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Ces entreprises où il fait bon vivre

Chaque année le classement « Great Place to Work » récompense les entreprises où il fait bon vivre. Les salariés sont le cœur de l’entreprise alors pourquoi ne pas rejoindre les entreprises que vous verrez dans ce classement et qui sera actualisé en avril sur www.dynamique-mag.com ! 

Nombre d’entrepreneurs se demandent l’utilité de devenir un lieu où il fait bon vivre. Pourtant, les effets positifs sont certains : une entreprise où les salariés se sentent bien et où règne une culture de confiance devient davantage performante. Elle attire de meilleurs candidats et entraîne un turnover 2 fois moins élevé en moyenne, ce qui vous évite de recruter et de former. Surtout, avoir une entreprise où l’on se sent bien représente une réelle satisfaction et fierté pour l’entrepreneur. Si vous n’avez pas forcément besoin de label, voici quelques conseils pour instaurer une bonne ambiance.

Commencez par dire merci.

Dire merci ne coûte rien mais peut vous rapporter beaucoup ! Des mots comme « Merci » ou « Félicitations » ont un effet significatif pour votre salarié qui a réalisé un bel effort ou obtenu un bon résultat. Vous lui signifiez ainsi son importance et sa confiance se renforcera : deux éléments nécessaires pour qu’ils se sentent bien dans votre entreprise. Grâce à ces petits mots adressés à une équipe, c’est toute l’ambiance de votre entreprise qui risque de changer ! Cette attitude a bien des chances de rejaillir sur les autres services et de créer un soutien mutuel entre les collaborateurs.

Organisez des activités ludiques.

Vous n’êtes pas obligé d’aller dans l’extravagance. Organiser un vrai séminaire de team building ou partager un simple déjeuner dans la petite pizzeria à côté de vos locaux représentent déjà de belles opportunités. Vous pouvez réaliser mille activités différentes et créer la cohésion dans votre équipe. Lever le nez de vos dossiers ne représente pas une perte de temps. Vous pouvez être créatif et proposer des initiatives inattendues qui feront sortir vos salariés de leur train-train quotidien. Pourquoi ne pas profiter des beaux jours pour pique-niquer ensemble dans un parc ou organiser un match de foot ? Certaines entreprises n’hésitent pas à aller plus loin en organisant par exemple un blind test ou une chasse aux trésors à la pause déjeuner. Bref, les activités ludiques créent des liens entre les salariés. Ambiance garantie !

Mettez en place des rendez-vous conviviaux.

Si vous souhaitez que vos équipes se soudent, il peut être nécessaire de créer des rendez-vous conviviaux qui les conduisent à sortir de leurs habitudes de bureau. De nombreuses entreprises organisent ainsi de petits déjeuners partagés chaque semaine par tous. Les équipes se connaissent mieux et rencontrent les autres services dans un cadre détendu. Mettre en place un rendez-vous petit-déjeuner ne coûte pas cher et peut facilement être organisé dans une TPE. Certaines entreprises organisent une fois par mois un déjeuner pour lequel tout le monde cuisine sa spécialité afin de la faire découvrir aux autres. Les bonnes nouvelles de l’entreprise représentent également une bonne opportunité pour changer d’ambiance. Un contrat majeur signé ? Organisez un pot ou un déjeuner à thème. Si vous n’avez pas besoin d’être en constante fête, créer des temps conviviaux pour vos salariés influera très positivement sur l’ambiance au quotidien.

Favorisez les liens d’amitié.

Si on ne peut pas être ami avec tout le monde, il faut dépasser les a priori pour communiquer. Si vous souhaitez qu’une bonne ambiance s’installe dans votre équipe, vous pouvez les encourager à ne pas toujours déjeuner avec les mêmes personnes, en leur expliquant l’intérêt des dialogues et vous-même montrer l’exemple en ne déjeunant pas toujours avec votre équipe. Vous pouvez également le faire à travers des moments informels de détente que vous imaginez dans l’entreprise.

Communiquer sur les passions.

Les périodes de rush à répétition fatiguent les équipes. Partager ses passions permet de se détendre. Alors pourquoi ne pas permettre à vos salariés qui ont un talent et qui l’exploitent en dehors du travail, de le faire découvrir à leurs collègues. Certains n’hésitent pas à créer des jours où chacun parle de sa passion aux autres ou à installer une petite bibliothèque dans laquelle les salariés peuvent déposer des livres qui leur ont plu afin d’en faire profiter leurs collègues.

Souriez, vous n’êtes pas filmé.

On ne le dira jamais assez mais au-delà des mots, c’est souvent votre sourire qui aura un impact significatif sur vos salariés. Votre sourire est communicatif et donne d’emblée l’esprit de votre entreprise. Si vous êtes dans votre monde, tourné vers vos préoccupations ou si vous affichez un pessimiste constant, vous conduisez de manière sine qua none l’atmosphère à devenir délétère. Alors si vous n’avez pas la pêche ce matin, détendez-vous, souriez et laissez-vous aller à rire avec vos salariés. Votre état d’esprit se communiquera !

Témoignez votre empathie.

Les détails changent tout ! Votre capacité à être empathique joue un grand rôle dans l’ambiance de l’entreprise. N’hésitez pas à leur demander régulièrement de leurs nouvelles et à les interroger sur leur passion ou sur leur famille, sur les examens que passent leurs enfants. S’ils ne se sentent pas comme un numéro, ils seront d’autant plus motivés. Notez les anniversaires de chacun et marquez l’évènement avec les autres salariés, ou encore à féliciter la personne pour son mariage, une naissance d’un enfant ou la réussite d’un examen. Vous pouvez par exemple offrir une carte signée par tous avec un petit cadeau. En cas de mauvaises nouvelles ou coup dur, témoignez votre soutien et votre compréhension.

Ouvrez votre porte.

L’image du patron enfermé dans son bureau fait partie d’une autre époque. Pour que l’ambiance soit conviviale au sein de vos équipes, ils ne doivent pas craindre de vous déranger et d’échanger avec vous. En ouvrant régulièrement votre porte ou en vous mêlant à vos équipes, vos collaborateurs sentiront que le dialogue avec vous est toujours possible. Vous éviterez ainsi que l’on ne vous parle pas d’une difficulté de peur de vous déranger et par votre disponibilité vous instaurerez une ambiance chaleureuse.

Décorez vos locaux.

L’ambiance de vos locaux ne fait pas tout me direz-vous. Pourtant avoir des locaux conviviaux permet de marquer votre attachement à la bonne ambiance. Si un babyfoot n’est pas forcément déterminant sur l’ambiance qui règne, avoir des locaux sympathiques incite à se rendre sur son lieu de travail. N’hésitez pas à faire en sorte de choisir de beaux locaux, lumineux, silencieux et aussi spacieux que possible. Prenez en compte la décoration en installant par exemple des plantes et des meubles design et mettez de la couleur. Créez un lieu de vie commun, comme une salle de détente où vos salariés pourront prendre un petit break. Dans cette salle n’hésitez pas à installer un canapé, une machine à café, des magazines…

Mettre en valeur la créativité et les initiatives.

