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Les nouveaux relais de connexion

Demain, la plupart des objets seront reliés au Web. Mais quelques terminaux vont être les nouveaux relais de connexion privilégiés d’Internet.

Les Google Glass

Tout le monde en parle, on les attend avec impatience, et encore seulement quelques happy fiew ont pu les tester… Les Google Glass s’annoncent comme LE nouveau terminal privilégié pour se relier au Web. Issues du Google X Lab, les lunettes connectées ont commencé à faire parler d’elles en 2012. à l’époque, le projet semblait tellement révolutionnaire qu’on estimait qu’elles ne pourraient apparaître sur le marché que dans très longtemps. Et pourtant, seulement un an plus tard, les premières lunettes connectées ont été distribuées à des professionnels du Web et des développeurs. Aujourd’hui, cette innovation s’apprête à faire son entrée sur le marché grand public, dès 2014, et les applications dédiées commencent déjà à être diffusées. équipées d’une caméra, d’un micro, d’un mini pavé tactile et de petits écrans sur les verres, les lunettes de Google sont connectées au Web par Wi-Fi. Elles permettent donc, entre autre, d’accéder grâce à la réalité augmentée à toute sorte d’informations. Quelques applications développées par Google ont déjà été présentées en novembre. Parmi elles : l’application Word Lens qui permet d’afficher en surbrillance la traduction d’un texte en langue étrangère en train d’être lue ou l’application Strava qui permet, lors d’une course à pied ou à vélo, de faire afficher des données telles que la vitesse ou la distance parcourue. D’autres firmes s’apprêtent à sortir leurs propres lunettes connectées sur le marché. La Google Glass-mania ne fait que commencer !

Lors de la sortie des premiers smartphones, tout restait à inventer. Les nombreuses utilisations possibles des téléphones intelligents étaient encore à découvrir. Aujourd’hui, la situation est comparable : la multiplicité des possibilités d’utilisation des lunettes connectées reste à découvrir. Et les possibilités de création de business sont encore énormes ! Parmi elles, voici quelques pistes : une marque d’accessoires servant à customiser ses Google Glass, une application permettant, lors de soirées networking, d’identifier tout de suite les professionnels avec qui des interactions business seraient possibles (grâce à une recherche dans leurs différents réseaux sociaux), un festival dédié aux films et photos réalisés avec les lunettes, un système de protection des porteurs de lunettes connectées (qui peuvent être en danger dans la rue lorsqu’ils consultent leurs lunettes et font moins attention à leur environnement), une application permettant aux aveugles d’avancer sans risques dans la rue par détection des obstacles et instructions vocales pour indiquer les déplacements… Place à votre imagination !

La robotique connectée

Si les robots connectés ne devraient pas arriver tout de suite sur le marché, ils finiront de toute façon dans quelques années par investir notre quotidien. Suite logique au développement des objets connectés et de l’intelligence artificielle, les robots devraient représenter une révolution considérable dans nos vies. Là encore, tout reste à inventer. Et, cocorico, les français ne sont pas si mal placés dans la course à la robotique !

  • Les idées de business à lancer

Un des grands pans de développement de la technologie de la robotique connectée sera incontestablement le marché de la grande dépendance, gros enjeux du futur. Pourquoi ne pas penser alors à un business en lien avec ce marché ? On pourrait par exemple imaginer une application permettant aux enfants de personnes très âgées d’activer, via leur mobile, une fonction du robot, telles que celle d’apporter des médicaments ou un repas à la personne. Autre gros pan de développement, les robots présents sur le lieu de vente qui pourraient conseiller, grâce à l’intelligence artificielle, les clients sur le meilleur achat à réaliser.

