Accueil Blog Page 863

Ces publicités insolites dans le monde de l’automobile

Dans un monde où plus rien n’impressionne, les marques tentent des publicités insolites pour se démarquer. Que ce soit à base d’humour, d’images resplendissantes ou de sujet à côté de la plaque, elles n’hésitent pas à faire dans l’insolite. Retour sur ces dernières publicités insolites un peu décalées. 

Tesla et sa voiture dans l’espace 

Ces derniers mois, tout le monde a entendu parler du décollage de la fameuse fusée d’Elon Musk, la Falcon Heavy. Non seulement, cette fusée a fait jaser puisqu’elle est lancée par une entreprise privée : Space X. Mais aussi parce qu’elle abritait un objet insolite. L’entreprise a en effet, fait le choix d’envoyer une voiture dans l’espace, mais pas n’importe laquelle, une Tesla Roadster rouge. Elle est issue de la deuxième entreprise la plus connue d’Elon Musk. Tesla et son dirigeant jouent fort avec cet évènement. À bord de la fusée, la voiture a été libérée dans l’espace où elle erre sans but précis, elle se dirige actuellement vers la ceinture d’astéroïde. La marque de voiture a même pris le temps d’installer une petite plaque déclarant « fabriquée sur Terre par des humains » et de diffuser un tube de David Bowie à bord. Cet évènement et cette voiture dans l’espace ont motivé plus d’un média sur le sujet. Tous émerveillés et voulant diffuser cette actualité insolite, ils se sont rués sur l’information. Même s’il ne s’agit pas d’une publicité à part entière, c’est tout comme. L’entreprise a réussi à faire parler de sa Tesla Roadster par cet évènement incroyable, puisque l’univers vaut bien 10 000 espaces publicitaires. Grâce à cet évènement insolite, la marque de voiture électrique devient désormais incontournable dans l’histoire de l’humanité. 

Audi et BMW, une bataille par affiches interposées 

Les deux marques allemandes n’en sont pas à leur première bataille publicitaire. Elles n’hésitent pas à se démarquer par des campagnes originales et des traits d’humour. Elles se « chambrent » gentiment sur leur performance par des spots ou des affiches interposées. En Tunisie, elles ont réitéré l’expérience. Sur le devant d’une concession Audi, une banderole publicitaire ventant la marque s’est retrouvée très vite accompagnée d’une publicité pour BMW. Cette dernière faisait référence à la marque aux anneaux en précisant « Il n’est jamais trop tard pour changer d’avis ». Très provocateur et amusant, l’adversaire a fait le choix de répondre avec une autre banderole à la phrase « On ne change pas une marque qui gagne ». Le slogan était surmonté des anneaux de Audi entourés de deux L, créant alors un gigantesque « LOL » qui signifie « Laughing out Loud » en anglais. Le mot évoque le rire et l’amusement pour se moquer du slogan adverse. Cette petite bataille très particulière a permis de mettre en avant les deux marques. Les passants, et même les internautes en ont profité pour immortaliser le moment. Les marques savent communiquer à travers l’humour et la dérision. 

Skoda envoie un spationaute dans la Loire

Les marques de voiture, après la réalisation de Tesla rencontrent des difficultés à réaliser des publicités innovantes. Mais la marque tchèque Skoda n’a pas hésité à faire preuve d’humour dans un nouveau spot publicitaire. Le but était de faire clairement référence à l’évènement incontournable de Tesla avec sa voiture dans l’espace. Le spot présente une voiture prête à décoller, comme lors de la préparation d’une fusée avec un spationaute comme conducteur. Mais la voiture ne se dirige pas sur Mars à l’aide d’images de synthèse mais bien dans le village de Mars au coeur de la Loire avec des allures typiques, très loin de l’espace et de la Tesla Roadster. À la fin de la vidéo, le spationaute descend de la voiture et se fait acclamer par les habitants, appelés les Martiens. Ce spot très humoristique, veut mettre en exergue la marque mais a conscience qu’il lui est difficile de concurrencer Tesla. La publicité a bien fonctionné sur les réseaux sociaux. La marque ne se prend pas au sérieux et c’est ce qui plaît aux consommateurs. 

Le ski pour vanter Audi 

Toutes les marques de voiture aiment faire des publicités délirantes qui n’ont parfois aucun rapport avec les automobiles. C’est le cas de la nouvelle publicité Audi avec le skieur Candide Thovex. Ce skieur qui s’est fait connaître grâce à ses prouesses en ski freestyle a collaboré pour la deuxième fois avec Audi, pour faire un spot publicitaire très insolite. La publicité le présente en train de dévaler des étendues de sable, de terre, d’herbe tout autour du globe. Mais étrangement, il ne skie à aucun moment sur de la neige. Ce spot publicitaire combine une égérie de sport mondialement connue et des paysages magnifiques, de quoi faire rêver le consommateur. Tout ceci paraîtrait logique pour une publicité de tourisme, et pourtant, il s’agit bien d’une publicité pour la marque de voiture. Avec cette campagne Audi, n’hésite pas à innover et à sortir des sentiers battus pour démontrer que tout est possible en publicité. Si aucune automobile n’apparaît durant les 4 minutes, c’est pour une bonne raison. La marque a fait le choix de miser sur les paysages captivants et le skieur. Une seule phrase apparait en fin de spot : « All conditions are perfect conditions, Audi quattro », ce qui signifie « toutes les conditions sont de parfaites conditions, Audi quattro ». Elle fait référence automatiquement aux voitures et à leur performance. Par la suite, le logo Audi apparaît dans les dix dernières secondes. Par cette réalisation, Audi a choisi de ne pas se mettre en avant. Faire rêver le consommateur permet de marquer les esprits et de séduire le consommateur

Pourquoi décide-t-on de passer en portage salarial ?

De plus en plus de freelances décident de franchir le cap et de changer de statut en optant pour le portage salarial. Tout en conservant leur indépendance et leur totale liberté d’action, ce statut leur confère également une plus grande sécurité. Et ce n’est pas tout : faire le choix du portage salarial permet de bénéficier de plusieurs autres avantages.

Une indépendance conservée

Lorsque vous concluez une mission, vous signez un contrat tripartite dont les acteurs sont la société de portage salarial, votre client et vous-même. Malgré cet accord, vous conservez votre indépendance dans le choix de vos missions. Selon les sociétés de portage salarial, certaines peuvent vous demander un retour sur l’avancée de votre tâche, sans intervenir pour autant sur celle-ci.

En tant que porté, vous gérez votre prospection, vous choisissez vos clients, vous fixez vos honoraires ainsi que vos frais professionnels. De plus, vous organisez la conduite de vos entretiens et de vos missions.

