Accueil Blog Page 1043

Adeptes d’Adopte !

En à peine 5 ans Adopte un mec a su imposer son style à contre-courant de l’univers des sites de rencontre traditionnels. Résultat : près de 6 millions de membres inscrits et un chiffre d’affaires proches des 15 millions en 2012. Retour aux origines de cette réussite…

Un poney et des ours en peluche vous scrutent du coin de l’œil ? Bienvenu dans les locaux déjantés de l’entreprise Adopte un mec ! Dans cette startup « du troisième type », la salle de réunion n’est meublée que de poufs-poires et la salle de détente déborde de vieux flippers aux allures psychédéliques. Le ton est donné ! Les locaux sont à l’image du site : drôles et anti-conventionnels. C’est justement ce positionnement disruptif qui a permis à Adopte un mec de se faire doucement une place face au géant Meetic. Un challenge qui relève de l’impossible ! Retour sur les ingrédients d’une love story entre le public et ce site de rencontre…

Une belle histoire qui démarre dans une chambre !

Steve Jobs n’a qu’à bien se tenir ! Si la légende d’Apple a commencé dans un vaste garage, celle d’Adopte un mec démarre dans la petite chambre d’un des deux fondateurs, en « bidouillant ». Florent Steiner et Manuel Conejo se rencontrent sur les bancs de leur classe de 6e. Leur amitié les mène en 2007 à tenter ensemble l’aventure entrepreneuriale. à force d’entendre leurs amies dire avoir peur de s’inscrire sur les sites de rencontre classiques sur lesquelles elles se font harceler, les deux amis décident de révolutionner le secteur. Ils partent de cette idée simple et qui fera le succès d’Adopte un mec : inverser les rôles pour donner le pouvoir aux filles dans le processus de séduction sur le site.

Filles, garçons, tous sont séduits par le positionnement disruptif et second degré d’Adopte. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis 2008 le site compte près de 6 millions d’inscrits et 650 000 utilisateurs actifs chaque mois. Il a connu une forte croissance de +237 % entre mi-2011 et mi-2012 et le chiffre d’affaires réalisé l’an dernier s’élève à presque 15 millions d’euros. Fait le plus étonnant : cette croissance a été réalisée sans s’appuyer sur aucune levée de fonds. Sur ce point, Adopte fait figure d’ovni : les quelques sites qui réussissent à sortir du lot parmi les 2 000 sites de rencontres qui existent en France vivent en grande part de levées de fonds, selon Thomas Pawlowski, le directeur marketing. « Adopte, c’est la dernière vraie belle histoire du web ! » confit-il. 

Borderline, mais pas méchant !

Sur Adopte, les toy-boys sont consultables sur catalogue. Une fois entrées sur le site-boutique, les femmes peuvent consulter les offres spéciales du jour et mettre les hommes de leur choix dans leur panier. Choquant ? Non, car le graphisme, le ton… tout dans les publicités ou le site fait comprendre qu’il s’agit avant tout d’humour. Lorsqu’on lui rappelle les attaques de l’association Osez le féminisme, considérant le ton du site déplacé, Thomas Pawlowski rappelle que les utilisateurs comprennent tout à fait qu’il ne s’agit pas de marchandisation de l’être humain. Il précise que le site s’est justement lancé pour donner le contre-pied d’un contexte qui, lui, méritait que l’on s’indigne : la mode de la « femme objet » et du « porno chic » dans la publicité. 

Adopte made in China

L’homme pansement, Mec à croquer… autant de sites arrivés sur le marché après Adopte un mec et qui surfent sur le succès de leur précurseur en choisissant le même positionnement. Les contrefaçons du site ne se trouvent pas qu’à l’intérieur de nos frontières. En Allemagne, le site Shop a man est un vrai copier/coller d’Adopte, aussi bien au niveau du concept que du graphisme de l’interface et du logo. En Chine, pays sur lequel l’entreprise ne possède pas de droit de propriété intellectuelle, une copie d’Adopte cartonne même littéralement ! Pour contrer ces nouveaux concurrents, les équipes d’Adopte dégainent l’arme d’un savoir-faire technique toujours à la pointe. « Ce n’est pas tout de copier notre positionnement, encore faut-il avoir une vraie expertise produit. » commente Thomas Pawlowski. 

Lucienne et les garçons

Savez-vous à quoi on reconnait en général une publicité pour un site de rencontre ? On y voit un homme et une femme très heureux de s’être rencontrés grâce au site. Sur les pubs pour Adopte un mec, point de couple, encore moins de romantisme et aucune simple mention du terme « amour » !

Les spots ou affiches d’Adopte jouent avec le côté décalé et humoristique du site. On se rappelle par exemple des spots mettant en scène des hommes avec des annotations comme dans les pubs pour cosmétiques. « Si nous nous étions arrêtés là, explique le directeur marketing, les gens auraient pu nous prendre au premier degré. C’est pour bien montrer le côté ludique de la publicité que nous avons demandé à Lucienne du Petit Journal de venir faire la chute des spots. ». Et le concept fonctionne : depuis que le site a commencé à diffuser ses publicités, en juillet 2011, il a gagné presque 2 millions d’inscrits. 

Du coup de génie au coup de pub

Si désormais les publicités d’Adopte campent les abribus et écrans de télévision, la startup est aussi devenue spécialiste d’une communication beaucoup plus « low cost ». On se souvient d’une opération qui avait fait parler d’elle en février dernier. Pour la Saint- Valentin, 2 000 journalistes ont reçu de la part d’Adopte un pass pour le site et un pot de Nutella de 5 kilos. Les célibataires pouvaient alors choisir : soit finir seul le pot en se lamentant soit s’inscrire sur le site pour trouver l’âme-sœur !

Mais l’opération la plus relayée a été l’ouverture récente d’une boutique éphémère Adopte un mec. Pendant 4 jours, on pouvait visiter une vraie/fausse boutique exposant les « produits » d’Adopte, les hommes-objets. « Nous étions sur un terrain glissant si ça n’était pas bien orchestré. Nous avons donc conçu des boîtes très caricaturales qui rappelaient les emballages de Ken et Barbie pour bien montrer le côté ludique. Le résultat a été inespéré : en 4 jours nous avons accueilli 1 500 personnes et nous avons compté plus de 1 200 retombées presse dans le monde entier ! » raconte Thomas Pawlowski. La prochaine opération buzz prévue ? Le sujet est classé secret défense du côté de l’équipe marketing d’Adopte. Ce qui est sûr c’est qu’elle sera drôle et surprenante. Les révolutionnaires de la rencontre sont plus que jamais déterminés à aller partout, mais surtout pas là où on les attend ! 

A vous d’appliquer la recette d’Adopte un mec dans votre entreprise !

Les 10 points à retenir pour cartonner comme Adopte un mec

Trouvez un positionnement disruptif sur votre marché

Vous souhaitez vous démarquer de vos concurrents ? Alors commencez par cultiver votre différence. Abordez le secteur d’un œil neuf.

Osez !

N’ayez pas peur d’adopter un positionnement original et audacieux. Dans un marché très uniformisé, c’est la créativité qui vous permettra d’émerger.

Rusez !

Vous ne faites pas encore beaucoup de chiffre d’affaires ? Alors, pour vous faire connaître, soyez plus malin que ceux qui ont des millions à leur disposition.