Prendre en compte l’avis de vos salariés influent grandement sur leur bien-être. S’ils se sentent écoutés et en conséquence valorisés, ils auront tendance à se sentir plus à l’aise. Encouragez-les à donner leurs suggestions d’améliorations sur tous les aspects de l’entreprise. Pour cela, vous pouvez commencer par une simple boite à idée ou créer un mur d’expression. Certaines entreprises ont créé des intranets à cet effet qui sont souvent investis par les salariés car les solutions émergent souvent de ceux qui rencontrent les problèmes au quotidien. Quand vous mettez en place une innovation proposée par un salarié, mettez-la en valeur et remerciez toujours ceux qui font des propositions utiles ou non. Vous pouvez dans le cas où une idée n’est pas sélectionnée dire l’intérêt qu’elle contient mais expliquer que pour l’instant dans le contexte actuel de la société, elle n’est pas prioritaire.

Comment vous faire labéliser ?

Pour vous faire labéliser vous devez participer à un programme de reconnaissance. Celui-ci commence par un diagnostic de votre organisation, réalisé via le Trust Index© et le Culture Audit©. Vous pouvez avoir alors 2 labels : la certification et le label Best Workplaces®.

« La certification Great Place to Work® récompense les entreprises où il fait bon travailler ». Elle ne reste toutefois valable qu’un an et vous est remise dès la clôture du projet. Le score Trust Index© représente 2 / 3 de l’évaluation et le score Culture Audit© pour 1 / 3. Pour recevoir la certification vous devez atteindre un seuil minimal à ces deux tests.

Le premier est un questionnaire anonyme pour les collaborateurs, fondé sur un modèle à 5 dimensions. Selon le site il comprend « 64 questions fermées, 2 questions ouvertes et 7 questions démographiques. »

Le Culture Audit© est un dossier complété par l’entreprise. Il consiste à recenser l’ensemble des pratiques managériales avec les 9 leviers d’action.

Des conseils et expertises pour partir à la retraite

Le départ à la retraite reste souvent décrit comme un véritable parcours du combattant par bon nombre de retraités. Ils expriment parfois le regret de ne pas avoir été accompagnés dans leurs démarches et d’avoir omis certains éléments qui leur permettraient d’avoir une retraite plus confortable. Se faire accompagner par des experts apparaît comme une évidence a posteriori et à plus forte raison dès à présent.

Comment se libérer des difficultés administratives ?

De nos jours, il est fréquent d’avoir connu différentes évolutions de statut et / ou de postes tout au long de sa carrière professionnelle. Il est courant que ces différents changements entraînent des anomalies sur votre relevé de carrière. Ces erreurs et ces oublis sont souvent dus aux fiches de paie qui n’existaient qu’en support papier avec des formats différents et des présentations qui multipliaient les difficultés de compréhension. Par ailleurs, les fiches de paie avant l’an 2000 étaient faites en francs. Il est donc très complexe de se retrouver dans ce labyrinthe et la présence d’un expert s’avère indispensable pour ne pas commettre d’erreurs. Neovia, le N°1 du conseil et de l’expertise retraite pourra vous aider à calculer et à optimiser le montant de votre pension.

Comment calculer ses droits en tant que dirigeant ?

La retraite des dirigeants et des chefs d’entreprise salariés est composée de trois régimes obligatoires : le régime de base (Régime Général ou MSA) auquel s’ajoute les régimes complémentaires de l’Arrco et de l’Agirc. Le montant de la pension de base dépend du Salaire Annuel Moyen (SAM), du taux de liquidation, du nombre de trimestres acquis dans le régime et en faire le calcul se révèle complexe si l’on n’est pas un comptable. De plus, les retraites complémentaires sont des régimes par points, gérées par deux organismes l’Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés (Arrco). L’Arrco concerne l’ensemble des salariés du privé, cadres et non-cadres et l’Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc), pour les emplois de cadres exercés dans le secteur privé.
Vous pouvez avoir cumulé de plus dans votre carrière des emplois salariés avec une carrière de chef d’entreprise. Il apparait évident que se faire accompagner pour calculer au mieux sa retraite est absolument indispensable.

Vous avez eu une carrière à l’international ?

Vous avez travaillé à l’étranger et vous pensez peut-être que ces périodes sont perdues. Les années passées à l’étranger peuvent compter dans la durée d’assurance totale s’il existe un accord ou une convention avec la France. Il est donc primordial de vérifier vos droits acquis et comprendre certains dispositifs réglementaires afin d’améliorer votre retraite. Connaître les réglementations demande une expertise.

Comment calculer sa retraite pour une profession libérale ?

La retraite des professions libérales se compose d’une retraite de base et d’une ou plusieurs retraites complémentaires obligatoires. Les règles concernant la retraite de base sont communes à presque toutes les caisses professionnelles. En revanche, les règles des retraites complémentaires varient d’une caisse à l’autre.

Tous les libéraux, hormis les avocats, dépendent de la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse des Professions Libérales (CNAVPL) pour leur régime de base. Chaque section professionnelle gère son régime complémentaire de manière autonome. Bien qu’ils soient tous des régimes par points, ils présentent des différences importantes sur la valeur du point, l’âge minimal de départ, l’âge du taux plein.

Selon la section professionnelle, la retraite complémentaire obligatoire peut être constituée d’une, de deux, voire de trois pensions.

Les anges gardiens de l’entrepreneuriat

Les a priori font que nombre de personne pensent qu’il faut être millionnaire pour être business Angels. Les Business Angels  » anges gardiens » sont des passionnés de l’aventure entrepreneuriale qui investissent leur argent personnel dans de jeunes entreprises aux concepts novateurs. Ces particuliers peuvent financer un projet dans n’importe quel secteur d’activité.

Qu’est-ce qu’un Business Angel ?

C’est une personne qui décide d’investir une partie de son argent personnel dans une société innovante à potentiel. En dehors de l’aspect financier, il apporte à l’entrepreneur du temps, des compétences, de la disponibilité, de l’enthousiasme et un regard extérieur sur le projet. En outre, il fait bénéficier l’entrepreneur de ses relations au niveau des entreprises et des institutions économiques, locales, voire même politiques ou gouvernementales.

La différence entre un BA et les autres types de financeurs se ressent dans cet aspect qualitatif qu’il fournit à l’entrepreneur.  D’autre part, rappelons qu’un BA n’a pas de compte à rendre. Il sera peut-être plus apte à oser prendre des risques stratégiques qu’une société de financement subissant la pression de ses actionnaires. Financer la création représente l’investissement le plus risqué, d’où la difficulté pour l’entrepreneur de rassembler des fonds.

En France, le financement de l’entrepreneuriat demeure en grande partie assuré par les BA. Ceux-ci représentent donc des acteurs indispensables pour la santé de l’économie nationale. Je tiens particulièrement à souligner qu’il n’y a pas besoin d’être millionnaire pour le devenir : la participation financière minimum ne s’élève qu’à 5 000 euros.

Dans de tels cas, plusieurs BA se fédèrent en réseau afin de rassembler des sommes importantes. Grâce à leur organisation en réseau, des projets coûteux, allant jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, peuvent être financés.

Quel profil ?