Le statut de salarié : une sécurité

Il ne faut pas se leurrer, certes, les charges d’un travailleur non salarié sont inférieures à celles d’un porté mais en matière de sécurité et de couverture sociale, le portage salarial l’emporte !
Si vous êtes porté, vous bénéficiez du même régime social qu’un salarié tout en étant indépendant. Vous profitez de congés payés, d’une couverture santé et de la prévoyance, ainsi que de la responsabilité civile professionnelle. En cas de rupture de contrat, vous pouvez percevoir les allocations chômage et vos frais professionnels sont remboursés.

Contrairement à un travailleur non salarié, vous n’avez pas de démarches à faire pour trouver une mutuelle ainsi qu’une assurance RC Pro. En adhérant à une société de portage et selon les conditions de celle-ci, vous bénéficiez, non seulement de ces couvertures, mais, en plus de cela, les prestations auxquelles vous pouvez prétendre sont plus importantes.

Notez qu’au début de son activité, un travailleur non salarié fait souvent l’impasse sur les contrats de prévoyance et de retraite complémentaire. Il préfère se concentrer sur le démarrage de son activité et remet à plus tard la souscription de ce type de contrats. Il bénéficie des indemnités de base qui sont inférieures à celles d’un salarié porté. De même, concernant la mutuelle, ses remboursements santé sont souvent plus faibles.

Pouvoir déléguer les tâches administratives, comptables et juridiques

Votre société de portage salarial vous propose plusieurs services : comptables, administratifs ou encore juridiques, selon l’offre choisie. Elle s’occupe de votre comptabilité en traitant vos factures « clients » réglées, en effectuant les relances mais également en vérifiant la solvabilité de vos clients potentiels. En étant travailleur indépendant, cette tâche vous incombe. Selon la situation, l’intervention d’un comptable peut s’avérer nécessaire et engendre des frais.

Sur le plan juridique, vous disposez de contrats ou encore d’avenants à transmettre à vos clients alors qu’un travailleur non salarié doit souvent faire appel à un juriste pour rédiger ce type d’actes, s’il ne dispose pas de compétences dans ce domaine. C’est un coût supplémentaire à prévoir.

D’un autre côté, la société de portage salarial vous verse votre salaire et établit vos fiches de paie. Elle transmet le montant de vos revenus à l’administration fiscale. Elle s’occupe de toutes les démarches administratives relatives au contrat souscrit et met à votre disposition des outils pratiques pour établir notamment les devis et les factures.

Une prospection de plus grande qualité

Délesté de toutes les démarches administratives et comptables, vous vous consacrez à votre prospection et au développement de votre activité.

Plusieurs types de prospection s’offrent alors à vous. Vous entreprenez une recherche de clients soit par vos propres moyens (mailing, téléphone), soit par le biais de votre société de portage salarial. La plupart proposent des offres de mission soit en direct, soit en vous inscrivant sur une plateforme (néanmoins, la probabilité qu’une offre de mission tombe au moment où vous en avez besoin, proche de chez vous, adaptée à votre profil, pour une durée qui vous convient, reste faible). Une autre alternative reste le développement d’un réseau professionnel.

Un réseau professionnel développé

Le portage salarial vous apporte un réseau professionnel. Ce dernier vous offre plusieurs avantages. La notoriété de la société est d’ailleurs un signe de fiabilité et un accélérateur pour trouver des clients et développer votre business. Vous rencontrez également d’autres consultants lors de conférences, d’afterworks ou d’ateliers. Ces échanges vous permettent d’étendre ce réseau, d’accroître vos compétences et votre champ d’intervention grâce aux différents témoignages recueillis. Votre société de portage vous accompagne également dans le développement de votre activité en intervenant à différents niveaux tout en étant à votre écoute. Vous pouvez même disposer d’un suivi personnalisé, selon votre contrat.

Un temps de formation optimisé

Comme un salarié, vous bénéficiez du droit à la formation. Même si vous êtes indépendant, accroître votre expertise et renouveler vos connaissances sont primordiales pour réaliser vos missions mais aussi pour offrir et développer un service de qualité, tout en faisant augmenter votre chiffre d’affaires. Vous bénéficiez du CPF (Compte Personnel de Formation) et du CIF (Congé Individuel de Formation), sous conditions d’une ancienneté dans la société de portage salarial et selon le type de contrat (CDI ou CDD).

Le site internet plus que jamais indispensable en 2018

La nécessité de créer un site internet en 2018 pour une entreprise ou une association peut poser question. L’utilisation par de plus en plus d’utilisateurs des réseaux sociaux peut en effet laisser penser qu’un site internet classique est dépassé et n’a plus aucune utilité. Si cette approche est validée, elle amènera dans 99,99% des cas à une grave erreur de stratégie en termes de visibilité, de crédibilité, de protection de marque mais aussi dans l’obtention de nouveaux clients, adhérents ou plus généralement utilisateurs. 

Le site internet doit toujours avoir un rôle central pour tous les types d’entités : association, institution, organisme officiel ou encore entreprise.

Réassurance

La réassurance, un terme venu du marketing et très en vogue, désigne le fait de donner suffisamment confiance à l’internaute pour qu’il engage une action telle qu’un achat ou inscription à une newsletter.

Une entreprise disposant d’un site internet au design professionnel avec des pages présentant ses équipes et surtout ses mentions légales rassurera notamment l’internaute sur son existence physique. Cette mise en avant de la réalité d’une entité est d’autant plus importante lorsque l’entreprise à une activité 100% connectée. Une boutique en ligne ne pourra pas par exemple espérer créer un climat de confiance avec l’internaute sans ces pages.

Maîtriser son image, sa marque, son entreprise

Un site internet reste, et restera sans doute toujours, le meilleur moyen pour une entreprise de contrôler son image.  Tout d’abord, le design peut être adapté parfaitement au secteur d’activité de l’entreprise. Une compagnie évoluant dans le monde financier ne peut pas se permettre de mettre en ligne son bilan comptable sur des sites ou des réseaux fantaisistes.

Les sites web, contrairement aux réseaux sociaux, permettent également de publier du contenu où les idées peuvent être développées et structurées. Le nombre de caractères et la mise en forme sont à la liberté de l’entreprise sur son site.

Pour toute entité, l’avantage majeur du site internet est de pouvoir maîtriser les commentaires laissés par les internautes et de répondre à leurs questions. Les réseaux sociaux peuvent en effet engendrer de nombreux commentaires négatifs dont la seule intention est de nuire à une réputation. Inversement, le site internet permet de désamorcer une situation tendue sur les réseaux sociaux avec la publication d’un communiqué de presse.

Savoir-faire

La maîtrise du contenu évoqué dans le dernier paragraphe permet également de présenter le savoir-faire et les activités d’une entité sans contraintes. La création de pages attrayantes composées à la fois de textes, de vidéos et d’animations sont des opportunités pour créer une ambiance et utiliser le très efficace story-telling. Les articles dit « long page » de journaux américains sont de très bons exemples.

