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Ashton Kutcher, ingénieur produit pour Lenovo

L’acteur, Ashton Kutcher, bien connu pour s’impliquer dans les personnages qu’il incarne aurait-t-il trouvé sa voie après son interprétation de l’iconique fondateur d’Apple ? Ou peut-être que sa carrière déjà bien remplie le pousse à se lancer d’autres défis ? C’est l’impression qu’on a en lisant cette ligne dans son cv : ingénieur produit.

De JOBS au job?

Non, ce n’est pas le titre du prochain film de l’interprète de Steve Jobs dans le biopic qui sort le 21 Août dans les salles obscures ;  ce n’est pas non plus une reconversion professionnelle de l’acteur. Car même si la crise peut pousser à changer de métier, on ne peut pas dire que l’américain en soit arrivé là. 

On avait bien compris que le constructeur chinois allait se plier en quatre avec Lenovo mais on s’attendait moins à ce que soit associée, au dit produit, l’image d’un acteur hollywoodien. D’ailleurs on se demande en quoi consistera cette mission « d’ingénieur produit », car si officiellement l’acteur sera chargé de contribuer au développement des tablettes convertibles Yoga, il donnera des pistes et prendra des décisions sur des sujets comme le design, les caractéristiques techniques et le software embarqué de la gamme. 

Un coup de com ?

Un sacré programme en somme. De quoi faire sourire les écoles de commerce. Nul doute que le rôle de l’interprète de Steve Jobs sera de mettre son image au service de la vente grâce ce à sa bonne bouille d’acteur. Il faut souligner aussi que The Verge précise qu’Ashton Kutcher participe déjà à d’autres projets tels que Skype, Airbnb ou encore le réseau social Path. Notre grand amateur de technologie pourrait donc potentiellement apporter une réelle plus-value à Lenovo, si bien sûr, il trouve quelqu’un pour l’écouter.

Quelle vidéo pour quel projet ?

Lorsque l’on se lance dans la création d’une vidéo, il est important de se poser une question technique importante : quel type de vidéo vais-je utiliser pour faire passer mon message ? Effectivement, avant de se lancer tête-bêche dans la réalisation de son film, le passage vers cette étape de réflexion technique est primordial. Mais cette étape est aussi en lien très fort avec la façon de vouloir capter le client potentiel. Pour ce faire, il est donc important d’activer à bon escient le cerveau du spectateur et d’utiliser les codes qu’il connait.

La publicité « classique »

Le premier type de vidéo que l’on peut utiliser est la « publicité classique ». Vous allez raconter une histoire, comme un court-métrage ; en jouant sur la suggestion et l’imitation. Ainsi, vous aller activer des zones précise de notre cerveau et notamment, le cerveau-miroir. Les acteurs et actrices qui vont jouer la scène, des personnes connues de préférence, vont porter ou utiliser le produit à vendre. Le client final va, par conséquent s’identifier aux personnages de la publicité pour acheter le produit. Lorsque le scénario est bien construit et que la personnalité est bien choisi, cela fera mouche quasi systématiquement. Notre besoin d’appartenance et l’effet miroir va donc être activé pour mettre en place l’acte d’achat. Le format de ces publicités (ou même de tout type de vidéo) est tout aussi important. Le cerveau a besoin d’être capté intensément dans un laps de temps très court. C’est pourquoi une vidéo de ce type d’une durée comprise entre trente et quarante seconde est idéale. C’est d’autant plus vrai lorsque l’on souhaite communiquer sur Internet où le temps de cerveau disponible est très court.

La vidéo qui active le cerveau de la connaissance

Mais il existe aussi d’autres façons de jouer sur notre cerveau en fonction de la cible que l’on souhaite toucher. Certaines personnes seront plus sensibles à ce que l’on active le cerveau de la connaissance, du langage et de la mémoire. C’est pourquoi, il est privilégié d’utiliser des vidéos de type « How To ». C’est-à-dire des vidéos démonstratives, à l’opposé d’une vidéo de type « publicité classique ». En moins d’une minute et trente secondes de préférence, il faudra montrer comment fonctionne ou s’utilise son produit, la société qui fera réaliser ce type de vidéo pourra se positionner en tant qu’expert dans son domaine et acquérir la confiance de ses clients.
… ou le cerveau des émotions et sentiments

Pour les personnes qui sont plus sensibles au cerveau des émotions et des sentiments, on préférera une vidéo plus posée et plus longue où le chef d’entreprise, un salarié ou toute autre personne travaillant dans l’entreprise prendra la parole face caméra pour parler du produit ou du service. Bien évidemment, en fonction du projet, chaque vidéo peut-être plus ou moins longue et être tout aussi efficace si le scénario est bien construit.

