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Quelles seront les 10 prochaines innovations de cette année ?

L’une des plus grandes universités du monde, le MIT, a dressé dans sa revue les principales innovations technologiques attendues pour 2015, en cours de développement ou encore balbutiantes. Quelles sont donc les grandes innovations de demain ?

Les objets virtuels

La start-up Magic Leap développe un concept original qui devrait voir le jour dans les prochains mois. Des lunettes spéciales vont permettre de faire apparaître des objets virtuels au sein d’un espace réel, qui pourront être palpables comme de véritables objets !

Les nano-treillis

Les chercheurs de l’Institut de technologie de Californie travaillent sur un projet baptisé Nano-Architecture, ayant pour but de mettre au point des matériaux légers et extrêmement résistants, capables de se déformer sans jamais se briser. Ces nano-treillis intéressent déjà fortement l’industrie automobile.

La communication entre véhicules

General Motors travaille au développement d’une nouvelle technologie susceptible de bientôt équiper ses voitures. Il s’agit d’un prototype qui pourra prévenir les risques de collision, en détectant les déplacements de tous les autres véhicules dans un rayon de plusieurs centaines de mètres.

L’accès à Internet par ballons stratosphériques

Le projet Loon de Google pourrait être une révolution dans les prochains mois. L’idée est de mettre en place un accès internet universel, en utilisant pour cela des ballons stratosphériques économiques ayant les mêmes capacités que des satellites géostationnaires. Un projet ambitieux, à suivre de près.

La biopsie liquide

Plusieurs universités, notamment aux Etats-Unis, en Chine et en France travaillent sur ce procédé de biopsie liquide. Il s’agit d’une alternative médicale aux prélèvements de tissu pour le dépistage d’une tumeur. Cette technique permettra de diagnostiquer plus tôt des cancers, et donc d’augmenter le taux de rémission.

La désalinisation de l’eau de mer

Déjà connu, le procédé d’osmose inverse pour rendre potable l’eau de mer est en passe de connaître un développement important. Jugé trop onéreux jusque-là, le principe a été perfectionné et plusieurs grandes usines de dessalement sont en cours de construction en Israël. Il s’agit d’une immense avancée pour assurer les besoins mondiaux en eau potable.

Le paiement sans contact

Différentes sociétés comme Apple sont en train de mettre au point ce système pour le marché américain, qui pourrait connaître sa généralisation en 2015 et 2016. L’idée est de permettre des paiements dématérialisés pour l’ensemble des achats du quotidien, sans plus passer par la classique carte bancaire.

Les cerveaux embryonnaires

Il s’agit d’une alternative médicale aux prélèvements de tissu pour le dépistage d’une tumeur. Ces mini-encéphales permettent d’étudier le fonctionnement des neurones et de mieux comprendre certaines maladies comme l’autisme et l’épilepsie.

Le perfectionnement de la photosynthèse

Des généticiens philippins et britanniques sont en train de concevoir une technologie révolutionnaire dans le domaine agricole. Des modifications génétiques adaptées donnent la possibilité de développer la photosynthèse des plantes, pour créer des plants de riz ou de blé bien plus productifs.

Le moteur de recherche pour l’ADN

L’Alliance mondiale pour la génomique et la santé, avec l’apport financier de Google, travaille enfin à cette innovation majeure. D’ici quelques mois, la base de données Beacon rassemblera des profils génétiques du monde entier, une avancée qui permettra de faire progresser la recherche médicale.

Les actes les plus fous d’entrepreneurs pour faire passer un message ou défendre une cause

Parce que souvent un grain de folie est nécessaire pour faire passer un message ou défendre une cause, de nombreux entrepreneurs ont eu recours à des actions iconoclastes. Certains d’entre eux ont ainsi trouvé l’idée qu’il fallait au bon moment ou la formule choc pour communiquer, mais qui sont ces entrepreneurs audacieux et novateurs ?

Un grain de folie nécessaire pour entreprendre

Une idée, une formule ou un concept nécessitent parfois une action qui marque les esprits. Soutenir une action humanitaire, se démarquer de la concurrence ou encore faire passer un message, les entreprises ont besoin d’idées originales voire farfelues pour se distinguer des autres.