Maîtrisez l’art très subtil de la provoc’

Sachez adopter un ton parfois impertinent ou borderline, mais en restant toujours dans le bon goût et en ne tombant jamais dans la vulgarité.

Ne vous prenez pas au sérieux (mais faites votre travail avec sérieux !)

La tendance est aux marques chaleureuses et ludiques. Sans pour autant faire passer votre entreprise pour une usine à clowns, adoptez un ton détendu.

Étonnez !

Rien n’est plus ennuyant qu’une marque toujours prévisible. Surprenez vos prospects et clients là où ils ne vous attendent pas.

Ne lésinez pas sur la qualité

Le positionnement est important, mais il ne fait pas tout. Sans une offre de première qualité, et meilleure que celle de vos concurrents, vous ne pourrez créer une entreprise pérenne.

Embauchez une équipe qui s’accorde avec le positionnement de votre entreprise

Vos salariés sont les premiers ambassadeurs de la marque et ce sont eux qui vont la nourrir au quotidien.

Protégez bien votre idée

D’autant plus si votre idée est originale, veillez à bien protéger le concept de votre marque. Vous ne le regretterez pas !

Ne vous asseyez jamais sur vos lauriers

Ce n’est pas parce que vous connaissez le succès aujourd’hui qu’il ne faut pas déjà se remettre en question pour demain.

My major success story !

Interview de Sévan Barsikian, cofondateur de My Major Company. 

Comment avez-vous rencontré vos deux associés ?

Après avoir fait 5 ans d’études de droit, j’avais surtout envie de ne pas exercer la profession d’avocat qui m’angoissait beaucoup ! Alors, plutôt que d’aller passer le barreau, je suis entré en stage dans une maison de disque, chez BMG. Là-bas, on m’a demandé de recruter deux autres stagiaires pour travailler avec moi. Et c’est comme ça que je suis tombé sur Anthony et Michael et que nous sommes devenus amis. Nous avions tous les trois des envies d’indépendance. Et, ce bureau à trois amis, nous voulions le dupliquer, parce qu’on aimait être ensemble, travailler comme ça.

Comment avez-vous eu l’idée de monter My Major Company ?

Nous avons commencé par créer ensemble Bamago, un label de musique que Michael a géré seul dans un premier temps. Anthony et moi sommes restés à des postes de direction chez BMG. Bamago a signé un petit groupe qui n’a rien donné. Deux ans plus tard, le bassiste de ce groupe est revenu nous voir en nous parlant d’un site allemand qui permettait aux internautes de produire les artistes. Il pensait qu’il y avait peut-être quelque chose à faire avec cette idée là en France. Le lendemain, en repensant à la discussion que nous avions eue, nous nous sommes dit « pourquoi pas ? ». Je ne sais finalement pas trop pourquoi on s’est accroché à cette idée. Ça aurait très bien pu ne jamais se faire. Nous avons commencé à faire un business plan. Mais, à l’époque, nous n’avions aucune notion économique ou financière, alors on a fait ce qu’on pouvait !

Vous étiez les premiers en France sur le modèle du financement participatif. Comment avez-vous réussi à faire connaître ce nouveau système ?

Au départ les gens nous ont pris pour des ovnis ! Mais nous avons pu bénéficier du parrainage de pas mal d’artistes comme Jean-Jacques Goldman, Passy ou Julie Zenaty, ce qui aide bien. Et nous avons eu la grande chance de tomber tout de suite sur Grégoire, qui a vendu plus de 1,5 millions de disque dès son premier album. C’est ce succès qui nous a apporté une énorme visibilité tout de suite. Et ça ne s’est pas arrêté là, il y a eu ensuite Joyce Jonathan, Irma et, plus récemment, l’album Génération Goldman qui ont cartonné.

Quelles difficultés avez-vous rencontrées au démarrage de My Major Company ?

Au départ, les médias ont eu un peu de mal à nous faire confiance. Comme nous étions un petit label indépendant, les radios par exemple se demandaient s’ils ne prenaient pas un risque en passant en boucle nos titres. Ils ne savaient pas si nous pouvions assurer derrière, produire et diffuser le disque. Et puis, nous avons connu pas mal de galères lors de la conception du site. Nous sommes tombés sur un prestataire qui nous a fait perdre beaucoup de temps, et beaucoup d’argent, avant de lancer le site.

Comment avez-vous été perçus par les acteurs classiques de la production musicale ?

Je ne crois pas qu’on ait été vu d’un bon œil par les leaders de l’industrie du disque ! Et c’est d’ailleurs toujours le cas maintenant. Comme nous cherchions un distributeur, nous sommes allés voir quatre grosses majors. Deux d’entre elles se fichaient royalement de nous, une nous a accueillis très froidement. Et la dernière, Warner, a accepté de devenir notre distributeur.

Vous avez accueilli la holding de Stéphane Courbit dans votre board. Comment cela s’est fait ?

C’est Stéphane qui est venu vers nous. à l’époque nous cherchions à lever des fonds. Une banque d’affaires nous aidait dans cette opération et nous avions pas mal de rendez-vous, mais qui n’aboutissaient jamais. Stéphane ne savait pas que nous étions en pleine levée. Mais, dès qu’il a monté sa holding, la Financière Lov, il nous a appelés en nous disant qu’il adorait l’idée et qu’il voulait collaborer avec nous. Il se trouve aussi que nous avons avec lui une histoire familiale commune. Stéphane possèdera bientôt 50 % du capital de l’entreprise. Un autre business angel très médiatique va bientôt rentrer au board pour remplacer un ancien investisseur qui se retire. Mais je ne peux pas en dire plus…

Vous avez lancé de nouveaux pôles en plus de la musique. Pourquoi ?

Nous avions envie de faire un peu autre chose, même si notre ADN reste la musique. Nous avons également observé l’exemple de la startup américaine Kickstarter qui cartonne aux états-Unis. L’essor de cette plateforme de financement participatif plus généraliste nous a poussés à nous ouvrir, pour éviter que, si nos rivaux américains décident d’arriver en France, ils raflent tous les projets intéressants ! Donc aujourd’hui nous nous sommes lancés dans les livres, la BD, le théâtre, le design… et plus récemment dans les monuments nationaux. Ces nouveaux types de projets fonctionnent très bien.

Quelle est votre ambition pour l’avenir de l’entreprise ?

C’est l’international. Nous avions ouvert en Angleterre et nous nous sommes complètement plantés ! Nous avons fait la bêtise de vouloir prendre un management très expérimenté, l’ancien patron de Warner Europe, sans nous rendre compte qu’à ce stade de management on est complètement déconnecté du terrain. Nous avons donc eu du mal à dénicher de bons artistes, car les talents, on ne peut les trouver qu’en allant sur le terrain justement. L’Angleterre, on y retournera, mais sur un autre mode. Là nous venons d’ouvrir en Espagne en joint venture. Et nous nous lançons bientôt, sous forme de franchises, au Moyen-Orient.

Et après My Major Company, quels sont vos rêves ?

Avec mes deux associés, on a tendance à ne jamais se séparer. Et, en général, c’est le premier qui arrive quelque part qui embarque les deux autres. On fonctionne comme ça depuis 15 ans ! Michael se verrait bien devenir président d’un club de foot. Anthony est très impliqué dans le cinéma, et sort dans deux mois son premier long métrage avec Alain Chabat et Max Boublil. Moi c’est plutôt la radio qui me passionne. Donc, une fois que l’aventure MMC sera terminée, ce sera foot, cinéma, ou radio ! 

