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La Fashion Week : un marketing fort

Même si la Fashion Week du 27 février au 6 mars 2018 est réservée à un cercle restreint, les marques de luxe qui présentent leur nouvelle collection se mettent en scène pour faire parler d’elles. Elles n’hésitent pas utiliser des moyens considérables pour que leur défilé soit sensationnel et qu’il séduise la presse et les stars. Retour sur une pratique marketing à succès. 

La haute couture, mais l’image avant tout 

Les marques de luxe ont tendance à ne pas être considérées comme des entreprises. En réalité même s’il s’agit de création et d’artisanat, elles ont les mêmes besoins et les mêmes attentes. Malgré un public restreint et particulièrement choisi, elles trouve écho à l’international grâce à leur renommée. Elles font les promotions de leur produit lors de défilé, mais en réalité, elles ne vendent pas seulement une collection luxueuse, elles vendent aussi leur image pour continuer à faire rêver et afin d’être toujours sur le devant de la scène et profitent de ce fait aux entreprises françaises leur apportant une aura de luxe et de savoir-faire.

Les Fashion Week se déroulent chaque année dans plusieurs villes et les marques défient une concurrence dépassant l’imagination pour trouver des lieux exceptionnels et les décorer selon le thème choisi. Cette année à l’occasion de la Fashion Week de Paris, la maison Saint-Laurent a fait le choix d’investir dans un lieu doté de charme et d’histoire, celui du Trocadéro, en face de la Tour Eiffel. L’entreprise a même préféré monopoliser les fontaines, plutôt que le palais en lui-même. L’endroit a donc été investi du 12 février au 5 mars, pour construire toute une installation féérique  pour le défilé du 27 février. La présence de grands murs et d’écrans géants a suscité la curiosité des parisiens et des touristes pendant plusieurs jours. Tout comme la marque Saint-Laurent, les autres marques n’hésitent pas à investir des lieux les plus insolites pour faire rêver les invités des quatre coins du monde lors d’un défilé. 

Raconter une histoire tel est le secret 

Que ce soit Dior, Chanel, Saint-Laurent ou encore Givenchy, ces entreprises sont expertes en matière de marketing et de communication. Elles sont déjà connues pour la plupart d’entre elles à travers le monde, grâce à leur luxe et leur savoir-faire. Mais elles jouent sur d’autres prestations pour se faire connaître auprès du grand public. Le lieu choisi correspond au storytelling du défilé et l’histoire mise en scène par les mannequins prime dans la communication. Si les marques arrivent à se démarquer, c’est parce qu’elles impressionnent avec leurs prestations créatrices et dispendieuses. Ainsi, pour le défilé printemps été 2016 de Chanel, la marque n’a pas hésité à recréer l’ambiance d’un aéroport au sein du Grand Palais. Le but des marques de haute couture, c’est de convaincre non seulement les acheteurs qui sont sur place, mais aussi les médias et donc les futurs spectateurs. Même s’ils sont peu à être de potentiels clients richissimes, les maisons souhaitent les faire rêver pour conserver leur image inaccessible et devenir des icônes dans le monde de la mode. 

Le marketing de ces entreprises fonctionne entièrement sur le storytelling. Le but est de transmettre des émotions et d’impressionner. Elles racontent une histoire à travers leur collection, le lieu et le thème du défilé. Elles sont en capacité de reproduire plusieurs fois l’expérience avec les Fashion Week de Paris, Londres, New-York et Milan, ce qui leur confère une image hors du commun. 

Toujours dans la démesure 

Pour de tels évènements, les marques n’hésitent pas à y consacrer un budget qui dépasse l’imagination. Les défilés doivent diffuser un sentiment d’inaccessibilité chez les spectateurs. Le concept est de surprendre et d’inciter les clients à se sentir V.I.P. Lors de la privatisation des fontaines du Trocadéro, la maison Saint-Laurent a dû verser plus de 400 000 euros à la mairie de Paris pour investir ce lieu si prestigieux face à la Tour Eiffel. Non seulement, elles n’hésitent pas à dépenser sans compter pour leurs défilés, mais elles mettent aussi en scène les invités en les honorant d’attentions et en leur donnant une couverture médiatique. Lors de cette édition de la Fashion Week, l’installation de la maison Saint-Laurent était une boite lumineuse que l’on pouvait voir à des kilomètres. Le public est sous le charme et ce type d’évènement suscite son émerveillement. Comme ils sont uniquement réservés à des stars, des influenceurs et quelques médias, le rêve est exacerbé chez le public lambda. 

Les médias, un point essentiel

Les médias jouent un rôle clef dans le marketing des maisons de haute couture. Contrairement à d’autres évènements, tous les médias ne sont pas conviés à un défilé. Les médias comme les journalistes sont sélectionnés par les marques afin d’obtenir une visibilité et une notoriété. Pour réaliser un marketing exemplaire, tout est calculé au millimètre près et très détaillé.  Plus les évènements sont grandioses et impressionnants, plus ils sont diffusés et commentés dans les médias. Cette année pour la maison Saint-Laurent, la privatisation d’un lieu comme le Trocadéro a automatiquement généré une diffusion exponentielle sur toutes les plateformes. 

Le marketing des maisons de haute couture est atypique. Toutes les entreprises ne peuvent pas y accéder faute de moyens financiers, Mais s’inspirer des évènements comme les défilés peut vous aider à vous démarquer en tant qu’entreprise. Le principe reste le même, seulement, le transposer à une autre échelle peut développer votre notoriété. Il permet de donner de l’attrait à votre entreprise et de tels événements généreront sûrement de la curiosité auprès de potentiels futurs clients. C’est parti pour le show !

Le RGPD : obligatoire pour toutes les entreprises

Le RGPD (le Règlement général sur la protection des données) entre en vigueur le 25 mai 2018, dans toute l’Europe. Les entreprises y sont contraintes pour respecter les données personnelles des citoyens. Mais ce dispositif nécessite de nombreuses ressources et apparaît fort complexe à mettre en place dans les entreprises. 

Le RGPD : pour les citoyens et les entreprises

Ce règlement européen a pour objectif la protection des données dans le cadre des entreprises. Il remplace la directive sur la protection des données personnelles instaurée en 1995. Voté par le Parlement européen, le règlement devra être appliqué d’ici le 25 mai 2018 par toutes les entreprises européennes détenant des informations de citoyens de l’Union européenne. Il concernera toutes les données comme les noms, les adresses, les adresses IP, les données bancaires, les e-mails etc. En conséquence, les pouvoirs de la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) seront renforcés. Elle s’occupera de contrôler le respect de ce règlement une fois instauré. Cette réglementation n’a pas été notifiée par hasard mais fait suite aux plaintes de nombreux internautes concernant la diffusion de leurs données personnelles à des marques ou encore au non-respect du droit à l’oubli. En effet, les informations sont souvent collectées dans le but de distinguer des comportements ou des cibles marketing et elles sont récupérées par la technologie, pas toujours respectueuse des droits de l’Homme, comme il est possible de le constater avec les assistants vocaux qui enregistrent la vie de leur propriétaire, sans autorisation. Une réglementation rigoureuse devient alors inévitable pour garder une éthique.

