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AirDG donne des ailes à votre entreprise, interview de Stanislas Duval Goachet

Après 6 années d’études en analyse et gestion financières, Stanislas Duval Goachet intègre l’école des cadets d’Air France où il obtient sa licence de pilote de ligne au bout de 2 ans

Une idée qui prend son envol

L’idée provient de l’utilisation même des avions de l’entreprise. Stanislas Duval Goachet et ses associés se rendent vite compte qu’en prenant ces appareils, ils peuvent acquérir des moyens de transport performants, économiquement et écologiquement intéressants puisqu’ils consomment beaucoup moins que la plupart des jets privés qui existent. De plus, grâce à l’exploitation de ces avions, l’équipe de AirDG connait déjà les coûts de revient. Avec un système de coûts partagés, l’« entreprise du ciel » parvient à des coûts d’exploitation proches du montant des vols d’Air France. L’idée initiale vise à rendre l’aviation accessible et ludique pour les entreprises.
Pouvoir partager sa passion auprès des entrepreneurs, offrir un moyen de transport qui leur fasse gagner beaucoup de temps et la possibilité de se poser sur tous les aérodromes et aéroports français et européens, voici l’ambition de notre jeune pilote de ligne en créant AirDG.

Ça plane pour AirDG !

Avec AirDG, Stanislas. D. G pense pouvoir créer un nouveau besoin que les entreprises soldent aujourd’hui par des transports sur des lignes régulières. Les clients d’aviation d’affaires ne sont pas forcément les mêmes clients que ceux transportés par la start-up. Au lieu de décoller de Roissy ou Orly, les clients partent de leur lieu de résidence, le Val d’Oise. S’envoler de Pontoise et effectuer toute la ligne en direct sur du vol interrégional permet de démocratiser ce moyen de transport.

AirDG nécessite peu d’argent pour la réalisation de ce service. En réalité, les avions appartiennent aux entreprises : il s’agit d’une assemblée de co-propriétaires qui achètent une fraction d’avion, laquelle peut constituer 5% pour 20 heures de vol ou plus mais sans tarifs dégressifs. C’est par conséquent en fonction de leurs besoins que les entrepreneurs achètent une part de l’avion.

Pour l’entreprise, le risque financier est moindre dans la mesure où il est équilibré par le système de propriété partagée. AirDG procède en quelque sorte comme une compagnie aérienne avec plus de 2000 destinations sur le continent européen.

Questions :

Quels sont les trois mots qui caractérisent le mieux votre projet ?

Le premier est « accessibilité »… pour le Val d’Oise, financièrement ; le deuxième est « gain de temps » pour les entrepreneurs qui se déplacent beaucoup et le troisième, « flexibilité » pour les modalités de ce moyen de transport que nous proposons.

Vous avez commencé vos études par autre chose que l’aviation : vous destiniez-vous à une profession précise ?

Les deux rêves que je me suis toujours fixés, c’est d’être un jour entrepreneur et également pilote. Soit on est une grosse entreprise, auquel cas il est possible de piloter son propre avion ou alors on combine une création d’entreprise avec l’aviation d’affaires. Avoir son affaire est intéressant car il y a une vraie notion de proximité et de complicité avec son client qu’on connaît, surtout dans le système de propriété partagée puisque ce sont des clients réguliers.

De plus, il y a le côté business qui donne l’opportunité d’avoir des discussions avec les clients, ce qui existe forcément beaucoup moins dans l’aviation commerciale où l’on ne voit pas forcément les gens qu’on emmène.

[Création d’entreprise] France Active représente un des leviers pour lancer votre entreprise

L’association France Active offre un éventail de dispositifs en faveur des créateurs et repreneurs d’entreprise. Nous avons zoomé sur deux d’entre eux, l’un s’adressant aux jeunes de moins de 26 ans, Cap Jeunes, et l’autre visant les entreprises sociales et solidaires, le Fonds de confiance.

France Active, un recours au refus des banques

Au refus de votre banquier, sachez qu’il existe des solutions alternatives pour l’obtention d’un prêt qui vous fait défaut. En effet, France Active, un réseau associatif de 40 fonds régionaux qui accompagne et finance les créateurs par des prêts à taux zéro, des garanties d’emprunts bancaires et des subventions. En 2013, 236 millions d’euros ont été mobilisés, soit 10% de plus que l’année précédente. Ce montant a permis de financer 6500 projets entrepreneuriaux.

