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Les marques de sport, un marketing spécifique

À seulement deux semaines du lancement du mondial de football 2018 en Russie, les publicitaires du monde entier se servent du sujet pour vendre leur produit ou simplement pour faire la promotion de l’évènement. À travers les publicités d’Adidas et de Nike, les marques mettent en avant des célébrités ainsi que des inconnus pour que chacun puisse s’identifier. Les marques de sport profitent de l’événement et il faut bien le comprendre parce qu’elles établissent un lien avec leur clientèle à ce moment-là.

Le marketing par l’humain (Nike)

Pour l’instant, Nike n’a pas encore dévoilé sa publicité à l’échelle internationale pour le mondial de football, bien qu’elle ne devrait pas se faire attendre. Mais à l’occasion de la Coupe du Monde 2018, la marque de sport a fait le choix de mettre en avant le Brésil, un pays connu pour son histoire du football. Il constitue une véritable inspiration pour ce sport. Le football se pratique de manière intensive au Brésil, au sein de clubs ou même dans les rues, ce qui génère un engouement massif. Les stars mondialement connues comme Neymar, et dans le passé Ronaldinho participent elles aussi à la popularité du pays dans le monde du foot. Pour faire patienter les consommateurs et les spectateurs, Nike dévoile une publicité qui met en avant la cohésion brésilienne autour du football. À l’occasion de la World Cup 2018, il y a une volonté de montrer que ce sport reste accessible à tout le monde. Ce film vise à montrer la symbiose entre les joueurs de la jeune génération de l’équipe nationale et les inconnus qui jouent dans la rue.

Le football de rue revient régulièrement dans les messages publicitaires des grandes marques de sport particulièrement avant la Coupe du Monde. La marque souhaite faire du storytelling à travers ces images, en voulant diffuser l’idée que tout le monde peut devenir champion. Très cohérent avec son slogan « Just do it », les images défilent tout en suivant un ballon à travers les stades, les rues ou encore même au sein d’un aéroport. Une telle publicité vise à se rapprocher du consommateur en lui inculquant l’idée de réussite et à l’encourager. Au sein de la plupart de ces spots, elle ne fait pas de gros plan sur son logo ou même sur ses produits. Elle laisse le soin aux spectateurs de faire le rapprochement entre le spot et les différents produits.

Toucher le spectateur pour qu’il se sente exceptionnel (Adidas)

Sur le marché des marques de sport, Adidas et Nike s’affrontent régulièrement à travers des spots publicitaires. Le mondial de football reste une occasion pour les deux marques de faire des publicités grandioses. Si le spot officiel de la marque américaine à la virgule n’a pas encore été dévoilé, Adidas a dès à présent lancé la diffusion de sa publicité pour le mondial. Sous la forme d’un court-métrage d’une minute et trente secondes, il s’intitule « Creativity is the answer » (La créativité est la réponse, ndlr). La marque a fait le choix de faire intervenir plus de 50 célébrités. Il s’agit de sportifs, stars du football, créateurs ou musiciens, ils visent à diffuser la passion, la créativité et l’originalité à travers leur présence. Le court-métrage représente une grande fête autour d’une scène où se déroule un match de foot improvisé.

La référence au ballon rond se fait à travers plusieurs passages, où les plus grandes stars y vont de leurs commentaires tout en se passant la balle. Plusieurs célébrités sont présentes comme Zinedine Zidane, David Beckham, Pharell Williams ainsi que des stars du football. Ce spot a pour but de promouvoir la créativité et ce que chacun peut réaliser au quotidien. Durant toute la publicité, une voix off évoque à l’impératif les solutions pour booster sa créativité avec des phrases comme « Ne te contente jamais de copier » ou encore « Apporte ta touche personnelle ». Mises en avant sur un fond de musique, les phrases ont pour but d’être motivantes et créer l’envie chez le spectateur. Avec cette publicité, Adidas veut donner la parole à tous, en prouvant que chacun a les capacités de changer le monde avec un minimum de créativité. Il s’agit simplement de montrer comment le sport peut unifier les peuples et les différentes cultures. À la fin du spot, Pharell Williams tend un micro en direction du spectateur pour qu’il s’exprime à son tour. En sollicitant directement le consommateur, Adidas tente de le séduire. Contrairement à Nike, la marque met d’autant plus en avant ses produits sans pour autant en faire une promotion affichée. Il s’agit de créer un lien subtile pour rappeler qu’il s’agit tout de même d’un spot publicitaire.

Lors de la Coupe du Monde, les marques de sport restent les premières sur le devant de la scène. Sponsors des joueurs de football, elles tentent d’innover en proposant des spots énergiques. À travers des célébrités et des inconnus, elles cherchent à montrer que le sport rassemble. Il s’agit d’un argument stratégique pour convaincre les consommateurs de s’attacher à leur marque. En diffusant un message de réussite pour tous, elles se rapprochent d’autant plus des spectateurs. La coupe du monde constitue une véritable occasion pour ces marques de faire des spots publicitaires grandioses avec des célébrités du monde entier. Une grande opportunité pour faire la promotion de leurs différents produits.

Les risques du web entrepreneuriat

Site Web, plateforme, e-commerce, application, … Beaucoup de créateurs souhaitent ou songent à construire une solution digitale sans rien connaître au monde du web. Heureusement, entreprendre dans ce domaine sans en être expert est possible. Mais une batterie de risques du web entrepreneuriat et d’erreurs classiques sont à éviter.

La technique : association ou agence

Si vous n’êtes pas « né » dans le milieu ou ne possédez pas encore un bon réseau, il sera dur de vous associer avec un technicien pour créer votre site web. C’est pourtant l’un des critères attendu par la plupart des fonds d’investissements, preuve de l’importance d’un fondateur-technicien. Vous devez alors vous tourner vers une agence, ou un free-lance. Peu de bonnes agences seront à même d’accompagner votre démarrage, et leur relation avec les start-ups n’est malheureusement pas souvent fructueuse. La première difficulté vient de la complexité à déterminer un devis pour votre solution, à cause du manque de retour que vous avez. Cette incertitude peut vous conduire à « cramer » 90% de votre capital. Bon nombre d’entrepreneurs avoue avoir tout dépensé lors de la confection de leur produit, et regrette de n’avoir pu prendre de la vitesse après, n’ayant plus de capital pour la communication et le marketing.

