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Quelles sont donc les entreprises favorites des jeunes diplômés et étudiants ?

Apple, Airbus et Google sont les entreprises préférées des étudiants d’après le baromètre 2019 de l’agence de communication Epoka et Harris Interactive. C’est donc toujours, le secteur des nouvelles technologies qui attire la jeunesse mais elle plébiscite aussi la qualité de vie au travail et ne s’en laisse pas compter. Décryptage pour attirer les talents.

Le palmarès : Apple, Airbus et Google

Selon le baromètre de l’agence de communication Epoka et Harris Interactive, mené en mars et avril 2019 auprès de 15 408 étudiants et jeunes diplômés des écoles d’ingénieurs et de management, qui leur ont proposé de sélectionner leurs entreprises de référence parmi 173 entreprises on peut constater que

  • Apple suivie de LVMH et L’Oréal sont plébiscitées par les jeunes issus des grandes écoles de management
  • Airbus, Dassault Systèmes et Dassault Aviation sont plébiscitées par les jeunes issus d’école d’ingénieurs  
  • Apple, Google et Air France KLM sont plébiscitées par les jeunes diplômés des universités.

Quelles sont les critères de leur choix ?

Les premiers critères qui les incitent à sélectionner une entreprise pour y présenter leur candidature sont significatifs des nouvelles tendances et des besoins :

  • les conditions de vie au travail (54%),
  • la politique de rémunération et les avantages sociaux(41%),
  • le secteur d’activité (41%),
  • la réputation de l’entreprise en matière d’ambiance de travai
  • la dimension internationale des entreprises (55 %) des jeunes diplômés veulent commencer dans une entreprise française bien implantée à l’international et 53 % dans une entreprise internationale.

Qu’est-ce qui les conduit à intégrer une entreprise ?

La réalité de la vie actuelle se trouve bien marquée dans leurs réponses 

  • Une bonne rémunération (82%)
  • Travailler sur des sujets intéressants (80%)
  • Apprendre, monter en compétence (67%).

Les entreprises préférées des jeunes et ce qu’ils attendent du monde du travail

Des étudiants et jeunes diplômés sont attirés par les nouvelles technologies, l’international et la R&D

Le secteur le plus attractif pour les étudiants et les jeunes diplômés est celui des Nouvelles technologies (41%). Il attire les profils ingénieurs comme les profils universitaires. Cependant, le secteur du Luxe (32%) attire davantage les profils « management. Ils sont suivis par /

  • les secteurs du Conseil (26%),
  • de l’Énergie (25%)
  • l’Industrie (23%).

Quant aux fonctions plébiscitées, les étudiants et jeunes diplômés sélectionnent :

  • la recherche & développement et l’innovation (43%)
  • la stratégie (38%)  
  • le marketing (30%
  • la communication (26%)
  • la production (23%)
  • le digital (23%)  
  • la finance et vente/commerce (20%).

Ont-ils peur de ne pas trouver d’emploi ?

La confiance dans le fait de trouver un emploi dépend de la formation suivie (et traduit la réalité du marché du travail) : elle est optimum chez les étudiants en écoles d’ingénieurs (87%), 69% dans les écoles de management et n’est que de 54% pour les formations universitaires.

Mais comment mener une carrière professionnelle ?

Incontestablement, ce sont les « soft skills » c’est-à-dire leur : capacité d’adaptation (60%), polyvalence (46%), autonomie (43%),qualité relationnelle (40%), diplôme (35%) qui n’avive qu’en dernière position. Ils estiment pourtant à 76% que leurs études les préparent convenablement à l’exercice de leur métier.

Comment font-ils leurs recherches ?

Un site web d’entreprise performant est un critère qui suscite leur désir de postuler (95%). A contrario, un site « mal fait » les conduit à s’en détourner (70%). Pour réaliser leurs investigations, les étudiants et jeunes diplômés ont recours aux réseaux sociaux et favorisent LinkedIn (à 73% pour les profils universitaires, 77% pour les profils ingénieurs et à 86% pour les profils managers). Étudiants et jeunes diplômés estiment qu’une entreprise est porteuse de sens et de valeur quand elle propose un site web avec un contenu complet et attractif (56%) et qu’elle alimente régulièrement ses réseaux sociaux (40%).

Quels sont les critères d’attraction ?

La vidéo est un moyen efficace de capter leur attention : ils plébiscitent ce format à plus de 90% et apprécient particulièrement les prises de parole des collaborateurs sur leurs métiers (43%) et les vidéos mettant en scène l’ambiance, les locaux et la vie de l’entreprise (36%). Les engagements RSE et les prises de parole des dirigeants n’attirent pas comme on pourrait le penser puisque le résultat est de 11% et 10%.
Ce baromètre met en exergue que certains secteurs comme ESN (services de technologie) ne les attirent et qu’ils doivent poursuivre leurs efforts pour attirer les jeunes dans leur communication.

*Méthodologie de l’étude EPOKA / LES ENTREPRISES PRÉFÉRÉES DES ÉTUDIANTS & JEUNES DIPLÔMÉS 2019 : Enquête Harris Interactive réalisée en ligne en mars/avril 2019 auprès de 15 408 étudiants et jeunes diplômés français des Grandes écoles d’ingénieurs et de management.

Déplacements : comment arriver à la vitesse de la lumière

Les déplacements s’avèrent souvent Indispensables mais demeurent terriblement chronophages. Ils représentent une grosse part du temps perdu par les dirigeants chaque jour. Quelques astuces pour optimiser votre temps de transport.

