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Comment s’implanter aux USA ?

Beaucoup de français sont aujourd’hui tentés de créer leur société aux Etats-Unis. Mais le marché du travail et les tendances américaines restent différents des autres pays. L’implantation d’une société aux USA demande réflexion et analyse. Alors comment procéder ?

Le marché du travail américain

Vous êtes décidé à implanter votre société aux USA. Il convient avant tout de connaître le marché américain. Pour cela, posez-vous les bonnes questions : quels produits développer ? Avec qui ? Comment ?

Grâce aux chambres de commerce et d’industrie françaises à l’étranger, vous pourrez trouver des idées et étudier votre projet d’entreprise aux USA. Il faut noter que ce pays demeure la première puissance économique mondiale. Considéré comme étant à la pointe de la technologie, il met l’accent sur l’innovation en matière d’entreprise et occupe la première place mondiale concernant la production industrielle, les importations, les services, la production d’électricité, le transport aérien et les investissements à l’étranger.

Les formalités administratives

La création d’une entreprise est plus facile aux Etats-Unis qu’en France. Il existe principalement 4 types de sociétés :

* La Corporation générale (C Corporation en anglais). Il s’agit du type de société le plus répandu aux Etats-Unis. Il concerne à la fois les moyennes et grandes entreprises. C’est l’équivalent de la « SA » en France. Son nombre d’actionnaire reste illimité et il n’y a aucune obligation pour les administrateurs d’être citoyen américain.

* La Corporation S (S Corporation en anglais). Cette forme de société protège les biens des actionnaires. Contrairement à la C Corporation, la citoyenneté américaine est indispensable et le nombre d’actionnaires demeure limité à 100.

* La Compagnie à Responsabilité Limitée (Limited Liability Company ou LLC en anglais). Ce type d’entreprise, très proche de la SARL française, bénéficie d’une absence de taxation au niveau de la société elle-même. Cette taxation se fera au niveau de ses associés. Les profits et pertes de la LLC sont attribués directement à ses membres, dont le nombre est illimité. Il n’y a pas obligation pour ses directeurs d’être citoyen américain.

* La Partnership. Il s’agit d’une forme de société qui permet d’associer deux ou plusieurs personnes dans le but d’exercer des activités à but lucratif. Chaque membre dispose des mêmes droits dans la gestion de l’entreprise. Elle se révèle proche de la SNC française.

Afin d’obtenir un numéro d’employeur (Employer Identification Number en anglais) indispensable au lancement de votre activité, il vous faudra contacter l’IRS (Internal Revenue Service) qui représente l’agence gouvernementale récoltant les impôts. Après avoir choisi le nom de votre société, il est important de faire une démarche afin de déposer la marque auprès de l’OMPI, l’organisme en charge des dépôts de marque aux Etats-Unis.

Exemples de français ayant réussi aux usa

De nombreux français ont brillamment réussi aux Etats-Unis. Par exemple, le célèbre coiffeur Frédéric Fekkai, né en 1958 à Aix-en-Provence, est parti s’installer aux USA à l’âge de 21 ans. Il possède aujourd’hui 2 grands salons de coiffure à New York et à Los Angeles. Il a créé de nombreux modèles de coiffures pour stars comme Kim Basinger ou Claudia Schiffer.

Prenons également le cas de Daniel Boulud, ce lyonnais né en 1955 parti s’installer à New York comme chef cuisinier. Aujourd’hui, il est considéré comme un des meilleurs chefs du pays et possède de nombreux restaurants à Miami, New York, Las Vega, Palm Beach. En 2012, ce chef cuisinier a ouvert un nouveau restaurant prestigieux à Montréal : le Ritz-Carlton.

La solution du portage salarial pour se lancer sur le marché Chinois

La Chine, avec une croissance de 7% et son immense marché de plus d’1 milliard 300 millions d’habitants, attire de nombreux entrepreneurs. Toutefois, être expatrié et lancer son entreprise sur le marché Chinois peut être un véritable challenge. S’implanter dans un pays avec une culture et une façon de travailler totalement différente est loin d’être facile.

Préparer son implantation

L’entrepreneur doit soigneusement préparer son implantation en se posant les bonnes questions. Il doit notamment se demander si le secteur d’activité est porteur dans ce pays, quelles sont les démarches administratives et quelle structure adopter ? Il lui est notamment possible de choisir la joint-venture qui requiert un partenaire chinois, un bureau de représentation, très encadré par la législation chinoise ou encore la WOFE, société à capitaux 100% étranger lourde à mettre en place.