Avec ses nouvelles dispositions, le RGPD donnera le droit aux citoyens de mener une action en justice, si l’entreprise ne respecte pas les demandes liées au droit à l’oubli, à la portabilité des données (le fait de pouvoir récupérer les données et les transférer sur plusieurs plateformes), et au droit d’être informés en cas de piratage des informations. En France, ils pourront porter plainte à l’aide d’association de consommateurs, en cas de manquement de l’entreprise. 

L’urgence des entreprises 

Le règlement entre en vigueur le 25 mai 2018, il reste environ 3 mois aux entreprises pour se préparer et être en conformité avec la loi. Il s’agit d’une tâche difficile qui demande du temps et dont le coût s’avère très élevé particulièrement pour les grandes entreprises. Le regroupement de toutes les données personnelles représente un travail colossal car il concerne tous les secteurs d’une entreprise comme les ressources humaines, le service client mais aussi les bases de données relatives aux associés ou aux personnes extérieures à l’entreprise. Toutes les données personnelles répertoriées sont concernées, même celles sous forme de document papier. Les moyens nécessaires pour rassembler ces informations seront d’un coût non négligeable pour les entreprises, les collectivités locales et les établissements publics.

Le RGPD demande une grande mobilisation pour collecter les données mais celle-ci se poursuivra aussi après l’entrée en vigueur. Pour répondre aux attentes des citoyens, les entreprises n’auront parfois pas d’autres choix que de recruter un « protecteur de données ». D’après une étude de Senzing, une société de technologie logicielle a interrogé 1000 cadres d’entreprises issus de plusieurs pays d’Europe et le constat donne une moyenne de 89 demandes liées au RGPD par mois. La recherche de données, le traitement et la restitution seront des tâches longues et fastidieuses. Elles nécessiteront la présence d’un employé assigné à cette tâche. Pour les grandes entreprises, la réalité s’avère exponentielle car il s’agira de traiter environ 246 demandes par mois, mobilisant environ 7,5 employés. Puisque la protection des données et le respect du règlement européen demandent un coût élevé et plus d’effectifs, il vaut mieux s’y atteler dès à présent pour les entreprises. Les amendes concernant le non-respect de cette réglementation peuvent s’élever à plus de 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires annuel global. 

Se faire conseiller 

Pour aider les entreprises, une aide est mise en place. Un tel changement se révèle difficile à appliquer. Dernièrement, seulement 26% des entreprises se déclaraient prêtes à l’effectuer avant l’entrée en vigueur de la réglementation. Trouver les moyens et organiser un plan pour la protection des données n’est guère évident. A la suite de l’annonce du RGPD en Europe, 27% des entreprises ont même déclaré « n’être pas certaines » de l’emplacement du stockage de leurs données. C’est dire la complexité du travail à réaliser. Ces constatations génèrent des inquiétudes chez les entreprises souvent dépassées par cette mise en place.

En France pour soutenir les entreprises dans cette transition, la CNIL a décidé de les conseiller pendant plusieurs mois. Avant de contrôler le respect du règlement, elle accompagne les entreprises dans un premier temps. Pour garantir une bonne transition, la CNIL laissera du temps aux entreprises de se diriger vers l’application, avant un possible contrôle. Le changement même supervisé par la CNIL, doit s’effectuer relativement vite car les entreprises risquent des amendes auxquelles elles ne pourront pas faire face. Pour commencer, il faut réaliser en premier un constat des données collectées durant les dernières années. Et les questions suivantes doivent être posées : sont-elles encore nécessaires ? Le consentement du citoyen a-t-il été pris en compte ? Les réponses formuleront déjà une première ébauche du chantier. Pour toutes les données numériques, une personne habilitée pour les extraire sera nécessaire. La loi comprend désormais une demande de portabilité, il faut pouvoir fournir les données personnelles d’une personne si elle le souhaite et donc pouvoir les extraire. 

Cette réglementation répond aux demandes des citoyens qui veulent disparaître des plateformes internet ou qui refusent que leurs données personnelles soient exploitées à des fins commerciales. Pour les entreprises, le changement apparaît comme une difficulté majeure. 74 % des entreprises ne sont pas préparées au changement. Or, elles toutes intérêt à s’y adapter et à mettre des outils et du personnel pour surmonter cette surcharge de travail.

Les marchés publics : une mine d’or pour votre activité en 2018 ?

La commande publique en France représente près de 200 milliards d’euros. C’est autant de possibilités pour les entreprises de diversifier ou de remplir leurs carnets de commande. Mais avant de se lancer et répondre aux appels d’offres, voici ce qu’il faut savoir.

Les acheteurs publics, kesako ?

Les acheteurs publics sont : l’Etat, les collectivités territoriales et les établissements publics. D’autres organismes privés créés pour satisfaire des besoins d’intérêt général doivent aussi respecter les règles de passation des marchés publics.

La législation prévoit 3 types de besoins :

  •  Les travaux,
  •  Les fournitures (achat, location, etc.),
  •  Les services.

La différenciation entre ces 3 catégories est essentielle car certaines règles diffèrent en fonction de la qualification du besoin (aussi nommée « objet du marché »).

Les 3 principes incontournables des marchés publics

Les procédures de commande publique sont strictement encadrées, et doivent obéir à trois grands principes :

  • Liberté d’accès à la commande publique : toute personne doit avoir librement accès aux besoins des acheteurs.
  • Egalité de traitement des candidats : toute discrimination est interdite et la rédaction du cahier des charges doit être objective et ne pas orienter de choix. De plus, les acheteurs doivent examinées toutes les offres envoyées dans le délai demandé. Enfin, si un candidat pose une question, la réponse doit être transmise à tous les candidats afin de permettre à tous de disposer d’une information équivalente.
  • Transparence des procédures : le principe de transparence garantit les deux premiers principes. Il assure aussi à tout soumissionnaire dont l’offre est rejetée une réponse expliquant les motifs du rejet.

Sachez d’abord que le Ministère de l’économie a mis en place un dispositif de médiation des marchés publics dont l’une des missions est de sensibiliser les entreprises à l’intérêt de postuler aux marchés publics. Le responsable de ce service s’est, en effet, rapidement aperçu qu’il y avait un manque d’intérêt frappant des chefs d’entreprise des TPE/PME pour les marchés publics. Dans la grande majorité des cas, ils n’osent pas répondre aux appels d’offres. Et ce, pour plusieurs raisons dont les difficultés d’accès, la complexité des dossiers et des énoncés, mais aussi parce qu’ils font souvent un complexe d’infériorité par rapport aux grands groupes.

Des sites pour être alertés sur les offres

Aussi pour encourager et accompagner ces chefs d’entreprise dans leurs démarches, un
Guide des marchés publics a été mis en ligne : « Osez la commande publique ». Il fait d’abord le point sur les différentes sources susceptible d’informer les entreprises des marchés passés par les acheteurs publics. Car, excepté pour les marchés d’un montant inférieur à 15 000 euros, tout marché public doit faire l’objet d’un avis de publication. Et aujourd’hui, de nombreux sites institutionnels et privés permettent de s’informer des avis de marchés et d’y répondre.
Citons : www.boamp.fr , www.service-public.fr, www.achatpublic.com, www.apasp.fr, www.francemarches.com, www.marchespublicspme.com ou encore www.marchesonline.com.

