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8 start-up au concept responsable

Le concept responsable est d’actualité et concerne de nombreux projets. Que ce soit les consommateurs ou les investisseurs, de nombreuses personnes s’intéressent à l’impact que génère un produit ou un service sur l’environnement ou le social. Pour s’inscrire dans une politique RSE (Responsabilité sociale et environnementale), des start-up ont imaginé leur concept dans ce sens. 

L’increvable

En 2015, Julien Phedyaeff et Christopher Santerre s’associent pour créer une machine qui va révolutionner le marché de l’électroménager. Le concept éco-responsable vise à produire une machine à laver qui durera plusieurs décennies contrairement aux machines actuelles qui dépassent rarement les 10 ans. Pour correspondre à ses objectifs, elle promet d’être « durable, réparable, évolutive et unique ». En effet avec sa façade démontable, il est possible de la réparer facilement et de l’agrémenter avec de futures technologies pour qu’elle soit toujours optimale.

Skipping Rocks Lab avec Ooho

Cette start-up londonienne a fait le choix de créer une bulle d’eau consommable pour éviter les déchets plastiques. La sphère composée d’algues et de plantes emprisonne l’eau et se consomme en une seule fois. Cette entreprise a pour but avec ses Ooho de répondre à une problématique conséquente celle de la production mondiale de plastique qui ne cesse d’augmenter et de polluer depuis plusieurs années. Ces bulles peuvent être ingérées directement par le consommateur ou bien en faisant un petit trou dans la sphère pour boire l’eau qu’elle contient.

Batiphoenix

Lucile Hamon et Késia Vasconcelos ont conçu leur start-up sous forme de marketplace, pour créer un circuit court des matériaux du BTP. Le concept a pour but d’éviter les déchets et pour cela les entreprises, les bâtisseurs et les démolisseurs peuvent vendre directement le surplus de matériaux sur la plateforme. L’accès est d’autant plus simple avec une plateforme digitale qui permet de réemployer des matériaux de construction, se basant donc sur un principe de blue economy. Avec leur concept Batiphoenix, envisage une perspective zéro déchet.

Paulette à Bicyclette

Un concept responsable peut aussi se traduire par une politique éthique, c’est le cas de Paulette à Bicyclette qui se positionne comme une joaillerie éthique. Les matériaux nobles de la joaillerie impliquent régulièrement des pays où les droits de l’homme ne sont pas respectés, particulièrement pour le cas de l’or. Hélène de Paulette à Bicyclette a donc fait la découverte du label Fairmined destiné à l’or. Il garantit des bonnes conditions de travail et de rémunération pour les mineurs d’or travaillant essentiellement en Amérique du Sud. Grâce à cette matière première éthique, la créatice fabrique des bijoux respectueux des droits de l’Homme.

Dream’Act

Cette plateforme lancée par Diane Scemama et Claire Chouraqui consiste à mêler un concept en deux outils. Le site propose des bonnes adresses éco-responsables dans plusieurs villes et un e-shop avec des produits éthiques et durables. L’entreprise à l’aide de la plateforme promeut la consommation responsable en proposant des adresses et des produits de créateurs engagés. En développant leur site, les deux entrepreneures ont fait le choix d’informer les citoyens sur leur consommation et des solutions disponibles près d’eux afin qu’ils les améliorent.

Yoyo France

Le concept de Yoyo créé par Eric Brac de La Perrière, répondre à la problématique de la consommation de plastique et de son tri. Les villes étant très peu axées sur le recyclage, Yoyo a décidé de lancer une initiative collaborative. Les consommateurs gardent leur bouteille en plastique pour les distribuer auprès d’un « coach » inscrit sur la plateforme Yoyo. Récupérés régulièrement par Yoyo, les déchets sont acheminés dans un centre de recyclage à proximité. Cette initiative est déjà disponible dans plusieurs villes de France, mais pas encore dans la Capitale.

Phenix :

Cette entreprise française s’occupe de récupérer des déchets ou des produits en fin de vie pour les revaloriser. Avec son concept Phenix a souhaité toucher tous les secteurs, en évitant le gaspillage alimentaire mais aussi en reprenant des produits qui pouvaient être réutilisés autrement. Grâce à son initiative solidaire, l’entreprise a déjà réussi à revaloriser 14,5 millions de kilos de produits alimentaires, 1,6 million de kilos de matériel et créer l’équivalent de 29 millions de repas.

MobilyGreen

Comme son nom l’indique, cette entreprise se spécialise dans le développement des véhicules propres. Elle propose différents services autour des bornes de recharge pour les véhicules électriques. Encore très peu utilisés par les Français, installer des bornes permet une démocratisation et une promotion d’une vision éco-responsable du transport. Avec son concept, MobilyGreen s’inscrit dans la loi de la transition énergétique qui promet 7 millions de bornes à l’horizon 2030, ce qui pourrait bien faire grimper les ventes de voitures électriques.

Les politiques responsables deviennent une véritable préoccupation dans de nombreux domaines. Les start-up tentent donc de se diversifier pour proposer des concepts afin d’aider les entreprises aussi bien que les consommateurs à s’installer dans une visée éco-responsable. Que ce soit autour de la suppression/réduction du plastique, des moyens de transport écologiques ou encore à pratiquer des actions éthiques, les entreprises regorgent de solutions innovantes.

Tesla : quand l’humour fait tâche !

À l’occasion du 1er avril, Elon Musk a voulu en profiter pour donner une touche humoristique avec son poisson d’avril. Il a annoncé par un tweet la faillite de Tesla. Le canular était bien trouvé, mais les investisseurs et la bourse ne l’ont pas vu sous le même angle. La blague a fait un tel flop que depuis plusieurs jours, Tesla rencontre une baisse de l’action en bourse. 

Elon Musk, l’humour au quotidien

Le mania des nouvelles technologies a désormais à son actif plusieurs entreprises florissantes aux Etats-Unis, comme Space X, qui développe des nouvelles technologies pour aller dans l’espace. S’il a déjà fait le buzz dernièrement avec cette entreprise et son lancement d’une Tesla dans l’espace, il profite régulièrement des réseaux sociaux pour y faire des blagues. Toujours présent sur Twitter, il aime s’exprimer avec ironie sur les sujets les plus divers. Par son tempérament blagueur nombreux de ses projets, sont passés pour des inventions loufoques, comme avec son entreprise The Boring Company qui a pour projet de créer des routes souterraines.