Changer de model

Les agences réactives et dites « agiles » vont vous permettre des changements de dernière minute (ce qui vous entraîne à modifier votre solution à n’importe quel moment), qui peuvent ne rendre que plus instable ou incertain votre lancement. Si le travail confié à un free-lance ou à une agence traîne dans le temps, et consume indirectement votre capital, vous serez tenté de simplifier ou de sacrifier une partie de votre site/application pour accélérer le processus. Ce qui, encore une fois, bouleverse votre stratégie de départ. Le lean start-up est une stratégie à adopter dès le départ, mais risquée quand elle n’est pas organisée.

Le risque de la concurrence

Si votre entrée sur le marché n’est pas particulièrement rapide, d’importants acteurs ayant plus d’expérience que vous sur le secteur pourraient copier votre innovation. Il vous serait alors beaucoup plus difficile de vous différencier et d’affirmer votre positionnement.

La réglementation

Vous devez être très prudent si votre structure juridique est instable. Les possibilités offertes par les nouvelles technologies sont parfois à la limite de ce qui est autorisé par la loi, notamment avec les nouvelles lois ou celles qui ne sont pas encore en vigueur. Les questions de la copie ou de la concurrence sont par exemple très épineuses en France. Les exemples d’Airbnb dans la location de logement d’appoint ou d’Uber dans le marché des VTC en témoignent. 

Les risques de dépendance technologique

Pour une start-up, il est dur de réaliser d’immenses études de marché ou d’importants tests techniques. Ce qui fait que l’utilisation de votre solution digitale n’est pas toujours assez éprouvée. Les risques sont classiques : bug lors de la croissance et de l’affluence de personne, technologie dépassée ou rapidement désuète, problème de propriété intellectuelle, copie, etc… Evidemment, ces problèmes entraînent de la perte client mais aussi un gel de vos gains si votre business model repose entièrement sur votre site/application. Ajoutons que les désavantages de faire appel à un free-lance ou à une agence sont de devoir les rappeler en cas de problèmes techniques (par exemple, une saturation des serveurs), et ainsi de perdre de nouveau du temps.

La relation des Français et des marques, un engouement mitigé

La relation entre les marques et les consommateurs fait souvent partie du jeu « je t’aime, moi non » mieux difficile à décrypter. La communication, qui a pour mission de tisser des liens, utilise désormais de multiples canaux qui sont susceptibles de capter l’attention du consommateur. Dans un sondage Opinionway pour Wide, 1015 personnes ont été interrogées afin de connaître le rapport qu’entretiennent les Français et les marques. Il apparaît que les consommateurs ne sont pas toujours enthousiastes envers les pratiques des entreprises.

Quels outils pour communiquer ?

Lorsque les consommateurs souhaitent s’adresser à une marque, ils envisagent différents canaux. Bien que les réseaux sociaux deviennent un moyen de communication privilégié pour les internautes, 78 % évoquent préférer le mail pour tous les échanges nécessaires avec une marque. Les réseaux sociaux permettent d’interpeller facilement sur un problème ou sur une polémique, cependant, ils restent un canal très peu utilisé par les consommateurs. Ils arrivent seulement en neuvième position derrière des moyens de communication parfois très peu digitalisés. Ainsi, 78 % des interrogés préfèrent envoyer un mail pour communiquer avec une marque, 72 % privilégient le téléphone et 62 % le courrier postal.

Les marques investissent régulièrement dans des Community Managers afin de répondre directement aux clients sur Facebook, Twitter ou Instagram mais aussi pour poster du contenu décalé. Elles sont nombreuses à s’être fait remarquer grâce à l’humour de leur Community manager. Des posts font le tour de la toile grâce à une blague bien pensée ou encore un jeu de mots. Mais selon le sondage OpinionWay pour Wide les internautes ne suivent pas massivement les marques sur les réseaux sociaux. Ils sont seulement 19 % à s’abonner aux comptes Facebook, Instagram ou Twitter afin de suivre leur actualité, pour avoir accès à des réductions ou bien pour jouer à des jeux concours.

Les Français perturbés par la multiplication des plateformes

Pour les consommateurs, l’envie de communiquer avec les marques n’est guère une habitude. Principalement, ils ressentent le besoin de s’exprimer lorsqu’ils rencontrent un problème, ou pour formuler une plainte à propos d’un produit ou d’un service. Le consommateur communique rarement avec les marques qui s’incrustent sur différents canaux. Elles sont présentes sur les réseaux sociaux, à travers des emailings ou même grâce à des chatbots. La diversité des moyens de communication perturbe fortement les consommateurs. Parmi les sondés, 12 % ne savent plus quel canal utiliser pour entrer en contact avec une marque et 24 % et 20 % se sentent envahis et surveillés au quotidien. Pour les consommateurs, la relation reste complexe et n’inspire pas une totale confiance.

Un avis tranchant de la part des consommateurs

Depuis l’omniprésence d’internet, les consommateurs prennent conscience de la communication massive des marques sur Internet. Très actives sur les réseaux sociaux ou encore grâce à des emailing, elles contactent régulièrement les internautes pour leur faire part de nouveaux produits ou de nouvelles promotions. Ces pratiques ne s’avèrent pas toujours satisfaisantes pour les consommateurs qui pour la plupart déplorent cette communication. 86 % des sondés déclarent ne pas être intéressés par les informations qu’ils reçoivent, quand 79 % estiment que les marques prennent la parole pour ne rien dire. L’opinion des Français concernant les marques reste assez virulente puisqu’ils sont nombreux à penser que la communication est trop superflue par rapport à l’importance des messages.

Le contenu online des marques, un impact significatif

La communication d’une marque participe essentiellement à proposer de nouveaux éléments aux acheteurs afin qu’ils réitèrent le processus d’achat. Que ce soit les emailings ou bien les posts sur les réseaux sociaux, de nombreuses marques mettent ces pratiques en place pour encourager les Français à consommer. Bien qu’ils reconnaissent être dubitatifs sur la communication des marques, elle génère tout de même un impact significatif. Dans le sondage OpinionWay pour Wide, 53 % déclarent avoir réalisé un achat après avoir consulté le contenu online d’une marque. Les Français avouent pouvoir être influencés par un post, un site web ou une publicité dans l’objectif de concrétiser un achat. Cependant, les chiffres restent relativement faibles par rapport aux critiques émises sur la communication des marques. Les consommateurs s’avèrent d’autant plus sceptiques sur les pratiques mises en place que sur l’impact de la communication des entreprises. Ils demeurent nombreux à ne pas être satisfaits du pistage réalisé sur Internet afin de personnaliser leurs achats.