C’est ainsi le cas de l’ex fondateur et PDG du groupe Virgin, Richard Branson, qui pour assurer la publicité de la multinationale n’a pas hésité à traverser la Manche en kitesurf le 1er juillet 2012 ou encore effectué une traversée de l’Atlantique en ballon gonflable ! Très impliqué dans le monde associatif, le grand public se souvient alors des actions marquantes de l’entrepreneur. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le britannique âgé de 65 ans a le projet fou de commercialiser des voyages dans l’espace et de créer une compagnie de vols spatiaux via sa filiale Virgin Galactic.

Bill Gates reverse 95% de sa fortune personnelle

Créée en 1994 afin d’apporter sa contribution au soutien des populations défavorisées, la fondation Bill et Melinda Gates a dépensé près de 50 milliards de dollars ! L’ex fondateur et PDG de Microsoft n’a ainsi pas hésité à se retirer du monde des affaires pour gérer des fonds humanitaires plus importants que ceux de l’Organisation Mondiale pour la Santé. Bill Gates a en effet reversé la quasi-totalité de sa fortune personnelle estimée à plusieurs dizaines de milliards de dollars afin de lutter contre la famine dans les pays du Tiers monde et aider à l’éducation et la santé en Afrique.

Un tour du monde des start-up à vélo

C’est le projet décalé et un peu fou de Thomas Despin, un jeune entrepreneur bordelais. Afin d’assurer la promotion et la diffusion d’un entrepreneuriat à échelle humaine aux quatre coins du globe, ce dernier a décidé d’entamer un périple à vélo autour du monde. Ce projet de partir à la rencontre d’une centaine de start-up lors de son voyage, permet à cet entrepreneur d’un nouveau genre d’inspirer les jeunes à créer leur entreprise. Dans le cadre de son périple, Thomas Despin envisage alors de filmer son voyage et de diffuser en direct sur les réseaux sociaux via Startup Cycling ses rencontres.

Warren Buffet veut payer plus d’impôts !

Œuvrant depuis quelques années en faveur de l’humanitaire, Warren Buffet dont la fortune est estimée à plus de 66 milliards de dollars a soutenu publiquement une action en faveur d’une meilleure redistribution des richesses. L’homme d’affaires américain a ainsi publié dans le New York Times les chiffres de son imposition, à savoir qu’il a payé 6 millions de dollars. Constatant qu’il payait moins d’impôts que ses collaborateurs, Warren Buffet a alors encouragé les plus grosses fortunes du monde à payer plus d’impôts et à redistribuer une partie de leur immense fortune à des œuvres caritatives. Joignant le geste à la parole, le multimilliardaire a ainsi annoncé une donation de près de 37 milliards de dollars à la fondation Bill Gates !

Quels conseils suivre pour créer une application efficace pour son entreprise ?

Avec la place prise par les smartphones dans la vie quotidienne, de nouvelles applications voient régulièrement le jour. Pour les entreprises, il apparaît intéressant de mettre au point des applications mobiles adaptées tant aux besoins de leurs employés que de leurs clients. Quels sont donc les bons conseils pour mettre au point une application mobile pour son entreprise ?

Penser à l’expérience de l’utilisateur

Une application pour tablette ou smartphone répond à des problématiques complètement différentes qu’un logiciel pour PC ou un ordinateur portable. L’application mobile envisagée devra se baser sur la taille d’écran bien différente, les ressources de calcul moindres et les dispositifs de saisie spécifiques. L’interface se doit d’être intuitive pour les utilisateurs et adaptée à son support : copier celle d’un produit pour ordinateur serait une grave erreur. Quel que soit le rôle rempli par l’application, il est donc absolument nécessaire que la qualité de l’expérience utilisateur soit au cœur de sa conception.

Exploiter les différents accessoires

De nos jours, la plupart des supports mobiles du marché disposent de fonctionnalités et d’accessoires particuliers, tels que la 3G ou la 4G, la prise de photos et de vidéos, le GPS, le Bluetooth ou le Wi-Fi. Dans ce contexte de performance, l’application mise au point pour l’entreprise ne peut être conçue sans prendre en considération ces éléments.

