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Hello, facile TILL : la nouvelle application d’entreprise-facile (Publi)

entreprise-facile, éditeur de logiciels de productivité dans le Cloud, dédiés aux TPE/PME, étend sa gamme d’applications et lance : facile TILL, une caisse enregistreuse sur iPad, synchronisée avec une interface web pour la gestion complète du point de vente, et couplée à un gestionnaire d’annonces publicitaires pour diffuser sur les écrans TV du point de vente !

facile TILL est une caisse enregistreuse tactile accessible sur iPad dédiée aux commerçants et aux entreprises commerciales mobiles, telles que les sociétés de vente à domicile ou commerçants réalisant des ventes sur des événements comme foires et salons, pour encaisser facilement leurs clients.

Offrant toutes les fonctionnalités d’une caisse, cette application permet en quelques clics de créer des tickets, encaisser, mettre en attente, réaliser des bons d’avoir ou des remboursements clients ou encore éditer le X et le Z de caisse.

Par ailleurs, facile TILL propose un accès multi-vendeurs, et ce, sans coût supplémentaire. Le nombre de vendeurs par caisse est illimité et l’accès de chacun peut-être sécurisé par un code secret.

Cette solution est synchronisée avec une plateforme web pour piloter son activité, créer un point de vente, ajouter des caisses, gérer des vendeurs et synchroniser le catalogue produits avec l’iPad. Elle offre également des statistiques de ventes détaillées par jour et par heures pour une visibilité, à tout moment, sur le chiffre d’affaire de la boutique !

Si facile TILL est une caisse complète et économique, elle est aussi originale par la fonction de diffuseur d’annonces qu’elle propose aux commerçants, pour optimiser leurs ventes ou générer des revenus complémentaires d’activité. En effet, elle permet de gérer un écran TV du magasin pour y diffuser des publicités pour ses produits ou pour ceux de partenaires. Le commerçant peut ainsi vendre de l’espace publicitaire dans sa boutique !

Pour découvrir et télécharger facile TILL, cliquez ici

Interview de Sébastien Pissavy, Cofondateur du site Jeuxvideo.com

Entretien exclusif avec Sébastien Pissavy, cofondateur du site Jeuxvideo.com

Comment avez-vous eu l’idée de créer Jeuxvideo.com ?

C’était en 1995. J’étais amateur de jeux vidéo, sans non plus être un joueur invétéré qui reste 12 heures par jour devant sa console. à l’époque, les jeux étaient très difficiles à terminer et la plupart des joueurs étaient frustrés car ils n’arrivaient pas à aller au bout. C’étaient des jeux programmés par des informaticiens pour des informaticiens : le grand public ne s’y retrouvait pas. Face à cette situation, une ribambelle de magazines délivrant des astuces de jeux sont sortis sur le marché. Ces astuces permettaient aux joueurs de débloquer les difficultés des jeux et d’aller au bout. L’idée que j’ai eue alors était de rassembler toutes ces astuces de jeux en un seul document numérique et contributif que j’ai appelé L’Encyclopédie des astuces de jeux vidéo. Mon Encyclopédie a été publiée par des magazines de jeux vidéo, ce qui m’a permis de gagner en notoriété. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré mes deux futurs associés et que, face au succès de l’encyclopédie, nous avons décidé de passer à la vitesse supérieure. Nous voulions transformer notre passion pour les jeux vidéo en vrai business.

Vous avez ensuite lancé l’encyclopédie sur Minitel ?

Oui, une société nous a proposé de créer un serveur 3615 sur Minitel. C’est ainsi que nous avons commencé à monnayer notre projet, avant même de créer l’entreprise. La consultation de l’encyclopédie sur le serveur était facturée à la minute. Même si nous n’avions pas beaucoup de trafic, cela nous rapportait un peu d’argent.

Mais vous vous êtes rapidement lancés sur Internet ?

Oui, nous avons lancé le site Internet Jeuxvideo.com en 1997, alors qu’Internet n’en n’était alors qu’à ses premiers balbutiements en France. Moi-même, je ne disposais pas de connexion Internet à l’époque. C’était bien avant que Google ou même Caramail n’arrivent sur le web. Mais un de mes associés nous a convaincus qu’Internet allait tout révolutionner et qu’il fallait qu’on s’y place le plus tôt possible. Et, comme nous étions parmi les premiers à lancer un site Internet en France, le nom de domaine Jeuxvideo.com était encore disponible.

C’est à ce moment-là que vous avez réellement créé l’entreprise ?

Exactement. Et la petite particularité c’est que, mes deux associés et moi-même, nous ne nous étions jamais rencontrés avant de signer les statuts de l’entreprise ! Nous avions travaillé à distance, chacun dans une ville différente. Je me rappelle encore de la tête des experts-comptables lorsque nous les avons sollicités pour créer l’entreprise : situés en Auvergne, ils avaient plus l’habitude de travailler avec des agriculteurs ou des commerçants qu’avec des entreprises innovantes. Et, lorsque je leur ai expliqué que je n’avais pas encore rencontré mes associés avant… je les ai sentis très sceptiques !