Un refus de partager ses données chez les consommateurs

Avec l’arrivée du RGPD, les marques ont désormais pour obligation de demander le consentement des consommateurs sur une possible utilisation de leurs données personnelles. Avec le profilage et les données recueillies, les marques peuvent établir des profils distincts afin de proposer des offres personnalisées. Même si la pratique doit changer prochainement à la suite du RGPD, les consommateurs déplorent massivement ce type d’actions marketing. Parmi les personnes interrogées, 30 % estiment qu’elles sont insupportables et 26 % les considèrent comme une atteinte à la vie privée. Ces moyens mis en place par les entreprises inquiètent notamment les utilisateurs qui préfèrent que leurs données restent privées.

La relation entre les Français et les marques demeure assez fragile. Internet représente une plateforme utile et pertinente pour de nombreuses entreprises, particulièrement pour les marques d’e-commerce. Elles essayent de convaincre les consommateurs en communiquant de manière étendue, ce qui ébranle particulièrement leur relation avec les marques.

Pourquoi ne faut-il rien envier aux millionnaires ?

Souvent les entrepreneurs se lancent dans le monde de l’entrepreneuriat pour devenir riche et ne plus avoir de problèmes. Lorsque vous avez lancé votre entreprise, votre objectif a surement été de gagner beaucoup d’argent tout en faisant ce que vous aimez. La richesse est un objectif que beaucoup se donne pourtant il est bien connu que l’argent ne fait pas le bonheur. Voici les raisons pour lesquels vous n’avez rien à envier aux millionnaires voire aux milliardaires.

Il est vrai que dans notre société tout se concentre sur l’argent. L’argent est la source de nos problèmes et à la fois notre sauveur. Les entrepreneurs ressentent parfois cette frustration d’être en manque d’argent et c’est pour cela qu’il crée leur entreprise car ils ne veulent plus être le serviteur de leur porte monnaie. Néanmoins, les plus riches s’avèrent tristes et misérables car l’argent est devenu la source de leurs problèmes. Certes ils sont à l’abri du besoin mais le bonheur et leurs vies sont loin d’avoir atteint l’épiphanie.

La richesse la réponse à tout

Si vous êtes adepte de livres de développement personnel alors vous être surement familier avec l’importance de se donner des objectifs réels et datés. Par exemple, votre objectif peut être je veux gagner 1 000 000 € avant le 3 juillet 2018 . Pratiquer cette méthode permet de vous motiver au quotidien afin de réaliser vos objectifs. Cette méthode est efficace mais le seul problème serait la manière dont les gens l’utilisent. Effectivement, il est commun de voir certaines personnes penser qu’une fois riche le monde s’ouvrira ainsi que les portes du bonheur. Pourquoi vouloir devenir riche si cela n’apporte pas le bonheur ? Certaines célébrités et grands dirigeants ont affirmé que la richesse n’était pas une réponse. Alors qu’est-ce qui nous fait envier leurs situations ? Sommes-nous formatés par les médias et cette image de richesse ? Cherchons-nous inconsciemment à atteindre la plus haute classe sociale possible pour se sentir supérieur ? Est-ce que nous avons assez de lutter financièrement pour obtenir ce qu’on l’on veut ? Ou Voulons-nous être plus libre et faire ce qu’on l’on a envie sans travailler ?

Une illusion cupide

La richesse n’est qu’une illusion qui se cache derrière votre cupidité et votre égo car en réalité, les plus riches sont les plus misérables. Malgré leurs fortunes, l’argent devient toujours source d’anxiété qui contamine peu à peu leur travail, ce qu’ils aiment et leurs familles. Certains affirment même qu’ils ne sentent toujours pas en sécurité financièrement.
Les jeunes entrepreneurs manquent de plus en plus de valeur. S’ils savaient que 2 millions ou 2 milliards d’euros ne leur apporteront pas nécessaire ce qu’ils veulent alors peut-être qu’ils se concentreraient sur des choses qui aideraient les gens et amélioraient le monde. Nous avons tendance à oublier la chose qui nous rend le plus heureux : aider les autres. Être riche n’est pas mauvais en soi mais aider les autres est le meilleur moyen de supprimer la dépression et d’apporter le bonheur.
« Ceux qui disent que l’argent n’apportent pas le bonheur sont des idiots ! ». Il est extrêmement difficile de faire comprendre aux personnes lambda que la richesse n’est pas importante. Soyons clairs, si vous n’êtes pas heureux dans vos conditions actuelles alors tout l’or du monde n’y changera rien et être millionnaire ne sera jamais la source de la joie. Vouloir être riche pour accéder au bonheur est comme vouloir acheter le plus grand yacht sans savoir où on veut aller. Manquer d’argent n’est pas une excuse pour ne pas être en paix avec soi-même ou ne pas vivre dans l’intégrité.

Une famille déséquilibrée

Les plus riches possèdent les familles les plus détruites. Les parents ont de moins en moins d’autorité sur leurs enfants car leur vision du monde serait changée. Les enfants deviennent plus arrogants, fainéants et sans compassion. En effet, pourquoi faire sa chambre quand une femme de ménage le fera. Pourquoi travailler vu que nous sommes riches. Ils ont de moins en moins de valeurs et de morale et leur éducation passe à la trappe puisque les parents n’ont pas le temps de s’en occuper car ils doivent devenir plus riches … L’argent sera au centre de vos préoccupations et aucun membre de votre famille se sentira réellement indépendant financièrement. Les parents ont souvent tendance à croire qu’offrir une carte bleue à leurs enfants les responsabilisera. Il n’y a rien de plus faux. Au contraire, ils dépenseront plus et ne connaîtrons pas l’importance d’économiser. Donner de l’argent liquide par contre les aide à visualiser et ressentir le poids de leurs actions.