Elon Musk aime très souvent tweeter et n’hésite pas à interagir avec ses fans en faisant des blagues sur ses projets ou sur les réalisations de ses entreprises. Le 24 mars 2017, sur Twitter, il a ironisé sur les noms des différents modèles de Tesla. Les modèles s’appelant respectivement Model S, X et 3, l’association des trois donnant S3X, puisque le modèle 3 était destiné à s’appeler Model E. Son engouement pour l’humour a rarement des limites, puisqu’il n’a pas hésité à créer The Boring Company en connaissant le double sens en anglais de Boring (signifiant « forage » ou « ennuyant »). Grâce à son humour et son autodérision, il a séduit de nombreux internautes et fans, ce qui a aussi convaincu les investisseurs. Mais la blague du 1er avril s’est avérée un peu démesurée.

Un poisson d’avril en demi-teinte

Comme tout le monde le sait, Elon Musk est un fervent adepte de l’humour et il s’avère très difficile de démêler le vrai du faux car il multiplie les canulars en même temps que des idées innovantes. Et c’est ce qu’il a tenté lors du 1er avril pour son poisson d’avril. Tout commence par un tweet qui annonce que des informations capitales vont être transmises dans la journée. Le verdict tombe, le 2 avril à 15h, sous forme d’un communiqué non officiel sur Twitter, il publie : « Tesla fait faillite. Malgré des efforts intenses pour collecter de l’argent, y compris une dernière vente massive d’œufs de Pâques, nous sommes tristes d’annoncer que Tesla est complètement et totalement en faillite. Tellement ruinée, vous ne pouvez pas l’imaginer. » Même si le tweet par sa date et son allusion à une vente massive d’œufs de Pâques fait bien comprendre la supercherie, la blague n’a pas plu aux investisseurs et pour cause.

Elon Musk ne s’est pas arrêté à ce simple tweet, il a continué tout au long de la journée avec des tweets se moquant des détracteurs de Tesla. Le dernier de la journée comprenait une photo de lui inconscient au pied d’une Tesla avec inscrit sur un carton « faillite ». Certes, le texte associé faisait largement comprendre la supercherie, mais de tels enfantillages n’ont guère rassuré les investisseurs sur la situation de la marque automobile. Même si le poisson d’avril était évident, Tesla vit actuellement des moments difficiles et ironiser sur la situation paraissait déplacé.

 

Tesla : des difficultés financières considérables

Le Tweet d’Elon Musk du 1er avril faisait bel et bien référence à l’actualité, depuis le 28 mars, la rumeur d’une possible faillite a fait le tour de la toile. À cette date, l’action de Tesla a chuté de 8%, en raison de dépenses de plus d’un milliard par mois selon le Wall Street Journal mais aussi à cause d’un terrible accident en Californie au mois de mars. Une voiture Tesla positionnée en mode automatique a provoqué la mort de son conducteur dans un accident. Toutes ces multiples informations négatives génèrent d’autant plus de l’anxiété chez les investisseurs, puisque l’entreprise n’arrive pas à trouver une stabilité. En 2017, elle a engrangé une perte nette de 675 millions de dollars, ce qui justifie de réels problèmes financiers.

Même si Elon Musk a préféré ironiser sur la situation plutôt que de s’apitoyer sur son sort, sa blague a fait chuter l’action de l’entreprise qui était à -5,13% lundi alors qu’elle remontait vendredi dernier à 3,24%.
Certains investisseurs, déjà inquiets par la situation de Tesla, qui a aujourd’hui plus de 15 ans d’activité, mais qui n’est toujours pas rentable, ont préféré se retirer.
Et les mauvaises nouvelles ne cessent de s’accumuler pour l’entreprise automobile, puisque peu avant le 1er avril l’Agence financière Moody a baissé la note de Tesla, l’associant à une perspective négative dans les prochaines années. On peut comprendre la méfiance des investisseurs envers la marque automobile et son dirigeant. Même si Elon Musk est connu pour être un fanfaron qui ironise très souvent, son poisson d’avril a été vu comme une provocation envers les actionnaires.

En tant qu’entreprise ou entrepreneur, communiquer sur les réseaux sociaux est judicieux mais la blague d’Elon Musk a fait un flop considérable. Il est vrai que les poissons d’avril peuvent toujours donner une image détendue d’une marque, mais il faut les utiliser à bon escient.

Comment créer une marque ?

Après la création de votre entreprise, s’en suit généralement la création de votre marque. En se positionnant comme vecteur, cette marque constitue l’essence même de l’image et de la notoriété de votre entreprise. Afin que votre marque soit correctement mise en place et qu’elle soit établie de manière stratégique, il est nécessaire d’avoir connaissance de toutes les informations relatives et de respecter certaines étapes lors de sa création …

Selon le site de l’INPI, depuis le 16 octobre 2017, les demandes d’enregistrement de marque se font uniquement par voie électronique grâce à un outil simple et rapide, incluant une aide en ligne et un espace de paiement sécurisé.

De même, les échanges de procédure avec l’INPI, les déclarations de retrait, les requêtes en rectification d’erreur matérielle ainsi que les observations de tiers se font désormais uniquement en ligne.
Cet outil offre de nombreux avantages :

  • disponibilité : 24heures/24, 7jours/7 ;
  • simplicité : une aide en ligne vous guide à chaque étape avec la possibilité d’être rappelé par notre service client ;
  • rapidité : transmission de documents simplifiée, calcul automatique des redevances, paiement en ligne ou par prélèvement sur un compte client INPI, transmission immédiate des éléments constituant le dépôt tels que la date, le numéro national, l’accusé de réception ;
  • transparence : la demande d’enregistrement et ses pièces jointes telles que reçues à l’INPI sont immédiatement accessibles dans l’espace marque ;
  • vous avez la possibilité de sauvegarder vos projets de dépôt pendant 30 jours.

Définie comme la propriété intellectuelle d’une entreprise, une marque constitue un élément distinctif permettant de différencier les produits ou prestations de services d’une entreprise de ceux de ses concurrents. Elle permet par ce système de différenciation, une certaine reconnaissance. En principe, la marque est assimilée à un signe qui peut se définir comme étant un mot, un nom, un slogan, un logo, un dessin, … ou encore tous ces éléments réunis. Élément d’identification, mais aussi stratégie de communication, la marque se présente comme un composant capital de votre entreprise. Elle associe directement ce signe à votre entreprise et influe donc sur la valeur perçue par le consommateur quant à votre produit ou entreprise. Votre marque détient un impact considérable en termes de crédibilité et ainsi de capacité de vente. De cela découle l’importance de la connaissance des informations amenant au respect des étapes de création de la marque, notamment en termes de protection.