Les profils de ceux qui investissent à titre personnel sont très divers. On peut néanmoins dégager deux grands types de BA :

  • Les cadres supérieurs en préretraite ou en retraite, qui ont du temps.  Lors de leur carrière, ils ont accumulé un patrimoine qui n’est pas forcément très important mais qu’ils décident d’investir.
  • Ce type de profil représente environ 70 % des BA et ce sont des personnes généralement souples et patientes.

Les entrepreneurs multiples, quarantenaires.

Après avoir monté et revendu une société, ils se sont enrichis. Plus pointus que leurs ainés dans les domaines technologiques et Internet, ils bénéficient d’une expérience managériale moindre et se révèlent souvent plus impatients et plus directifs vis-à-vis des entrepreneurs qu’ils soutiennent.

Comment évoluent aujourd’hui les anges gardiens ?

La tendance actuelle conduit vers la syndication des BA, c’est-à-dire vers l’investissement non plus seul, mais en groupe de BA, au sein de réseaux. Néanmoins, même un réseau de BA n’investira pas plus de 200 000 euros. On assiste alors à des mouvements de co-investissements entre réseaux de BA dans le cadre de projets nécessitant de lever des fonds importants, aux alentours de 600 000 euros par exemple.

Comment convaincre un BA « anges gardiens » ?

  • La qualité de l’entrepreneur et de son équipe : en cela tient la clé de l’investissement. Si le BA n’est pas enthousiasmé par l’entrepreneur ou qu’il sent qu’il ne peut lui faire totalement confiance, il n’investira pas.
  • L’adéquation produit/marché : une règle évidente mais qui est malheureusement oubliée dans bien des projets.
  • L’ambition du projet : les BA ne s’intéressent en général qu’à des projets innovants ou à des projets portant en eux une ambition de développement conséquente.
  • Attention, l’innovation n’est pas réservée aux seuls domaines technologiques !

Quel statut acquièrent les business Angels dans les entreprises qu’ils soutiennent ?

Ils prennent possession de 15 à 25 % du capital et restent toujours des actionnaires minoritaires.  Le but est que, malgré la perte d’une partie de son capital, l’entrepreneur se sente encore chez lui dans son entreprise. Le BA n’intervient pas directement dans la gestion de l’entreprise. Par contre, il peut avoir une très forte influence sur les décisions stratégiques majeures et intègre le conseil d’administration. Cependant, le BA n’est jamais rémunéré pour les services qu’il apporte à l’entreprise.

A quel moment et pourquoi le business Angel se retire-t-il du capital de l’entreprise ?

En principe le BA n’a pas pour vocation de garder éternellement ses parts du capital de l’entreprise (min. 4/5 ans et max. 6/7 ans).

Dans le contrat d’actionnaire, signé au moment de l’entrée en capital du BA, celui-ci précise son intention de sortir du capital au bout de quelques années.

On dénombre quatre cas de figure à la revente par le BA du capital.

1. La sortie industrielle : le BA vend ses parts à une entreprise

2. La reprise sous forme financière par des LBO

3. L’entrée en bourse

4. Le dépôt de bilan de l’entreprise. Dans ce dernier cas, le BA perd tout ce qu’il a investi. Un risque à accepter lorsqu’on devient BA.

Qu’est-ce qui motive à devenir business Angel ?

Le BA s’intéresse en général à autre chose que l’argent car le risque de cet investissement demeure élevé. Réaliser une plus-value intéressante à la revente demeure pour le BA une chance assez rare. On devient BA avant tout par passion, par envie de se lancer dans une aventure entrepreneuriale dans laquelle il va s’impliquer. Certains investissent dans le but de soutenir le dynamisme et la création d’emplois dans leur région.

 Attention !  Ne confondez pas les Business Angels avec des crowdfundeurs

Il existe plusieurs types de crowdfunding : en don, avec récompense, en prêt, et en equity. Comme les Business Angels, le crowfunding equity propose un investissement dans une startup en échange de prise de participation. Cependant, à la différence des business Angels, les crowdfundeurs mettent des tickets bien moins importants au capital des startups. Ils sont par conséquent bien plus nombreux à entrer au capital de l’entreprise et investissent à travers une plateforme et ne rencontrent que rarement les entrepreneurs, à la différence des Business Angels dont l’accompagnement fait partie de leur priorité.

Tout pour la fidélisation du client !

Avec son père, William Boiche a créé compta clémentine, une entreprise qui édite un logiciel de gestion en ligne depuis 2014. L’entreprise rencontre un succès certain et a mis au centre de ses préoccupations la fidélité clients pour grandir davantage chaque année. Rencontre avec ce dirigeant qui a fait de la transparence le fer de lance de sa réussite.

Comment est-ce que tu fidélises tes clients ?

Nous avons mis en place un scoring, une espèce de cotation sur le client qui nous permet de savoir quels clients tiennent leurs engagements dans les contrats et ceux qui ne les tiennent pas. Par exemple, le client doit transmettre ses factures dans les temps impartis. Nous traitons en conséquence toujours en priorité ceux qui les respectent. De plus, si le client est dans les temps, il obtient un pourcentage de réduction intéressant pour l’année suivante qui peut même atteindre jusqu’à 10 %.

Est-ce que tu fais autre chose pour développer la fidélité ?

Oui nous envoyons une lettre mensuelle du président directeur général aux clients pour rester connectés avec eux. Il faut maintenir la relation la plus proche possible en termes de discours et sur le fait d’expliquer où nous en sommes. Nous avons, par exemple, transmis avec clarté la grande refonte de nos applications. Nous avons été totalement transparents en expliquant l’évolution du projet et les problèmes rencontrés. Parfois, cela entraîne des réactions mais nous avons fait le choix de communiquer de manière explicite. Il y aura peut-être 4 – 5 personnes qui se plaindront sur 3 à 4 000 contents. Au début, nous le faisions tous les 15 jours mais nous avons pensé qu’un rythme mensuel serait plus significatif. Il ne faut pas la confondre cependant avec la lettre d’information comptable sur les actualités.

Pratiques-tu le parrainage ?

Oui ! Cela marche bien dans notre domaine mais je ne sais pas si cela fonctionne partout. Ils peuvent obtenir un mois offert et également un mois pour le filleul. Mais en réalité ce que nous faisons le plus c’est que nous optimisons nos services. Autrement dit, nous donnons sans jamais faire payer davantage le client. Nous lui offrons les nouvelles fonctionnalités au fur et à mesure que nous les mettons en place et que nous les développons. Par exemple en 2015, le module de facturation, en 2016, les applications mobiles ou encore en 2017 avec des tableaux de bords plus élaborés. Le client voit que ce n’est pas statique.

Prends-tu en compte l’avis client pour les mises en place ?

Nous avons un échantillon d’ambassadeurs qui nous font des retours sur des améliorations. Nous échangeons avec eux pour comprendre les problèmes qu’ils rencontrent, ce qui nous permet de déboucher sur des solutions. Nous le faisons souvent par téléphone même s’ils passent en général par le support dans l’application.

Le chat est-il fait pour la fidélisation ?