Se faire connaître auprès des acheteurs publics

Ces sites permettent à la fois de s’informer des avis de publication, mais aussi de se faire connaître et référencer auprès des acheteurs publics. N’hésitez pas à contacter les correspondants, à prendre rendez-vous avec eux afin d’évoquer le projet, mais aussi à participer aux manifestations qu’ils organisent (conventions, fournisseurs, speed-dating, etc.). C’est en étant parfaitement renseigné sur l’offre en question que vous pourrez leur proposer des solutions originales et innovantes.

Avez-vous vraiment le temps et les moyens pour ce type marché ?

Reste ensuite à savoir si, réellement, vous avez le temps nécessaire pour répondre à ces appels d’offres et si l’exécution de ces marchés pourra s’insérer dans votre planning professionnel sans occasionner des difficultés d’exécution. Si cela vous semble compliqué, vous pouvez aussi faire appel à un ou plusieurs sous-traitants afin d’effectuer la prestation ? Auquel cas, il serait peut-être bon de constituer un groupement d’entreprises. Ces différentes questions méritent d’être posées avant de vous lancer dans la constitution du dossier de candidature.

Un dossier de candidature en béton

A savoir !

Pour faire acte de candidature,

  • Aucune disposition issue des décrets ne vous impose de fournir une attestation d’inscription au RM ou au RCS. Il vous incombe en revanche de préciser votre statut juridique dans le dossier de candidature.
  • Aucun acheteur ne pourra vous demander un document que vous ne pouvez pas être en mesure de produire. Par exemple, il vous est impossible de fournir une attestation de déclaration fiscale ou sociale si vous n’aviez auparavant exercé aucune activité.

La direction des Affaires juridiques (DAJ) précise : « Les exigences portant sur la fourniture d’un devis ou document professionnel sont souples et ne devraient pas non plus constituer un obstacle à la candidature d’un micro-entrepreneur ».
Remarque :
Vous bénéficiez d’une franchise de la TVA, ce qui n’empêche nullement l’administration de conclure un marché public auprès de vous. Vous devrez seulement mentionner sur vos différentes factures la mention : « TVA non applicable, art. 293 B du CGI. »

ATTENTION !

Pour les entreprises nouvellement créées, il n’est pas toujours possible de fournir les renseignements demandés. Mais cela ne doit pas leur être préjudiciable. L’article 52 du code des marchés publics prévoit ainsi explicitement que « l’absence de références (…) ne peut justifier l’élimination d’un candidat et ne dispense pas le pouvoir adjudicateur d’examiner les capacités professionnelles, techniques et financières des candidats ». Il convient toujours de préciser la raison pour laquelle le renseignement ne peut pas fourni, afin qu’il n’y ait pas de confusion entre cette situation, et le simple oubli d’un justificatif dans le dossier.

Les 4 principaux critères de choix

L’entreprise doit évidemment accompagner sa candidature d’une offre, mais peut aussi prévoir une offre alternative. Le dépôt du dossier peut se faire par courrier ou par voie électronique en respectant la date limite (généralement 52 jours). Pour avoir une chance de remporter le marché, l’entreprise doit répondre aux critères demandés, tout en sachant que les acheteurs publics se focalisent aujourd’hui sur quatre principaux critères : la qualité de l’offre, son prix, sa valeur technique et son caractère esthétique et fonctionnel.
Il y a actuellement près de 300 000 appels d’offres sur les différents sites cités plus haut qui sont autant d’opportunités de business et de développement pour les entreprises.

Appliquer les conseils de Super Nanny à ses salariés

Nous avons tous entendu parler des conseils de Super Nanny diffusés dans l’émission TV de la chaîne NT1, dont la vocation était de donner aux parents des techniques pour rendre leurs petits monstres d’enfants moins turbulents et plus dociles. Comme à la maison, il n’est pas toujours évident de se faire obéir au travail. La méthode Super Nanny n’a plus à faire ses preuves et peut s’appliquer au monde de l’entreprise. Le point sur quelques astuces qui ne sont pas uniquement destinées aux enfants et qui peuvent être transposées à vos méthodes de management.

Écoutez-le.

Tout comme le conseille Super Nanny, un des principes fondamentaux de la communication orale, pour se faire entendre, est de se placer à la hauteur de son interlocuteur et de le regarder dans les yeux, lorsque vous souhaitez lui faire passer un message. Cette technique simple vous permet de capter toute l’attention de votre salarié en lui montrant qu’il a toute la votre d’une part, et de faciliter la transmission de votre message en vous plaçant à son niveau d’autre part. Cette méthode se base sur l’écoute active, et offre également une meilleure assurance afin que votre salarié ait bien compris la nature de votre demande.

Encouragez-le.

La technique de l’encouragement est l’une des astuces de Super Nanny qui a pour vocation de mobiliser toujours plus de motivation de la part de votre interlocuteur. L’encouragement passe par les félicitations et la valorisation du travail correctement accompli pour, par exemple, donner envie à un salarié tout à fait à l’aise dans ses missions de se surpasser. Cette forme de pédagogie s’applique aussi à tout salarié qui rencontre des difficultés pour la réalisation d’une tâche : comme chez l’enfant, elle permet au collaborateur de ne pas rester sur un sentiment d’échec ou sur de mauvaises habitudes, mais de progresser pour atteindre le niveau de réalisation supérieur, et ce notamment grâce au regain de motivation que l’encouragement procure.

Responsabilisez-le.

Super Nanny préconise aux parents de responsabiliser leurs enfants en leur confiant des missions. Dans l’entreprise, il convient dans un premier temps de donner de la valeur à chaque mission et de bien l’expliciter, même si elle paraît anodine et d’importance moindre. Aussi, en tant que chef d’entreprise, l’habitude est de proposer de nouvelles tâches aux salariés dont nous sommes sûrs des compétences, en fonction des besoins de l’organisation. Il est néanmoins utile de rappeler, pour fidéliser ses salariés notamment, qu’il est nécessaire d’attribuer des missions en tenant compte des attentes du
collaborateur, pour lui permettre de se réaliser, de se sentir estimé et de se responsabiliser dans son poste de travail. Celles-ci peuvent par ailleurs révéler des talents insoupçonnés chez certains salariés.

Montrez l’exemple.

Tout comme le parent, le manager se doit d’être exemplaire sur certains principes qu’il demande à ses salariés d’appliquer. Un des premiers exemples évidents est la ponctualité. Comment demander à ses collaborateurs d’être à l’heure si vous-même ne l’êtes pas ? C’est bien le conseil que prodigue Super Nanny. Celui-ci est aussi valable sur un sujet bien plus d’actualité dans les entreprises : la mise en place de règles environnementales. Pour demander à vos équipes de trier leurs déchets ou de réduire leurs impressions, montrez-leur l’exemple avant tout.

Créez la cohésion et l’harmonie.