Une vidéo efficace est une vidéo réfléchie

Il existe bien évidemment différents autres types de vidéos comme l’interview, le clip musical, le full motion design, les émissions en direct sur internet ou encore les web séries. Mais comme toutes actions de marketing et avant de se lancer dans la réalisation d’une vidéo, il est important de valider 3 fondamentaux : sa cible, son message et les moyens d’y parvenir. En prenant le temps de faire un brainstorming réfléchi et intelligent, il est donc possible de réaliser des vidéos efficace et de décupler ses ventes.

Le jour où arriva le community management…

Le community management est depuis quelques années un terme à la mode, et pour cause, les réseaux sociaux sont partout, tout le monde en parle et se doit d’y être. Que se soit les personnalités, les entreprises, ou les particuliers, il semble incontournable aujourd’hui d’avoir une présence sur les réseaux sociaux, pour interagir avec ses amis/fans/followers. 

Un bon support de communication pour les jeunes entreprises…

Facebook compte 25 millions d’abonnés en France, Twitter plus de 5 millions. Pour une jeune entreprise innovante, la communication sur les réseaux sociaux propose de nombreux avantages. Tout d’abord, cela montre l’image d’une entreprise jeune, actuelle, à jour des nouveaux modes de communication. Vos clients, s’ils ont reçu une bonne qualité de service, viendront sur votre page partager avec plaisir leur expérience avec d’autres utilisateurs du réseau.

Si votre cible est jeunes urbains intéressés par la nouveauté, généralement très présents sur les réseaux sociaux. Ils viennent chez nous vivre une expérience, un moment d’échange autour de la cuisine, qu’ils poursuivent chez eux lors de la dégustation avec leurs proches. Ils ont souvent plaisir à partager leur expérience sur notre page, en racontant leurs ateliers et en postant des photos de ceux-ci.

Ensuite, le coût de départ est faible : créer une page Facebook ou un compte Twitter est gratuit, quel moyen de communication peut potentiellement vous permettre de toucher 25 millions de personnes, sans dépenser d’argent (du moins dans un premier temps) ? 

…Pas si facile à manier…

Mais tout n’est pas si rose dans le monde du Community Management. Il ne suffit pas de créer sa page ou son compte, et d’y poster quelques infos pour attirer des fans/followers et créer de la viralité. C’est un travail de longue haleine, il est important de bien réfléchir aux objectifs que l’on souhaite atteindre, et donc à la stratégie à adopter pour cela, avant de se lancer. Il vous faudra tester beaucoup de choses avant de voir ce qui fonctionne et ce qu’il vaut mieux éviter ! De plus, les risques d’une mauvaise stratégie de communication sur Facebook sont bien réels : les infos pouvant être relayées à la vitesse de l’éclair, un bad buzz nuisible à l’image de l’entreprise peut vite arriver ! Même si je n’ai jamais été confronté à cela, il faut rester vigilant, la frontière entre image fun et de mauvais goût peut-être mince. 

…mais en perpétuelle évolution. 

Le monde des réseaux sociaux évolue constamment : de nouveau sont créés régulièrement, et de nouvelles fonctionnalités sont souvent ajoutées aux réseaux existants (notamment sur Facebook et Twitter). Il est donc important d’être toujours à l’affut de ces évolutions, afin de ne pas avoir un train de retard par rapport à ses concurrents !

Le cloud computing : à quoi ca sert ?

Le Cloud Computing consiste à externaliser sur des serveurs accessibles depuis internet le stockage de vos données et de vos logiciels. Il a ainsi un double objectif : décharger l’utilisateur des problématiques serveur et lui permettre de disposer de ses données et de ses outils où qu’il soit, dès qu’il a une connexion Internet.

On peut penser que le Cloud Computing ne concerne que quelques férus de nouvelles technologies et les startups du web. Erreur! C’est en fait une technologie à la portée de tous qui donne de la souplesse et de véritables avantages aux TPE et PME.

Il existe de très nombreux et différents outils fonctionnant dans le Cloud (client mail, gestion commerciale, CRM, banque…) qui fonctionnent tous sur le même principe. Ainsi, que vous alliez consulter vos mails, récupérer vos relevés bancaires ou réserver un billet de train, un serveur stocke l’information, le programme (gmail et vos emails par exemple) et l’utilisateur les consulte via Internet.
Notez que ce n’est pas seulement des données qui sont disponibles depuis Internet, c’est aussi les outils qui permettent de les exploiter. Ainsi, ce n’est pas uniquement les chansons qui sont dans le Cloud, c’est aussi le logiciel pour les écouter avec Deezer et Spotify par exemple.

Il existe ainsi de très nombreux avantages à utiliser des outils en mode SaaS (qui fonctionnent dans le Cloud) et à mettre ses données dans le Cloud quand on est une TPE et PME. En effet, les spécificités de ce dernier assurent une grande souplesse aux entreprises et donc une plus grande réactivité et une meilleure organisation.