Il est plus fait pour l’acquisition mais dans l’application qu’on ne peut pas voir en mode public mais en mode client, il existe une forme de fidélisation. Pourquoi ? Parce que le client veut une réponse rapide. D’ailleurs, nous nous engageons à répondre dans les 24 heures à nos clients. Il faut avoir des canaux de communication surtout quand on travaille en ligne et que le client ne peut pas venir. S’il a 500 kilomètres à faire pour une simple question.

A quel point connais-tu tes clients ?

Nous avons un CRM en interne qui nous permet de très bien connaître nos clients. Déjà, nous sommes des comptables donc nous possédons forcément beaucoup d’informations sur la société du fait des process réglementaires qui nous y obligent. Nous essayons de savoir où il en est, qu’est-ce qu’il fait, quelles sont ses problématiques, qu’est-ce qu’il recherche, est-ce qu’il a avancé, … A chaque échange nous remplissons le CRM pour avoir un maximum d’informations pour les aider au mieux. Le but n’est pas de leur faire utiliser des fonctionnalités supplémentaires mais de leur donner celles dont ils ont besoin. Nous essayons d’optimiser les modules pour eux grâce à ces informations. Inutile d’avoir un module de paie si vous n’avez pas de salarié.

Utilises-tu les réseaux sociaux pour fidéliser tes clients ?

Nous ne le faisons pas assez je trouve même si nous nous y sommes beaucoup investis il y a un an ou deux. Nous nous concentrons davantage sur l’évolution de la technologie. Nous avons cependant réalisé notamment 2 – 3 vidéos sur Youtube. Nous avons fait des interviews de nos clients. Cela pourrait d’ailleurs être relancé sur 2019 avec le client du mois que nous mettrions en valeur avec les avantages que la solution procure pour celui-ci. Cela permet in fine de fidéliser le client. Pas celui que nous voyons forcément mais celui qui regarde. Parfois, nous ne nous rendons pas compte de ce que nous avons. Nous l’avons suspendu pour quelques temps mais nous le reprendrons dans l’avenir.

Que penses-tu des cadeaux d’affaires ?

Je pense que c’est très bien mais plutôt dans le cadre de partenariats d’affaires notamment dans le cas d’apporteurs d’affaires. Je trouve cela moins opportun dans le cadre d’une relation client-fournisseur dans le digital. Des choses qui pourraient être faites mais cela me semble moins opportun. Nous avons offert des bons d’achats mais en réalité ce que le client attend c’est une solution efficace et pas chère. Je pense que le but essentiel du client n’est pas de récupérer une boite de chocolats ou un bon d’achats mais plus d’avoir le service le plus efficace avec un prix abordable.

Quel est l’élément clé selon toi ?

Je pense que la clé, comme je le précisais tout à l’heure, reste dans l’amélioration du service. Par exemple, améliorer la vitesse de chargement des pages. Nous faisons sans arrêt évoluer notre technologie et nous essayons d’améliorer la réactivité. Nous améliorons l’expérience client et nous avons créé un service qui ne fait que répondre aux demandes. Ils ne produisent entre guillemets « rien » car ce ne sont ni des comptables, ni des juristes. Ils sont vraiment dédiés à la relation client. Le client attend de la réactivité. Après je pense que ce qui rend le client fidèle, c’est surtout de ne pas avoir de bugs, que la technologie soit rapide… A défaut, il ne le sera pas.

Est-ce qu’il t’est arrivé de devoir reconquérir un client ?

Oui ! D’ailleurs je trouve que c’est une très bonne question car les deux exemples que je viens de te donner sont significatifs. Alors pourquoi avons-nous, par exemple, instauré un service entre eux et le comptable ? Bien sûr, pas pour les éloigner du comptable car ils peuvent toujours le joindre directement notamment par email mais de nombreuses questions ne nécessitent pas d’avoir son comptable. S’il s’agit d’une question sur le bilan, il faut bien entendu l’avoir mais pour des questions techniques comme une échéance ou un montant, cela n’est pas nécessaire. Nous gagnons du temps de réponse car, dans le cas inverse, cela oblige le comptable à sortir de son dossier pour une question à laquelle nous pouvons répondre par ailleurs. Par exemple, lors de cette mise en place, il y a eu un peu de casse mais avec une bonne communication on l’a limitée.

Finalement les choses les plus importantes si tu devais en retenir ?

La confiance qui repose sur deux axes. La communication et la transparence. C’est pour cela que quand nous rencontrons un problème nous le disons. Cela participe à la fidélisation car le client est en confiance. Cette dernière se construit sur d’autres éléments comme le fait d’avoir son bilan dans les temps notamment.

« La confiance repose sur deux axes. La communication et la transparence. C’est pour cela que quand nous rencontrons un problème nous le disons. Cela participe à la fidélisation car le client est en confiance. »

Les Tournois de Roland Garros et le regarder au travail ?

Du 26 mai au 9 juin 2019, les tournois de tennis à Roland Garros si chers aux tennisman professionnels ou amateurs vont se dérouler pour leur plus grand plaisir. Une question récurrente se pose aussi bien pour les matchs de foot, de handball et de rugby … pour celles et ceux qui ont envie de profiter de ces moments uniques pour regarder sans entraves les matchs de leur passion ou de leur hobby préféré pendant leurs heures de travail. Ai-je le droit ?

Or avoir le droit sans risquer de sanction de regarder les matches pendant les heures de travail, sur un poste dédié à la retransmission ou sur son ordinateur ou smartphone, est-ce possible ?

Selon Marine Sonnerat, juriste aux Editions Tissot, les salariés peuvent demander à leur employeur d’organiser une retransmission des matchs dans l’entreprise ou un aménagement de leurs horaires pour suivre les exploits de leurs joueurs préférés. Cependant c’est à l’appréciation de l’employeur ! S’il décide d’installer un poste de télévision, il est cependant en droit de fixer les règles et limites. Notamment, la possibilité de regarder les matchs pendant les pauses, de venir jeter un coup d’œil au score de temps en temps ou bien d’accepter de décaler les horaires de travail.

Considérés comme temps de travail

Libre à l’employeur de décider si les retransmissions sont considérées comme du temps de travail ou non. Si c’est le cas, c’est une aubaine pour les salariés ! Sinon, l’employeur pourrait demander à rattraper les heures perdues. Bref, pour les fans, ce choix sera une aubaine car leur engouement est tel qu’i vaut bien quelques sacrifices.

Et regarder un match sur son ordinateur pendant les horaires de travail sans accord de l’entreprise ?

Sans autorisation de l’employeur cela peut être sanctionné au cas par cas, suivant le degré d’abus. Il est cependant difficilement envisageable qu’un salarié connecté seulement quelques minutes pour regarder le score ait une sanction. Il risque cependant de se mettre en difficultés si l’ambiance au travail n’est pas top.

Aménager ses horaires afin de pouvoir regarder un match ?

Si le poste s’y prête, l’employeur peut l’autoriser, sous certaines conditions, à partir plus tôt et s’organiser avec lui sur les modalités de rattrapage. Les salariés au forfait jours, eux, même s’ils disposent d’une autonomie dans l’organisation de leur temps de travail, sont tout de même tenus d’accomplir leurs missions.

De par son statut, un cadre est par nature libre d’organiser son temps de travail. S’il commence à 8 heures il pourra partir à 18 heures et suivre le match. Le salarié non-cadre est en revanche astreint à des horaires. Tout dépend de ses horaires de service. Et la tâche d’un  cadre ou d’un non cadre peut requérir sa présence à son poste sans interruption.