L’entente est enfin l’un des conseils très judicieux de Super Nanny, qu’il est bon de rappeler car elle est bien souvent négligée dans certains types de structures. Lorsque les deux parents ont un point de vue divergent qu’ils partagent devant leur enfant, celui-ci l’interprète comme un signe de faiblesse. Ce genre de désaccord se produit également dans le cadre du travail. Aussi cette situation est préjudiciable à l’ambiance et l’organisation, les collaborateurs ne devant pas être les témoins de ce type de mésentente. Il convient, dans ce genre de cas, d’échanger sur ces problématiques en privé entre managers, et de communiquer un message commun aux salariés, même si en tant que responsable vous n’êtes pas forcément d’accord avec le message.

Les vacances d’hiver, une inspiration pour les entreprises.

Ah les vacances, tout le monde en rêve !  Les vacanciers comme les entrepreneurs qui veulent profiter pour développer leur business (vêtements, hôtel, train, ……). Dans la panoplie des vacances, les français sont de plus en plus friands pour aller faire du ski même si ces vacances leur paraissent onéreuses. Les championnats de ski en Corée donnent le ton avec déjà la championne de ski qui a dévalé les pentes avec brio.  OpinionWay a réalisé une étude pour Mondial Assistance sur les Français et leurs vacances d’hiver et donnent à réfléchir sur leur impact.

Les français et les vacances d’hiver

Pour ces vacances d’hiver 2018, peu de personnes se disent prêtes à partir, souvent très occupées par le travail et les affaires. En février, elles sont peu prisées par les Français, sur 1013 personnes sondées, 17%, seulement, déclarent partir en vacances. Les personnes les plus concernées par ce choix restent les moins de 35 ans et les 35-49 ans. En ce qui concerne leur séjour, les Français partent en moyenne 7 jours sur les deux semaines des vacances d’hiver. 

Parmi les 17% qui souhaitent partir en vacances, 77% choisissent comme destination la France, une nouvelle réjouissante pour notre économie. La plupart n’hésitent pas à dépenser plus de 1150€ pour leurs vacances. Un joli budget qui satisfera les entrepreneurs des secteurs concernés comme l’hôtellerie, la restauration, la location de matériel, les stations de ski, etc. Cette proportion de la population reste relativement faible, beaucoup de personnes préfèrent d’autres moment de l’année et privilégient leur travail. Et que font les entreprises pendant ces vacances ? 

Comment utiliser les vacances d’hiver en entreprise 

Si seulement 17% des Français déclarent partir en vacances en hiver, 82% ne partiront pas cette année au mois de février et resteront à leur poste. Les salariés partent au travail lorsqu’il fait encore nuit et reviennent du travail lorsque la nuit tombe ou est déjà tombée. Alors comment se détendre ? Comment surfer sur la tendance des vacances d’hiver pour se divertir tous ensemble ? 

Il faut savoir selon le sondage OpinionWay pour Mondial Assistance quelles sont les activités favorites aux sports d’hiver 

  • Déguster une fondue savoyarde 23%
  • Se détendre dans un spa21%
  • Dévaler les pistes de ski alpin 20%
  • Faire de la randonnée en raquette 19%
  • Boire un vin chaud ou un chocolat chaud en altitude 18%
  • Faire une cure thermale à la montagne 23%

Et pourquoi pas les utiliser dans votre entreprise sans aller au sport d’hiver !

N’hésitez pas à organiser des soirées à thème pour célébrer le froid et la neige. Une ambiance un peu différente créera un rapprochement au sein de vos équipes. Sur les 1013 personnes interrogées lors du sondage de OpinionWay pour Mondial Assistance, 21% ont déclaré vouloir se détendre au spa lors des vacances d’hiver et 23% d’entre eux préfèrent déguster une bonne fondue savoyarde. Ces envies peuvent aussi se réaliser partout en France, alors n’hésitez pas à être original et à proposer ces activités à vos collaborateurs, l’espace d’une soirée ou d’une journée. L’hiver étant toujours plus déprimant, un peu de détente reboostera tout le monde. 

Comment communiquer sur les vacances d’hiver ?

Cette année avec les Jeux olympiques d’hiver, la neige, ses plaisirs et ses sportifs font la une de l’actualité et donc les échanges sur les différents réseaux sont intenses. Communiquer sur ce sujet qui remplit d’espoir permet de sortir de la grisaille des évènements attristants de la planète permet d’avoir une meilleure visibilité sur le web et de garder sa communauté informée même si elle ne part pas en vacances, la neige et le ski font partie des sujets plaisants. Evoquer les Jeux Olympiques à Pyeonchang permet de se focaliser sur l’actualité. Même si votre activité ne correspond pas à cet univers, réagir sur ce sujet peut vous démarquer, beaucoup de Français admirant les JO. 

Si vous êtes une entreprise désormais bien installée sur le web et les réseaux sociaux avec une large communauté, proposer un voyage au ski sous forme de concours pourra vous donner une image fun et généreuse. Si le budget ne coïncide pas, il faut inciter les personnes à partager leur expérience de vacances d’hiver avec des tweets, des photos, des posts. La communauté sera réjouie de pouvoir s’exprimer à travers votre entreprise. Ce type de communication convient plus à des entreprises dans des domaines relatifs aux vacances comme les assurances, le transport de voyageurs, le tourisme, la restauration, mais même si ce n’est pas votre domaine, se lancer ne coûte rien. Votre activité parlera forcément à quelques personnes et donner vos astuces pour des vacances réussies peut s’avérer payant. Une entreprise de transports peut faire référence à la neige et aux conditions à adopter lors de ces déplacements. Dans un domaine comme la domotique, les conseils pour éviter les cambriolages seront les bienvenus. Tous les conseils en rapport avec les vacances sont bons pour communiquer auprès de potentiels clients. Se préoccuper de sa clientèle, c’est permettre une meilleure approche de la relation client. 

Les Français restent peu à partir en vacances durant la période hivernale. Ils préfèrent plutôt les vacances de Pâques étant 25% à déclarer partir en vacances pour cette période. Mais rien n’empêche de surfer sur ce thème avec les traditions des sports d’hiver, que ce soit au sein de votre entreprise ou de votre communication. Chaque évènement doit être exploité pour impacter votre clientèle et l’ambiance dans votre entreprise. Pour les entreprises situées dans les régions prisées par les vacanciers, miser sur les habitudes des sports d’hiver pourra vous être extrêmement bénéfique, la période hivernale étant souvent la plus rentable. 

Et les vacanciers vont-ils se déconnecter pendant les vacances d’hiver ?

62% des Français interrogés ne se déconnecteront pas pendant les vacances !!! Pendant ces vacances d’hiver, ils vont utiliser des outils digitaux (Smartphone, tablette, ordinateur, etc.) mais dans des buts précis. Mais comme on peut le voir le lien avec le travail est quand même toujours présent.

  • Consulter vos comptes bancaires 43%
  • Faire des achats 20%
  • Consulter vos mails professionnels 18%
  • Réserver des activités 15%
  • Suivre votre activité sportive 8%
  • Surveiller votre maison 6%
  • Rencontrer de nouvelles personnes 5%
  • Non, car vous souhaitez vous déconnecter 34%

Alors, vous allez proposer une raclette à tous vos salariés, non un vin chaud ? Comme vous voulez, mais faire la fête est toujours une bonne idée !!!

