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Synovo aide les ambulanciers à gérer leur flotte automobile

Jérémy Wies est cofondateur de l’entreprise Synovo, dont le projet a vu le jour à la fin de l’année 2011. 

A l’époque, il possède déjà une première structure dans le domaine de l’informatique. « En discutant avec mes clients ambulanciers, je me suis aperçu que les logiciels qu’ils utilisaient pour gérer leur flotte n’étaient plus adaptés » précise-t-il. Avec deux associés, il décide alors de créer un outil technologique évolutif qui permet aux ambulanciers d’optimiser la régulation de leur flotte à l’aide d’outils analytiques avancés. Le succès est immédiat. « Nous avons remporté le ‘startup week-end’ à Strasbourg en 2011, puis nous avons enchaîné les concours dans la région. Cela nous a permis de nous lancer avant de solliciter les aides traditionnelles » explique Jérémy. L’immatriculation de l’entreprise a lieu début 2013. C’est à cette époque que les entrepreneurs sollicitent Bpifrance, qui leur accorde un PPA (Prêt Participatif d’Amorçage) initial, d’une valeur de 60 000 euros. Un apport qui permet aux fondateurs d’asseoir leur crédibilité et de développer la structure.

« Nous sommes jeunes : mes associés ont 26 ans et moi 25. Le prêt de Bpifrance nous crédibilise auprès des potentiels investisseurs et nous a permis d’attaquer le marché frontalement » développe le fondateur. Les trois associés ont à nouveau sollicité Bpifrance cette année et ont obtenu un nouveau PPA ainsi qu’une aide à l’innovation en avance remboursable, le tout pour un montant de 500 000 euros. Un nouvel apport financier qui devrait venir supporter le développement de la R&D. En parallèle, ils viennent de boucler une levée de fonds supérieure à 1 million d‘euros. Aujourd’hui, la société compte 30 salariés et Jérémy prévoit d’en embaucher 25 de plus dans les 12 prochains mois.

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L’enregistrement de domaine privé, les avantages de se mettre sur « liste rouge »

Lorsque vous enregistrez un nom de domaine, votre identité, votre adresse postale, votre adresse email et votre numéro de téléphone sont insérés dans une base de données appelée WHOIS et consultable par tout un chacun.

Néanmoins, ces informations, une fois en ligne, vous exposent à de sérieux problèmes: vol d’identité, fraude, … ou à un harcèlement commercial de la part de toutes les sociétés qui récupèrent ces données afin de vous proposer divers services ou de tenter de vous vendre ou revendre votre propre nom de domaine ou le même nom de domaine avec une autre extension (cas classique du soi-disant cabinet d’avocats chinois qui vous contacte pour vous prévenir (faussement) que vous ne pourrez plus utiliser votre nom de domaine car le même avec .cn ou .net a été enregistré par une autre société.. ou d’une société à dénomination faussement officielle qui vous enjoint de déposer votre nom de domaine chez elle à 2 mois de l’échéance de fin de validité de votre nom de domaine.

La publication de vos coordonnées n’est pas une fatalité puisqu’il est possible de se mettre sur « liste rouge » pour les domaines génériques .com, .net, .org, .info et .mobi, dont l’enregistrement dépend de l’ICANN.

Qu’est-ce que l’ICANN ?

La gestion des noms de domaine a été confiée à l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Domain Names and Numbers, en français, Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet). Cette autorité de régulation, à but non lucratif, enregistre un nom de domaine uniquement si un ensemble d’informations lui sont transmises.

Pourquoi mes coordonnées entrent dans le domaine public ?

Parmi ces informations, l’ICANN exige d’obtenir les coordonnées de contact du propriétaire du nom de domaine. La raison en est simple: tout propriétaire d’un nom de domaine doit pouvoir être contacté.

La demande de création d’un nom domaine peut être uniquement effectuée par des registraires de nom de domaine, plus souvent désignés par le mot anglais registrar. Amen est un de ces ayants-droit et est tenu de transmettre à l’ICANN vos coordonnées personnelles afin que la demande de nom de domaine soit validée.