Les transports sont souvent synonymes d’embouteillages, de retards de train ou de suppression en raison de grèves. De quoi faire pester plus d’une personne qui cherche à optimiser son temps. Pour ne plus être victime des péripéties des transports et optimiser votre temps de déplacement, il existe plusieurs techniques.

Pensez au rendez-vous à distance

Avant de vous lancer dans un voyage pour rencontrer votre interlocuteur, demandez-vous si votre rendez-vous peut être organisé à distance. La plupart du temps la rencontre physique n’est pas indispensable même s’il est évident que vous ne pouvez pas vous en passer notamment pour motiver vos équipes. Essayez de grouper autant que possible vos rendez-vous dans la même journée afin de pas vous retrouver submergé, surtout si vos clients sont présents sur une même zone géographique. Vous éviterez ainsi d’incessants allers-retours à votre bureau.

Pour vos déplacements urbains : vous pouvez opter pour le taxi ou le vtc dans lequel vous pourrez traiter vos emails via votre tablette par exemple ou encore lire des informations. Si vous avez votre propre moyen de locomotion, n’oubliez pas de vérifier l’état du trafic avant de partir et évitez de vous retrouver coincé dans les bouchons. Définissez un itinéraire rapide qui évite les zones engorgées. Certaines applications vous permettent également de vous tenir au courant en direct des parcours qui vous prendront le moins de temps. En cas de circulation très dense, vous pouvez essayer les moto-taxis présents dans certaines villes qui vous feront slalomer entre les voitures pour arriver en moins de temps qu’il ne faut pour le dire à destination.

Pour des déplacements en train ou en avion : pour vous éviter de perdre du temps à réserver vos billets, de nombreux services de conciergerie existent et qui peuvent très bien se charger de réserver pour vous vos billets. N’oubliez pas que voyager léger, vous permet d’éviter d’attendre vos bagages et que vous pouvez opter pour un bagage à main. Vous gagnerez du temps puisqu’il ne sera pas nécessaire de l’enregistrer au départ et de le récupérer à l’arrivée.

Les français toujours addicts aux vacances ! et en France

Les Français sont attachés aux vacances et ils n’hésitent guère à consacrer une partie de leur budget aux vacances estivales. D’ailleurs, la France et le Brésil sont les seuls pays à prendre deux semaines ou plus de vacances d’été. Le baromètre IPSOS pour Europ Assistance étudie les projets de vacances estivales à travers le monde. Il se penche entre autres sur l’évolution des habitudes des Français en 2019. Il apparaît que la France reste la destination estivale favorite des Français. Focus sur les vacances.

En 2019, forte hausse du budget alloué aux vacances d’été par les Français.

La France arrive toujours dans le trio de tête, 69 % des Français envisagent de partir cet été pour environ 2 semaines (vs 1,8 semaine en Europe). Les Français sont les premiers de la classe en Europe. Ils sont cependant devancés par les Brésiliens qui comptent partir 2,2 semaines.

Le budget ?

En Europe, c’est la France qui, avec un budget de 2 201 € en 2019, enregistre la plus forte augmentation (+10 % par rapport à l’année passée). Cependant c’est l’Allemagne qui enregistre un budget plus élevé 2 467 € et qui se révèle être en forte augmentation + 4 %. L’Espagne, avec un budget moyen de 1 798 € et une augmentation de + 8 % se trouve en troisième position.

Les Français plébiscitent la France, des vacances au vert et déconnectées !

56 % des Français (-1 pt vs 2018) choisissent la France comme destination favorite.
Puis

  • l’Espagne (16 %)
  • l’Italie (10 %,)  
  • le Portugal (7 %).

Mais où préfèrent-ils aller ?

  • 62 % à la mer,
  • 24 % à la campagne 
  • 23 % à la montagne.

Et ils veulent se déconnecter !

En France, plus des deux tiers des vacanciers, soit 71 % comptent se déconnecter cet été, ce qui les positionne en 2ème position juste derrière le Royaume-Uni en tête des pays qui se déconnectent le plus (76 %).

Et le vert a le vent en poupe

Enfin, la prise en compte de l’empreinte écologique du voyage a un impact sur le choix de la destination En France, plus d’un Français sur dix (15 %) a déjà fait du tourisme écologique, axé sur la découverte et le respect de la nature et se dispensent même des activités touristiques qui génèrent des nuisances pour l’environnement (notamment le transport).

L’hébergement, quel choix font-ils ?

La location saisonnière est le mode d’hébergement privilégié des Français 44 % d’entre eux ont l’intention de louer un appartement ou une maison pour leurs vacances. La moyenne européenne est bien moins élevée puisqu’elle se situe autour 34 %. L’hôtel reste la solution d’hébergement la plus envisagée par les Européens, Américains et Brésiliens.

Mais la France pour les européens

Lorsqu’il s’agit de voyager en dehors de leur propre pays, les Européens continuent à privilégier : la France, l’Espagne et l’Italie. L’Hexagone est également la troisième destination rêvée des Brésiliens.
La Tour Eiffel 12%, l’incontournable dame de fer, occupe la première place dans sept des dix pays européens étudiés ainsi qu’au Brésil, séduit les touristes du monde entier. Elle est également classée en deuxième position des monuments à visiter pour les Américains.

Et les millennials ? des casseurs de codes

Les jeunes Français de moins de 35 ans anticipent moins leurs vacances (26 % réservent moins d’un mois à l’avance) mais établissent leur choix de destination sur les activités sur place (27 %).

L’étude démontre que les millennials français préparent leurs vacances à partir de leur manière de vivre :
– sur les avis des autres voyageurs (13 %)
– aux photos présentes sur Internet (11 %)
– la confiance accordée à l’hôte (8 %).