Partager et exploiter l’information

Dès lors que vos données et vos outils (logiciels de gestion commerciale, gestion client ou gestion de trésorerie par exemple) sont dans le Cloud, vous pouvez y accéder et les exploiter depuis n’importe quel terminal (ordinateur, tablette…) connecté à Internet. Il est donc très simple de partager vos données avec vos équipes nomades où celles installées sur d’autres sites que vous.
Il est donc aussi envisageable d’ouvrir un accès à des externes (prestataires…) sans qu’ils aient besoin d’être dans vos locaux. Vous pouvez ainsi éviter de nombreux échanges de clés USB, de mails ou de cd avec votre expert-comptable en lui ouvrant un accès sur votre gestion commerciale pour qu’il puisse accéder en ligne à l’ensemble de vos documents commerciaux et donc réaliser votre comptabilité.
Le travail collaboratif devient extrêmement souple avec le Cloud Computing puisqu’il permet de s’affranchir des contraintes géographiques, des contraintes horaires et des contraintes matérielles.
Ainsi, votre commercial pourra créer un devis à Bordeaux, son manager pourra le valider et le transformer en facture à Lille, le marketing pourra l’analyser à Paris, le gérant pourra suivre les flux de trésorerie que cette vente implique et l’expert-comptable pourra la comptabiliser depuis ses bureaux… et tout ça en direct, sans export ou clic supplémentaire!

Accès mobiles

Dans la mesure où vos données sont disponibles depuis Internet, l’endroit où vous êtes n’a plus d’importance. Vous pouvez donc être à mille kilomètres de vos bureaux, vous pouvez encore travailler. Ainsi, que vous soyez chez un client, à la gare ou dans vos locaux, vous pouvez travailler et consulter vos données.

Connexion entre plusieurs logiciels via API

Un autre avantage (et pas des moindres) d’utiliser ses logiciels dans le Cloud est de pouvoir les connecter/lier avec d’autres logiciels. Ce lien permet à la fois de profiter des avantages des différents services en même temps mais en plus d’avoir de nouvelles fonctionnalités.

Ainsi, si nous prenons l’exemple du CRM et de l’emailing, le lien entre ces deux logiciels permet d’une part de définir facilement la cible que l’on veut toucher avec sa campagne et d’autre part d’analyser les résultats de cette dernière en utilisant les données que vous avez dans le CRM.

Plus concrètement, vous voulez envoyer un emailing à tous vos clients de plus de 20 salariés, basés en France et travaillant en BtoB. Vous allez pouvoir faire ces filtres dans votre logiciel de CRM et retrouver ces contacts dans votre outil d’emailing. Une fois la campagne expédiée, vous pourrez analyser les taux d’ouverture ou de clic par secteur d’activité ou région de France par exemple. Ainsi, les deux services ne font pas uniquement que s’additionner, ils s’enrichissent.

Votre société peut donc gagner beaucoup en souplesse car vous pourrez construire très simplement votre « propre » outil avec différents logiciels. Ainsi, les données que vous avez dans votre logiciel de gestion commerciale et celles de votre logiciel de gestion de trésorerie ne sont plus cloisonnées. Vous pouvez les croiser pour en sortir de nouvelles analyses et pour améliorer l’efficacité de votre société sans avoir besoin de ressaisir les données plusieurs fois.

Il y a donc deux vrais avantages à la simplicité d’interconnexion des logiciels en mode SaaS : le gain de temps puisque vous ne saisissez vos données qu’une fois et l’amélioration du traitement des données dans la mesure où les outils que vous utilisez vont s’enrichir.

Plus de contrainte matérielle

Un autre élément qui va ajouter de la souplesse à votre entreprise avec le Cloud est l’affranchissement aux contraintes matérielles. En effet, dans la mesure où vos logiciels et vos données sont dans le Cloud et que vous utilisez des outils en mode SaaS, la gestion des serveurs, de la sécurité, des mises à jour… est comprise dans l’abonnement que vous prenez chez vos prestataires. Vous n’avez donc plus à vous soucier des serveurs, des données et de leur sauvegarde.

Votre entreprise ne sera ainsi plus limitée par les contraintes techniques liées à votre matériel et votre budget (trop petit serveur, serveur non mis à jour…) et vous n’aurez plus à travailler avec des machines potentiellement lentes et sous-dimensionnées. A cela s’ajoute la problématique des sauvegardes qui implique de mettre en place des processus contraignants pour garantir la pérennité des données. Cette tâche ne vous incombant plus, vous n’avez plus de contrainte à faire peser sur vos équipes (arrêt des machines pour mise à jour ou pour sauvegarde…).