Cap Jeune, une solution pour les moins de 26 ans

Cap Jeunes offre aux jeunes créateurs de moins de 26 ans une prime de 2000€ pour consolider leur apport personnel. France Active propose également un accompagnement du projet afin de favoriser les relations entre le jeune et la banque. Attention cependant, vous êtes âgé de moins de 26 ans certes, mais êtes-vous demandeur d’emploi ou en situation de précarité ou encore doté de ressources personnelles limitées à un quart de la totalité du plan de financement limité à 20 000€ ? Ce sont les conditions à remplir pour bénéficier du Cap Jeune.

Le fonds de confiance : le financement économique sociale et solidaire

Le Fonds de confiance cible les entreprises d’utilité sociale, c’est-à-dire à finalité sociale ou environnementale. Les bénéficiaires sont les entreprises solidaires qui souhaitent participer au lancement d’une nouvelle entreprise sociale, les porteurs de projet qui veulent créer leur entreprise.

Pour ceux-ci, France Active propose le Fonds de confiance qui consiste en un accompagnement technique et financier en subventionnant la rémunération des futurs dirigeants dans une limite de 20 000€. Avant de bénéficier de ce fonds de confiance, l’association demande la définition précise du contenu de l’étude avec des objectifs et un calendrier. Depuis son lancement, le Fonds de confiance a permis d’engendrer une création d’entreprise dans 85% des cas dont 84% passent le cap des trois ans.

Pour 2013, le bilan de France Active compte 36 191 emplois créés ou consolidés, 6 590 entreprises accompagnées et financées, 236 millions d’euros mobilisés et 78% des entreprises soutenues passent le cap des trois ans. Et vous, ça vous tente ?

Les bons plans pour optimiser ses frais

Vos moyens sont limités mais vous souhaitez acquérir des véhicules ou mieux les gérer ? Les bons plans pour optimiser ses frais.

Le marché de l’occasion et la négociation des véhicules

Lorsque vous décidez d’acheter vos véhicules, neufs ou d’occasion, il est possible de réaliser des économies substantielles. Il s’agit du bon moment pour négocier vos véhicules. Les constructeurs sont contraints de se tourner vers les entreprises pour maintenir leurs volumes, les ventes aux particuliers ne cessant de diminuer. Des remises sont plus que jamais faciles à obtenir, même pour les petites flottes. Si la conjoncture se montre propice à la négociation, certaines périodes de l’année sont également particulièrement favorables à l’achat de ses véhicules. C’est par exemple le cas des promotions sur les fins de série et des soldes en général (l’été est souvent la période idéale pour réaliser de bonnes affaires). Les vendeurs ayant souvent des objectifs de vente par mois à réaliser il est également préférable de venir la dernière semaine du mois, où ils seront plus enclins à baisser leur commission. Naturellement, plus le nombre de véhicules commandés est grand, plus la remise pourra être importante. En ne choisissant qu’un seul constructeur vous réalisez par la même occasion des économies sur l’entretien et les réparations éventuelles des véhicules. Enfin, il est possible de démarcher les agences de location de voiture, qui se débarrassent de leurs véhicules une fois qu’ils ont dépassé un certain kilométrage. Si votre budget ne vous permet pas de vous tourner vers le marché du neuf, il peut s’agir d’une excellente opportunité.

L’utilité des cartes carburant

Face à l’envolée des prix de l’essence, une gestion stricte de ce poste de dépenses s’impose. Pour cela, les cartes carburant semblent adaptées. Elles permettent d’optimiser ses frais par un suivi précis de la consommation des véhicules, ce qui évite tout abus. Ces cartes carburant sont désormais proposées par les enseignes pétrolières et les grandes surfaces. Lorsque un plein est effectué, la facture est envoyée directement à l’entreprise. En plus de cela, ces cartes donnent droit à d’autres services comme le calcul de la consommation moyenne ou le relevé périodique du kilométrage. Elles permettent de bénéficier, dans certains cas, de remises commerciales.

Réduire ses dépenses grâce à l’autoportage

L’autopartage est un système permettant à l’entreprise de mettre une ou plusieurs automobiles à disposition de ses salariés pour un usage partagé. Il permet de limiter les coûts liés à la possession d’un véhicule tout en optimisant son utilisation.

Vendre son entreprise un euro pour sauver des emplois

Jean-Pierre Mossé dirige avec sa femme depuis plus de 40 ans une petite entreprise spécialisée dans la fourniture de matériel de bureau. Arrivé à l’âge de 67 ans, le chef d’entreprise souhaite prendre une retraite bien méritée et compte laisser derrière lui sa carrière de chef d’entreprise. Seulement, de peur que l’affaire ne soit pas reprise et pour éviter que les trois salariés qui travaillaient pour lui ne se retrouvent au chômage, le futur retraité a mis en vente son entreprise au prix symbolique de un euro, à condition que le(s) repreneur(s) sauvegarde(nt) tous les emplois.