Ainsi, beaucoup d’entreprises souhaitant s’implanter sur le marché chinois sont découragées lorsqu’elles font face aux procédures administratives complexes mais nécessaires et au choc culturel à l’arrivée.

Le portage salarial, une solution

Toutefois cette implantation qui paraît à première vue ardue reste tout à fait réalisable. En effet, le portage salarial est une solution simple permettant à une entreprise de s’ouvrir sur ce marché.

Il s’agit d’une pratique réglementée permettant à une entreprise de portage de représenter légalement un salarié à l’étranger. Cette entreprise de portage va se charger de toutes les procédures administratives et salariales nécessaires à une bonne installation. L’objectif est de laisser au consultant qui vient légalement travailler à l’étranger toute la latitude nécessaire pour se concentrer sur son activité sans se soucier de ces procédures administratives.

Fonctionnement

Le portage met en relation trois acteurs : l’entreprise cliente étrangère, l’entreprise de portage et le consultant. Un contrat de prestation de service est conclu entre la société étrangère et la société de portage. Cette dernière est également liée par le consultant avec un contrat de travail.

Les missions de la société de portage sont nombreuses et non exhaustives. Elle peut prendre en charge le recrutement, l’obtention de visas, l’assurance et le paiement des salaires des consultants qui travailleront pour la société étrangère.

Flexibilité et économies

Cette méthode est donc à la fois flexible et économique ; l’offre s’adapte aux exigences de l’entreprise étrangère. En outre, elle n’a pas besoin d’investir une grosse somme pour la création d’une structure plus lourde telle qu’une WOFE. L’entreprise de portage est une experte du marché local et est en relation avec de nombreux partenaires. L’implantation est rapide et engendre des résultats immédiats.

De nombreuses entreprises appliquent cette méthode pour s’implanter sur cet immense marché qu’est l’Empire du milieu, et il y a fort à parier que beaucoup d’autres feront ce choix à l’avenir.

Qui étaient les Business Angels en 2014 ?

Selon l’étude réalisée par la fédération France Angels parue fin mars 2015, on constate une augmentation du nombre de Business Angels pour l’année 2014. Pour les entrepreneurs, les investissements des BA constituent une véritable ressource pour le financement de leur start-up.

Des acteurs non-négligeables dans l’entrepreneuriat

On compte 4 442 Business Angels en 2014, mais qui sont-ils ? 95 % sont des hommes. 71 % d’entre eux vivent en Ile-de-France et 75 % sont issus d’écoles de commerce. Il s’agit pour la plupart de particuliers qui investissent dans une entreprise innovante. Le montant investi par ces BA en 2014 est de 36,5 millions d’euros, ce qui en fait une source de financement non-négligeable pour les entrepreneurs. 

Selon l’étude de l’organisme France Angels, le réseau des BA affiche des chiffres encourageants : 3000 emplois (créés et maintenus), 305 entreprises financées dont l’investissement moyen par entreprise s’élève à 120 K euros. En plus d’être d’indéniables investisseurs, ce sont aussi des accompagnateurs. « Les Business Angels tendent à se professionnaliser de plus en plus et apportent une expertise pointue qui va servir à affiner la stratégie des start-ups. » selon le Président de France Angels, Tanguy de la Fourchardière.

Répartition des financements par secteur 

 La grande majorité des investissements des BA se concentrent sur le secteur digital avec 44 % des montants investis et 51 % des entreprises financées. On note une petite préférence pour le secteur Web et Mobile, plus que pour l’électronique. Vient ensuite le secteur de la santé et les biotechnologies. Une part moins importante des investissements des Business Angels est observée dans les domaines qui concernent les médias, la mode, le luxe et les biens de consommation, avec seulement 5 % des montants investis.

Des efforts à accomplir

Même si depuis le 1er janvier 2015, les sociétés d’investissement des Business Angels (SIBA) bénéficient de nouveaux avantages fiscaux permettant ainsi le regain des financements, cela n’est pas suffisant. Pour le président de France Angels, il reste encore des efforts à accomplir : « La France ne privilégie pas la prise de risques. Alors que les Business Angels, eux, en prennent. Contrairement aux banques, ils sont les seuls à soutenir la capacité les start-ups dans cette période de fragilité qui est l’amorçage ».