Les modalités donnant droit au dépôt de la marque

En tant qu’entrepreneur, peu importe le statut juridique de votre entreprise, il vous est rendu possible de déposer une marque auprès de l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI). Ce qui vous confère, en tant que déposant, le monopole d’exploitation de cette marque sur le territoire français, pendant une durée de 10 ans, renouvelable indéfiniment. Ces renouvellements se font par tranche de 10 ans successifs permettant ainsi de conserver la propriété de la marque. Le renouvellement doit être fait dans les 6 mois précédant la fin de la protection décennale. Son expiration se fait le dernier jour du mois au cours duquel la protection doit prendre fin.
Dans le cadre de la protection industrielle, par ce dépôt, vous devenez le seul à pouvoir utiliser votre marque. L’action en justice vous est permise contre toute personne qui utiliserait ou imiterait votre marque.
Ce dépôt vous permet d’acquérir un droit exclusif sur votre marque dans les secteurs d’activité protégés. Ces secteurs d’activité sont divisés en 45 classes de produits et de services. C’est le créateur, autrement dit, vous, qui choisissez les classes dans lesquelles il souhaite une protection. Il est bien entendu obligatoire de choisir au moins l’une de ces classes. Toute autre personne physique ou morale se voit interdit d’utiliser la marque dans ces secteurs d’activité sous peine de sanctions. Ces sanctions se divisent en deux catégories : civiles ou pénales.
Pour ce qui est des sanctions civiles, on note principalement : l’interdiction d’utiliser le signe, la saisie des objets contrefaits, des dommages-intérêts (DI) en cas de préjudice subi (avec prescription de 3 ans).
Par rapport aux sanctions pénales, on relève : une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 5 ans, et/ou une amende de 300 000 ou 500 000 euros suivant les cas, une peine complémentaire (fermeture temporaire ou définitive, dissolution de la personne morale, interdiction à titre définitif ou temporaire d’exercer une ou plusieurs activités professionnelles ou sociales, placement temporaire sous surveillance judiciaire, exclusion des marchés publics, confiscation des produits, etc.).

A partir du moment où votre marque est distinctive et n’est pas déjà utilisée par une autre entreprise concurrente, ce peut être une marque de fabrique, de commerce ou de service, ou simplement du nom de l’entreprise.
Distinctifs et disponibles, on distingue 3 types de signes qu’il est possible d’utiliser en tant que marque :
• Un signe verbal, c’est-à-dire un signe pouvant s’écrire ou se prononcer (nom, mots, slogan, lettres, chiffres, etc.)
• Un signe figuratif (logos, dessins, formes, hologrammes, etc.)
• Un signe sonore (sons, phrases musicales, etc.)
Toujours dans le respect de protection de la marque, vous ne pouvez pas porter atteinte à des droits antérieurs en vous servant, par exemple, d’une marque déjà utilisée, et surtout, déjà déposée. Cela dans le souci d’éviter d’éventuelles confusions dans l’esprit du public. Il en est de même concernant certaines terminologies, jugées irrecevables en tant que marque car elles pourraient également porter à confusion dans l’esprit du public.

Les étapes du dépôt de la marque

On pourrait classer le dépôt d’une marque en 5 étapes clés.

Recherche d’antériorité

Afin de partir sur de bonne base, et de ne pas prendre le risque de reprendre une marque déjà déposée ou déjà utilisée dans les secteurs d’activité concernés, il est préférable d’effectuer une recherche d’antériorité auprès de l’INPI. Cette recherche peut se faire, gratuitement, notamment par le biais du site : http://bases-marques.inpi.fr/. Vous pouvez ensuite opter pour une recherche plus approfondie en vous rendant à l’INPI ou en commandant une recherche, qui devient alors payante.

Demande d’enregistrement

Vous avez le choix soit de déposer directement votre demande à l’INPI, soit d’envoyer un dossier à l’INPI en recommandé avec accusé de réception ou encore en ayant recours à la voie électronique. Il faut compter 250 euros pour une demande d’enregistrement comportant jusqu’à 3 classes (210 euros par voie électronique). A cela s’ajoute 42 euros par classe de produits ou de services supplémentaires.

Publicité de la demande

S’il s’agit d’une marque française, cette dernière est enregistrée à la date de publication de l’enregistrement au Bulletin officiel de la propriété industrielle (Bopi). Cette publication s’effectue 6 semaines après le dépôt de la marque.

L’opposition à enregistrement

Dans un délai maximum de 2 mois à compter de la publication de la demande d’enregistrement au Bopi, les personnes détentrices d’une marque antérieure en lien avec la marque déposée peuvent faire opposition auprès de l’INPI. C’est le directeur de l’INPI qui est en charge de statuer sur cette opposition, et ce dans un délai maximum de 6 mois.

Délivrance du certificat d’enregistrement de la marque

Juste avant d’être publiée au Bopi et après avoir vérifié la régularité de la marque et du dépôt après l’écoulement du délai d’opposition, la marque est enregistrée.

Les 3 voies de protection des droits de propriété industrielle

La voie nationale renvoie à une demande de protection visant le territoire français. La procédure de délivrance ou d’enregistrement étant effectuée par l’INPI.

La voie européenne se caractérise par une demande de protection par la procédure européenne de délivrance des brevets qui peut se faire auprès de l’Office européen des Brevets (OEB). Il est rendu possible, depuis 1996, de faire une demande pour protéger ses marques dans les pays de l’Union européenne auprès de l’Office de l’Harmonisation dans le Marché Intérieur (OHMI).

La voie internationale confère, quant à elle, la possibilité d’effectuer une demande de protection en vertu du Traité de coopération en matière de brevets, du système de Madrid pour l’enregistrement international des marques et du système de La Haye pour les dessins et modèles.

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Le Conseil en évolution professionnelle, pour un projet bien ficelé

Le CEP (conseil en évolution professionnelle) a pour rôle d’aider toute personne qui le souhaite à faire évoluer sa situation professionnelle. Peu connu jusqu’à présent, de nombreuses personnes ont pu pourtant en bénéficier et elles s’avèrent relativement satisfaites par ce service et son suivi. Le CEP revient sur le devant de la scène avec la réforme de la formation professionnelle proposée par le ministère du travail. 

Aide à l’évolution professionnelle

Sous forme d’offre de service, le Conseil en évolution professionnelle vise à accompagner, conseiller et informer sur les possibilités qui s’offrent sur le plan professionnel à toute personne qui le sollicite. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce type de service n’est pas uniquement destiné aux demandeurs d’emploi. Il concerne tout autant les salariés du secteur public et privé mais aussi les jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplômes ou encore les indépendants. La plupart des travailleurs peuvent bénéficier du CEP pour évoluer dans leur environnement que ce soit au sein de leur entreprise, pour se reconvertir dans une autre branche ou même acquérir de nouvelles compétences par le biais de formations.