Une annonce étonnante

L’histoire se déroule à Carcassonne et force le respect. Dans un premier temps, on pourrait croire qu’il s’agit d’une cession d’entreprise comme on en voit tous les jours. C’est en lisant l’annonce que Jean-Pierre Mossé, fondateur d’Office Bureau, spécialisé dans le matériel de bureaux, a publié sur Leboncoin.fr, que l’on prend conscience de la dimension humaine de cette cession : « Vous êtes un couple dynamique, vous êtes des vendeurs de 1ère classe, vous êtes expérimentés en informatique, en papeterie, en consommables, en mobilier de bureau, vous êtes prêts à vous engager dans la réussite, vous êtes prêts à vivre au soleil, vous êtes les bienvenus dans le sud, je suis sûr que vous êtes les meilleurs, ne laissez pas passer votre chance. Pour cause de retraite, je vous cède mon affaire pour 1 euro ».

Jean-Pierre Mossé propose dans cette annonce de vendre son entreprise pour un euro symbolique à la seule condition que les repreneurs gardent les trois salariés qui étaient présents dans l’entreprise.
A titre d’information, l’entreprise réalisait un chiffre d’affaires de 400 000 euros par an et le fichier clients de 25 000 personnes est compris dans l’offre. De plus, M. Mossé est prêt à venir en aide aux repreneurs pendant 6 mois, voire même un an, pour faciliter la reprise d’activité de l’entreprise et l’adaptation des nouveaux dirigeants.

Rares sont les patrons qui se sentent aussi concernés par l’avenir de leurs salariés, surtout lorsque celui-ci compte prendre sa retraite. Le futur retraité à adopté un comportement exemplaire et a montré des valeurs qui pourraient servir d’exemple à nombre de chefs d’entreprises.

[Start-up] E-coaching en alimentation : un concept séduisant

Proposer un e-coaching en alimentation personnalisé sur internet tout en augmentant le pouvoir d’achat, tel est le concept de wecook.fr. Cette jeune start-up innovante créée par trois jeunes ingénieurs français a séduit ses investisseurs historiques dont le Fond Régional de Co-investissement de la région Ile-de-France (FRCI). Wecook.fr a pu récolter 400 000 euros.

Combattre la malbouffe

Une étude Crédoc révèle qu’un Français sur quatre a une alimentation déséquilibrée. Les Français qui ont entre 21 et 34 ans se nourriraient encore plus mal que leur homologues américains et les très jeunes Français ayant entre 3 et 14 ans mangeraient de moins en moins diversifié. Les causes peuvent être multiples mais sont souvent liées au mode de vie qui ne permet pas de lier hygiène de vie, vie privée et vie professionnelle.

Le bilan dressé par cette étude est inquiétant et c’est sur ce constat que les trois jeunes ingénieurs ont eu l’idée de créer la start-up wecook.fr pour pallier ce problème.

L’idée est simple. Le site internet propose une technologie innovante permettant de manger plus sainement mais sans pour autant créer un gouffre dans le budget. Les investisseurs ont été convaincus par le concept ce qui a permis à la jeune entreprise de récolter 400 000 euros de fonds.

Wecook, l’expert en E-alimentation en pleine croissance

Le site internet wecook.fr surfe sur la vague de l’alimentation saine, un sujet très à la mode dont le premier à le constater est bien la start-up avec déjà plus de 40 000 inscrits et une croissance qui ne cesse d’augmenter depuis la création.

Les trois ingénieurs ont lancé l’idée en septembre 2010 et proposent désormais 6000 recettes sur le site wecook.fr pour accompagner les repas de nombreuses familles. Le site internet permet aux adhérents d’avoir un accompagnement personnalisé avec inscription et suivi gratuits, et propose une liste de courses sur-mesure avec une indication des prix, des recettes simples ou plus élaborées pour les experts culinaires.

De plus, il faut en moyenne une trentaine de minutes pour organiser les recettes conseillées pour toute une semaine, c’est un gain de temps pour les utilisateurs. Il est même possible d’indiquer le temps que l’on souhaite consacrer à la préparation des repas. Le site internet a donc réussi à proposer un service efficace, simple, tendance et gratuit… La recette du succès selon Wecook.fr.

La start-up qui ne fait pas partie des meubles !

Entretien avec Quentin Peretti et son associé William Genis qui ont créé NeoSquat, une start-up qui propose des meubles et des équipements électroménagers en location. Un bon plan pour les étudiants fauchés qui doivent se meubler à moindre frais !