Mais le regard sur votre projet a vite changé ?

Quand nous parlions de l’entreprise en 1997, les gens étaient perplexes et ne croyaient pas vraiment en notre potentiel. Puis, vers 98-99, nous sommes entrés dans une autre période, cela a été un vrai tournant. Subitement, avec le gonflement de la bulle Internet, nous sommes devenus à la mode ! Nous avons appris que nous avions créé une start-up sans le savoir ! Des entrepreneurs du web levaient des millions avec un concept qui tenait sur un post-it ! Les start-ups faisaient la une de tous les journaux et nous avons pu bénéficier de cet engouement médiatique.

Avez-vous profité de l’essor de la bulle Internet pour lever, vous aussi, des millions ?

Non, car nous ne nous sommes jamais vraiment sentis dans cette mouvance des start-ups. Nous avons toujours géré l’entreprise en bon père de famille, sans dépenser l’argent que nous n’avions pas. Mais, comme nous avons vu que la valorisation de l’entreprise commençait à bien augmenter, nous avons fait le choix d’en céder 80 % en mai 2000 au groupe Gameloft. Nous avons continué à développer le site Internet avec une autonomie de décision à peu près totale. Et, en 2006, Gameloft a cédé ses actions à un autre groupe français, Hi Media. Aujourd’hui, le site Internet est devenu le plus grand média de jeux vidéo en Europe.

Vous avez finalement quitté l’entreprise l’an dernier. Pourquoi ?

Car j’avais l’impression de tourner en rond. Et puis je ne retrouvais plus dans ma situation la liberté dont je bénéficiais au départ en tant qu’entrepreneur. J’ai alors quitté l’entreprise avec de nouvelles idées de création en tête. Et, dans la foulée, j’ai concrétisé un projet qui me tenait à cœur depuis longtemps, celui d’écrire un livre pour raconter toute mon aventure d’entrepreneur.

Comment avez-vous vécu le fait de partir de l’entreprise que vous aviez vous-même créée ?

J’avoue que les premiers jours c’était difficile : je continuais à aller sur le site Internet pour vérifier que tout allait bien, qu’il n’y avait pas de bug informatique ! Cette entreprise c’était un peu mon bébé, j’ai travaillé dessus pendant 17 ans ! C’est finalement l’écriture du livre qui m’a permis de décrocher, de faire un bilan de cette aventure. Ce livre, c’est un peu comme une sauvegarde que vous faites lorsque vous venez de faire une bonne partie dans un jeu vidéo !

Auriez-vous un conseil à donner aux futurs entrepreneurs ?

Je leur conseillerais de ne pas attendre d’avoir une idée de génie, un concept incroyable qui va vous rendre milliardaire, pour se lancer. Si vous avez une idée simple qui comble un besoin non couvert, faites-le, et faites-le jeune. C’est là où nous avons le plus d’énergie et le plus de temps. Dans notre secteur, toutes les grosses réussites se font avant l’âge de 30 ans. Les Facebook, Apple ou Dell n’ont pas été créés par des retraités !

Interview de Franck Mesnel, Cofondateur d’Eden Park.

Entretien exclusif avec Franck Mesnel, ancien champion de rugby et cofondateur de la marque de vêtements Eden Park.

Devenir rugbyman n’était pas votre première vocation ?

Non, je me destinais plutôt à devenir architecte. En parallèle de mes études aux Beaux Arts, je jouais au rugby en amateur dans une équipe de 3e division. Comme j’étais assez doué pour le rugby, mes amis me poussaient à tenter l’aventure à un niveau supérieur. J’ai quand même décidé de franchir le cap, à 25 ans. Je me suis alors énormément entraîné et, un an plus tard, je me suis retrouvé sélectionné pour la première fois en équipe de France pour jouer contre les All Blacks ! J’ai mené mes deux carrières d’étudiant et de rugbyman en parallèle, puis il a fallu que je fasse un choix. J’ai finalement décidé de jouer à fond la carte du rugby.

Avec votre équipe du Racing, vous aviez la réputation d’être des joyeux lurons !

Oui, en arrivant au Racing en 1985, je suis tombé sur une bande de loustics qui avaient, comme moi, l’envie de s’amuser. Nous avons, par exemple, joué en portant des bérets basques ou avec nos chaussures peintes en doré. Ce décalage est vite devenu notre image de marque. Puis, est arrivée la première finale de la Coupe de France que nous avons joué au Parc des Princes. Nous souhaitions trouver un détail assez « classe » pour symboliser ce moment de fête. Nous avons pensé au nœud papillon et, comme notre mascotte était la panthère rose, nous avons pris des nœuds roses. Ce jour-là, malgré notre très bon jeu, nous n’avons pas gagné le titre. Mais ce petit nœud a fortement marqué les esprits et nous avons été submergés à partir de là par une vague médiatique qui nous a complètement échappé. Nous avons même sorti une chanson à cette époque et nous sommes passés 30 fois en prime time à la télévision, toujours avec nos petits nœuds roses. Ce nœud est vite devenu le symbole d’un état d’esprit jovial que nous véhiculions.

