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Le label French Tech, un pass pour l’international ?

Le Label French Tech c’est l’écosystème des start-up françaises, le but est de promouvoir l’ambition et l’action de celles-ci. Il faut se demander si lorsque l’écosystème est labellisé, quel avenir va s’offrir à lui ? Est-ce que le Label French Tech est un pass pour le développement international  pour les start-up ?

Label French Tech et la dynamique des start-up

La marque permet de rendre plus visible la dynamique des start-up par le biais des outils de communication qui sont très importants dans notre société hyperconnectée.
La mise en réseau et la coordination entre les différents écosystèmes conduit à une meilleure complémentarité, un partage des informations et des expériences.
Le Label French Tech permet une meilleure promotion sur le marché international, il donne plus de poids aux start-up et encourage l’innovation et la croissance des entreprises.
Cette initiative est à l’origine de l’État et s’adresse aux différents investisseurs, ingénieurs, designers, médias, associations, grands groupes qui s’engageant pour la croissance de ces start-up et pour leur impact à l’étranger.
Cette initiative a été créée fin 2013 pour optimiser la valeur économique et l’emploi. L’État vient ainsi soutenir ces start-up.
La mission French Tech dirige ce label en collaboration avec les ministères des Finances et de l’Economie et le ministère de l’Intérieur.

Label French Tech sans subventions de l’état ?

Ce label n’est en aucun cas synonyme d’aides ou de financements de la part de l’État.
De nombreux projets de création d’entreprise ont été déposés depuis l’annonce de la création de ce label, toutefois ceux-ci ont du mal à émerger face à la ville de Paris qui absorbe en réalité la plupart des créations d’entreprise.
Les Métropoles French Tech sont des écosystèmes qui rassemblent parfois plusieurs villes autour d’un projet commun. A titre d’exemple : Normandy French Tech (Caen, Le Havre, Rouen); LORnTECH (Nancy, Metz, Epinal, Thionville), Lille’s French Tech (Lille, Roubaix, Tourcoing, Calais, Valencienne, Dunkerque, Lens), French Tech in the Alps (Grenoble, Annecy, Chambéry, Romans- Valence), etc.
Mais ces écosystèmes doivent investir pour rayonner au niveau international et cet engouement pour ce label reste donc à confirmer. Le label est accordé pour une durée d’1 an puis il doit être confirmé pour 3 ans.
La Mission French Tech fournit à ces écosystèmes un accompagnement personnalisé ainsi qu’un suivi.

Pour être efficace la French Tech doit être soutenue par plusieurs groupes afin d’atteindre réellement son objectif de rayonnement international. La valeur de celle-ci doit être construite de manière collective.

Comment soutenir la French Tech ?

On peut la soutenir : soit en étant membre (les entrepreneurs, investisseurs déjà évoqués précédemment) soit une personne, une association, une collectivité qui va porter un projet au service des start-up. Tous les projets peuvent être associés à la marque s’ils contribuent à améliorer la croissance et le rayonnement des start-up françaises.
Il est possible d’afficher le logo « La French Tech» sur ses outils de communication.
Le code de marque French Tech est également téléchargeable, celui-ci fixe des règles à respecter pour soutenir efficacement la marque.
Le Label French Tech semble donc une idée ambitieuse et véritablement innovante qui permet de favoriser la croissance des jeunes entreprises.
Les entrepreneurs constatent une forte entraide au sein de la French Tech et un regain de patriotisme. Toutefois, certains considèrent qu’il n’y a pas pour l’instant de véritable engagement, ils attendent donc plus de la part de l’État.

Quels types d’évènements organiser pour ses salariés ?

Les entreprises où il fait bon vivre attirent de plus en plus les nouvelles générations qui privilégient le bien-être à la renommée des grands groupes. Pour recruter ou tout simplement conserver ses salariés talentueux, une multitude d’activités peuvent être mises en place. Et parmi elles, les évènements d’entreprise ont le vent en poupe.

Les séminaires, à toutes les sauces !

Presque devenus un incontournable. Séminaires ou micro-séminaires, quoi de mieux pour renforcer l’esprit d’équipe ? Ces activités dites de « team building » font, elles aussi, partie des privilégiées ces dernières années. De la semaine au ski, au weekend au vert, en passant par les célèbres « escape games », la liste des séminaires possibles, sportifs ou non, permet de choisir selon la culture d’entreprise. En plus de favoriser la détente et l’amusement, ils auront tendance à resserrer les liens entre chacun des membres de l’entreprise et peuvent s’accompagner, suivant le type de séminaire, d’heures de formation.
Certes, le budget se place comme un élément clé pour déterminer le lieu et la durée du séminaire mais les possibilités adaptées à votre stratégie sont kyrielles. Pour ceux qui n’auraient pas le temps de se consacrer au choix de l’endroit, sachez que des services de réservation d’évènements professionnels peuvent s’en charger et vous faciliter la tâche pour vous comme c’est le cas avec Kactus

Les afterworks : une véritable tendance

Sans doute le type d’évènement le plus populaire ces dernières années. Les afterworks ont la particularité de réunir de façon informelle, salariés et dirigeant (lorsque celui-ci est disponible), et peuvent s’organiser assez facilement, sans s’y prendre à l’avance. Un bar branché le jeudi soir, de préférence qui adopte la politique de l’« Happy hour », fait souvent l’affaire et pour un coût tout à fait raisonnable. Cette pratique, très prisée des entreprises à l’esprit start-up, renforce non seulement la cohésion du groupe grâce aux conversations informelles mais aussi le sentiment d’appartenir à une entreprise où il fait bon vivre. Réserver quelques jours à l’avance le lieu en question permet toutefois de s’assurer qu’il pourra accueillir l’ensemble de vos troupes et, pourquoi pas, vous faire profiter d’un prix de groupe. N’oubliez pas, pour vous organiser et pour réussir votre challenge de faire appel à des services spécialisés qui vous éviteront des faux pas qui réduiraient vos efforts à néant !

Les petits-déjeuners, déjeuners ou dîners

Classiques, certes, mais efficaces, les petits-déjeuners, déjeuners ou dîners constituent l’occasion de rassembler vos équipes pour un moment de détente convivial. Libre à vous d’en définir la fréquence mais, pour vous donner un ordre d’idée, organiser un petit-déjeuner une fois par semaine et pourquoi pas le lundi permet de débuter la semaine avec sérénité. Concernant le choix du lieu, on privilégiera souvent les petits-déjeuners au sein de ses propres locaux (quelques viennoiseries fraîchement achetées à la boulangerie du coin ainsi que des boissons chaudes du type café ou thé, suffisent). Pour le déjeuner ou le diner, une fois par mois ou même tous les deux mois peut facilement s’insérer dans un planning. La fréquence de ces évènements dépend, aussi et bien évidemment, du budget que vous pouvez y allouer.  Allo Resto a pour coutume de se faire livrer chaque jeudi du mois des plats qu’il offre à ses salariés pour tester ses nouveaux partenaires, les entreprises non spécialisées dans la FoodTech optent souvent pour le restaurant. Plus coûteux, il demeure néanmoins très apprécié des collaborateurs, qui peuvent ainsi échanger autour d’un bon repas et pourquoi pas d’une spécialité !