L’intérêt du CEP est qu’il consiste en un accueil individualisé qui aide à comprendre la situation professionnelle de la personne, et ce qu‘elle attend du CEP. Grâce à ce dispositif, le conseiller peut apporter les clés nécessaires pour permettre de réaliser une évolution professionnelle pertinente. Comme le conseiller exerce en dehors du cadre de l’entreprise, le salarié est libre d’évoquer ses souhaits ou ses inquiétudes et il sera conseillé en toute impartialité. Il sera accompagné pour faire des choix cohérents et réalisables par rapport à son profil. Par un tel suivi, il est possible de créer un réel projet professionnel ou en tout cas une évolution de carrière qui permet d’envisager l’avenir plus sereinement. Le CEP peut s’avérer bénéfique pour les salariés un peu perdus autour des possibilités d’évolution professionnelle, et de même pour les indépendants qui souhaiteraient s’adapter lorsque leur métier s’est transformé en raison des nouvelles technologies et qu’ils ne voient pas de solutions pour évoluer.

Comment ça marche ?

Jusqu’à ces derniers jours, le Conseil en évolution professionnelle était aux oubliettes étant très peu financé et donc peu proposé. Depuis l’annonce de la réforme de la formation professionnelle, l’Etat a fait le choix de développer le droit à l’accompagnement renforcé pour les salariés. Le choix s’est porté sur le CEP pour redonner ses lettres de noblesse à la formation. Mettre en avant ce service permet de créer des salariés plus motivés par leur travail et d’orienter les demandeurs d’emploi sur un projet professionnel. Pour le moment cinq opérateurs disposent de ce service, Pôle emploi, Cap emploi, l’APEC (Association pour l’emploi des cadres, la mission locale et l’OPACIF (Organisme Paritaire Agréé au titre du Congé Individuel de Formation). Prochainement, selon la réforme de la formation professionnelle, les CEP seront sélectionnés dans les régions par des appels d’offre.

Comme ce service est accessible à presque tous les salariés, les entreprises ont pour possibilité de les informer sur l’existence du CEP. À l’occasion de l’entretien professionnel, le salarié discutera de sa situation au sein de l’entreprise et le diriger vers un conseiller en évolution professionnelle peut lui apporter de nouvelles informations et différentes propositions. L’employeur n’a aucune obligation à mentionner le CEP, c’est une information supplémentaire qui peut aider le salarié s’il a besoin de conseils, d’autant plus qu’une telle pratique n’est pas encadrée par l’entreprise et donc ne lui incombe pas. Si le salarié souhaite faire appel à ce type de service, il doit le faire en dehors des heures de travail, sauf si l’entreprise fait le choix d’aménager des heures pour consulter un CEP.

Une pratique qui plaît aux bénéficiaires

L’IFOP vient de réaliser un sondage sur les bénéficiaires du CEP auprès de Fongecif Ile de France afin de connaître leur avis sur le service. Il remporte un franc succès pour les personnes qui ont pu en bénéficier. Sur les personnes interrogées 84% se déclarent satisfaites du service et 9 personnes sur 10 le recommandent à un proche. Le CEP commence à se démocratiser et l’information est surtout diffusée à travers les recommandations. Les bénéficiaires sont 27% à avoir été informés par leur proche, contre seulement 12% par l’employeur. Selon les chiffres recueillis par l’IFOP, les personnes concernées sont satisfaites et le conseil a pu dériver sur des actions utiles, comme une formation, un bilan de compétences ou encore une VAE (39%).

Pour les personnes qui ont pu rencontrer un conseiller, elles reconnaissent avoir récolté de nombreuses informations. Basé sur la formation, le conseil et l’accompagnement, les bénéfices du CEP sont multiples et les bénéficiaires apprécient de nombreux points :

  • Préciser un projet professionnel : 56%
  • Être mieux informé sur les formations : 33%
  • Connaître les différents types de financements possibles : 27%
  • Avoir connaissance de ses atouts professionnels : 24%
  • Connaître les postes où candidater : 18%
  • Se renseigner sur différents dispositifs : 34%
  • Choisir le prestataire pour une formation : 22%

Que ce soit en entreprise, ou même en tant qu’entrepreneur, le CEP (Conseil en évolution professionnelle) peut être efficace pour la construction d’un projet professionnel et des organismes comme Fongecif arrivent à proposer des conseillers compétents qui peuvent correctement orienter les salariés comme les indépendants. Ce service vise à créer de l’emploi en déterminant le profil des bénéficiaires et les aiguiller sur un projet cohérent. Pour un salarié, un indépendant, un demandeur d’emploi, les conseils seront personnalisés pour permettre à chacun de s’épanouir dans le cadre de ses compétences et de ses connaissances. Alors pourquoi ne pas essayer ?

Ces geeks qui ont fait fortune

Pendant que les jeunes de leur âge écument les entreprises pour trouver leur premier emploi, certains « geeks » occupent déjà le poste de gérant d’entreprise. En effet, beaucoup de jeunes qui approchent la trentaine possèdent aujourd’hui des entreprises et font annuellement des millions de chiffres d’affaires. Qu’ils soient diplômés ou non, ils sont nombreux à faire fortune sur un concept particulièrement original et internet a multiplié le champ des possibilités.

Les jeunes qui réussissent dans leur entreprise

Selon une étude effectuée par l’APCE (Agence pour la création d’Entreprise), 47% des jeunes Français de 18 à 29 ans envisagent de créer leur propre entreprise. C’est la motivation, l’audace et le sens de l’innovation qui poussent ces jeunes à se lancer dans l’auto-entreprenariat. Les fonds d’investissement importent peu en fin de compte. Beaucoup de geeks ont commencé par travailler dans un petit local, comme un garage. Ils ont élargi leur activité en fonction des ventes qu’ils ont réalisées. Se tenant toujours loin des médias, les geeks ont rassemblé leur fortune en toute discrétion.

Pour trouver les fonds d’investissement nécessaires pour lancer une affaire, une personne à deux choix. Soit elle se trouve un associé ou investisseur, soir elle met de côté l’argent dont elle a besoin. Tout le monde est passé par là, excepté les personnes qui ont hérité d’un patrimoine important. En France, le capital nécessaire pour pouvoir monter une entreprise est de 30.000 euros.

Quelques exemples des geeks qui ont fait fortune

Ils sont loin de connaître l’étonnant succès du créateur de Facebook, Mark Zuckerberg, mais ils ont déjà un compte en banque bien rempli. Parmi ces geeks qui ont fait fortune, on note plusieurs Français. Les plus célèbres sont Simon Istolainen, le fondateur de PeopleForCinema, Daniel Marhely, le fondateur de Deezer, Boris Saragaglia, le créateur de Spartoo ou Frédéric Montagnon le créateur d’Overblog.

Les geeks millionnaires sont tous passés par des chemins différents, si les uns sont diplômés, les autres ne le sont pas. On peut citer l’exemple de Daniel Marhely qui a arrêté l’école à 16 ans. Il a ensuite renforcé ses connaissances en internet en restant devant son poste chez lui. Ce jeune homme de 26 ans a connu de nombreux échecs qu’il s’est toujours empressé de surpasser avec entrain.