Votre cercle social

Il sera de plus en plus difficile de se faire de véritables amis. La richesse deviendra une barrière pour construire des liens sociaux. Et vous serez à jamais dans le doute « sont-ils là pour l’argent ? ». Vous aurez tendance à cacher votre richesse et vivrez de plus en plus dans le doute.
Être riche ne vous rend pas plus responsable et plus intelligent au contraire. SI vous ne savez pas gérer votre argent : établir des budgets, économiser et investir alors vous serez dans le pétrin avec n’importe quel salaire. Il n’est pas rare de voir des personnes riches noyées sous les dettes, qui ont des problèmes fiscaux et qui dépensent sans compter. L’argent ne vous rendra pas plus sage.

Adieu travail, bonjour liberté.

S’amuser, s’amuser, s’amuser encore et encore. Devenir indépendant financièrement et être payé passivement serait le summum du bonheur. Vous serez à tout jamais en vacances, à vous les voyages, les expatriations, les restaurants, les soirées, les cadeaux et puis … et puis l’ennui. Le travail est la vie. SI vous vous arrêtez de travailler alors l’ennui vous guettera et l’ennui est le pire ennemis de tout le monde.

La morale de cet article est qu’il faut se poser les bonnes questions et savoir ce que l’on veut réellement avant de vouloir être riche. Étudier et s’éduquer pour ne pas tomber dans les pièges. De préférer l’action et de ne plus hésiter. La richesse n’est pas la réponse. L’envie aveugle les entrepreneurs. Basez vos actions sur de bonnes valeurs et ne créez rien au nom de l’argent. 

« Les riches qui pensent que les pauvres sont heureux ne sont pas plus bêtes que les pauvres qui pensent que les riches le sont. »

Mark Twain

Pourquoi apprendre à coder en tant qu’entrepreneur ?

Si certaines entreprises font appel à des développeurs web en freelance pour programmer leur site web ou une application, d’autres préfèrent embaucher un expert dans le domaine. Trouver des spécialistes en fonction des différents langages de programmation utilisés est toujours complexe. Vous pouvez avoir un salarié dédié, mais il s’avère tout de même préférable de s’informer afin de comprendre certaines bases de code et pouvoir prendre les décisions qui sont nécessaires au développement de l’entreprise.

Pour commencer, se cultiver sur le domaine

Apprendre à coder peut sembler basique pour un entrepreneur. Il est souvent difficile d’avoir une idée de la pratique et de ses dérivés sans avoir de connaissance du domaine. La plupart des entreprises se dotent d’un développeur pour programmer une application ou bien développer un site web. Si de nombreuses solutions existent pour créer des sites simplement, apprendre à coder pourrait vous servir au quotidien. Il s’agit pour vous d’avoir les qualités requises pour comprendre le « charabia » des développeurs. Apprendre à coder consiste à se focaliser essentiellement sur les langages utilisés par votre entreprise et sur ce que vous souhaitez développer. Il ne s’agit pas de remplacer vos développeurs, mais simplement de pouvoir les comprendre lorsque vous créez un projet à travers un site web, une application, un jeu ou même une intelligence artificielle. Des langages restent très faciles d’accès, comme le langage HTML qui consiste principalement à apprendre des balises pour mettre en page un texte au sein de votre site. Le développement web s’avère moins complexe que la programmation qui est rarement abordée dans le cas de la réalisation d’un site web. Pour un entrepreneur, il n’est pas obligatoire de plonger les mains dans le code, mais il s’agit de comprendre les expressions récurrentes et les différents langages pour travailler en commun avec ses développeurs.

Avoir un minimum de maîtrise

Contrairement à de nombreuses matières, le code s’apprend à l’aide d’Internet en effectuant de nombreuses recherches. Pour se familiariser avec cet apprentissage, la connaissance passage obligé. La plupart des langages se servent de mots anglais et vous aurez plus de facilité à trouver des solutions pour rectifier vos erreurs au sein de forums en anglais. Apprendre à coder en tant qu’entrepreneur, vous donne l’opportunité de pouvoir résoudre des erreurs sur certains éléments relativement faciles d’accès. Il ne s’agit pas de se lancer dans des algorithmes mais seulement de pouvoir avoir la main sur les éléments fondamentaux qui constituent votre plateforme. N’hésitez pas à demander à votre développeur de vous former sur des problématiques qui peuvent survenir régulièrement. Un site qui ne fonctionne plus, peut parfois engendrer des pertes conséquentes en matière de financements. Si vos développeurs ne sont pas joignables, il pourrait s’avérer utile de savoir maîtriser ces outils.

Continuer d’être à la page en matière d’innovation

Avec l’émergence d’Internet et des différentes plateformes, savoir coder peut devenir un réel atout. Les nouveautés ne cessent de se développer au quotidien et les langages progressent au fil des années. Le code devient essentiel dans bon nombre d’innovations. Les voitures autonomes, par exemple, possèdent chacune une intelligence artificielle qui leur permet de s’autogérer. Ces langages ne restent pourtant pas à la portée de tous, ils demandent une spécialisation et beaucoup d’entraînement. Par ailleurs, étant incontournable, comprendre leur cheminement pourrait vous aider à garder le cap sur l’innovation. En tant qu’entrepreneur, restez à la page pour comprendre ce qui se fait sur le marché fait partie de vos attributions. Apprendre à coder permet de garder un esprit vif et une logique qui coïncident avec l’émergence des nouvelles technologies. Certains langages restent très complexes à appliquer et peuvent demander plusieurs années de spécialisation, mais il s’agit essentiellement de se cultiver pour ne pas perdre le fil dans ce domaine.

Des solutions pour apprendre simplement à coder

Lorsque vous entendez des développeurs parler entre eux, il se peut que vous sembliez perdu face au jargon employé. Il existe des solutions faciles d’accès vous permettant de comprendre les éléments essentiels. Dans un premier temps, ne vous focalisez pas sur tous les langages utilisés, mais plutôt sur celui que vous utilisez au sein de votre plateforme. Pour tout ce qui concerne le développement web, le code en JavaScript reste assez courant. Vous perfectionner dans ce domaine pourrait vous aider à comprendre de nouvelles innovations ainsi que le site d’un concurrent ou même une application qui vous intrigue. Pour apprendre ce type de langage, il existe une application intitulée Grasshopper qui consiste à enseigner le code en JavaScript à l’aide d’un jeu et d’exercices. Il s’agit d’un premier début pour vous familiariser avec le langage informatique. Si vous n’êtes pas rassuré ou bien si vous préférez vous orienter sur des méthodes d’apprentissage plus classique, vous pouvez demander à votre développeur qui vous orientera vers des méthodes simplifiées.