E-Commerce

La nécessité de créer un site internet est indispensable pour toutes entreprises souhaitant vendre des produits en ligne. Si les places de marché sont nombreuses, elles ne permettent pas de mettre en avant des produits de manière optimale et les commissions prises par les plateformes peuvent être encore plus rédhibitoires.

De plus, l’administration de sa propre boutique permet de bénéficier de fonctionnalités inaccessibles sur de nombreuses plateformes.

 

Nom de domaine : protéger son entreprise, sa marque

Un site internet permet également de protéger une entreprise ou une marque des contrefaçons. Une marque, en développant un site internet et par conséquent un nom de domaine, se protège de la manière la plus efficace contre les escrocs. Ces derniers peuvent en effet profiter de l’absence d’une marque pour créer des sites où ils détourneront le chiffre d’affaire d’une entreprise avec une boutique ou encore plus simplement pour collecter des emails clients.

Référencement Naturel

Si les canaux de communication se sont multipliés avec les réseaux, le site internet permet d’obtenir le trafic le plus important et le plus stable dans le temps. La publication régulière de nouvelles pages – par exemple sous la forme de billets de blog – permet de se positionner sur des requêtes en lien avec son activité dans les moteurs de recherche. Si pour obtenir des résultats, il faut fournir un effort conséquent et recourir souvent à des professionnels, le trafic sera hautement qualifié et une fois acquis sera stable dans le temps.

Présence sur mobile

La présence sur les mobiles est aujourd’hui incontournable. Si la création d’applications spécifiques et disponibles sur les différents stores est sans conteste la solution optimale, elle est très onéreuse et accessible à très peu d’entreprises. La solution de repli est de créer un site internet dit responsive, c’est-à-dire capable de s’adapter à tous les écrans. En 2018, tous les site internet proposant du contenu à leurs visiteurs devront même franchir le pas d’AMP, Accelerated Mobile Pages. Ce nouveau format de page internet, mis en avant par Google dans ses résultats, permet la création de sites internet ultra-rapides et parfaitement adaptés aux contraintes des mobiles, comme par exemple la limitation de la connexion au réseau.

Personne ne peut réellement se passer d’un site internet. Plus haut, nous avons évoqué la possibilité dans certaines situations de faire sans. Les seuls cas où ce choix stratégique peut être valable est lorsqu’une entreprise ou plus souvent une personne tire ses revenus uniquement des réseaux sociaux. Les youtubeurs professionnels sont certainement les seuls à pouvoir procéder ainsi. Dans la réalité, la grande majorité des stars de la plateforme vidéo – Norman, Cyprien ou encore Rémi Gaillard – disposent de leur propre site internet.

Pour être complet, il faut noter le lancement ces derniers mois – principalement aux Etats-Unis – de média dont le contenu est uniquement publié sur les réseaux sociaux. Ces entreprises pensent, et réussissent peut-être déjà, à générer leur revenu uniquement en diffusant des publicités dans leur fil d’actualités ou au début de leurs vidéos.

Le futur, une préoccupation de tous les dirigeants

Pour les entreprises, le futur est devenu une inquiétude intense depuis le début de la crise sanitaire qui a remis en cause nombre de leurs stratégies et mis parfois leur trésorerie en difficultés . De plus, les changements dus au numérique et à la digitalisation préoccupent de plus en plus de dirigeants. Ils tentent de cerner les nouveaux enjeux de l’entreprise pour perdurer dans le futur sans échouer face aux avancées de leurs secteurs. 

Les attentes des dirigeants pour le futur

Avant le dernier congrès de l’Entreprise du Futur qui se tient à Lyon chaque année depuis 2016, une étude a été réalisée avec Segeco, le cofondateur de l’événement. Pour connaître les préoccupations des dirigeants concernant les futures pratiques en entreprise, 256 personnes ont été interrogées. Les différentes transformations liées au digital, aux nouvelles technologies, au management et aux modèles économiques sont considérées comme essentielles pour 91% des sondés. Ils sont 58% à déclarer être en mesure de faire face à ces changements dans les prochaines années. En 2017, ils étaient 12% de moins à reconnaître les enjeux et à s’y préparer, une nette progression s’affiche. 

Pour les entreprises, le futur va rencontrer des mutations par le biais des technologies. L’arrivée de l’IA (Intelligence Artificielle), des objets connectés et de la sécurisation des données préoccupent les dirigeants mais aussi le management qui sera lui aussi affecté en raison des ambitions relatives à la qualité de vie au travail et au besoin incontournable d’attirer les millennials et les travailleurs en freelance. De plus, le modèle économique est en train de se transformer et les enjeux de l’organisation de l’entreprise et la performance collective seront des contraintes ou opportunités à bien cerner. Le futur reste difficile à concevoir pour certaines organisations, particulièrement les grandes entreprises qui rencontrent des difficultés à envisager les changements car elles gèrent un fonctionnement similaire depuis des décennies et faire face aux enjeux de demain leur demandent d’opérer une transformation qui est épineuse à mettre en place à cause de leur taille et du nombre d’employés. 

La préparation des entreprises 

Une prise de conscience commence à émerger chez les dirigeants, les domaines changeants sont tous plébiscités aux alentours de 90%. Les entreprises peinent pourtant à développer des actions pour satisfaire les enjeux futurs. Le niveau de préparation des entreprises est bien inférieur à celui de la préoccupation des dirigeants. Les nouvelles technologies, par exemple, s’inscrivent comme un élément majeur, comme thème et ils sont 88% dirigeants à les souhaiter, mais les entreprises ont du mal à l’appréhender. En ce qui concerne les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle rencontre elle un taux de préparation de seulement 24%, taux bien en-dessous de celui de l’année précédente. Devenue cependant essentielle pour le futur, sa complexité refreine l’ardeur des entreprises à s’y atteler. 

Pour s’adapter aux changements futurs, certaines entreprises envisagent avec sérénité. Les entreprises de Services rencontrent ainsi moins de difficultés que celles de l’Industrie. Pourtant ce dernier secteur est en forte progression pour réussir à suivre les tendances futures. Les petites et les grandes entreprises ne rencontrent pas le même challenge : celles de moins de 10 salariés ont de toute évidence plus de facilités à mettre en place les changements. Avec une petite structure, le management est simplifié en raison des effectifs. 72% des entreprises de moins de 10 salariés se déclarent prêtes alors que pour celles de plus de 50 salariés seulement 39% sont concernées. Pour les mises en place futures, les entreprises ont de manière générale conscience des enjeux et elles souhaitent s’y préparer même si des domaines restent encore difficiles d’accès. Quant à certaines, elles ont fait le choix de s’inscrire dans le futur avec un modèle plus qu’atypique, c’est le choix de Buffer. 

