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Pourquoi les patrons français s’exportent de plus en plus à l’étranger

Qu’ils créent leurs entreprises à l’étranger où qu’ils soient courtisés par des grands groupes internationaux, de plus en plus d’entrepreneurs et de haut cadres français font le choix d’exercer leurs talents à l’étranger où leurs compétences semblent reconnues à leur juste valeur. D’où vient le succès des patrons français aux quatre coins du monde ?

Un mouvement d’expatriation qui ne se dément pas

Depuis quelques années, l’appel des sirènes internationales a séduit de plus en plus d’entrepreneurs hexagonaux. Par exemple, le groupe allemand de grande distribution Metro a offert en 2012 la division des hypermarchés Real à Didier Fleury, en provenance de Carrefour. En 2014, Didier Leroy devient vice-président exécutif de Toyota, premier constructeur mondial : une véritable révolution pour le groupe nippon. Dans le secteur pharmaceutique, les français sont particulièrement courtisés : on pense à Pascal Soriot, qui est à la tête du suédo-britannique AstraZeneca ou à Christophe Weber, patron du japonais Takeda. Ces managers formés en France et très courtisés à l’étranger par des multinationales ne sont pas les seuls à s’exporter. De plus en plus de jeunes entrepreneurs fondent des start-up en dehors de la France, avec succès. C’est le cas d’eXo Platform, start-up d’édition de logiciels, dont le PDG est Benjamin Mestrallet qui a choisi d’installer le siège social de sa société en pleine croissance en Californie. Selon une étude de l’EDHEC réalisée en 2015, 69% des élèves des prépas commerciales souhaitent s’expatrier à la fin de leurs études. 

La bonne réputation de la formation française

Quelle est la recette du succès des « frenchies » en dehors de nos frontières ? La raison principale réside sans doute dans la bonne réputation de la formation française. Les managers français sont réputés pour leur rationalité, leur esprit d’analyse et de système. Ainsi, parmi les entrepreneurs français présents au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas 2015, la quasi-totalité d’entre eux ont suivi jusqu’au terme leur formation en France (Paris 6, HEC et ESIEE étant les plus représentés parmi eux). Hubert Joly, lui-même diplômé d’HEC, directeur général de l’américain Best Buy résume ainsi les qualités perçues outre-manche des managers français : « les Américains reconnaissent aux Français une formation aux fondations fortes et une vraie culture ».

Les dirigeants et entrepreneurs français posséderaient un autre avantage de taille. Beaucoup ont déjà été à la tête d’une structure privée en France, où la gestion d’une entreprise est réputée difficile du fait de l’environnement culturel et réglementaire. Alain Casparros, haut dirigeant du groupe allemand de supermarché Aldi, confirme cet état de fait en expliquant que gérer une entreprise en France est nettement plus difficile qu’en Allemagne.

Une obstination à quitter la France ?

Enfin, la dernière explication de ces succès à l’international est plus prosaïque. D’une part, la grande majorité des décideurs français ou étudiants dans une école de commerce ou d’ingénieurs possèdent déjà une expérience d’expatriation temporaire à l’étranger (plus de 40 000 étudiants des grandes écoles françaises font chaque année une partie de leur cursus à l’étranger). Par ailleurs, 15% des jeunes diplômés s’expatrient à la fin de leur cursus (dont plus de 35% de ceux d’HEC). Une majorité d’entre eux déplorent l’environnement social et l’état de l’économie, selon une étude réalisée en 2014 par l’IFOP. Et si le succès des français à l’étranger ne venait finalement pas simplement de leur obstination à partir de France ?

Ces start-up spécialisées dans les événements

L’événementiel intègre de nombreuses prestations et services dans différents domaines : voyages d’entreprise, soirées à thème, congrès et séminaires, événements sportifs, … Afin de communiquer et organiser un événement en particulier, les start-up rivalisent d’ingéniosité en proposant des offres sur-mesure aux particuliers comme aux entreprises. Quelles sont alors ces jeunes entreprises qui œuvrent dans l’événementiel et proposent des solutions innovantes ?

Une Destination Management Company

Oreva France est spécialisée depuis 13 ans en France dans l’organisation de voyages d’affaires, d’animations et manifestations culturelles et sportives. La start-up bénéficie ainsi d’un réseau composé de 6 agences réparties dans tout l’hexagone, afin d’offrir un service personnalisé aux entreprises. Traitant près de 600 dossiers chaque année, Oreva France propose son expertise dans l’organisation variée d’événements originaux comme une journée en mer à bord d’un voilier, une soirée thématique au Louvre, ou encore une chasse au trésor en zodiac sur la Seine.