Lors de la création d’un nom de domaine, l’autorité de régulation met à jour la base de données publique appelée WHOIS. Ce registre permet d’obtenir les coordonnées de contact du propriétaire du nom de domaine. Vous pouvez consulter cette base de données sur le site internet de l’ICANN.

Ne plus partager ses coordonnées personnelles avec un enregistrement privé

La publication de vos coordonnées n’est pas obligatoire. Amen vous permet de cacher vos informations personnelles aussi bien pour vos noms de domaine existants que pour vos futures acquisitions. Cette « dissimulation » – disponible uniquement pour les domaines génériques .com, .net, .org, .info et .mobi – s’effectue très simplement et en toute légalité: Amen remplace vos coordonnées par les siennes et garantit à la fois aux autorités de l’Internet mais aussi à vous la transmission d’éventuels messages à votre intention si quelqu’un veut envoyer un mail au propriétaire (vous) du site.

Ainsi, lors de l’interrogation de la base de données WHOIS, ce sont les coordonnées d’Amen qui apparaîtront et non plus les vôtres. Cette modification est réversible à tout moment et peut être effectuée autant de fois que vous le souhaitez.

Attention car si vous vous apercevez d’un coup que vos coordonnées réelles sont visibles et que vous décidez de les cacher, il se peut fort que vos coordonnées réelles restent visibles dans les archives des différents sites permettant de consulter le WHOIS.

Vous pouvez retrouver un exemple d’anonymisation par AMEN d’un nom de domaine dans le WHOIS en consultant cette page, où vous retrouvez également toutes les dispositions mises en place pour votre mise sur « liste rouge ».

Les noms de domaine en .fr

L’enregistrement des noms de domaine en .fr, et aussi en .re pour La Réunion, .tf pour les Terres australes et antarctiques française, .yt pour Mayotte, .pm pour Saint-Pierre-et-Miquelon et .wf pour Wallis-et-Futuna dépend depuis 1997 de l’AFNIC (Association française pour le nommage Internet en coopération).

L’AFNIC dissimule automatiquement dans son WHOIS les coordonnées des particuliers. Cette disposition s’inscrit dans le cadre de la loi « informatique et libertés » et peut être facilement vérifiée en utilisant le WHOIS de l’AFNIC.  Si vous êtes un particulier et que vous souhaitez acquérir un nom de domaine en .fr ou tout autre domaine rattaché à ce bureau d’enregistrement, vous n’avez donc pas besoin de souscrire à un enregistrement privé.

L’AFNIC révèle sur demande, pour la résolution de litige, le contact administratif d’un nom domaine qu’elle « protège ». Cette requête peut être effectuée via ce formulaire.

Avant d’acheter un nom de domaine

Avant d’acheter un nom de domaine, il est fortement conseiller de vérifier que le nom n’a pas été déposé. Cette vérification peut être effectuée auprès de l’INPI (Institut national de la propriété industrielle) grâce au formulaire de recherche des marques.

Interview de Areeba Rehman fondatrice de FretBay

Entretien exclusif avec Areeba Rehman fondatrice de FretBay

Comment est née votre entreprise ?

Après un déménagement personnel, j’ai voulu me séparer d’une bonne partie de mes meubles et affaires diverses. Je les ai mis en vente sur internet, mais beaucoup d’acheteurs ont renoncé car le prix pour les transporter était trop important. Dans le même temps, une étude indiquait à l’époque que 25 % des prestataires de service de transport roulaient à vide et plus de 50 % à moitié remplis ! J’ai donc décidé de lancer une plateforme qui permet de mutualiser toutes les demandes de transport et/ou de déménagement et de permettre aux particuliers de réaliser des économies sur leur déménagement. Le rabais va jusqu’à 75 % par rapport aux prix pratiqués sur le marché grâce à notre système de remplissage de camions..

Comment avez-vous financé votre activité ?