L’industrie de l’e-sport aux Jeux olympiques

Ces dernières semaines, les télévisions du monde entier scrutent les résultats des athlètes olympiques. Dans cet engouement pour ces jeux de sport d’hiver, le sujet de l’e-sport comme discipline olympique revient sur la table. Même si le CIO (Comité International Olympique) n’a pas encore officiellement déclaré ce sport comme une nouvelle discipline, les discussions perdurent. 

L’e-sport, un phénomène 

Avec ses nombreuses compétitions, le sport électronique consiste à jouer en réseau sur différents jeux vidéo. Comme tous les sports, des épreuves se jouent seul ou en équipe. Si pour beaucoup de personne cette pratique n’est pas prise au sérieux, il s’agit pourtant de conditions de haut niveau. Pour exceller et remporter les compétitions, les joueurs s’entraînent de longues heures chaque jour.

Très peu connu à ses débuts, l’e-sport existe depuis 1997 à travers la création de la Cyberathlete Professional League. À l’époque la pratique reste encore peu connue de tous, mais depuis le milieu des années 2000, l’e-sport devient populaire. Les jeunes joueurs envient de plus en plus les champions du secteur et n’hésitent pas à se lancer à travers des chaînes Youtube ou des « live stream » où ils se filment en train de jouer, en direct. La passion reste l’une des premières motivations, les personnes jouant souvent depuis leur plus jeune âge. En ce qui concerne l’e-sport, l’envie se concentre aussi sur les gains extravagants des vainqueurs. 

Les compétitions se multiplient à l’échelle mondiale, ce qui offre beaucoup plus de visibilité à cette pratique. Elle propose des gains mirobolants pour les champions de tournois. Comme dans le milieu du sport, ils sont sponsorisés et peuvent remporter des sommes astronomiques suite à leur victoire. Le gain le plus impressionnant, ces dernières années, date de 2015, avec une compétition autour du jeu Dota 2. L’équipe gagnante pouvait remporter plus de 6,6 millions de dollars. 

Pour reconnaître la pratique comme un sport à part entière, il a fallu attendre 2010, avec la création de la Fédération Internationale de sport électronique (Esif). En ce qui concerne la France, le retard fut considérable. La reconnaissance du statut de joueur professionnel a seulement été instaurée lors de la mise en vigueur de la loi pour une République numérique, en octobre 2016. 

Une compétition en marge des Jeux de PyeongChang

À l’occasion des Jeux olympiques d’hiver à PyeongChang, l’e-sport a fait son apparition sous forme d’évènement avant le lancement des jeux et non comme une discipline. Intitulé « Intel Extreme Masters PyeongChang», la compétition a reçu le soutient du comité olympique. Les joueurs du monde entier se sont affrontés sur le jeu vidéo « Starcraft II » de la société Activision-Blizzard. Pour mettre en place cette compétition, l’entreprise Intel et le comité olympique se sont associés. L’officialisation de l’e-sport comme une discipline olympique n’est plus très loin. Même si les sportifs électroniques ne concourent pas sous la bannière de leur pays auprès des autres athlètes, l’évènement a été retransmis sur Internet et sur les plateformes dédiées aux Jeux d’hiver. 

La présence des Jeux olympiques à PyeongChang cette année, était l’occasion parfaite pour tester un tel évènement. La Corée du Sud est très réputée pour son admiration et son engouement autour de l’e-sport. Les plus grands champions coréens deviennent des stars dans leur pays. Débuter avec l’e-sport dans ce pays a permis d’attirer un large public. Il s’agissait de faire une phase de test pour satisfaire un public jeune, suite aux audiences difficiles de la tranche des 18-34 ans. Lors des Jeux de 2016 à Rio, la chaîne NBC a perdu 30% d’audience sur ce public. La popularité de l’e-sport et de ses stars mondiales pourrait redonner de l’intérêt à un évènement parfois vieillissant. Dans cette visée, les Jeux de 2022 à Pékin pourront accueillir l’e-sport comme discipline médaillable. Cette décision relève du comité olympique d’Asie et ne garantit pas la tenue d’épreuves d’e-sport pour les éditions suivantes. Pour 2024, à Paris, le CIO anticipe une possible instauration de l’e-sport, mais seulement sous certaines conditions. La pratique devra respecter les valeurs olympiques, excluant toute forme de jeux vidéo violents. Elle devra aussi se soumettre aux réglementations contre les possibles dopages, paris et manipulations. La tenue d’une organisation doit garantir le respect de ces règles. 

Un pari risqué pour l’industrie du jeu vidéo 

Même si la présence de l’e-sport aux Jeux olympiques pourrait satisfaire une multitude de fans, l’industrie du jeu vidéo reste très concurrentielle. Dans l’optique de la création d’une discipline pour le sport atypique, les studios de création restent méfiants. La tenue de telles compétitions dans le monde olympique implique différents acteurs du secteur sur une même scène. Les studios de création se feraient face, quand d’autres seraient immédiatement exclus pour le caractère violent de leurs jeux. La concurrence risque d’être rude sur un marché déjà très concurrentiel. 

Pour l’industrie du jeu vidéo et le CIO, l’e-sport redonnerait un souffle aux Jeux olympiques et à ses audiences. Les places pour ces compétitions à travers le monde se vendent très chers. Il s’agit d’un atout considérable pour le comité olympique et les sponsors. Des épreuves sur différents jeux feraient indirectement la promotion des studios de création. Les entreprises bénéficieraient de plusieurs avantages et les chiffres seraient relativement très attrayants. Pour l’e-sport, un tel événement, permettrait une plus grande reconnaissance pour la discipline, mais aussi pour les joueurs. Les Jeux olympiques engendreraient pourtant une grande concurrence chez tous les acteurs du secteur.

Entrepreneurs, comment franchir les barrières de la langue ?

En milieu professionnel comme dans la vie de tous les jours, bien communiquer est essentiel. Pouvoir s’exprimer et surtout, se faire comprendre de ses interlocuteurs facilite grandement les affaires, d’autant plus si vous projetez de vous étendre à l’international. Encore faut-il savoir parler le même langage…

« Je ne parle pas cette langue donc je préfère ne pas m’aventurer dans ce pays. » Voilà une phrase que l’on entend, aujourd’hui encore, trop souvent dans la bouche de certains dirigeants d’entreprise. Pourtant, ces derniers le savent, communiquer fait partie des clés de la réussite d’un entrepreneur. S’ils n’ont, certes, pas toujours le temps d’apprendre une voire plusieurs langues, cet effort n’est pas toujours indispensable pour bien communiquer. Pressés par le temps, nombreux sont, par exemple, ceux à faire appel à des services de traduction. Petit tour d’horizon des différentes manières de s’émanciper des barrières de la langue.

Ne pas partir sur place les mains vides…

Visiter un pays étranger comme rencontrer des partenaires qui ne parlent pas votre langue n’a rien d’un défi insurmontable. Des précautions restent néanmoins à prendre si vous ne voulez pas passer votre temps à faire une multitude de gestes ridicules dans l’espoir d’être compris de vos interlocuteurs. Parmi ces précautions, le traditionnel guide de conversation peut s’avérer bien utile dans certaines situations. Disponible dans de nombreuses langues telles que l’anglais, l’espagnol, l’italien et même le japonais, il constitue une bonne alternative à l’apprentissage formel d’une langue. Autre possibilité : les agences de traduction et d’interprétariat comme Global Voices. Que cela se passe face à face, par téléphone ou bien par vidéo, vous pourrez alors communiquer de façon fluide et intelligible, un point indispensable lors de négociations.
Notez que des applications de traduction existent également sur Smartphone. Ces dernières restent, en revanche, bien souvent moins performantes mais aussi moins fiables.