Faciliter l’organisation d’événements festifs

Happhapp propose à ses clients d’organiser et de prévoir tous types d’événements festifs et autres soirées à thème. Le site offre en effet un service complet de mise en relation des internautes avec des prestataires spécialisés. Afin d’épargner un temps non négligeable, la start-up propose à ses clients un questionnaire détaillé pour cerner au mieux leurs besoins, et planifie ensuite un événement en fonction des réponses fournies. De la recherche d’un traiteur à la location d’une salle et du matériel, Happhapp offre des prestations personnalisées en fonction du budget alloué.

Le marketing sportif

Très en vogue aujourd’hui, le marketing sportif constitue une solution idéale pour organiser une manifestation sportive dont les retombées profitent au monde de l’entreprise. Quaterback est ainsi une agence spécialisée qui propose aux professionnels d’assister à des événements sportifs dans le cadre de leur communication. Implantée à Paris et à Marseille, l’agence fournit des prestations sur-mesure aux entreprises pour fidéliser leur clientèle et développer leurs relations professionnelles.

La conception de séminaires

Selon un cahier des charges précis, Magellan Organisation prépare et organise des séminaires pour les entreprises en France et à l’étranger. Avec un budget et des exigences propres, la start-up prend en charge tous les séminaires de A à Z en établissant un Road Book détaillé. Les entreprises disposent alors d’un grand choix de destinations comme Marrakech, la Côte d’Azur, ou encore la Laponie et le désert tunisien.

L’événementiel 3.0

Profitant de l’apport du numérique à la préparation d’un événement particulier, IKcom innove en commercialisant un logiciel d’analyse des données sur les réseaux sociaux. Propice à un travail de recherche en amont afin de dénicher les événements les plus populaires auprès des internautes, l’application Xink de la plateforme permet de trouver tous les partenaires adaptés. En scannant l’ensemble des réseaux sociaux, le logiciel élaboré par IKcom profite aux entreprises dans leurs campagnes promotionnelles et organisation de communication événementielle.

Congé maternité et entrepreneuriat au féminin : quelques conseils pour bien gérer

Si 60% des femmes âgées de 18 à 29 ans pensent devoir mettre leur carrière en pause pour devenir mère (étude IPSOS), cela ne peut pas être une option pour les femmes entrepreneures. Elles ont, en parallèle de leur grossesse, à s’occuper de leur entreprise. Mais comment bien gérer le congé maternité et la diminution d’activité qui y est liée ?

S’assurer un revenu durant le congé maternité

Afin de ne pas souffrir financièrement de l’arrêt de leur activité, les femmes chefs d’entreprises peuvent bénéficier, grâce au Régime Social des Indépendants, d’un congé maternité indemnisé. En adressant à leur organisme conventionné un certificat d’arrêt de travail et une déclaration sur l’honneur attestant de l’interruption d’activité, les femmes entrepreneures bénéficient d’indemnisations calculées en fonction du montant annuel perçu durant les 3 dernières années d’activité. Cependant, certaines conditions sont à respecter : l’indemnité est versée si l’activité est interrompue durant 44 jours consécutifs, dont 14 jours avant la date présumée d’accouchement. L’arrêt de 44 jours peut être prolongé d’une ou deux fois 15 jours consécutifs. Afin de palier la diminution d’activité et de productivité entourant le congé maternité, une allocation est également versée aux femmes entrepreneures. La première partie étant alors versée à la fin du 7ème mois de grossesse et la seconde après l’accouchement.

L’annonce

Si les femmes entrepreneures n’ont pas à annoncer leur grossesse à leurs supérieurs hiérarchiques elles se doivent cependant d’en informer leurs clients, fournisseurs, employés et collaborateurs. Cela leur permettra de comprendre la diminution ou l’arrêt d’activité mais également de s’organiser en l’absence de la chef d’entreprise. L’annonce doit être faite au bon moment (pas trop tard) pour que des solutions satisfaisant les besoins des clients durant le congé puissent être trouvées. L’annonce du départ doit également servir d’annonce de la date de retour. Cela souligne que l’entrepreneure reste une professionnelle fiable et qu’elle ne quitte pas le marché. Les clients et collaborateurs s’organiseront alors en prenant en compte cette date de retour plutôt qu’en faisant appel à une autre entreprise.