Quant au télétravail, le télétravail ne signifie pas vaquer librement à ses activités personnelles…

La dernière solution ( la meilleure ? ) pour regarder son match en toute tranquillité et sans se justifier est de poser un jour de congé payé ou de RTT.

Pour éviter toute situation inconfortable vis-à-vis de son employeur, un salarié peut aménager ses horaires en fonction de la programmation des matchs.

Roland Garros, depuis votre Smartphone. Il arrive souvent que les sociétés limitent l’accès à certains sites Internet pour une question de sécurité. Votre smartphone serait-il la solution ? Attention, prudence !

Optimisez votre négociation bancaire

Les banques, partenaires incontournables, accompagnent les entrepreneurs dans le développement de leur activité et dans les étapes essentielles de leur vie privée et professionnelle. Mais il arrive souvent que par méconnaissance les entrepreneurs ne négocient pas leurs frais bancaires et donc restreignent leur trésorerie. Comment optimisez votre négociation bancaire ?

Pourquoi les PME ne négocient pas leurs frais bancaires ?

N’ayant pas accès à des benchmarks bancaires destinés aux entreprises, les PME  procédent à des négociations « à l’aveugle » avec leur banquier. Par manque d’expertises et d’outils de comparaison, les entreprises n’ont pas toutes les cartes en main pour bien négocier. Les grandes entreprises négocient généralement leurs frais bancaires tous les 2 ou 3 ans. Cet effet de consultation en bloc, plutôt qu’une négociation ponctuelle et ciblée sur des coûts spécifiques, est très efficace. Elle peut faire baisser le coût bancaire de plus de 20 % !

Comment réduire leurs frais bancaires ?

La priorité consiste à bien analyser le poste « coûts bancaires » de l’entreprise. Il faut déjà lister tous les services bancaires consommés et leurs coûts. Ensuite il s’agit de faire un audit des habitudes de consommation de ces services bancaires, autant en volume qu’en quantité, de collecter l’information et typographier l’utilisation des services.

Puis il demeure utile de comparer les coûts bancaires de son entreprise à ceux d’une entreprise dont la santé financière est comparable. Si le dirigeant ne fait pas appel à une société spécialisée, il peut en parler à ses confrères, notamment dans certains clubs d’entrepreneurs ou dans le cadre de réseaux sociaux.

Enfin, il faut aller vers les banques, leur soumettre l’état des lieux de l’entreprise pour l’année passée ainsi que les prévisions pour l’année à venir et demander des propositions de tarifications.

Sur quels points est-il possible de négocier ?

Dans la banque, il y a parfois des tarifications qui sont purement psychologiques et qui n’ont rien à voir avec le vrai prix du service. Pour avoir une idée de ce qui peut faire l’objet d’une négociation, il demeure utile de savoir qu’on peut généralement faire baisser les prix sur des services dont les opérations ne sont pas réalisées manuellement. Donc pour bien négocier il faut déjà bien connaître le secteur bancaire et s’intéresser aux comparateurs à la portée de tout un chacun. Les banques se font concurrence.

Conseils aux créateurs d’entreprise qui découvrent le monde de la négociation bancaire ?

Avant de se lancer, dans la mesure du possible, essayez de disposer de fonds propres confortables, en rassemblant du love money, aux business Angels ou à des aides du type Oséo, bpifrance ou France active, en volume suffisant pour inspirer confiance à une banque.

Pour optimiser ses négociations bancaires il est indispensable d’entretenir de bonnes relations avec sa banque. Pour cela il faut que le banquier :

  • puisse juger en permanence que la prise de risque est maîtrisée par l’entreprise.
  • voit le potentiel que représente votre entreprise en termes d’augmentation de son propre chiffre d’affaires.

En même temps, l’entrepreneur doit toujours tenir un discours transparent et clair sur la situation de son entreprise. Inutile de mentir à votre banquier car il s’en apercevra très vite ! Aujourd’hui les algorithmes analysent la moindre des données de vos comptes bancaires. Communiquez avec votre banquier au minimum tous les trimestres, et faites régulièrement un point sur la situation par rapport au business plan. Une fois ce climat de confiance établi, les conditions pour une négociation optimale sont assurées.

Une idée d’entreprise issue de la première entreprise

Isabelle Rabier une entrepreneure qui a le talent de créer des réseaux d’ambassadeurs.

Après ses études de commerce, sur les bancs de l’école, dans sa majeure Hec Entrepreneurs, Isabelle Rabier décide de créer une marque de dermo-cosmétique DERMANCE, pour laquelle elle développe un réseau de conseillères de beauté physique et en ligne. Elle constate qu’il existe une demande très forte des clientes pour recevoir un conseil personnalisé sur leurs produits cosmétiques mais qu’elles souhaitent parfois utiliser d’autres marques. Certaines viennent d’ailleurs lui demander d’intégrer son réseau de distribution alternatif. L’idée lui vient alors de distribuer toutes ces marques sous l’enseigne Jolimoi.

Une réussite liée à un long travail

Si l’entreprise rencontre aujourd’hui le succès, tout ne s’est pas fait tout seul. L’entrepreneure a dû travailler pendant 1 an sur le modèle économique du projet et sur comment donner à la fois de la valeur au client final, aux ambassadeurs et aux marques. Une fois convaincue que la technologie tenait la route et que le projet était attractif pour les clients, elle décide de procéder à un premier tour de table auprès d’investisseurs privés. Elle enchaîne pendant 9 mois un travail sur « la marque et le branding » afin de trouver le nom qui correspond à l’image qu’elle souhaite donner. Elle s’associe par la suite à Jennifer Fiorentino en charge du recrutement et de l’onboarding des Stylistes Beauté, puis à une CTO, Mathilde Lemee et complète l’équipe avec d’autres talents tels qu’Aurelia Clot en charge du marketing de réseau.

Quels sont les atouts d’avoir créé cette nouvelle entreprise ?

Lancée en septembre 2017, l’entrepreneure constate des différences avec la première expérience. Déjà car l’« excitation n’est pas la même » et que la « première entreprise est toujours unique ». L’association ne se réalise pas de la même façon : « Autant pour la première société, l’association était sur les bancs de l’école et facile, autant la manière dont j’ai constitué l’équipe fondatrice se fait de manière plus rationnelle. Je suis allée chercher des compétences et je savais les qualités et valeurs des personnes avec lesquelles je souhaitais m’associer ». Mais ce n’est pas tout. La fondatrice pouvait compter « sur le soutien de ses anciens actionnaires », qui ont décidé de remettre au pot pour cette entreprise. Gain de temps donc pour l’entrepreneure qui n’a pas eu besoin de rechercher le soutien financier pour lancer le produit et réaliser un test sur le marché. La connaissance de certains éléments comme le pacte d’actionnaires l’ont aidée.

Une différence avant tout d’activité.