Un photographe pas cliché

Photographe indépendant, Silvère Leprovost s’est très vite spécialisé dans les portraits.

Passionné d’aviation depuis l’enfance, Silvère Leprovost suit des études d’aéronautique. Il décroche son BTS Méma (Maintenance et Exploitation des Matériels Aéronautiques) et commence à travailler en 2006. Il exerce le métier de technicien de maintenance pendant cinq ans. Hors de son travail, le jeune homme commence à s’intéresser à la photographie. Il prend quelques clichés en amateur, immortalisant principalement des scènes de concert.

Le temps passe et l’idée de transformer cette passion en un métier s’impose pour lui comme une évidence. Silvère commence donc à poser les bases d’un projet entrepreneurial. En 2010, il décide de se faire accompagner par le réseau d’aide aux entrepreneurs BGE PaRIF.
L’année d’après, il abandonne définitivement le salariat pour se consacrer à la photographie. « Je désirais vraiment ne plus être salarié, je souhaitais entreprendre. » explique Silvère. Il se professionnalise en suivant une formation d’un an à l’école internationale de photographie Spéos à Paris.
Le photographe décide dès la première année d’entamer une démarche personnelle lui permettant d’affirmer sa façon de travailler et son regard sur les choses.

Depuis toujours attiré par les métiers manuels, il se tourne naturellement vers le milieu de l’artisanat. Silvère commence à faire le portrait des commerciaux artisans qui exercent près de chez lui et découvre les Cours de l’Industrie, lieu historiquement lié à l’artisanat à Paris. Cet endroit séduit le photographe, qui y réalise en 2013 sa première photo professionnelle d’artisan. « J’ai développé une réelle passion pour aller à la rencontre de ces artisans et pour les photographier dans leur contexte de travail, dans leur univers » précise- t-il. C’est également de cette façon qu’il fonctionne avec un entrepreneur qui souhaite contextualiser son portrait avec son activité.

C’est à ce moment que le photographe estime qu’il est temps pour lui d’entamer une activité commerciale. En guise de première étape, Silvère souhaite se constituer un réseau professionnel. Il rejoint
deux réseaux d’entrepreneurs et se rend également à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Paris à laquelle il présente ses premiers clichés. Ces derniers plaisent et le mois suivant, elle lui confie une dizaine de portraits d’artisans. Ce fut le point de départ de son activité commerciale.
Depuis, le photographe a rajouté des cordes à son arc. Le reportage en entreprise, les portraits d’entrepreneurs, la réalisation de tirages photographiques numériques, la formation aux particuliers et professionnels font désormais partie de sa palette d’artiste, et Silvère exerce maintenant sa passion à titre commercial. Aujourd’hui, le jeune entrepreneur continu à développer son réseau et son activité dans le milieu de l’artisanat et de l’entreprise. « Entrepreneurs et artisans possèdent tous un savoir-faire à valoriser sur lequel il demeure essentiel de communiquer » conclut-il.

Top 10 des couples d’entrepreneurs

Certains sont véritablement faits pour travailler ensemble. Ces couples d’entrepreneurs, complémentaires ou même identiques, ont su tirer de leur complicité et de leur ambition commune de quoi nourrir leurs projets. Découvrez notre Top 10 des couples d’entrepreneurs.

• Jay-Z et Beyoncé : ils connaissent la chanson ! 

Leur fille, Blue Ivy, est sans doute le seul bébé au monde dont le prénom soit une marque déposée. Ces rois des chartes, propriétaires d’un label, de lignes de vêtements, de parfums, de club de basket, de bars et de boîtes de nuit, ont bien évidemment le sens des affaires.

• David et Victoria Beckham : de la célébrité au business

Femme de footballeur, l’ex-Spice Girl est aussi Top Entrepreneur de l’année 2014 au Royaume-Uni et mère de 4 enfants. La force du couple ? Ils ont su utiliser leur image afin de préparer en avance leur reconversion.