La préparation du congé maternité

Une fois l’annonce faite, il est important pour les femmes entrepreneures de préparer leur départ et leur période d’inactivité. Un congé maternité étant prévisible, il est alors aisé de l’anticiper. Préparer le départ passe notamment par la finalisation des dossiers en cours, la préparation d’un planning pour les employés (s’il y en a)… Une bonne gestion de la période de congé est également importante pour éviter les dysfonctionnements de la société en l’absence de la chef d’entreprise. Celle-ci doit alors se charger, avant son départ, de désigner un remplaçant et de faire passer ses consignes.

Anticiper son retour

La reprise du travail peut être difficile pour les femmes entrepreneures si celles-ci n’ont pas anticipé leur retour. Bien entendu, le congé maternité n’est pas une période de travail mais cela n’empêche pas de rester en contact avec ses employés et collaborateurs. Avant de revenir, il est ainsi préférable de s’informer sur les dossiers en cours, les tâches à accomplir ou encore les problèmes éventuels. De même, il est judicieux de reprendre contact avec le monde professionnel quelques jours à l’avance afin de rappeler son retour et sa présence sur le marché. Ce contact peut être l’occasion de prévoir des rendez-vous avec les clients et collaborateurs afin de faire le point et développer de nouveaux projets.

Facebook et Twitter, des business models à imiter ?

En moins de dix ans, l’outil formidable qu’est Internet a grandement révolutionné nos modes de vie. Facebook et Twitter reflètent à eux-seuls cet impact : des changements radicaux, des habitudes nouvelles, des modes de réflexion bouleversés. Pour les consommateurs comme pour les entreprises, ces deux réseaux sociaux apportent un lot considérable de possibilités nouvelles. Mais une question demeure : la stratégie mise en place par ces deux mastodontes de l’Internet peut-elle permettre à d’autres entreprises, pas nécessairement du même secteur, de faire fortune ? Comment s’en inspirer pour tenter de l’apposer au mode de fonctionnement de notre propre structure ou de notre projet futur ?

De véritables cash-machines

Allons tout de suite à l’essentiel : Facebook et Twitter sont de véritables machines à gagner de l’argent. Alors qu’il y a encore quelques années, Mark Zuckerberg, le désormais célèbre CEO de Facebook, rechignait encore à l’idée d’axer la stratégie de son réseau social sur la publicité de contenus, il y a fort à parier qu’il ne regrette pas son changement d’avis. Facebook a gagné en 2014, selon des cabinets spécialisés d’analystes américains, 10,04 dollars par utilisateur. Les chiffres de Twitter sont un peu plus faibles (à 5,48 dollars par utilisateur) mais ils restent tout de même très encourageants. Mais comment ces deux réseaux sociaux font pour autant monnayer leur audience ?

Une stratégie simple mais efficace

Facebook et Twitter monnaient leur audience en passant des accords avec d’autres entreprises parmi les plus grandes du monde, pour leur ouvrir les portes de leur réseau social. La stratégie est gagnante lorsque l’on sait qu’ils rassemblent, par jour, plusieurs centaines de millions d’utilisateurs (1,49 milliard au total pour Facebook et 304 millions pour Twitter). C’est une garantie certaine pour une entreprise X souhaitant toucher une large audience que de passer des pages de publicités ou de simples petites images sur de tels sites. Mais comment donc tenter de mettre en œuvre cette stratégie de publicité ailleurs que sur un réseau social ?

Un modèle compliqué à mettre en œuvre ailleurs

Soyons clairs : il est très compliqué de s’inspirer de la stratégie de Facebook et de Twitter ailleurs que sur des réseaux sociaux. Mais cela reste tout de même tout à fait possible. En tant que chef d’entreprise ou cadre dirigeant, il vous sera nécessaire pour tenter de gagner de l’argent, de bien identifier l’audience du site de votre entreprise, la nature de votre clientèle, et ce dans le but de cibler les publicités à mettre en place. D’autres entreprises souhaiteront utiliser l’espace publicitaire de votre site Internet si l’audience et la nature de votre clientèle en vaut la chandelle. C’est là une force majeure de Facebook et Twitter : rassembler des personnes de tous horizons, de tous âges, mais qui feront face de la même manière aux publicités proposées : un coup d’œil rapide mais une trace laissée dans l’esprit. C’est cette stratégie-là que vous devez viser !

Ces start-up qui profitent du recyclage pour se lancer

Les enjeux environnementaux occupent une part de plus en plus importante dans la société. Les entreprises suivent cette tendance et cherchent à innover en matière d’écologie et de développement durable. De nombreuses start-up essaient de se lancer dans cette voie, en basant notamment leurs activités sur le recyclage. Quelles sont ces jeunes sociétés innovantes qui se démarquent sur ce créneau porteur ?