On peut également citer l’exemple de Sean Belnick, le fondateur de BizChair.com. Il a commencé à vendre des chaises de bureau sur ce fameux site internet depuis qu’il a 14 ans. Vous êtes dans l’erreur si vous pensez que ce geek a galéré pour faire décoller son affaire. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, il a effectué un chiffre d’affaires de 48 millions de dollars rien qu’en 2010. Il a ensuite élargi son activité en vendant des bureaux d’écolier, des sofas dans les salles d’attente et des fauteuils. À 24 ans à peine, il est PDG de son entreprise.

D’autres jeunes geeks ont connu un succès incroyable grâce au web. On peut citer l’exemple de Christian Owens, un Britannique actuellement de 17 ans et qui est entré dans la cour des millionnaires en 2010. Il a créé à 14 ans un site de packings d’applications appelé Mac Bundle Box. Cette plateforme lui a permis de toucher 700 000 Livres sterling. Il a ensuite créé Branchr, mais ce dernier n’a pas eu le même succès. Néanmoins, il a tout le temps pour se rattraper et pour créer un nouveau projet, puisqu’il n’a que 17 ans…

et vous alors…

Communiquer mais en fonction de quoi ?

Croire que les clients vont tomber dans notre escarcelle sans que l’on ait fait un geste relève d’un optimisme dangereux ! Aujourd’hui ce n’est plus un secret pour personne : pour qu’une entreprise fonctionne elle doit communiquer. Image de marque, notoriété, buzz… tout est bon pour se faire remarquer et apprécier auprès de sa cible. Cependant les dépenses de communication sont souvent difficiles à quantifier et à justifier. Alors comment fixer votre budget de communication ? Petit tour d’horizon…

Le budget de communication d’une entreprise prend en compte l’ensemble des moyens financiers qui contribuent à la mise en œuvre des actions envisagées. Il est attribué, annuel, limitatif et validé par la hiérarchie.

A partir de quelle base fixer son budget de communication ? Plusieurs solutions s’offrent à vous.

1) En fonction de l’historique

Pour fixer un budget de communication une entreprise peut choisir un fonctionnement administratif qui consiste à établir le budget de communication en fonction de l’historique de la société. Attention à l’absence d’originalité !

Avantages :
• Facile à élaborer
• Prend peu de temps

Inconvénients :
• Ne tient pas compte de la stratégie de l’entreprise
• Tendance à l’inflation
• Peu impliquant pour la société

2) En fonction du Chiffre d’Affaires de l’entreprise

Cette technique permet d’utiliser un pourcentage du chiffre d’affaires de la société pour les actions de communication à venir. Pour les PME cela représente environ 1%, pour les grosses entreprises 2 à 3%. Mais certains secteurs comme celui du parfum, ou des lessives consacrent plus de 10% de leur chiffre d’affaires. Le budget ouvre des portes mais la créativité en est sa source !

Avantages :
• Facile à élaborer
• Prend peu de temps
• Et permet de suivre les résultats de l’entreprise

Inconvénients :
• Limitatif
• En cas de crise financière de l’entreprise, le budget de communication peut être supprimé
• Laisse peu de place à la stratégie de l’entreprise

3) En fonction des concurrents

On peut aussi choisir d’élaborer le budget de communication en regardant le budget de ses concurrents directs. Regardez ce que les autres font peut inspirer mais chaque société à sa réalité propre !

Avantages :
• Pour les startups cela permet de partir d’une base concrète
• Cette méthode offre une certaine cohérence

Inconvénients :
• Difficulté pour obtenir les budgets de communication des concurrents
• Ne prend pas en compte le passé, et la réalité de la société

4) En fonction des objectifs de communication de l’entreprise

Cette technique consiste à élaborer un plan de communication, en fonction des objectifs de l’entreprise. Elle permet de justifier en amont le budget souhaité.

Avantages :
• Réflexion stratégique sur les priorités de l’entreprise
• Permet une crédibilité
• Implique toute l’entreprise dans les démarches de communication

Inconvénients :
• Demande beaucoup de temps
• Projet lourd à élaborer pour une seule personne

A vous de choisir !

Et quel que soit votre choix, il est conseillé d’intégrer dans votre budget de communication des « post-test » qui vous permettront d’évaluer a posteriori, chacune de vos actions de communication. Communiquer c’est avoir en tête ces quatre points pour utilise la force de chacun d’entre eux à bon escient.

L’introduction en bourse : un risque pour les grandes entreprises

L’introduction en bourse pour une entreprise est souvent vue comme le Saint Graal mais en fin de compte est-ce véritablement la panacée ? Même si les actions peuvent valoriser l’entreprise en bourse, elle peut a contrario aussi se discréditer auprès des investisseurs, ce qui entraîne inévitablement une chute en bourse. Certaines entreprises vivent une introduction en bourse très médiatisée mais il arrive qu’un événement imprévu fasse chuter le cours de l’action.

Une situation périlleuse

Beaucoup d’entreprises ont parfois fait le choix de déposer une demande d’introduction en bourse, mais elle peut s’avérer dangereuse pour elles et leur dirigeant. Que ce soit en France, aux Etats-Unis ou partout dans le monde, plusieurs pays ont leur bourse avec des entreprises particulières. L’introduction en bourse d’un géant d’un marché jusque-là encore en retrait fait très vite la une des journaux et attire souvent des nouveaux investisseurs. Se lancer en bourse a de nombreux avantages comme avoir de la visibilité, des levées de capitaux propres, proposer aux employés des actions ou des stock-options, mais c’est aussi un risque à prendre pour l’entreprise et son dirigeant.

Elles peuvent aussi rencontrer des difficultés avec une introduction en bourse. Cela engendre beaucoup de coûts juridiques et financiers, l’entreprise doit aussi pouvoir rendre publique toutes ses informations financières. Quant aux attentes escomptées, elles ne sont pas toujours réalisées, ce qui peut engendre beaucoup de déception. Même si devenir une entreprise cotée en bourse peut permettre un développement plus rapide, c’est aussi faire face à des rumeurs ou des actualités difficiles. C’est le cas de diverses entreprises américaines où les investisseurs fuient dès qu’un bad buzz émerge.

Le cas Snapchat

Dernièrement, Snapchat qui avait vécu une très bonne introduction en bourse les premiers jours avec la multiplication par deux du prix de son IPO (Initial Public Offering), s’est retrouvé un peu décontenancé à cause des propos de Kylie Jenner. L’influenceuse américaine avait tweeter « Est-ce que vous aussi vous n’ouvrez plus Snapchat ? Ou c’est juste moi… oh c’est trop triste ». Ce petit message a fait peur aux investisseurs qui ont cru voir la fin de Snapchat et qui ont aussitôt quitté le navire. À cause de ce tweet, la firme américaine au petit fantôme a perdu plus de 1,3 milliard de dollars. Dernièrement, l’histoire s’est répétée encore une fois. L’entreprise américaine a accepté une publicité demandant aux internautes de gifler Rihanna. La publicité faisant référence à l’épisode de violences conjugales entre Rihanna et Chris Brown, l’entreprise a perdu 800 millions de dollars en bourse à cause de cette publicité de mauvais goût.