Comme un poisson dans l’eau…  du succès !

Interview de Grégory Marciano, cofondateur de l’enseigne de vente de sushi créatifs Sushi Shop.

Qu’est-ce qui vous a mené à vous lancer dans le sushi à une époque où seuls les japonais en mangeaient en France ?

Après mes études de droit, j’ai vécu un an aux états-Unis. Là-bas, j’ai découvert des sushi complètement différents de ce que je connaissais ici. Il y avait déjà beaucoup de restaurants de sushi créatifs, comme les california rolls que j’adorais. Quand je suis rentré en France j’ai donc voulu continuer à en manger… mais rien de tel n’existait ! On ne mangeait des sushi que dans des restaurants de japonais pour des japonais, donc très traditionnels, et chers en plus ! J’ai senti qu’il y avait là un vrai marché à prendre.

Vous aviez déjà l’envie de créer votre propre boite ?

Pas exactement… Mais ce dont j’étais sûr c’est que je ne me voyais pas devenir avocat, ça ne me passionnait pas du tout ! Mon associé Hervé Louis avait, lui, très envie d’entreprendre. J’avais l’idée et il avait le projet de création, donc on s’est lancé. Je crois que Sushi Shop est avant tout une histoire d’amitié entre Hervé et moi.
Vous étiez alors très jeunes et le concept était novateur. N’avez-vous pas eu du mal à convaincre ?
Si, bien sûr ! Tout le monde nous déconseillait de nous lancer, en nous expliquant que notre concept était voué à l’échec ! Nous avions 23 et 26 ans, nous nous lancions dans un concept que personne n’avait testé avant nous… Les plus optimistes nous disaient « C’est super, prenez-le comme une bonne expérience pour le futur ! ». D’ailleurs nous avons eu du mal à simplement ouvrir un compte professionnel pour la société. Deux banques ont refusé que nous ouvrions un compte chez eux.

Pourquoi avoir choisi le modèle de la livraison à domicile qui n’était alors pratiqué que pour les pizzas ?

Parce que nous n’avions pas assez d’argent pour acheter un restaurant, nous n’avions que 60 000 francs chacun ! Notre stratégie est née pour beaucoup de nos impératifs financiers. Nous avons eu tout juste assez pour ouvrir une boutique de même pas 30 m² et pour recruter un cuisinier. Nous avons ouvert en 1998, le 1er avril, ce qui est assez drôle pour une entreprise qui vend du poisson ! Au départ, nous avons dû faire un peu avec les moyens du bord : un soir, c’était Hervé qui faisait les livraisons et moi qui était à la caisse et le lendemain, on échangeait.

Mais le succès est arrivé vite, non ?

Oui, nous étions les seuls à proposer ces produits là et à un prix abordable. Nous avons vite rencontré du succès vis-à-vis de notre cible, la jeunesse dorée de l’ouest parisien. L’été suivant nous avons ouvert un point de vente éphémère à Saint-Tropez. Puis en septembre nous avons ouvert un second point de vente à Neuilly. Et tout ça en autofinancement, en nous débrouillant. Face au succès que nous rencontrions, des concurrents comme Planet Sushi sont arrivés sur le marché.

Comment êtes-vous passé de ce petit succès dans l’ouest parisien à un fort développement sur la France ?

Nous pensions que Sushi Shop allait se contenter d’être un succès sur cette petite niche de l’ouest parisien. Mais il s’est opéré en France un changement entre 2003 et 2005. Les traiteurs chinois ont vu leurs business s’effondrer suite à la diffusion d’une émission qui dénonçait les fameux « raviolis appartements » dans lesquels les normes d’hygiène alimentaire laissaient à désirer. Ils ont alors massivement choisi de se reconvertir en restaurants de sushi. Résultat, toute cette nouvelle offre a créé la demande. Les gens ont connus les sushi grâce à cela. Et ils sont venus à Sushi Shop pour être rassurés sur les normes d’hygiène de leurs sushi et avoir plus de variété et de choix.

Vous avez alors fait le choix du développement en franchise ?

Oui, à ce moment là, nous nous sommes dit qu’il y avait un potentiel de développement beaucoup plus grand que nos 5 petites boutiques. Nous avons alors mis en place les outils pour nous développer, pour construire un concept uniforme. Nous avons rencontré Adrien Schompré, le troisième associé, qui connaissait bien la franchise. Nous avons ouvert finalement notre première franchise en 2008. Et aujourd’hui, sur les 100 points de ventes en France et à l’international que compte notre réseau, environ 55 sont des succursales et 45 sont des franchises.

Quelle est votre stratégie de développement à l’international ?

Nous ne nous disons jamais « tiens, il faudrait que nous attaquions tel pays ! ». En fait, toute notre stratégie à l’international est guidée par la rencontre avec la bonne personne au bon moment. à chaque fois, c’est une personne qui nous a donné envie de nous installer. Nous avons récemment ouvert un point de vente à New York car l’un de nos amis nous a fait part de son envie de développer Sushi Shop là-bas. Le concept que j’avais emprunté aux états-Unis a traversé l’Atlantique : j’ai l’impression que la boucle est bouclée !

Avez-vous d’autres projets de création d’entreprise aujourd’hui ?

Non, plus maintenant. Depuis l’explosion du concept de Sushi Shop je me concentre pleinement sur son développement. Mais il y a quelques années, j’ai testé d’autres idées d’entreprises, sans grand succès. J’ai lancé une marque de vêtements. Je n’ai pas connu de succès avec ce concept, mais au moins j’ai eu le mérite d’essayer ! Aujourd’hui avec Sushi Shop, j’ai trouvé une idée qui marche très bien, avec une marque et des produits que j’aime. C’est très agréable pour moi de travailler sur le développement de la marque. Par contre, nous avons quelques petits projets de diversification que nous mettrons assez vite en place, dès que nous aurons atteint le taux de développement maximal de l’enseigne en France. Mais secret, je ne peux pas en dire plus !

3 clés pour réussir par Grégory Marciano

Ne pas trop réfléchir avant de se lancer. Certes, il ne faut pas se lancer n’importe comment, il faut bien réfléchir à la viabilité de son projet. Mais je pense qu’il ne faut pas trop réfléchir non plus. Si on veut devenir entrepreneur, il faut déjà commencer par entreprendre ! à force de trop réfléchir, de trop envisager l’échec comme possible, on n’entreprend jamais. L’échec est évidemment possible, mais si on ne se lance jamais, on n’aura jamais de succès !

Apprendre à déléguer. Une fois passée une certaine taille d’entreprise, il faut savoir avouer qu’on n’est pas le meilleur partout et s’entourer des bonnes compétences.

Faire ce que l’on aime. Si l’on trouve une idée qui peut générer un très grand marché, mais qu’on n’aime pas le produit, cela risque d’être dur. On vit son entreprise 24/24h, donc il vaut mieux faire quelque chose que l’on aime !

48h pour tout changer

Constatant les limites de son business model, Stéphanie Pelaprat a été contrainte de faire un choix : fermer sa boite ou la réinventer totalement.