C’est à cette époque là que vous avez eu l’idée de créer Eden Park ?

Oui, je me trouvais dans l’avion direction la Nouvelle Zélande pour jouer la finale de la Coupe du monde avec l’équipe de France et je me suis dit qu’il fallait absolument faire quelque chose avec ce petit nœud rose. Avec mes amis du Racing, nous avons commencé à gamberger pour coller ce nœud et cet esprit à un produit. Nous avons pensé faire du Champagne, du vin… Puis, naturellement, l’idée du maillot de rugby est arrivée sur la table. Très vite, en 1988, une première collection se formalise et nous lançons Eden Park.

Vous avez monté l’entreprise seul ?

Non, au départ nous avons fait un tour de table avec les 3/4 des joueurs de l’équipe du Racing. Au final, nous avons été seulement deux joueurs à nous impliquer activement dans la création de la marque, Eric Blanc et moi-même. Les autres associés étaient déjà occupés par leurs carrières respectives. Mais, encore aujourd’hui, ils continuent à suivre l’évolution de l’entreprise et à nous conseiller.

Lorsque vous avez fondé Eden Park vous étiez encore rugbyman ?

Oui, nous avons monté l’entreprise tout en continuant à jouer. Comme nous n’étions pas une équipe professionnelle, nous étions obligés d’avoir une activité à côté pour subvenir à nos besoins. Donc le week-end, nous jouions les matchs et le lundi nous redevenions entrepreneurs, tout en nous entraînant trois fois par semaine. L’avantage d’avoir créé la marque à cette époque était que nous bénéficiions d’une bonne notoriété : toutes les semaines nous avions la chance d’être interviewés par la presse sportive qui ne ratait jamais l’occasion de nous demander comment se passait la construction de notre entreprise.

Comment avez-vous réussi à pérenniser la marque au-delà du coup médiatique ?

Entre 1988 et 1993, Eden Park a connu une vraie success story, ce qui a permis de faire connaître largement la marque, au-delà du simple coup médiatique. Ce succès était dû à la qualité de nos produits bien entendu, mais également à la notoriété dont bénéficiait notre équipe et nos fameux petits nœuds roses. Nous avons développé la marque petit à petit, en créant un réseau de boutiques puis un réseau de points de vente multimarques et enfin un réseau de franchises. C’est une entreprise familiale, nous ne nous appuyons pas sur des fonds extérieurs, donc nous devons être extrêmement vigilants et toujours bien anticiper.

Vous avez rapidement arrêté de vous cantonner aux simples maillots de rugby ?

Nous avons élargi la gamme au fur et à mesure en partant du simple maillot de rugby pour proposer aujourd’hui un large choix de vêtements, de l’horlogerie, de la bagagerie, des cosmétiques, des textiles de décoration intérieure… Pour développer ces nouveaux pôles de production, qui ne sont pas forcément dans notre ADN et que nous maîtrisons moins bien, nous nous sommes appuyés sur des licences.

Eden Park est une marque qui s’impose de plus en plus à l’international. Quelle est votre stratégie ?

Aujourd’hui, Eden Park est distribuée dans 34 pays, et le développement à l’international ne fait que commencer ! Il y a des zones sur lesquelles la marque plaît beaucoup, comme au Moyen-Orient par exemple. Au Canada et au Mexique également, nous connaissons de beaux succès. Nous essayons de nous développer aujourd’hui en Chine en joint venture, mais nous y allons prudemment, sans nous précipiter. J’ai beaucoup étudié la culture du pays avant que nous commencions à aborder ce marché géant où les opportunités sont fantastiques. Mais, dans tous les pays que nous abordons, le positionnement de notre marque est légèrement différent de celui que nous adoptons en France. à la demande de nos partenaires, Eden Park y est positionné plus haut de gamme, plus cher.

Quel manager êtes-vous dans votre entreprise ?

Pour manager mes équipes, je m’inspire beaucoup des entraîneurs que j’ai connus dans le rugby. J’estime que mon rôle de dirigeant est d’entraîner mes salariés. Je ne suis pas un homme de discours, je me sens beaucoup mieux sur le terrain. Aujourd’hui encore, je continue à partager les efforts de mes équipes sur le terrain, à aller soulever des cartons avec eux, à mettre en place des showrooms… Les salariés ont besoin d’être entraînés avec des actions concrètes, pas seulement avec des mots.

3 Conseils

Ne misez pas tout sur l’idée.

Même si vous avez une idée géniale, mettez-la de côté et focalisez-vous sur le produit et sur sa qualité. Votre bonne idée doit venir en plus, un peu comme un joker, une fois que votre produit est déjà excellent. Commencez par faire les choses de façon un peu basique, mais en misant tout sur la qualité. Ce n’est qu’une fois que vous avez fait cela que vous pourrez y implémenter votre idée.