Les pots de départ ou d’arrivée

Nathalie, en poste depuis vingt ans au sein de l’entreprise fête aujourd’hui son départ à la retraite ? L’occasion parfaite pour organiser un évènement en son honneur et la remercier de sa contribution. Les nouveaux venus représentent, eux aussi, le prétexte idéal pour fêter leur arrivée et faciliter leur intégration au sein de votre firme. Côté organisation, boire un verre après le travail ou avant d’aller déjeuner le midi, déboucher une ou plusieurs bouteille(s) de champagne (suivant le nombre de salariés) et servir quelques petits fours, s’avèrent tout à fait appropriés pour créer un moment convivial. Vous restez maître du choix de vos évènements. Mais attention, vous devez ajouter une touche d’originalité qui donnera à chacun le sentiment d’avoir passé un bon moment. Rien de pire qu’un pot où tout le monde se sent contraint de venir et ne pense qu’à partir le plus tôt possible ! De même le discours ou les quelques mots adressés aux salariés ne doivent pas se transformer en un long monologue dénué de toute empathie !

Faites-vous partie de ceux qui optent pour le traditionnel restaurant ou plutôt de ceux qui privilégient l’apéro à la « bonne franquette » ? Tout dépend de la culture de votre entreprise.

Les traditionnelles dates d’anniversaire

Sur la même idée, les dates d’anniversaire constituent l’occasion parfaite pour faire la fête avec vos salariés. Qu’il s’agisse de l’anniversaire de l’un de vos collaborateurs ou bien de votre entreprise, et pourquoi pas de vous-même, le prétexte est là.
Pour les grands groupes, notez que si plusieurs de vos salariés sont nés à seulement quelques jours d’intervalle, il s’avère judicieux de regrouper leurs anniversaires pour les fêter en même temps et, pourquoi pas, opter pour un cadeau commun auquel le dirigeant se fait un plaisir de participer avec générosité. En plus de réduire les frais liés à l’organisation de l’évènement, vous éviterez de retrouver, le lendemain, des salariés fatigués, faute d’avoir enchaîné trois soirées d’anniversaire à la suite. Quoi qu’il en soit, l’alcool reste à consommer avec modération !

Fêter un évènement important pour l’entreprise

Créer un évènement pour informer et transmettre le dynamisme de l’entreprise est une pratique courante, particulièrement dans les grands groupes. Objectif du mois atteint, fusion et/ou acquisition… Autant d’évènements qui impactent la vie de l’entreprise et qui méritent d’être mis en exergue. Partager un moment convivial avec vos salariés, c’est aussi et surtout profiter de cette opportunité de les remercier pour les efforts qu’ils fournissent au quotidien et de les rebooster pour la suite de l’aventure. Si vous disposez de locaux suffisamment grands, vous pouvez d’ailleurs organiser cet évènement au sein de vos bureaux (après quelques légers réaménagements type déco, bien sûr). Autrement, les réservations de salles sont souvent plus adéquates !

Les nouvelles pratiques des consommateurs et comment s’y adapter ?

Grâce à la transformation digitale de nombreuses entreprises proposent d’acheter leurs produits et leurs services en ligne. Les consommateurs n’ont pas toujours le temps de se déplacer en magasin et le fait d’acheter en ligne au moment où l’on est libre est un avantage indéniable. Développer son commerce ou son service sur le web correspond désormais à une nouvelle manière de vendre et des nouvelles pratiques des consommateurs. Mais attention, les consommateurs ont des comportements spécifiques et souvent atypiques. Pour les attirer sur votre plateforme : comment faire ? 

Une étude réalisée dans le cadre du baromètre 2017 FEVAD/CSA, instaurée depuis 2013, permet de connaître les intentions des acheteurs en ligne. L’étude a été réalisée entre le 26 décembre 2017 et le 2 janvier 2018. 1002 acheteurs en ligne ont été interrogés dans le cadre de cette enquête et le résultat est empli d’informations qui sont une véritable manne pour les plateformes. 

Les habitudes des consommateurs en 2018 

Sur Internet, de multiples services et produits sont disponibles et s’adressent à toutes les catégories d’acheteurs. Contrairement aux idées reçues que la vente en ligne soit l’apanage de certains secteurs tous les types d’entreprises peuvent être concernés par les achats en ligne ou bien par la réservation. Dans la hiérarchie des secteurs vient en premier le secteur concerné par l’habillement, vient ensuite les produits culturels, le voyage et le tourisme. De nouveaux secteurs commencent à s’imposer sur Internet comme les sites d’abonnements aux services de musiques ou de films. Et aussi les achats qui concernent les transports qui proposent des abonnements ou des réservations à des prix défiant toute concurrence. 

Les entreprises peuvent profiter de ces opportunités d’autant plus que le nombre d’acheteurs en ligne augmente chaque année. Lors des fêtes de fin d’année en 2017, ils étaient 75% à passer leurs achats sur Internet. Le fait de ne pas avoir à se déplacer et d’avoir un choix varié incite les consommateurs à commander régulièrement sur des plateformes en ligne. En 2017, ils étaient 65% à faire des achats sur Internet au moins une fois par mois. Ces e-acheteurs, se situent plus dans la tranche d’âge 25-34 ans avec une classe socioprofessionnelle favorisée (74%). 

Les sites privilégiés restent toujours les marketplaces les plus diversifiés comme Amazon. Un cyber-acheteur sur deux réalise des achats sur des sites étrangers. Ce phénomène séduit notamment en raison des prix attractifs. Les secteurs privilégiés restent l’habillement et l’électroménager. La France occupe une place indéniable sur Internet, même si celle-ci est un défi de taille et permanent puisque la Chine représente 75% des achats réalisés hors de l’Union européenne. Les acheteurs nécessitent d’être écoutés afin d’être concurrentiel face aux grands marketplaces.

Une hausse des recommandations chez les consommateurs 

Pour les entreprises, se démarquer sur Internet reste difficile, mais au sein du baromètre FEVAD/CSA, les e-acheteurs ont de nombreux critères concernant les achats en ligne. Les pratiques régulières et les demandes des acheteurs peuvent aiguiller les entreprises pour réaliser une plateforme adaptée à leurs besoins. Des priorités sont mises en avant par les personnes interrogées. Le point numéro un et non des moindres concerne la sécurité du site internet et de la transaction effectuée. Ils sont 62% à considérer cet élément comme primordial. Pour 56%, il faut plus de clarté sur les chiffres affichés, une priorité pour les acheteurs pour ne pas se sentir menacé par une arnaque et un service après-vente performant. Pour établir une relation de confiance pérenne, une réelle authenticité des commentaires des autres acheteurs est un atout majeur. Les entreprises doivent permettre aux clients de se sentir sereins lors de leurs achats, grâce à une plus grande transparence. Le respect de ces critères donne une idée précise aux entreprises de type de plateforme de ce qu’elles doivent développer.