En 2014, nous voulions développer une application mobile permettant aux transporteurs de consulter les annonces, soumettre des devis et répondre aux messages des clients en temps réel. Dans ce cadre, j’ai bénéficié de l’Aide à l’Innovation Responsable (AIR), une subvention versée aux PME franciliennes par le Centre Francilien de l’Innovation (CFI). Ils ont validé notre dossier et nous ont orientés vers Bpifrance pour aller plus loin dans le financement. En quelques coups de téléphone et après avoir répondu à quelques questions de détail sur notre dossier, nous avons obtenu en septembre 2014 un Prêt à Taux Zéro de 320 000 €, ce qui correspond à 55 % de l’enveloppe globale dédiée au projet.

Quels conseils donneriez-vous aux entrepreneurs qui souhaitent solliciter Bpifrance pour obtenir un prêt ?

Bpifrance possède un maillage territorial intéressant, avec un nombre de conseillers importants dans l’ensemble des régions. Il ne faut pas hésiter à prendre rendez-vous avec eux pour leur présenter votre projet. Ils vous diront rapidement si vous avez ou non droit à un financement. Par ailleurs, au-delà de l’aspect pécuniaire, restez régulièrement en contact avec eux, car vous pourrez bénéficier de précieux conseils et d’accompagnement pour faire avancer votre projet.

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Tout savoir sur le remboursement des indemnités kilométriques

Opter pour un véhicule de société ne constitue pas forcément une bonne solution pour un dirigeant. Si un salarié effectue des déplacements professionnels avec son véhicule personnel, vous pouvez choisir le remboursement de ses indemnités kilométriques. Focus. 

Qui est concerné et dans quelles conditions ?

Toute personne exerçant une activité professionnelle au sein de l’entreprise peut être soumise au remboursement des indemnités kilométriques. Il peut donc s’agir du salarié comme du dirigeant. Il existe deux types de situations pour lesquelles l’employeur est tenu de rembourser les indemnités kilométriques à l’employé. S’il s’agit de frais professionnels (c’est-à-dire de frais engagés pour les besoins de l’activité professionnelle et dans l’intérêt de l’entreprise), et que ces derniers répondent à des critères précis (départ depuis l’adresse du siège de l’entreprise, la personne utilisatrice du véhicule doit en être propriétaire, nécessité de fournir des justificatifs (date et lieu du trajet, objet de la mission, etc.), présentation obligatoire d’une copie de la carte grise), alors l’utilisateur du véhicule est susceptible de percevoir des indemnités kilométriques, établies selon un barème précis (voir ci-dessous). Dans le second cas, s’il s’agit d’un trajet entre le domicile et le travail, le salarié ou le dirigeant utilisant son véhicule personnel peut être indemnisé uniquement si prendre le volant demeure une nécessité absolue, soit parce que son domicile n’est pas desservi par les transports en commun, soit parce que ses horaires lui imposent de prendre son véhicule.

Avantages et inconvénients.

Parmi les avantages des indemnités kilométriques, notez que le remboursement de ces dernières n’est pas soumis à l’impôt sur le revenu. De même, la somme remboursée est exonérée des charges sociales et demeure déductible des résultats de l’entreprise, sous réserve de justification des frais engagés par le conducteur. Sachez que si vous décidez d’acquérir un ou plusieurs véhicules de société, vous devrez payer chaque année la taxe sur les véhicules de sociétés pour les voitures que vous possédez et que vous utilisez. Ce n’est pas le cas pour les véhicules personnels avec remboursements d’indemnités kilométriques, si les trajets concernés ne dépassent pas 15 000 km par an. Les coûts liés à la gestion et à l’utilisation du véhicule sont supportés par le salarié. Il existe néanmoins quelques inconvénients au remboursement des indemnités kilométriques. En cas de fort kilométrage annuel, cela peut devenir un poste de dépenses conséquentes. elle ne choisissant pas le véhicule, elle ne peut en gérer l’apparence et l’état, ce qui demeure un inconvénient notable dans certaines activités commerciales. Le remboursement des indemnités oblige parfois à puiser dans sa trésorerie personnelle, alors que le financement de la voiture de fonction se fait via la société. l

Le dirigeant qui vous propose d’acheter un arbre !

Erwan Le Méné a quant à lui cofondé EcoTree en 2014. à 31 ans, le jeune Brestois est déterminé à rebattre les règles qui prévalaient jusqu’à maintenant dans les démarches environnementales des entreprises. 