Les villes connectées

Demain, ce ne sont pas seulement nos ordinateurs, smartphones ou tablettes qui seront connectés, c’est tout notre environnement ! De nombreux projets visent à bâtir ce qu’on appelle les « smart cities », ces villes truffées de capteurs connectés au Web et qui permettent une gestion plus intelligente, plus harmonieuse, et plus écologique de l’espace public. Les investissements faits pour construire des villes intelligentes visent à améliorer la qualité de vie des habitants et à assurer une gestion avisée des ressources. Parmi les applications rendues possibles grâce au développement de ces villes intelligentes : la gestion du flux routier et des places de parking vacantes, la bonne utilisation de l’irrigation des parcs ou de l’éclairage public…

  • Les idées de business à lancer

Le développement des villes intelligentes n’en n’est qu’à ses balbutiements. Tous les business liés à la gestion et à l’analyse de la big data ainsi que ceux en rapport avec la mise en place d’infrastructures télécom sont voués à cartonner.

[Etude] Le classement des entreprises les plus innovantes du monde

Quelles sont les entreprises les plus innovantes au monde ? C’est ce que le Boston Consulting Group a tenté de découvrir ! Les cinq premières places sont dominées par le secteur high-tech et les entreprises américaines raflent au moins sept places dans le Top 10. Zoom sur le classement émis par BCG.

Le secteur high-tech domine le classement

Le cabinet de conseil Boston Consulting Group a tout récemment publié le classement des entreprises les plus innovantes du monde. Et c’est sans surprise que la marque à la pomme occupe la première place. Voilà maintenant neuf années consécutives qu’Apple s’accapare cette première marche du podium. La firme californienne est suivie par Google et Samsung, qui cette fois-ci, échangent leurs places. Quant à la quatrième position, elle est fièrement occupée par Microsoft, qui maintient cette même position depuis 2013. Enfin, c’est IBM qui boucle l’emprise du secteur high-tech sur ce classement et qui en même temps, éjecte Toyota Motor’s du Top 5. Au total, ce sont cinq entreprises tout à fait innovantes qui inaugurent ce classement mondial. La suite du classement reste la même que l’année dernière.

Que s’est-il passé avec le secteur automobile ?

Cette enquête du BDG a été réalisée auprès de 1 500 cadres dirigeants, issus de tous secteurs et toutes régions confondus. L’accent a surtout été mis sur les résultats financiers des sociétés concernées. Alors que le secteur high-tech se taille la part du lion, il se trouve que le secteur de l’automobile, lui, dégringole. En 2013, ils étaient au moins 14 fabricants à trouver leur place dans le classement. À ce jour, ils ne sont plus que 9 à garder leurs positions. L’étude révèle également une nette amélioration pour deux fabricants : Telsa Motors passe de 34e à 7e et Fiat se positionne maintenant à la 32e place. À noter que ces deux sociétés ont fait leurs entrées dans le classement pour la toute première fois en 2013.

Et si on créait des liens

Oh my Blog !, c’est l’histoire de Marie et Anouck, deux jeunes entrepreneures la tête pleine de projets. Retour sur une belle amitié qui a donné naissance à un beau succès !

Tout comme il existe des coups de foudre en amour, il y a parfois des coups de foudre en amitié. Et lorsqu’on a de la chance, certaines rencontres peuvent bouleverser notre vie et donner lieu à de beaux projets ! C’est sur les bancs de l’ESC Bordeaux que Marie et Anouk se rencontrent. Membres actives de la blogosphère féminine, elles décident de s’associer dans un projet entrepreneurial qui voit le jour à l’été 2013. Leur structure organise des évènements permettant aux blogueuses de nouer contact entre elles ainsi qu’avec leurs lectrices afin d’échanger et de créer des liens autour d’une même passion. Leur concept s’inscrit parfaitement dans la tendance actuelle qui vise à créer des ponts entre le monde virtuel et la vie réelle. Une bonne solution pour aider les internautes à créer entre elles des opportunités personnelles.

L’autre comme moteur d’inspiration

On l’aura compris, le concept phare de ce projet repose sur la création de liens sociaux. Quand s’imposent à ces deux jeunes femmes les épineuses difficultés inhérentes au lancement d’un projet, le dicton « l’union fait la force » prend tout son sens ! Peu importe les embûches rencontrées… l’essentiel est de se soutenir face aux difficultés. Elles ont ainsi la chance de bénéficier de l’aide de plusieurs acteurs du monde de l’entrepreneuriat dont l’Université Dauphine et les espaces de coworking DojoCrea. Elles réussissent donc à dépasser les difficultés et à porter leur projet jusqu’à sa concrétisation.