Les millennials français cassent les codes du voyage traditionnel et font le choix de modes d’hébergement conformes aux nouvelles habitudes de vivre :
– la location saisonnière entre particuliers (72 % des millennials),
– l’échange gratuit de logements entre particuliers (29 % des millennials)
– la location d’une chambre chez l’habitant (38 % des millennials).

Les Français plus prévoyants que leurs voisins européens

En Europe, les Français se montrent plus prévoyants que leurs voisins européens : 94% des Français déclarent être couverts par au moins une garantie d’assurance lorsqu’ils partent en vacances contre 85 % des Européens. Ils s’assurent pour
– le transport médical d’urgence (63 %),
– l’annulation de voyage (59 %),
– la couverture médicale (56 %).

Pour la faible proportion de Français ayant l’intention de partir en vacances sans assurance (6 %), 46 % jugent le coût trop important et 34 % concèdent ne pas avoir le réflexe de souscription. L’étude met en lumière une autre spécificité : 19 % des Français non-assurés estiment ne pas prendre de risques durant leurs vacances et par conséquent, ne pas avoir besoin d’une assurance voyage !

Méthodologie :

Cette étude a été réalisée par Ipsos à la demande d’Europ Assistance sur un échantillon de 12 000 personnes en Europe (France, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique, Autriche, Royaume-Uni, Suisse, Pologne et Portugal) et en Amérique (États-Unis et Brésil) entre le 18 mars et le 10 avril 2019. Elle a été menée auprès d’un échantillon représentatif de la population de chaque pays (répondants âgés de 18 ans et plus, et de 16 ans et plus au Brésil) constitué à l’aide de la méthode des quotas (sexe, âge, profession) après stratification par région et par catégorie d’agglomération.

Les niches fiscales en voie de disparition pour les entreprises ?

La disparition des niches fiscales a fait la une de tous les médias. Cependant, les articles qui brandissent un épouvantail ne semblent pas impacter le moral des dirigeants d’entreprise. L’enquête de l’Observatoire des PME-ETI de Challenges-Opinionway et la Banque Palatine nous révèle d’ailleurs le regard porté par les dirigeants.

Réduction des niches fiscales pour les entreprises : plus d’un milliard de recettes en 2020

Lors du « Grand Jury » organisé par Le Figaro, LCI et RTL, Gérald Darmanin a précisé les modalités du financement de la baisse  de « un milliard de baisse (…) sur les niches (fiscales des entreprises) » et de sa volonté de supprimer sur les niches fiscales jugées « antiécologiques » ou « antisociales », comme le taux réduit des taxes sur le gazole non routier (GNR) dont bénéficient certains secteurs industriels dont le BTP ou encore la déduction forfaitaire pour frais professionnels (DFS), un abattement de charges patronales réservé aux entreprises de certains secteurs, notamment le bâtiment, l’aviation, le nettoyage…

En ce qui concerne la DFS, (déduction forfaitaire spécifique), le gouvernement exprime son intention de « travailler avec les professionnels du secteur pour réduire cette niche et pour la supprimer ». Il a toutefois précisé que la suppression de l’avantage fiscal sur le GNR se ferait « sur plusieurs années (pour) pouvoir discuter avec les professionnels (et) les aider à s’adapter ». Il a également rappelé que le gouvernement excluait de revenir sur d’autres dispositifs comme le taux réduit de TVA dans la restauration ou le crédit d’impôt recherche (CIR).

L’enquête de l’Observatoire des PME-ETI de Challenges-Opinionway et la Banque Palatine présentée jeudi 20 juin, menée du 24 mai au 7 juin dernier auprès de 300 dirigeants d’entreprises (de 15 à 500 millions d’euros de chiffre d’affaires), nous permet de comprendre pourquoi la suppression de ces niches n’émeut pas outre mesure les dirigeants.

La suppression de niches fiscales, peu explicites pour les PME-ETI françaises…

En effet, seulement 2% comprennent quelles sont les niches qui pourraient être supprimées et (36%) des dirigeants de PME-ETI n’en ont aucune idée parmi lesquelles une courte majorité des dirigeants se déclare favorable à cette décision du gouvernement, que leur entreprise profite de niches fiscales ou non.

54% des dirigeants de PME-ETI sont favorables à la disparition des niches

La réponse est d’autant plus étonnante que celles qui en bénéficient (27%) et celles qui n’en bénéficient pas arborent la même attitude.

Quelles sont les niches fiscales à supprimer ou à garder pour les dirigeants ?

C’est le crédit d’impôt pour la formation du chef d’entreprise qui recueille le plus d’avis favorables pour la suppression 54%. A contrario, les 3 niches fiscales pour limitation/suppression sont les crédits d’impôt apprentissage (12%), recherche (15%) et intéressement (15%) et donc leur maintien correspond à un besoin réel des entreprises.

 

L’enquête nous permet de constater que la confiance en l’économie française (75%, +3 points) progresse et retrouve même le niveau d’octobre 2018. 81% des dirigeants de PME-ETI affichent une confiance en leur propre entreprise, à un niveau stable depuis mars. Les prévisions d’embauches affichent un léger rebond en juin et la plupart des dirigeants de PME-ETI prévoient de maintenir leur nombre de salariés (80%).

Disparition des emballages : un réel enjeu pour les distributeurs et les industriels

L’emballage en plastique, il y a encore peu de temps le client ne le payait pas, puis il a commencé à le payer et celui-ci s’est transformé en emballage papier. Il connaît des évolutions constantes au fur et à mesure de la prise de conscience des consommateurs de l’impact du plastique sur l’environnement. Elles obligent les entreprises à répondre à cette prise de conscience. Décryptage.