Les bonnes idées de business nous viennent souvent d’Outre-Atlantique. C’est le cas du concept de la start-up NeoSquat, inspiré d’une entreprise découverte par Quentin Peretti lors d’un stage à Chicago. Lorsqu’il y découvre un service de location temporaire de meubles, Quentin Peretti se souvient tout de suite de ses années de galères lors de ses études. Les locations qu’on lui proposait sur Paris étaient alors excessivement chères. Résultat : il avait bien du mal ensuite à gratter les quelques euros qu’il lui restait sur son compte pour acheter les meubles de base. Sitôt rentré à Paris, il contacte William Genis, un ami avec qui, lors de leurs études en école de commerce, ils s’étaient promis de monter un jour une boîte ensemble. Pas de doutes, ils tiennent leur idée de business ! La réalisation d’un solide business plan viendra ensuite confirmer leurs pressentiments.

Besoin d’argent

Après quelques mois d’accompagnement au sein d’un incubateur d’école de commerce, ils déposent enfin les statuts de l’entreprise, en janvier 2013. Les entrepreneurs se questionnent autour de la problématique de la satisfaction client et de la réduction des délais de livraison. Il est fondamental pour eux de se démarquer des circuits traditionnels en offrant un service rapide et sur mesure. Pour mettre en place les moyens logistiques nécessaires, ils lèvent donc des fonds auprès d’un cercle de famille et d’amis qui, autant qu’eux, croient en ce projet et en cette manière de consommer en plein développement : la location. Ils bénéficient aussi de la confiance de leur banque, qui les soutient dans leur projet. Enfin, ils décident également d’ouvrir leur capital à un nouvel associé qui s’engage désormais comme eux au sein du projet.

Des entrepreneurs multi-tâches

On le dit souvent : les créateurs d’entreprises doivent savoir tout faire. Entre les formalités administratives et les tableaux de comptes, les fondateurs de NeoSquat ont dû apprendre à monter des canapés au sixième étage (sans ascenseur bien sûr !). Hé oui, l’entrepreneuriat, cela peut être assez sportif ! l

PME mon amour !

Entretien avec Claire Vinchon qui a créé l’entreprise small iz beautiful par passion pour les PME. Une passion qu’elle a su si bien transmettre à ses salariés que l’un d’entre eux vient même de s’associer au capital pour porter également le projet.

Elle n’est pas de celles ou ceux qui rêvent depuis la plus tendre enfance d’être patron. Si Claire Vinchon a créé son entreprise, c’est avant tout pour aller au bout de son envie de soutenir les PME dans leur développement. Passion et engagement sont les maîtres-mots de son parcours entrepreneurial et sûrement le secret de la réussite de sa jeune entreprise. Retour sur le parcours sans fausse note de celle qui orchestre avec brio la start-up small iz beautiful.

Un marché à évangéliser

Tout juste sortie de l’école de commerce, Claire Vinchon opte pour la voie du salariat et se lance dans une carrière toute tracée de commerciale. « Grâce à la crise », selon ses termes, elle est licenciée. C’est le déclic : au lieu de chercher un travail, elle va plutôt chercher une idée de business. La tête pleine d’idées, elle griffonne une feuille entière de concept d’entreprises. C’est finalement sa première inspiration, celle qui lui tient vraiment à cœur, qu’elle retiendra.

Elle décide de créer une entreprise permettant de rapprocher les candidats et les PME de croissance sur le marché du travail. Si l’entrepreneure choisit de se lancer sur ce concept, c’est avant tout parce qu’elle ressent le besoin de créer une entreprise transmettant des valeurs plus profondes que la simple valeur monétaire. Pendant un an, son principal défi est alors d’évangéliser un marché encore très hermétique aux avantages de l’embauche dans les PME.

Vers un développement international

Quatre ans après s’être lancée dans l’aventure small iz beautiful, Claire Vinchon travaille avec une équipe de 3 salariés et gère une croissance de 50 % chaque année. Le développement incessant de son entreprise, elle le doit à l’accompagnement qu’elle reçoit depuis trois ans de l’incubateur Paris Pionnières… mais aussi à l’engagement de ses salariés à qui elle a su transmettre sa passion. Entré en stage au lancement de l’entreprise, Alexandre Grard a hérité de cet engagement et est aujourd’hui devenu associé de l’entreprise. L’objectif des deux entrepreneurs ? Accélérer la croissance de la start-up sur la France entière puis, rapidement, au-delà des frontières. L’entreprise small iz beautiful pourrait bien finir par ne plus être si « small » que ça !