Le logiciel devra savoir tirer le meilleur de ces fonctions spécifiques aux appareils mobiles existants sur le marché. On peut penser notamment à une réorientation de l’écran quand l’appareil est placé horizontalement, à la possibilité de télécharger des photos dans le système distant ou à l’envoi de mises à jour basées sur la géolocalisation.

Adapter l’application au contexte de l’entreprise

Il faut également garder à l’esprit que l’application sera utilisée au sein de l’entreprise, ou en fonction de ses activités. Par conséquent, votre application d’entreprise doit être en mesure d’intégrer des services d’application tierce pertinents. On peut évoquer des fonctions intégrant le flux des réseaux sociaux, des informations sur la circulation routière ou encore un système de cartographie. On ne doit pas non plus oublier que l’application mobile sera utilisée dans le cadre professionnel. A ce titre, un examen de sécurité minutieux doit entourer ses fonctions, comme pour tout logiciel de bureau.

Le caractère pratique de l’application dans le cadre de l’entreprise doit être au centre des préoccupations au moment de sa conception. Il ne peut être un simple portage sur support mobile de services d’entreprise déjà existants, ni d’un gadget n’apportant aucune plus-value aux salariés durant l’exercice de leur travail. L’objectif de toute application est d’enrichir l’expérience quotidienne des utilisateurs.

Une application d’entreprise doit donc permettre aux employés d’être plus productifs et plus motivés, ou encore de recevoir une aide concrète pour l’exécution de certaines tâches. Un mécanisme de mise à jour des données en temps réel peut notamment s’avérer pertinent. Une application permettant de gagner du temps, ne serait-ce que quelques minutes sur chaque processus, peut avoir un véritable impact positif dans le fonctionnement de l’entreprise.

Pourquoi les patrons français s’exportent de plus en plus à l’étranger

Qu’ils créent leurs entreprises à l’étranger où qu’ils soient courtisés par des grands groupes internationaux, de plus en plus d’entrepreneurs et de haut cadres français font le choix d’exercer leurs talents à l’étranger où leurs compétences semblent reconnues à leur juste valeur. D’où vient le succès des patrons français aux quatre coins du monde ?

Un mouvement d’expatriation qui ne se dément pas

Depuis quelques années, l’appel des sirènes internationales a séduit de plus en plus d’entrepreneurs hexagonaux. Par exemple, le groupe allemand de grande distribution Metro a offert en 2012 la division des hypermarchés Real à Didier Fleury, en provenance de Carrefour. En 2014, Didier Leroy devient vice-président exécutif de Toyota, premier constructeur mondial : une véritable révolution pour le groupe nippon. Dans le secteur pharmaceutique, les français sont particulièrement courtisés : on pense à Pascal Soriot, qui est à la tête du suédo-britannique AstraZeneca ou à Christophe Weber, patron du japonais Takeda. Ces managers formés en France et très courtisés à l’étranger par des multinationales ne sont pas les seuls à s’exporter. De plus en plus de jeunes entrepreneurs fondent des start-up en dehors de la France, avec succès. C’est le cas d’eXo Platform, start-up d’édition de logiciels, dont le PDG est Benjamin Mestrallet qui a choisi d’installer le siège social de sa société en pleine croissance en Californie. Selon une étude de l’EDHEC réalisée en 2015, 69% des élèves des prépas commerciales souhaitent s’expatrier à la fin de leurs études. 

La bonne réputation de la formation française

Quelle est la recette du succès des « frenchies » en dehors de nos frontières ? La raison principale réside sans doute dans la bonne réputation de la formation française. Les managers français sont réputés pour leur rationalité, leur esprit d’analyse et de système. Ainsi, parmi les entrepreneurs français présents au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas 2015, la quasi-totalité d’entre eux ont suivi jusqu’au terme leur formation en France (Paris 6, HEC et ESIEE étant les plus représentés parmi eux). Hubert Joly, lui-même diplômé d’HEC, directeur général de l’américain Best Buy résume ainsi les qualités perçues outre-manche des managers français : « les Américains reconnaissent aux Français une formation aux fondations fortes et une vraie culture ».

Les dirigeants et entrepreneurs français posséderaient un autre avantage de taille. Beaucoup ont déjà été à la tête d’une structure privée en France, où la gestion d’une entreprise est réputée difficile du fait de l’environnement culturel et réglementaire. Alain Casparros, haut dirigeant du groupe allemand de supermarché Aldi, confirme cet état de fait en expliquant que gérer une entreprise en France est nettement plus difficile qu’en Allemagne.