Un engouement spectaculaire

Début octobre 2013, les deux fondatrices mettent en vente les places pour leur premier évènement… guichet fermé en 6 minutes ! Mieux encore : les places destinées à leur dernier événement sont écoulées en 1 minute seulement ! Les deux amies, qui avaient pourtant pressenti le fort potentiel de leur idée de business, sont les premières à être étonnées par le succès si rapide de leur projet. Face à un tel engouement de la part de la communauté des blogueuses, les deux jeunes entrepreneures envisagent sérieusement d’étendre leur projet à toute la France et, à plus long terme, de multiplier les évènements au niveau des pays francophones… Sur le chemin de la réussite entrepreneuriale, rien ne semble pouvoir arrêter le duo d’entrepreneures !

Journée de l’entrepreneuriat

Le 20 novembre se déroulera la journée de l’entrepreneuriat, de 13h30 à 20h00 au Forum des Arts et de la Culture de Talence. Les résultats du concours Jeunes Entrepreneurs Créateurs seront connus lors de cette Journée.

Programme de la journée

Elle débutera par une conférence plénière sur « Les Entreprises innovantes : les clés de leur réussite» animée par M. Philippe VIOT (Directeur de l’ENSAM) et entouré de M. Thibault RICHEBOIS (Directeur de la recherche, de l’enseignement supérieur et du transfert de technologie du Conseil Régional d’Aquitaine), M. Yannick CAMBACEDES (Délégué régional financement-garantie de BPI France) et M. Xavier ROLAND-BILLECART (Directeur régional de la Caisse des Dépôts).

La journée se poursuivra par une table ronde sur « Le rôle des Junior-Entreprises » animée conjointement par Mme Camille DELESALLE (Présidente AMJE de l’ENSAM), M. Alexandre BONFILS (Président AMS Conseil de KEDGE), M. Simon CLERIOT (Président AEI de l’ENSEIRB MATMECA) et M. Jonathan ATTIA (Président, I2C de l’Ecole Nationale Supérieure de Cognitique).

Une deuxième table rondes qui portera sur « Les atouts des entreprises de l’économie sociale et solidaire » animée par M. Frédéric PETIT (Président SAS ACTES – Elise Atlantique), Mme Fabienne ORE-COURREGELONGUE (Chef du service emploi, ESS et animation territoriale de la CUB), M. Yoann LABBE(Chargé de mission d’ATIS), Mme Véronique BRANGER (Chargée de mission ESS-IS d’ADI, M. Abdessamad BAAZIZI (Président Fédération ANJE) et Mme Marion ALIZOU (Chargée de mission Aquitaine Active), avec le témoignage de la Conciergerie Sociale et Solidaire et des Petits Cageots.

Une troisième table ronde sera consacrée au « GRPLab » animée par Mme Estel JOUISON-LAFFITTE (Docteur en sciences de gestion, co-auteur du modèle GRP).

Cette journée se clôturera par la remise des prix du Concours Jeunes Entrepreneurs Créateurs 5e édition sous la présidence de M. Alain CAZABONNE (Maire de Talence), M. Marc LABOURDETTE (Président de Talence Innovation Sud Développement) et M. Bertrand COUSIN (Directeur de Talence Innovation Sud Développement).

Rendez-vous d’experts

En parallèle de cette journée se tiendront des rendez-vous d’experts qui permettront à des porteurs de projet et créateurs d’entreprise de venir interroger des spécialistes de la création d’entreprise pendant 30 minutes environ.

Date et lieu

Le 20 novembre 2014 au Forum des Arts et de la Culture de Talence de 13h30 à 20h00.

Informations

www.talence-innovation.fr

L’entrepreneur qui a vu juste !

Après plusieurs collaborations réussies, Philippe Wargnier développe sa propre idée, en solo. Il fonde le site Internet evioo.com et associe virtuel avec réel.