L’e-reservation, un atout majeur

En plus de ces préoccupations majeures, les clients deviennent de plus en plus attachés à l’e-reservation que ce soit pour les compagnies de transports, de tourisme mais aussi pour les magasins. Le click and collect, cette pratique qui consiste à réserver un service ou un objet et venir le payer en magasin satisfait 38% des acheteurs en ligne. Des grandes marques participent à l’e-réservation et au click and collect. Elles évitent le transport de marchandises et facilitent la remise de la commande pour l’acheteur. Il s’agit d’éviter les impacts sur l’écologie et cela s’avère aussi plus rapide dans certains cas. Ces solutions à la portée de tous les magasins et de beaucoup d’entreprises incitent les acheteurs, même les plus réfractaires, à pratiquer la réservation en ligne puisqu’ils peuvent payer en magasin et donc s’écarter du danger du paiement en ligne. 

Satisfaire les consommateurs

Si les achats en ligne deviennent une tendance pour beaucoup d’acheteurs, les entreprises doivent emboîter ce pas. Mais attention, il faut alors se positionner avec un site à la hauteur des attentes des consommateurs. Respecter leurs recommandations et leurs préoccupations reste primordial. Pour effectuer cela, les sites de vente ou de réservation en ligne doivent être sécurisés pour les transactions et pour éviter le piratage des données des utilisateurs. Si l’information coure que le site n’est pas fiable en ce qui concerne le paiement, ils préféreront commander sur un autre site. Il faut savoir les rassurer. 

Mis à part la sécurité du site web, faciliter l’achat et attirer les utilisateurs devient une priorité. Au sein du baromètre FEVAD/CSA, les utilisateurs déclarent utiliser davantage leurs smartphones pour leurs achats en ligne. Ce phénomène progresse de 8 points par rapport à l’année 2016. Il est nécessaire de réaliser un site compatible pour smartphone et tablette. Considérés, comme des mini-ordinateurs pouvant être emmenés partout, les utilisateurs auront plus de facilités à faire leurs achats dès qu’ils en ont besoin. Une application sera d’ailleurs plus intuitive et pourra faire progresser les ventes de votre entreprise. Sur ce secteur, les applications comme vente-privée ont le vent en poupe. Elles permettent aux consommateurs de réaliser leurs achats tout au long de leur journée depuis leur smartphone. Le phénomène nécessite d’être pris en compte pour aider votre entreprise à décoller dans le secteur des achats en ligne. Et il en faut que lorsqu’on achète des jouets par exemple les uns incitent leurs amis, familles, collègues à acheter. Le bouche à oreille fait partie des incontournables. Un client satisfait…. vous permet d’acquérir une clientèle exponentielle !!

Pourquoi les États-Unis attirent tant les entrepreneurs français ?

L’entrepreneuriat made in USA est en vogue chez les Français qui osent de plus en plus se lancer outre-Atlantique. Simple envie d’aventure ou de suivre le même parcours que ceux devenus célèbres, ces entrepreneurs se laissent volontiers absorber par la douce mélodie de l’« American Dream ». Reste à savoir pourquoi au juste.

Un pays où il fait bon d’entreprendre

L’année dernière, les États-Unis ont gagné deux places au classement des meilleurs pays pour créer son entreprise. Deuxième au classement en matière d’obtention de prêt, ils sont devenus le sixième pays « le plus accessible » pour les entrepreneurs.
Autant de raisons pour lesquelles le rêve américain trotte dans la tête de nombreux Français qui espèrent, secrètement ou non, percer outre-Atlantique. Il n’est d’ailleurs pas impossible de réussir dans le pays de l’oncle Sam comme le prouvent certaines start-up telles que Docker, un logiciel qui automatise le déploiement d’applications dans des conteneurs logiciels, Holberton School, qui forme des ingénieurs système ou encore Datadog, spécialisée dans le monitoring.
Et même si réussir du premier coup n’est pas donné à tout le monde, qu’importe puisqu’aux États-Unis, l’échec est loin d’être déploré !

Le droit à l’échec, intégré à la culture américaine

Contrairement à la culture française, l’échec n’est pas pointé du doigt aux États-Unis, bien au contraire. Il serait parfois même considéré comme un atout et l’innovation, encouragée. « Ce que nous qualifions d’échec, les Américains l’appellent expérience. Aux yeux des recruteurs, cela vaut souvent mieux qu’un bon diplôme », témoigne Jean-Bernard Guerré,
Associé chez  EUROGROUP CONSULTING California. Au-delà de faire valoir le droit à l’échec, les Américains ont tendance à considérer qu’il faut échouer pour réussir. Combien d’entrepreneurs se sont-ils d’abord plantés avant de connaître le succès ? Parmi les plus célèbres, Bill Gates, Henry Ford ou encore Thomas Edison en sont des exemples révélateurs.

À faire avant de partir…

Avant de mettre les voiles vers de nouvelles aventures, quelques points sont à respecter. Se lancer aux États-Unis n’est pas non plus sans risques alors mieux vaut mettre toutes les chances de son côté. D’abord, bien que cela puisse sembler évident, travailler son anglais, pour ceux qui ne le maîtriseraient pas parfaitement, s’avère indispensable. Quoi qu’il advienne, cet apprentissage vous sera utile tout au long de votre vie. Visa ou ESTA USA pour les États-Unis?, mieux vaut s’y prendre à l’avance (notez que l’autorisation ESTA reste la plus simple à obtenir). Ensuite, il vous faut bien entendu une idée business. Si vous avez déjà le concept en tête, reste à l’envisager. Rédigez votre business plan de façon à établir clairement certaines informations clés telles qu’une étude de marché ou un tableau de financement prévisionnel. Autre étape : se renseigner sur la loi américaine et les différentes formes d’entités que vous pouvez créer. Enfin, anticipez la partie financière en contactant à l’avance des banques (si besoin est), et commencez à rechercher un local où vous pourrez faire germer votre projet.

Ces publicités sexistes, que faire ?

Les publicités promeuvent des produits et des services mues par le désir d’attirer les consommateurs et tombent parfois dans le sexisme sans y faire attention. Les images, les propos et les attitudes sont empreintes de stéréotypes et de clichés. Pour transformer la situation, toute publicité doit être créée pour le respect de la dignité des personnes. Quelques exemples qui devraient pour inspirer les publicitaires et leur permettre d’éviter des écueils qui peuvent leur faire perdre toute crédibilité mais surtout nuire à la marque dont ils sont les ambassadeurs.

Jimmy Choo

Dernièrement, les accusations de harcèlement sexuel sont pléthores emportées par la vague de l’affaire Weinstein et demandent aux publicitaires de cesser d’être complices de tels agissements et même de les susciter. Jimmy Choo, la célèbre marque de chaussure dans sa dernière publicité avec Cara Delevingne n’a pas vraiment cerné les nuisances du harcèlement de rue. Dans cette publicité, l’actrice et mannequin se déplace dans les rues de New York seule, la nuit, avec une tenue très sexy. La jeune femme se fait interpeller à plusieurs reprises allant même à se faire klaxonner. Pour la marque, le but était d’attirer l’attention des consommateurs sur les chaussures et non sur le  harcèlement de rue provoqué par les remarques et les interpellations des hommes du spot publicitaire.

A la suite de la diffusion de la publicité, les internautes ont très rapidement réagi pour dénoncer la promotion du harcèlement de rue et le sexisme suscités par la marque. Cette campagne publicitaire assimile la femme à un objet, position particulièrement dégradante. En conclusion, une analyse et une application de la sémiologie doivent être effectuer en profondeur lors d’une campagne publicitaire pour éviter des stéréotypes qui n’ont plus lieu d’être.