L’innovation et le développement deviennent l’avenir de notre société puisque toutes les nouvelles technologies sont programmées en amont pour réaliser des tâches bien précises. Même si vous ne comptez pas vous spécialiser dans un domaine particulier, comprendre les bases peut vous aider à améliorer vos projets en collaboration avec vos développeurs.

Optimiser votre démarche commerciale

Pour alimenter davantage votre flux de commandes, trois indicateurs sont à soigner tout particulièrement : les rendez-vous obtenus suite à une prospection, les propositions commerciales effectuées lors de ces rendez-vous et enfin bien sûr le nombre de ventes conclues.

Si la différence entre un vendeur performant et son collègue en difficulté n’était finalement qu’une question de démarche commerciale ? Une marche à suivre objective permettant d’augmenter quasi mécaniquement l’alimentation de son portefeuille en nouveau business. Quelque peu schématique, comme approche ? Elle fait pourtant ses preuves dans toutes les entreprises qui sont revenues de la croyance selon laquelle certains collaborateurs ont la bosse du commerce et d’autres non…
Qu’on se le dise, améliorer sa démarche commerciale exige donc avant tout un plan d’action bien ficelé. Voici comment procéder.

Définissez soigneusement votre cible de prospection

C’est l’étape préalable à toute démarche commerciale efficace. Et en la matière, hors de question de vous fier à votre instinct. Il vous faut au contraire faire preuve de rigueur en commençant par ranger vos prospects éventuels en trois familles : ceux qui n’auront jamais besoin de vos produits ou services, ceux qui pourraient y venir si vous parveniez à les convaincre de leur utilité et enfin les clients de vos concurrents. Une fois cette catégorisation réalisée, il est probable que les deux derniers marchés soient encore trop vastes. Segmentez-les en sous-ensembles liés à des critères pertinents pour votre activité (taille de l’entreprise ciblée, moyens financiers supposés de la cible, coûts d’acquisition d’un nouveau client sur le segment, cohérence avec vos pratiques de prospection, etc.). Vous allez ainsi faire apparaître des segments de marchés mieux délimités sur lesquels vous appuyer pour décider de vos cibles prioritaires. Il vous restera alors à vous constituer un fichier le plus exhaustif possible de prospects correspondant au segment retenu. Les sources sont à la fois internes (fichiers maisons, prises de contacts sur les salons, échanges de fichiers avec d’autres entreprises, etc.) et externes (Kompass, annuaires web spécialisés, CCI, classements publiés par la presse, etc.)

Mesurez vos performances à l’aide d’indicateurs clés

Si vous souhaitez optimiser votre démarche dans la durée, il est essentiel de mesurer les résultats liés à vos efforts commerciaux. Vous devez choisir des indicateurs clés de performance depuis la prise de rendez-vous jusqu’à la conclusion de la vente. Chaque entreprise peut bien sûr affiner ses critères en fonction de son marché, mais le plus simple consiste à se focaliser sur trois ratios pertinents :

  • le nombre de rendez-vous obtenus/le nombre de contacts argumentés face à un prospect ;
  • le nombre de propositions commerciales effectuées/le nombre de rendez-vous obtenus ;
  • le nombre de ventes conclues/le nombre de propositions commerciales effectuées.

L’avantage de ce modus operandi ? Il permet d’analyser avec précision les points d’amélioration de chaque vendeur si des disparités frappantes apparaissent, mais aussi parfois de la démarche commerciale en elle-même dès lors que toute l’équipe est à la peine sur le même ratio. Reste alors à travailler sa performance sur chacun de ces indicateurs. Voici comment procéder.

Augmentez le nombre de rendez-vous obtenus

Souvent considérée comme ingrate, la prospection téléphonique reste pourtant le meilleur moyen pour performer sur ce premier ratio. À condition d’agir avec une méthode qui repose tout d’abord sur une base de données fiable. Comme vu précédemment, de multiples pistes existent pour se constituer un bon fichier. Tachez ensuite d’affiner le profil de chaque prospect : Est-il en croissance ? À quelle période de l’année le contacter ? Comment avez-vous procédé pour approcher d’autres acteurs de son marché ? Etc. C’est grâce à toutes ces informations que vous allez imaginer une phrase d’accroche percutante et un argumentaire convaincant.

Votre partie de chasse peut commencer. Afin de ne pas vous éparpiller, bloquez une plage horaire et essayez de vous y tenir quoiqu’il arrive. Gare à l’excès de zèle, toutefois… Si vous ne voulez pas vous décourager, une à deux heures par jour suffisent. Pour franchir le fameux barrage de l’assistante, à vous de lui prouver que vous avez un réel service à rendre à son patron en restant toujours courtois et chaleureux, mais tenace et précis dans votre argumentation. Lorsque vous parvenez à parler au bon interlocuteur, soyez très bref. Votre but n’est pas de lui vendre quelque chose mais d’obtenir un rendez-vous. C’est là que votre phrase d’accroche et votre préparation à la levée de toutes les objections possibles feront la différence.

Amplifiez votre nombre de propositions commerciales

Obtenir un rendez-vous est une chose, le faire déboucher sur une proposition commerciale en est une autre. Le succès de cette phase repose sur votre capacité à découvrir les enjeux de votre client. Après avoir instauré un climat de confiance avec quelques mots permettant de briser la glace, il est temps d’écouter avec attention ce qu’il a à vous dire et de le lui montrer. Posez au minimum une dizaine de questions préparées en amont, n’ayez pas peur des silences afin d’obtenir la « dernière goutte de ses propos » et surtout ne les interprétez pas dans un sens qui vous arrange. Dans le doute, reformulez de manière à vous assurer que vous avez bien compris.

Ce n’est qu’après cette étape clé que vous pourrez passer à l’argumentation de votre offre. Celle qui, si elle est ficelée en fonction de ce que vous venez d’apprendre, devrait vous permettre d’accroître votre deuxième ratio de manière substantielle.