• Brad Pitt et Angelina Jolie : toujours glamour

Le vin produit dans leur propriété provençale constitue leur dernière aventure en date. L’acteur le mieux payé d’Hollywood enchaîne les films et les publicités. Quant à Angelina Jolie, elle s’impose dans les lignes de vêtements, les restaurants, les clubs de football, les missions humanitaires et pour les enfants…

• David et Cathy Guetta : les rois de la nuit

Complémentaires, le DJ et l’organisatrice de soirées ont régné pendant vingt ans sur la musique électronique, les nuits de Paris, d’Ibiza et d’ailleurs. Récemment divorcés, ils ont créé ensemble, un véritable empire !

• Bill & Melinda Gates : de Microsoft à la philanthropie

En 1989, « L’homme le plus riche du monde » a rencontré sa femme sur le parking de Microsoft. Ils co-président aujourd’hui la Fondation Bill & Melinda Gates, investie dans l’éducation et la santé.

• Pierre Bergé et Yves Saint Laurent : passion haute couture

En 2014, 2 biopics retracent l’ascension d’Yves Saint Laurent. Pierre Bergé est passionné de théâtre, d’opéra, mécène et homme de presse. Cet homme d’affaires accompagne le talent créatif d’Yves Saint Laurent de 1958 jusqu’à sa mort en 2008.

• Carley Roney et David Liu : le mariage est un business

Quelle meilleure idée que de créer un business autour du mariage en couple ? Ainsi est né The Knot, le guide du mariage en ligne créé par les américains Carley Roney et David Liu. Devenu aujourd’hui XO Group Inc., il est coté en bourse.

• Marco Moreira et Ann Makovitsky : l’amour des bonnes choses

Marco Moreira, chef d’origine brésilienne, a rencontré sa femme à New York et ils créent ensemble Marco Polo Traiteur, puis le restaurant Le Tocqueville, devenu incontournable à Manhattan. Restaurant de sushis, brasserie, et récemment cuisine brésilienne, mais où s’arrêteront-ils ?

• Charline Sagnard et Sylvain Bruyère : l’aventure e-commerce

En couple depuis leurs études, Charline Sagnard et Sylvain Bruyère ont créé la startup Cadeau Maestro en se partageant les tâches. Avec une double compétence informatique et marketing, il est le responsable web et achats, tandis qu’elle gère la comptabilité et la logistique.

• Bérengère et Hervé Lecat : ils ont beaucoup à nous apprendre

Depuis 15 ans à la tête de Complétude, numéro 2 du soutien scolaire à domicile en France, le couple d’entrepreneurs fait l’inverse de ce qu’il professe : ne jamais travailler à la maison. Un bon conseil puisqu’ils viennent de créer Kinougarde, un service de garde d’enfants.

Epris de réussite, entrepreneurs passionnés, dans quel couple vous reconnaissez-vous ?

Créer son entreprise en franchise : où trouver les financements ?

Monter une entreprise en franchise limite considérablement les risques d’échec et de surendettement. Vous commercialiserez non pas un produit ou service anonyme mais un nom qui a déjà fait ses preuves.

Néanmoins, le manque de ressources financières s’annonce comme un obstacle incontournable pour la plupart des entrepreneurs. Comment trouver alors les financements ?

Etape 1 : l’autofinancement

Les réseaux de financement traitent chaque dossier d’entreprise naissante indépendamment des autres. Ainsi, chacun d’entre eux est soumis à des règles de financement spécifiques. Néanmoins, il est impératif pour la création d’une entreprise en franchise de disposer d’au moins 30% du montant nécessaire pour la réalisation de cet investissement.

Comme apport personnel, le futur entrepreneur peut choisir la « love money ». Cette démarche consiste à faire appel à des financements obtenus de la part de votre entourage (amis, famille, proches). Le montant rassemblé peut être ajouté au financement personnel dont vous disposez. Ainsi, vous pouvez augmenter votre apport et élargir votre marge d’autofinancement.

Le prêt à taux zéro est également considéré comme une alternative d’autofinancement profitable. Pour investir dans votre entreprise en franchise, vous pouvez bénéficier de cet emprunt délivré par trois organismes : l’Aide à la reprise et la création d’entreprise (Arce), Initiative France et Réseau entrepreneur.