Pour elle la différence réside surtout sur la nature de l’activité. Dans la première activité, ils sont sur un modèle dit « intégré » avec une plateforme digitale alors que la deuxième entreprise est « beaucoup plus technologique. Il s’agit en effet  d’une plateforme en BtoBtoC. Celle-ci permet à un ensemble de marques d’accéder à des modèles de ventes via des ambassadeurs ». Si les deux boîtes étaient technologiques, la première entreprise était dans le R&D côté biologie alors que la nouvelle entreprise est une boîte de technologie IT. Son nouveau défi ? Recruter les bonnes personnes pour poursuivre la croissance.

L’art de négocier avec le cédant

Les points de vue du repreneur et du vendeur sont par définition antagonistes et les discussions vont permettre de se connaître, de poser les points d’accord et surtout de voir si des solutions peuvent être trouvées sur les points de friction. Enfin, pour chacun d’entre eux, l’important est de tirer le meilleur parti de la négociation. L’art de négocier avec le cédant : un art véritable à maîtriser.

Maîtriser les éléments de la négociation

Pour la reprise d’une entreprise : 

  • la valorisation de l’entreprise,
  • les dates d’arrêté des comptes pour fixer les éléments de prix et de garantie de la garantie,
  • les éléments du prix : prix de base, éléments de prix complémentaires (clauses de earn out), crédit vendeur,
  • le calendrier de la vente et les délais,
  • les conditions de la passation de pouvoir,
  • la clause de garantie de passif lors de la reprise de parts sociales.

Pour la reprise d’un fonds de commerce : 

  • le contrat de bail,
  • la valeur des actifs cédés (qu’est-ce qu’un fonds de commerce) : matériel et agencements, clientèle, nature de l’emplacement…,
  • les stocks,
  • la reprise des salariés.

Maîtriser les clauses lors des négociations

La confidentialité

Dès le départ, Il faut savoir quelles sont les informations auxquelles vous aurez accès et ce qui est considéré comme confidentiel par le vendeur. Il faut aussi que vous sachiez quelles sont les personnes que vous pourrez rencontrer dans l’entreprise, en plus du dirigeant. Il peut aussi s’agir de partenaires extérieurs à l’entreprise : clients, fournisseurs, banques…etc. Lorsque le vendeur passe par un intermédiaire, la signature d’un accord de confidentialité est un préalable à toute rencontre avec le dirigeant.

L’exclusivité 

 Tant que vous n’avez pas d’engagement de la part du vendeur, considérez que vous avez des concurrents. Réussir à obtenir l’exclusivité est déjà une victoire même si la guerre n’est pas encore gagnée. La rédaction d’une lettre d’intention permet de rassurer le cédant sur le sérieux de votre démarche. Dans cette lettre, les éléments clés de la promesse de vente sont repris et son acceptation par le cédant vous engage vis-à-vis de lui.

Dans d’autres cas, le point de vue du cédant est exactement inverse : il préfère avoir le choix jusqu’au bout et ce sera à vous de lui expliquer votre position. L’accès à un niveau d’information suffisant : votre capacité à obtenir les informations sur l’entreprise en dit beaucoup sur la maturité du chef d’entreprise cédant dans sa démarche de cession et son intérêt pour votre proposition. Sa position peut être d’en dire le moins possible mais la vôtre est forcément opposée.

La question du prix 

 Le dossier d’évaluation de l’entreprise permet de lever un certain nombre de points de discussion entre vous et le vendeur et, bien qu’essentiel, ce point n’est pas le seul élément de discussion.

Ensuite, voici quelques points à vérifier avant de négocier le prix :

• Avez-vous les fonds propres nécessaire à l’acquisition de l’entreprise et à son développement ?

• L’entreprise que vous rachetez peut-elle supporter le montage financier envisagé ?

• Le prix demandé par le vendeur est-il réaliste par rapport au marché (opérations réalisées dans le même secteur) et est-il en phase avec votre analyse économique ? Au delà du prix affiché, les négociations vont donc très vite porter sur la valorisation d’éléments précis.

Mettez tous les atouts de votre côté.

Gardez bien en tête vos limites et vos objectifs. Bien souvent, on s’engage dans une discussion en cherchant avant tout à faire valoir sa proposition. Mais il ne faut pas oublier de prendre le temps de connaitre votre interlocuteur et de vous assurer de ses motivations réelles.

Vous devrez donc, au fur et à mesure, vous faire une idée des points de négociation réels c’est-à-dire des points sur lesquels les deux parties peuvent trouver un compromis sans aller au-delà de leurs limites et de leurs objectifs respectifs.

Préparez bien les rendez-vous et fixez dès que possible un calendrier comprenant les étapes clés de vos discussions. Les choses ne se passent jamais comme prévu mais cela permet de recadrer les discussions. N’hésitez pas à vous appuyer sur des tiers : Si le tête-à-tête avec le vendeur est indispensable, vous aurez besoin d’un conseil extérieur pour vous aider à bâtir vos propositions mais aussi à dénouer certains désaccords.

Par ailleurs, n’oubliez pas les aspects psychologiques dans votre relation avec le dirigeant qui veut transmettre son entreprise :

  • veillez à la qualité de la relation de part et d’autre,
  • mettez-vous à la place de votre interlocuteur et cherchez à comprendre quel est son univers, quelles sont ses valeurs, ses priorités et ses attentes,
  • sachez dire non,
  • soyez toujours positif lorsque vous formulez des critiques sur l’entreprise,
  • gardez votre bon sens en toutes circonstances même si vous êtes enthousiaste,
  • reformulez toujours les points d’accord obtenus pour éviter les malentendus.

Les erreurs à ne pas commettre !

• Ne pas savoir rompre :

– en cas de désaccord substantiel avec le vendeur,

– face à de faibles chances de succès dans la négociation,

– face à un interlocuteur peu fiable,

  • Ne pas se fixer des limites dans le temps : des négociations qui s’enlisent bénéficient rarement à l’acquéreur,
  • Poursuivre des discussions sur des bases irréalistes en termes de financement,
  • Ne pas demander de contreparties à de concessions,
  • Ne pas envisager toutes les solutions possibles,
  • Promettre le changement,
  • être seul ou mal accompagné,
  • ne pas prendre en compte les risques sociaux,
  • ne pas cerner les risques et les litiges latents.

Article par L’ÉQUIPE PASSER LE RELAIS | RÉSEAU PILOTÉ PAR LA CCIP

Une croissance en Franchise

Créée en 1998 par Claire Lanneau, sous forme associative, Babychou est devenue une référence incontournable en matière de garde d’enfants. Le concept de l’entreprise est issu de la rencontre de jeunes parents qui ne trouvaient pas de « nounou à leur pied ». Zoom sur le développement d’une entreprise qui compte déjà 73 agences

L’entreprise Babychou débute son aventure pour répondre au besoin de trouver des babysitteurs dans des familles mais sans en être eux-mêmes les employeurs. Elle se positionne rapidement comme un cabinet de recrutement, dans le jargon du métier appelée « des mandataires ». Elle est aujourd’hui considérée comme spécialiste de la garde d’enfants avec un service réactif et de proximité (notamment par rapport aux plateformes de services).

Premier virage en 2006.