Faites du sport !

Ne suivez pas l’adage de Churchill qui disait que le secret de sa longévité était de ne pas faire de sport ! Tous ceux qui ont déjà fait un peu de sport, ou simplement marché dans la nature vous le diront, c’est dans ces moments-là que les idées viennent.

Faites des efforts.

.Il ne faut pas se dire que le succès viendra tout seul. Nous sommes dans un pays magnifique, mais où tout n’est pas fait pour faciliter la vie aux entrepreneurs. Monter son entreprise, cela demande de faire beaucoup d’efforts et quelques concessions. C’est le challenge à relever pour entreprendre en France.

Où chercher vos futurs salariés ?

Recruter son futur collaborateur n’est pas chose facile. Bien que la demande soit importante, de nombreux chefs d’entreprises éprouvent des difficultés à trouver du personnel compétent et motivé, ou font tout simplement face à l’absence de candidatures. Mais où trouver et chercher ses futurs salariés ? Focus sur les principales méthodes pour embaucher à coup sûr.

Définir le profil recherché, un pré-requis indispensable avant de vous lancer

Avant d’entrer dans le vif de votre démarche de recrutement, la définition du profil de votre futur salarié est essentielle pour vous éviter toute erreur de castings, et donc toute perte de temps qui pourrait être préjudiciable au bon fonctionnement de votre entreprise. Missions et responsabilités confiées, compétences professionnelles, qualités relationnelles… voilà les principales thématiques auxquelles vous devez répondre au préalable, qui se matérialisent sous la forme d’une fiche de poste. C’est à cette étape que vous déterminez votre budget, et le mode de recrutement de votre collaborateur.

Votre offre d’emploi sur internet

Publier son annonce sur les sites d’offres d’emplois en ligne est un grand classique et a remplacé, dans la grande majorité des cas, les insertions dans les journaux spécialisés. Le principal avantage de ce mode est d’offrir une large diffusion de votre annonce, parfois gratuitement, mais au détriment du ciblage des candidatures. Il pourra vous arriver de recevoir foule de CV à étudier dont seulement quelques uns répondront partiellement à vos attentes. Toutefois, vous pouvez opter pour des sites spécialisés par secteur d’activité, Aérocontact pour l’aéronautique ou l’Apecita pour l’agriculture par exemple ; vous recevrez peut-être moins de candidatures, mais elles seront certainement plus en adéquation avec vos critères de recherche. A noter également que certains de ces sites mettent leur CV-thèque à votre disposition. Dans tous les cas, votre annonce doit répondre à des obligations légales en termes de rédaction,  pour lesquelles il convient de vous renseignez.

Le vivier des agences de placement

Passer par une agence de placement est sans doute l’un des moyens les plus sûrs de recruter. Ces agences, généralistes (Pôle Emploi, Manpower…) ou spécialisées (Vert l’intérim pour le paysage, Serendip pour le médical…), disposent d’un vivier de profils à vous présenter, et effectuent pour vous recherche et sélection préalables des candidatures, et premiers entretiens des postulants. Cette technique a le mérite de vous faire gagner du temps et d’avoir l’appui d’un expert. De plus, ces agences sont très utiles si vous recherchez un candidat plus difficile à trouver, du fait du niveau de qualification requis ou de votre secteur d’activités par exemple. Le recours à une agence nécessite néanmoins de vous doter d’un budget plus conséquent pour votre recrutement.

La montée en puissance des réseaux sociaux

Surfer sur la vague des réseaux sociaux est un incontournable dans l’air du temps. Vous pouvez poster votre annonce sur les réseaux professionnels tels Viadeo ou Linkedin, pour les plus connus, puis y rechercher et contacter directement des candidats dont le profil aura retenu votre attention. Le principal intérêt de cette méthode est de pouvoir solliciter des personnes qui ne seront pas forcément en recherche active d’un emploi mais juste à l’écoute du marché, et qui pourront être amenés à saisir une opportunité. De plus, les réseaux sociaux nous en apprennent souvent bien plus sur les candidats qu’un CV, mais il convient cependant d’être vigilent et de savoir rester objectif en ne négligeant pas le profil professionnel en faveur du personnel.

L’incontournable bouche à oreille

Parler de votre besoin à votre entourage reste une façon simple de recruter. Qu’il s’agisse de vos connaissances professionnelles ou personnelles, votre futur salarié peut être un ancien collègue ou l’ami d’un ami. Le bouche à oreille permet d’embaucher un salarié dont vous connaissez les capacités, ou dont les compétences  vous ont été garanties, ce qui limite la notion de risque et facilite votre sentiment de confiance à l’égard de votre collaborateur. Attention toutefois aux désillusions qui peuvent s’installer, notamment car l’exercice du pouvoir hiérarchique n’est pas toujours évident dans ce genre de situation.