Philippe Wargnier est un homme de marketing et de distribution. Avec son parcours atypique, il a plus d’une corde à son arc. Après avoir occupé les fonctions de directeur marketing chez Cadbury Schweppes, directeur commercial/marketing d’Extrapole/Virgin, directeur général de Groupe Go Sport et président cofondateur de Spartoo.com, Philippe Wargnier a envie de voir plus loin que le bout de son nez… Sa fibre entrepreneuriale s’est développée lors de son départ du Groupe Go sport. à ce moment-là, une nouvelle porte s’ouvre à lui. Il décide de se lancer dans ce qui le titille depuis longtemps : l’entrepreneuriat ! « J’ai réfléchi à plusieurs projets et je croise la route de trois jeunes diplômés, ils souhaitent créer un site Internet de vente de chaussures. Fin 2005, Spartoo.com est lancé. ».

Envie de naviguer en solo

L’idée de Spartoo n’est pas la sienne. Philippe Wargnier en veut plus, surtout il rêve d’un concept rentable. Or, malgré des chiffres d’affaires très importants, les sites Internet « pures players » ne gagnent pas d’argent. Pourquoi ? « Dans ces sites, c’est à qui vendra le moins cher ses paires et donc la rentabilité s’éloigne. » explique le dirigeant. Il décide donc de se retirer de l’aventure Spartoo. Puis, avec l’argent de la vente de ses parts de la société, et en bénéficiant du soutien de business angels, il crée sa propre boîte et lance evioo.com.

Un concept innovant

Philippe Wargnier souhaite allier pour l’optique tous les avantages que propose Internet (disponibilité du site 24h/24, 7j/7, pas de file d’attente, vaste choix, prix réduit par rapport aux magasins traditionnels) tout en bénéficiant de l’expertise d’un opticien en magasin. Passer du virtuel au réel en un clic.
Comment ? Sur votre canapé, choisissez tranquillement et virtuellement vos lunettes. Une fois le « choix » réalisé (5 montures différentes), il faut prendre un rendez-vous en ligne chez un des opticiens partenaires. Seule contrainte : une caution de 5 euros qui sera remboursée à l’issue du rendez-vous. Une fois chez l’opticien, vous pouvez essayer en réel vos montures et bénéficier de ses conseils. C’est en 2010 que le projet Evioo voit le jour. Au départ, il démarre son activité en B to C classique par la vente uniquement de lunettes de soleil. Il s’est ensuite constitué un solide réseau d’opticiens. Aujourd’hui, ce sont plus de 400 opticiens partenaires qui soutiennent son projet. Ça y est, Philippe Wargnier a ouvert l’œil et le bon !

L’effet choc qui tombe à l’eau…

L’année 2014 sera-t-elle aussi riche en bad buzz que 2013 ? 

En tout cas le premier scandale lié à une publicité de mauvais goût ne se sera pas fait attendre. Le 6 janvier, Numericable a été la première victime d’un soulèvement des internautes. Les créateurs de la publicité en question, qui devait initialement être diffusée en deux temps, ne se doutaient pas qu’elle recevrait un tel flot de condamnations… Le 6 janvier donc, Numericable sort une publicité vantant la rapidité de téléchargement de sa technologie.

Le slogan « Téléchargez aussi vite que votre femme change d’avis » est, on aurait pu s’en douter, très mal accueilli par les féministes ! La marque avait prévu de sortir la deuxième phase de sa campagne deux jours plus tard, en se moquant cette fois-ci des hommes à travers le slogan « Téléchargez aussi vite que votre mari oublie ses promesses ». Dans l’emballement du bad buzz, Numericable a dû réagir en lançant la deuxième phase plus tôt que prévu, soit quelques heures seulement après la première pub. Mais le mal était déjà fait…

Quelles sont les nouvelles obligations de l’auto-entrepreneur ?

Connaître des périodes de creux dans la trésorerie est normal. En dialoguant le plus en amont possible avec votre banquier, vous pourrez trouver ensemble des solutions pour résoudre ces difficultés de trésorerie temporaires.

