Etre entrepreneur implique de nombreuses responsabilités. Alors, jouer, en plus de cela, un rôle prenant dans le monde de la politique n’est pas chose facile. Et surtout, peut se montrer lourd de conséquences.
A l’approche de l’été, quoi de mieux que de prendre un peu de temps pour soi et visionner ou simplement se remémorer ces films devenus cultes pour tout entrepreneur qui se respecte …
Small is beautiful, ce qui est petit est beau, moins c’est mieux … Bien qu’elles aient été reprises et détournées avec brio par l’industrie, ces expressions ont pour origine, l’ouvrage de l’économiste britannique Schumacher, publié il y a 30 ans.
Le sujet de cette chronique est un peu le fruit du hasard. Je profitais de la trêve des confiseurs, où même si on n’a pas prévu de vacances on y a tous été peu ou prou contraints compte tenu de la léthargie économique ambiante. J’ai alors découvert le succès de librairie de Laurent Gounelle « L’homme qui voulait être heureux » aux éditions Pocket devenu un classique.
La main s’arrête sur le visage rarement par hasard. Chaque zone de notre visage est reliée symboliquement à une émotion forte. Après s’être intéressés au nez, ce sont la moustache, les mâchoires, les commissures des lèvres et les dents qui sont analysées.