 

Chauffage du Nord

Près de Lille une entreprise de chaudières a subi les foudres à la  suite à d’une publicité jugée dégradante et sexiste. Pour promouvoir de manière « originale » son service de chauffage, l’entreprise Chauffage du Nord a choisi de placarder sur ses camions une image de femme nue disant : « Quand il fait froid, chauffage du nord, j’adore ! ». L’entrepreneur a reçu de nombreuses insultes pour cette promotion dont les sous-entendus étaient on ne peut plus explicites. A force d’utiliser des corps féminins dénudés pour promouvoir n’importe quel objet ou service, les associations féministes se sont indignées sur les réseaux sociaux. Le gérant de la société a décidé de se remettre en question et a annoncé changer ses publicités. Il n’a pourtant pas trouvé un autre concept : les prochaines affiches présentent un homme dénudé ou un couple devant un paysage enneigé. Pour cette démarche, l’entrepreneur souhaite divulguer son affichage pour la Saint-Valentin dans le but de séduire le consommateur. Même s’il évoque à la Voix du Nord que « Le slogan est plus neutre… C’est sensuel mais pas vulgaire.  », nous restons dubitatifs ! Pour lui le but est de souligner dans sa nouvelle publicité l’égalité homme-femme et de montrer que son intention n’était pas de nuire à l’image de la femme. Quoi qu’il en soit une publicité à la vue de tous et une femme nue pour vendre des chaudières n’est forcément pas ce qui est on doit le dire respectueux.

Uber

Dernièrement, Uber, la célèbre entreprise de VTC a dévoilé sa campagne publicitaire. Affichées dans les gares, particulièrement à la Gare Montparnasse, les affiches dévoilent plusieurs chauffeurs de l’entreprise. Trois destins sont retranscrits à travers les affiches, celui de Mariane, Fodhil et Dramane qui ont tous les trois une aspiration en dehors de leur travail pour Uber. Dans sa campagne, l’entreprise américaine souhaite choisir différents profils, mais les affiches ont dévoilé une discrimination évidente. La seule femme présente durant la campagne est « chauffeur Uber et maman avant tout », quant à  Fodhil un autre profil est « chauffeur Uber et jeune chef d’entreprise ». La comparaison entre les deux personnes a choqué particulièrement car  l’association de la femme à une mère contrairement à la valorisation de l’homme comme chef d’entreprise est loin d’être neutre. Dès la diffusion de la campagne, les internautes ont réagi et une jeune femme a dénoncé le sexisme de la firme américaine avec ironie à travers ce tweet « L’homme et la femme. Lui se projette en chef d’entreprise et elle… en « maman ». Une vision intéressante et progressive, par @UberFR ». La marque a seulement répondu par un « merci » et a par la suite reçu les foudres des internautes. Le community manager n’a  absolument pas compris l’ironie. Lors d’une polémique concernant une publicité sexiste, une marque doit être à même de répondre et agir dans les plus courts délais ,  et d’être assez compétentes’excuser.

Les solutions

Pour répondre aux problèmes persistants dans la publicité suite à des stéréotypes et du sexisme, 28 marques se sont engagées pour « une communication responsable ».
Ce principe consiste à ne plus dévoiler des images au caractère réducteur et dégradant pour les femmes ainsi que repousser les stéréotypes en général. Dans un rapport datant d’octobre 2017, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a déclaré « le rôle attribué aux femmes est réducteur et, volontairement ou non, des stéréotypes de genre imprègnent encore un grand nombre de messages », ces propos faisant suite au visionnage de 2000 publicités avant 20h sur 24 chaînes différentes.

Pour promouvoir des produits ou des services mettre la femme en avant dans des rôles moins dégradants reste une solution. À la télévision par exemple, une femme au volant d’une voiture, spécialiste, experte ou encore artisan paraîtra plus crédible que de la mettre dans des rôles vus et revus par les stéréotypes. Dans le milieu de la communication, il devient réellement nécessaire d’évoluer et de toujours se poser les bonnes questions en matière de publicité pour éviter les clichés.

La confiance des dirigeants français

Depuis les élections présidentielles, les dirigeants français semblent devenir de plus en plus confiants dans leur entreprise et dans l’économie française et donc dans leur avenir. Cet optimisme est renforcé grâce à la prochaine loi PACTE. Elle permettra aux entreprises d’être soutenues grâce à différents dispositifs pour innover et engendrer la croissance.

OpinionWay a réalisé un sondage avec la banque Palatine pour le magazine Challenges afin de connaître les priorités et les attentes des entrepreneurs durant les 6 prochains mois. L’étude a été constituée sur une base de 301 dirigeants d’entreprises (PDG, DG, DAF, …) avec un chiffre d’affaires avoisinant entre 15 et 500 millions d’euros.

Quelles sont les attentes des dirigeants ?

Au cours de cette année, l’espoir des dirigeants a eu tendance à croître. Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, l’économie n’est plus une préoccupation majeure et les entreprises ont bon espoir de perdurer d’ici les prochaines années. Ainsi, les PME-ETI formulent des souhaits en ce qui concerne leur activité et leurs salariés. Grâce au prochain projet de loi en rapport avec le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE), 61% des dirigeants veulent faire de l’innovation une priorité. Cette notion encadrée prochainement dans le PACTE n’est pas la seule. Les principaux enjeux à mettre en avant pour les entreprises au sein de ce plan sont :

  • L’innovation en entreprise (61%)
  • Le partage de la valeur avec les salariés (48%)
  • Le développement des entreprises (45%)
  • Le financement des entreprises (43%).

L’engouement des entrepreneurs pour le futur des entreprises et de l’économie se traduit clairement par la mise en place de l’indice d’Investissements Palatine-OpinionWay. Il se compose des prévisions de l’évolution de l’emploi des salariés à 6 mois, les prévisions sur la même durée concernant l’activité, la confiance ainsi que la propension aux investissements. La création d’un indice sur des bases socio-économiques permet de déterminer l’avenir des entreprises, vu par les dirigeants et l’économie du pays. En février 2018, l’indice s’élève à 129, chiffre record atteint grâce aux espérances des dirigeants pour les 6 prochains mois. Cela est dû essentiellement à la volonté d’embaucher pour les entreprises. Elles ont aussi d’autant plus confiance en elles et en leur avenir ce qui provoquera possiblement du progrès et de l’innovation ainsi que de nouvelles créations d’entreprises.

Comment les entrepreneurs voient leur entreprise ?

En ce qui concerne leurs entreprises, les dirigeants sont relativement sereins pour l’avenir. Ils sont 90% à reconnaître que leur entreprise puisse perdurer pour les 6 prochains mois. Ces facteurs s’établissent aussi grâce à la situation économique française et mondiale. 88% des dirigeants interrogés estiment que l’économie nationale se porte bien, quand ils sont 83% à partager la même idée à l’échelle mondiale. Sur les trois dernières années, les taux n’ont jamais été aussi hauts. Grâce à cela, les dirigeants continuent leur activité sans inquiétudes et avec une certaine ambition. Ils voient leur entreprise comme un tremplin pour l’économie du pays.