Une obstination à quitter la France ?

Enfin, la dernière explication de ces succès à l’international est plus prosaïque. D’une part, la grande majorité des décideurs français ou étudiants dans une école de commerce ou d’ingénieurs possèdent déjà une expérience d’expatriation temporaire à l’étranger (plus de 40 000 étudiants des grandes écoles françaises font chaque année une partie de leur cursus à l’étranger). Par ailleurs, 15% des jeunes diplômés s’expatrient à la fin de leur cursus (dont plus de 35% de ceux d’HEC). Une majorité d’entre eux déplorent l’environnement social et l’état de l’économie, selon une étude réalisée en 2014 par l’IFOP. Et si le succès des français à l’étranger ne venait finalement pas simplement de leur obstination à partir de France ?

Ces start-up spécialisées dans les événements

L’événementiel intègre de nombreuses prestations et services dans différents domaines : voyages d’entreprise, soirées à thème, congrès et séminaires, événements sportifs, … Afin de communiquer et organiser un événement en particulier, les start-up rivalisent d’ingéniosité en proposant des offres sur-mesure aux particuliers comme aux entreprises. Quelles sont alors ces jeunes entreprises qui œuvrent dans l’événementiel et proposent des solutions innovantes ?

Une Destination Management Company

Oreva France est spécialisée depuis 13 ans en France dans l’organisation de voyages d’affaires, d’animations et manifestations culturelles et sportives. La start-up bénéficie ainsi d’un réseau composé de 6 agences réparties dans tout l’hexagone, afin d’offrir un service personnalisé aux entreprises. Traitant près de 600 dossiers chaque année, Oreva France propose son expertise dans l’organisation variée d’événements originaux comme une journée en mer à bord d’un voilier, une soirée thématique au Louvre, ou encore une chasse au trésor en zodiac sur la Seine.

Faciliter l’organisation d’événements festifs

Happhapp propose à ses clients d’organiser et de prévoir tous types d’événements festifs et autres soirées à thème. Le site offre en effet un service complet de mise en relation des internautes avec des prestataires spécialisés. Afin d’épargner un temps non négligeable, la start-up propose à ses clients un questionnaire détaillé pour cerner au mieux leurs besoins, et planifie ensuite un événement en fonction des réponses fournies. De la recherche d’un traiteur à la location d’une salle et du matériel, Happhapp offre des prestations personnalisées en fonction du budget alloué.

Le marketing sportif

Très en vogue aujourd’hui, le marketing sportif constitue une solution idéale pour organiser une manifestation sportive dont les retombées profitent au monde de l’entreprise. Quaterback est ainsi une agence spécialisée qui propose aux professionnels d’assister à des événements sportifs dans le cadre de leur communication. Implantée à Paris et à Marseille, l’agence fournit des prestations sur-mesure aux entreprises pour fidéliser leur clientèle et développer leurs relations professionnelles.

La conception de séminaires

Selon un cahier des charges précis, Magellan Organisation prépare et organise des séminaires pour les entreprises en France et à l’étranger. Avec un budget et des exigences propres, la start-up prend en charge tous les séminaires de A à Z en établissant un Road Book détaillé. Les entreprises disposent alors d’un grand choix de destinations comme Marrakech, la Côte d’Azur, ou encore la Laponie et le désert tunisien.

L’événementiel 3.0

Profitant de l’apport du numérique à la préparation d’un événement particulier, IKcom innove en commercialisant un logiciel d’analyse des données sur les réseaux sociaux. Propice à un travail de recherche en amont afin de dénicher les événements les plus populaires auprès des internautes, l’application Xink de la plateforme permet de trouver tous les partenaires adaptés. En scannant l’ensemble des réseaux sociaux, le logiciel élaboré par IKcom profite aux entreprises dans leurs campagnes promotionnelles et organisation de communication événementielle.

Congé maternité et entrepreneuriat au féminin : quelques conseils pour bien gérer

Si 60% des femmes âgées de 18 à 29 ans pensent devoir mettre leur carrière en pause pour devenir mère (étude IPSOS), cela ne peut pas être une option pour les femmes entrepreneures. Elles ont, en parallèle de leur grossesse, à s’occuper de leur entreprise. Mais comment bien gérer le congé maternité et la diminution d’activité qui y est liée ?