La croissance de votre start-up est au beau fixe et votre carnet de commandes est plein. Tout va bien ! Sauf que, pour honorer tous vos contrats, vous allez devoir embaucher de nouveaux salariés, acheter des machines supplémentaires, augmenter vos achats de matières premières… Et tout ça sans avoir encore pu toucher l’argent de ces contrats. Résultat : la situation de rêve dans laquelle vous pensiez que se trouvait votre petite entreprise se transforme en véritable cauchemar. Le gros trou qui s’annonce dans votre trésorerie pourrait bien remettre en question l’avenir même de votre start-up. Il serait dommage de devoir mettre la clé sous la porte à cause de ce pic de croissance ou d’être obligé de refuser ces contrats qui pourraient bien faire décoller votre business…

Le besoin de trésorerie : késako ?

Une entreprise se retrouve en situation de besoin de trésorerie lorsque le solde de son compte bancaire pro est négatif. C’est le cas lorsque le crédit dont elle dispose ne suffit pas à payer les salariés, les fournisseurs ou les charges fiscales et sociales. Cette situation se produit dans des cas très différents : lorsque le chiffre d’affaires augmente rapidement et que la marge commerciale est insuffisante, quand des clients paient leurs factures en retard, lorsque les charges de l’entreprise sont trop importantes par rapport aux rentrées d’argent, quand il est nécessaire de faire des investissements, lorsque l’activité connaît une baisse temporaire ou, tout simplement, en cas d’activité saisonnière. Dans tous les cas, avoir un besoin de trésorerie fait parti du cycle de vie naturel d’une entreprise, notamment lorsque le chiffre d’affaires se développe.

L’anticipation, le maître-mot d’une bonne gestion !

Pour réussir à anticiper au maximum les besoins de trésorerie, la clé est de mettre en place un suivi régulier des rentrées et sorties d’argent attendues. Pour cela, pas besoin de documents compliqués ou de logiciels spécifiques. Il suffit de créer un tableau prévisionnel précis et actualisé sur l’année mettant en valeur les encaissements et les décaissements en tenant compte des échéances de paiement afin d’y voir plus clair en termes de besoin de financement. Un chef d’entreprise qui sait exactement où il en est sera en mesure de réagir à temps. Mieux vaut prévenir que guérir : cette expression convient parfaitement au sujet du besoin de trésorerie.

Pour gérer au mieux les éventuels creux dans sa trésorerie, l’entrepreneur doit apprendre à anticiper au maximum les difficultés pour en parler le plus en amont possible avec sa banque. Plus tôt le futur besoin de trésorerie pourra être abordé avec le conseiller bancaire, plus celui-ci pourra trouver des solutions adaptées pour passer ce cap en douceur. Le chef d’entreprise doit au maximum éviter d’aborder cette difficulté de trésorerie après que le découvert soit avéré, c’est-à-dire avant que les chèques ne soient prélevés ou que le virement des salaires soit à faire dans la journée. En anticipant, le dirigeant évite de mettre son banquier devant le fait accompli, l’obligeant ainsi à réagir dans l’urgence.

Les différentes solutions bancaires

Le partenaire bancaire dispose de plusieurs options pour aider l’entrepreneur à gérer un besoin ponctuel de trésorerie sans être obligé de connaître une situation de découvert. Les ventes peuvent être financées sous forme d’escompte d’effet de commerce qui permet à l’entrepreneur de disposer de la somme de la créance sans avoir besoin d’attendre que le client règle ses factures. Autres solutions, la mise en place du rachat des factures par la banque (loi Dailly), ou encore l’affacturage des créances clients. Cette dernière solution consiste à transférer vos propres créances commerciales à un établissement spécialisé.

Celui-ci pourra alors vous transmettre le montant des factures dont vous attendez le paiement et se charger de récupérer les créances auprès du client. En cas de besoin de trésorerie, vous pouvez également faire le choix de mettre en place une ligne de trésorerie temporaire ou permanente sous forme de crédit de trésorerie, de découvert autorisé ou de ligne de caisse. Cette dernière est un crédit de court terme qui permet un découvert temporaire sur un compte pro afin de bénéficier d’une certaine souplesse pour gérer les dépenses immédiates et les encaissements différés. Enfin, il est souvent possible d’anticiper les besoins en trésorerie en renforçant les fonds propres et surtout en affectant des financements adaptés aux investissements.