Grâce à une économie stable et des marchés florissants à l’international, les entreprises comptent se développer durant les prochains mois. En moyenne, la prévision de la croissance pour les entreprises s’élève à 3,9 points contrairement à 2,7 points en février. Plus de 55% déclarent envisager une hausse pour l’année 2018, quand ils sont 34% à prévoir une stagnation. Les entreprises n’hésitent pas à se lancer sur le marché, les conditions étant réunies pour continuer leur lancée. Pour certaines, il s’agira de s’étendre à l’international, quand d’autres augmenteront la production ou multiplieront leurs points de vente.

Malgré une forte hausse des chiffres d’affaires prévue et des envies d’innovation, les prévisions d’embauche ne restent tout de même pas très élevées au sein des entreprises. Seulement 28% des entreprises ont prévu d’augmenter leur nombre de salariés et 68% déclarent envisager de garder leurs salariés actuels. Par rapport aux années précédentes, il y a une nette amélioration puisque le solde d’emplois salariés s’élève de 24 points. Comme les dirigeants s’engagent pour l’avenir de leur entreprise, ils n’hésitent pas à garder ou à embaucher des salariés. Cette propension à vouloir grandir permet de créer de la croissance et d’envisager plus d’innovation et d’investissement dans tous les secteurs.

Le développement des entreprises

Les profils interrogés concernent tous les secteurs à des proportions à peu près égales (31% des services, 34% du commerce et 35% de l’industrie et de la construction). Cela démontre que la satisfaction des dirigeants s’applique sur tous les secteurs et prévoit donc une amélioration nationale sur les prochaines années. En général, les entreprises interrogées ont réalisé des chiffres d’affaires conséquents sur l’année 2017.
Ces PME-ETI se portant très bien donneront l’occasion aux autres entreprises de se développer grâce à des partenariats et des investissements. Elles peuvent aider les start-up débutantes avec leur ambition de devenir des leaders de demain.

Pour se développer, une entreprise a besoin de soutien. Elles sont nombreuses à envisager de construire des projets avec d’autres acteurs pour se développer. Sur ce principe, les entreprises sont confiantes pour l’avenir et elles préfèrent en général plébisciter la co-construction avec les élus et les dirigeants. 88% voient ce schéma plus encourageant que la consultation publique disponible pour tous les citoyens.
Elles sont seulement 64% à être favorables pour consulter le public.

En cette année 2018, les entreprises disposent de meilleures ambitions. Elles sont désormais satisfaites de leurs possibilités sur le long terme que cela soit à l’échelle nationale ou mondiale.
Même si la sérénité s’établit, il reste encore difficile de déterminer les futures actions à mettre en place. Le projet de loi PACTE inspire les dirigeants par ses ébauches, mais n’étant pas encore clairement délimité, les entreprises doivent s’organiser sur le long terme.

2008-2018, Dynamique toujours aux côtés des femmes entrepreneures

Depuis sa création en 2008 au sein du magazine et de son site web Dynamique, les femmes en tant qu’entrepreneures, dirigeants, expertes en entrepreneuriat, coachs, font partie de son ADN et donc de sa ligne éditoriale. Non pas par opportunisme mais parce que les femmes grâce à leurs talents, leur appétit d’entreprendre sont des modèles dans l’entrepreneuriat d’aujourd’hui et seront porteuses d’un nouveau souffle dans les années à venir.

Nous avons partagé notre passion de l’entrepreneuriat avec environ 1000 femmes talentueuses au travers de notre magazine, site web et notre club. Nous aurions voulu toutes les citer ! Voici quelques femmes qui symbolisent la réussite en tant qu’entrepreneures !

Émilie Daversin, l’entrepreneure qui passe du digital au premier média social professionnel féminin

Cofondatrice de VO2 GROUP, une société de conseil en transformation digitale qu’elle a créée avec son mari, Émilie Daversin enchaîne avec une deuxième entreprise. Seule cette fois-ci, elle lance Feminalink.

Karen Aiach, Lysogene, l’aventure née du combat d’une mère

À 45 ans, Karen Aiach est entrepreneure, mais pas seulement. C’est avant tout une mère qui, après qu’une maladie rare ait été diagnostiquée chez sa fille, a décidé de se battre. Pourtant sans expérience dans le domaine, elle crée Lysogene, spécialisée dans le développement de thérapies géniques.

Cécile Reinaud, Séraphine, la marque pour femmes enceintes qui habille les célébrités

De la famille royale à la rockstar, la marque de vêtements de grossesse, Séraphine, a déjà conquis bien des futures mamans. Parmi celles qui se sont laissées séduire, la duchesse Kate Middleton, l’actrice Marion Cotillard, l’animatrice Karine Ferri, la chanteuse Christina Aguilera ou encore la célèbre mannequin Claudia Schiffer. Il n’en fallait pas plus pour mettre Cécile Reinaud, la fondatrice de ladite marque, aux anges…

Laetitia Alcover, Kang une entreprise qui reste connectée ! 

Laetitia Alcover, cofondatrice, prend à cœur sa communauté dans la vie comme sur les réseaux sociaux. Découverte des bonnes pratiques à mettre en place pour booster votre business grâce à vos réseaux sociaux.

Karine Schrenzel, l’entreprise qui rachète des sites e-commerce

Karine Schrenzel est aujourd’hui à la tête d’un groupe détenant dix sites leaders dans leur secteur, ShopInvest. Accompagnée de son associé, qui se révèle être son mari, la dirigeante revient sur cette belle aventure. Rencontre. 

Isabelle Veyrié de Recoules, d’avocate à entrepreneure

Elle n’a fait qu’un pas puisqu’elle s’oriente vers ce qui va devenir sa spécialité : l’accompagnement des PME en conseil et en contentieux de droit commun commercial.

Laurence Gabriel, Gen-G

C’est 25 ans de carrière dans la communication et les relations médias, un tempérament solide et une force tranquille. Avec Gen-G, son agence, elle entend remettre l’humain au cœur de son métier et rendre sa nouvelle vie d’entrepreneure palpitante.

Beya Zerguine, une entrepreneure optimiste

Quand entrepreneure se marie avec l’optimisme. Elle est passée du recrutement à l’accompagnement avec deux mots clefs pour devise : s’ouvrir au monde et accueillir les opportunités.

Grisel Lamotte, une créatrice qui concilie parfaitement pro et perso

Avec son entreprise, CM Plus France, elle entend répondre aux besoins des entrepreneurs en matière de relation clients notamment sur le retard de paiement des factures. Grâce à son parcours, la chef d’entreprise a plus d’un conseil dans son sac et se fait une joie de les partager.

Samantha Montalban, cofondatrice de Mina
Stor

Une marque de sous-vêtements spécialisée qui accompagne les jeunes filles dans leur adolescence. S’appuyant sur le concept de la vente en ligne, la dirigeante souhaite se développer rapidement à l’international.

Jennifer Plaisant, fondatrice de DecoForDesk

L’architecte d’intérieur qui décore les start-up. Après une carrière dans plusieurs sociétés de services informatiques, Jennifer Plaisant monte son entreprise pour se consacrer à sa passion : la décoration et l’architecture d’intérieur !