Le Top 10 des entrepreneurs les plus riches du monde

Ces entrepreneurs ont tous quelque chose en commun : ils sont considérés comme étant les entrepreneurs les plus riches du monde ! Alors pourquoi ne pas vous en inspirer ?

N°1 : Bill Gates (Etats-Unis) : Cet homme de 58 ans est actuellement l’entrepreneur le plus riche du monde avec 76 milliards de dollars. Fondateur de Microsoft, sa fortune a progressé de 9 milliards de dollars en un an. 

N°2 : Carlos Slim Helu & sa famille (Mexique) : Détenteur du plus gros opérateur de télécommunication du continent américain, et avec un milliard de moins qu’il y a un an, cet homme d’affaire de 74 ans voit sa fortune chiffrée à près de 72 milliards de dollars, soit un milliard de moins qu’il y a un an. Il a ainsi cette année cédé sa 1ère place à Bill Gates.

N°3 : Amancio Ortega (Espagne) : A 77 ans, avec 7 milliards de plus que l’année dernière, Amancio Ortega détient un patrimoine de 64 milliards de dollars. Il se place comme le créateur de la marque de vêtements et de magasins Zara mais aussi comme le fondateur du groupe textile international Inditex.

N°4 : Warren Buffett (Etats-Unis) : Selon Forbes, cet homme de 84 ans est le 2ème américain le plus riche du monde en 2014. Warren Buffet est le créateur de Berkshire Hathaway, une entreprise de textile devenu un fond d’investissement. Sa fortune est estimée à 58,2 milliards de dollars après s’être enrichi de 4,7 milliards de dollars l’année dernière. 

N°5 : Larry Ellison (Etats-Unis) : 48 milliards de dollars : c’est la somme que possède Larry Ellison, 69 ans, cofondateur de la firme Oracle Corporation spécialisée en Système de Gestion de Base de Données (SGBD). Il a créé cette entreprise avec son ex-employeur Robert Miner et Ed Oates en 1977.

N°6 : Charles Koch (Etats-Unis) : Avec 40 milliards de dollars et à 78 ans, Charles Koch voit sa fortune augmenter de 6 milliards de dollars par rapport à l’année précédente. Il est le fondateur de la 2ème entreprise non cotée des Etats-Unis, Koch Industries. En 2014, il fait l’acquisition de composants électroniques Molex. Cela pour 7,2 milliards d’euros.

N°7 : David Koch (Etats-Unis) : A 73 ans, David Koch suit les traces de son frère avec une fortune estimée à 40 milliard de dollars, sa fortune a progressé de la même manière que son frère. Il dispose de 42% de Koch Industries.

N°8 : Sheldon Adelson (Etats-Unis) : Créateur des principaux casinos de Las Vegas mais aussi de casinos en Chine et à Singapour, Sheldon Adelson (80 ans) détient un capital de 38 milliards de dollars. Durant l’année précédente, sa richesse a augmenté de 32 millions de dollars par jour !

N°9 : Christy Walton et sa famille (Etats-Unis) : Cette veuve de 59 ans détient une fortune de 36,7 milliards de dollars après avoir hérité la fortune du milliardaire John T.Walton, second enfant du fondateur de l’empire de la grande distribution Walmart. Elle se positionne ainsi comme étant la femme la plus riche du monde.

N°10 : Jim Walton (Etats-Unis) : Fils de Sam Walton, Jim Walton (65 ans) possède 34,7 milliards de dollars. Il travaille depuis 1971 pour la société familiale, Walmart. Il siège au conseil d’administration du groupe depuis la mort de son frère, John Walton, et est PDG de la banque familiale Arvest.

Stootie, la start-up qui révolutionne les petites annonces, Jean-Jacques Arnal

Stootie est une application mobile gratuite mise en service en 2011 sur l’Apple Store. La start-up s’appuie sur un réseau peer to peer pour faire fonctionner un système social d’échange de services, d’objets et d’activités en temps réel.

La légende de Stootie veut que son fondateur, Jean-Jacques Arnal en ait « eu l’idée un dimanche où il avait besoin d’un coup de main ». De vive voix, il admet que « l’idée n’a pas surgi comme ça. J’y travaillais depuis un certain temps ». L’optimisation des échanges est déjà l’un des sujets fondamentaux de l’association pour la promotion du service civil que Jean-Jacques Arnal crée avec Benjamin Djiane en 2005. 