Une entreprise sans modèle pour le futur 

Chez certains entrepreneurs, les organisations et les hiérarchies des entreprises deviennent inutiles et cantonnent l’humain dans un carcan nuisible au développement et le frein majeur se situe dans le manque de communication avec les salariés qui s’expriment a minima. Pour leur permettre de s’épanouir, Buffer a choisi une organisation sans contraintes. Créée en 2010 par Joel Gascoigne (CEO) et Leo Widrich (COO), cette entreprise a embauché environ 80 personnes et ne possède pas de locaux. L’équipe est « distribuée » un peu partout dans le monde. Les dirigeants ont fait ce choix pour permettre un épanouissement total aux salariés, ils travaillent à leur rythme d’où qu’ils soient. Cette organisation enthousiasme les millennials, ces nomades toujours en quête de voyages et d’aventures. Rien de bien compliqué finalement, il suffit seulement d’avoir un ordinateur et du Wi-fi. Travailler n’importe où on le souhaite est désormais possible. 

Par son modèle atypique, l’organisation de Buffer entraîne forcément des contraintes en matière de management, de gestion de projets et de proximité avec les collaborateurs. Elle laisse pourtant place à la liberté et selon le dirigeant, les salariés lui rendent bien. D’après lui, ils sont hyper-productifs et très libres au quotidien dans leurs tâches, mais accorde une place non négligeable à leur vie personnelle. Pour l’entreprise, ce n’est pas le seul avantage, les salariés qui vivent aux quatre coins de la planète permettent une productivité sur 24h grâce à tous les fuseaux horaires. Cette entreprise a donc voulu miser sur un programme simple, faire confiance à ses salariés et leur laisser leur liberté. Une entreprise du futur qui satisfera plus d’un millennials. Le rêve absolu pour faire le tour du monde, tout en travaillant. 

Certes l’exemple de Buffer ne peut pas être appliqué à toutes les entreprises. Une usine voyageuse n’existe pas encore ! Mais pour envisager toutes les possibilités, il est nécessaire de se préparer au changement et d’écouter ses salariés.  Ce qui était inconcevable il y a quelques années comme le télétravail est entré dans les habitudes de banques, d’assurances et des petites entreprises et offre un modèle de changement dans les esprits.  Chercher des idées, sortir des modèles pour innover est impératif…mais tout passe par le respect des femmes et des hommes qui sont la clef de voûte des entreprises et non la hiérarchie pyramidale qui est utilisée pour justifier les choix, ces contraintes !!! !!! Qui inventera le nouveau modèle ?

Comprendre le plan épargne entreprise

Le plan épargne entreprise est une mesure qui, dans un premier temps, vous permet d’aider vos salariés à épargner. Le plan épargne entreprise donne également l’opportunité aux dirigeants d’entreprise de bénéficier d’une épargne comme celle de vos salariés. Tout comme vos employés, vous pouvez vous constituer un capital tout en bénéficiant de conditions fiscales très avantageuses.

Le PEE, qu’est-ce que c’est ?

Un plan d’épargne entreprise est un procédé d’épargne collective qui reste accessible à toutes les entreprises, quelle que soit leur forme juridique ou leur taille. Le PEE donne l’opportunité à un employé de constituer un portefeuille de valeurs mobilières comme des obligations et/ou des actions, moyennant l’aide de l’entreprise. Cependant, il existe différentes façons d’alimenter un PEE. Soit par l’entreprise, par intéressement, participation ou abondement, soit par l’employé par des rétributions conscientes. À partir du premier versement, les sommes cotisées ne seront débloquées qu’après seulement 5 ans. Un chef d’entreprise de 1 à 250 salariés peut profiter du plan épargne entreprise.

PEE, les avantages inconstestables

Souscrire à un plan épargne entreprise offre des avantages multiples non seulement à vos salariés, mais également à vous, en tant que dirigeant d’entreprise. Nombreux sont les avantages de votre entreprise pour une souscription au plan épargne entreprise, à savoir :
– Un abondement qui sera déductible des résultats ainsi qu’une défiscalisation totale
– Un accès immédiat à toutes les entreprises, dès leur création
– Sous certaines conditions, vous aurez la possibilité de verser jusqu’à 3 fois leur épargne annuelle sur le compte de vos salariés.

Vous pouvez également définir avec les représentants syndicaux ou le comité d’entreprise les plafonds et les règlements collectifs de l’abonnement. Nombreux sont également les avantages de vos salariés en souscrivant un plan épargne entreprise. Il s’agit de :
– Des versements réalisés par l’entreprise comme l’abondement, et/ou l’intéressement, la participation qui sont exonérés de charges sociales et d’impôts
– Un choix large de placement qui conviendra à leurs objectifs personnels
– Une possibilité de leur verser jusqu’à 25 % de leur salaire annuel brut
– Une épargne entièrement disponible après 5 ans ou encore plus tôt que prévu dans le cadre d’un déblocage anticipé.

Bénéfices pour les dirigeants

Il est vrai que le plan d’épargne entreprise est un dispositif qui jouit d’un cadre fiscal privilégié qui donne l’occasion aux salariés d’avoir un portefeuille de valeurs mobilières, et ce, dans des conditions profitables. Cependant, les chefs d’entreprise comme les membres du directoire, les gérants, les directeurs généraux et les PDG ont également droit aux avantages du plan d’épargne entreprise. Les dirigeants d’entreprise peuvent également se constituer un capital qui sera exonéré d’impôts et qui va progressivement fructifier. À la seule différence que le dirigeant ne peut pas profiter d’un régime de participation ou d’intéressement qui est entièrement dédié aux salariés qui présentent un contrat de travail.
Il est clair que pour les salariés, le plan d’épargne entreprise est un réel avantage. Cependant, les chefs d’entreprises peuvent faire financer leur retraite par l’entreprise par capitalisation. Ce sera un complément de rémunération sous forme de rente qui allègera les charges de l’entreprise et qui limitera ainsi les charges sociales.

Attention ! Dernière infirmations du site « service public »
La loi de financement de la sécurité sociale 2018 prévoit une hausse de la CSG de 1,7 point impactant l’épargne salariale.

1. Les plus-values réalisées au titre de l’épargne salariale sont exonérées d’Impôts sur le revenu (IR) et de charges sociales. Elles restent néanmoins soumises aux prélèvements sociaux, notamment la CSG-CRDS. Dès le 1er janvier 2018, le taux de la CSG-CRDS passera de 15,5% à 17,2%.

Une précision doit néanmoins être apportée. Seules les plus-values acquises ou constatées à compter du 1er janvier 2018 seront impactées par le taux de 17,2%. Ainsi, le taux de 15,5% restera applicable aux plus-values acquises ou constatées jusqu’au 31 décembre 2017.

2. Dans le cadre des sommes versées par l’entreprise au titre de l’intéressement, de la participation ou de l’abondement, le taux de CSG-CRDS passera de 8% à 9,7% dès le 1er janvier 2018.