Véronique Bergeot, et le délice des repas

Véronique Bergeot et Sylvain Eche, cofondateurs de 62 degrés s’occupent de tout, de A à Z, de la conception à la livraison des plats. Après avoir levé 2 millions d’euros l’année dernière pour agrandir la cuisine et produire davantage, leur défi est désormais d’élargir le service au-delà des frontières de l’Hexagone.

Christelle Rouvet, dirigeante de Rêves de Café

Elle fait du sourire et de la relation humaine ses premières valeurs pour développer sa clientèle. Elle propose une solution professionnelle et une couverture nationale pour la pause-café des entreprises.

Pauline Chatin, porteuse du projet Vigne de Cocagne

Elle s’est découvert une véritable passion pour les vignes et le vin.

Karine Zaouche, Charlotte Lajoux, tout un programme pour la santé

Avec aussi Aymeric Du Mesnil, porteurs du projet MerciDocteur qui se rendant compte de la difficulté d’attirer des médecins au sein de certains territoires qu’on appelle des déserts médicaux ont établi un projet pour créer du lien entre médecins et les territoires.

Anne Mével et Alan Ripaud, porteurs du projet YES, WE CAN !

Pour insérer professionnellement leur fils autiste, ils décident de créer eux-mêmes une solution pour lui et pour d’autres.

Ugoline Soler qui prépare l’avenir de la planète

Porteuse du projet RecNoRec, une solution pour recycler des déchets sales et mélangés et rendre rutiles des déchets ultimes (voués à la décharge, ndlr).

Céline Nguyen, une chef de cuisine sans pareille 

Grégoire Roty, Etienne Boix (Directeur des opérations), cofondateurs de Quitoque livrent à domicile un panier contenant tous les ingrédients et recettes pour constituer, de façon équilibrée et en seulement trente minutes, les repas de la semaine. Ils ont levé 5,5 millions d’euros pour conserver et accroître leur position de leader sur le marché français.

Marie-Laure Amiaud, l’entrepreneure qui répare votre réseau informatique avec le sourire !

Elle a cofondé SWAP informatique avec son associé, passionné par ce domaine.

Et quelques expériences magnifiques !

Bertile Burel, l’expérience en coffret cadeau

Bertile Burel fonde aux côtés de son époux James Blouzard, la société Wonderbox. Une marque spécialisée dans les coffrets cadeaux et la vente d’activités de loisirs sur internet. La jeune femme explique qu’après avoir quitté son emploi pour parcourir le monde aux côtés de James, elle souhaitait offrir des cadeaux à sa famille, semblable à l’expérience qu’ils avaient vécu.
Ne trouvant pas ce qui leur correspondait dans différentes enseignes, ils décident de se lancer sur le marché de la box en offrant des « expériences » à leurs clients. Le succès demeure au rendez-vous et la jeune femme place son entreprise comme leader du marché français. « Si nous sommes numéro 1 aujourd’hui, c’est parce que nous avons toujours cherché à faire les choses un peu mieux, aussi bien pour nos clients que pour nos partenaires. Nous savions que, si nous traitions bien nos partenaires, ils serviraient bien nos clients. ». Lors du Salon des micros-entreprises Bertile Burel affirme « je suis persuadée que les femmes ont beaucoup à apporter à l’entreprise, elles sont organisées, dotées d’un esprit pratique, en prise avec le réel et elles ont surtout un grand atout, elles savent plus naturellement transformer la vision stratégique en actions concrètes. »

Fany Pechiodat, les bons plans d’une parisienne

La jeune femme débute une carrière marketing au sein du groupe l’Oréal. Mais cette dernière a pour passe-temps favori de dénicher des bons plans. Pour les trouver Fany Pechiodat passe son temps libre à se balader dans les rues de Paris. Avec l’aide de sa petite sœur elle décide de rédiger un mail comprenant des « bonnes adresses » qu’elle envoie à une cinquantaine d’amis. Un engouement se met en place et en à peine quelques mois la jeune femme réunit près de 10 000 abonnés grâce à ses newsletters. En 2008 elle décide de lancer son site MyLitlleParis , un groupe média assez original qui partage astuces et bons plans « Avec des adresses secrètes et insolites qu’on souffle dans leur boîte mail, des box qu’on glisse dans leur boîte aux lettres, des idées inspirantes qu’on pushe dans leur téléphone. » affirme le site de la jeune femme. Une réussite due à un cocktail d’originalité et de nouveauté. « Capitalisez sur la posture d’outsider et adoptez ce qu’on appelle chez nous le Forrest Gump way. C’est la naïveté qui mène à la créativité. L’expertise est l’ennemie de l’innovation donc ne complexez pas de vous lancer sur un marché que vous connaissez mal » conseille-t-elle aux entrepreneurs sur le site les Echos.

Celine Lazorthes, une cagnotte en ligne

La jeune femme est étudiante à HEC Paris lorsqu’on son idée lui vient en tête. Cette dernière était chargée d’organiser le weekend d’intégration de sa promotion avec la responsabilité de collecter des fonds auprès de ses camarades. Pour réaliser sa mission en toute tranquillité, elle décide de développer une plateforme qui permet de collecter l’argent en ligne et en toute sécurité. En mars 2009 le site en ligne Leetchi.com est lancé. Anniversaire, pot de départ, weekend à plusieurs, mariage… Toutes les occasions sont bonnes pour créer une cagnotte en ligne et inviter son entourage à y participer. En 2013, Céline figure première au classement des 100 personnalités qui font le web français, dans la catégorie « entrepreneur du moment ». La même année son entreprise fut désignée « meilleure start-up française » par le magazine de référence des nouvelles technologies Wired Europe. Celine Lazorthes reste très engagée dans la cause des femmes entrepreneures « je pense qu’on est souvent son propre ennemi, il faut répéter que c’est possible et que ça rend heureux » confie-t-elle au site du Figaro.

Pauline Laigneau, des bijoux chaleureux et colorés

L’idée de la jeune femme née lors d’un des plus beaux moments de sa vie : lorsque Charif son compagnon lui demande de l’épouser. Les futurs mariés passent par une étape des plus « romantiques » le choix de la bague de fiançailles de Pauline. Les tourtereaux se rendent dans des boutiques de grand joailliers mais l’engouement du début fait peu à peu place à de la déception.
Le monde de la joaillerie leur parait « froid et intimidant », associé à des bijoux plutôt classiques seulement composés d’or blanc ou de diamant et une crainte de ne pas trouver le prix qui leur correspond. L’écoute et les conseils de professionnels ne sont pas non plus au rendez-vous. Suite à ce constat la jeune femme et son époux décident de créer leur propre marque de joaillerie : Gemmyo. « Une maison de joaillerie où chacun serait libre d’avoir un bijou unique et qui lui ressemble vraiment ; une maison de joaillerie accessible partout et tout le temps ; une maison de joaillerie qui aurait à cœur de faire de l’achat d’un bijou un vrai moment de plaisir et non pas une épreuve » explique leur site en ligne. Elle parvient à atteindre un chiffre d’affaires de trois millions d’euros, seulement trois ans après sa création. La jeune femme de 34 ans définit sa passion pour l’aventure entrepreneuriale comme une des clés du succès. « J’écoute toujours ceux qui me disent qu’ils veulent changer de vie. L’entrepreneuriat est une aventure personnelle, un désir qui compte plus encore que l’idée d’entreprise » confie-t-elle sur le site la Tribune.