Le cas de Facebook

Les géants très populaires ont tendance à être les plus touchés par les chutes en bourse. Le moindre scandale entraîne un boycott des utilisateurs et des consommateurs ce qui influence automatiquement les investisseurs et directement la bourse. Cela a été le cas dernièrement de Facebook avec le scandale en relation avec Cambridge Analytica. L’entreprise américaine a été accusée d’avoir permis la fuite de données personnelles d’utilisateurs de Facebook. Ce scandale a entraîné une perte de 60 milliards de dollars de capitalisation boursière pour le géant des réseaux sociaux, ce qui influe directement sur la fortune personnelle de Mark Zuckerberg. Faire le choix d’entrer en bourse peut se révéler judicieux pour une entreprise, mais elle doit savoir gérer les crises pour éviter une chute dangereuse. Même si les géants ont tendance à se relever, certains ont fait faillite.

Des nouvelles introductions en bourse

Spotify

Dernièrement ou prochainement des grandes entreprises vont faire leur entrée en bourse pour le plus grand plaisir des investisseurs. Certaines sont très populaires et beaucoup d’investisseurs croient en leur développement ce qui devraient engendrer une bonne capitalisation boursière. La plupart des entreprises qui sont vouées à un développement croissant font le choix de demander une introduction en bourse aux Etats-Unis, c’est le cas de Spotify. Cette entreprise suédoise entrera en bourse le 4 avril sur le New York Stock Exchange sous l’abréviation « SPOT ». Elle a fait le choix d’une cotation directe, ce qui est différent des entrées en bourse habituelles. L’entreprise suédoise ne pourra pas émettre de nouvelles actions et elle n’a pas besoin de lever des fonds pour entrer en bourse. La cotation directe évite aussi d’avoir recours à des banques d’investissements qui prennent des commissions très élevées.

Dropbox

Un autre géant venant de la Silicon Valley a dernièrement fait son apparition en bourse. Il s’agit de l’introduction de Dropbox, une entreprise qui a mis en place un « cloud », c’est-à-dire une plateforme de stockage de documents. Dropbox a fait le choix de faire son introduction en bourse sur le célèbre Nasdaq, à la bourse de New-York. Grâce à cette entrée, l’entreprise américaine a obtenu 756 millions de dollars. Cette plateforme très célèbre a séduit les investisseurs dès le premier jour avec une augmentation de 36% pour son action. Le prix initial de celle-ci se plaçait entre 16 et 18 dollars et a augmenté à 21 dollars dès la première semaine. L’augmentation de l’action montre l’engouement des investisseurs pour cette entrée en bourse. C’est une situation qui peut perdurer si l’entreprise ne fait pas face à un scandale ou une petite polémique d’ici les prochains mois, comme Facebook ou encore Snapchat.

Les introductions en bourse ne sont pas récurrentes mais les géants n’hésitent pas à se lancer pour récupérer des fonds et ainsi pouvoir se développer sur les prochaines années. Mais cette décision n’est pas à prendre à la légère, car comme on le voit, le cours d’une action peut très facilement chuter à cause d’un bad buzz, d’un tweet ou encore d’un scandale. Même si ce type de problème impacte souvent les entreprises les plus populaires, les investisseurs sont souvent très bien renseignés et n’hésitent pas à revendre leurs actions s’il est nécessaire.

Fichierentreprise : la référence pour l’achat de base email en ligne

Prospecter n’est pas toujours chose aisée et requiert du temps. Et du temps, une entreprise n’en a pas nécessairement. Pour vous aider dans votre lourde tâche, Fichierentreprise se charge pour vous de générer vos fichiers de prospection en un clic. Il s’agit du premier site dédié à l’achat de base email en ligne.

Le 1er site dédié à l’achat de base email en ligne

« Vos fichiers de prospection en 1 clic ! » Tel est l’engagement pris par le site Fichierentreprise depuis sa création en 2010. Édité par EDIFICHIER SAS, le grand spécialiste français du fichier prospection, cet outil accompagne les sociétés dans leurs campagnes d’emailing. De quelle manière ? Tout simplement en mettant à leur disposition un catalogue de fichiers email en téléchargement immédiat. Premier site dédié à l’achat de base email entreprise en ligne, il permet également de cibler l’ensemble des activités professionnelles. Il dispose de toutes types de fichiers en partant du fichier architecte mais aussi pour les clubs de billard, chirurgiens esthétiques, stations de montage de pneus, vignerons et agriculteurs… Autant de domaines recensés par l’outil de prospection. Les fichiers d’emails sont mis à jour tous les trois mois et soumis à un certain nombre de tests, validations et qualifications. De quoi garantir un service de prospection de qualité optimale.

Des fichiers triés par activité et localisation

Avec plus de 450 fichiers et deux millions d’emails de prospects et sociétés répartis sur toute la France, Fichierentreprise effectue un ciblage par activité, région, département ou encore par liste code NAF (Nomenclature d’Activités Française) et APE (Activité Principale Exercée). S’adressant aussi bien aux petites PME qu’aux grands groupes, le site est devenu la référence pour l’achat de base email en ligne. Seulement trois étapes sont nécessaires pour en profiter. D’abord, il convient de choisir les fichiers souhaités en fonction du secteur d’activité et/ou de la zone géographique. Il faut ensuite procéder au paiement en ligne par carte bancaire via le système de paiement sécurisé Hipay du groupe Allopass. Enfin, dernière étape, le téléchargement des fichiers immédiatement (sous format Excel, ndlr) dans son compte client une fois le paiement validé.

Un service à l’écoute de ses clients

2 730, c’est le nombre de devis traités. Côté commandes, 1 350 ont été réalisées grâce à trois commerciaux BtoB, pour un minimum d’achat de 39 euros. « Nous avons eu le plaisir de travailler avec Fichierentreprise, un service client disponible et efficace qui a tout de suite compris notre problématique », témoigne Philippe L. de Kameo. Chez Multimedia ltd, Vanessa D. rapporte : « Fichierentreprise nous accompagne depuis septembre 2014 dans notre communication. Ils ont su me conseiller convenablement selon mes besoins et dans la limite de mon budget. » Et en ce qui concerne le service client, le site assure qu’un membre de leur équipe répond aux attentes des entreprises en moins de deux heures.