Ennesys

Basée à Nanterre, cette start-up spécialisée dans le recyclage des déchets fait d’ores et déjà partie des plus dynamiques sur le plan français. Ennesys développe une technologie permettant de dépolluer les eaux usées pour les transformer en source d’énergie. Un appareil installé sur le toit d’un immeuble permet de récolter eaux usées et déchets organiques, qui seront traités par phytoplancton pour créer une eau propre et des granulats pouvant être utilisés comme du charbon. L’entreprise veut devenir le leader mondial de ce traitement original.

Cy-Clope

Depuis début 2015, l’entreprise lyonnaise Cy-Clope s’est lancée dans le domaine du recyclage des mégots. Fondée par deux entrepreneurs ambitieux, Antoine Di Tommaso et Thibault Legrand, l’entreprise a mis au point un procédé qui transforme les mégots de cigarettes en plaque d’isolation plastique. L’idée est de mettre en place des bornes dans les coins fumeurs des entreprises pour collecter les mégots et amorcer le processus de recyclage. Avec 70 milliards de cigarettes achetées en France chaque année, il s’agit d’un enjeu majeur, qui pourrait assurer le succès de la société.

Green Creative

La start-up française Green Creative cherche à tirer partie des nouvelles normes industrielles en matière de recyclage. Elle développe des machines innovantes servant à recycler les déchets au sein des entreprises. Deux de ses projets connaissent un succès croissant : Flexidry, un appareil servant à recycler les rebuts de production industrielle, et R3D3, un étonnant robot-poubelle qui trie et compresse canettes et débris plastiques. La société intéresse déjà de grands groupes, avec des machines testées par Veolia et la SNCF, et pourrait connaître un essor important durant l’année 2016.

Cophenol

Depuis 2014, la start-up Cophenol connaît une phase d’étude intense sous l’impulsion de son fondateur, Emmanuel Thiéry. Cette start-up a créé une technique originale afin de transformer les déchets de café en engrais organique. La pyrolyse des différents résidus permet d’obtenir du bio charcoal, un charbon à usage agricole susceptible d’être utilisé dans les pays émergents ou en voie de développement. Les retombées économiques d’un tel produit pourraient être très importantes dans les prochaines années. Une étude de viabilité économique doit être menée pour un premier partenariat avec des coopératives brésiliennes.

Pyrum

Fondée en 2007 en Alsace, cette start-up franco-allemande a obtenu en 2015 le Grand prix du Sénat lors du concours Lépine. Elle utilise un procédé de thermolyse afin de recycler des pneus usagés pour les transformer en énergie réutilisable sous forme de pétrole, de coke et de gaz. L’entreprise vient d’ouvrir en Sarre sa première unité industrielle, capable de transformer 5000 tonnes de pneus chaque année. L’énergie créée va permettre au site de fonctionner en complète autarcie et de prouver l’efficacité de sa technique de recyclage. Pascal Klein, le PDG de Pyrum, souhaite faire de la société le leader du marché dans les prochaines années.

Ces start-up qui ont fait avancer la science

Les secteurs de la recherche médicale et de la santé profitent de l’innovation des start-up. Particulièrement à la pointe de la technologie et bénéficiant des dernières avancées scientifiques, ces dernières font avancer la science depuis de nombreuses années. Quelles sont alors ces start-ups qui innovent et font profiter à tous des fruits de leur recherche ?

Recycler la peau humaine pour faire avancer la science

Toulouse profite de son secteur de pointe dans les biotechnologies pour faire progresser d’un grand pas la recherche médicale. La start-up Genoskin a ainsi été fondée en 2011 par Pascal Descargues et emploie aujourd’hui 5 personnes. Implantée sur le site toulousain de l’Oncopole, la société s’est spécialisée dans le recyclage de la peau humaine à des fins de recherche médicale. Épargnant ainsi les expérimentations douloureuses sur les animaux, Genoskin fait progresser la science en collectant des échantillons de peau principalement dans les cliniques de chirurgie esthétique. En étant à l’origine du projet Native Skin qui sert à traiter de nombreuses maladies dont l’eczéma et les mélanomes, la start-up encourage les travaux de recherche.

Une molécule révolutionnaire pour traiter le cancer

Une start-up grenobloise, Ecrins-Therapeutics fondée en 2010 a mis au point une molécule qui s’attaque au cancer. Répondant au nom d’ET-D5, cette molécule anti-cancer sert à diviser les cellules cancéreuses en les empêchant de créer de nouveaux réseaux vasculaires. En partenariat avec l’Institut Curie, Aurélie Juhem la directrice scientifique de la société Ecrins-Therapeutics, espère trouver une source de financement par crowdfunding pour engager des essais cliniques à partir de 2016.