A l’occasion des Ateliers de l’Emballage organisés par le magazine Process Alimentaire, Nielsen a analysé l’attente des consommateurs envers des emballages respectueux de l’environnement. 45% des consommateurs s’attachent à acheter des produits avec moins d’emballage et 80% se disent favorables à l’utilisation d’emballages réutilisables.

L’enjeu de la disparition des emballages ?

Les alertes incessantes, les articles sur l’environnement et sur la fonte de la banquise, les images de déchets plastiques qui envahissent la mer et nourrissent les poissons ont éveillé la conscience des consommateurs à travers le monde. 3 consommateurs sur 4 déclarent désormais qu’ils vont transformer leurs habitudes de consommation pour réduire leur impact sur la planète… et d’ailleurs, il n’est plus rare d’avoir un sac à provisions réutilisable, une nouvelle manière d’afficher son désir d’être un protecteur de la terre.

Oui mais pas de coûts supplémentaires

30% seulement sont prêts à payer davantage pour des produits “RSE-conformes”, ce qui souligne la complexité des enjeux actuels et donc montrer que les distributeurs et les industriels doivent concilier motivation écologique… et contrainte économique des consommateurs. Il leur faut donc trouver des idées innovantes sous peine de perdre des clients ou bien de vouloir en gagner par la suppression du plastique et par de nouveaux emballages qui respectent l’environnement grâce à leurs capacités de recyclage.

L’emballage, la préoccupation des consommateurs

Pour Isabelle Kaiffer, Directrice Insights Consommateurs et Shoppers chez Nielsen, “la problématique de la RSE couvre de nombreux aspects pour nos compatriotes, devant la problématique des emballages”. Pour 1 Français sur 2, la réduction et la modification des emballages sont en effet des enjeux cruciaux à prendre en compte.

A la question : Quelle est selon vous le degré d’importance de ces démarches ?

Arrivent en tête, les réponses suivantes

Méthodes de production en France (pas de travail des enfants) 55%

Diminution et modification des emballages 51%.

Prendre en compte les actions des consommateurs

Parmi les actions concrètes au quotidien, le tri sélectif et l’utilisation raisonnée des sacs de courses sont les plus fréquemment citées. Vient ensuite la considération de l’emballage : 45% des consommateurs déclarent essayer d’acheter des produits avec moins d’emballage. Cette attitude devient un signe de reconnaissance de consommateurs responsables et dont ils tirent une certaine fierté.

Pour Isabelle Kaiffer, “même si d’autres gestes sont jusqu’ici plus répandus chez nos compatriotes, la volonté de privilégier les produits avec moins d’emballages est réelle, et doit conforter les industriels et enseignes à accélérer en ce sens pour une consommation plus responsable”.

A la question : Quelles pratiques éco/environnementales effectuez-vous le plus souvent ?

Pratiquer le tri sélectif 88%

Réutiliser mes sacs en plastique 78%

Privilégier les sacs réutilisables 74%

Acheter des produits avec moins d’emballage 45%

Les chiffres sont significatifs pour conduire les fabricants à trouver des solutions le plus rapidement possible.

Et pourquoi pas la renaissance des consignes et recharges ?

Si la diminution des sur-emballages ou la réduction des quantités de plastique utilisées, deviennent de nouvelles pratiques, les consommateurs se disent également favorables voire très favorables à l’utilisation d’emballages rechargeables ou consignés, dont les initiatives se multiplient à plus ou moins grande échelle. D’ailleurs les cartouches d’encre rechargeables sont devenues une nouvelle pratique en raison des économies qu’ils représentent entre autres. Le discours, si vous n’avez pas la cartouche originale vous risquez de provoquer des dégâts irréversibles sur votre machine est devenu obsolète ! les boutiques de recharge de cartouche se sont multipliées pour montrer que le consommateur est difficile à berner.

Les démarches santé des salariés : un réel impact sur les entreprises

Compte tenu des évolutions démographiques, de plus en plus de personnes âgées sont à la charge de leurs proches pour les démarches administratives ou pour les accompagner à divers rendez-vous médicaux tant pour les personnes âgées que pour leurs enfants des maladies qui font la une des médias touchent nombre de salariés (cancer, arthrose…) qui contraint les salariés à se soigner en même temps qu’ils sont en poste. Qu’en est-il de l’impact sur les entreprises mais aussi quel comportement adopte les salariés pour affronter ces difficultés ? Décryptage.

« Les salariés et la santé en entreprise », le sondage réalisé en ligne auprès d’un échantillon de 1061 personnes représentatif de la population des salariés français du âgés de 18 ans et plus par OpinionWay pour Concilio, avec le soutien de LabRH en juin 2019, met en évidence que l’impact des démarches santé des salariés sur les entreprises est loin d’être anodin et que cette réalité est un véritable enjeu pour les entreprises.

Les démarches de santé, des casse-têtes stressants

Dans l’étude, un tiers des répondants affirment qu’ils manquent de temps pour leurs démarches de santé. 50% d’entre eux qu’elles sont stressantes. De plus, 60% des salariés de moins de 35 ans estiment les démarches santé et celles de leurs proches sont plus complexes, contre 55% pour les plus de 50 ans.

Les femmes les premières impactées par les démarches santé

Cette étude met en exergue le fait que ces démarches de santé touchent particulièrement les femmes. 55% trouvent qu’elles sont stressantes (contre 45% des hommes), et 53% qu’elles sont pénibles (contre 44% chez les hommes). Enfin, on peut constater que c’est en région parisienne que ces difficultés sont le plus marquées.