S’assurer un revenu durant le congé maternité

Afin de ne pas souffrir financièrement de l’arrêt de leur activité, les femmes chefs d’entreprises peuvent bénéficier, grâce au Régime Social des Indépendants, d’un congé maternité indemnisé. En adressant à leur organisme conventionné un certificat d’arrêt de travail et une déclaration sur l’honneur attestant de l’interruption d’activité, les femmes entrepreneures bénéficient d’indemnisations calculées en fonction du montant annuel perçu durant les 3 dernières années d’activité. Cependant, certaines conditions sont à respecter : l’indemnité est versée si l’activité est interrompue durant 44 jours consécutifs, dont 14 jours avant la date présumée d’accouchement. L’arrêt de 44 jours peut être prolongé d’une ou deux fois 15 jours consécutifs. Afin de palier la diminution d’activité et de productivité entourant le congé maternité, une allocation est également versée aux femmes entrepreneures. La première partie étant alors versée à la fin du 7ème mois de grossesse et la seconde après l’accouchement.

L’annonce

Si les femmes entrepreneures n’ont pas à annoncer leur grossesse à leurs supérieurs hiérarchiques elles se doivent cependant d’en informer leurs clients, fournisseurs, employés et collaborateurs. Cela leur permettra de comprendre la diminution ou l’arrêt d’activité mais également de s’organiser en l’absence de la chef d’entreprise. L’annonce doit être faite au bon moment (pas trop tard) pour que des solutions satisfaisant les besoins des clients durant le congé puissent être trouvées. L’annonce du départ doit également servir d’annonce de la date de retour. Cela souligne que l’entrepreneure reste une professionnelle fiable et qu’elle ne quitte pas le marché. Les clients et collaborateurs s’organiseront alors en prenant en compte cette date de retour plutôt qu’en faisant appel à une autre entreprise.

La préparation du congé maternité

Une fois l’annonce faite, il est important pour les femmes entrepreneures de préparer leur départ et leur période d’inactivité. Un congé maternité étant prévisible, il est alors aisé de l’anticiper. Préparer le départ passe notamment par la finalisation des dossiers en cours, la préparation d’un planning pour les employés (s’il y en a)… Une bonne gestion de la période de congé est également importante pour éviter les dysfonctionnements de la société en l’absence de la chef d’entreprise. Celle-ci doit alors se charger, avant son départ, de désigner un remplaçant et de faire passer ses consignes.

Anticiper son retour

La reprise du travail peut être difficile pour les femmes entrepreneures si celles-ci n’ont pas anticipé leur retour. Bien entendu, le congé maternité n’est pas une période de travail mais cela n’empêche pas de rester en contact avec ses employés et collaborateurs. Avant de revenir, il est ainsi préférable de s’informer sur les dossiers en cours, les tâches à accomplir ou encore les problèmes éventuels. De même, il est judicieux de reprendre contact avec le monde professionnel quelques jours à l’avance afin de rappeler son retour et sa présence sur le marché. Ce contact peut être l’occasion de prévoir des rendez-vous avec les clients et collaborateurs afin de faire le point et développer de nouveaux projets.

Facebook et Twitter, des business models à imiter ?

En moins de dix ans, l’outil formidable qu’est Internet a grandement révolutionné nos modes de vie. Facebook et Twitter reflètent à eux-seuls cet impact : des changements radicaux, des habitudes nouvelles, des modes de réflexion bouleversés. Pour les consommateurs comme pour les entreprises, ces deux réseaux sociaux apportent un lot considérable de possibilités nouvelles. Mais une question demeure : la stratégie mise en place par ces deux mastodontes de l’Internet peut-elle permettre à d’autres entreprises, pas nécessairement du même secteur, de faire fortune ? Comment s’en inspirer pour tenter de l’apposer au mode de fonctionnement de notre propre structure ou de notre projet futur ?