Ingénieur de formation, puis diplômé d’un master en administration des entreprises à l’IAE de Paris, Erwan Le Méné passe ensuite huit ans dans le secteur bancaire où il mène des projets stratégiques, transforme les organisations et à conduit des opérations de fusions-acquisitions. Mais l’envie de développer un projet écoresponsable trotte dans un coin de sa tête.

L’idée lui vient en 2012, date à laquelle Erwan dresse un constat. « Je me trouvais devant la machine à café de ma boîte » détaille-t-il. « Si vous apportiez votre propre tasse, la machine le reconnaissait et décidait d’elle-même de ne pas faire tomber de gobelet en plastique. J’ai décidé d’amener ma tasse pour ne pas gaspiller de gobelets. Seulement le prix du café restait identique que vous apportiez votre tasse ou non ! Je ne trouvais pas logique qu’une personne qui décide de faire un geste pour l’environnement ne soit pas valorisée. »

Les démarches environnementales des entreprises peinent à décoller car le souci de la rentabilité prime sur le reste. Erwan imagine une solution dans laquelle les entreprises, tout en agissant pour la planète, pourraient s’y retrouver en termes d’investissements. En plantant des arbres, elles peuvent participer à la reforestation des forêts françaises. L’idée d’EcoTree est née. « Les entreprises deviennent propriétaires d’arbres qu’elles financent, tout en s’exonérant des impôts fonciers, des coûts d’entretien et des taxes sur les plus-values dont EcoTree supporte la charge » explique le fondateur.  Pour mettre en œuvre le concept, le jeune breton s’associe avec Vianney de la Brosse, spécialiste de la gestion forestière et Baudouin Vercken.

Les entrepreneurs ne sont qu’au début du processus de développement. Après une première levée de fonds en septembre auprès de Business Angels, les fondateurs ont débuté la commercialisation du produit seulement en décembre 2015. Le premier salarié a rejoint l’aventure début mars et une autre devrait les rejoindre, ainsi que deux stagiaires, très prochainement.

Grâce à l’obtention d’un prix de 25 000 € obtenu lors du concours La Fabrique Aviva, les entrepreneurs devraient pouvoir financer l’acquisition de nouvelles forêts. « Nous espérons atteindre les 100 hectares avant fin 2017 » ambitionne Erwan. « Nous avons un potentiel de vente de l’ordre de 20 ou 30 000 arbres cette année. Mais nous constituons des stocks pour anticiper les importantes commandes d’entreprises qui devraient nous parvenir prochainement. » Le fondateur nous confie que plusieurs grands groupes sont déjà intéressés par le concept et qu’un accord commercial devrait être signé sous peu avec certains d’entre eux.

Comment obtenir une adresse e-mail professionnelle ?

En entreprise, chaque employé doit avoir une adresse e-mail professionnelle. Pour renforcer votre crédibilité professionnelle, votre adresse e-mail doit comporter le nom de domaine et le nom de votre entreprise. Quelles sont donc les étapes à suivre pour obtenir une adresse email professionnelle ? 

Choix d’une extension de nom de domaine et enregistrement d’un nom de domaine

Avant de créer une adresse e-mail professionnelle, vous devez enregistrer un nom de domaine avec l’extension de votre choix (.com ou .net, par exemple). Après vous être acquitté des frais d’enregistrement, vous pouvez utiliser votre nom de domaine pour établir un site Web et créer plusieurs adresses e-mail pour vous-même ou d’autres employés. Il est très facile d’enregistrer un nom de domaine. Il suffit de contacter un bureau d’enregistrement comme 1&1 ou Amen. Le nom de domaine doit naturellement être choisi avec soin, car il représente ensuite le visage de votre entreprise sur Internet.

Vérification de la disponibilité du nom de domaine

Une fois le nom et l’extension sélectionnés, vous devez vérifier la disponibilité du nom de domaine. En d’autres termes, le nom de domaine ne doit pas être déjà enregistré.