Il est vivement recommandé de ne jamais financer d’achat de matériel en puisant dans sa trésorerie en compte. Pour effectuer des achats matériels (en cas d’augmentation des commandes par exemple), il est davantage adapté d’avoir recours à un prêt d’équipement dédié ou au financement locatif (crédit-bail, location financière…). Ces financements moyens termes permettent de conserver de la trésorerie disponible pour les moments de tension. Dans tous les cas, aborder les difficultés de trésorerie le plus tôt possible et traiter la question clairement avec son conseiller bancaire permet de ne pas avoir recours à des solutions plus coûteuses et plus risquées (décisions dans l’urgence, incidents de paiement..). La règle est donc l’anticipation et le dialogue : la confiance réciproque dans ce partenariat banque-entreprise repose sur ces deux principes.

De « La boum » à l’entrepreneuriat !

Tous les chemins mènent à l’entrepreneuriat… Richard Sanderson a fait danser la planète sur son mythique slow Reality, le générique du film La Boum, avant de lancer sa boîte de production.

A combien de cœurs palpitants aura-t-il permis de connaître l’émoi du premier baiser ? Avec son slow Reality, qui a fait danser tous les amoureux dans les années 80, Richard Sanderson s’est imposé comme l’un des interprètes phare de sa génération. Aujourd’hui, l’artiste continue à vivre de sa vocation pour la chanson tout en développant sa propre entreprise. Retour sur le parcours sans fausse note de celui qui cumule les succès, qu’ils soient musicaux ou entrepreneuriaux.

Des millions d’exemplaires dans le monde

Dès l’adolescence, Richard Sanderson crée des petits groupes et se fait repérer dans le milieu pour ses talents de chanteur. Coup de chance à l’été 80, il est mis en relation avec le grand compositeur Vladimir Cosma qui cherche désespérément un interprète pour le slow qu’il vient d’écrire. La voix de Richard Sanderson séduit tout de suite le compositeur et la chanson Reality devient le générique du film qui va faire exploser le box office : La boum. Le succès du slow romantique dépasse toutes les attentes et le tube se vend à des millions d’exemplaires dans le monde ! Mais le chanteur va vite faire face à une impasse : le succès de son tube est tel qu’il devient un peu « prisonnier » de cette chanson et a des difficultés à imposer d’autres mélodies à ses fans.

L’artiste a su se réinventer

Petite traversée du désert pour l’artiste… qui rebondit très vite en se spécialisant dans la création de musiques institutionnelles ou dédiées à la publicité. Dans les années 90 le chanteur est repéré par la madone des Miss France, Geneviève de Fontenay, qui lui confie la création des musiques pour les élections des reines de beauté. Richard Sanderson profite de ce revirement professionnel pour se lancer dans l’entrepreneuriat en créant sa propre société de production et d’édition musicale. à partir de là, il multiplie les contrats et produit les commandes qu’on lui passe directement, aussi bien que celles qu’il confie à d’autres artistes. Pour développer son entreprise, il ouvre au maximum le champ de ses activités : il produit des musiques pour parcs d’attraction ou pour cartes musicales, édite des coffrets de karaoké, travaille sur des mélodies pour des films, et crée même des disques pour enfants. C’est sûr, le chanteur à succès est en train de se muter en entrepreneur de talent !

Ne pas louper la vague des tendances web

En prenant conscience des grands enjeux et des évolutions du web, les entrepreneurs peuvent dès aujourd’hui anticiper et être prêts à surfer sur les tendances web qui feront le Web de demain.

Un monde de cyborgs contrôlé par l’intelligence artificielle ou bien une société ultra-connectée, dirigée par le Big Brother Google… le Web de demain peut faire très peur ! Et pourtant, s’il est vrai qu’Internet s’apprête à vivre une nouvelle mutation, celle-ci aura principalement pour effet de faciliter la vie de ses utilisateurs. Google Glass, objets connectés, impression 3D… autant de technologies qui ouvrent une large palette d’utilisations pratiques. Et surtout autant de filons à suivre pour développer les start-ups de demain, celles qui arriveront au bon moment pour cartonner sur le marché. Car se placer sur le marché le premier et proposer une offre qui corresponde parfaitement aux besoins actuels des clients sont les deux facteurs pour connaître le succès.