En conclusion, le Cloud accroît l’efficacité et la souplesse des sociétés dans la mesure où il permet de :

  • travailler à plusieurs sans contrainte (technique, horaire, géographique…)
  • gérer à la carte les logiciels et donc les fonctionnalités utilisées
  • ne plus s’occuper de tâches longues, compliquées et contraignantes liées à la technique
  • gagner du temps en limitant les ressaisies
  • faire des économies

Créer son propre emploi marketing en devenant indépendant

Créer son propre emploi marketing et devenir indépendant a de quoi séduire. Mettre à profit son expérience dans un domaine précis pour devenir autonome est une démarche professionnelle qui séduit plus de 250 000 personnes chaque année, cadres, ouvriers, salariés, demandeurs d’emploi… Un vrai défi certes. Mais pas aussi difficile que vous pourriez l’imaginer. Il suffit d’être vigilant et ne pas se lancer tête baissée dans une aventure qui pourrait vite tourner court.

La mise en place d’un marketing stratégique


Trouver le bon concept – Aussi évident que cela puisse paraître, dénicher l’idée novatrice est la clé d’un bon départ. « Est-ce que mon idée est bonne ? » Telle est l’éternelle question de tout candidat à la création d’entreprises. Pour cela, utilisez votre expérience professionnelle ou votre savoir-faire personnel dans un domaine particulier. Votre idée peut naître d’une innovation technologique ou de circonstances favorables au marché. Elle peut aussi répondre à une demande en forte croissance, exister depuis longtemps et être modifiée, modernisée. Gardez à l’esprit que les concepts les plus simples et les plus évidents auront généralement le plus de chances d’aboutir.

L’importance de l’étude de marché – Vous devrez ensuite analyser la faisabilité de votre projet et ses chances de réussite en examinant sa viabilité, car sans marché, pas de clientèle ! L’étude de marché s’impose comme une étape obligatoire, quelle que soit la taille de votre future entreprise. 

Pour cela posez-vous les bonnes questions : /p>

  • À qui vais-je vendre mes produits ou mes services ?

  • Mon offre répond-elle à un besoin ?

  • Où vais-je implanter mon entreprise ?

  • Comment vais-je vendre mes produits ou mes services ?

  • Y a-t-il de la concurrence directe ou indirecte ? (La demande est déjà pourvue ou des produits différents peuvent être vendus et répondre au même besoin que votre offre)

  • Le marché se situe-t-il sur un plan local, régional, international ?



Choisir le bon statut – Plusieurs formes juridiques sont possibles. Il suffit d’opter pour celle-là plus appropriée à la future activité. Le choix sera dicté par plusieurs facteurs, votre patrimoine personnel et votre souhait de rester seul ou de vous entourer d’associés. Plusieurs formules s’offrent à vous. Si vous êtes seul, le statut d’autoentrepreneur vous permet de démarrer une activité indépendante de la manière la plus simple qui soit. Vous avez également le choix entre l’E.I (Entreprise Individuelle), l’EIRL (Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée), l’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée). Enfin, si vous êtes entouré d’un ou plusieurs associés, la SARL (société anonyme à responsabilité limitée) ou la SA (société anonyme) sont primordiales.

La publicité, une étape importante



Faire de la publicité est un moyen de se faire connaître, d’être vu, lu ou/et entendu. Le meilleur produit du monde n’aura jamais le succès qu’il mérite si personne ne le connaît ! Une bonne publicité permet de décupler les ventes. La concurrence devenant féroce, il est nécessaire pour toute entreprise de faire de la publicité pour se maintenir et progresser.
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Une action publicitaire va ainsi informer, persuader et rappeler. Les 4 étapes réussies d’une bonne publicité se résument donc à :



  • Attirer l’attention

  • Susciter l’intérêt

  • Créer le désir

  • Pousser à l’achat



Les méthodes publicitaires sont variées. Les experts en ce domaine estiment que la publicité à la télévision offre une excellente couverture, que celle diffusée dans la presse est la plus porteuse et celle sur Internet la moins coûteuse.r />On étudiera les habitudes du public ciblé en matière d’information et le choix du support. Le produit s’adresse à une population âgée ? Télévision et magazines lus par le 3ème âge seront privilégiés. Plus jeune ? L’accent sera mis sur les réseaux sociaux via le web (Twitter, Facebook, Youtube, etc.) Le message sera adapté en fonction du support : un long descriptif est indiqué pour le cas d’un périodique, mais pas pour une campagne email. Le message devra également porter des titres accrocheurs assortis d’offres promotionnelles.

