde le même poste mais avec davantage de responsabilités. Si auparavant par exemple, il n’était pas en contact avec les clients, vous pourriez lui faire confiance pour quelques-uns.

– Avoir un entretien explicite

Bien entendu, la dernière étape consiste à parler directement avec le stagiaire. Une fois la réflexion faite, vous aurez tous les éléments pour savoir quoi faire. Au sein d’une conversation, évoquez votre satisfaction et vos attentes. Le principal est qu’il soit vraiment à l’aise pour que la franchise soit de mise. Ensemble vous pourrez évoquer les possibilités d’évolution dans son futur poste, les avantages d’être salarié, mais aussi les petits éléments qui peuvent le chiffonner au quotidien. Si c’est la perle rare des stagiaires, il serait tout de même dommage de la perdre, tentez de trouver des propositions intéressantes ensemble pour qu’il vienne travailler chez vous. Et surtout n’oubliez pas de demander quelles sont ses intentions à court et long terme car il a peut-être en tête de faire le tour du monde d’ici peu.