Verisign gère depuis de nombreuses années trois des extensions les plus reconnues au monde – « .com », « .net » et « .tv ». Ces extensions permettent à des particuliers et des entreprises d’effectuer leurs transactions en ligne en toute confiance. Verisign propose également à ses clients un service qui leur permet de vérifier la disponibilité d’un nom de domaine. Dans le cas où le nom de domaine souhaité est déjà enregistré, ce service suggère des alternatives. Si le nom de domaine souhaité est disponible, il n’y a plus qu’à l’enregistrer auprès d’un bureau d’enregistrement comme 1&1 ou Amen. Lors de l’enregistrement initial de votre nom de domaine, il vous en coûtera quelques euros que vous devrez régler au bureau d’enregistrement. Le renouvellement vous sera ensuite facturé chaque année.

Obtention d’une adresse e-mail professionnelle

Une fois votre nom de domaine enregistré, vous pouvez créer facilement une ou plusieurs adresses e-mail professionnelles. Généralement, le bureau d’enregistrement chez qui vous enregistrez votre nom de domaine vous demande de créer un compte pour vous permettre de créer votre adresse e-mail en quelques clics dans leur interface. Suivez les instructions de l’interface pour gérer votre adresse e-mail dans l’application de webmail du fournisseur de service. En fonction du bureau d’enregistrement, cette application vous permet de gérer une ou plusieurs adresses. Pour gérer plusieurs adresses, privilégiez les formules payantes de votre fournisseur, ces formules étant généralement assorties de fonctionnalités supplémentaires.

Retrouvez plus d’informations sur : cliquez ici

Pour obtenir votre propre nom de domaine, il vous suffit de suivre ces quelques étapes. Une fois en possession de votre nom de domaine, vous pourrez créer une adresse e-mail professionnelle pour correspondre avec tous vos clients, prestataires de services et autres fournisseurs.

Comment obtenir un véhicule d’occasion ?

Pour les artisans et professions libérales, l’utilisation d’un véhicule automobile peut être un véritable atout dans la gestion quotidienne de son activité professionnelle. Il s’agit d’un investissement que certains indépendants cherchent à réduire en s’équipant d’un véhicule d’occasion, plus abordable. Comment obtenir une automobile à petit prix pour son activité pro ?

Pourquoi un véhicule pro ?

Un véhicule peut avoir une utilité cruciale dans le quotidien d’un artisan ou d’une personne qui exerce une profession libérale. On parle ici d’une voiture de fonction, de service, d’un possible utilitaire professionnel mais aussi de tous les véhicules susceptibles d’être employés dans le cadre des activités de l’entreprise (deux-roues, camions, etc.). En tant qu’indépendant, si vous optez pour l’utilisation d’un véhicule dans le cadre de votre activité, cela peut grandement se ressentir positivement dans l’organisation interne de votre quotidien professionnel.

Les manières de procéder

Un plan de financement doit être mis au point afin que vous puissiez déterminer comment agir selon vos besoins et fonds disponibles. Le véhicule peut être acheté comptant auprès d’un concessionnaire, acquis à crédit selon des modalités à définir ou bien loué. Plusieurs contrats sont disponibles, comme une location avec option d’achat du véhicule (vous pouvez devenir propriétaire de la voiture en levant l’option d’achat en fin de contrat) ou une location de longue durée.

Les avantages pour l’activité professionnelle

En tant qu’artisan ou profession libérale, vous avez tout à gagner à financer un véhicule en location pour votre activité. C’est l’assurance d’avoir une voiture toujours en parfait état et entretenue garantissant ainsi votre sécurité.

Se tourner vers l’occasion pour faire des économies

Une voiture d’occasion se révèle économique tant dans l’investissement initial que dans les frais de fonctionnement. Il est possible de repérer rapidement les modèles qui consomment peu et ne tombent pas en panne pour optimiser son achat, et d’éviter les abus grâce au contrôle de la consommation de chaque véhicule.