S’imprégner d’une culture qui n’est pas la sienne

Avant de foncer tête baissée à un rendez-vous avec des interlocuteurs étrangers, menez votre petite enquête sur le sujet. L’objectif est de mieux connaître la culture des personnes que vous aurez en face de vous. Renseignez-vous sur l’entreprise qu’elles représentent (secteur d’activité, positionnement…) ainsi que sur leur parcours professionnel. Pour obtenir ce type d’informations, consultez le site Internet de l’entreprise et jetez un rapide coup d’œil à leur profil sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ou encore LinkedIn. Scruter de la sorte l’environnement professionnel de vos interlocuteurs devrait vous permettre de déceler certaines mœurs provenant de leur propre culture. Lors du rendez-vous, n’hésitez d’ailleurs pas à poser quelques questions sur les spécificités culturelles du pays en question. En plus d’en apprendre davantage, vous démontrerez votre intérêt à l’égard de celui-ci.

Attention à la communication non-verbale !

En France comme ailleurs, certains détails visibles mais non-verbaux détiennent une importance particulière en matière de communication. Et, dans certains pays, leur enjeu est même capital. Votre manière de vous habiller, votre posture, vos gestes ou encore votre façon de dire bonjour peut en dire long sur votre savoir-vivre. Les pays d’Asie sont notamment très sensibles à des détails qui pourraient nous sembler, en tant que Français, insignifiants. Ces détails sont souvent liés aux coutumes de la politesse, de la courtoisie et surtout, du respect envers autrui. Pour prendre l’exemple du Japon, suivant votre niveau hiérarchique, vous devrez adapter votre façon de saluer la personne en face de vous. Si les efforts sont appréciés, l’imperfection n’est pas non plus rédhibitoire. Tout comme vous, vos interlocuteurs auront connaissance du fait que vous ne partagez pas la même culture ni la même langue.

Vous l’aurez compris, les barrières de la langue sont loin d’être insurmontables. La meilleure option reste sans doute l’apprentissage des langues étrangères, mais il reste difficile de les parler toutes couramment. Piochez donc dans votre boîte à outils et utilisez tout ce qui vous permettra de dialoguer de manière optimale, tels qu’un guide de discussion ou qu’un service de traduction. N’oubliez pas, pour avancer, il faut savoir bien communiquer !

Top 10 des entreprises au plus grosses levées de fonds en 2017

Les petites entreprises pour tenter de se démarquer réalisent régulièrement des levées de fonds au montant les plus fous. Les cabinets Capgemini Consulting et ECap Partner ont dévoilé leur baromètre des start-up de 2017, démontrant une diminution du nombre de levées de fonds par rapport à l’année précédente. Moins nombreuses, elles deviennent a contrario plus élevées. Tour de table des 10 plus grosses levées de fonds de 2017. 

Actility

Créée en 2010, à Lannion en Bretagne, Actility se consacre au domaine de l’Internet des objets. Elle s’occupe de développer des réseaux bas débit longue portée pour les opérateurs. Durant l’année 2017, elle a obtenu une levée de fonds de 71 millions d’euros grâce à des investisseurs comme Bosch, Orange, Swisscom, Ginko et KPN. Actility s’impose comme une start-up émergente, compte plus de 180 salariés et avec un chiffre d’affaires autour de 15 millions d’euros.

Doctolib 

L’entreprise s’impose comme un leader du rendez-vous médical en ligne et existe seulement depuis 2014. Avec plus de 11 millions d’utilisateurs par mois, Doctolib devient une référence pour les médecins et leurs patients. Pour suivre la cadence, elle s’est dotée de Philippe Vimard, un ancien de Expedia et eDreams, au poste de CTO. Il a annoncé le recrutement de 50 ingénieurs en 2018. Doctolib a désormais le vent en poupe et a réussi à lever 61 millions d’euros sur l’année 2017. 

ManoMano 

Fondée en 2013, ManoMano se définit comme un marketplace destiné au jardinage et au bricolage. Durant l’année 2017, l’entreprise a réalisé une levée de fonds de 60 millions d’euros, se démarquant ainsi des autres plateformes. Pour poursuivre sa lancée elle a d’ailleurs recruté l’ancienne directrice générale de Zalando, Christine de Wendel, pour la placer au poste de directrice de l’exploitation. Avec une experte, cette marketplace pourrait bien devenir un leader dans le secteur. 

Blade 

Le concept de cette entreprise consiste à fournir un ordinateur dématérialisé pouvant être exploité sur tous les écrans. Elle s’instaure comme une des premières à concevoir ce type de technologie et possède déjà plus de 5 000 utilisateurs, avec 12 000 autres sur liste d’attente. L’objectif est de pouvoir fournir ce service à au moins 100 000 utilisateurs courant 2018. En juin 2017, elle lève 51 millions d’euros pour développer son concept malgré le scepticisme des consommateurs et des professionnels de l’informatique. 

Algolia

Algolia est une start-up française fondée en 2012, elle conçoit un moteur de recherche qui peut s’installer aussi bien sur des sites que des applications. La start-up a réussi en juin 2017, à lever 47 millions d’euros de la part de gros investisseurs, parmi eux, LVMH, Twitch, Twitter, Periscope et même la Mairie de Paris et En Marche. L’entreprise réalise une croissance de 127% sur l’année, passant de 4 à 115 salariés en l’espace de quatre ans. 

GuesttoGuest

Créée en 2011, GuesttoGuest a développé une plateforme d’échange de maison entre particuliers. Elle compte désormais plus de 330 000 logements disponibles dans 187 pays. Elle a réalisé une levée de fonds de 33 millions d’euros durant l’année 2017 et prend son essor sur le marché français. Elle se rémunère grâce à des commissions sur l’assurance souscrite lors de la réservation. Une de ses spécificités reste sa rentabilité, un facteur difficile à obtenir pour les start-up. 

iAdvize 

Cette start-up a levé 32 millions d’euros en 2017et s’impose comme un nouveau concept. Son concept consiste à mettre à disposition un chatbot sur les sites de marque. L’intelligence artificielle conseille les clients sur le site, comme un conseiller dans un magasin. La levée de fonds de l’entreprise a été réalisée grâce à la BpiFrance et Quadrille Capital. Pour continuer son activité, l’entreprise rémunère 10 000 particuliers pour prendre le relais de l’intelligence artificielle en termes de conseil. 

Frichti 

Ce site de livraison et de repas à domicile a acquis une grande notoriété auprès des consommateurs. La petite entreprise en mai 2017 a réussi à lever 30 millions d’euros. Son principal rival, FoodChéri racheté par Sodexo laisse Frichti sur le devant de la scène. Elle emploie plus de 300 personnes alors qu’elle existe seulement depuis 2015. La levée de fonds a pour but de développer l’entreprise à l’international et en province. 