Du Marketing stratégique au Marketing opérationnel



Après cette phase de création, de marketing stratégique, vous devrez vous orienter vers une stratégie de marketing dit opérationnel qui va mesurer l’efficacité de la campagne, à savoir l’efficacité de votre publicité en termes de communication et en termes de ventes. Vous devrez vérifier la fréquence des visites pour adapter vos orientations générales afin de modifier éventuellement le prix de vos produits, le canal de distribution, la place en rayons, le choix du support publicitaire…

Les enquêtes de satisfaction restent un bon outil pour révéler et mesurer l’écart entre les prévisions et la réalité, mesurer la satisfaction des consommateurs et pour identifier les points de progrès. L’enquête est un outil pertinent pour promouvoir l’entreprise.
C’est en mesurant l’efficacité de chaque paramètre de votre présence en ligne et off ligne, puis en ne cessant d’y apporter de micro ajustement avant d’en analyser les conséquences sur vos résultats que vous trouverez la bonne marche à suivre. Testez ainsi sans relâche, éliminez ce qui ne fonctionne pas et améliorez ce qui marche et petit à petit vous construirez une véritable entreprise en ligne.

Singapour mon amour

Vous êtes le créateur du prochain Apple, Facebook ? Vous avez dans votre sac la recette de la prochaine entreprise à la success story fulgurante ? Vous parlez anglais ? Vous n’avez pas peur de l’aventure ? Si vous répondez à ces questions par l’affirmative, alors c’est à Singapour que vous devez aller faire des affaires.

Et le gagnant est… Singapour

« Doing business » un classement des réglementations les plus favorables aux petites et moyennes entreprises de 189 pays différents. Au sommet de ce classement, Singapour, la région administrative spéciale  de Hong Kong ( Chine) la nouvelle Zélande, les USA, le Danemark, la Malaisie, la république de Corée, la Géorgie, la Norvège et le Royaume Uni.

La France au 38e rang

La France a reculé dans ce classement de 3 places et se retrouve à la 38e place derrière le Rwanda, la Macédoine ou encore le Chili. Un mauvais score  qui s’explique peut-être par le critère « transfert de propriété » sur lequel l’hexagone et le moins bien noté (149e rang mondial). D’ailleurs, les 18 places que le pays perd par rapport à l’an dernier le positionne à la 92e place. Ce n’est pas sur les aspects de création d’entreprise que la France va refaire son retard puisqu’elle y a aussi reculé de 12 places pour en arriver au 41e rang.

Créer une entreprise, le parcours du combattant

« En moyenne à l’échelle mondiale, il faut compter 7 procédures, 25 jours et des coûts représentant 32 % du revenu par habitant pour créer une entreprise« , souligne le rapport de la Banque mondiale. « A cela il faut rajouter la durée moyenne des délais au niveau mondial et tous les efforts que la nouvelle entreprise devra fournir pour réaliser toutes les autres transactions (dont le paiement des impôts) », ajoute-t-elle.  Il faut donc réduire le coût  et la complexité des procédés administratifs, rappelle l’institution. La Banque mondiale félicite cependant les efforts réalisés par l’ensemble des Etats et plus particulièrement par les économies à faibles revenus.

Le retour d’expérience, étape incontournable de culture de crise

« Les savoirs sont dans le ventre les uns des autres, ils sont mêlés comme des chemins de vaches » (proverbe africain). Il y a quelques semaines, nous avions développé la théorie du travail de retour d’expérience, le fameux « Retex ». Toute la pertinence d’un Retex peut dépendre de sa bonne exploitation.. ou pas ! Démonstration en quelques exemples.

Buffalo Grill… Puis Quick ensuite

Le 18 décembre 2002, l’enseigne Buffalo Grill est mise en examen sur la plainte de familles de clients réguliers, victimes de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Le 27 décembre 2002, l’entreprise admet un écoulement de viande britannique.

L’analyse des évènements montre plusieurs éléments :

  • Des conséquences immédiates et désastreuses. Perte de crédibilité; image de marque détériorée; forte baisse de la fréquentation; chute de la cotation du titre en Bourse. 
  • Une faiblesse initiale en communication incontestable et un déni de la situation.
  • Une réaction offensive brutale après 10 jours de silence. La marque fait appel à une agence extérieure (Image Force) pour une campagne de plus d’1 M€, traitant deux axes : Buffalo traverse l’épreuve avec force et courage, Buffalo affiche en toute transparence, la qualité et la traçabilité de ses produits.

Deux ans après, l’enseigne a renoué avec la croissance et retrouvé ses clients. Elle envisage même d’ouvrir de nouveaux restaurants. Elle a su, dès son premier RETEX, repérer ses forces et capitaliser (revoir le premier paragraphe de la première partie : lien) sur elles (accueil des clients, force de la chaîne, professionnalisme,..), identifier les points négatifs (essentiellement l’absence de communication offensive) et mettre en œuvre les décisions d’amélioration avec volonté.

Cela n’a pas été perdu de vue par l’enseigne Quick qui, neuf ans plus tard, se retrouve plongée dans le même marasme. Le 22 janvier 2011, un adolescent dine d’un hamburger dans un restaurant Quick. Il décède dans la nuit après des maux de tête et des vomissements. Une véritable crise médiatique débute instantanément. Le restaurant incriminé est fermé.