Quatre ans après son lancement, la startup Restopolitan est proche du dépôt de bilan. Un an plus tard, c’est avec un résultat de presque 1,5 millions que la même entreprise boucle ses comptes. La même entreprise certes, mais plus du tout le même produit…

Le problème

En 2007, Stéphanie Pelaprat lance Restopolitan. Tout le monde parle de cette plateforme de réservation de restaurant promise à un fort développement et qui surfe sur un secteur en pleine ébullition. Le concept convainc même Xavier Niel et Jacques-Antoine Granjon qui investissent personnellement dans l’entreprise. « Tout le monde disait que l’entreprise était géniale ! Moi je voyais que cela ne prenait pas trop… Alors je me suis dit qu’il fallait patienter, que le concept allait bien finir par exploser. Mais rien ne bougeait » raconte l’entrepreneure. Le problème ? Les restaurateurs ont du mal à comprendre l’utilité du logiciel et les équipes de Restopolitan se retrouvent davantage à faire de l’évangélisation que du commercial. Et pendant ce temps là, le chiffre d’affaires ne rentre pas. Mai 2011, il ne reste que quelques mois de cash dans les caisses avant le dépôt de bilan. Trois options s’offrent alors à la fondatrice : fermer sa startup, refaire une levée de fonds pour tenir encore un peu ou repartir à zéro pour trouver un modèle rentable.

La solution

L’entrepreneure ne s’avoue pas vaincue ! Elle se fixe 48h avec son équipe pour concevoir le business model capable de redresser le navire. Naît alors l’idée de la carte Restopolitan qui permet, sur abonnement, de bénéficier d’un repas offert pour tout repas pris dans l’un des restaurants partenaires. L’idée plaît immédiatement au grand public aussi bien qu’aux entreprises qui l’utilisent comme cadeaux clients,
ou pour réduire les notes de frais en interne. Le temps de la mise en place de cette nouvelle formule, l’entreprise connaît une période difficile. Stéphanie Pelaprat est forcée de jongler avec les dépenses, toujours dans la légalité, mais en rusant ! Elle est très transparente avec ses équipes sur la nécessité de se serrer les coudes mais, sur ses 10 salariés, elle a tout de même une démission ainsi qu’un abandon de poste. L’entrepreneure a pu compter sur le soutien moral de ses business angels qui l’ont sans cesse encouragée à persévérer, alors même que les huissiers tapaient à la porte des locaux et qu’elle envisageait de revendre ses bureaux Ikea !

Le bilan

Près de deux ans après ce changement de modèle, Restopolitan est rentable, sans aucune dette et la fondatrice a triplé le nombre de ses salariés. Le choix de ce pivot a donc été très judicieux pour l’entrepreneure qui émet tout de même quelques réserves : « Si j’avais été une entrepreneure plus aguerrie, j’aurai fait le choix du dépôt de bilan pour repartir sur une structure neuve et plus saine. Là nous avions l’impression d’être Usain Bolt… mais qui trainerait un boulet à son pied ! Mais déposer le bilan en France demande du courage, c’est encore considéré comme une honte sociale, c’est dommage. »

Tout sauf créer ma boîte !

Laëtitia Boissinot-Guillemot ne s’imaginait pas devenir un jour entrepreneure. Mais aujourd’hui, elle lance sa marque de méthodes de conservation pour vêtements J’aime ma robe.

Jamais je ne créerai d’entreprise ! C’est ce que revendiquait pendant des années Laëtitia. Et pourtant, elle développe aujourd’hui avec passion J’aime ma robe. Elle est fière de savoir qu’elle va bientôt pouvoir créer des emplois.

Le déclic

Le chemin entrepreneurial de cette salariée, à la carrière déjà toute tracée dans des maisons de luxe, s’ouvre à l’occasion d’un plan social. La crise vient d’éclater et la marque pour laquelle elle travaille ferme sa ligne couture. Le secteur souffre et, pour la première fois, la jeune femme peine à trouver du travail. Assez d’attendre qu’un poste lui tombe du ciel ! Son emploi, c’est elle qui va le créer ! Elle imagine d’abord ouvrir une boutique de robes de mariées vintage. Mais elle s’aperçoit en faisant le business plan que l’idée n’est pas viable.

C’est au cours d’une visite exclusive des réserves du Musée de la mode à Paris que cette amoureuse de vêtements anciens a le déclic ! Elle y apprend que les housses en plastique et les boîtes en carton habituellement utilisées pour protéger les vêtements ne protègent pas, pire, nuisent au vêtement. Pour conserver des pièces durant des siècles, les musées utilisent des housses et boîtes en matériaux spéciaux auxquelles les particuliers n’ont pas accès. Et cela, Laëtitia en a fait les frais… Sa robe de mariée est même désormais tâchée à cause d’un cintre de pressing ayant rouillé. La jeune femme se lance alors dans la création de J’aime ma robe.

Le succès

Boostée par le prix Idenergie dont elle est lauréate en 2012, l’entrepreneure accélère son développement et s’installe dans l’incubateur de la Technopôle de Laval. Elle réussit in extrémis sa course contre la montre pour présenter ses produits au Salon du mariage en octobre et connaît un vif succès. En décembre, elle parvient à mettre en ligne le site marchand de J’aime ma robe. Les bloggeuses mariage et les futures mariées adorent. L’entrepreneure multiplie les partenariats avec les couturiers et les opérateurs de listes de mariage, et un grand magasin parisien lui demande l’exclusivité ! Réussite assurée pour cette entrepreneure convertie ! Son virage professionnel lui aura, selon elle, appris une chose : « Il ne faut jamais dire jamais ! ».

Jeune Entreprise : Lancer un nouveau produit/service

Si vous êtes une jeune entreprise, comme moi, vous avez sans doute déjà traversé pour la 1ère fois cette période-là : que faire de nouveau maintenant ? Comment réussir le lancement d’un nouveau produit/service ?

Les raisons :

Soit parce que vous avez une idée qui vous taraude depuis le début et que vous êtes impatient(e) de la mettre en action.
Soit parce que vous avez un peu de temps à consacrer à un nouveau projet maintenant que vous êtes mieux organisé(e).
Soit parce que votre entreprise a besoin de mieux / plus communiquer.
Soit parce que votre réseau grandissant vous donne de nouvelles idées : c’est ce qui m’est arrivé.

J’ai créé une école de langues il y a un an, et j’ai lancé un club de conversation bilingue il y a 1 mois après une discussion avec une galeriste américaine qui se trouve être mon modèle de réussite.

Commencent alors les questions, vous allez vous y coller avec enthousiasme parce que vous êtes une jeune entreprise.
Et il y en a des questions à se poser pour lancer un nouveau produit/service quand on est une jeune entreprise !

Quel est le nouveau produit/service ?

Il faut bien sûr le définir, le décrire, le scruter dans tous les sens, de tous les points de vue : quelles sont ses caractéristiques, en quoi est-il nouveau, quelle est sa cible, combien coûte-t-il, quel type de produit est-ce (produit d’appel…) ?

L’avantage : vous avez déjà été confronté(e) à ces questions lors de votre premier business plan. Vous savez donc qu’il faut tester toute idée avant de la rendre vivante.

Vous avez des difficultés à définir votre nouveauté ? Parlez-en autour de vous, à votre famille, vos amis, vos anciens collègues, votre réseau, demandez leur avis, et modifiez en conséquence.

Je voulais permettre à mon école d’avoir une vitrine. Et je voulais mettre l’accent sur les échanges culturels tout en ciblant une clientèle expatriée : J’ai donc créé un club de conversation bilingue avec des tarifs attractifs, et des dates fixes, qui a lieu dans une galerie d’art idéalement située à Bastille. Il se différencie des autres clubs de ce type car il est assumé comme étant un club culturel plutôt qu’un club de rencontres. Le plus ? Il est ouvert aussi aux adolescents.