Il n’existe pas en définitive de modèle idéal de recrutement, mais il convient de chercher votre futur salarié au bon endroit, fonction des besoins que vous aurez clairement identifiés et de votre budget, et de vous laisser du temps.

10 trucs et astuces pour un contrôle fiscal réussi

Comment agir de manière professionnelle lors d’un contrôle fiscal ? Des bonnes pratiques ont fait leurs preuves pour favoriser un dénouement favorable à l’entreprise.

L’état d’esprit du chef d’entreprise compte : vous n’êtes pas forcément victime d’une dénonciation malveillante. Vous pouvez essayer de savoir pourquoi votre entreprise a été « sélectionnée », mais ce sera une information inutile : un contrôle fiscal est une procédure immuable, quel qu’en soit l’élément déclencheur. 

Les agents du fisc sont comme tout le monde. Ils traitent des dossiers, dont le vôtre. C’est leur travail. Votre contrôleur connaît ses prérogatives et leurs limites. Les connaître également vous rend plus performant dans ces circonstances. 

Etre acteur de la procédure de contrôle

1. Le premier rendez-vous : le contrôleur vient prendre ses marques. Ecoutez-le et prenez beaucoup de notes. Vous n’êtes pas sur la défensive, donc vos avocats et autres conseils ne sont pas convoqués.

2. Accueillez le contrôleur dans l’entreprise (plutôt que dans la salle de réunion de l’expert-comptable, par exemple). Le message : vous n’avez rien à dissimuler. Trouvez une pièce dans laquelle le contrôleur restera seul. Il appréciera de travailler au calme et n’aura pas de contacts informels avec des personnes non concernées par sa venue.

3. Avant le début du contrôle, mettez de l’ordre dans vos classeurs et retirez les justificatifs ‘qui pourraient être mal interprétés’ (un billet d’avion vers le soleil est toujours suspect). Vous les produirez avec les explications utiles si et seulement si l’agent du fisc les réclame. Laisser des dossiers ‘limite’ dans les classeurs que le contrôleur va feuilleter, c’est donner le bâton pour se faire battre.

4. Le formalisme est plus important que les faits. Le fisc vérifie la cohérence de vos dossiers. Les faits eux sont anciens. Il n’est jamais trop tard pour rendre probant un dossier un peu bâclé, dans le passé.

5. Prouvez que vous gérez votre affaire avec sérieux. Pour ce faire, mettez la comptabilité à jour.

6. Sachez expliquer les écarts de marge ou les variations des postes de votre bilan, d’une année à l’autre. Souvent, le contrôle est diligenté pour permettre à l’administration de comprendre la raison de fluctuations importantes constatées par un logiciel automatique, qui compare les liasses fiscale successives. 

7. Conservez les enveloppes des correspondances. Le fisc n’est pas à l’abri d’un vice de procédure, le tampon de La Poste faisant foi, en matière de dépassement des délais d’action. 

8. Le dirigeant n’est pas tenu de rencontrer personnellement le contrôleur à chacune de ses visites. Un interlocuteur choisi parmi le personnel ou un collaborateur de l’expert-comptable pourra vous transmettre les requêtes de l’agent, ce qui vous permettra de préparer vos réponses et de les fournir plus tard.

9. Ne signez aucun document pendant le contrôle.

10. Le fonctionnaire qui vous contrôle n’est pas votre ami ? Ce n’est pas non plus un ennemi. Ne vous limitez pas à une relation froidement technique.« SBAM » indispensable comme pour tous les visiteurs de l’entreprise. 

Sourire, Bonjour, Au-revoir, … mais vous n’êtes quand même pas obligé de dire « Merci ».

Et avant le contrôle fiscal … préparez la paix

Un investissement, en temps, en personnel, en moyens informatiques, permet à l’entreprise de disposer d’une gestion transparente. Des procédures adaptées à la taille et à l’activité de votre entreprise et la disponibilité de pièces justificatives probantes en disent beaucoup sur la manière dont vous concevez vos responsabilités de dirigeant d’entreprise.

Avec cela, tous nos vœux pour l’année fiscale qui commence…

Les copines d’abord !

Après une première création d’entreprise réussie, Florence Haxel s’est relancée dans l’aventure entrepreneuriale en fondant le site Mes Bonnes Copines, un réseau social d’entraide entre femmes.

Le virus de l’entrepreneuriat est un mal incurable… Certains l’attrapent très jeunes, comme Florence Haxel, qui en est atteinte depuis ses 22 ans. Tout juste diplômée, elle monte La tribu des créateurs, une agence de production artistique et évènementielle. L’entreprise fonctionne bien et la jeune femme, de nature passionnée, consacre toute son énergie au développement de sa société. Elle se rappelle même n’avoir pris que deux jours de repos après ses deux accouchements !