Faites accroître le nombre de vos conclusions

Vous êtes dans la dernière ligne droite et ce n’est pas le moment de flancher… Réaliser une vente nécessite en pré-requis d’avoir répondu aux attentes et besoins de votre prospect. Mais cette condition n’est pas suffisante. Il vous faut aussi échapper au syndrome de la fameuse peur de conclure. Sachez interpréter les signaux montrant que votre interlocuteur a envie de signer. Par exemple des questions telles que « est-ce que je peux échelonner mes paiements ? » ou « la livraison est-elle possible en conditionnement de 100 ? ». Face à de telles interrogations, il est grand temps de répondre sans hésiter puis d’oser sortir le contrat sans trembler. Laissez passer une petite dizaine de secondes en silence pour vous assurer qu’il n’a rien à ajouter puis… tendez votre stylo !

Article par EVELYNE PLATNIC-COHEN| BOOSTER ACADEMY

Les grands défis des PME en 2018

Interview de François Asselin, président de l’entreprise familiale Asselin et de la CPME qui nous parle des grands défis pour les PME et des clés pour réussir à l’ère de grands changements pour les petites et moyennes entreprises.

Quels vont être les grands défis pour les PME ?

On a déjà commencé à les entamer avec l’impact indéniable du numérique sur le fonctionnement des entreprises particulièrement les PME, que ce soit dans la manière de produire et de traiter les fonctions supports de l’entreprise ou que ce soit pour s’adresser aux clients. Il faut prendre en compte l’évolution des modes de consommation à travers le numérique et comment nous devons « les prospecter ».Les retombées sont considérables et comportent des menaces et des opportunités. Celles qui arriveront à prendre ce sujet à bras le corps vont sortir du lot alors que pour  les autres cela risque de devenir dangereux.

Pourquoi mettre la créativité au centre de la thématique du salon ?

La créativité c’est l’ADN des PME et des TPE c’est-à-dire qu’une PME qui n’est pas créative, sort rapidement de son marché. Le meilleur moyen de continuer à développer son modèle économique, c’est de mettre la création au cœur du projet d’entreprise. Arrêter d’innover revient à arrêter de pédaler. Quand on avance en côte, on sait ce qui se passe. La créativité peut être technique, humaine, organisationnelle, et concerner tous les domaines d’activité. Les TPE-PME sont par essence créatives car leur taille humaine leur offre plus d’agilité que les grands groupes, elles ont moins de moyens par exemple pour communiquer, donc elles sont obligées d’avoir de l’imagination ! J’ai voulu mettre cette thématique au cœur du salon car nous allons vous montrer des témoignages de patrons de PME exceptionnels qui ont osé et qui ont réussi et cela nourrira la réflexion des autres.

Quelles vont être les grandes problématiques abordées dans le salon et quels formats?

D’abord c’est un forum pensé pour les dirigeants de TPE-PME. Le parcours du chef d’entreprise est organisé autour de ses préoccupations que l’on a thématisées en 4 pôles :

  • Esprit d’équipe pour tout ce qui touche à l’homme au cœur de l’entreprise (ressources humaines, management…)
  • Esprit de conquête pour tout ce qui permet de développer son entreprise : notamment l’export, le commercial, le numérique.
  • Esprit avisé permet aux chefs d’entreprise de recevoir des conseils sur la gestion de  l’environnement technique, juridique et comptable, y compris pour tout ce qui touche le chef d’entreprise lui-même avec la prévoyance.
  • L’Accélérateur où on va regrouper des start-ups qui vont présenter leur dose de créativité à l’ensemble des visiteurs.

Une agora, le Plateau TV, sera située au cœur de l’exposition tout au long de la journée, où les politiques et les entrepreneurs viendront pitcher et se faire interviewer en direct. Mais également un concours autour de la créativité. 4 PME seront récompensées pour leur démarche exceptionnelle quant à la créativité de leurs produits, services, leur organisation ou leur stratégie marketing. 12 candidats ont été présélectionnés et j’ai hâte de savoir qui va sortir du chapeau !

Nous avons voulu remettre de la dynamique et de la créativité. Nous aurions pu faire quelque chose de très institutionnel même s’il y en a une avec notamment la visite de ministres. Ce que nous voulions surtout insuffler c’est comment développer son entreprise et recevoir des témoignages d’entreprise sur leur réussite grâce à la créativité afin que chaque participant ressorte avec une nouvelle énergie en se posant la question : quel pourrait être mon modèle économique dans les années qui viennent ?

Le nom du salon a changé pourquoi ?

Nous souhaitions un nom qui parle à tout le monde et quoi de plus simple que « PME ! ». Nous avons créé un salon beaucoup plus tourné sur des témoignages de patrons de PME avec des personnalités emblématiques qui vont faire part de leur expérience, des jeunes dirigeants engagés à fond dans leur projet. C’est vraiment un forum qui est en mode projet avec beaucoup d’interactivité : plateau TV, interview en pitch et en live, un parcours visiteur beaucoup plus fluide avec des intervenants regroupés suivant leur domaine d’expertise. L’idée est de dire : si vous avez des projets venez les partager, si vous êtes en recherche, venez écouter. Et si vous voulez être en contact avec les personnes qui dirigent notre pays, c’est peut-être l’endroit pour les croiser, les interroger et écouter tout ce qu’ils ont à proposer.

Un point pour finir ?

Nous sommes qu’on le veuille ou non, à une période charnière pour nos entreprises. Aussi, nous attendons avec impatience après la séquence des ordonnances travail, une nouvelle séquence à travers la loi Pacte pour améliorer l’environnement des entreprises notamment celui des TPE et PME. Nous espérons qu’avec la présence du Premier Ministre et du Ministre de l’Economie, ils sauront mettre de « la confiance au cœur de leur projet » parce qu’un des moteurs de la créativité, c’est la confiance.

5 raisons de démystifier la création d’entreprise avant de se lancer

Vous avez lu toutes les success story des entrepreneurs et vous ne vous dites pourquoi pas moi. Vous avez certes entendu dire qu’un certain nombre d’entrepreneurs ont mis la clef sur la porte malgré une excellente idée, malgré un travail acharné, même après une levée de fonds qui laissait penser que tous les espoirs étaient permis. Mais avant de vous lancer, voici 5 raisons de démystifier la création d’entreprise.

Croire que vous allez devenir multimilliardaire en 6 mois.