Le projet de Loi de Finances 2018 instaure la « Flat tax » ou prélèvement forfaitaire unique (PFU) à hauteur de 30%. Le PFU s’appliquera sur tous les gains (intérêts, dividendes et revenus assimilés, plus-values) issus de placements financiers, à l’exception des sommes rachetées au titre de l’épargne salariale.

L’épargne salariale reste un des meilleurs placements du marché. Il conserve son statut « gagnant-gagnant » et garantit des avantages fiscaux et sociaux pour votre entreprise comme pour vos salariés.

Comment convaincre vos associés de se développer à l’international ?

L’expansion sur la scène internationale est devenue une tendance dans le domaine de l’entrepreneuriat mais qui fait souvent peur car l’aventure réserve parfois des surprises si l’on ne s’est pas bien préparé. Si vous aussi, vous projetez de vous exporter à l’international, vous devrez rechercher des arguments judicieux pour convaincre vos associés.

Utilisez les statistiques pour convaincre.

L’internationalisation est devenue une tendance dans le secteur de l’entrepreneuriat depuis quelques années. Les balances de paiements sont aujourd’hui positives de 30 % par rapport au PIB mondial, contre un taux de 13 % au cours des années 70. Cette ouverture sur le marché intérieur est motivée par la globalisation et la libéralisation du commerce international de biens et services. Le développement de la connectivité mondiale et des moyens de communication permet d’ailleurs aux entreprises d’opérer plus efficacement à l’international, quelle que soit leur envergure. Dans un premier temps, pour convaincre votre associé d’abonder dans le sens de votre projet, n’hésitez pas à mettre ces chiffres en avant, et à diriger les discussions sur les tendances à l’export.

Montrez vos compétences.

1. Le business plan

Il s’agit de l’élément incontournable d’un projet d’expansion d’une société à l’international. Ce document permet à chacun des associés d’avoir une perception globale du projet, à travers les chiffres-clés, les étapes de l’expansion et les bénéfices qui en découleront. Les éventuels obstacles, et les solutions adéquates doivent également être indiqués dans le business plan.

2. La stratégie marketing

Ce plan d’action revêt un caractère des plus importants, étant donné qu’il permettra à votre entreprise d’aborder efficacement son nouveau marché. Comment ferez-vous connaître vos produits ou services, en quoi votre entreprise se démarquera-t-elle d’une concurrence bien implantée, quels seront vos supports de communication ? Vous devrez apporter une réponse concrète et concise à chaque problématique pouvant engendrer des doutes du côté de vos associés, notamment par rapport à la percée du marché dans le pays que vous visez.

3. Les projections financières

Elles doivent être explicites, réalistes et complètes. Les investissements nécessaires, les coûts en matière de marketing et de ressources humaines, les profits et les éventuels obstacles, chaque aspect financier du projet d’expansion doit être détaillé de manière rassurante, tout en étant objectif. Orientez votre ligne budgétaire sur plusieurs scénarios différents pour préparer votre associé à toutes les éventualités.

4. Les scénarios « catastrophe »

Le plus grand ennemi d’un bon plan, c’est le rêve d’un plan parfait. Jouez la carte de la sincérité et prévoyez plusieurs scénarios « catastrophe » que vous exposerez, ainsi que la façon dont vous envisagez de gérer les difficultés rencontrées. Il s’agit ici de démontrer à vos associés que vous ne comptez pas les embarquer dans un projet hasardeux que vous ne maîtrisez pas.

Comment dissiper les doutes ?

1. « L’exposition inversée »

Exposez votre projet de manière percutante. La technique dite de « l’exposition inversée » peut s’avérer une stratégie efficace pour attirer l’attention de vos associés. Elle consiste à annoncer dès le début de votre intervention l’objet de votre projet et les bénéfices que votre société et vos associés pourront récolter. Vous pourrez par la suite détailler les étapes à passer pour parvenir aux objectifs que vous avez annoncés, ce qui devrait avoir plus d’impact.

2. Un expert

Le recours à l’appui d’un cabinet spécialisé pour accompagner votre projet d’expansion peut représenter un atout considérable et une garantie indéniable quant à la faisabilité de votre projet. Le cabinet en question peut rectifier les éventuelles imperfections de votre projet d’internationalisation et apporter des conseils afin d’en optimiser l’efficacité. En montrant à votre associé que vous mettez des atouts de votre côté pour mettre le projet en place, vous le convaincrez de votre volonté !

Les crypto-monnaies, une folie ?

Les crypto-monnaies font la une des médias et des réseaux sociaux, particulièrement depuis le mois de décembre où le cours du Bitcoin s’est envolé. Les crypto-monnaies se sont multipliées sur le marché. Pour répondre à la demande de ces monnaies virtuelles, des entreprises renommées ont décidé d’y investir, d’autres veulent profiter de cette vague pour leur business et contribuer à l’émergence des crypto-monnaies.

Les entreprises qui profitent de cet engouement

Depuis la flambée du Bitcoin, nombreux sont ceux qui souhaitent spéculer sur une crypto-monnaie dans l’espoir de vivre la même ascension que ce dernier. Pour suivre cette tendance, des entreprises n’ont pas hésité à surfer sur la popularité des crypto-monnaies. L’exemple le plus manifeste reste celui de Kodak. Cette entreprise américaine rencontre des difficultés financières depuis plusieurs années. Elle a dernièrement annoncé son lancement du KodakCoin, une monnaie virtuelle dédiée aux photographes. Une fois cette annonce diffusée, le titre en bourse de Kodak est passé de 3 dollars à 12 dollars en seulement 24h. Mais elle n’est pas la seule entreprise à vouloir profiter du filon.

D’autres entreprises ont seulement choisi de changer de nom, pour sous-entendre qu’elles se lançaient dans la blockchain ou dans une activité dédiée aux monnaies virtuelles. Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que Long Island Ice Tea Corp, une entreprise américaine qui vend des boissons non alcoolisées ait décidé de se renommer Long Blockchain Corp. La valorisation de l’action de cette entreprise a bondi de 450% en l’espace de 24h. Ce phénomène s’est produit pour d’autres entreprises. Un fabriquant de soutien-gorge a, quant à lui, donné le nom de Crypto à sa marque, sans pourtant changer d’activité. Là aussi, le cours a bondi immédiatement, passant de 22 à 642 dollars. La folie autour des crypto-monnaies a pour objectif de créer une bulle spéculative et d’attirer les investisseurs.