Petit Stootie deviendra grand

Stootie est une application mobile, incubée au départ dans la société Imaginatio qui édite un logiciel de traitement de texte, Splayce, dédié exclusivement aux juristes. Développée au sein de cette première entreprise menée en parallèle par Jean-Jacques Arnal, l’application mobile est un projet sélectionné par « Paris incubateur » et « Paris région innovation ». « Pour l’accompagnement, on a créé un board. Nous avons aussi la chance d’avoir des investisseurs qui nous conseillent activement » déclare son créateur. Parmi eux, Jean David Blanc, fondateur d’Allociné et Christophe Reinling, ancien DG de Grosbill et actuel directeur B to C de Pixmania. Avec ses pointures du web pour mentors, Stootie prend son envol et son indépendance en 2012 après avoir lancé l’application sur l’Apple Store en 2011.

Un business modèle à défendre

Mais tout n’a pas été si simple. « La première phase est délicate. Vous pouvez penser que vous avez le meilleur produit, les investisseurs attendent évidemment que les chiffres se réalisent » rappelle Jean-Jacques Arnal. 

Lors de sa création, Stootie est financé par des fonds propres, une aide de la BPI et rapidement par des investisseurs extérieurs. « Il faut savoir les convaincre de financer un outil qui ne génère pas encore de revenu. C’est une prise de risque importante ». 

Dans le développement du projet, Jean-Jacques Arnal se trouve confronté à un problème d’un autre genre : la difficulté à recruter une personne en qui on peut avoir confiance. « Cela a été le deuxième point clé : trouver un colistier qui puisse s’occuper de Stootie à temps complet ». Pas toujours évident ! C’est à présent le rôle de Charles Baron, ancien financier et fondateur de la marque de chemise Monsieur Baron, qui a rejoint l’aventure début 2013. Au total, ce sont neuf personnes qui composent l’équipe de Stootie aujourd’hui.

Un système d’échange social et instantané

L’application s’inscrit sur le marché des petites annonces. Pour autant « les petites annonces, c’est fini ! » s’exclame Jean-Jacques Arnal « Les petites annonces, ce n’est qu’une façon de voir l’échange. Stootie est fondamentalement différent. » L’application est centrée sur la personne, avec ses compétences, ses activités, les objets qu’elle propose. « Stootie cherche à montrer toutes les possibilités du partage et de l’échange en temps réel autour de soi ». Entendez par là, un outil géolocalisé, instantané et humanisé. Chaque utilisateur a un profil et s’inscrit dans un réseau pour troquer, vendre ou donner que ce soit un parapluie, un coup de main ou simplement, un peu de temps. Sur Stootie, vous pouvez aussi partager une sortie au ciné ou un jogging. 

L’application compte aujourd’hui 85 000 utilisateurs dans toute la France mais est utilisée à 80% à Paris et dans sa région. A l’avenir, le fondateur de Stootie souhaite élargir davantage son utilisation à d’autres villes. Parallèlement, un autre des objectifs est de rendre l’outil encore plus intuitif, simple et efficace. « Aussi simple qu’un SMS » conclut le fondateur. 

3 questions à Jean-Jacques Arnal

• A quel moment vous êtes-vous dit « Ca y est ! Stootie marche » ? 

Le jour où j’ai reçu des messages d’amour (pour mon produit) ! Lorsque les utilisateurs décrivent l’application, la commentent sur l’Apple Store, disent l’adorer ou envoient des emails pour nous remercier, ça nous touche. Cela veut dire qu’on est vraiment sur la bonne voie.

Quel entrepreneur êtes-vous

Je ne sais pas si je peux me définir comme un entrepreneur mais j’ai compris que c’était la voie nécessaire pour créer. Notre pays est un pays de créateurs, d’artistes et d’entrepreneurs. Je suis heureux de voir de plus en plus de figures émerger comme celle d’Henri Seydoux, le créateur de Parrot, qui sont finalement à la fois des entrepreneurs et des artistes. 

• S’il y a une idée qui vous anime dans votre travail ? 

La simplicité. Restons simple ! Et c’est un concept applicable à tout. Que ce soit lors d’une discussion pour aller droit au but, lorsque l’on définit un produit pour le limiter à l’essentiel, ou dans les relations humaines… La simplicité, paradoxalement, enrichit tous nos échanges.

Comment réussir dans le monde du cheval ?

Nombreuses sont les entreprises qui ont choisi de s’affairer au monde équestre. L’équitation est considérée comme l’un des sports les plus chers. Que l’on parle de loisir, de compétition ou même de paris sportifs, le marché qui s’offre aux entrepreneurs est immense …

Actuellement, l’équitation se positionne comme la 3ème fédération en termes de licenciés. C’est ainsi le 3ème sport national et le 1er sport féminin. Avec 2,3 millions de pratiquants en France, ce sport représente approximativement 25 000 emplois directs.