L’intérêt d’une plateforme professionnelle

L’obtention d’une automobile d’occasion peut passer par une plateforme spécialisée comme Vivacar. Ce service mis au point par CGL, une filiale du groupe Société Générale, permet de choisir des véhicules d’occasion pour son parc automobile d’entreprise auprès d’un vaste choix de concessionnaires. Concrètement, les artisans et professions libérales pourront y trouver des modèles performants à des prix attractifs, tous les véhicules ayant moins de 7 ans et affichant moins de 90 000 kilomètres au compteur. Ce type de plateforme permet de réduire ses coûts tout en ayant l’assurance de pouvoir obtenir rapidement une voiture d’occasion sûre et efficace.

Un entrepreneur du web au profil… atypique ! Benoît Champliaud

Passionné d’informatique depuis son plus jeune âge, Benoît Champliaud est un autodidacte de l’entrepreneuriat. N’ayant pour seul diplôme qu’un brevet des collèges, il est aujourd’hui un expert reconnu de l’e-réputation, le référencement web et la sécurité informatique. Portrait d’un entrepreneur singulier qui a fait sien le mot « persévérance ».

Dans le monde de l’entrepreneuriat, certains profils sont plus atypiques que d’autres. Benoît Champliaud, 31 ans, le regard perçant du haut de son mètre quatre-vingt cinq, fait partie de cette catégorie. Et il semble que cela soit sa plus grande force comme l’explique ce jeune homme doté d’un humour débordant : « Avec un brevet des collèges et trois ans de formation en ébénisterie, on pourrait se demander comment je suis arrivé là où je suis. D’autant plus qu’on m’a souvent dit que je n’irais pas très loin dans la vie. »

De la « bidouille » informatique à sa première SARL

Ce « là où il arrivé » n’est autre que le secteur du web et de l’informatique qui le passionnent depuis son adolescence. « Avec l’émergence d’internet, j’ai commencé à faire du “ hacking” [bidouillage, ndlr]. Et petit à petit, je me suis professionnalisé en apprenant, seul, le codage web et le langage de programmation ». En 2005, cet engouement l’amène à monter sa première société de création de jeux digitaux à tout juste 20 ans.

Jusqu’en 2011, s’en suivent différentes expériences professionnelles, en tant que développeur web avec son agence pour des clients grands comptes (Disney, SFR, Lagardère, L’Oréal, etc.). Parallèlement, il crée sa première SARL en septembre 2011. Baptisée OXO Communication, celle-ci fut la première agence de communication digitale française pour les artisans-commerçants des PMI-PME. « Ensuite, j’ai travaillé pour différentes entreprises spécialistes de l’e-réputation et du référencement SEO. Avec l’importance stratégique qu’a pris le web 2.0 dans les entreprises, des profils comme le mien ont commencé à être très recherchés. Et j’ai su saisir l’opportunité.»

Multi-casquette

En plus de ses compétences en développement web, Benoît Champliaud possède aussi une expertise solide en sécurité informatique. « C’est un domaine en constante évolution, de plus en plus stratégique pour les entreprises », commente le trentenaire passionné. « Beaucoup d’entre-elles ne sont pas protégées comme il le faudrait. C’est la raison pour laquelle je fais aussi de l’audit et crée des softwares dans ce domaine. En ce moment, c’est d’ailleurs ma principale occupation ». Enthousiaste, il ajoute : « Avec un confrère, nous travaillons à l’élaboration d’un système de pare-feu inédit baptisé Super BigWall. Nous sommes en négociation avec une grande entreprise qui souhaite acheter les droits pour utiliser notre logiciel. »

Serial entrepreneur du digital

Aujourd’hui, le serial entrepreneur « qui jongle entre différentes activités chaque jour », partage son quotidien entre le perfectionnement de ce nouveau programme et Hacking and co, sa société spécialisée dans la sécurité informatique et la gestion d’e-réputation. Il assure que l’ensemble de ses activités est rentable et entièrement autofinancée grâce à ses clients.