La création d’un mini-cerveau humain

Des chercheurs américains de l’Université de l’Ohio dont le professeur Anand, ont réussi la prouesse technologique de créer un cerveau humain en miniature. À l’origine de la création de la start-up révolutionnaire NeurXstem, le chercheur a présenté à la communauté scientifique son cerveau de la taille d’un taille-crayon et présentant les caractéristiques les plus complètes à ce jour. La start-up cherche alors à améliorer la recherche sur la maladie d’Alzheimer et envisage de commercialiser son processus de développement.

Lutter contre le cancer grâce au corail d’élevage

Coral Biome une start-up marseillaise, est destinée à la production de coraux d’élevage à des fins de recherche contre le cancer. Son fondateur Frédéric Gault, un spécialiste de l’aquaculture, a fondé la société en 2011. Essentiels pour la recherche clinique et les essais en laboratoire, le corail et les microorganismes sont en effet indispensables aux chercheurs. Coral Biome fournit alors une centaine de coraux et a déposé un brevet à l’Institut pour la recherche et le développement pour le succès de ses élevages d’un genre particulier.

La start-up de l’année en 2014

Élue start-up de l’année en 2014 lors du Falling Walls Venture qui s’est déroulé à Berlin, EyeTechCare a inventé un dispositif médical révolutionnaire dans le traitement des glaucomes. Créée en 2008 par un ophtalmologue et spécialiste en microchirurgie, Fabrice Romano, EyeTechCare commercialise son invention depuis 2013. Le dispositif de la start-up est en fait un générateur muni d’une sonde à usage unique, qui permet de traiter un glaucome sans recourir à aucun médicament.

Encourager les énergies renouvelables

L’optique d’In Sun We Trust est d’encourager l’implantation de panneaux solaires. Les installations photovoltaïques constituent l’avenir, et la start-up française fondée par David Callegari a commercialisé une application en ligne qui calcule toutes les informations nécessaires à cette production d’énergie à domicile.

TOP des start-up spécialisées dans la recherche d’appartement

Le logement fait partie des besoins fondamentaux de l’être humain tels qu’ils ont été énoncés par le professeur Drew Eric Whitman. De fait, la recherche d’un logement s’impose à chacun d’entre nous à plusieurs moments-clés de notre existence. De nombreuses start-up se sont positionnées sur ce marché ces dernières années et apportent des solutions innovantes à tous ceux qui souhaitent trouver vite et bien que ce soit à la location ou à l’achat un bien immobilier. Voici trois exemples de ces start-up qui surfent sur la vague de la désintermédiation pour réformer le marché de l’immobilier.

Home ‘n’ go

Via ses agences immobilières partenaires, cette start-up centralise sur son site et ses applications iOS et Android les annonces disponibles dans votre ville de recherche. Les annonces publiées sur Home’n’go comportent de très utiles informations comme les transports, les commerces et les écoles/crèches à proximité. Elle vous offre aussi un panorama du marché immobilier dans la ville concernée : prix au m², taux de la taxe foncière et de la taxe d’habitation et évolution du marché. Des informations très utiles à l’heure du choix. Lancée en 2011 par Adrien Pavillet et Sébastien Zerah, deux diplômés de la branche management et nouvelles technologies de HEC, la start-up propose aujourd’hui plus de 1,2 millions d’annonces diverses. Elle se rémunère principalement au clic et par certains services premiums proposés aux propriétaires.

Locat’me

Cette start-up propose une mise en relation de l’offre et de la demande inversée. Quand un propriétaire décrit son bien immobilier sur le site, une liste de locataires potentiellement intéressés lui est proposée. Il ne lui reste qu’à proposer son bien aux locataires de son choix. Le propriétaire aura accès aux données complètes des locataires qui accepteront la mise en relation. Dès lors, le contact peut s’établir directement. Très utiles pour les personnes en recherche de location qui ne disposent pas de temps pour consulter des pages d’annonces et passer des dizaines d’appels téléphoniques. Ils n’ont qu’à attendre l’appel des propriétaires intéressés par leur profil! Créée par Antoine Marck et Emmanuel Rasitosoa, la plateforme est opérationnelle depuis juillet 2013. Fin 2014 elle comptait près de 70 000 locataires inscrits pour 10 000 propriétaires.

Somhome

Cette start-up créée par Jean-Philippe Bertin propose aux locataires et aux propriétaires de s’inscrire sur sa plateforme. Le locataire y complète son dossier de candidature. Le site lui propose ensuite des annonces correspondants à ses critères et sa situation. Le locataire a ensuite accès à l’agenda du propriétaire pour s’inscrire afin de visiter le bien concerné. De son côté le propriétaire à accès aux éléments du dossier de candidature. Lancée en 2013, la startup Somhome a bouclé au début de l’été 2015 une levée de fonds de 500 000 euros.