Les démarches de santé des salariés, un coût caché pour les entreprises…

Le fait que les démarches demandent du temps et de plus qu’elles soient complexes. En effet, les personnes entrent dans un labyrinthe dont il est difficile de trouver la sortie engendrent des conséquences onéreuses pour les entreprises. D’ailleurs 56% des salariés déclarent s’être absentés de leur lieu de travail pour des raisons liées à leur santé et celle de leurs proches.

 

La réalité !

Alors que ces pratiques sont minorées ou passés sous silence, les salariés français déclarent avoir passé 13h07 par an à effectuer des démarches de santé au travail. Dans le détail, les salariés qui effectuent chacune de ces démarches de santé pendant leur temps de travail ont passé 3h54 à se renseigner sur les symptômes que présente un proche et 3h51 sur leurs propres symptômes, une majorité des salariés ayant déjà effectué leurs recherches ou prises de contact au travail. L’équivalent de deux jours de travail sur une année, un véritable coût caché pour entreprises.

Les français loin d’être des absentéistes chroniques, bien au contraire

87% des salariés se sont déjà rendus sur leur lieu de travail alors qu’ils étaient malades. En plus, on peut bien imaginer une baisse de leur productivité. Ce comportement s’accompagne souvent par le fait de « transmettre aux collèges la maladie dans le cas des virus. Une nouvelle fois les femmes sont davantage concernées. 92% d’entre elles (contre 82% chez les hommes) se rendent au travail alors qu’elles se sentent malades.

Mais « motus bouche cousue » sur les raisons des absences

Mais ce qui est révélateur des sentiments c’est que 58% des salariés le cachent à leur responsable (34% au moins de temps en temps). Les conséquences sur le travail sont évidentes. En effet, 85% des salariés peuvent se sentir trop fatigués pour faire leur travail efficacement. 68% ont déjà été ralentis par une blessure.

Mais à cela s’ajoute le frein lié à leur inquiétude. 78% des salariés ont déjà été préoccupés par l’état de santé d’un proche pendant le travail 76% par leur propre état de santé.

Alors que le sujet peut également amener les salariés à se taire. 56% confient avoir déjà dû s’absenter de leur lieu de travail pour des raisons liées à leur santé ou à celle de leurs proches. Les plus courantes sont celles qui concernent les salariés eux-mêmes. 31% d’entre eux ont déjà quitté leur travail pour se rendre chez un médecin. 27% ayant déjà été empêché de se rendre à leur travail pour la même raison. 31% des interviewés ont également dû quitter leur travail pour passer un examen médical. Les salariés célibataires qui ont des enfants sont particulièrement concernés par le fait de devoir quitter leur lieu de travail pour aller chercher leur enfant malade à l’école. Cela étant déjà arrivé à 36% d’entre eux.

Une réelle valeur ajoutée pour les entreprises

Alors que la santé relevait jusqu’ici plutôt du domaine privé, les mentalités ont rapidement évolué. Les entreprises n’hésitent plus à proposer des services pour accompagner leurs salariés dans leurs démarches. Un réel engagement vis-à-vis des salariés, qui tend à faciliter les embauches. Il constitue un véritable atout pour aider les entreprises à se différencier des concurrents. Ils améliorent ainsi améliorer leur image de marque.

Cependant, malgré cet intérêt de la part des salariés, 66% d’entre eux considèrent que leur entreprise n’est pas attentive à leur santé. 71% indiquent que leur entreprise ne propose pas de services de santé. De plus, 71% seraient intéressés par au moins un service de santé.

La restauration rapide, sous pression, l’engagement du tri

La restauration rapide n’est pas aux normes et doit concentrer son action sur le tri des déchets et des biodéchets. L’enjeu est élevé puisque 70 % des restaurants devront être en règle avant fin 2019, 90 % fin 2020 et 100 % au 31 décembre 2021. Cet enjeu rencontre l’adhésion des chaînes qui ont signé le mardi 11 juin un contrat d’engagement. Zoom sur un engagement inédit.

Le gouvernement, que fait-il ?

Le gouvernement n’a pas lâché prise face aux 15 géants de la restauration rapide, dont McDonald’s, KFC, Burger King, Starbucks ou encore Domino’s Pizza Subway, Class’Croute, Exki, La Mie câline, La Croissanterie, Paul, Jour Healthy Groupe, Five Guys, Cojean et Pomme de Pain. A contrario, les géants ont dû lâcher prise et se sont engagés à respecter la feuille de route en matière de tri des déchets. Jusqu’à présent, elles avaient fait la sourde oreille.

Lors de la rencontre avec la secrétaire d’Etat de la transition écologique et solidaire, Brune Poirson mardi 11 juin, les quinze enseignes de fast-food ont signé le « contrat d’engagement de la restauration rapide pour le tri de leurs déchets » qui comporte un échéancier drastique en trois ans, échéancier présenté fin mai.

Le gouvernement a exigé des enseignes de restauration rapide, qui comptent plus de trente mille points de vente en France et servent quelque six milliards de repas chaque année, de rendre au moins 70 % de leurs restaurants opérationnels pour le tri des déchets d’ici à la fin 2019, puis 90 % au 31 décembre 2020 et 100 % au 31 décembre 2021. Un défi pour chacune d’entre elles !

La brioche dorée, que fait-elle ?

Seule Brioche Dorée ne s’est pas présentée en expliquant sa non présence » dans un communiqué où elle a déclaré qu’elle avait bien prévu d’être signataire. « Nous devions nous rendre ce matin à la Convention mais un retard de train ne nous a malheureusement pas permis d’être présents physiquement à la réunion organisée par Madame la Ministre, retard que nous avons signifié très tôt dans la matinée à son secrétariat », écrit l’enseigne dans le communiqué diffusé sur twitter. La chaîne Brioche a publié un communiqué en fin d’après-midi pour indiquer qu’elle se joignait à la signature.