De véritables cash-machines

Allons tout de suite à l’essentiel : Facebook et Twitter sont de véritables machines à gagner de l’argent. Alors qu’il y a encore quelques années, Mark Zuckerberg, le désormais célèbre CEO de Facebook, rechignait encore à l’idée d’axer la stratégie de son réseau social sur la publicité de contenus, il y a fort à parier qu’il ne regrette pas son changement d’avis. Facebook a gagné en 2014, selon des cabinets spécialisés d’analystes américains, 10,04 dollars par utilisateur. Les chiffres de Twitter sont un peu plus faibles (à 5,48 dollars par utilisateur) mais ils restent tout de même très encourageants. Mais comment ces deux réseaux sociaux font pour autant monnayer leur audience ?

Une stratégie simple mais efficace

Facebook et Twitter monnaient leur audience en passant des accords avec d’autres entreprises parmi les plus grandes du monde, pour leur ouvrir les portes de leur réseau social. La stratégie est gagnante lorsque l’on sait qu’ils rassemblent, par jour, plusieurs centaines de millions d’utilisateurs (1,49 milliard au total pour Facebook et 304 millions pour Twitter). C’est une garantie certaine pour une entreprise X souhaitant toucher une large audience que de passer des pages de publicités ou de simples petites images sur de tels sites. Mais comment donc tenter de mettre en œuvre cette stratégie de publicité ailleurs que sur un réseau social ?

Un modèle compliqué à mettre en œuvre ailleurs

Soyons clairs : il est très compliqué de s’inspirer de la stratégie de Facebook et de Twitter ailleurs que sur des réseaux sociaux. Mais cela reste tout de même tout à fait possible. En tant que chef d’entreprise ou cadre dirigeant, il vous sera nécessaire pour tenter de gagner de l’argent, de bien identifier l’audience du site de votre entreprise, la nature de votre clientèle, et ce dans le but de cibler les publicités à mettre en place. D’autres entreprises souhaiteront utiliser l’espace publicitaire de votre site Internet si l’audience et la nature de votre clientèle en vaut la chandelle. C’est là une force majeure de Facebook et Twitter : rassembler des personnes de tous horizons, de tous âges, mais qui feront face de la même manière aux publicités proposées : un coup d’œil rapide mais une trace laissée dans l’esprit. C’est cette stratégie-là que vous devez viser !

Ces start-up qui profitent du recyclage pour se lancer

Les enjeux environnementaux occupent une part de plus en plus importante dans la société. Les entreprises suivent cette tendance et cherchent à innover en matière d’écologie et de développement durable. De nombreuses start-up essaient de se lancer dans cette voie, en basant notamment leurs activités sur le recyclage. Quelles sont ces jeunes sociétés innovantes qui se démarquent sur ce créneau porteur ?

Ennesys

Basée à Nanterre, cette start-up spécialisée dans le recyclage des déchets fait d’ores et déjà partie des plus dynamiques sur le plan français. Ennesys développe une technologie permettant de dépolluer les eaux usées pour les transformer en source d’énergie. Un appareil installé sur le toit d’un immeuble permet de récolter eaux usées et déchets organiques, qui seront traités par phytoplancton pour créer une eau propre et des granulats pouvant être utilisés comme du charbon. L’entreprise veut devenir le leader mondial de ce traitement original.

Cy-Clope

Depuis début 2015, l’entreprise lyonnaise Cy-Clope s’est lancée dans le domaine du recyclage des mégots. Fondée par deux entrepreneurs ambitieux, Antoine Di Tommaso et Thibault Legrand, l’entreprise a mis au point un procédé qui transforme les mégots de cigarettes en plaque d’isolation plastique. L’idée est de mettre en place des bornes dans les coins fumeurs des entreprises pour collecter les mégots et amorcer le processus de recyclage. Avec 70 milliards de cigarettes achetées en France chaque année, il s’agit d’un enjeu majeur, qui pourrait assurer le succès de la société.

Green Creative

La start-up française Green Creative cherche à tirer partie des nouvelles normes industrielles en matière de recyclage. Elle développe des machines innovantes servant à recycler les déchets au sein des entreprises. Deux de ses projets connaissent un succès croissant : Flexidry, un appareil servant à recycler les rebuts de production industrielle, et R3D3, un étonnant robot-poubelle qui trie et compresse canettes et débris plastiques. La société intéresse déjà de grands groupes, avec des machines testées par Veolia et la SNCF, et pourrait connaître un essor important durant l’année 2016.