L’immobilier reste un secteur hyper concurrentiel dans lequel les transactions de particuliers à particuliers sans autres intermédiaires qu’un site d’annonce en ligne occupent près de 50% du marché. Une start-up qui s’engage sur ce marché doit apporter une réelle plus-value en matière de services tant pour le locataire/acquéreur que pour le propriétaire. Home‘n’go, Locat’me et Somhome semblent tirer leur épingle du jeu, l’avenir seul dira si elles révolutionneront un secteur dont on a par le passé annoncé à maintes reprises le total bouleversement.

Top des plus jeunes entrepreneurs mondiaux

« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. » De très jeunes gens ont démontré dans l’entrepreneuriat la pertinence de cette réplique de Don Rodrigue dans l’acte 2 du Cid (Corneille). Portraits de ces étonnants entrepreneurs qui ont brulé les étapes entre les bancs de l’école et le siège de dirigeant d’entreprise.

Henry Patterson, Grande Bretagne (entrepreneur à 7 ans)

Ce petit garçon du Buckinghamshire, un comté du Sud-Est de l’Angleterre a toujours eu plus d’un tour dans son sac ! Non content de commercialiser, à 7 ans, pour 1 euro le sac, le purin produit par le cheval de la famille, il fonde à 9 ans sa propre boutique de confiseries en ligne « Not Before Tea ». Il crée ses propres bonbons et chocolats et s’apprête à ouvrir une boutique spécialisée à Harpenden, une ville du Hertfordshire, en Angleterre.

Mozah « Mo » Bridges, USA (entrepreneur à 8 ans)

Depuis plus de 4 ans, « Mo » vend ses nœuds papillon stylés années 30 dans 12 magasins du sud des Etats-Unis. Ce jeune styliste aujourd’hui âgé de 12 ans a su se faire un nom dans son domaine de prédilection et son entreprise Mo’s Bows génère 140 000 € de chiffre d’affaires annuel. Il demeure le plus jeune entrepreneur des Etats-Unis.

Leanna Archer, Haïti (entrepreneure à 9 ans)

La petite haïtienne a conquis l’Amérique à 9 ans grâce à ses produits de soins capillaires naturels. Ses recettes ont un tel succès dans son pays, qu’elle décide de s’installer aux USA pour les commercialiser. Succès total ! Aujourd’hui âgée de 17 ans, Leanna Archer est à la tête d’une entreprise de cosmétiques qui lui rapporte plus de 500 000 dollars par an.

Jordan Casey, Irlande (entrepreneur à 13 ans)

En octobre 2012, Jordan Casey, un paisible adolescent irlandais passionné de programmation informatique fonde sa première société. Jordan crée Casez Games qui offre des jeux pour iPhone puis TeachWare une application destinée aux instituteurs soucieux de centraliser et conserver les informations de leurs classes. Aujourd’hui, il touche 70% sur chaque vente d’une de ses applications et empoche plusieurs milliers d’euros par an.

Louis Haincourt, France (entrepreneur à 15 ans)

Ce jeune versaillais avait son petit business de revente d’accessoires pour portables. En 2010, il commande une centaine de coques pour smartphone à un fournisseur chinois pour les revendre à ses camarades. L’engouement est total et il décide de passer à la vitesse supérieure. Il dépose les statuts d’une EIRL et fonde Dealerdecoque.fr ! Son site propose désormais des fabrications originales pour les particuliers et les entreprises. Il a généré 82 000€ de chiffre d’affaires en 2014.

Nick D’Aloisio, Australie (entrepreneur à 15 ans)

Ce jeune développeur informatique est le créateur de l’application Summly qui gère automatiquement les résumés de textes. Cette dernière est élue Best of 2012 par l’Apple Store. En mars 2013, il revend son bébé à Yahoo pour 30 millions de dollars. Il devient ainsi, à 15 ans, le plus jeune self-made-man millionnaire de l’histoire !

Ces très jeunes gens font souffler un vent d’optimisme sur l’entrepreneuriat. Ils démontrent que la nouvelle génération ne manque ni d’idées ni de volonté pour construire l’économie de demain. Une galerie de portraits très rassurante pour l’avenir !