L’équitation s’affirme comme le 1er employeur sportif privé en France et représente environ 7 000 entrepreneurs dans la filière pour 7 792 centres équestres.

L’équitation en loisir

En centre équestre ou avec son propre cheval, l’équitation en loisir est sûrement le sport le plus pratiqué. La France est d’ailleurs la première nation européenne du tourisme équestre. On relève environ 900 000 chevaux et poneys présents dans des centres et chez des particuliers. Bien qu’en général les pratiquants soient recensés sous forme d’adhérents à un club ou une association, ce type d’équitation ne nécessite pas leur appartenance, il n’est ainsi pas facile de dénombrer le nombre exact d’adeptes.

Les concours 

Les concours équestres peuvent être des concours en catégorie professionnelle, amateur ou club. Ils sont donc accessibles à la majorité des pratiquants. Les concours officiels sont ouverts sous condition d’être en possession de la licence correspondante au type d’épreuve auxquels ils se rapportent.

L’équitation est un sport représenté aux Jeux Olympiques par 3 disciplines notamment : le saut d’obstacles, le dressage et le concours complet. Les compétitions internationales sont par ailleurs organisées et réglementées par la Fédération Équestre Internationale (FEI). Ces compétitions internationales s’occupent des 3 disciplines olympiques auxquelles s’ajoutent 4 disciplinesà savoir : l’attelage, l’endurance, le reining (équitation western) et la voltige en cercle. L’ensemble de ces disciplines constituent les disciplines les plus connues et les plus pratiquées au monde. 30 médailles olympiques, 305 médailles européennes et 99 médailles mondiales ont été issues de l’équitation sportive française.

La Fédération Française d’Équitation (FFE), quant à elle, gère les aspects relatifs à ce sport. Ces missions statutaires s’effectuent au travers des clubs qui sont ses adhérents et se rapportent à la délivrance des licences, l’organisation des formations et la remise de diplômes fédéraux, l’élaboration des règlements sportifs et le Haut Niveau présents dans les différentes disciplines équestres. On compte aux alentours de 76 542 concours organisés par an. La FFE se présente comme étant la 3ème fédération olympique française par son nombre de licenciés.

Des courses qui rapportent …

Du côté des courses hippiques, l’argent investi est considérable. L’appât du gain attire aussi bien les joueurs, sous forme de paris, que les propriétaires de chevaux.

Les courses sont organisées et régies par la Fédération Nationale des Courses Française (FNCF). Cette association est composée de deux sociétés mères : France Galop et la Société d’Encouragement du Cheval Français (SECF), ainsi que des autres sociétés de courses et des 10 Fédérations Régionales des courses représentant les 243 sociétés de courses réparties sur l’ensemble du territoire. France Galop à en charge toutes les courses de galop (plat et obstacles), réservées aux chevaux de race Pur-Sang, AQPS (Autre que Pur-Sang), Arabes et Anglo-Arabe. La SECF se charge de l’ensemble de la filière Trot.

La FNCF organise chaque année 2 300 réunions ainsi que 18 000 courses.

Au statut de Groupement d’Intérêt Économique (GIE), se trouve le Pari Mutuel Urbain ou PMU. Le PMU réunit, en plus des sociétés mères, l’ensemble des sociétés de courses qui organisent des courses présentant un enjeu national. Cette économie est une source d’emplois qui ne sont toutefois pas délocalisables.

15 000 : c’est le nombre de chevaux participant à au moins une course de galop en France, et 15 500 chevaux participent à au moins une course de trot en France. Naisseurs et propriétaires se répartissent les primes (10 à 20% selon les disciplines) provenant des dotations de courses. Plus de 500 millions d’euros sont distribués !

Dans ce système de rémunération, la majorité des dotations découle du résultat net du PMU reversé à la filière et contribue ainsi à la rémunération de nombreux professionnels.

On note également un établissement public administratif du Ministère de l’agriculture et de la pêche : les Haras nationaux (HN). Présent sur tout le territoire français, les Haras Nationaux ont pour vocation l’accompagnement, le développement et la professionnalisation des entreprises de la filière équine. Ils détiennent 3 missions principales : la sécurité sanitaire et la traçabilité des équidés liés à l’identification, la régulation génétique et l’appui au développement des entreprises liées au cheval.