Sandra LE GRAND, une entrepreneure d’excellence

Est fondatrice et présidente-directrice générale de Canalce, premier prestataire de services auprès des comités d’entreprise et de leurs salariés. Forte de son expérience, elle nous livre ses conseils pour utiliser la communication médias et hors médias, et nous montre comment elle a accompagné ainsi la croissance de son entreprise au travers du magazine et du club.

Stagiaire : un recrutement à ne jamais prendre à la légère

Besoin d’un coup de main pour honorer une grosse commande, un important contrat ou gérer tout simplement les affaires courantes ? Et si vous faisiez appel à un stagiaire pour vous délester de certaines tâches. Mais attention,  la législation est aujourd’hui très stricte et vous ne pouvez pas agir à votre guise.

Si n’importe quelle entreprise peut accueillir un stagiaire, cela n’est pas possible pour tout et n’importe quoi. Ainsi, le législateur précise qu’une convention de stage ne peut pas être signée pour :

  • Remplacer un salarié absent, licencié ou dont le contrat de travail a été suspendu,
  • Assurer les fonctions d’un emploi permanent,
  • Pour faire face à un accroissement temporaire de l’activité (c’est alors vers l’intérim ou l’emploi en CCD qu’il faudra se tourner),
  • Pour occuper un emploi saisonnier.

Pour quoi embaucher un stagiaire alors ? La plupart des entreprises n’étant pas philanthrope, il est évident que le recrutement d’un stagiaire correspond à un besoin réel et permet de pallier un manque (récurrent ou non) dans l’effectif de l’entreprise.

6 questions à se poser avant de recruter

Voilà pourquoi un stagiaire ne se recrute pas n’importe comment et qu’une véritable stratégie mérite d’être mise en place. Il faut, en effet, prendre le temps de se poser les bonnes questions, même si les « besoins » sont clairement identifiés :

  • Avez-vous de quoi l’accueillir dans de bonnes conditions ? Le bon déroulement du stage dépend souvent de l’accueil du candidat.
  • Avez-vous le temps et les moyens de le former ? Car un stagiaire, cela reste un débutant qui ne connaît rien à la vie de l’entreprise, rien à votre activité, ni à vos exigences ou encore à votre méthode de fonctionnement. La désignation d’un responsable de stage ou d’un tuteur est donc vivement conseillée.
  • Sur quelle durée ? Plus le stage est long plus le risque est important pour l’entreprise si le stagiaire ne correspond pas aux attentes. Une durée de 2 ou 3 mois semble être une bonne solution. Et ce, tout en sachant qu’un stage doit être intégré dans un cursus pédagogique et ne doit pas excéder 6 mois par année d’enseignement.
  • Avez-vous du temps à lui consacrer personnellement pour le conseiller sur son projet professionnel, son cursus et ses compétences ? Notez qu’à l’issue du stage, vous devrez rédiger une attestation décrivant les travaux effectués.
  • Quelles seront les tâches exactes confiées au stagiaire ? Et entrent-elles bel et bien dans le cadre de sa formation ?
  • A-t-il vocation à rester dans l’entreprise à l’issue du stage ? Le stage peut, dans bien des cas, être une porte d’entrée dans l’entreprise.

Combien ça coûte ?

Si le stage est prévu pour durer plus de deux mois (consécutifs ou non), l’entreprise doit verser une indemnité mensuelle au stagiaire. Son montant est à définir au moment de la signature de la convention de stage. Le montant de la gratification doit figurer dans la convention de stage et est apprécié au moment de la signature.
Selon le site du service public, voici les dernières directives.
La gratification est obligatoire lorsque la présence du stagiaire est supérieure à 2 mois au cours de l’année d’enseignement scolaire ou universitaire, c’est-à-dire :

  • Plus de 44 jours de présence, consécutifs ou non, pour un horaire de 7 heures par jour ;
  • Ou plus de 308 heures de présence, même de façon non continue, sur la base d’une durée journalière différente.

Sinon la gratification reste facultative pour l’employeur.
Le taux horaire de la gratification est égal à 3,75 € par heure de stage, correspondant à 15 % du plafond de la Sécurité sociale (soit 25 € x 0,15).
Les organismes publics ne peuvent pas verser de gratification supérieure au montant minimum légal sous peine de requalification de la convention de stage en contrat de travail.
Dans certaines branches professionnelles, le montant de la gratification est fixé par convention de branche ou accord professionnel étendu et peut être supérieur au montant minimum légal. L’employeur doit le vérifier dans la convention collective.
Un simulateur de calcul permet aux employeurs de calculer le montant minimal dû en fonction des heures de présence effective du stagiaire.
À noter :
Le plafond de la sécurité sociale est modifié chaque année au 1er janvier. Si cette modification a lieu en cours de stage (par exemple pour un stage prévu entre le 1er décembre et le 15 février), la convention doit explicitement prévoir une revalorisation de la gratification en fonction du changement du 1er janvier.
La gratification est mensuelle : elle doit être versée à la fin de chaque mois et non pas en fin de stage.Elle est due dès le premier jour de stage et non pas à partir du seuil des 2 mois de stage.
Pour un stage à temps plein (7 heures par jour) du 1er janvier au 30 mars 2018, soit 3 mois calendaires, pour un total de 448 heures effectuées : janvier (22 jours x 7 heures = 154 heures), février (140 h), mars (154 h), la gratification totale due =
448 x 25 € x 15 %= 1 680 €

• Option 1 : versement chaque mois du réel effectué :

o janvier = 577,50 €;
o février = 525 €;
o mars = 577,50 €

• Option 2 (lissage sur la totalité de la durée de stage)  :

1 680 €/3 mois = versement chaque mois de 560 €.
Tout stage interrompu temporairement donne lieu à un réajustement sur la base du nombre réel d’heures effectuées. Tout stage définitivement interrompu fait l’objet d’une régularisation globale selon le nombre d’heures effectuées.

Attention !
Cette exonération ne s’applique pas aux stagiaires de la formation professionnelle continue, aux bénéficiaires de la formation à la recherche et aux stagiaires des associations à caractères pédagogiques.

Recruter ou pas ?

Au final, le recrutement d’un stagiaire est-ce une bonne idée ? Car son statut et sa place dans l’entreprise sont un peu particuliers. Il n’est pas salarié, n’a pas de contrat de travail, n’est pas inscrit sur le registre du personnel et ne bénéficie pas non plus de la convention ou de l’accord collectif de l’entreprise. Et pourtant, il peut très bien remplir des tâches importantes pour la vie de l’entreprise et reste généralement soumis au même rythme de travail que les salariés. Il est donc important de prévoir régulièrement des points entre le stagiaire et son tuteur afin d’évoquer de son travail, les choses qu’il peut améliorer et réorienter les missions si nécessaire. Il ne faut surtout pas rester figé dans un fonctionnement qui ne convient à personne.