Dès le 24 janvier, Quick lance une politique de communication volontariste : révision de son site Internet, page Facebook dédiée, messages et vidéos plutôt que communiqués de presse, recours à des experts. Le groupe a joué la carte de la transparence, faisant taire les rumeurs naissantes. Très vite, malgré la mise en examen du Directeur du restaurant, la marque Quick retrouve ses clients et son image.

Elle a su valoriser l’expérience acquise, sensibiliser (tel qu’expliqué dans la partie son : lien) le personnel sur l’amélioration des processus, mettre en œuvre les actions fortes tirées des RETEX extérieurs.

Accident du Concordia

Le navire de croisière Costa Concordia a heurté, dans la nuit du 13 au 14 janvier 2012, un rocher près de l’île de Giglio (Italie), provoquant la mort de 32 personnes.

Il ressort du RETEX (Cdt B. APPERRY, Expert Maritime ISO/ISM/ISPS) 4 points importants :

  • Cet accident est bien la conséquence d’une grossière erreur de navigation.
  • La communication en situation de crise a été inexistante du fait des nombreuses langues de l’équipage et des passagers. 
  • L’équipage international a été inopérant dans le processus d’évacuation.
  • La Compagnie n’avait pas vraiment agi envers les comportements « risqués » voire irresponsables (passages au plus près des côtes, compétitions entre capitaines) de son personnel. Elle n’a pas aidé non plus son équipage pendant la crise.

Les leçons ont été partiellement retenues par Costa Croisière. Quelques exemples :

– Dans la nuit du 6 au 7 février 2012, un incendie se déclare à bord du Costa Voyager alors en mer rouge, provoquant la panique des voyageurs (bien gérée par l’équipage italien) et de gros dégâts matériels sans pertes humaines.
La compagnie a peut-être compris que la langue est d’importance primordiale dans la panique. La majorité des personnes à bord pratiquaient l’italien. Des flyers en plusieurs langues avaient été distribués. Ce point négatif semblait avoir été identifié. Le navire reprendra rapidement sa route.

– Le 27 février 2012, un incendie se déclare à bord du Costa Allegra en Océan indien. Le bâtiment, touché aux hélices, dérive une journée avant d’être remorqué vers les Seychelles. Du fait de l’incapacité de l’équipage à faire face, les passagers vivront trois jours sans eau ni électricité, dans des conditions sanitaires déplorables. Il n’y aura toutefois pas de victimes.
Cinq semaines après l’accident du Concordia, la direction n’a pas valorisé l’expérience acquise en faisant connaître les conclusions des RETEX à tous ses équipages. Une seule peut-être : le navire, ancien, finira chez les ferrailleurs turcs en octobre 2012.

Analyser et exploiter les retours d’expérience internes ou externes à l’entreprise sont des actions indispensables pour s’assurer les meilleures chances de réponse et de réactivité face à une crise potentielle. Elles ne demandent que du temps et de la volonté. Mais le retour sur investissement est sans commune mesure. A vous de jouer !

Sexe au travail : les femmes prennent les choses en main

Non, vous n’êtes pas dans la rubrique coquine de votre magazine préféré ; c’est juste que, la dernière étude eDarling effectuée sur 1790 membres célibataires montre que les hommes en parlent, les femmes, elles, le font ! Messieurs vous avez tendance à fantasmer… Prenez donc exemple sur les femmes qui, sautent le pas dans la réalité.

Je fantasme donc je suis

Une fois n’est pas coutume, les hommes et les femmes sont d’accords sur le sujet : ils fantasment tous sur leur lieu de travail. En effet, 69,7 % des hommes arborent ce sourire gaga en rêvassant sur  leurs collègues contre 55,3 % des femmes. Dans le lot, pendant que 34,7 % des femmes reboutonnent leur chemise ou réajustent leur coiffure, 31,8 % d’hommes cherchent encore les mots. D’ailleurs, quand on pose la question : « Faire l’amour au bureau, qu’en pensez-vous ? », 35,3 % des hommes répondent « J’adorerais » ( contre 20,8 % des femmes) et les femmes sont 15,4 % à répondre « C’est déjà fait ! » (contre 14,3 % des hommes).

C’est la faute du travail

Rien de surprenant pour Sabrina Philippe, psychologue et conseillère eDarling : « Nous passons la majorité de notre temps sur notre lieu de travail, et c’est également l’endroit où nous fréquentons le plus de personnes dans une proximité quotidienne, il est donc normal que cette intimité puisse dériver vers des relations sortant du cadre professionnel. Le cloisonnement de nos comportements et sentiments en fonction du lieu où nous nous trouvons est en réalité factice, nous séduisons, aimons, détestons, sympathisons en permanence, dès que nous sommes face à l’autre ».