L’appât du gain est un facteur qui motive nombre d’entrepreneurs. Mais il faut savoir qu’il existe souvent un décalage entre le lancement de l’activité et le moment où vous pourrez simplement commencer à vous verser un petit salaire. Un paramètre à prendre en compte avant de se lancer. La tête dans les étoiles mais un plan de trésorerie, un business plan bien étayé sont des valeurs sures qui vous permettront de créer une entreprise pérenne.

Oublier l’idée que l’entrepreneuriat c’est la liberté totale.

Certes vous ne devrez plus rendre de compte à un patron, vous allez devenir maitre à bord et ne plus dépendre de décisions qui vous paraissent absurdes mais vous allez devoir endosser tout seul de lourdes responsabilités et donc vous dire que le seul responsable de l’échec comme de la réussite c’est vous. Une situation qu’il faut être prêt à affronter quelles que soient les circonstances et les obstacles qui se présentent.

Ne pas tomber de haut quand vous vous apercevrez que tout met plus de temps que prévu.

Vous pensez qu’en deux mois vous aurez créé la structure, réalisé une levée de
fonds
, trouvé des locaux, embauché deux salariés et finalisé votre plan de communication ? Vous découvrirez que la réalité est quelque peu différente… et surtout plus lente ! L’administratif ne se fait pas en un jour, développer sa clientèle demande du temps. Certes vous pouvez décrocher des contrats prometteurs mais pour que votre entreprise se développe constamment acquérir un portefeuille de clientèle vous demandera d’investir du temps et du talent.

Vous rendre compte que le changement de vie, même s’il est souhaité, peut être brutal.

Êtes-vous bien sûr que vous et votre entourage assumerez la masse de travail qui sera la vôtre une fois que vous vous serez lancé ? Accepterez-vous la situation d’insécurité professionnelle de l’entrepreneur ? et oui vous devrez certainement mettre des projets personnels en attente et en conséquence vos proches seront aussi les premiers pénalisés. Alors, il faudra avant tout leur demander en amont leur soutien.

Pour bien comprendre que vous ne ferez pas uniquement des choses passionnantes !

Même si vous vous lancez dans un domaine qui vous captive, il ne faut pas oublier qu’il vous faudra également assurer la gestion de l’administratif, de la comptabilité et que vous devrez parfois affronter les hauts et bas bancaires et affronter votre banquier.
Une fois démythifier, n’hésitez pas à créer votre entreprise car vous développerez un potentiel que vous ne soupçonnez pas.

La preuve en 4 leçons que vous ne serez jamais un grand leader

On peut lire un peu partout que tout le monde peut être un leader, que cela s’apprend, et facilement. Pourtant, force est de constater que c’est un peu plus compliqué. C’est bien la raison pour laquelle de nombreux chefs d’entreprise pensent être de parfaits leaders, capables d’inspirer et guider leurs équipes, alors qu’en réalité, ce n’est pas tout à fait le cas. S’il est certain que tout le monde peut apprendre les bases du leadership, il n’est pas donné à tout le monde pour autant d’avoir de réelles qualités de leader.

Le « rôle » du leader dans une startup

Si vous êtes dirigeant d’une startup, il est indispensable pour vous d’avoir une réelle légitimité pour motiver vos troupes. Les managers des grands groupes ont l’avantage d’avoir un nom derrière eux, c’est en partie ce nom (en plus des aspects financiers) qui motive les salariés. Il est peu probable, si vous êtes à la tête d’une startup que vous disposiez de moyens financiers suffisants pour que l’argent soit un levier pour motiver vos salariés. Sachant que vous n’avez probablement pas encore le nom, beaucoup de choses reposent sur vous, sur vos qualités.

L’environnement de travail et la qualité des missions auront évidemment un impact direct sur l’implication des salariés mais c’est avant tout votre personnalité qui les poussera à donner le meilleur d’eux-mêmes. Ce point est déterminant. Si vos salariés ne vous perçoivent pas comme légitime pour leur donner des ordres, ils ne pourront pas s’impliquer et se projeter dans l’entreprise.

Pourquoi vous resterez « le boss » et ne serez jamais un vrai leader

Parce que vous voulez faire croire que vous avez toutes les réponses

Il s’agit certainement du point qui pourrait le plus vous porter préjudice et énerver vos salariés. Faites en sorte de rester humble. Il y a forcément des domaines dans lesquels vos connaissances sont inexistantes ou lacunaires. Reconnaissez quand vous ne connaissez pas certaines choses. Au lieu de prétendre que vous savez tout sur tout, d’avoir votre mot sur tout, faites en sorte d’apprendre, de lire un maximum.

Être totalement inculte nuira évidemment à votre position et vous empêchera d’être un vrai leader mais ce sera peut être encore pire si vous tentez de faire croire que vous connaissez tout. Vous devez avoir suffisamment de connaissances pour être légitime mais être assez humble pour reconnaitre vos limites

Parce que vous voulez à tout prix montrer que c’est vous le patron

C’est un autre piège qui peut vous empêcher d’être un vrai leader : vouloir affirmer sans cesse votre autorité. Vous avez une position de dirigeant, vous pouvez donc en déduire que vos salariés l’ont probablement bien compris et qu’ils appliqueront les directives que vous leur donnerez. Ne cherchez pas à affirmer votre autorité absolument. Si un salarié n’a pas fait ce que vous lui aviez dit, il y a certainement une bonne raison, demandez lui simplement et calmement ce qui s’est passé. Il y a très peu de chances pour qu’il ait voulu défier votre autorité alors pas la peine de montrer un excès d’autorité.

Soyez le boss réfléchi, celui qui est calme et prend toujours les décisions sans énervement. Vos salariés doivent savoir que vous êtes là pour les aider, pour les guider, pour qu’ils se sentent bien dans l’entreprise, mais cela ne veut pas dire que vous n’êtes le boss pour autant, vous ne perdez pas d’autorité en faisant cela.

Dans un monde idéal, vous ne faites pas démonstration de votre autorité, et considérez que vos salariés ont tous compris que c’est vous qui dirige et prend les décisions. Partir de ce principe là pourra vous aider. Beaucoup de conflits sont crées inutilement sur un malentendu parce que le patron veut montrer à tout prix que c’est lui qui dirige.