Des levées de fonds dans le monde virtuel

Partout, dans le monde, l’arrivée des monnaies virtuelles suscite un intérêt croissant des entreprises et des investisseurs. Les levées de fonds en crypto-monnaie ont donc pointé le bout de leur nez. Aux Etats-Unis, la pratique commence à se démocratiser et semble ne pas poser de difficultés majeures. En France, le phénomène rencontre un point d’achoppement avec la législation concernant ces levées de fonds particulières intitulées Initial Coin Offerings (ICO). De nombreuses demandes ont été soumis à l’Autorité des Marchés Financiers pour savoir comment les ICO pouvaient être réglementées. En France, aucune législation n’encadre les investissements en monnaies virtuelles. L’Autorité des Marché Financiers a déclaré qu’un visa optionnel pourrait être délivré dans le cadre des ICO. Ces nouvelles tendances perturbent tout de même la législation française qui autorise seulement le cours de l’euro pour toute transaction. Si prochainement elles étaient réalisables, les bénéficiaires auraient pour obligation de les convertir en euros pour se conformer aux réglementations des impôts. L’engouement pour ces crypto-monnaies ne s’arrête pas aux frontières. Après les 3,8 milliards de dollars levés l’an dernier grâce aux ICO, selon CoinSchedule, les Français souhaitent aussi voir la couleur de ces crypto-monnaies dans leur business.

Le « mining », un business florissant

Quand d’autres cherchent à ce que leurs actions montent ou à investir dans des entreprises avec les crypto-monnaies, certains en font directement leur business. C’est le concept des entreprises de « mining » qui se sont multipliées un peu partout dans le monde. Le «mining» est une activité très complexe pour ceux qui ne sont pas experts. Il faut retenir que les monnaies virtuelles ne sont pas délivrées par des gouvernements ou des banques centrales. Elles sont présentes au sein d’un réseau et les transactions sont gérées depuis des ordinateurs à l’aide d’algorithmes mis en place par des personnes. Bien entendu, plus le réseau s’élargit plus les algorithmes sont difficiles à traiter et plus il est compliqué de « miner ». Cette réaction en chaîne se nomme en anglais, la  » blockchain « . En tant que personne lambda, il est presque impossible de « miner » seul. C’est pourquoi des équipes entières se mobilisent au sein de la blockchain, ce sont des  » « mining » pools « . Beaucoup d’entreprises se sont lancées sur ce marché lors de l’émergence du Bitcoin. Par exemple, Just « mining », une entreprise française, a investi dans le Cloud mining. Les clients obtiennent des crypto-monnaies en louant indirectement du matériel (une intelligence artificielle et un ordinateur) qui « mine » tout seul. Just mining pource service a reçu plus de 300 commandes en un mois.

Les monnaies virtuelles comme capital

A l’heure actuelle, les entreprises s’intéressent aussi aux crypto-monnaies pour leur capital. Dans une étude de Citrix et One Poll, 750 décideurs informatiques d’entreprises britanniques ont été interrogés. En moyenne, les entreprises possèdent environ 24 Bitcoin chacune. Et 93% d’entre elles ont compris l’importance de diversifier leur portefeuille de crypto-monnaies, quand elles sont 7% à investir seulement dans le Bitcoin. Les entreprises déclarent faire ce choix pour élargir leur capital et subvenir à leurs différents besoins. Elles sont 40% à déclarer vouloir payer leurs fournisseurs avec et 32% souhaitent, quant à elles, s’en servir pour les salaires. Les entreprises sont en réalité une majorité à vouloir utiliser les crypto-monnaies dans la vie de tous les jours. Peut-être que ces souhaits deviendront réalité prochainement en France !

Même si les crypto-monnaies peuvent inciter de nombreuses personnes à se lancer sur ce marché que ce soit pour de la spéculation ou encore monter une entreprise, elles restent relativement périlleuses. Vitalik Buterin est la personne à l’origine de la deuxième monnaie dernière le Bitcoin. Il vient de lancer un avertissement sur ces monnaies virtuelles et sur leur caractère volatil. Il a précisé qu’elles pourraient tomber à près de zéro, à cause de l’engouement qu’elles génèrent. Il s’agirait d’une véritable pour les épargnants qui se sont risqués dans la blockchain.

Le label French Tech, un pass pour l’international ?

Le Label French Tech c’est l’écosystème des start-up françaises, le but est de promouvoir l’ambition et l’action de celles-ci. Il faut se demander si lorsque l’écosystème est labellisé, quel avenir va s’offrir à lui ? Est-ce que le Label French Tech est un pass pour le développement international  pour les start-up ?

Label French Tech et la dynamique des start-up

La marque permet de rendre plus visible la dynamique des start-up par le biais des outils de communication qui sont très importants dans notre société hyperconnectée.
La mise en réseau et la coordination entre les différents écosystèmes conduit à une meilleure complémentarité, un partage des informations et des expériences.
Le Label French Tech permet une meilleure promotion sur le marché international, il donne plus de poids aux start-up et encourage l’innovation et la croissance des entreprises.
Cette initiative est à l’origine de l’État et s’adresse aux différents investisseurs, ingénieurs, designers, médias, associations, grands groupes qui s’engageant pour la croissance de ces start-up et pour leur impact à l’étranger.
Cette initiative a été créée fin 2013 pour optimiser la valeur économique et l’emploi. L’État vient ainsi soutenir ces start-up.
La mission French Tech dirige ce label en collaboration avec les ministères des Finances et de l’Economie et le ministère de l’Intérieur.

Label French Tech sans subventions de l’état ?

Ce label n’est en aucun cas synonyme d’aides ou de financements de la part de l’État.
De nombreux projets de création d’entreprise ont été déposés depuis l’annonce de la création de ce label, toutefois ceux-ci ont du mal à émerger face à la ville de Paris qui absorbe en réalité la plupart des créations d’entreprise.
Les Métropoles French Tech sont des écosystèmes qui rassemblent parfois plusieurs villes autour d’un projet commun. A titre d’exemple : Normandy French Tech (Caen, Le Havre, Rouen); LORnTECH (Nancy, Metz, Epinal, Thionville), Lille’s French Tech (Lille, Roubaix, Tourcoing, Calais, Valencienne, Dunkerque, Lens), French Tech in the Alps (Grenoble, Annecy, Chambéry, Romans- Valence), etc.
Mais ces écosystèmes doivent investir pour rayonner au niveau international et cet engouement pour ce label reste donc à confirmer. Le label est accordé pour une durée d’1 an puis il doit être confirmé pour 3 ans.
La Mission French Tech fournit à ces écosystèmes un accompagnement personnalisé ainsi qu’un suivi.

Pour être efficace la French Tech doit être soutenue par plusieurs groupes afin d’atteindre réellement son objectif de rayonnement international. La valeur de celle-ci doit être construite de manière collective.

Comment soutenir la French Tech ?