Cophenol

Depuis 2014, la start-up Cophenol connaît une phase d’étude intense sous l’impulsion de son fondateur, Emmanuel Thiéry. Cette start-up a créé une technique originale afin de transformer les déchets de café en engrais organique. La pyrolyse des différents résidus permet d’obtenir du bio charcoal, un charbon à usage agricole susceptible d’être utilisé dans les pays émergents ou en voie de développement. Les retombées économiques d’un tel produit pourraient être très importantes dans les prochaines années. Une étude de viabilité économique doit être menée pour un premier partenariat avec des coopératives brésiliennes.

Pyrum

Fondée en 2007 en Alsace, cette start-up franco-allemande a obtenu en 2015 le Grand prix du Sénat lors du concours Lépine. Elle utilise un procédé de thermolyse afin de recycler des pneus usagés pour les transformer en énergie réutilisable sous forme de pétrole, de coke et de gaz. L’entreprise vient d’ouvrir en Sarre sa première unité industrielle, capable de transformer 5000 tonnes de pneus chaque année. L’énergie créée va permettre au site de fonctionner en complète autarcie et de prouver l’efficacité de sa technique de recyclage. Pascal Klein, le PDG de Pyrum, souhaite faire de la société le leader du marché dans les prochaines années.

Ces start-up qui ont fait avancer la science

Les secteurs de la recherche médicale et de la santé profitent de l’innovation des start-up. Particulièrement à la pointe de la technologie et bénéficiant des dernières avancées scientifiques, ces dernières font avancer la science depuis de nombreuses années. Quelles sont alors ces start-ups qui innovent et font profiter à tous des fruits de leur recherche ?

Recycler la peau humaine pour faire avancer la science

Toulouse profite de son secteur de pointe dans les biotechnologies pour faire progresser d’un grand pas la recherche médicale. La start-up Genoskin a ainsi été fondée en 2011 par Pascal Descargues et emploie aujourd’hui 5 personnes. Implantée sur le site toulousain de l’Oncopole, la société s’est spécialisée dans le recyclage de la peau humaine à des fins de recherche médicale. Épargnant ainsi les expérimentations douloureuses sur les animaux, Genoskin fait progresser la science en collectant des échantillons de peau principalement dans les cliniques de chirurgie esthétique. En étant à l’origine du projet Native Skin qui sert à traiter de nombreuses maladies dont l’eczéma et les mélanomes, la start-up encourage les travaux de recherche.

Une molécule révolutionnaire pour traiter le cancer

Une start-up grenobloise, Ecrins-Therapeutics fondée en 2010 a mis au point une molécule qui s’attaque au cancer. Répondant au nom d’ET-D5, cette molécule anti-cancer sert à diviser les cellules cancéreuses en les empêchant de créer de nouveaux réseaux vasculaires. En partenariat avec l’Institut Curie, Aurélie Juhem la directrice scientifique de la société Ecrins-Therapeutics, espère trouver une source de financement par crowdfunding pour engager des essais cliniques à partir de 2016.

La création d’un mini-cerveau humain

Des chercheurs américains de l’Université de l’Ohio dont le professeur Anand, ont réussi la prouesse technologique de créer un cerveau humain en miniature. À l’origine de la création de la start-up révolutionnaire NeurXstem, le chercheur a présenté à la communauté scientifique son cerveau de la taille d’un taille-crayon et présentant les caractéristiques les plus complètes à ce jour. La start-up cherche alors à améliorer la recherche sur la maladie d’Alzheimer et envisage de commercialiser son processus de développement.

Lutter contre le cancer grâce au corail d’élevage

Coral Biome une start-up marseillaise, est destinée à la production de coraux d’élevage à des fins de recherche contre le cancer. Son fondateur Frédéric Gault, un spécialiste de l’aquaculture, a fondé la société en 2011. Essentiels pour la recherche clinique et les essais en laboratoire, le corail et les microorganismes sont en effet indispensables aux chercheurs. Coral Biome fournit alors une centaine de coraux et a déposé un brevet à l’Institut pour la recherche et le développement pour le succès de ses élevages d’un genre particulier.