Pas de temps à perdre pour se mettre aux normes.

Il ne s’agit pas d’attendre la fin de l’échéancier pour les signataires mais de rendre des comptes tous les six mois et « restaurant par restaurant » de « l’état d’avancement du déploiement », stipule le texte. Cependant, certains établissements « pouvant présenter des contraintes opérationnelles » auront « plus de temps ».

Eviter le Bad buzz pour les enseignes, un impératif

A l’heure où la préservation de la planète devient une préoccupation majeure, les enseignes ne voudraient pas détourner les consommateurs qui sont des juges implacables en la matière.  C’est pourquoi les enseignes ont préféré se lancer dans cet investissement coûteux mais si profitable en notoriété

Brune Poirson a souligné que les enseignes risquent « des amendes et des sanctions pénales »« L’environnement, la planète, ça n’attend pas : de toute façon, c’est une demande très forte des consommateurs », a affirmé Mme Poirson. Or, comme elle le confirme « pour beaucoup de ces entreprises, la réputation est parfois plus importante que la sanction ».

A savoir ! L’historique

Les établissements de restauration rapide doivent effectuer un tri des cinq flux (papier, carton, verre, plastique et métaux) depuis juillet 2016, ainsi qu’un tri à la source des biodéchets en cuisine et en salle (pour ceux qui génèrent plus de 10 tonnes de biodéchets par an…). Or, une enquête menée fin 2018 par le ministère a montré qu’aucun des cinquante établissements inspectés ne recyclait ses déchets, sur un secteur qui génère quelque 180 000 tonnes d’emballage et 60 000 tonnes de déchets alimentaires par an.

Le 18 octobre 2018, Zero Waste France a déposé plainte contre deux établissements McDonald’s et KFC pour non-respect de la législation.

Le non-respect du tri des 5 flux est passible d’une sanction administrative d’un montant maximal de 150 000€ (article L541-3 du Code de l’environnement), et constitue une infraction pénale punie d’une peine maximale de deux ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende (4° et 8° de l’article L541-46 du même Code).

Mais il faut aller plus loin !

Pour Thomas Battistini, président de l’enseigne Jour (trente-quatre restaurants), « le problème aujourd’hui n’est pas de trier dans les points de vente, c’est de valoriser les déchets qu’on a triés. (…) C’est un écosystème : on dépend des collectivités, des acteurs privés de la collecte ».

L’innovation participative : l’entreprise UPSA un exemple

Dans le cadre d’Innov’Acteurs, de nombreuses entreprises font part de leurs expériences en matière d’innovation participative. Elle suscite un véritable engouement. En effet, elle permet de faire preuve de créativité dans les relations entre les collaborateurs.

Innov’Acteurs est une association indépendante à but non lucratif, qui œuvre depuis 2002 à la promotion et au développement de l’Innovation Participative dans les entreprises, les organismes publics et les collectivités territoriales.

Les Trophées de l’Innovation Participative organisés par INNOVACTEURS récompensent les projets où les équipes qui sont les plus engagées et dont les résultats sont valables sur le moyen et long terme. Les débats de cette journée ont mis en exergue l’importance de la reconnaissance des salariés au-delà de la valorisation pécuniaire et l’implication massive des collaborateurs pour ce type de démarche.

Dans ce cadre, UPSA Trophée d’or de l’Innovation Participative – Engagement

En effet, selon le jury « UPSA a su incarner la démarche en lien avec les valeurs du groupe (passion, innovation, agilité et responsabilité). L’engagement collectif était important pour une meilleure performance socio-économique se traduisant notamment dans la charte d’engagement entre auteurs d’idées, ambassadeurs et managers. Cette implication a été favorisée par le dispositif d’animation comprenant des supports de communication divers et variés dont l’arbre de créativité qui permet de partager un concept avec d’autres services, les matinales quotidiennes où chacun peut lancer son idée ou son intuition, le dispositif ‘Give me 5’. Si le projet semble intéressant à développer, le collaborateur dispose alors de temps pour le concevoir, 5 heures, 5 jours, 5 semaines, 5 mois, …en fonction du degré de complexité. Le Jury a porté plus particulièrement son attention sur le dispositif de reconnaissance ‘BRAVO’ impliquant le management et le système d’intéressement. ».

La réussite de la mise en place de l’innovation participative au sein de l’entreprise UPSA

L’entreprise UPSA développe depuis quelques années une culture de l’innovation notamment sur son site industriel situé à Agen (Lot-et-Garonne).  

L’enjeu est de parvenir à engager les 1 300 collaborateurs des sites dans cette démarche et parvenir à libérer leur capacité créative – quel que soit leur poste – afin d’accélérer la mise en place de solutions innovantes supportant la stratégie.

L’engagement de la Direction est fort

  • La mise en place d’une gouvernance, constituée d’un réseau de 20 ambassadeurs formés à l’incubation pour accompagner les auteurs des idées dans l’analyse des impacts potentiels de leur proposition
  • L’implantation d’un système de reconnaissance individuelle pour récompenser les contributeurs
  • L’innovation est devenue un critère d’obtention de l’intéressement depuis deux ans. Cette année, il devrait prendre en compte le nombre d’idées incubées améliorant la Qualité de Vie au Travail et la performance financière.

Les idées viennent de l’ensemble du personnel

lors des réunions journalières « Les Matinales », lors des brainstormings, lors de World Cafés …, mais surtout via une plateforme collaborative (IDHALL). Cet outil informatique permet de capter des idées spontanées, des idées programmées (projets), mais aussi des idées provoquées lors d’appels à idées sur des problématiques spécifiques. Depuis le début de l’année, ce sont 170 propositions qui ont été postées dans cette boite à idées dont 70 % ont déjà été incubées.