On peut la soutenir : soit en étant membre (les entrepreneurs, investisseurs déjà évoqués précédemment) soit une personne, une association, une collectivité qui va porter un projet au service des start-up. Tous les projets peuvent être associés à la marque s’ils contribuent à améliorer la croissance et le rayonnement des start-up françaises.
Il est possible d’afficher le logo « La French Tech» sur ses outils de communication.
Le code de marque French Tech est également téléchargeable, celui-ci fixe des règles à respecter pour soutenir efficacement la marque.
Le Label French Tech semble donc une idée ambitieuse et véritablement innovante qui permet de favoriser la croissance des jeunes entreprises.
Les entrepreneurs constatent une forte entraide au sein de la French Tech et un regain de patriotisme. Toutefois, certains considèrent qu’il n’y a pas pour l’instant de véritable engagement, ils attendent donc plus de la part de l’État.

Quels types d’évènements organiser pour ses salariés ?

Les entreprises où il fait bon vivre attirent de plus en plus les nouvelles générations qui privilégient le bien-être à la renommée des grands groupes. Pour recruter ou tout simplement conserver ses salariés talentueux, une multitude d’activités peuvent être mises en place. Et parmi elles, les évènements d’entreprise ont le vent en poupe.

Les séminaires, à toutes les sauces !

Presque devenus un incontournable. Séminaires ou micro-séminaires, quoi de mieux pour renforcer l’esprit d’équipe ? Ces activités dites de « team building » font, elles aussi, partie des privilégiées ces dernières années. De la semaine au ski, au weekend au vert, en passant par les célèbres « escape games », la liste des séminaires possibles, sportifs ou non, permet de choisir selon la culture d’entreprise. En plus de favoriser la détente et l’amusement, ils auront tendance à resserrer les liens entre chacun des membres de l’entreprise et peuvent s’accompagner, suivant le type de séminaire, d’heures de formation.
Certes, le budget se place comme un élément clé pour déterminer le lieu et la durée du séminaire mais les possibilités adaptées à votre stratégie sont kyrielles. Pour ceux qui n’auraient pas le temps de se consacrer au choix de l’endroit, sachez que des services de réservation d’évènements professionnels peuvent s’en charger et vous faciliter la tâche pour vous comme c’est le cas avec Kactus

Les afterworks : une véritable tendance

Sans doute le type d’évènement le plus populaire ces dernières années. Les afterworks ont la particularité de réunir de façon informelle, salariés et dirigeant (lorsque celui-ci est disponible), et peuvent s’organiser assez facilement, sans s’y prendre à l’avance. Un bar branché le jeudi soir, de préférence qui adopte la politique de l’« Happy hour », fait souvent l’affaire et pour un coût tout à fait raisonnable. Cette pratique, très prisée des entreprises à l’esprit start-up, renforce non seulement la cohésion du groupe grâce aux conversations informelles mais aussi le sentiment d’appartenir à une entreprise où il fait bon vivre. Réserver quelques jours à l’avance le lieu en question permet toutefois de s’assurer qu’il pourra accueillir l’ensemble de vos troupes et, pourquoi pas, vous faire profiter d’un prix de groupe. N’oubliez pas, pour vous organiser et pour réussir votre challenge de faire appel à des services spécialisés qui vous éviteront des faux pas qui réduiraient vos efforts à néant !

Les petits-déjeuners, déjeuners ou dîners

Classiques, certes, mais efficaces, les petits-déjeuners, déjeuners ou dîners constituent l’occasion de rassembler vos équipes pour un moment de détente convivial. Libre à vous d’en définir la fréquence mais, pour vous donner un ordre d’idée, organiser un petit-déjeuner une fois par semaine et pourquoi pas le lundi permet de débuter la semaine avec sérénité. Concernant le choix du lieu, on privilégiera souvent les petits-déjeuners au sein de ses propres locaux (quelques viennoiseries fraîchement achetées à la boulangerie du coin ainsi que des boissons chaudes du type café ou thé, suffisent). Pour le déjeuner ou le diner, une fois par mois ou même tous les deux mois peut facilement s’insérer dans un planning. La fréquence de ces évènements dépend, aussi et bien évidemment, du budget que vous pouvez y allouer.  Allo Resto a pour coutume de se faire livrer chaque jeudi du mois des plats qu’il offre à ses salariés pour tester ses nouveaux partenaires, les entreprises non spécialisées dans la FoodTech optent souvent pour le restaurant. Plus coûteux, il demeure néanmoins très apprécié des collaborateurs, qui peuvent ainsi échanger autour d’un bon repas et pourquoi pas d’une spécialité !

Les pots de départ ou d’arrivée

Nathalie, en poste depuis vingt ans au sein de l’entreprise fête aujourd’hui son départ à la retraite ? L’occasion parfaite pour organiser un évènement en son honneur et la remercier de sa contribution. Les nouveaux venus représentent, eux aussi, le prétexte idéal pour fêter leur arrivée et faciliter leur intégration au sein de votre firme. Côté organisation, boire un verre après le travail ou avant d’aller déjeuner le midi, déboucher une ou plusieurs bouteille(s) de champagne (suivant le nombre de salariés) et servir quelques petits fours, s’avèrent tout à fait appropriés pour créer un moment convivial. Vous restez maître du choix de vos évènements. Mais attention, vous devez ajouter une touche d’originalité qui donnera à chacun le sentiment d’avoir passé un bon moment. Rien de pire qu’un pot où tout le monde se sent contraint de venir et ne pense qu’à partir le plus tôt possible ! De même le discours ou les quelques mots adressés aux salariés ne doivent pas se transformer en un long monologue dénué de toute empathie !

Faites-vous partie de ceux qui optent pour le traditionnel restaurant ou plutôt de ceux qui privilégient l’apéro à la « bonne franquette » ? Tout dépend de la culture de votre entreprise.

Les traditionnelles dates d’anniversaire

Sur la même idée, les dates d’anniversaire constituent l’occasion parfaite pour faire la fête avec vos salariés. Qu’il s’agisse de l’anniversaire de l’un de vos collaborateurs ou bien de votre entreprise, et pourquoi pas de vous-même, le prétexte est là.
Pour les grands groupes, notez que si plusieurs de vos salariés sont nés à seulement quelques jours d’intervalle, il s’avère judicieux de regrouper leurs anniversaires pour les fêter en même temps et, pourquoi pas, opter pour un cadeau commun auquel le dirigeant se fait un plaisir de participer avec générosité. En plus de réduire les frais liés à l’organisation de l’évènement, vous éviterez de retrouver, le lendemain, des salariés fatigués, faute d’avoir enchaîné trois soirées d’anniversaire à la suite. Quoi qu’il en soit, l’alcool reste à consommer avec modération !

Fêter un évènement important pour l’entreprise

Créer un évènement pour informer et transmettre le dynamisme de l’entreprise est une pratique courante, particulièrement dans les grands groupes. Objectif du mois atteint, fusion et/ou acquisition… Autant d’évènements qui impactent la vie de l’entreprise et qui méritent d’être mis en exergue. Partager un moment convivial avec vos salariés, c’est aussi et surtout profiter de cette opportunité de les remercier pour les efforts qu’ils fournissent au quotidien et de les rebooster pour la suite de l’aventure. Si vous disposez de locaux suffisamment grands, vous pouvez d’ailleurs organiser cet évènement au sein de vos bureaux (après quelques légers réaménagements type déco, bien sûr). Autrement, les réservations de salles sont souvent plus adéquates !