Facebook et Marmiton

Beaucoup d’entreprises ont connu le succès grâce à un positionnement en parfaite adéquation par rapport aux attentes du marché. C’est en grande partie parce que Mark Zuckerberg a su, suffisamment tôt, flairer la vague de l’essor des réseaux sociaux, qu’il a pu positionner tout de suite Facebook comme le leader incontesté de son marché. Plus proche de nous, l’exemple du site Internet de recettes Marmiton. Les fondateurs ont, très tôt, perçu le potentiel du Web 2.0, le Web participatif, encore naissant à l’époque. Ils ont donc lancé la première plateforme d’agrégation de recettes de cuisine sur laquelle les internautes pouvaient partager leurs recettes. Le succès a été rapide parce que le modèle correspondait parfaitement à la fois aux nouvelles possibilités offertes par la technologie, mais également aux attentes des utilisateurs du Web, désireux de s’exprimer. Résultat : Marmiton a bénéficié de la « prime au premier entrant » et les plateformes copiant le modèle n’ont jamais réussi à s’imposer face au leader. Pour créer les prochains Facebook ou Marmiton, la recette est donc simple : il vous faut maîtriser les différents enjeux qui vont structurer l’avenir du Web et réfléchir aux pistes de business qui s’ouvrent.

La web-révolution est en marche !

Bonne nouvelle, le Web est sur le point de vivre une nouvelle grande révolution dans les mois et années à venir. Cette mutation d’Internet va s’exprimer à travers les technologies dont on entend beaucoup parler aujourd’hui (telles que les fameuses Google Glass ou le tout-connecté), mais également à travers des changements moins commentés mais tout aussi porteurs d’évolution (la big data, le web sémantique, le cloud personnel…). à cela viennent s’ajouter des modifications sociétales dans la façon même de consommer le Web. De nouvelles tendances vont s’affirmer ou émerger (le floutage offline/online ou le Web social par exemple). En bref, il est plus que jamais temps de s’intéresser aux tendances qui feront le Web de demain !

Entreprendre à Thonon les Bains

Sous-préfecture de la Haute-Savoie, Thonon les bains dispose d’un patrimoine historique riche et développe une activité touristique et industrielle forte. Au sud de l’agglomération, la communauté de communes des Collines du Léman gère une pépinière d’entreprise qui est située à Perrignier (8km au sud de Thonon), et qui pourra accueillir votre projet de création au sein d’un espace de 150 m2 avec dix bureaux équipés ! En vingtième position de notre classement, l’aire urbaine de cette station thermale conclut notre palmarès des villes où entreprendre.

Nombre d’habitants : Plus de 70 000 dans toute l’aire urbaine de Thonon Les Bains

Nombre de sièges sociaux : Plus de 5 000

Nombre de créations : Plus de 600

Pourquoi entreprendre

Thonon les Bains est située à proximité de la communauté de communes les collines du Léman, qui accueille une permanence de Chablais Léman Développement (CLD). Celle-ci s’adresse aux porteurs d’un projet de création ou de reprise d’entreprises sur le territoire. Dans le même ordre d’idée, cette communauté de commune regroupe deux zones d’activités et l’une en devenir, qui pourra accueillir votre entreprise.
L’aire urbaine de Thonon les Bains est la mieux classée en nombre de brevets par habitants (5ème nationale ex-aequo, avec 1,2 brevet pour 1000 habitants) et en termes de survie des entreprises après 5 ans (9ème nationale ex-aequo, avec 29% de défaillance au bout de 5ans).

Start-up innovante : Eggo and co (entreprise de cosmétique bio sur mesure).

Entreprise emblématique : Veka (leader mondial de la production de profilés en PVC pour fenêtres, portes et volets).