Mais son quotidien professionnel n’est évidemment pas un long fleuve tranquille. Les problèmes de trésorerie sont probablement ceux qu’il partage avec la majorité de petits entrepreneurs. Il souligne : « Il y en a d’autres bien sûr, mais ce sont des obstacles internes liés aux projets en cours. J’ai la main dessus et on trouve toujours des solutions. C’est une de mes devises. »

Mon travail, ma passion

Lorsqu’il se lève le matin, il n’a pas l’impression d’aller au travail car son métier, c’est sa passion. Pour lui, l’entrepreneuriat représente « la liberté et la créativité ». Levant le regard au loin, il se remémore avec une pointe d’émotion : «J’ai rencontré beaucoup d’obstacles dans ma vie, mais je n’ai aucun regret. Je suis vraiment reconnaissant d’avoir cette vie. Je crois que ma force est d’avoir cru en mon potentiel malgré ce que me disaient les autres… »

S’il devait donner un conseil à un entrepreneur, il lui dirait : « Être courageux, ne pas se laisser trop influencer par les avis des autres, croire en son projet et surtout bien intégrer la notion de “time to market”. On peut avoir une excellente idée mais si ce n’est pas le moment de la monétiser, on échouera. Surtout dans le secteur du numérique. »

De la suite dans les idées

Benoît Champliaud regarde désormais l’avenir avec optimisme : « J’ai toujours su surfer sur la vague de l’innovation digitale et foisonne d’idées en la matière ». Ses prochains challenges ? Développer Hacking and co en France et faire avancer l’intelligence artificielle destinée à la robotique de demain ainsi que des recherches pour la lutte contre la maladie d’Alzheimer. C’est aussi ça Benoît Champliaud, un digital entrepreneur qui, lorsqu’il en a l’occasion, ne manque pas de mettre ses compétences au service de l’intérêt général.

Ces entreprises qui cartonnent dans le luxe

Depuis quelques années, le marché du luxe s’est démocratisé, permettant l’émergence de nouvelles entreprises qui font désormais de l’ombre à des géants tels que Gucci ou LVMH. Aux Etats-Unis comme en France, ces entreprises dynamiques connaissent un succès croissant. Quelles sont donc ces sociétés spécialisées dans le secteur du luxe qui connaissent d’excellents résultats ?

Michael Kors

Ce créateur de mode américain occupe une place importante dans le domaine du luxe aux Etats-Unis. Introduite en bourse en 2011, sa société jouit depuis d’un succès florissant, passant en trois ans de 230 à 700 boutiques à travers le monde ! Les ventes de l’entreprise ont réalisé un bond majeur tant aux Etats-Unis qu’en Europe au cours des dernières années. La marque a su également développer sa plate-forme de e-commerce et s’ouvrir au marché asiatique. Son chiffre d’affaires dépasse actuellement les trois milliards de dollars.

Marc Jacobs

Cet autre styliste américain connaît lui aussi un succès phénoménal dans le secteur du luxe. Il fonde sa propre marque dans les années 1990 et se fait connaître en devenant le directeur artistique des collections Louis Vuitton entre 1997 et 2003. D’abord centrée sur les lignes de vêtements, sa marque a su parfaitement se diversifier en proposant des parfums de luxe, une gamme de montres et de lunettes et plusieurs collections de bijoux. Les sacs Marc Jacobs rencontrent un immense succès ces dernières années, permettant à la marque d’engendrer un chiffre d’affaires d’un milliard de dollars.

Longchamp

Depuis 1955, la marque française Longchamp est présente dans le domaine de la maroquinerie de luxe. Elle s’est ouverte très tôt au marché japonais, dès les années 1970, et a connu un véritable développement à l’international à partir des années 1990. Avec près de 300 boutiques dans le monde, la marque exporte avec succès ses accessoires de mode en jouant la carte du luxe accessible, avec des produits de qualité mais bien plus abordables que ceux de Chanel ou Vuitton. En 2006, la marque prend pour égérie Kate Moss et gagne en notoriété. Symbole du chic à la française, l’entreprise affiche un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros.

Jimmy Choo

Ce chausseur de luxe récemment créé (l’entreprise a été fondée en 1996 par Tamara Mellon) fait aujourd’hui partie des marques incontournables dans son domaine. La société a connu le succès grâce aux créations du designer malaisien Jimmy Choo, dont les célèbres stilettos ont été immédiatement adoptées par les stars américaines dès la fin des années 1990. Présente dans plus de 30 pays, la marque compte 120 magasins, dont certains dans les plus belles avenues du monde. En 2014, année de son introduction en bourse, le chiffre d’affaires de la société était de 400 millions d’euros.