La start-up de l’année en 2014

Élue start-up de l’année en 2014 lors du Falling Walls Venture qui s’est déroulé à Berlin, EyeTechCare a inventé un dispositif médical révolutionnaire dans le traitement des glaucomes. Créée en 2008 par un ophtalmologue et spécialiste en microchirurgie, Fabrice Romano, EyeTechCare commercialise son invention depuis 2013. Le dispositif de la start-up est en fait un générateur muni d’une sonde à usage unique, qui permet de traiter un glaucome sans recourir à aucun médicament.

Encourager les énergies renouvelables

L’optique d’In Sun We Trust est d’encourager l’implantation de panneaux solaires. Les installations photovoltaïques constituent l’avenir, et la start-up française fondée par David Callegari a commercialisé une application en ligne qui calcule toutes les informations nécessaires à cette production d’énergie à domicile.

TOP des start-up spécialisées dans la recherche d’appartement

Le logement fait partie des besoins fondamentaux de l’être humain tels qu’ils ont été énoncés par le professeur Drew Eric Whitman. De fait, la recherche d’un logement s’impose à chacun d’entre nous à plusieurs moments-clés de notre existence. De nombreuses start-up se sont positionnées sur ce marché ces dernières années et apportent des solutions innovantes à tous ceux qui souhaitent trouver vite et bien que ce soit à la location ou à l’achat un bien immobilier. Voici trois exemples de ces start-up qui surfent sur la vague de la désintermédiation pour réformer le marché de l’immobilier.

Home ‘n’ go

Via ses agences immobilières partenaires, cette start-up centralise sur son site et ses applications iOS et Android les annonces disponibles dans votre ville de recherche. Les annonces publiées sur Home’n’go comportent de très utiles informations comme les transports, les commerces et les écoles/crèches à proximité. Elle vous offre aussi un panorama du marché immobilier dans la ville concernée : prix au m², taux de la taxe foncière et de la taxe d’habitation et évolution du marché. Des informations très utiles à l’heure du choix. Lancée en 2011 par Adrien Pavillet et Sébastien Zerah, deux diplômés de la branche management et nouvelles technologies de HEC, la start-up propose aujourd’hui plus de 1,2 millions d’annonces diverses. Elle se rémunère principalement au clic et par certains services premiums proposés aux propriétaires.

Locat’me

Cette start-up propose une mise en relation de l’offre et de la demande inversée. Quand un propriétaire décrit son bien immobilier sur le site, une liste de locataires potentiellement intéressés lui est proposée. Il ne lui reste qu’à proposer son bien aux locataires de son choix. Le propriétaire aura accès aux données complètes des locataires qui accepteront la mise en relation. Dès lors, le contact peut s’établir directement. Très utiles pour les personnes en recherche de location qui ne disposent pas de temps pour consulter des pages d’annonces et passer des dizaines d’appels téléphoniques. Ils n’ont qu’à attendre l’appel des propriétaires intéressés par leur profil! Créée par Antoine Marck et Emmanuel Rasitosoa, la plateforme est opérationnelle depuis juillet 2013. Fin 2014 elle comptait près de 70 000 locataires inscrits pour 10 000 propriétaires.

Somhome

Cette start-up créée par Jean-Philippe Bertin propose aux locataires et aux propriétaires de s’inscrire sur sa plateforme. Le locataire y complète son dossier de candidature. Le site lui propose ensuite des annonces correspondants à ses critères et sa situation. Le locataire a ensuite accès à l’agenda du propriétaire pour s’inscrire afin de visiter le bien concerné. De son côté le propriétaire à accès aux éléments du dossier de candidature. Lancée en 2013, la startup Somhome a bouclé au début de l’été 2015 une levée de fonds de 500 000 euros.

L’immobilier reste un secteur hyper concurrentiel dans lequel les transactions de particuliers à particuliers sans autres intermédiaires qu’un site d’annonce en ligne occupent près de 50% du marché. Une start-up qui s’engage sur ce marché doit apporter une réelle plus-value en matière de services tant pour le locataire/acquéreur que pour le propriétaire. Home‘n’go, Locat’me et Somhome semblent tirer leur épingle du jeu, l’avenir seul dira si elles révolutionneront un secteur dont on a par le passé annoncé à maintes reprises le total bouleversement.