Quelques temps après, elle finit tout de même par se trouver à bout de forces. Elle décide alors de prendre 15 jours de vacances pour reprendre des forces. Un véritable « coup de folie » pour celle qui n’avait jamais pris le temps de s’arrêter. Lors de ses petites vacances, elle imagine que les choses seraient bien plus simples si elle avait un réseau de « bonnes copines » avec qui elle pourrait se passer facilement des coups de main. éclair dans l’esprit de Florence Haxel : ce réseau de « bonnes copines », elle va le créer sur Internet. Et c’est ainsi que, à peine deux jours après le début de son repos forcé, elle ressort l’ordinateur et commence déjà à travailler sur un deuxième projet de création d’entreprise, le réseau social Mes Bonnes Copines. Incurable on vous dit !

Changer le monde

« J’ai toujours eu deux rêves. Le premier était de travailler avec des artistes et je l’ai réalisé en créant ma première boîte. Mon second rêve était de trouver une idée pour changer un peu le monde ! C’est pourquoi je me suis lancée dans le projet Mes bonnes copines, un projet qui peut vraiment améliorer la vie de beaucoup de femmes. » explique l’entrepreneure. Une belle idée, mais un souci tout de même : la jeune femme n’y connaît alors pas grand-chose au monde du web. Une « bonne copine » lui parle d’un ami consultant web, Thierry Rousseau, à qui elle présente son projet. Conquis par le concept, il décide de s’associer à l’entrepreneure pour monter le réseau.

La passion de l’entrepreneuriat

Florence Haxel est la première à utiliser ce réseau gratuit et fait appel à des « bonnes copines » pour réaliser des flyers. En échange, elle propose de son côté aux copines des coups de pouces pour les aider à préparer des entretiens d’embauche. Attention, à trop voir l’enthousiasme qu’a Florence Haxel pour son site Internet, elle pourrait vous transmettre à vous aussi le virus de l’entrepreneuriat !

Entrepreneurs et dirigeants, n’oubliez pas l’assurance chômage !

Quand on crée une entreprise, une des étapes essentielles est de se protéger et ainsi de protéger sa famille contre les imprévus qui font partie inhérente de la vie de tout entrepreneur. Dynamique, proche des entrepreneurs, vous rappelle quelques principes.

Les dirigeants d’entreprise ou associés, qui justifient d’un contrat de travail, en plus de leur fonction, peuvent bénéficier de la couverture de l’assurance chômage, sous certaines conditions :

– l’exercice de tâches techniques,
– l’existence d’une rémunération correspondant à un salaire,
– l’existence d’un lien de subordination juridique permettant à l’employeur de diriger et de contrôler le salarié.

Sollicitez l’aide de Pôle emploi

Afin de mieux connaitre vos droits, adressez-vous à Pôle emploi pour qu’il étudie situation ou celle de la personne dirigeante ou associée afin de :
• déterminer votre ou son assujettissement à l’assurance chômage ;
• vous assurer vos ou ses droits aux allocations d’assurance chômage, en cas de perte d’emploi.

Quelques cas d’exclusion à la couverture de l’assurance chômage 

• Gérant ou collège de gérance égalitaire ou majoritaire dans une Société à responsabilité limitée (SARL)
• Associé unique ou gérant associé unique dans une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)
• Président associé unique ou majoritaire dans une société par actions simplifiées (SAS)
• Associé ou gérant associé dans une société en nom collectif (SNC)
• Associé commandité, gérant commandité ou membre du conseil de surveillance dans une société en commandite simple (SCS) ou par actions (SCA)
• Contrôleur de gestion, membre ou administrateur membre d’un groupement d’intérêt économique (GIE)
Si la participation à l’Assurance chômage n’est pas reconnue par Pôle emploi, d’autres systèmes d’assurance privée existent. 

Au-delà d’une protection sociale de base, vous avez la possibilité de vous assurer contre le risque de chômage. Vous pourrez ainsi vous constituer une protection sociale sur mesure en fonction de vos besoins, équivalente à celle d’un salarié.

Que contiennent les contrats dits « Madelin »

Les contrats « Madelin » peuvent être souscrits auprès de compagnies d’assurances ou de mutuelles. Ils permettent d’optimiser votre protection sociale en matière de retraite, d’invalidité-décès, de maladie-maternité ou de chômage.

Ils peuvent être souscrits par vous-même et par votre conjoint collaborateur. Ils donnent lieu au versement régulier d’une cotisation dont le montant minimum est fixé à la conclusion du contrat.

Depuis la loi relative à l’initiative et à l’entreprise individuelle (loi « Madelin » du 11 février 1994), les cotisations versées au titre de contrats d’assurance groupe pour l’exploitant ou pour son conjoint collaborateur sont déductibles, dans certaines limites.

Pour les cotisations d’assurance chômage (perte d’emploi subie)

Les cotisations sont déductibles dans la limite du plus élevé des deux plafonds suivants :
– 1,875 % du bénéfice imposable dans la limite de 8 fois le plafond annuel de la sécurité sociale (5 555 € pour 2013).
– 2,5 % du plafond annuel de la sécurité sociale (926 € pour 2013).