En 2019, la culture de l’innovation s’ancre de plus en plus dans les différents secteurs de l’entreprise.. Elle se concentre principalement sur l’utilisation de nouvelles technologies (lunettes connectées, impression 3D, objets connectés …). Elle s’intègre aussi dans le management des équipes. Ainsi de nouvelles méthodes pédagogiques ont été testées pour former les équipes telles que les classes inversées. Des managers-coachs ont été certifiés pour aider les collaborateurs à trouver des solutions innovantes à leur problématique et atteindre leurs objectifs dans un environnement en pleine mutation et très réglementé.

L’internet des objets (IOT / Internet Of Things) permet de connecter des objets à Internet afin qu’ils puissent envoyer et recevoir des données. Il existe, par exemple, des capteurs installés sur des équipements. Ceux-ci mesurent les vibrations qui permettent de faire de la maintenance prédictive.

Un exemple à suivre. En effet, il a permis de créer un lien qui favorise le bien-être des collaborateurs tout en utilisant leurs compétences.

L’ascension fulgurante des CRM

Les CRM (Customer Relationship Management) ont vécu une transformation fulgurante en très peu de temps. C’est comme si, par téléportation, on se trouvait plongé dans un nouveau monde qui nous demande de développer un pouvoir d’adaptation immédiat. Il faut dire que nous venons de passer du client que l’on pouvait cerner facilement à un client planétaire. Les frontières et les barrières linguistiques ont été abolies et les CRM ont dû s’adapter pour nous permettre de comprendre ce client aux multiples facettes.

Ce client est devenu celui qui choisit, qui décide mais certes au gré des influences à l’échelle internationale.

Quelques mots sur l’influence des évolutions

1995 marque l’avènement du CRM. Ceux-ci s’imposent comme des outils indispensables par leurs capacités de stockage et de traitement des données.  En 2000 c’est le chamboulement d’internet : la France devient connectée de 15% à 85%. Le web s’impose et devient omniprésent. Il transforme comme une baguette magique la relation avec le client. Les liens avec eux se resserrent et permettent aux entreprises de cerner les habitudes nouvelles des consommateurs et d’adapter en conséquence leur stratégie marketing. De nouveaux CRM s’imposent et viennent en soutien aux entreprises souvent dépassées par le web. Depuis 2010, le client est ultra-connecté et aujourd’hui le mobile s’impose : le client et les entreprises ne se quittent plus. L’e-commerce et les réseaux sociaux règnent dès ce moment en maître. L’e-commerce impose ses lois et change les utilisations du CRM. Les réseaux sociaux sont scrutés car ils font et défont la réputation et la notoriété et imposent leur diktat. En 2016, le mobile supplante l’ordinateur et atteint 52 % du trafic mondial.

La sécurité et la confidentialité devenues prioritaires

A l’heure où la cybercriminalité est omniprésente, la sécurité et la confidentialité sont devenues pour les utilisateurs une priorité. Comme aujourd’hui les frontières sont étanches, elles sont  mises constamment en danger et l’utilisateur d’un CRM recherche à s’appuyer sur la législation française pour ne pas être confronté à des difficultés majeures. Ils sont donc à la recherche d’éditeurs de de CRM qui leur offrent des garanties de protection et qui leur permettent de ne pas perdre les informations récoltées ou qu’elles servent à la concurrence ou, pire, à des personnes mal intentionnées.

Par ailleurs, depuis 2018, le RGPD (règlement général sur la protection des données) est entré en vigueur. Il contraint les entreprises à cesser d’envahir les emails des particuliers et à utiliser des méthodes qui respectent la vie privée numérique. Aujourd’hui, le nec plus ultra réside dans la mise en place de la signature électronique qui permet d’établir une relation de confiance.

Avoir un logiciel conçu pour leur entreprise

Les PME et des TPE ont, aujourd’hui, des besoins différents d’autrefois. Le logiciel doit s’adapter à leur réalité et doit suivre les évolutions futures pour ne pas devenir obsolète en un rien de temps. La tendance on line est bien présente afin de pouvoir adapter le logiciel aux futures évolutions. Par exemple, GRC Contact propose un outil qui peut évoluer en fonction des différents besoins.

Garder le client, telle est la tendance actuelle

Garder un client fidèle qui a à portée de clics toutes les propositions est une véritable gageure pour les entreprises. Les sociétés étudient les clients sous toutes leurs coutures et analysent leur comportement qu’elles dissèquent pour vendre davantage et rendre pérenne leur business. Mais il est évident que les outils doivent toujours être les plus performants et capables d’analyses de plus en plus poussées.

La réalité à l’instant T

Offrir au client un outil fiable même sans posséder des compétences informatiques. Aujourd’hui le client a besoin d’une réactivé instantanée car il fonctionne de manière spontanée. Il a aussi besoin d’un conseiller dédié qui lui permette d’adapter le CRM à son besoin et à son secteur d’activité. Le CRM logiciel doit être à la portée de tout un chacun car les entreprises le savent il est le fruit de performance commerciale et d’efficacité. La  nouvelle tendance privilégie la qualité à la quantité.

Désormais la tendance est à la personnalisation, au ciblage précis et consacrer autant de temps aux nouveaux clients qu’aux clients existants fait partie des incontournables et il vous faudra le prendre en compte

Ces ‘Business Angels’ qui aident à la création d’entreprise

Si avoir des idées innovantes, du dynamisme et du talent sont des prérequis essentiels pour lancer une start-up, son évolution et sa croissance restent avant tout liées à la question du financement. Difficile cependant de trouver les fonds nécessaires. C’est pourquoi des ‘’ Business Angels ’’ se sont spécialisés dans la recherche des pépites les plus prometteuses afin de miser sur leur réussite. Portrait de 10 dirigeants qui financent l’avenir de nos entreprises.