Les nouvelles pratiques des consommateurs et comment s’y adapter ?

Grâce à la transformation digitale de nombreuses entreprises proposent d’acheter leurs produits et leurs services en ligne. Les consommateurs n’ont pas toujours le temps de se déplacer en magasin et le fait d’acheter en ligne au moment où l’on est libre est un avantage indéniable. Développer son commerce ou son service sur le web correspond désormais à une nouvelle manière de vendre et des nouvelles pratiques des consommateurs. Mais attention, les consommateurs ont des comportements spécifiques et souvent atypiques. Pour les attirer sur votre plateforme : comment faire ? 

Une étude réalisée dans le cadre du baromètre 2017 FEVAD/CSA, instaurée depuis 2013, permet de connaître les intentions des acheteurs en ligne. L’étude a été réalisée entre le 26 décembre 2017 et le 2 janvier 2018. 1002 acheteurs en ligne ont été interrogés dans le cadre de cette enquête et le résultat est empli d’informations qui sont une véritable manne pour les plateformes. 

Les habitudes des consommateurs en 2018 

Sur Internet, de multiples services et produits sont disponibles et s’adressent à toutes les catégories d’acheteurs. Contrairement aux idées reçues que la vente en ligne soit l’apanage de certains secteurs tous les types d’entreprises peuvent être concernés par les achats en ligne ou bien par la réservation. Dans la hiérarchie des secteurs vient en premier le secteur concerné par l’habillement, vient ensuite les produits culturels, le voyage et le tourisme. De nouveaux secteurs commencent à s’imposer sur Internet comme les sites d’abonnements aux services de musiques ou de films. Et aussi les achats qui concernent les transports qui proposent des abonnements ou des réservations à des prix défiant toute concurrence. 

Les entreprises peuvent profiter de ces opportunités d’autant plus que le nombre d’acheteurs en ligne augmente chaque année. Lors des fêtes de fin d’année en 2017, ils étaient 75% à passer leurs achats sur Internet. Le fait de ne pas avoir à se déplacer et d’avoir un choix varié incite les consommateurs à commander régulièrement sur des plateformes en ligne. En 2017, ils étaient 65% à faire des achats sur Internet au moins une fois par mois. Ces e-acheteurs, se situent plus dans la tranche d’âge 25-34 ans avec une classe socioprofessionnelle favorisée (74%). 

Les sites privilégiés restent toujours les marketplaces les plus diversifiés comme Amazon. Un cyber-acheteur sur deux réalise des achats sur des sites étrangers. Ce phénomène séduit notamment en raison des prix attractifs. Les secteurs privilégiés restent l’habillement et l’électroménager. La France occupe une place indéniable sur Internet, même si celle-ci est un défi de taille et permanent puisque la Chine représente 75% des achats réalisés hors de l’Union européenne. Les acheteurs nécessitent d’être écoutés afin d’être concurrentiel face aux grands marketplaces.

Une hausse des recommandations chez les consommateurs 

Pour les entreprises, se démarquer sur Internet reste difficile, mais au sein du baromètre FEVAD/CSA, les e-acheteurs ont de nombreux critères concernant les achats en ligne. Les pratiques régulières et les demandes des acheteurs peuvent aiguiller les entreprises pour réaliser une plateforme adaptée à leurs besoins. Des priorités sont mises en avant par les personnes interrogées. Le point numéro un et non des moindres concerne la sécurité du site internet et de la transaction effectuée. Ils sont 62% à considérer cet élément comme primordial. Pour 56%, il faut plus de clarté sur les chiffres affichés, une priorité pour les acheteurs pour ne pas se sentir menacé par une arnaque et un service après-vente performant. Pour établir une relation de confiance pérenne, une réelle authenticité des commentaires des autres acheteurs est un atout majeur. Les entreprises doivent permettre aux clients de se sentir sereins lors de leurs achats, grâce à une plus grande transparence. Le respect de ces critères donne une idée précise aux entreprises de type de plateforme de ce qu’elles doivent développer.

L’e-reservation, un atout majeur

En plus de ces préoccupations majeures, les clients deviennent de plus en plus attachés à l’e-reservation que ce soit pour les compagnies de transports, de tourisme mais aussi pour les magasins. Le click and collect, cette pratique qui consiste à réserver un service ou un objet et venir le payer en magasin satisfait 38% des acheteurs en ligne. Des grandes marques participent à l’e-réservation et au click and collect. Elles évitent le transport de marchandises et facilitent la remise de la commande pour l’acheteur. Il s’agit d’éviter les impacts sur l’écologie et cela s’avère aussi plus rapide dans certains cas. Ces solutions à la portée de tous les magasins et de beaucoup d’entreprises incitent les acheteurs, même les plus réfractaires, à pratiquer la réservation en ligne puisqu’ils peuvent payer en magasin et donc s’écarter du danger du paiement en ligne. 

Satisfaire les consommateurs

Si les achats en ligne deviennent une tendance pour beaucoup d’acheteurs, les entreprises doivent emboîter ce pas. Mais attention, il faut alors se positionner avec un site à la hauteur des attentes des consommateurs. Respecter leurs recommandations et leurs préoccupations reste primordial. Pour effectuer cela, les sites de vente ou de réservation en ligne doivent être sécurisés pour les transactions et pour éviter le piratage des données des utilisateurs. Si l’information coure que le site n’est pas fiable en ce qui concerne le paiement, ils préféreront commander sur un autre site. Il faut savoir les rassurer. 

Mis à part la sécurité du site web, faciliter l’achat et attirer les utilisateurs devient une priorité. Au sein du baromètre FEVAD/CSA, les utilisateurs déclarent utiliser davantage leurs smartphones pour leurs achats en ligne. Ce phénomène progresse de 8 points par rapport à l’année 2016. Il est nécessaire de réaliser un site compatible pour smartphone et tablette. Considérés, comme des mini-ordinateurs pouvant être emmenés partout, les utilisateurs auront plus de facilités à faire leurs achats dès qu’ils en ont besoin. Une application sera d’ailleurs plus intuitive et pourra faire progresser les ventes de votre entreprise. Sur ce secteur, les applications comme vente-privée ont le vent en poupe. Elles permettent aux consommateurs de réaliser leurs achats tout au long de leur journée depuis leur smartphone. Le phénomène nécessite d’être pris en compte pour aider votre entreprise à décoller dans le secteur des achats en ligne. Et il en faut que lorsqu’on achète des jouets par exemple les uns incitent leurs amis, familles, collègues à acheter. Le bouche à oreille fait partie des incontournables. Un client satisfait…. vous permet d’acquérir une clientèle exponentielle !!