A quel moment lancer le produit/service ?

Vous avez peut-être eu l’idée en janvier-février, période un peu creuse commercialement, propice donc à la réflexion.

Dans mon cas c’était le moment où j’avais beaucoup de formalités administratives à remplir, j’avais envie de faire respirer mon cerveau avec quelque chose de créatif et je ne pouvais pas trop avancer commercialement puisque j’étais dépendante de ces formalités.

La première question que vous vous posez alors est peut-être liée à l’envie de printemps. Vous vous dîtes : les gens sortiront plus aux beaux jours, ils seront plus à même de faire de nouveaux achats.
Seulement voilà, il ne fait pas beau, et il faut être prêt(e) avant ce moment-là. Il faut donc tester votre produit, quitte à prendre quelques risques financiers, prévoir ces risques, les mesurer, et vérifier qu’ils ne nuisent pas à la fameuse pyramide du bonheur : rentable, faisable, bon pour mon image.

Nous, jeunes entreprises, devons aussi prévoir que nous allons nous tromper, et devoir opérer des réajustements.

En ce qui me concerne il fallait que je freine mon enthousiasme, que je descende de mon nuage créatif, et j’ai voulu accélérer le lancement par optimisme, sachant que c’est par l’expérience qu’on avance.

Nous devons nous confronter à la réalité en testant notre nouveauté et en acceptant de la modifier après avoir constaté ses limites.

J’ai testé mon club et organisé une première séance. Le public était tout petit, mais il m’a permis de vérifier le fonctionnement du club, de voir qu’il serait le même avec peu ou beaucoup de clients. Cela m’a aussi donné l’occasion de faire de nouvelles rencontres, et d’avoir de nouvelles idées (et hop on revient aux premières questions !)

Comment communiquer sur le lancement et le produit/service en lui-même?

C’est la suite logique : je sais ce que je vends de nouveau, je sais quand je le vends, je peux maintenant penser à comment le vendre.

Quelle place vais-je lui accorder dans mon catalogue ? Est-ce que je dois changer mon catalogue pour ce nouveau produit / service ? Est-ce qu’il sera mis en valeur si il est « marketé » à part ?
Qui va être mon prescripteur pour le vendre ? A qui dois-je communiquer ?
Quel est le meilleur média pour communiquer ?
Comment cette nouveauté va-t-elle améliorer mon image tout en la respectant ?

Avec ces questions, on en revient à celle du début : qu’est-ce que je vends ?
Je dois redéfinir, et « pitcher » ma nouveauté parce que mes prescripteurs doivent la comprendre en une minute. L’occasion de participer à des évènements, de devenir membre de nouveaux réseaux. Mais aussi l’occasion de : retravailler ses outils de communication, de mettre à jour ses outils internet (site, facebook, divers liens).

Le danger : perdre du temps et trop communiquer.

Je suis un peu tombée dans ce piège. J’ai communiqué trop et avec un seul moyen : internet. Je me suis entêtée à démarrer ma nouveauté coûte que coûte à la date fixée, sachant qu’il n’y aurait pas beaucoup de monde.

Cependant, comme j’en parlais beaucoup, j’ai tissé de nouveaux liens dans mon réseau, et maintenant, outre la plus grande visibilité de cette nouveauté, j’en lance une autre, prête à naître selon toujours la même marche à suivre.
Gardons à l’esprit que la nouveauté est là pour enrichir ce qui existe déjà, et qu’elle donne plus d’occasions de communiquer.
Gardons aussi en tête que les avis des autres sont ce que nous recherchons : tester revient à sonder indirectement votre public.

Pour trouver des solutions j’ai aussi lu, regardé, écouté l’actualité. J’ai feuilleté l’ouvrage de Jeff Jarvis : « La méthode Google », et j’ai aussi suivi les conseils de pros, notamment l’article de Lakdar Khelfallah, Directeurs grands comptes chez Vocable : « Vendre une méthode de formation ! Ce qu’il faut savoir avant de se lancer ». J’ai également échangé 2 mots avec la fondatrice de My little Paris et récolté un conseil : « Le talent c’est d’en trouver aux autres. »

Innover quand on est une jeune entreprise apporte des changements dans sa manière de travailler. C’est un moyen et un but à la fois : rencontrer de nouveaux talents, les écouter, se questionner sans cesse sur ce qui satisfera nos clients adorés. Mais aussi repenser sa vie d’entrepreneur(e) en répartissant mieux le professionnel et le personnel.

Qui sait, c’est peut-être cette idée-là (ou celle d’après) qui vous différenciera et fera votre succès. Dans tous les cas, c’est toujours un moyen de vous faire mieux / plus connaître, et ça, nous le souhaitons toujours.

Divalto idylis : Cloud toujours ! (Publi)

Divalto idylis, une solution de gestion facile à vendre et facile à acheter : en deux temps trois mouvements, l’utilisateur (l’auto-entrepreneur, l’expert-comptable, le gestionnaire de paie, le responsable des achats, etc.) est au cœur de sa mission.

Pas de préoccupations techniques (Mac ou PC ? Peu importe!), pas d’installation préalable, on entre chez Divalto idylis par la porte d’un navigateur web, avec sa propre clef (un identifiant unique et un mot de passe). Il suffit ensuite de cliquer sur le module désiré : E-mailing, GRC, Gestion commerciale, Comptabilité, Notes de frais, Feuilles de temps, Paye, Immobilisations, Liasse fiscale, Banque, Liaisons bancaires, Gestion documentaire, Associations, etc.

Avec ses 19 modules, c’est l’offre de gestion en mode cloud computing, la plus riche et la plus large du marché.

La navigation est intuitive et les possibilités de personnalisation sont nombreuses : éditions adaptables, ajout de champs complémentaires, vues personnalisées par utilisateur, changement de thème, etc.

Divalto idylis pour tous !

Vous avez seulement besoin d’un outil pour facturer vos clients ? Qu’à cela ne tienne, vous ne paierez que le module Gestion commerciale ! Vous gérez votre entreprise seul(e) ? Commencez par Divalto idylis en gamme One pour 10 euros par mois. Votre structure s’est agrandie ? Passez de la gamme One à la gamme Entreprise en toute sérénité.

Divalto idylis s’adapte à chaque problématique.

Une solution performante et toujours à jour des dernières nouveautés

Les équipes de développement savent à quel point il est important de travailler sur un outil fluide et rapide, c’est pourquoi la recherche de la performance est une constante chez Divalto.

Par ailleurs, de part sa nature cloudesque, Divalto idylis intègre de façon transparente toutes les mises à jour fonctionnelles, légales, et système, nul besoin de mettre les mains dans le cambouis à chaque amélioration.

Choisir Divalto idylis, c’est aussi se libérer des contraintes d’installation, de mise à jour et de sauvegarde !

Des données en lieu sûr

Les sources de production et les bases de données sont hébergées en France par easynet, un data center aux normes Carrier Class, certifié et ultra-sécurisé.

Le réseau à haut débit d’easynet est connecté à un « backbone », infrastructure garantissant aux utilisateurs de Divalto idylis une meilleure performance des applications.