Etape 2 : Les solutions externes de financement

Une franchise est, par définition, une filière d’une entreprise à succès. Pour cela, il faut compter un financement minimum de 100 000 euros pour monter votre entreprise. Même si vous disposez d’un autofinancement intéressant, vous aurez sans doute besoin d’un apport plus important. Sachez alors que vous avez la possibilité de rassembler ce montant en passant par :

– votre banque : demandez-lui un prêt bancaire ou un crédit-bail. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous devez avoir à votre actif au moins 30% du montant demandé. Autrement, votre emprunt risque d’être refusé.

– la banque publique d’investissement (Bpifrance) : vous pouvez obtenir un emprunt sans garantie auprès de cet organisme financier. Aucune caution personnelle ne vous sera demandée. De plus, elle peut se montrer garante jusqu’à 70% de l’ensemble du prêt, à condition que le montant total du financement ne dépasse pas les 45 000 euros. Vous aurez également la possibilité de rembourser ce montant sur 5 ans.

Etape 3 : le système de la franchise participative

Certains investisseurs semblent ignorer cette alternative de financement lorsqu’ils souhaitent créer une entreprise en franchise. Pourtant, cette solution reste possible et fort profitable. En effet, si le franchiseur lui-même croit en votre projet, il peut vous fournir les fonds nécessaires pour sa réalisation. Pour cela, plusieurs franchiseurs ont mis en place un système de « franchise participative » à travers laquelle ils présentent une aide financière importante pour les entreprises qui souhaitent commercialiser leurs produits ou services. Attention ! Vous devez vous assurer que le montant obtenu de votre franchiseur ne dépasse pas les 40% du chiffre global investi dans ce projet.

Il existe toutefois plusieurs critères de sélection auxquels vous devez être éligibles avant de prétendre à ce type de financement. Pas besoin d’un surcoût initial pour créer votre entreprise en franchise. Ces solutions de financement peuvent donner un réel appui pour la réalisation de votre projet.

5 entreprises françaises qui innovent dans l’e-santé

Voici 5 entreprises françaises qui innovent dans le secteur en plein boom de l’e-santé.

1. MEDISSIMO

La start-up française qui a été récompensée au CES de Las Vegas pour son pilulier communiquant, Imedipac, a pour but de rappeler à son utilisateur qu’il doit prendre son médicament. Créée en 2004, la société emploie aujourd’hui 24 personnes.

2. SANTECH

Est une start-up spécialisée dans l’édition de logiciels pour la santé et notamment l’accompagnement des malades. Travaillant en B to B to C, elle propose aussi une solution d’aide à l’autonomie et au maintien à domicile des personnes âgées.

3. ETIAM 

Est une société rennaise qui commercialise une plateforme de services collaboratifs connue sous le nom de « One-Click Télémédecine ». Cette technologie permet de capturer, échanger et diffuser les données médicales des patients entre les différents professionnels de santé.

4. SERPHYDOSE

A développé Dose-Watch, un logiciel permettant le suivi et l’optimisation de l’exposition des patients aux rayons X. Un travail récompensé, en 2011, par un prix au concours Alsace Innovation, et par l’intérêt de GE Healthcare, qui a acquis l’entreprise.

5. IMAGINE EDITIONS

Est une société qui fabrique des logiciels dont l’objectif est d’informatiser les dossiers des patients pour les médecins. L’entreprise compte 800 clients, 130 salariés et réalise aujourd’hui 9 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Les entrepreneurs féminins et masculins sont-ils si différents ?

Une étude parue hier et réalisée par Axa Entreprises sur un panel de 500 dirigeants de TPE, PME et ETI (hommes et femmes confondus), soulève une seule dissemblance majeure dans le management de l’entreprise entre entrepreneurs féminins et masculins. 

Le capital humain, un élément essentiel pour les entrepreneures

Le bien-être au travail, lutter contre le stress, la mise en place d’une mutuelle santé pour leurs salariés, sont autant d’enjeux primordiaux pour les femmes chefs d’entreprise. Les hommes, toutefois, concernés par ce capital humain, semblent néanmoins moins impliqués que les femmes dans le management des Ressources humaines. 77 % des femmes chefs d’entreprise ont intégré un contrat de prévoyance pour leurs salariés contre 65% pour les hommes.

Parfois, ces nuances dans la gestion d’entreprise suivent une certaine logique. Les femmes ne rencontrent pas les mêmes difficultés dans leur vie professionnelle que les hommes et sont donc plus concernées par certains points sur lesquels elles insistent dans leur politique managériale. C’est le cas par exemple de la lutte contre la discrimination. Les femmes semblent plus soumises à des situations discriminantes dans leur vie professionnelle, ce qui influence les entrepreneures à placer cet élément dans leurs priorités de manager.