L’importance de générer des emailings de qualité

Sachez qu’envoyer des emails en masse sans effectuer un tri au préalable n’est pas toujours opportun, bien au contraire. Une démarche qualitative reste indispensable si vous ne voulez pas voir vos efforts réduits à néant… Bombarder les boites mails tous azimuts et atterrir directement dans les spams vous fera, non seulement, perdre votre temps mais, en plus, risquerait de faire « blacklister » votre adresse IP (« Internet Protocol » en anglais, soit votre numéro d’identification, ndlr). Cette technique permettant d’identifier les fraudeurs, elle pourrait bien rapidement intervenir à votre désavantage si vous ne respectez pas les règles dites de bonne conduite. Faites donc attention tant à votre cible qu’au contenu de votre message en n’indiquant pas de fausses informations et en l’identifiant clairement comme promotionnel. C’est pourquoi un outil de prospection comme Fichierentreprise incluant le tri de fichiers par activité et/ou localisation se présente comme un réel atout pour vos campagnes emailings.

Le 1er avril 2018, les poissons d’avril étaient au rendez-vous 

Le 1er avril 2018, les poissons d’avril étaient au rendez-vous ! Les marques ont rivalisé d’ingéniosité pour séduire leurs clients. Voici parmi le déferlement des poissons d’avril notre sélection.

Burger King, le burger au chocolat, un poisson d’avril qui pourrait donner des idées

Burger King a dévoilé dans un vidéo un tout nouveau produit : le Chocolate Whopper. Ce burger au chocolat serait composé de produits sucrés.  Ouah, j’en veux un !

La douche au chocolat

Les experts de chez KITKAT ont conçu un savon comestible au chocolat. Have a bath, have a KITKAT. Ouah, propre vraiment ?

La meilleure business class du monde

Emirates a présenté ce dimanche 1er avril le SkyLounge, un salon aux parois totalement transparentes installé à bord de la flotte de Boeing 777X que la compagnie aérienne accueillera à compter de 2020. C’est déjà la nouvelle ère !

Voiture sur mesure 

Lexus présente ses « Genetic Select Cars ». Grâce à l’analyse ADN de ses clients, le constructeur automobile sera apte à fournir en 48 heures une voiture totalement personnalisée, de la fermeté des suspensions à la taille des appui-têtes. Le prix s’il vous plaît !

Freebox V7 sera livrée avec un carton de 100 Blu-Ray AB Productions

Xavier Niel sait bien mettre en valeur sa Freebox V7 prévu pour la fin de l’année –et évidemment notre communicant n’a pas oublié de se servir du 1er avril 2018. L’opérateur internet aurait prévu un ingénieux système afin de compenser la détérioration des débits sur le service SVOD Netflix. Plutôt que de pester sur la lenteur de sa connexion, l’utilisateur lésé n’aura qu’à piocher dans un carton contenant 100 Blu Ray, livré d’office avec la nouvelle box de l’opérateur français. Un partenariat aurait été passé avec AB Productions si bien que les utilisateurs pourront ainsi profiter de sitcoms comme Premiers Baisers et les Mystères de l’Amour ! Une bonne idée ? A voir ?

François Hollande devient président de Disneyland Paris

Dans un faux communiqué du site disneylandparisbonsplans.com, on apprend avec enthousiasme que l’ancien chef de l’État a été nommé Président directeur général d’Euro Disney S.C.A et “remplace ainsi Catherine Powell, qui est nommée à la tête de Disney Parks and Resorts Western Region”. Cette nouvelle enthousiasme le Parc parisien et le monde politique dans son ensemble. Il prendra ses fonctions à partir du 1er mai 2018 et dirigera le complexe de loisirs Disneyland Paris ! Une reconversion réussie ?

Il y a de la vie dans l’espace, en voici la preuve irréfutable !

Mais oui Sciences et Avenirs a voulu aussi nous faire sourire le 1er avril 2018. Selon cet article, des caméras ont ainsi surpris un insecte écrasé sur le pare-brise de la voiture Tesla récemment propulsée dans l’espace. “J’ai cru au départ qu’il s’agissait d’un impact sur le pare-brise, provoqué par une micro-météorite ou un gravillon stellaire”, explique un certain April Fischer au magazine. Mais il s’agirait bien d’un moucheron. Désolée le temps n’est pas encore venu !

La miss météo de LCI nous annonce -20 degrés !

Pour cette météo du 1er avril 2018, Chavanne Solene, la présentatrice météo de LCI nous annonce des températures glaciales sur toute la France : – 20 degrés à Nancy, – 12 dans le Cotentin, – 13 à Lille, Nantes et Paris, – 4 degrés à Marseille… Décidément le temps est déréglé !

Porsche se lance dans l’agriculture écologique

Porsche investit pour l’avenir de l’agriculture en concevant le Mission E Tractor. Une machine entièrement électrique qui combine « le meilleur de la tradition et de l’innovation » du constructeur allemand. Le tracteur le plus puissant du monde développe une puissance de plus de 700 chevaux. Le rêve de nos agriculteurs est enfin réalisé !

ShareBED : partagez votre matelas avec un inconnu

Dans cette vidéo virale, la marque de matelas Lucid Mattress nous présente sa nouvelle application “ShareBED”. A la manière de Aibnb, elle propose au célibataires de louer la moité de leur lit à des inconnus pour rentabiliser cet espace inoccupé.

Saviez-vous que l’humain moyen n’utilise que 40% de son espace de lit utilisable ? C’est 60% du lit qui est gaspillé. Jusqu’à maintenant… Louez cet espace inutilisé et gagnez de l’argent pendant que vous dormez. Présentation de ShareBED la plus récente innovation dans l’économie du partage. On a le droit de choisir le ou la partenaire idéal !

La Gendarmerie du Rhône s’équipe d’aigles radars !

Pour contrôler les automobilistes des manières plus écologique et plus efficace, les gendarmes du Rhône ont décidé de s’entourer de nouveaux compagnons volants à la vue perçante : les aigles ! Ces derniers, sont “PLUS FORT QUE DES DRONES!” selon le post facebook du canular et ils seront équipés de mini caméras embarquées permettant de repérer les infractions. “Un prototype de caméra radar est également en test”, poursuit la gendarmerie. Des sous, des sous !!!

Les sapeurs-pompiers parachutistes se la jouent Iron Man pour éteindre le feu !

Dans une vidéo diffusée sur twitter le premier avril 2018 (comme par hasrad), les pompiers de Paris nous présentent leur nouvelle technique pour accéder plus rapidement aux zones difficilement accessibles. Six hommes du feu de la capitale s’entraînent au saut en parachute. Une technique inspirée des “Smokejumpers canadiens”, à en croire le compte Twitter des pompiers de Paris…Ils en seraient capables nos pompiers de cœur !