Very API et ouvert

Divalto idylis propose une API (interface de programmation) permettant des échanges et interactions avec d’autres solutions. L’acquisition d’un nouvel ERP ne fige plus le paysage de travail des collaborateurs et peut au contraire le rendre évolutif par l’ajout d’éléments externes.

Jamais seuls

Divalto est une entreprise à taille humaine qui pense encore que le client est roi.

Ne prenez aucun risque, essayez Divalto idylis !

Le groupe Divalto a fait l’acquisition de l’éditeur de cette solution en mode SaaS il y a trois ans, grâce à son expertise. Divalto idylis n’est pas le fruit d’un effet de mode et fait partie des logiciels précurseurs en la matière. En témoignent ses 10 000 utilisateurs dans des domaines aussi variés que l’expertise-comptable, le négoce ou encore la communication.

  • Des logiciels de gestion simples, rapides, efficaces, puissants !
  • Les meilleurs outils collaboratifs du marché
  • Une solution Full Web
  • Une solution en Mode hébergé
  • Zéro installation !
  • Multiplateforme
  •  …

Divalto idylis c’est :

Des logiciels fiables, riches et faciles à utiliser !
La suite logicielle Divalto idylis se compose de modules d’une richesse fonctionnelle exceptionnelle : fonctions achat, vente et stock, GRC, emailing, finances, paye, etc. Les logiciels sont dotés d’une ergonomie conviviale et intuitive pour une grande facilité de navigation. Tous les logiciels Divalto idylis sont conçus avec la même interface, la maîtrise d’un logiciel facilite donc la prise en main de tous les autres.

Un système de tarification clair et sans surprise !
Avec Divalto idylis, on ne prend pas le risque d’acheter un logiciel parfois inadapté et souvent coûteux. Il est possible de souscrire pour 1 an sans obligation de renouvellement et donc, pour un budget très faible, tester en grandeur nature. La simplicité du système de tarification permet une parfaite prédictibilité des coûts.

Des logiciels fortement personnalisables !
Avec Divalto idylis, il est possible de définir des profils d’utilisation par logiciel et par utilisateur. Divalto idylis permet de donner ou d’interdire l’accès à chaque fonction du logiciel et de changer ces choix à tout moment. Les menus des logiciels sont générés dynamiquement en fonction des droits (profils) qui ont été donnés aux utilisateurs. De ce fait, les écrans sont allégés, car les utilisateurs ne voient que les options qu’ils ont le droit d’utiliser.

Une sécurité optimale !
Divalto idylis assure la confidentialité des informations et des traitements. Chaque utilisateur est doté de clés de confidentialité (accès protégé par mot de passe, données sauvegardées par l’hébergeur, base de données cryptées, etc.) Ainsi, menus, modules, traitements et fonctions peuvent être protégés par ces confidentialités.

Un concentré de technologies !

Divalto idylis une solution nativement full web, multiplateformes

Solution clé en main développée en .net

Avec Divalto idylis vous avez :

L’esprit tranquille sur les sauvegardes !
Divalto idylis réalise des sauvegardes quotidiennes des données qui sont stockées dans des lieux sécurisés avec des matériels redondants.

Des logiciels accessibles partout, à tout moment via une simple connexion internet !
Les utilisateurs peuvent se connecter et travailler à distance à partir de n’importe quel poste de travail doté d’une connexion Internet. Divalto idylis permet une mobilité totale et permanente.

La possibilité de partager instantanément certaines données !
Avec Divalto idylis, il est possible d’ouvrir des accès temporaires ou permanents, pour tout ou partie de l’application, à certains collaborateurs ou à des partenaires distants géographiquement (experts-comptables, consultants, etc.).

Des services de proximité
Le Groupe Divalto a adopté un mode de distribution indirect.
L’éditeur s’appuie sur un réseau de quelques 300 partenaires en France et à l’étranger, doté d’une synergie très importante qui leur permet de distribuer Divalto idylis dans les meilleures conditions.

! Carte de visite !

Groupe Divalto :

  • – 380% de croissance sur les 10 dernières années
  • – 11 000 entreprises utilisatrices de ses solutions
  • – près de 100 000 utilisateurs
  • – 300 partenaires revendeurs
  • – 30 ans d’expérience sur le marché
  • – 30% du CA par an en R&D

Divalto idylis :

  • Solution commercialisée par plus de 100 partenaires
  • Solution commercialisée par plus de 100 partenaires
  • Près de 10 000 utilisateurs
  • à partir de 10€ par mois
 
 

Savoir analyser les comptes de son entreprise

Vous êtes chef d’entreprise ou décisionnaire et avaient besoin de donner un sens aux comptes qui vous sont présentés. Trop souvent, en effet, le bilan et le compte de résultat de votre entreprise ne sont pas analysés et ne vous permettent donc pas de prendre aisément les bonnes décisions. 

En quoi l’analyse financière des comptes

L’analyse financière des comptes est un outil pour les dirigeants d’entreprise, qui vient en complément, entre autre, de la comptabilité, des tableaux de bords et des comptes prévisionnels.

Vous connaissez le résultat de votre entreprise, mais souhaitez le ‘’traduire’’ en terme de trésorerie, vous avez le bilan devant les yeux mais vous devez comprendre quel est votre besoin de trésorerie afin de continuer ‘d’avancer’. Votre trésorerie est passée d’un montant X en début d’année à un montant Y en fin d’année, et vous avez besoin de connaître l’origine de cette variation.

L’analyse financière pourra vous proposer des outils simples à mettre en place, peu chronophage et donc pas coûteux.

Comprendre le besoin en fonds de roulement et sa variation par rapport à l’année qui précède :

  • Le besoin en fonds de roulement :

Le besoin en fonds de roulement représente le décalage de trésorerie entre le moment où vous paierez vos dettes court terme (fournisseurs, salariés, charges sociales, impôts) et le moment où vendrez vos stocks à vos clients et que ces derniers vous paieront.

Plus le délai sera long et plus votre besoin en fonds de roulement sera important en jours et plus vous serez exposé en terme de trésorerie.

Par exemple vous achetez 1.000 euros à votre fournisseur de marchandise, vous le payez immédiatement, ensuite vous stockez cette marchandise 20 jours, puis vous la vendez et facturez votre client avec 15 jours de retards et ce dernier vous paie à 30 jours. Il y a aura donc un décalage de 65 jours (0+20+15+30) entre la date de paiement du fournisseur et la date d’encaissement de votre facture.

Le besoin en fonds de roulement (BFR) représente donc votre besoin de trésorerie à court terme. Aurez-vous assez d’argent pour payer vos dépenses courantes, devrez-vous apporter de l’argent dans l’entreprise (compte courant, augmentation de capital) faudra-t-il aller voir le banquier. Il ne faut pas perdre de vue que le banquier ne sera pas très « chaud » pour vous financer votre besoin en fonds de roulement, mais plutôt vos investissements

  • La variation du besoin en fonds de roulement

La variation du besoin en fonds de roulement, représente l’écart entre le besoin en fonds de roulement de l’année précédente et celui de l’année en cours. Si le besoin en fonds de roulement augmente (toutes choses étant égales par ailleurs) cela aura un impact négatif sur votre trésorerie. Cela peut signifier que vous avez trop stocké (et donc pas assez vendu), que vos clients sont plus longs à vous payer que l’année précédente, mais aussi que vous payez vos dettes (fournisseurs) plus rapidement.