Concrétiser les ambitions des entreprises par l’innovation

Didier Le Strat est, aujourd’hui, à la tête de Bloomoon, spécialisée dans le conseil en stratégie et pilotage opérationnel de l’innovation. Fort d’un parcours atypique, l’entrepreneur s’investit depuis neuf ans dans son entreprise, tout en plaçant l’humain au cœur de ses activités quotidiennes. Portrait.

1 – Quel est votre parcours avant la création de votre entreprise ?

Mon parcours est atypique. Après une école de commerce, j’ai suivi des cours de sociologie en auditeur libre à la Sorbonne. L’essentiel de ma formation, je l’ai, toutefois, fait en tant qu’autodidacte. Elle repose, essentiellement, sur mon appétit de lecture pour le domaine des sciences humaines (psycho-sociologie, linguistique, sémiologie). Cette formation m’a permis d’acquérir des compétences clés liés à une capacité d’adaptation et d’intelligence des situations. Je n’ai pas non plus hésité à développer mes réseaux par les rencontres que j’ai réalisées (congrès, salons, conférences, club…) avec des personnalités de haut niveau issues du monde de l’entreprises mais aussi de celui académique ainsi que celui de la haute administration. J’ai eu la chance, dès mon entrée dans la vie professionnelle, d’intégrer une petite structure qui m’a, elle, permis de devenir polyvalent et m’a donné l’opportunité de développer mes capacités de développeur, de cerner les enjeux des entreprises et d’être à même de saisir le courant des innovations pour nourrir les sociétés que je développe.

2 – Quand avez-vous créé votre propre entreprise ? Dans quel secteur ? Et surtout, pourquoi ?

En 2009, à la suite d’une rupture professionnelle, j’ai décidé de rebondir et d’utiliser mon expérience ainsi que mon expertise acquise pendant 17 ans, pour créer ma propre société.

3 – Pouvez-vous revenir sur les chiffres clés de votre entreprise (date de création, nombre de salariés, chiffre d’affaires…) ?

Date de création : 2009 ; 2,5 M€ de chiffre d’affaires et 25 salariés.

4 – Que représente l’entrepreneuriat pour vous ?

La liberté, la création de valeur pour l’entreprise, ses clients et ses collaborateurs. Donner du sens au travail de chacun est essentiel dans ma conception, où l’humain doit rester au cœur de nos activités au quotidien. S’enrichir des autres et les enrichir se révèlent être, pour moi, une valeur fondamentale.

5 – Quelles ont été les principales difficultés rencontrées ? Et inversement, les principales satisfactions ?

Nous sommes partis de 0. La difficulté, c’est le financement de la croissance. Il faut être sur deux fronts en même temps : à la fois sur le court terme pour assurer le CA au quotidien mais aussi sur l’avenir pour développer l’entreprise. Le grand challenge a été d’arriver à intégrer quatre entreprises aux cultures très différentes, de réussir la cohésion des collaborateurs et de se développer par la croissance externe.

6 – Comment vous êtes-vous financé ?

Sur fonds propres et en faisant appel aux banques pour la trésorerie.

7 – Comment conciliez-vous vie professionnelle et vie personnelle ?

J’arrive à équilibrer les deux ! C’est essentiel d’harmoniser le travail et la vie personnelle.

8 – Quel conseil donneriez-vous à un entrepreneur qui se lance pour réussir ?

Entreprendre est un investissement, tant sur le plan humain que sur le plan du temps. Il est donc indispensable à mes yeux d’avoir le soutien de son entourage pour pouvoir être disponible et ne pas être freiné par des difficultés personnelles.

9 – Quelles sont les perspectives d’avenir pour votre entreprise ?

Développer la performance commerciale à court terme pour créer une structure qui « tourne » sans ses fondateurs et être disponibles pour identifier des nouvelles activités porteuses de croissance importantes à moyen terme.

10 – Aujourd’hui, comment faites-vous pour développer votre réseau ?

Actuellement, je suis en train de développer mon réseau web. J’essaye de gagner en visibilité, d’apporter du contenu. Je participe aussi à des conférences pour saisir les tendances du moment. Mais surtout, je suis conscient de la véritable opportunité qu’offre, aujourd’hui, le marketing digital. C’est pourquoi je me suis entouré de jeunes talents performants sur ce sujet.

Les cagnottes ou les billetteries en ligne ont le vent en poupe

Cadeaux de mariage ! Naissance des enfants des salariés ! Pot de départ à la retraite ! Anniversaire…et aussi billetterie pour ceux qui veulent organiser un spectacle ou un évènement payant, les cagnottes ont le vent en poupe.

Les cadeaux, plus jamais une corvée

La vie d’entreprise est parsemée de moments où l’on souhaite faire plaisir mais notre temps est tellement compté que trouver l’idée de génie, faire les magasins n’est guère possible. Une solution les cagnottes qui offrent une solution qui ne nécessite que quelques clics.
Plus la peine de rester à votre bureau toute la journée, de laisser une enveloppe dans votre bureau, d’avoir peur de perdre l’enveloppe, de récupérer des chèques et de rappeler au détour d’un couloir à ceux qui oublient, de relancer les derniers : un petit mail est le tour est joué !

Mais Les cagnottes, c’est risqué ?

Détrompez-vous des outils efficaces et sécurisés existent pour faciliter l’achat de cadeaux en commun. De nombreux sites permettent de collecter de l’argent pour financer en commun des dépenses. D’ailleurs le nombre de personnes qui utilisent cette nouvelle manière de faire ne se compte plus.
Que ce soit Leetchi.com, le potcommun.fr, commonbox, bankeez, weezevent.com, eventbrite.fr
…, vous pouvez récolter de l’argent de façon simple, rapide et sécurisée.

Comment faire  alors?

On crée la cagnotte gratuitement, on invite ses amis, collègues ou autres à y participer et on leur indique par e-mail comment se connecter. Pas besoin d’investir une somme minimum.
Lorsque la cagnotte est terminée, L‘heureux élu peut dépenser sa cagnotte à sa guise en recevant par exemple un virement.

Pas seulement de l’argent mais aussi des cadeaux

Si le site est relié à des partenaires, on peut offrir des cadeaux par centaines et le choix des enseignes est suffisamment grand pour permettre de trouver le cadeau de rêve.

Plus jamais un casse-tête !

L’argent est crédité sur le compte de l’organisateur de la collecte grâce au système de paiement en ligne Paypal par exemple. Chaque cagnotte a son système.

Les billetteries, plus jamais un casse-tête

Vous souhaitez créer une billetterie des sites comme Leetchi.com fixe et gère facilement le prix de tes billets, récupère les fonds à n’importe quel moment sans frais, en plusieurs fois et de plus vous propose une équipe dédiée pour suivre et optimiser votre évènement (que ce soit une association, un spectacle, un gala…)

Mais pour quel prix ? Quelle commission ?

Simple, pratique… mais payant. Oui mais souvent l’organisateur de la cagnotte n’a pas un centime à débourser. C’est une commission qui est tout à fait acceptable qui est demandé aux contributeurs. Il vous faudra bien évidemment faire un comparatif de prix.

Pour les billets vendus 20 euros par exemple, chez Leetchi ils prélèvent 2,9% de commission pour les cagnottes supérieures à 2000 €, 4% de commission pour les cagnottes inférieures à 2000 €. Une commission tout à fait raisonnable pour le service rendu.