Plusieurs compagnies proposent des contrats d’assurance groupe « chômage » pour les indépendants :
– la GSC (Garantie sociale des chefs d’entreprises)
– l’APPI (Association pour la protection des patrons indépendants)
– April Assurances
– Cameic

Investisseurs : 3 exemples de licenciement

Vous souhaitez lever des fonds ? Vous avez réussi à en lever ? Super ! Ce cash bienvenu va vous permettre de vous développer plus sereinement… Pourtant, même si une levée de fonds peut parfois être considérée comme « un cadeau tombé du ciel » il vous faut garder en tête que les investisseurs ne sont pas des philanthropes et encore moins des Pères Noël. Bien que conscients qu’en investissant dans une start-up, ils ont peu de chance de retrouver leur mise (TRI de -0.8% selon l’AFIC pour les fonds de capital risque), l’un des objectifs restent de maximiser leur investissement. Voici 3 exemples célèbres démontrant que les investisseurs ne sont pas des Pères Noël.

Eduardo Savarin dilué et éjecté de Facebook

Son nom ne vous dit rien ? Et pourtant il s’agit du co-fondateur de Facebook. Après une levée de fonds, il fut dilué du capital pour avoir mal lu les clauses du pacte d’actionnaires. Il faisait confiance à son associé et aux nouveaux investisseurs (Sean Parker, Peter Thiel) mais ces derniers ne voulaient plus de lui et ont usé de leurs connaissances juridiques pour parvenir à l’évincer par un montage qu’Eduardo savarin n’a pas vu venir. Il est tout de même parvenu à récupérer une partie de son capital et son titre de co-fondateur.. au terme d’un procès. 

Steve jobs viré de sa propre boite avant de revenir

C’est probablement l’exemple le plus célèbre. Steve Job fut licencié en 1985 par ses propres actionnaires et remplacé par John Sculley (que Steve jobs avait recruté de chez Pepsi). A la décharge des actionnaires, la société venait d’enchainer quelques échecs commerciaux et les tensions au sein de la direction étaient nombreuses. Il reviendra en 1997, afin de relever la société, avec le succès qu’on lui connaît.

Andrew Mason : je veux passer plus de temps avec ma famille… Non je plaisante, j’ai été viré !

Face à la baisse incessante du titre Groupon en bourse et aux résultats financiers calamiteux (perte de 82M$ lors de son dernier trimestre), le conseil d’administration remercie Andrew, le fondateur de Groupon. Il était à la tête pourtant d’une des entreprises ayant connu la croissance la plus rapide. Mais l’introduction en bourse lui fut fatale, l’obligeant à devenir plus rapidement que prévu une entreprise rentable

Andrew Mason sera resté célèbre par sa lettre dans laquelle il annonce son licenciement : « Après quatre ans et demi comme directeur général de Groupon, j’ai décidé de consacrer plus de temps avec ma famille. Je plaisante. J’ai été viré aujourd’hui »

La dernière solution des investisseurs

Néanmoins, gardez en tête que l’idée n’est pas de dire que les investisseurs sont des loups affamés, aux dents longues, prêts à licencier le fondateur au premier échec. Au contraire ! Il s’agit souvent de la solution de dernier recours car les investisseurs ont tout intérêt à garder à la barre le fondateur qui connaît et maîtrise mieux que quiconque son entreprise et son marché. La plupart du temps, quand un fondateur est débarqué par ses investisseurs, il existe des raisons tangibles. Un peu comme le divorce pour un couple est souvent la dernière solution envisagée, le licenciement d’un fondateur est souvent le dernier objectif des investisseurs. Des signes avant coureurs existent dans la plupart des cas. L’entrepreneur doit avoir conscience des objectifs des investisseurs et des contraintes qui résultent d’une levée de fonds (perte d’une partie du pouvoir décisionnel, objectifs de rentabilité à aligner avec ceux des investisseurs, devoir d’information). Ces objectifs et contraintes sont normalement clairement annoncés lors de la levée de fonds.

Formez-vous à la création d’entreprise

La création d’entreprise est une étape difficile dans laquelle l’entrepreneur est souvent confronté seul à différentes problématiques (idée, étude de marché, business plan, financement, etc.).

Expert dans la création et développement de l’entreprise, nous vous proposons du coaching personnalisé pour développer au mieux votre projet ou votre entreprise.

68% des dirigeants accompagnés dans leur création d’entreprise fêtent leur 3e année d’existence.

Qui sommes-nous ?

Dynamique Entrepreneuriale est une société qui édite le magazine de référence du même nom, à destination des dirigeants d’entreprise TPE et PME. Son site Internet Dynamique-mag.com est un portail d’actualités et d’informations à destination des chefs d’entreprise. Par ailleurs, nous organisons régulièrement des soirées networking.

Pourquoi nous choisir ?