Il vous faudra donc effectuer le calcul, analyser l’origine de la variation et ensuite prendre, si cela est possible, les mesures adéquates.

  • Pistes d’amélioration de votre besoin en fonds de roulement

A titre d’exemple on peut envisager d’éviter d’avoir trop de stock dans les entrepôts, réduire le délai de règlements des clients, facturer les clients au plus vite et non une fois par mois, négocier à la hausse les délais de règlements des fournisseurs.

  • Votre besoin en fonds de roulement peut être négatif 

Un besoin en fonds de roulement négatif est positif en termes de trésorerie. Cela peut signifier que vous avez un stock proche de zéro, un en cours client (créances clients non payées) faible et des dettes fournisseurs élevées. Vous payez vos fournisseurs après que vos clients vous aient payés. 

Savoir calculer et comprendre la capacité d’autofinancement

Excédent brut d’exploitation (ou insuffisance brute d’exploitation)
+ Transferts de charges (d’exploitation)
+ Autres produits (d’exploitation)
– Autres charges (d’exploitation)
+ou- Quotes parts de résultat ou opérations faites en commun
+ Produits financiers (a)
– Charges financières (b)
+ Produits exceptionnels (c)
– Charges exceptionnelles (d)
– Participation des salariés aux résultats
– Impots sur les bénéfices
= CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT

(a) Sauf reprises sur dépréciations et provisions
(b) Sauf dotations aux amortissements, dépréciations et provisions financiers
(c) Sauf :
– produits des cessions d’immobilisations
– quotes-parts des subventions d’investissement virées au résultat de l’exercice
– reprises sur dépréciations et provisions exceptionnelles
(d) Sauf :
– Valeur comptable des immobilisations cédées
– Dotation aux amortissements, dépréciations et provisions exceptionnels

La capacité d’autofinancement est un indicateur qui est calculé sur la base du résultat net de l’entreprise. Dans le compte de résultat il est comptabilisé des dotations aux amortissements, aux dépréciations, provisions pour risques et charges, mais aussi des reprises sur provisions et dépréciations. Ces écritures sont des « charges calculées » qui ne sont pas des dépenses ou des recettes, mais l’anticipation d’une perte potentielle, d’une perte de valeur ou d’un litige. Lors du calcul de la capacité d’autofinancement (CAF), il en est donc fait abstraction.

De manière très schématique, il s’agit donc de la trésorerie potentielle dégagée par l’entreprise toutes activités confondues (exploitation, financière, exceptionnelle) au cours de l’année passée. Il s’agit donc d’un indicateur important et qui sera regardé de très près par votre banquier si vous souhaitez effectuer des investissements.

La capacité d’autofinancement a pour objectif de vous permettre de connaître votre capacité à investir « seul », à souscrire des emprunts auprès de votre banquier (et donc votre capacité à rembourser les échéances d’emprunts à venir) et la capacité à rémunérer les actionnaires. Cette capacité d’autofinancement devra être calculée tous les ans et mise en comparaison avec les trois dernières années, afin de connaître son évolution.

Toutefois il est important de mettre en relation la capacité d’autofinancement (CAF), avec l’excédent brut d’exploitation (EBE) qui lui est calculé au niveau des soldes intermédiaires de gestion. L’excédent brut d’exploitation se calcule au niveau du résultat d’exploitation et permet d’identifier la trésorerie potentielle dégagée par l’exploitation.

Ainsi si vous avez une capacité d’autofinancement de 100 000 euros et un excédent brut d’exploitation de 80 000 euros, la situation parait saine car le principal contributeur de la CAF est l’exploitation, par contre si la capacité d’autofinancement est de 100 000 euros et l’excédent brut d’exploitation de 1 000 euros, dans ce cas la situation est moins saine car l’EBE ne contribue qu’à hauteur de 1 000 euros dans la CAF.

Déterminer et comprendre les soldes intermédiaires de gestion :

Voir règlement n°2005-09 du CRC

Les soldes intermédiaires de gestion permettent de décomposer le résultat de l’entreprise, afin de lui donner plus de sens et avoir une vision plus économique et moins comptable.

Si vous avez une activité de négoce, la marge commerciale sera un indicateur majeur et donc très pertinent, car il vous permettra de comparer le coût des marchandises vendues avec le prix de vente. Bien évidemment il faudra la comparer avec les années passées et aussi à celle des concurrents.

Si vous avez une activité industrielle, la valeur ajoutée sera un calcul qui vous sera très utile afin de connaître la valeur que vous avez ajoutés aux achats que vous avez effectués à l’extérieur (matières premières, marchandises frais généraux). Cette valeur ajoutée permettra de rémunérer le principal contributeur à la valeur ajoutée, qui est le travail et donc les salariés. Si la valeur ajoutée produite est inférieure aux coûts salariaux, cela signifiera que la richesse créée ne peut pas rémunérer les salariés. Cela sera donc un indicateur à suivre de très près dans les sociétés industrielles où, bien souvent, la masse salariale est importante.

Les avantages des SCPI dans l’assurance-vie

Investir dans les SCPI au travers d’un contrat d’assurance-vie peut se révéler intéressant.
Cela permet de profiter de la fiscalité avantageuse des contrats d’assurance-vie et de bénéficier d’une meilleure liquidité du placement grâce aux caractéristiques du contrat d’assurance-vie.

1er avantage

La Capitalisation des revenus locatifs des SCPI et bénéfice de la fiscalité de l’assurance-vie en cas de rachat partiel ou total

Lorsque les parts de SCPI sont détenues au travers d’un contrat d’assurance-vie, les revenus fonciers procurés par les parts de SCPI sont réinvestis au sein du contrat. Les souscripteurs évitent ainsi d’augmenter ou de créer un revenu foncier imposable en tranche marginale (jusqu’à 41%) et soumis aux prélèvements sociaux. 

Par ailleurs, en cas de rachat sur le contrat d’assurance-vie, les gains liés aux SCPI sont soumis à la fiscalité avantageuse de l’assurance-vie. Les rachats sont donc optimisés fiscalement dès la 8me année de détention du contrat.

2e avantage

La Jouissance des parts de SCI immédiate 

La jouissance des parts de SCPI est immédiate au sein de l’assurance-vie. En effet, si lors d’une acquisition en direct il n’est pas rare d’avoir 1 à 3 mois de délai avant de bénéficier des revenus, ce délai de jouissance ne s’applique pas pour les SCPI détenues dans un contrat d’assurance-vie.

3e avantage 

La liquidité des parts de SCPI assurée par l’assureur

L’acquisition de SCPI dans un contrat d’assurance-vie permet de s’affranchir des freins liés à la liquidité des parts de SCPI. L’assureur a l’obligation de couvrir la liquidité des parts. A ce titre, la cession des parts peut intervenir à tout moment pour arbitrer le contrat.

4e avantage

Le Bénéfice de la fiscalité de l’assurance-vie en cas de décès

En cas de décès, la fiscalité de l’assurance-vie sera applicable à l’ensemble des actifs détenus au sein du contrat y compris les parts de SCPI. Par ailleurs, les bénéficiaires du contrat d’assurance-vie peuvent récupérer le capital du contrat dans le mois qui suit le dénouement.

Autres avantages…

L’acquisition de SCPI via un contrat d’assurance-vie présente également d’autres intérêts, notamment au regard du prix d’acquisition des parts. Nous revenons sur ces avantages dans la rubrique consacrée à nos contrats d’assurance-vie dédiés aux SCPI.