Shift Technology 

Cette start-up spécialisée dans une technologie d’algorithmes d’apprentissage pour contrer les fraudes à l’assurance a obtenu sa troisième levée de fonds en 3 ans. Cette dernière s’élève à près de 24 millions d’euros grâce aux investisseurs Accel, General Catalyst, Iris Capital et Elaia Partners. Utilisé par les différentes assurances, l’outil a permis d’analyser plus de 100 millions de déclarations pour les assurances automobiles, habitation et autres risques ainsi que 300 millions pour les assurances santé. L’entreprise possède des bureaux dans plusieurs villes à travers le monde. 

Dataiku 

Cette entreprise s’est spécialisée dans le traitement de données pour permettre une gestion plus simple grâce à sa plateforme. Elle se destine à de nombreux domaines comme la santé, l’agro-alimentaire, le retail, l’automobile, les médias et bien d’autres. En 2017, l’entreprise a réalisé une levée de fonds de 23 millions d’euros. Elle emploie plus de 100 personnes dont un tiers est implanté en France, le reste des employés lui se situe aux Etats-Unis avec le siège social. Prochainement, l’entreprise vise l’industrialisation de son outil. 

Les levées de fonds des start-up deviennent de plus en plus courantes et les entreprises françaises savent se démarquer à l’aide de levées considérables qui permettent un large développement de leur activité. Ces 10 entreprises françaises vont pouvoir s’étendre sur le marché et devenir attractives d’ici les prochaines années. 

Le prêt de salarié : une pratique en plein essor

Avec les ordonnances instaurées par le président Emmanuel Macron, le prêt de salarié revient sur le devant de la scène. Il consiste pour une entreprise à prêter ses salariés pour une durée déterminée dans le but de développer des projets ou l’entreprise elle-même. Une telle démarche va-t-elle rencontrer du succès auprès des salariés et des entreprises ?

Les modalités du prêt de salarié

Initialement appelée le prêt de main d’œuvre, cette pratique encadrée par la loi Cherpion du 28 juillet 2011, autorise une entreprise à mettre à disposition les compétences et les qualités de ses salariés pour une autre entreprise. La loi encadrant le prêt de main d’œuvre se caractérise comme une pratique à but non-lucratif. L’article 40 et l’article L 8241-1 du Code du travail précisent que : « L’entreprise prêteuse ne facture à l’entreprise utilisatrice, pendant la mise à disposition, que les salaires versés au salarié, les charges sociales afférentes et les frais professionnels remboursés à l’intéressé au titre de la mise à disposition. ». Aucun tarif ne peut être négocié en fonction du salarié, il s’agit d’un prêt et non d’un intervenant. 

Le prêt de salarié a évolué dernièrement à la suite des ordonnances d’Emmanuel Macron proposant de favoriser les petites et moyennes entreprises. En vigueur depuis le 1er janvier 2018, l’ordonnance n°2017-1387 préconise aux grandes entreprises de pratiquer le prêt de salarié auprès des start-up pour engendrer leur développement et leur structuration. L’ordonnance concerne uniquement les grandes entreprises possédant au moins 5 000 salariés et les jeunes entreprises de moins de 8 ans avec moins de 250 salariés. Un prêt temporaire de main d’œuvre doit s’établir sur une période de 2 ans maximum. En ce qui concerne le salarié, il reste affilié à son entreprise, dite « prêteuse », tout en gardant son contrat de travail et ses avantages. Cette pratique pour le salarié se caractérise comme une mission, il regagne alors son poste à la fin de celle-ci. Pour permettre un prêt de main d’œuvre, le salarié n’a aucune obligation et peut refuser l’offre proposée sans engendrer de sanctions. 

L’intérêt du prêt de salarié pour l’entreprise prêteuse

Pour l’entreprise prêteuse, ce prêt engendre des retours positifs des salariés concernés. Ils peuvent jouir d’une certaine mobilité leur permettant de connaître d’autres horizons et processus sans pour autant changer d’entreprise. Ce prêt se relève être aussi un atout pour l’employeur, donnant des perspectives d’évolution aux employés en demande. Sur le modèle préconisé par Emmanuel Macron avec les ordonnances, les salariés de grandes entreprises intégreraient des PME, auraient certes des parcours atypiques tout en   proposant leur expertise aux entreprises émergentes. Les compétences et expertises  du salarié participent au développement de plus petites entreprises. L’avantage pour les entreprises prêteuses est de développer une capacité d’adaptation de ses équipes à la nouvelle activité. Lors d’une période de faible activité ou encore de crise, elle permet de conserver des salariés sans avoir à recourir à un plan de licenciement.

Pour les grands groupes, le prêt de salarié s’instaure comme une nouveauté grâce à la mise en relation avec des start-up. Il engendre finalement une transition numérique pour les grandes entreprises. Les start-up innovant continuellement dans une visée « corporate », les salariés des grands groupes ont besoin de se familiariser avec les nouveautés numériques. Ils engendrent alors de la modernité à leur retour dans leur entreprise prêteuse. L’entreprise prêteuse et le salarié donnent accès à des entreprises qui ne possèdent pas forcément les moyens financiers d’avoir des intervenants compétents. Ce principe de prêt s’inscrit dans une politique de développement des entreprises, particulièrement pour les PME avec les ordonnances initiées par Emmanuel Macron. Mais à travers les missions réalisées par le salarié, il s’agit aussi de développer des projets et des missions grâce à l’intégration de personnes expérimentées. 

Pour l’entreprise accueillante 

Une société souhaite généralement avoir recours à cette pratique pour avoir accès à de la main d’œuvre en toute sécurité. Les entreprises sont liées par un contrat et la confiance est donc instaurée dès le départ par le choix d’un salarié adapté à la situation de l’entreprise d’accueil. Un salarié qui accepte d’intégrer une autre entreprise possède forcément une certaine motivation, qualité rédhibitoire pour l’entreprise d’accueil. Grâce à la mise en place de ce prêt, les entreprises nouent des partenariats stratégiques dans le but de créer une collaboration harmonieuse et un développement qui satisfera les deux parties. Grâce à ces missions, elles ont la possibilité de renouveler l’expérience avec d’autres employés et faire bénéficier différentes entreprises, d’une immersion dans leur univers. 

A la suite des ordonnances applicables depuis le 1er janvier 2018, une entreprise accueillant un salarié d’une autre entité peut bénéficier du prêt gratuitement. Dans le cadre d’un transfert vers une start-up, l’entreprise prêteuse garantit alors de subvenir aux besoins de son salarié avec son salaire et ses avantages. Pour une jeune entreprise, cette pratique relève d’un atout, elle créée de la qualification et un développement considérable pour l’entreprise sans investir dans un salaire. 

Le prêt de main d’œuvre n’est pas encore développé et les entreprises et les salariés sont encore réticents. Ce nouveau concept donne une spécificité aux entreprises et à leurs salariés et se révèlera dans l’avenir porteur de croissance. Dernièrement, une plateforme spécialisée dans le prêt de salarié s’est lancée sur internet. Intitulée MobiliWork, elle incite les entreprises à se développer à travers d’autres schémas. Elle s’occupe essentiellement de mettre les entreprises en relation et de les aider à développer cette pratique, selon leurs envies et leurs besoins. 

Comment trouver votre identité visuelle ?