Depuis plusieurs années, notre principale mission est d’apporter des conseils ludiques et pratiques aux TPE et PME sur plusieurs thématiques (finance, juridique, vente, communication, etc.). Notre expertise dans la création et développement de l’entreprise nous a naturellement amené à proposer à tous les porteurs de projet et aux créateurs d’entreprise de l’accompagnement sur-mesure.

Comment cela se passe ?

Un premier rendez-vous d’évaluation gratuite et sans engagement est programmé afin de déterminer les besoins.

Planning

Vous pouvez réserver votre demi-journée (4h) ou journée entière (7h). Nous essayons de nous adapter au mieux à vos besoins. En cas d’annulation, il faudra nous prévenir au minimum 48h avant le jour du rendez-vous.

Comment financer sa formation ?

Plusieurs dispositifs existent pour financer votre formation professionnelle selon votre situation :

Demandeurs d’emploi (inscrits à Pôle emploi) : les frais de formation peuvent être pris en charge par Pôle emploi (aide aux frais associés à la formation).

Salariés : plusieurs dispositifs existent pour les salariés :

  • Si la formation est inscrite dans le plan de formation établi par l’employeur, les frais de formation sont pris en charge.
  • Droit individuel à la formation (DIF) : le salarié demande l’accord de son employeur. Dans le cas d’un poste à temps plein, 20 heures par an sont capitalisées. La formation est réalisée en principe hors temps de travail et financée. Le salarié perçoit une allocation de formation.
  • Congé individuel de formation (CIF). Le salarié peut demander la prise en charge de sa formation à l’Opacif (Organisme paritaire collecteur agréé au titre du CIF) dont dépend son entreprise.

Entrepreneurs : 2 dispositifs existent :

  • En cotisant chaque année auprès de l’OPCA (organisme paritaire collecteur agréé), dont dépend leur entreprise, les dirigeants d’entreprise (gérants de sociétés, auto-entrepreneur, entreprise individuelle, etc.) ont également droit à des formations financées.

Pour en bénéficier, ils doivent s’adresser :

– à l’AGEFICE pour les chefs d’entreprise des secteurs du commerce, de l’industrie et des services, y compris les auto-entrepreneurs

– au FIF-PL pour les professions libérales (sauf les médecins qui dépendent du FAF-PM)

Pour y avoir droit, ils doivent  s’inscrire à l’URSSAF ou RSI en tant que travailleurs indépendants et non au répertoire des métiers et être enregistré sous un code NAF.

  • Les dirigeants d’entreprise ont également droit au crédit d’impôt formation qu’elle que soit leur activité et la forme juridique de leur entreprise. Pour en bénéficier, les dépenses de formation doivent servir dans l’intérêt de l’entreprise.

Tarif

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Il crée le « festival de Cannes » des entrepreneurs !

Laurent Muller est encore jeune, et pourtant, il a déjà multiplié les expériences entrepreneuriales en tout genre. Nouveau défi pour ce passionné de la création d’entreprises : le lancement d’un festival de Cannes pour les entrepreneurs.

Des « visionnaires » : c’est ainsi que Laurent Muller qualifie les entrepreneurs. Visionnaire, ce jeune serial-créateur d’entreprise l’est également. Il sait que l’avenir économique est entre les mains des entrepreneurs et il compte bien agir pour soutenir les entreprises en France. Pour cela, il organise le Festival des entrepreneurs. Son ambition : créer à terme un rassemblement de rayonnement international, à mi-chemin entre le Festival de Cannes et le Forum de Davos !

Le succès après l’échec

Si Laurent Muller s’investit avec autant de passion pour promouvoir l’entrepreneuriat, c’est qu’il a lui-même une belle expérience de la question. Dès l’âge de 21 ans, le jeune homme, issu d’une famille d’entrepreneurs, s’associe pour créer une start-up spécialisée dans les effets spéciaux de cinéma. Un bon apprentissage du métier de dirigeant, même si l’entreprise ne sera pas rentable. Cet échec lui permet de rebondir : il décide alors de se relancer et crée TVski. L’idée est excellente : il propose aux stations de ski d’équiper leurs files d’attente pour les téléskis d’écrans plats où seront diffusés de la publicité. En très peu de temps l’entreprise se développe, jusqu’à être rachetée par un groupe, Lumiplan. Il en devient directeur associé pendant deux ans.

Le plus grand rassemblement de « visionnaires »

Laurent Muller s’oriente vers un nouveau métier : l’évènementiel. Il est embauché par le groupe international MCI, où il occupe vite un poste de direction. Mais l’envie d’entreprendre ne le quitte pas. Il démissionne pour créer un nouveau projet. Pendant un an, il se consacre à son nouveau-né pour peaufiner son concept. Il crée rapidement l’agence évènementielle Miie et décide de prouver les compétences de son équipe en organisant un évènement de A à Z. Ce sera donc le Festival des entrepreneurs, organisé dans la station de ski de Méribel en décembre. Plus d’un millier d’entrepreneurs sont attendus pour cette première édition du « festival de Cannes » des entrepreneurs. Pour ce festival, la montée des marches se fera-t-elle en téléski ?!