Parce que vous ne faites pas ce que vous dites

Attention, être le boss ne vous donne pas le droit de dire n’importe quoi pour contenter vos salariés. Vous devez être irréprochable quand vous dirigez une entreprise. On pourra pardonner à un salarié de ne pas avoir été capable de faire ce qu’il avait dit mais la donne est différente pour le boss. Tout le monde va écouter avec attention ce que vous dites et surtout retenir vos propos.

Si vous voyez un salarié en difficulté pour diverses raisons et que vous lui dites que vous lui donnerez un coup de main dans la semaine, vous ne pouvez pas vous permettre par la suite de ne pas le faire, ou sinon il faudra lui indiquer pourquoi. Peut être que le salarié avait oublié mais si ce n’est pas le cas, il vous en voudra certainement. Si cela se répète, il finira purement et simplement par ne plus vous faire confiance, ce qui est quand même un comble si vous voulez être un leader.

Parce que vous vous isolez

S’isoler est une autre erreur qui distingue les leaders des simples managers ou boss. Le vrai leader donne toujours l’impression d’être proche, qu’on peut compter sur lui. Le mauvais manager tient à garder une certaine distance, parce qu’il pense que cela lui donnera plus d’autorité. En réalité, il est important de cultiver cette proximité avec vos salariés. Bien sûr, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse mais tout l’art du leader se situe dans ce délicat compromis. Il conserve son autorité et sa légitimité mais donne l’image de quelqu’un d’accessible, d’humble. C’est pour ce genre de personnes que l’on a envie de donner le maximum et de s’impliquer.

Pourquoi les entrepreneurs qui réussissent se lèvent tôt

Quand on est à la tête d’un business il y a une ressource qui fait toujours cruellement défaut : le temps. Pour palier à ce « problème » beaucoup d’entrepreneurs décident de commencer leurs journées très tôt. Alors qu’est-ce qui fait que les premières heures de la journée sont si favorables à l’augmentation de votre productivité et à l’accomplissement des tâches qui doivent être effectuées ? Voici quelques éléments de réponse qui vous pousseront peut-être vous aussi à mettre le réveil un peu plus tôt.

Dans son livre intitulé What The Most Successful People Do Before Breakfast (Portfolio Trade, 2013), Laura Vanderkam nous explique pourquoi ce moment de la journée est si spécial et propice à l’efficacité.

Plusieurs facteurs explicatifs :

Vous êtes moins susceptible d’être dérangé le matin

Quand on est entrepreneur les journées ont tendance à passer à une vitesse telle qu’on ne se rend souvent pas compte de l’avancement du temps. Si bien que si vous attendez l’après-midi pour faire des choses pour vous-même, comme de la lecture ou de l’exercice, vous allez probablement être contraint d’annuler pour effectuer d’autres tâches. Il y aura forcément quelque chose qui fera que vous ne pourrez pas vous accorder ce temps pour vos tâches personnelles dans l’après midi. 

En plus du temps que vous dégagez pour vos tâches personnelles sans interruption, le matin est également propice à la réflexion sur les points stratégiques et complexes. Vous pouvez vous concentrer entièrement sans risquer d’être interrompu par un coup de fil ou autre chose de moindre importance.

Votre volonté est plus forte le matin

Votre volonté est souvent plus importante le matin qu’en fin de journée. L’auteur de l’ouvrage nous montre que même votre volonté peut s’épuiser au fil des heures. Au cours de la journée vous devrez prendre des décisions, traiter avec des personnes parfois désagréables, si bien que vous n’aurez pas forcément la lucidité pour traiter les sujets les plus importants dans l’après midi ou la soirée.

Se lever tôt permet de bien lancer sa journée

Tout le monde sait que commencer la journée par un échec ou avec du retard va avoir un impact sur votre humeur et votre productivité de la journée. Se lever tôt constitue déjà une victoire qui vous met sur de bons rails pour la suite de votre journée.

Les quatre étapes pour parvenir à se lever plus tôt

Si pour vous aussi sortir du lit au lever du jour est une torture, pas de panique. L’auteur nous propose quatre étapes pour forcer sa nature.

1. Tenir un “time journal”.

Beaucoup de personnes n’aiment pas le matin uniquement parce qu’elles veillent trop tard le soir et ont par conséquent des difficultés à se réveiller ou à rester éveillées le matin. Laura Vanderkam recommande donc de tenir ce qu’elle appelle un “time journal” pendant une semaine par exemple pour repérer où vous perdez du temps. Pour mieux utiliser votre temps la première étape est de savoir comment vous l’utilisez actuellement. Écrivez ce que vous faites le plus souvent possible.

Vous vous rendrez probablement compte que ce qui vous fait veiller tard n’est pas particulièrement urgent et pourrait être fait avant. En faisant cela vous vous donnez les moyens de mieux vous organiser pour ne pas avoir à veiller tard et donc pour pouvoir vous lever plus tôt le matin, quand votre productivité est à son maximum.

2. Imaginer sa matinée parfaite.

Pour vous motiver vous pouvez commencer par imaginer ce que vous pourriez faire si vous aviez une heure en plus dans la journée. Peut-être liriez vous, ou bien feriez vous de l’exercice. Peut être en profiteriez vous pour lire les journaux au lieu de simplement jeter un coup d’oeil aux titres. Vous prendrez conscience que se lever plus tôt n’est pas une punition mais au contraire quelque chose de bénéfique, à tout point de vue. Vous ne trouverez pas la force de sortir du lit si vous n’êtes pas convaincu d’une bonne raison de le faire.

3. Planifier sa matinée.

Une fois que vous avez decidé de ce que vous voudriez faire de votre temps supplémentaire, il est temps de penser à la manière donc vous allez executer ces « tâches ». Il est important de préparer un maximum de choses la veille pour vos activités du matin. Par exemple si vous comptez vous lever tôt pour faire de l’exercice, vous pouvez préparer la veille le matériel et les habits nécessaires.

4. Prendre le temps de se construire de nouvelles habitudes.

Si vous tentez de changer vos mauvaises habitudes d’un coup vous allez simplement vous retrouver chaque matin à écraser le bouton snooze de votre réveil pour vous rendormir juste après. Vous pouvez à la place, par exemple, avancer votre alarme de 10 minutes chaque jour. Vous pouvez commencer également en vous couchant plus tôt, le temps de vous habituer.