Jusqu’en 2006, Babychou est construit sur un premier business model. Cependant, un changement réglementaire vient bouleverser l’entreprise et elle doit évoluer en seulement quelques mois. Le plan Borloo vient, en effet, de complètement modifier l’équilibre du marché. Il est désormais possible d’embaucher les babysitteurs, ce qui était auparavant limité au monde associatif. Claire Lanneau et son associé y voient une opportunité afin de mieux épauler les babysitteurs vis-à-vis des familles et à terme de mieux les suivre et les faire évoluer.

Le business model est donc remis en cause. Ils décident rapidement de passer d’un modèle de mandataire à un modèle de prestataire. Pour réussir ce « tour de force », ils n’hésitent pas à s’entourer de conseils. En l’espace d’un été, ils créent des modèles de contrat de travail et de prestations de services pour les clients… « Comme nous sentions que c’était le sens du marché, nous avons donc mis les moyens car nous savions que la rentrée scolaire représente LE moment où les décisions se prennent dans notre secteur » nous précise la fondatrice. Ils passent alors d’un modèle où ils se rémunéraient en frais de mandat à un modèle complètement différent.

Effet immédiat.

Le bouleversement est grand puisque désormais les entreprises (qui n’avaient pas le droit à l’époque d’investir le domaine des services à la personne et notamment celui de la garde d’enfants, ndlr) peuvent investir le marché. Ils passent naturellement d’une forme associative à une forme d’entreprise. « Comme c’est un marché réglementé pour les moins de 3 ans, nous n’avions pas le droit de vendre de la prestation de service même si elle était gérée comme une entreprise. » nous explique la dirigeante.

Si le cœur de métier reste le même, le service est désormais de « recruter avec soin des babysitteurs réguliers avec des process de recrutement élaborés ». Ils continuent la suite de leur aventure avec un site pilote à Paris et se développent rapidement en franchise. Avec ce nouveau business model, les deux associés génèrent rapidement un chiffre d’affaires plus élevé tout en n’abandonnant pas complètement le premier business model. Grâce à leur réactivité, Ils passent en peu de temps de quelques centaines de milliers d’euros à un million d’euros.

La poursuite en franchise.

Les entrepreneurs choisissent de poursuivre leur croissance en Franchise car cette méthode leur permet d’aller plus vite dans le développement de l’entreprise. « Ne faire que des agences en propre entraine beaucoup de frais. Comme nous sommes une entreprise de service, cela engendre de nombreux investissements mais qui ne sont pas d’ordre matériel. La conséquence en est qu’il se révèle difficile d’obtenir le soutien financier d’une banque. Or, Il faut financer des responsables d’agence sur 15 mois avant de pouvoir les rémunérer.

Actuellement, nos franchisés se développent encore plus rapidement et peuvent être rentables bien avant (en moins d’un an). Nous avons opté pour la Franchise car ce process nous permettait d’ouvrir de nombreux points de vente sans disposer d’une immense trésorerie. » nous confie la dirigeante.

Pour la sélection des candidatures en franchise, Claire Lanneau fait appel à un cabinet de recrutement, met en place une « zonification » et travaille avec un partenaire géomarketing pour évaluer le nombre de zones en France qui répond à leurs critères. « Nous avons constaté qu’il y avait plus d’une centaine de zones en France et la première franchise a débuté à Rennes. Aujourd’hui nous sommes implantés presque partout en France et dans les Doms ». Ils ont mis en place une animation du réseau qui compte aujourd’hui 4 personnes. « Ces derniers suivent les franchisés et vont les rencontrer même si nous organisons deux conventions par an et que nous proposons un catalogue de formations. Il s’agit de former les franchises sur les aspects de pilotage et gestion de leurs agences, aussi bien humains que financiers, pour arriver dans les meilleurs délais à la multi franchises ».

Des objectifs différents.

Bien que l’entreprise se développe de manière exponentielle, les objectifs des deux fondateurs ne sont plus identiques et ils décident de se séparer dès fin 2008. « Je sentais que mon associé n’avait pas forcément envie de développer davantage. Il n’avait pas les mêmes ambitions que moi. Cela m’a permis d’aller vers un développement plus serein car lorsqu’on n’est pas sur la même vision de l’entreprise et qu’il n’y a pas la même volonté de prise de risque, la croissance de l’entreprise est mise en jeu ». Leur séparation n’est pas immédiate puisqu’elle met un an à être effective. « Cela s’est bien passé mais cela a été un challenge. » nous confie la dirigeante.

Des changements mouvementés.

A partir d’une vingtaine d’agences, la dirigeante décide  de faire appel à un audit réalisé par un cabinet, Progressium, spécialisé en franchise et qui s’occupe depuis de leur recrutement. Parallèlement, Claire Lanneau et son équipe dirigeante changent de système d’informations pour mieux gérer les bases de données. Certaines franchises décident alors de sortir du réseau notamment « celles qui n’avaient pas l’esprit franchise . Nous avons décidé de réinvestir les zones qui ne sont plus couvertes. Nous avons ouvert 3 succursales en propre ». Le développement se poursuit et reste principalement en franchise puisque parmi les 73 agences de la marque seulement 8 demeurent en propre mais représentent tout de même près de 25 % du chiffre d’affaires. « Ce qui se passe depuis quelques années c’est que nous avons surtout ouvert des multi franchises, certaines ont jusqu’à 5 points de vente. ».

Une stratégie principalement sur la franchise.

Les objectifs ? Fixés il y a 3 ans en avril 2016 à Marrakech lors d’une convention, ils se sont donné le challenge de 100 agences en 2020 pour les 10 ans de l’entreprise. Pour y arriver l’entrepreneure possède une stratégie de développement claire : continuer le développement en franchise de manière prioritaire avec une possibilité pour tous ceux qui ont réussi la première franchise d’en ouvrir une deuxième. « Il faut avoir prouvé la capacité à gérer la première. Alors que nous attendions 5 – 6 ans pour laisser ouvrir une deuxième agence, je pense que nous allons le permettre dès la 3ème année pour ceux qui se sont révélés capables d’en gérer une. » nous indique la dirigeante.

Des agences tout de même en propre et une diversification à venir.

Pourtant la dirigeante compte bien continuer à ouvrir des agences en propre. « J’en ouvre un peu chaque année ces derniers temps. Je pense en ouvrir 2 – 3 cette année en région parisienne, tout simplement car cela rassure toujours. Nous avons un rôle d’exemple et cela nous permet de faire évoluer au mieux le savoir-faire. » Ce n’est pas la seule stratégie de l’entrepreneure puisqu’elle désire également développer le coté prestataire de services sur des sujets connexes. « Nous avons lancé des évènements de type anniversaires d’enfants ou pour un mariage. Cela représente 5 à 8 % du chiffre d’affaires, ce qui est déjà bien ! Nous allons notamment relancer une offre qui s’appelle les mercredis découvertes qui sont des sortes d’ateliers à la maison »

Une communication importante à venir.

Pour réussir son challenge l’entrepreneure sait qu’elle devra réussir un double défi : « continuer la transformation digitale de l’entreprise et renforcer la communication. Cela fait trois ans que nous faisons du sponso TV, que nous nous sommes mis sur le digital et que nous nous sommes entourés d’une agence média. Ce qui va être essentiel c’est d’améliorer notre pénétration de marché et notre notoriété. Nous sommes actuellement 4ème du marché et l’ambition est de prendre. la seconde, voire la 1ère place. »

Le choix de ne pas aller à l’international.