007 ou presque

Par contre pour ces coquins du bureau ou de la photocopieuse, pour ces stratèges de l’ascenseur ou du couloir peu éclairé,  il est important de rester discret concernant sa vie privée. Ils ne sont pas nombreux (10 %) à rédiger leur lettre de démission une fois redescendu du septième ciel, ou du troisième selon les cas…Par contre ils sont plus unanimes (50 %) à déclarer que pour vivre heureux, il faut vivre caché et plus de la moitié à considérer qu’une telle relation demande une grande organisation; une vie d’agent double en somme.

Après la sieste, allons goûter du logiciel !

À l’origine, une initiative de Julien Dorra et de Jonathan Perret. Aujourd’hui, c’est un phénomène qui se produit un peu partout et qui prend de l’ampleur. Son nom ? Les « coding gouter ». Le but ? Tout simplement, apprendre les bases du codage logiciel, tout en goutant. Ah oui, au fait, vous ne pouvez y assister qu’en présence de vos enfants. Explication. 

Tout commence en 2011. Jonathan Perret, développeur logiciel, et Julien Dorra, consultant en créativité technologique, se posent la même question : comment partager avec leurs filles la passion du codage ? Plutôt, comment apprécier ensemble la créativité découlant du code ? Même si seul Jonathan en a fait son métier, ils sont tous deux férus de programmation depuis leur plus jeune âge, qu’ils ont appris en autodidacte. Ils cogitent, ils se renseignent. D’abord le fond. Faut-il créer une appli iPad, ou plutôt rester sur des logiciels ? Puis la forme. Un cours, un atelier ? Sachant que la vie de famille peut déjà être très chargé, entre les sorties et les impératifs familiaux.

Et puis, un jour de décembre 2011, ils se lancent. Jonathan invite pour un gouter pas comme les autres plusieurs parents, accompagnés de leurs enfants de 5 à 16 ans, de gâteaux, et de bonne humeur. Pas de cours, pas d’atelier. Tout simplement un gouter festif. 

Le bon format pour apprendre

Leur credo (que l’on peut retrouver sur leur Facebook https://www.facebook.com/groups/codinggouter) résume le mouvement : On n’apprend (toujours) pas la programmation à l’école ? Amusons-nous avec nos enfants à coder en mangeant des gâteaux et des bonbons ! 
À l’aide d’un animateur, c’est 3h30 qui s’écoulent au gré de la curiosité des enfants. Des outils de codage semi-visuels à la portée de tous sont utilisés, comme Scratch ou RobotZone. Des petits passionnés tentent même d’utiliser X-code, le logiciel de développement d’Apple. Un petit spectacle à la mi-temps permet de montrer les prémices de logiciels créés par les développeurs en herbe. Vu l’enthousiasme de chacun, l’expérience est reconduite. Plusieurs fois. Certains assidus sont présents à chaque rendez-vous, heureux de pouvoir présenter leurs découvertes personnelles depuis la rencontre précédente. 

Des « coding gouters » qui s’organisent un peu partout

Au départ, les rencontres avaient lieu dans les locaux professionnels de Jonathan. Puis, de goûter en goûter, des parents sont conquis. Certains, qui venaient de loin, décident de reproduire la même chose dans leur ville. Lille, Bordeaux, Troyes… Les « coding gouter » deviennent un petit mouvement national. 

Même sur Paris, la formule évolue. La Fondation Mozilla, La Cité des sciences… ces goûters pas comme les autres, qui s’organisent quelques semaines à l’avance comme on organiserait un goûter d’anniversaire, se font inviter par des structures innovantes. Pourquoi un tel succès ? Les facteurs sont nombreux. Mais déjà, l’activité familiale joue beaucoup. En effet, pour Julien Dorra, « ce n’est pas parce qu’on accompagne ses enfants à la piscine qu’on veut les faire devenir des nageurs professionnels ». C’est identique ici : on code pour s’amuser, passer un moment en famille, sans chercher à ce qu’ils deviennent professionnels en la matière.

Et pour les adultes ? 

« Des adultes sans enfants viennent régulièrement me demander pour assister » constate Julien Dorra. Pour lui, il y a un réel manque dans le domaine de l’apprentissage du codage chez les adultes. Il croise régulièrement de jeunes entrepreneurs, refoulés de différents incubateurs pour cette raison. De plus en plus de logiciels sont « à la base des points clés de la startup », et structurent l’ensemble du projet : pour créer sa base de données, son système de réservation ou de commande en ligne, ou son application. Ces jeunes sont un peu obligés d’externaliser, ce qui est très souvent impossible pour des boites qui débutent. Peut-être qu’une forme de « Coding gouter » pour adulte pourrait voir le jour ? Rester à l’affut…

Pour aller plus loin: http://codinggouter.org/

Avant de vous lancer, jetez un œil aux métiers du futur

Les années passent. De nouvelles technologies apparaissent, et d’autres se développent. Et pendant que vous cherchez la bonne idée innovante pour lancer votre startup, de nouveaux métiers apparaissent. Selon Thomas Frey, « 60% des meilleures professions des dix prochaines années n’ont pas encore été inventées ». Et si l’un d’eux était LA source d’inspiration qu’il vous manquait ? Le think tank américain Sparks & Honey fait la liste des 20 métiers (pas si) insolites qui nous seront bientôt possibles de faire. Petit tour d’horizon des perspectives et des métiers du futur des dix prochaines années.