Avoir son cheval, ça coûte pour certains, rapporte pour d’autres

Un cheval est un animal qui nécessite des soins et surtout beaucoup d’attention ! On peut regrouper les professions liées au cheval en deux catégories : celles au contact du cheval qu’on peut qualifier de professions directes (éleveurs, entraîneurs, employés d’écuries de courses, jockeys, drivers, lads vétérinaires, maréchaux ferrants, dentiste équin, ostéopathe, courtiers et agences de ventes), et les professions indirectement liées au cheval (selliers, bourreliers, gainiers, presse spécialisée, transport, équipements, matériels etc). Une véritable mine d’or, de quoi faire pour les entrepreneurs

Le matériel : les consommateurs en redemandent !

En parlant d’équitation, on a parfois tendance à oublier que cette discipline réunit deux espèces biologiques différentes : équidés mais aussi humains ! Qu’en est-il de la demande des cavaliers, notamment des propriétaires de chevaux quant au matériel spécifique. Un mot : sans fin ! Il faut tout d’abord acheter le matériel nécessaire pour pouvoir monter à cheval. Cela va de la simple paire de bottes en caoutchouc à la selle de grande marque ! Suivant ses moyens financiers et selon si on est simple cavalier en club ou propriétaire d’un cheval, le coût varie. En général plus élevé pour les propriétaires, le coût du matériel constitue une importante source de revenu pour les vendeurs. Même lorsqu’ils possèdent tout le matériel nécessaire à la pratique de l’équitation, que ce soit pour un cavalier propriétaire ou non, les jeunes cavalières notamment (car rappelons-le, l’équitation se place comme le premier sport féminin), en redemandent ! Tapis de selle dernier cris, nouvelles bottes en cuir, bombe de meilleure qualité, pantalon de marque connue dans le monde du cheval, … Le matériel consacré au cheval et à son cavalier est devenu un phénomène de mode ! Pour le peu que le cavalier ait son propre cheval, les dépenses passe du simple au double ! On veut en effet le meilleur pour son fidèle destrier : nouvelles brides, nouvelles protections, amortisseur plus confortables, belles couvertures, …
La liste ne prend jamais fin ! Et ce, sans compter le matériel spécifique aux concours (pantalon blanc, tapis, veste de concours, …).

En ce sens, l’équitation est sans conteste un sport de luxe …

Les assurances 

S’ajoutent à tout cela, les frais d’assurance. Cela fait référence aux assurances spécialisées dans les chevaux. On retrouve différents types d’assurance : l’assurance cheval (mortalité, frais vétérinaire, invalidité, responsabilité civile), l’assurance cavalier (garantie du cavalier invalidité, décès), l’assurance van/remorque (garantie au tiers ou tous risques, l’assurance chevaux transportés (pour un ou plusieurs cheval/chevaux), l’assurance protection juridique (assistance juridique, prise en charge des honoraires d’un expert équin, un juriste ou un vétérinaire), ou encore l’assurance rapatriement, l’assurance attelage, l ‘assurance incinération, l’assurance box/écuries, assurance selle ou l’assurance de l’embryon.Alors pourquoi ne pas vous lancer dans l’assurance spécialisée pour les chevaux ?

Un sport qui fait parler les médias

Peu importe le type de médias, le sport équestre est partout ! En ce qui concerne la télévision, on retrouve par exemple les courses hippiques dont la plus médiatisée, associée en particulier aux Tiercé, Quarté et Quinté +, est retransmise sur France 3 chaque jour. On note aussi la présence de chaîné spécialisée dans le domaine équestre comme Equidia live et Equidia life.

Sur le plan de la presse, des quotidiens se sont spécialisés également dans ce domaine comme c’est notamment le cas de La Gazette des courses, Paris-Courses, Paris-Turf, Tiercé Magazine. Des annuaires hippiques sont aussi présents comme Zecourses. Parmi les magazines spécialisés, on remarque notamment Cheval Magazine, premier mensuel français leader de la presse équestre et équine en Europe, Turf Magazine. Nombreux sont les quotidiens généralistes qui consacrent une page sur les courses hippiques. On compte parmi eux Le Parisien/Aujourd’hui en France, L’Humanité.

Des sites internet spécialisés apparaissent de plus en plus nombreux comme equi-ressources, cheval-annonce.com, equirodi.com, chevalmag.com, ffe.com, geny.com, turfomania.fr, turfoo.fr, zone-turf.fr, ZEturf.fr, Paris-Turf-Ligne.fr, … et bien d’autres encore.

On peut faire le parallèle avec l’émergence d’un nombre important de jeux vidéo consacrés aux chevaux comme Equideow ou Alexandra Ledermann, qui connaissent un franc succès auprès des jeunes passionnés de chevaux.