Si on devait se dire que l’international pourrait tenter la dirigeante, il s’avère que cela ne serait pas aussi facile que l’on pense. « Je n’ai pas vraiment encore décidé d’aller à l’international. Il faudrait que notre concept soit adapté. Celui-ci l’est en France car il y a beaucoup d’enfants avec un taux de fécondité proche de 2 par femme et avec une politique familiale soutenue. Il y a 750 000 naissances par an en France et dans les autres pays la natalité peut être moindre, le taux d’accessibilité au travail des femmes un peu moindre comme en Allemagne. Nous y pensons mais cela nécessitera une modification de notre concept ». S’il leur reste encore du chemin à parcourir, ils peuvent compter sur la Franchise expo pour réussir ce challenge et sur le développement des multi franchises. Nous leur souhaitons.

Fidéliser la clientèle en 2019 grâce au Community manager

La tâche du Community manager est rendue particulièrement délicate en raison de la volatilité des internautes. Ces derniers profitent de la liberté que leur offre internet et naviguent comme ils l’entendent. Même s’ils sont vos plus fidèles admirateurs. Ils peuvent vous quitter sans état d’âme du jour au lendemain pour un concurrent. 

Pour la huitième année consécutive, le blog du modérateur publie des résultats éloquents de l’enquête sur les Community managers en France. Cette année, 1 150 professionnels ont répondu à leurs questions et donnent le reflet de cette profession qui ne cesse de demander des compétences supplémentaires.

Quelques chiffres surprenants

Seulement 20 % des internautes prennent connaissance du contenu des publications sur tous ceux qui le partageront, soit 1 personne sur 5. Il reste déroutant de penser que 80 % des personnes partagent un contenu sans le lire. Un chiffre qui peut en décourager plus d’un.

Les but du community manager

Le rôle du Community manager reste de recruter et de fédérer les clients. Son activité a une composante « marketing et business développement », en étant à l’écoute des besoins des prospects et clients, et une composante « service clients » en prenant en compte leurs problèmes et leurs critiques. N’oubliez pas qu’il doit également garantir une relation client cohérente en fonction de la stratégie et protégez les valeurs de l’entreprise : sur quel ton interagir avec les fans ? Faut- il modérer certains propos ?…

Une approche humanisée de la relation clients

Le service clients communautaire instaure une relation « one-to-one » humaine, transparente et participative. La vision du marketing à l’ère du Community management est du côté de la personnalisation et dans l’échange ouvert aux commentaires des clients. Faire preuve de transparence et partager doivent être les maîtres mots de cette relation.

Les contenus qui impactent

Les Community managers sont de plus en plus nombreux à poster des vidéos avec les comptes de leurs marques. Les contenus qui génèrent le plus d’interaction » sont les vidéos (88 %), les images (85,5 %), les Lives (37 %), les GIF (36,5 %) et les infographies (28 %) selon une étude réalisée par Camille Alloing et Julien Pierre, enseignants-chercheurs à l’Université de Poitiers et à l’Audencia Business School de Nantes, auprès de 545 Community managers francophones. Il est clair que les vidéos et les images ont le vent en poupe sur les réseaux et qu’elles s’avèrent être un appui incontestable. A noter que près d’un Community manager sur deux (44 %) a recours aux vidéos en live dans ses évènements.

Des solutions professionnelles sur les médias sociaux

Des outils dédiés aux entreprises ont été créés sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Youtube ou Flickr. Ces outils permettent de gérer et fédérer votre communauté de clients. Ils demeurent d’une grande efficacité… à condition de les animer régulièrement et avec du contenu capable de susciter l’intérêt de la communauté et de se placer dans une relation interactive avec les clients. La créativité du Community manager reste essentielle pour communiquer de manière interactive avec sa communauté de clients : organisation de jeux, invitation à des soirées privées, débats, tests de produits, offres dédiées aux clients internautes, conseils et astuces.

Les stories, la marque de fabrique d’Instagram

Vous pouvez faire appel aux stories dans votre communication sur les réseaux sociaux. En 2018, ils sont 54 % à publier des photos ou des vidéos dans leurs stories Instagram ou Snapchat. 94 % des Community managers qui publient des stories le font sur Instagram, contre seulement 12 % sur Snapchat (ils étaient 27 % l’an dernier). Même Facebook obtient de meilleurs résultats à ce sujet (31 %).

Les qualités du Community Manager

Etre un enquêteur hors pair.

Le Community manager doit être en veille sur son secteur d’activité et devra sans cesse réaliser des investigations pour toujours être dans le courant. Il effectue également une veille informationnelle afin de chercher des idées judicieuses pour ses contenus. Sa veille, il doit la réaliser au travers d’outils dédiés s’il veut être performant. Il analyse et observe la concurrence. Il veille à ce qu’on dit de sa marque sur les réseaux sociaux et sur internet en général. En quelques mots, une tâche qui lui demande stratégie et compétences.

Un acteur qui joue le rôle principal.

Chaque Community manager gère une communauté, voire davantage selon les réseaux sociaux où l’entreprise est présente. Il doit savoir s’appuyer sur sa communauté pour la rendre active. Il ne se contente pas de rester derrière un écran et un clavier au quotidien. Être Community manager, c’est avant tout partir à la rencontre de sa communauté. En rencontrant les membres de sa communauté au travers d’événements, il fédère sa communauté.

Un modérateur indispensable.

Il assure la gestion de la réputation de l’entreprise sur la toile mais surtout joue rôle de modérateur en veillant à ce que les propos émis par les contributeurs au sein de la communauté ne puissent pas nuire à l’image de l’entreprise. Son rôle ne consiste pas uniquement à représenter et à faire connaître l’entreprise auprès des internautes. Il doit s’assurer que l’entreprise possède une image irréprochable. En quelques mots, le Community manager est un spécialiste en communication et marketing ayant la maîtrise d’internet.

Les obstacles sur le chemin du Community manager

1/ La surinformation, surnager au milieu de la jungle. Le surcroît d’informations partagées sur internet, les réseaux sociaux empêchent de donner une valeur ajoutée aux contenus. De nombreux rédacteurs web et blogueurs choisissent des titres incitatifs relatifs à des actualités à sensation et ne sont plus qu’à la recherche du scoop. En conséquence, la créativité s’appauvrit et il devient difficile d’émerger au milieu de cette jungle de contenus.

2/ Les moteurs de recherche, un véritable casse-tête. Se positionner sur les moteurs de recherche et notamment sur Google devient complexe. Google modifie régulièrement son algorithme et impose de nouvelles règles en matière de rédaction ou tout du moins, il les induit.

3/ La maîtrise des réseaux sociaux, un incontournable. Un Community manager doit parfaitement maîtriser les réseaux sociaux. Maîtriser un réseau social implique de connaître l’ensemble de ses fonctionnalités et son code de langage. Parmi eux sont intégrées des plateformes publicitaires qu’il faudra également cerner. Enfin pour chacun d’entre eux, il est bien d’avoir des utilisateurs référents qui seront des exemples de la bonne utilisation d’un réseau social.