Expérimentateur par procuration 

Le monde d’aujourd’hui est plein d’aventure. Saut en parachute, escalade de l’Himalaya, ou plongée par 100 mètres de profondeur… Pourtant, peu font le pas. Peur, phobie, problème de santé… Peu importe la raison. Dans l’un de ces cas, vivez l’escapade par procuration. Armé de dispositif tel que des Googleglass, ou des systèmes audio-vidéo portatifs installés dans le dos, cet aventurier recueille les expériences pour que vous les viviez sans bouger de votre fauteuil.

Désorganisateur d’entreprise 

Oui oui, c’est bien sérieux. Certaines entreprises qui voudraient se donner un nouveau souffle et retrouver la vigueur de leur début en startup feront appel à cet expert qui mélangera les hiérarchies pour y instaurer une nouvelle culture et un chaos organisé.

Tuteur de curiosité 

Aujourd’hui, tout va vite, très vite. Nous ne sommes plus dans une culture de la découverte, mais dans une culture de la demande (à Wikipédia, à Google…). Ce conseiller personnel vous (ré)apprendra « l’art de flâner », et pas seulement pour vous donner l’inspiration et éveiller votre curiosité, mais bien dans le but d’enseigner « l’art de la découverte » et la sérendipité.

Imprimeur-bricoleur 

Avec la démocratisation des fameuses « imprimantes 3D », des spécialistes de l’impression « d’objet » verront le jour. Pour dépanner ou pour bricoler, il vous suffira de quelques dizaines de minutes pour vous faire fabriquer le petit morceau de plastique qu’on casse et qu’on met toujours des mois à retrouver en magasin.

Pilote de drone

LE métier de nos futurs adolescents, déjà habitués à la guerre derrière-écran avec Call of Duty et autre Medal of Honor. Ces pilotes à distance feront l’objet d’une demande croissante, vu l’objectif de l’armée d’éviter un maximum de soldat sur le terrain, par sécurité et pour amoindrir les couts.

Manager digital pour décédé

Vous avez peut-être déjà pensé à ce que deviendront vos proches après votre mort. Mais avez-vous pensé à ce que deviendront vos données numériques ? Ce spécialiste sera chargé de créer, organiser, et supprimer les contenus vous concernant après votre décès. Une sorte de présence online posthume.

Conseiller personnel digital

Vous avez vos Smartphones, tablettes et pc. Chacun possède vos propres suites d’applications et sources d’information. Le tout fait vos habitudes et forme votre vie numérique. Mais les mises ajour, les découvertes de nouvelles applications utiles peuvent prendre du temps. Ce spécialiste vous recommande et maintient à jour votre matériel et vos apps.

Berger urbain

Maintenant, à votre pause de midi, que ne donneriez-vous pas pour une bonne bouffée d’air frais à la campagne ? Cette combinaison de microagriculteur et de guide vous fera visiter le côté naturel des villes. Il vous conseillera sur le développement de petites parcelles en zones urbaines.

Consultant en vie privée

Il devra connaitre votre vie dans les moindres détails. Son objectif ? Identifier les vulnérabilités en matière de sécurité personnelle, physique et en ligne. Oui, de VOTRE vie. Un peu déroutant, je l’avoue.

Conseiller en productivité

Les nouvelles technologies sont partout aujourd’hui. Il est possible avec votre smartphone d’avoir le parcours complet de vos déplacements, à pied et en voiture, avec quelle musique, ce que vous avez mangé… L’utilisation des nouvelles technologies de suivi permettrait à ce conseiller de redéfinir certains aspects de votre vie pour augmenter la productivité, et ainsi mieux combiner bien être, carrière et ergonomie.

Thérapeute de désintoxication digitale

Bon, admettons-le, nous sommes tous un peu accros à nos petites bêtes électroniques. Mais pour certain, cela rime par stress de l’hyper communication et le burnout. Cet équivalent du psy sera chargé de vous sevrer de vos appareils, en vous apprenant à vivre aussi bien sans connexion permanente.

Coach Skype

Ces conseillers de carrière préparent un individu à gérer son image, ses photos de profils et sa façon de converser. Peut être utile pour les employés timides, lors des vidéoconférences ou des conversations via Skype, de plus en plus commun.

Spécialiste du Crowdfunding

Besoin d’un financement ou de lever des fonds ? Cet expert connait et comprend tous les aspects du crowdfunding. Et il sait comment promouvoir votre produit et atteindre les fonds attendus.