L’identité visuelle va vous accompagner dans toutes les phases de votre entreprise. Elle est cœur de votre communication avec vos partenaire, clients, consommateurs, fournisseurs, investisseurs…. Et donc dans tous les cas, il vous faudra prendre le temps pour la choisir. Située au cœur des stratégies de communication d’entreprise, la réalisation d’une identité visuelle constitue un élément essentiel dans la réussite de votre entreprise.

Qu’est-ce qu’une identité visuelle et à quoi sert-elle ?

L’identité visuelle s’apparente à un ensemble de signes graphiques (couleurs, formes, mots) ayant vocation à symboliser, à créer un univers facile à identifier et porteur de valeurs ou messages. Autrement dit, elle doit représenter l’entreprise et se distinguer de ses concurrents. Contrairement aux idées reçues, l’identité visuelle ne s’arrête pas uniquement au logo, mais s’étend du logo à la vidéo en passant par les supports papier et électronique et les réseaux sociaux : le nom de la marque, le slogan, le logo, la couleur, la police et la taille des caractères.

La notion d’identité visuelle peut se scinder en 3 mouvements dans la communication :

• L’image voulue,
• L’image transmise,
• L’image perçue.
L’image voulue représente le message que l’entreprise voudrait faire passer à sa cible grâce aux méthodes de communication.
L’image transmise renvoie à la traduction de l’image voulue via les supports de communication dans le but de faire passer le bon message à la bonne cible.
L’image perçue désigne l’image que les cibles se font après avoir visualisé les supports de communication déployés par l’entreprise. Cela réfère à la façon dont le message est interprété, à l’analyse et la compréhension de ce dernier par la cible. C’est donc tout simplement le résultat de l’action de communication.

Si vous n’en avez toujours pas, vous pouvez facilement le créer avec des services en ligne comme Logaster. Il vous suffit d’entrer le nom de votre entreprise et votre secteur d’activité et le site vous propose un choix entre différents logos. Vous pouvez ensuite le personnaliser et le télécharger.

C’est donc, lorsque bien menée, un moyen d’asseoir sa notoriété et sa crédibilité auprès de ses clients ou potentiels clients, mais aussi auprès de partenaires commerciaux ou institutionnels. Elle occupe ainsi, en premier lieu, une fonction publicitaire. Les techniques de diffusion s’accompagnent de supports de communication tels que des cartes de visites, journaux, sites web, etc. L’identité visuelle a un rôle d’amélioration de l’identification auprès du public ainsi qu’un rôle de renforcement du positionnement de la marque.

Quels sont les incontournables ?

Plus le projet de votre entreprise apparaît comme simple et clairement défini, plus il vous sera facile de réaliser une identité visuelle en adéquation avec votre entreprise.

Tout d’abord, il faut que votre identité visuelle soit simple et claire pour bien être identifiable et mieux mémorisable. Elle doit nécessairement être représentative en se rapportant, et ce explicitement, à votre domaine d’activité. La cohérence est primordiale. L’identité visuelle reste la même quel que soit le support de diffusion utilisé. Le concept de différence est, lui aussi, à ne pas négliger. Unique, votre identité doit permettre au public de différencier votre entreprise de celles présentes sur le marché.
Outre une excellente lisibilité, faites primer l’originalité pour mieux vous démarquer !


On note 3 éléments essentiels à l’identité visuelle :

• La concordance (représentation d’une structure logique),
• Le symbolisme (représentation des valeurs et promesses),
• Le positionnement (représentation des valeurs de différenciation).
Afin de vous aider dans la constitution de votre identité visuelle, il est conseillé de faire au préalable une charte graphique. Cette charte graphique décrit techniquement l’identité visuelle et pose les limites de son utilisation.
Pour être correctement mise en place, l’identité visuelle se doit de passer par 3 phases.

  • La phase de pré-création consiste en une analyse documentaire comprenant un recueil d’information sur l’histoire, les activités et l’organisation de l’entreprise.
  • La phase de création qui, sous forme de croquis non achevés rend compte des idées envisageables. Cela permet d’avoir un aperçu pour ensuite choisir le plus pertinent en fonction de l’image de l’entreprise et de la demande du client.
  • La phase d’application sur les supports se définit par la création d’un style graphique propre à l’entreprise dont il est question. C’est la phase de concrétisation. En plus d’être compréhensible, mémorisable, clair et cohérent, le rendu doit être véritablement explicite dans le but d’une identification rapide qui marque les esprits.

Savoir allier efficacité et cohérence

Pour être efficace, votre identité visuelle doit être cohérente. Il doit en ressortir un sentiment de sérieux et de professionnalisme, notamment par rapport à la perception de la population cible, à savoir les clients et clients potentiels. Il est surtout question d’originalité, mais avant tout, de cohérence avec votre activité. Mis à part les choix structurants et techniques, une des choses les plus difficiles est d’inscrire cette identité dans le temps.

Pour pallier le manque de logique et de cohérence de votre identité visuelle, cette dernière doit s’articuler autour de certains critères. Il est important de cibler correctement vos interlocuteurs pour mieux répondre à leurs attentes. Vous pouvez d’ailleurs faire appel à une agence de communication ou à un bureau d’audit afin d’établir un diagnostic approfondi. Des croquis et ébauches sont alors réalisés. Vous pouvez, par la suite, soumettre le prototype aux collaborateurs de l’entreprise qui vous donneront leur avis quant à d’éventuelles modifications, en vue d’une amélioration.

Définissez votre communication et votre positionnement.

Le choix de votre identité doit coïncider avec votre projet d’entreprise. Pour cela, vous devez observer le positionnement de votre entreprise sur le marché et tenir compte de la tendance actuelle. Choisissez un public cible, afin de destiner cette identité visuelle à l’ensemble des acteurs avec lesquels vous souhaitez communiquer. Certes, tous ne seront pas réceptifs au même type de logo, couleurs et autres, mais il faut essayer de faire en sorte de toucher la majorité en sélectionnant un public en particulier. Pour ce faire, vous devez exceller dans l’art de la mise en valeur.

Enfin, il ne vous reste plus qu’à choisir un bon support de diffusion. Ces supports peuvent être de différentes natures : flyers, dossiers de presse, site web, panneau publicitaire, emballage (audit visuel), véhicules publicitaires, logotypes, l’éditique, signalétique, documents de présentation (papier ou électronique : cartes de visite, signature de courriel, etc.), design de produit, annonces, rapports annuels, communication silencieuse (hall de réception, standard, salle de réunion, tenue vestimentaire, etc.). Pour bien choisir votre support, il est nécessaire de prendre en compte deux éléments : le public cible et la nature de votre projet de communication.

En assurant la bonne gestion de votre identité visuelle, votre entreprise deviendra par la suite d’autant plus efficace en améliorant la propagation de ses messages et des valeurs qu’elle s’attache à transmettre. Les enjeux de l’identité visuelle sont ainsi liés au marketing. Pour être considérée comme réussit, il doit y avoir concordance entre la représentation de l’entreprise et la perception qu’en ont les clients ou potentiels clients. L’identité visuelle pourrait ainsi être assimilée à un levier de performance faisant partie intégrante de la stratégie de développement d’une entreprise.