TOP 5 des points juridiques à connaître en tant qu’entrepreneur

Créer sa propre entreprise est le souhait de nombreux individus, mais encore faut-il en connaître le statut juridique et les lois qui s’y appliquent avant de sauter le pas. Quelle est alors la législation à prendre en compte dans le cadre d’une création d’entreprise ? Quels sont les points juridiques à connaître et les règles à respecter tant sur le fond que sur la forme ?

Le statut juridique de l’entreprise

Micro-entreprise, EURL, EIRL, SARL, SA, entreprise individuelle, nombreuses sont les formes que peuvent prendre les sociétés et entreprises individuelles ou collectives. À prendre en compte impérativement avant de créer sa propre entreprise, le statut juridique doit tenir compte du nombre de salariés, de la nature de l’activité et du type de biens et services proposés aux consommateurs. Si un unique individu désire devenir son propre patron, la micro-entreprise constitue alors une solution privilégiée, avec un statut simplifié depuis le 19 décembre 2014.

La nature de l’activité

Commerciale, artisanale, intellectuelle, la nature de l’activité envisagée détermine le statut de l’entreprise. Le régime fiscal n’est en effet pas le même s’il s’agit de la vente de biens et services de nature commerciale, ou la prestation et fourniture de services immatériels non marchands. Avec différents taux d’imposition selon le montant du chiffre d’affaires réalisé, la nature de l’activité principale s’avère déterminante dans le choix de son entreprise.

La fiscalité applicable

BNC ou BIC, les bénéfices sont soumis à une imposition différente. Les bénéfices non commerciaux sont en effet applicables aux professions libérales et concernent principalement les entrepreneurs individuels ou associés réalisant une activité intellectuelle, artistique ou à caractère scientifique. Architectes, cabinets de médecine, artisans, sont alors soumis à une imposition spécifique. Les bénéfices industriels et commerciaux, quant à eux, tiennent compte de la nature de l’activité : commerciale, artisanale ou industrielle. Selon la forme de l’entreprise choisie, l’entrepreneur est alors assujetti soit à l’impôt sur le revenu soit à l’impôt sur les sociétés.

L’obligation d’immatriculation des micro-entrepreneurs

Forme privilégiée par des millions d’entrepreneurs individuels, la micro-entreprise a l’avantage de bénéficier de formalités simplifiées. Cependant depuis le 19 décembre 2014, le micro-entrepreneur auparavant dispensé d’immatriculation, doit s’enregistrer obligatoirement auprès du registre du commerce et des sociétés, ou des métiers et de l’artisanat ou encore à celui de la batellerie selon la nature de son activité. Cette formalité d’immatriculation doit alors être effectuée au moment de la déclaration d’activité, mais reste entièrement gratuite.

L’affectation ou non de son patrimoine personnel à l’entreprise

L’entrepreneur individuel est selon le droit commun des entreprises soumis à une responsabilité des dettes de son entreprise. Peu contraignante mais cependant plus risquée en cas de chute du chiffre d’affaires, l’entreprise individuelle s’adresse alors aux activités peu risquées. Afin de pallier ces difficultés pour les entrepreneurs, l’EIRL a ainsi été créée au 1er janvier 2011. L’entreprise individuelle à responsabilité limitée, dont le statut s’inspire fortement de la SARL, limite alors la responsabilité des dettes en cas de faillite. Les biens personnels de l’entrepreneur sont ainsi protégés en cas de difficultés financières majeures, en déclarant au préalable une affectation des biens au seul patrimoine de l’entreprise. Soumise généralement au régime fiscal de l’impôt sur le revenu, l’EIRL permet d’affecter un patrimoine à son entreprise sur simple déclaration à l’un des registres concernés par la nature de son activité.

10 conseils pour réaliser une newsletter efficace

Dans tous vos plans marketing, il est obligatoire d’incorporer une newsletter, solution qui permet l’envoi d’e-mails électroniques à vos clients. Envoyer des e-mails contenant les actualités de votre entreprise, les nouveaux produits ou services constitue une façon de maintenir le lien entre votre entreprise et vos consommateurs, mais encore faut-il que votre newsletter soit efficace. Voici 10 conseils pour y parvenir.

1. Offrez de la valeur

C’est le conseil le plus difficile à mettre en place car vous aurez toujours envie de parler de votre entreprise. Mais si vous voulez que les utilisateurs apportent toujours de l’intérêt à vos e-mails, le mieux est de ne pas parler seulement de cela. Offrez-leur aussi de la valeur « gratuite » ! Par exemple, écrivez des guides, des documents ou donnez-leur des informations pratiques qui seront précieuses pour votre cible.