Kate Spade

La styliste américaine Kate Spade a également connu un important succès commercial avec sa marque de produits de luxe, les sacs à main constituant son domaine de prédilection. Elle crée sa marque à New York en 1993, en se spécialisant dans les accessoires de mode et la décoration de luxe. L’entreprise fait partie des marques qui montent dans le secteur, comme l’atteste la croissance de son chiffre d’affaires estimé aujourd’hui à plus de 220 millions de dollars.

Ces serial-entrepreneurs qui ne s’arrêtent jamais !

Pour certains entrepreneurs, la création et la revente de sociétés sont devenues le cœur de leur activité au quotidien. Profitant de l’apparition des nouvelles technologies, ceux-ci mettent leur audace et leur volonté d’innovation au service de nombreux projets qui se succèdent au fil des ans. Parmi eux, certains ont connu des succès notables ces dernières années. Quels sont donc ces serial-entrepreneurs qui cherchent à toujours créer de nouvelles opportunités ?

Loïc Le Meur

Ce chef d’entreprise crée en 1996 sa première start-up, B2L, une agence web revendue en 1999 pour 3 millions d’euros. Il répète ce succès initial en 1997 avec Rapid Site, une plate-forme d’hébergement de sites internet vendue deux ans plus tard à France Télécom. La création de sociétés innovantes est le moteur de cet entrepreneur ambitieux, qui fonde en 2003 une nouvelle plate-forme de création de blogs, Ublog, qu’il revend au groupe américain Six Apart. Il applique ce procédé à une autre start-up, Seesmic, une application revendue avec profit en 2012.

Michel Meyer

Michel Meyer fait partie des entrepreneurs en série français les plus célèbres. Il fonde en 1994 une société de prestation de services web, Multimania Production, qu’il mène en bourse en 2000. Il continue par la suite à participer à de nouveaux projets comme l’association PlanetFinance spécialisée dans le microcrédit. Il fonde par la suite Kewego en 2003, une entreprise d’hébergement de vidéos en streaming, qui fait partie aujourd’hui des leaders européens du secteur. En 2011, l’entreprise est vendue pour 26 millions d’euros au groupe américain Kit Digital.

Miguel Membrado

Parmi les créateurs de start-up à répétition, Miguel Membrado se révèle l’un des plus actifs. Dès 1989, il met au point le moteur de recherche Ergosum qu’il revend au groupe Decan en 1995. Il quitte ensuite la société pour fonder l’année suivante l’entreprise Mayetic, plate-forme dédiée au travail collaboratif en ligne. Vendue en 2006, la société lui permet de se consacrer à d’autres projets, cette fois sur le territoire américain. Il fonde ainsi Netcipia à Palo Alto, une start-up fournissant des outils collaboratifs en ligne.

Jean-Baptiste Rudelle

La vie des serial-entrepreneurs mêle aussi bien les succès que les échecs. C’est le cas pour Jean-Baptiste Rudelle, ingénieur de formation, qui voit sa première entreprise, spécialisée dans les appels à prix réduits vers les Etats-Unis, tomber en faillite au bout de six mois en 1995. Quatre ans plus tard, il crée cependant Kewee, une start-up dédiée aux contenus pour téléphone mobiles, qu’il revend en 2003 après une valorisation à hauteur de 10 millions d’euros. Son plus grand succès est finalement la création de Criteo en 2005, qui fait partie aujourd’hui des principales entreprises françaises de reciblage publicitaire en ligne.

Gilles Babinet

Un autre serial-entrepreneur français peut être évoqué en la personne de Gilles Babinet. Celui-ci a déjà fondé pas moins de six entreprises dont les reventes lui ont permis de générer des bénéfices importants. Il crée tout d’abord la société Escalade Industries en 1989, puis l’agence web Absolut Design et ensuite la start-up Musicwave, spécialisée dans le téléchargement de musiques sur téléphone portables, revendue 129 millions de dollars en 2006. Il fonde enfin deux nouvelles sociétés dédiées à la musique en ligne, Eyeka et MXP4.