Un hôtel-casino de 187m de haut ouvrira ses portes en 2022 à Versailles

L’Épi de Versailles : un hôtel-casino au cœur du bois Saint-Martin face au quartier Saint-Louis verra le jour en 2022. La Ville de Versailles est fière de présenter son futur immeuble de grande hauteur, signe fort qui permettra de valoriser la richesse de son patrimoine végétal et architectural tout en y implantant de nouvelles activités économiques. Les versaillais vont adorer sortir de leur torpeur versaillaise !

La station de Méribel en Savoie décide d’agrandir sa montagne

La station savoyarde de Méribel a annoncé, dans un communiqué, que de grands travaux allaient être engagés pour agrandir le Mont Vallon de 50 mètres, histoire de le rendre plus attractif. Près 150 000 m³ vont devoir ainsi être sortis de terre. « Dans un souci de préservation de l’environnement et afin de limiter l’impact écologique de tels travaux, un lac sera creusé au pied du Mont Vallon permettant ainsi d’offrir un lieu privilégié estival propice à la détente dans ce cadre magnifique », précise également le communiqué. Quand on aime Méribel on a des frissons !

Vélo boulot, dodo pour les ministres

Les déplacements officiels à vélo vont devenir obligatoires pour les ministres. C’est l’association Vélove à Montargis qui relaie l’information d’un web magazine dédié aux deux roues. « Tout déplacement réalisé sous la gouvernance Macron et représentant le pouvoir de l’Etat, devra être obligatoirement effectué à bicyclette » est-il écrit dans les modalités d’application de ce futur décret relatif aux déplacements officiels. Pendant qu’ils font du sport, ils ne font pas d’ordonnances, certains seront vraiment contents !

Top 5 des raisons d’embaucher un salarié saisonnier

Le printemps vient à peine de pointer le bout de son nez et nous pensons déjà à l’été et à son soleil qui nous manque tant. Certes cette période est agréable, mais elle veut aussi dire que beaucoup de vos salariés vont partir en vacances à tour de rôle durant les mois de juillet et août. Alors pourquoi ne pas avoir recours à un salarié saisonnier pour accompagner vos salariés dans des tâches simples ou faire ce que vous n’avez pas eu le temps de faire durant l’année ? 

En savoir un peu plus sur le contrat saisonnier

Un contrat saisonnier est déterminé par des activités qui se répètent chaque année à la même période ou encore à la même saison. Il correspond particulièrement aux entreprises concernées par le tourisme durant une saison ou pour les agriculteurs et leurs récoltes. Cependant les entreprises du tertiaire peuvent aussi y avoir recours pour de l’archivage, une mission ponctuelle, une aide quelconque. Le CDD saisonnier dans la logique ne peut pas excéder grand maximum 8 mois, puisqu’il correspond à un travail ne pouvant pas être exercé toute l’année. Depuis l’arrêté de la loi travail du 5 mai 2017, un salarié bénéficie automatiquement d’un droit de reconduction obligatoire si le salarié a travaillé deux années consécutives dans l’entreprise pendant la même saison. En réalité, le contrat saisonnier dispose des mêmes réglementations qu’un CDD habituel. À la seule différence qu’il ne peut pas démissionner avec une rupture conventionnelle et qu’il ne dispose pas d’une prime de précarité à la fin de son contrat. Par ailleurs dans de nombreuses entreprises, le salarié saisonnier est employé avec un contrat intérimaire ou un CDD simple.

L’employé saisonnier dans le tourisme

Bien entendu, dans le secteur du tourisme, le salarié saisonnier est une évidence car il permet de renforcer les équipes pour mieux assumer la saison. La plupart des stations de ski ou de stations balnéaires ont recours à ce type d’emploi chaque année qui permet le plus souvent à des jeunes d’évoluer dans un environnement sympathique et de rendre votre entreprise performante par leur investissement. Le fait de pouvoir agrandir les équipes grâce à un salarié saisonnier peut se révéler être un réel avantage. Il n’est pas simplement un complément, mais il fait partie intégrante de votre équipe pendant une période. Pour cela, il vaut mieux faire le bon choix.

Dans les entreprises du tertiaire, un coup de main non négligeable

En plein mois de juillet et août, les entreprises sont souvent désertes et ce n’est pas forcément pour cela que l’activité s’arrête. Les employés souhaitent tout de même partir en vacances et alternent chacun leur tour pour ne pas plomber l’activité selon un calendrier qui ne les satisfait pas toujours. C’est pourquoi un salarié saisonnier est souvent le bienvenu. Il permettra entre autres de donner un coup de main et d’éviter que la charge ne soit trop lourde pour les salariés qui restent en poste et d’assouplir parfois le rythme du départ des salariés en vacances.

L’été, les vacances, le moment pour réarranger l’entreprise

Le salarié saisonnier peut permettre à votre entreprise d’effectuer des tâches chronophages. Durant l’été de nombreux jeunes et étudiants cherchent un emploi pour financer leurs vacances ou pour subvenir à leurs études. C’est donc le moment de leur confier des missions que vous n’avez pas le temps de réaliser le reste de l’année. Cela peut permettre de faire du rangement afin que la rentrée puisse être opérationnelle ou bien traiter des tâches essentielles à la poursuite de l’activité durant l’année. Il peut s’agir par exemple d’un regroupement d’informations, d’archivage, bref tout ce que vos équipes n’ont pas le temps de faire mais qui sont essentielles.

L’occasion de rencontrer un salarié qualifié

Non seulement un salarié saisonnier peut vous aider à réaliser des tâches parfois trop longues ou fastidieuses, mais cela peut aussi être l’occasion de rencontrer un salarié qualifié. Il sera peut-être satisfait de l’entreprise et de son travail, ce qui peut vous amener à réitérer l’expérience pour une prochaine fois. Non seulement, vous avez trouvé un salarié qui vous aide, mais il pourrait s’avérer être une embauche à l’avenir. Souvent intégré au sein de l’entreprise pendant 2 ou 3 mois, vous pouvez cerner ses compétences et son comportement. Alors vous pourrez peut-être envisager de lui proposer un poste à temps plein après deux ou trois années consécutives avec ses services. Vous gagnerez du temps, puisque la recherche d’un autre employé ne sera pas forcément nécessaire.

Aider les jeunes

Employer un salarié saisonnier est un avantage pour vous, mais aussi pour lui. Généralement, il s’agit de jeunes étudiants ou même lycéens qui postulent pour ce type d’emploi. Ils cherchent à se faire un peu d’argent de poche ou bien à continuer à subvenir à leurs besoins durant l’été. C’est donc l’occasion de faire d’une pierre deux coups. Non seulement, il aura un revenu fixe pendant 2 ou 3 mois, mais il pourra vous aider au quotidien. En plus de cela, c’est une occasion pour lui de découvrir un secteur parfois qu’il ne connaît pas et d’acquérir des compétences professionnelles qui lui seront utiles