Jérémie Berrebi

Ce franco-israélien autodidacte s’associe en 2010 avec Xavier Niel pour créer Kima Ventures. Il ne fait pas dans la demi-mesure. En effet, il investit dans une à deux start-up par semaine et devient selon Business Insider le Business Angel le plus actif au monde. Il aurait permis le financement de 330 entreprises dans plus de 32 pays !

Xavier Niel

Le célèbre président de Free est élu Business Angel de l’année 2015 par le magazine Les Échos. Cette distinction récompense tant son action au sein de Kima Ventures que celle effectuée à titre personnel avec la start-up Capitaine Train. Chaque année 50 à 60 start-up bénéficient de son soutien. Il a investi près de 25 M€ depuis septembre 2017 dans plus de 120 startups. C’est la 9e personne la plus riche de France. Il a fondé Iliad, le groupe français de télécommunications et créé Kima Ventures, un fonds d’investissement spécialisé dans les startups. Il a investi 300 millions de dollars pour le lancement de Station F, la plus grande pépinière d’entreprises au monde, en juin 2017. La station F couvre une superficie de la taille de six terrains de football américains. Par ailleurs, elle compte 1 000 startups travaillant sous un même toit.

Fabrice Grinda

Fabrice Grinda sait prendre des risques. Ce Niçois a su investir dans près de 160 entreprises en 20 ans, comme les très connues Airbnb, Blablacar, City Vox, ou encore Dropbox. Depuis 2017 il a investi 43 M€ dans près de 125 startups. Cofondateur d’Aucland en 1999 (enchères en ligne revendu à Bernard Arnault pour 21 M€), de Zingy en 2001 (contenus pour mobiles vendus 86 M€ au groupe japonais For Side), d’OLX en 2006 (hébergeur de petites annonces en ligne).

Marc Simoncini

Créateur du minitel à 22 ans, il revend iFrance en mai 2000 à Vivendi pour 182 millions d’euros. Puis crée avec le succès que l’on connaît le site de rencontres amoureuses Meetic. Il structure son activité d’investissement au sein de Jaina Capital qui se spécialise dans le high-tech. 23 start-up ont reçu 12 millions d’euros par ce biais. C’est grâce à internet que Marc Simoncini va faire fortune. Il a cédé la majorité de sa participation dans la société Meetic au groupe Match.com. Il a profité de ce capital pour investir dans des startups. En 2010, il lance Jaïna Capital, un fonds d’investissement orienté startups innovantes.

Pierre Kosciusko-Morizet

Fort de sa réussite avec Price Minister, et de son rachat à hauteur de 200 millions d’euros par le japonais Rakuten, Pierre Kosciusko-Morizet soutient l’écosystème innovant français. Son fond d’investissement ISAI se spécialise dans le web.

Jacques-Antoine Granjon

L’homme de Vente-privée.com est issu d’une famille d’entrepreneurs. Il entend soutenir l’entrepreneuriat en France. Il a investi dans de nombreuses start-up avec succès comme Bank of Poker, ou Fanzy. À l’image de son entreprise qui se déploie de plus en plus à l’international, un tiers de ses participations sont à l’étranger. Il a commencé à investir dans les startups avant de devenir un investisseur engagé de l’écosystème digital.

Oleg Tscheltzoff

Salarié chez l’Oréal, il s’ennuie. Il se lance dans la production de spectacles dans les pays de l’Est avant de devenir le n° 2 français de l’hébergement de sites web. Cette réussite lui permet d’investir au côté de Xavier Niel, Marc Simoncini et Jacques-Antoine Granjon dans les entreprises les plus innovantes. PDG de Fotolia et serial entrepreneur a investi dans une quarantaine de startups innovantes. Fotolia qui a son siège à New York est implantée dans une quinzaine de pays. Elle propose un catalogue de plus de 11 millions de photos, compte 80 000 contributeurs, 2 millions de membres.

Denys Chalumeau

Créateur du fond Digitalik, et co-fondateur de plusieurs sites à succès comme PromoVacances.com, Billetreduc.com, Seloger.com ou encore SeFaireAider.com, Denys Chalumeau souhaite faire partager son expérience et aider à l’émergence de nouveaux projets de création d’entreprise.

Pierre-Edouard Stérin

Premier Business Angel de France par le classement d’Angel Square a investi 40 M€ depuis septembre 2017 dans 12 startups. Le fondateur du leader européen des coffrets cadeaux Smartbox est encore largement propriétaire de son entreprise (près de 85 % du capital) qui a affiché 480 M€
de revenus en 2017.

Michaël Benabou

Cofondateur de Vente Privée et fondateur de la Financière Saint-James a investi 8,5 M€ dans 25 startups. Ce Business Angel a investi dans Wemaintain, Tactical Adventure (studio de développement et d’édition de jeux vidéo créé en 2018) ou encore Chefing.

Thierry Petit

Fondateur de Showroomprivé a investi 2,6 M€ dans 9 startups. Des entreprises comme Selency, Backmarket et Blablacar sont dans son portefeuille. Neuvième Business Angel français le plus actif selon le classement challenges 2016, il a notamment investi dans de nombreuses sociétés Internet. il participe à leur développement : Avis de maman, TagCommander, Vinted, DoYouBuzz, Sigfox ou encore Talent.io. Thierry Petit a financé plus d’une quarantaine de startups dont onze principalement actives dans le milieu du e-commerce.