Marquez des points en vous démarquant !

Cette année encore je me suis rendue sur le salon des entrepreneurs.
Je suis toujours aussi fascinée de voir le nombre de porteurs de projets et de créateurs d’entreprises. De découvrir l’immense créativité dont ils font preuve avec des idées (presque) toutes inspirées et inspirantes. Marquez des points en vous démarquant !

Lors de ces évènements, règne une véritable énergie remplie de la motivation de ces acteurs de l’entrepreneuriat qui viennent y chercher des conseils, des services et bien évidemment des clients.

Networking :

Pour rien au monde je n’aurais raté l’évènement networking qui s’y est déroulé et où plusieurs centaines d’entrepreneurs se sont retrouvés pour rencontrer leurs futurs clients ou partenaires.

Nous voilà donc tous alignés en deux rangées se faisant face et au top départ chaque binôme avait 3 minutes pour faire connaissance, s’échanger leurs cartes de visite et pour certains convaincreleurs interlocuteurs d’aller plus loin.

Pendant près d’1h30 Je me suis donc prêtée à cet exercice qui demandait une réelle concentration, et une pleine écoute afin d’en retirer l’essentiel.

L’une de mes valeurs est bien la curiosité ! Et sur les 3 minutes : je me suis intéressée à mon interlocuteur pendant 2min45 pour ne parler de mon activité que pendant les 15 dernières secondes.

Résultats : je repars avec 15 cartes de visites, 10 promesses de rendez-vous dont 7 qui se transformeront en rendez-vous dans les 3 jours suivants.

Lors de cet évènement j’ai rencontré au moins 6 entrepreneurs qui avaient créé leur agence de communication. Et chacun m’a présenté ô combien il était essentiel de communiquer (oui merci…) et que justement leur spécialité c’était de faire de la communication 360 (autrement dit de la communication globale sur tous les supports).

A chaque fois que je leur ai posé la question : « quelle est votre valeur ajoutée par rapport à la personne que j’ai rencontré juste avant vous ? » je n’ai obtenu que de vagues réponses du type « notre valeur ajoutée c’est que nous sommes innovants » ou bien « nous sommes expert de la communication web avec la nouvelle technologie « shmurtz »( du chinois pour moi qui ne m’y connais pas) ».

J’étais pourtant un prospect idéal. 

Depuis quelques mois je suis à la recherche d’une personne à qui j’aurais envie de confier le développement de mon site internet.

Et j’ai été vraiment surprise de voir qu’aucun de mes interlocuteurs ne m’a jamais posé de questions sur les besoins que j’avais.
A la place ils m’ont tour à tour présenté ce qu’ils savaient faire, dans leur propre jargon. Et dès que je cherchais à les aider en leur parlant de ma situation, ils m’interrompaient pour ne me parler que de leurs produits.

Faire le choix d’un prestataire est une décision qui ne se prend pas à la légère, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’aller investir son argent et son temps.

Il est donc primordial que la personne en face de vous sente que vous saurez répondre précisément à ses besoins, en toute confiance.

Voici quelques conseils pour vous permettre de multiplier vos chances de transformer ces évènements en véritables leviers pour votre développement commercial.

Fixez-vous des objectifs :

La plupart du temps lorsque je me rends dans un évènement networking je rencontre des entrepreneurs qui n’ont qu’une vague idée de ce avec quoi ils veulent repartir : des contacts, des cartes de visite, des clients ….

Mais qu’y a-t-il précisément derrière ces « des » ? Combien de contacts ? Combien de carte de visites ? Pour en faire quoi précisément ? Combien de clients ?

Comment mesurer où en sont vos résultats, et à quel moment partir, si vous ne savez pas précisément ce que vous êtes venus chercher.

Alors donnez-vous deux ou trois objectifs qui vous permettront de concentrer votre énergie et votre temps aux « bons endroits ».

Je veux repartir avec 20 cartes de visites pour nourrir ma base de données.
Je veux repartir avec 3 rendez-vous
Je veux repartir avec 5 contacts qui acceptent que je les rappelle dans les 15 prochains jours.
Etc …

Intéressez-vous à votre interlocuteur en parlant son langage

Dites-vous que votre interlocuteur n’attend qu’une chose : parler de lui et de ce qu’il fait.

Profitez de cette opportunité pour lui donner la parole en premier et intéressez-vous à lui en allant lui poser des questions qui vous permettront de mieux le connaître.

Vous n’aurez alors besoin que de très peu de temps pour vous positionner et lui proposer de vous revoir pour continuer d’échanger avec lui.

Les avantages de ce type d’approche :

  • En vous intéressant à votre interlocuteur, il se sentira valorisé et vous prêtera une plus grande attention à son tour.
  • Vous lui donnerez envie de vous revoir. Trop peu de gens écoutent vraiment ce que les autres ont à dire. Votre interlocuteur trouvera en vous cette écoute et vous commencerez à créer une vraie relation avec lui.
  • En lui posant des questions vous pourrez plus facilement détecter en quoi votre produit ou vos services pourraient lui être utiles.
  • Cela vous évitera d’avoir à dérouler tout votre « catalogue » qui de toute façon ne l’intéresse pas en tant que tel.
  • En limitant votre temps de parole vous gagnez en énergie ce qui vous permettra d’être parfaitement disponible pour la personne suivante que vous rencontrerez.

Prenez des notes

Prenez quelques secondes avant de passer à votre prochaine « cible » afin de synthétiser l’essentiel de ce que vous avez retenu de votre échange.
Cela vous permettra de préparer votre prochaine rencontre et d’aller immédiatement à l’essentiel, démontrant une fois de plus à votre interlocuteur que vous l’avez vraiment écouté.

Démarquez-vous

De la même manière votre interlocuteur va échanger avec d’autres personnes, dont un certain nombre qui font probablement le même métier que le vôtre.

Il doit donc repérer très rapidement ce que vous pourriez lui apporter de différent, d’unique par rapport à vos concurrents.

Quels sont vos mots clés ? Quels résultats apportez-vous à vos clients ? Avez-vous une expérience réussie similaire à la problématique de votre interlocuteur que vous pourriez mettre en valeur ?

Programmer les prochaines étapes

Vous souhaitez fixer un rendez-vous avec lui ? L’intégrer à votre liste de diffusion de votre newsletter ? Assurez-vous d’obtenir son autorisation.

Une fois qu’il vous aura donné son accord vous aurez plus de chance d’entrer de nouveau en contact avec lui.

De retour à votre bureau, tenez vos engagements. Vous lui aviez dit que vous le rappelleriez d’ici la fin de la semaine : n’attendez pas 15 jours ! Vous démontrerez ainsi votre sérieux et votre fiabilité. (Je fais ce que je dis)

Ce travail de positionnement, personnel et professionnel, est une étape essentielle pour tout entrepreneur qui souhaite réussir son développement.

En tant que coach, je fais ce travail avec mes clients, pour donner de la cohérence à leur projet et à la manière de l’incarner et de le communiquer.
Cela leur permet alorsde démultiplier plus rapidement les résultats qu’ils souhaitent obtenir.

Je vous invite alors à vous poser la question suivante : « Quelle serait la première chose que j’ai envie d’améliorer pour me démarquer la prochaine fois que je merendrai à un évènement networking ? »

Je vous souhaite une belle route et de grandes mises en actions !