2. Soignez le design

Il n’est pas pensable d’envoyer des e-mails réalisés rapidement sans prendre en compte l’image et le design. Créez un modèle attractif que vous pourrez réutiliser pour chaque nouvelle campagne d’e-mailing. Essayez de mettre des liens redirigeant directement vers les contenus de votre site internet. Avant de réaliser le modèle définitif de votre newsletter, pensez à faire en sorte que le message et l’affichage de la newsletter soient les mêmes pour les utilisateurs des différents fournisseurs (Gmail, Hotmail, Outlook, etc.)

3. Donnez une touche personnelle à votre newsletter

La newsletter permet aux petites et moyennes entreprises de pouvoir communiquer avec plus de proximité avec leurs clients. Pour cela, donnez une touche personnelle au message : insérez votre signature, des visuels ou des textes directement adressés à votre cible, le tout afin de permettre une communication plus humaine avec les clients.

4. N’envoyez pas de spam

Le but n’est pas d’acheter des bases de données de qualité douteuse et d’envoyer des messages sans autorisation. Pour garder une bonne réputation, il faut faire attention aux points suivants :

  • L’objet de l’e-mail : évitez les « mots défendus » : gratuit, gagner, offre, réductions. Certains caractères et signes ne sont pas non plus recommandés : exclamation, €, %… ni l’usage de majuscules pour une phrase entière.
  • Le contenu : il doit être équilibré (50 % d’image et 50 % de texte). De plus, le texte doit toujours se situer dans la partie supérieure de l’envoi pour que l’utilisateur puisse le lire même si les images n’arrivent pas à se charger.

5. Respectez la réglementation

Permettez aux abonnés de la newsletter de pouvoir limiter la fréquence d’envoi de votre newsletter ou de se désinscrire. Il s’agit d’un impératif légal ! Aussi, comme dans tout autre type d’envoi, les newsletters doivent posséder des mentions légales dans lesquelles vous expliquez les raisons de la réception de ce message à votre abonné et sous quelles conditions il le reçoit.

6. Concevez une newsletter « sociale »

Les réseaux sociaux constituent les alliés parfaits pour une « viralisation » de votre contenu. N’hésitez pas à placer dans vote newsletter un lien vers vos différents comptes (Facebook, Twitter, Youtube, Pinterest, Google+…). De même, pensez à promouvoir la souscription à votre newsletter (avantages de l’abonnement, concours…) directement sur vos réseaux sociaux ! Cela permettra une interaction entre le canal e-mail et le réseau social, et vous capterez ainsi plus de clients !

7. Soyez à l’écoute de vos abonnés

Être à l’écoute des abonnés de votre newsletter est la base d’une relation qui marche. En effet, cela ne sert à rien d’envoyer une newsletter si aucune action n’est engagée de leur part, ou s’ils ne font que la mettre dans la corbeille dès réception… Il existe plusieurs solutions pour rendre votre newsletter plus participative : ajouter un lien vers le service clientèle, mettre en place un sondage, demander l’opinion des utilisateurs, etc. Cela vous permettra d’attirer leur attention et de réceptionner leur avis !

8. Mesurez le succès de votre newsletter

Pour vous rendre compte de la participation et de l’intérêt de vos abonnés à votre envoi, vous devrez prendre en compte les indicateurs suivants :
– le nombre total d’envois
– la qualité de la base de données (envois réussis/envois totaux)
– le taux d’ouverture (messages ouverts/envois totaux)

9. Périodicité et heure d’envoi

Une newsletter envoyée au bon moment doit pouvoir générer un contenu frais et intéressant. Une fois que vous aurez choisi la périodicité de cette dernière, maintenez-la pour ne pas « manquer » à l’utilisateur qui attend fidèlement votre envoi. Selon une étude récente de GetResponse, 23,63 % des e-mails sont ouverts durant la première heure de sa réception. Les heures qui génèrent le plus de pourcentage d’ouverture sont les suivantes : 8h et 9h du matin, 13h et 16h de l’après-midi.

10. Adaptez votre newsletter aux mobiles

Les ratios d’ouverture d’e-mails depuis des mobiles se situent à 30%, contre 70% depuis un ordinateur. Le design idéal pour une bonne adaptation mobile est d’environ 450-500 pixels de largeur, des boutons et des liens de 44×44 pixels et des textes clairs et attractifs. Pensez-y, car le smartphone devient le canal sur lequel les clients passent de plus en plus de temps pour consulter leurs e-mails !

L’intégration de ces dix points est la clé pour parvenir à l’objectif premier de votre newsletter : capter l’utilisateur et le fidéliser. Si vous arrivez à le toucher au point d’obtenir un clic vers votre page Web, et donc une visite, c’est déjà un premier pas vers la conversion de l’internaute en client !

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