Une vision similaire de l’entrepreneuriat entre hommes et femmes

Cette étude nous dévoile finalement que les femmes possèdent les mêmes préoccupations et les mêmes obstacles (à l’exception d’un parcours plus ardu pour y parvenir) que les hommes sur la gestion d’entreprise. Par exemple, 91 % des femmes regrettent que le statut d’entrepreneur ne soit pas assez valorisé en France et 93 % des hommes partagent cet avis.

6 plateformes pour faire de l’achat groupé

Si vous souhaitez vous lancer dans l’achat groupé, voici six plateformes incontournables à explorer, qui vous permettront de profiter d’offres avantageuses et de maximiser vos économie

1. PMEcentrale.fr 

Groupement d’achat de PME indépendantes qui réunit plus de 4 000 entreprises à travers la France issues des secteurs du bâtiment, du paysage, des industries, des services et du commerce. 

2. Placedesenergies.com 

Propose gratuitement aux professionnels de réaliser des économies dans un domaine de dépense important, celui des énergies (que ce soit électricité, gaz, granulés de bois, fioul ou bûches densifiées…)

 3. Haxoneo.com 

Centrale qui permet la mutualisation des volumes d’achats que ce soit des fournitures industrielles, de la location de voiture, de l’équipement de protection, des mutuelles, de l’impression, des emballages ou dans le domaine de la santé. 

4. Reducbox.com 

Abonne votre entreprise à recevoir des offres de réduction dans le domaine des loisirs. à destination des comités d’entreprise et des TPE/PME, le site permet de récompenser les salariés en leur donnant du pouvoir d’achat.

5. Novalto.fr 

Novalto agit sur deux volets : la réduction des coûts de fonctionnement grâce à l’optimisation des frais hors production (bureautique, téléphonie…) et la valorisation des salariés grâce à des remises permanentes sur leurs achats. 

6. lafi.fr 

Plateforme d’achats spécialisée dans les produits informatiques, numériques, audio-visuels et consommables. Permet aux entreprises de toutes tailles de réaliser leurs achats IT au travers d’un portail web privé et personnalisé.

Le groupe Beaumanoir lance un nouvel accélérateur de start-ups

Spécialiste du prêt-à-porter, le groupe Beaumanoir crée un nouvel incubateur de start-up, intitulé le Silicon B, dédié aux projets connectés innovants. Les premiers appels à projets devraient voir le jour avant le début de l’été. 

Un accélérateur pour les start-ups du e-commerce

C’est à l’occasion du forum Start-West qui a eu lieu le 9 avril dernier à Saint-Malo que le groupe Beaumanoir a révélé son nouveau projet pour lequel le groupe investit plus de 10 millions d’euros. Il s’agit de Silicon B, un accélérateur de start-ups spécialisé dans le commerce connecté. La structure accueillera une dizaine de jeunes entreprises de la sphère du e- commerce, toutes sélectionnées selon des critères bien précis : être à la fois une société de moins de 2 ans, avoir réalisé moins de 200 000 euros de chiffre d’affaires au moment de l’inscription et développer un service innovant pour le consommateur.

Profiter de l’effervescence du numérique

Ce projet devrait permettre au groupe Beaumanoir de profiter de la croissance de l’e-commerce tout en se diversifiant le plus possible. Pour l’entreprise, il ne s’agit plus de se cantonner à la filiale du textile mais de s’étendre à l’ensemble du commerce connecté et être au plus près de la demande du consommateur en développant, notamment, son offre en BtoB.

Pour les jeunes entreprises qui intégreront ce projet, l’enjeu est simple : elles pourront bénéficier d’un accompagnement de 3 mois intensif et gratuit qui leur permettra d’optimiser l’utilisation des nouvelles technologies grâce à des « mentors experts » du commerce et à des entrepreneurs du Web et du mobile. Leurs problématiques pourront être résolues car ils auront la possibilité de tester leurs solutions auprès de vrais clients des marques partenaires de Silicon B. A l’issue des 3 mois, les start-ups pourront participer à un Demo Day et proposer leur projet à un ensemble d’industriels et d’investisseurs qui pourront éventuellement le financer.