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Les deux amis qui se saoulent à l’entrepreneuriat

Pierre Laurichesse et Clément Mathieu se sont lancés dans l’aventure entrepreneuriale en 2012. Ce n’est que deux ans plus tard qu’ils créent leur première entreprise spécialisée dans la production et la vente de liqueur à base de vodka. Portrait de deux jeunes passionnés.

Après un baccalauréat scientifique, Pierre Laurichesse et Clément Mathieu entrent en école d’ingénieur à l’ICAM, l’institut catholique des arts et métiers. Ils suivent une prépa intégrée pendant deux ans puis un cursus en apprentissage jusqu’à un niveau master. « C’est au cours de ce cursus scolaire que nous avons eu la volonté de devenir entrepreneurs »explique Pierre Laurichesse. A cette époque, les deux amis assistent à de nombreuses conférences sur le thème de l’entrepreneuriat et rencontrent des créateurs d’entreprise. Leurs parents sont eux-mêmes entrepreneurs. « Nous étions à la recherche d’une certaine indépendance » se souvient Pierre.

Parallèlement à leurs études, les deux compères suivent un parcours intitulé « Les entrepreneuriales », qui vise à leur apprendre à créer leur boîte tout en étant étudiant. Ils travaillent sur un projet autour des vins spiritueux, domaine qu’ils connaissent bien puisque leurs familles travaillent dans la production de Cognac. « Ce programme nous a permis d’obtenir une dynamique, de rencontrer des professionnels et de se faire accompagner sur des points que nous n’avions pas toujours étudié dans notre formation » détaille le jeune entrepreneur.

Ce programme prend fin en avril 2012 alors qu’ils sont encore étudiants. Mais ils n’abandonnent pas leur projet. « Lorsque nous avons été diplômés en septembre 2013, nous avons décidé de lancer notre entreprise en lien avec notre projet » explique Pierre. Les deux jeunes créateurs lancent leur premier produit intitulé Instable, une liqueur à base de vodka sous la forme de shooter.

Ils créent leur entreprise C&P Innovation en avril 2014. Ils gèrent toute la chaine de production, de l’élaboration jusqu’à la commercialisation du produit principalement à l’attention des bars et boites de nuit. « Ce qui nous a beaucoup aidé, c’est le fait de posséder une base de réseau dans ce domaine grâce à nos familles » analyse Pierre Laurichesse. Pour autant, cela n’a pas toujours été aussi simple. La commercialisation de leurs produits a mis plus de temps que prévu à décoller, notamment à cause des réglementations administratives très strictes sur l’alcool.

Aujourd’hui, leur réseau de distribution s’étend de Bordeaux jusqu’à Tours mais ils ne comptent pas s’arrêter là. « Nous sommes en train de négocier pour commercialiser le produit dans le sud de la France, dans les stations des Alpes et à Paris » précise Pierre. Les deux jeunes sont également tentés par l’aventure à l’international. Ils prévoient d’exporter leurs produits en Angleterre, en Espagne et en Allemagne dans un avenir proche.

2 QUESTIONS À … PIERRE LAURICHESSE

Pourquoi adressez-vous seulement le marché des professionnels ?

Nous nous sommes positionnés sur un produit très spécifique. Nous avons donc besoin de volume pour générer du chiffre d’affaires. Se lancer directement sur une boutique en propre en ne s’adressant qu’aux particuliers ne nous permettait pas de générer suffisamment de flux. C’est pourquoi nous nous sommes dirigés vers les bars et boites de nuit. Mais nous n’excluons pas un jour de commercialiser nos produits en B to C.

Quelles satisfactions avez-vous rencontrées lors de votre parcours entrepreneurial ?

Nous avons été agréablement surpris du retour des clients sur notre produit. Ils ont tout de suite accroché. Par ailleurs, le fait que tous nos fournisseurs acceptent notre jeunesse et notre vision de l’innovation produit dans les spiritueux est un point très positif. Nous avions peur qu’ils ne nous prennent pas au sérieux du fait de notre âge. Ce n’est pas le cas, et cela nous fait plaisir !

Créer son site web : comment choisir un CMS ?

Les logiciels de « Content Management System », abrégés aussi CMS, ont été créé pour lancer des sites Web simplement et rapidement. Ils apparaissent comme des outils, des clés dont vous devrez vous munir si vous souhaitez vous lancer dans la grande aventure des pages web et ouvrir votre site.

Ne demandant aucune connaissance particulière, le CMS est le partenaire privilégié des novices en matière de programmation web. Seule une bonne dose de discernement et de déduction vous sera nécessaire car il existe plus d’une centaine de logiciels de ce type. Alors, comment choisir son CMS pour créer son propre site ?

Les bons outils au bon endroit

La plupart des geeks et autres cadors en informatiques sourient à l’idée d’utiliser des CMS… Et pourtant, ces derniers ont facilité et facilitent encore la vie de nombreux utilisateurs du web. Le logiciel vous aide à créer votre page en gérant l’aspect technique, et vous n’avez plus qu’à vous concentrer sur le contenu : textes, photos, vidéos… Le tout via un serveur FTP le plus souvent.

Évidemment, tous les CMS ne se valent pas, le choix doit être fait en fonction des besoins de son utilisateur. Certains possèdent des caractéristiques plus techniques que d’autres. Il existe deux grands groupes de CMS : les Open Source qui sont gratuits et les commerciaux, disponibles en Cloud, qui constituent des services en ligne.

Les CMS Open source

Dans cette catégorie, les CMS les plus connus sont : WordPress.org, son grand rival Joomla et Dotclear, qui a fait une percée significative en France. Sur WordPress, la star des CMS et de loin le plus plébiscité, la plupart du travail d’installation doit être réalisé par l’utilisateur, tout comme l’achat du nom de domaine et l’hébergement. Si les atouts de WordPress sont indéniables, notamment en matière de flexibilité, le logiciel nécessite néanmoins des connaissances techniques importantes, dès lors que l’on se penche sur les multiples extensions et que l’on rentre dans le détail de ses caractéristiques.

Les CMS commerciaux disponibles en Cloud

Avec les CMS commerciaux disponibles en mode « Cloud », les fonctionnalités sont simples, sans mauvaise surprise et l’utilisateur peut bien souvent bénéficier d’un accompagnement intéressant dans la mise en œuvre. L’installation est gérée par le logiciel, ainsi que les mises à jour et les sauvegardes.

L’un des inconvénients des CMS commerciaux en ligne réside dans leurs coûts qui sont parfois très excessifs. Dans le détail, les plus connus sont l’Américain Weebly (qui possède une version française), Squarespace (disponible uniquement en anglais), e-monsite, un logiciel français qui commence à faire ses preuves depuis environ 2 ans et iPaoo, une petite start-up made in France qui possède d’innombrables fonctionnalités et une maintenance constante.

Il existe donc un nombre important de CMS sur le marché. Et pour s’y retrouver, il suffit de bien cibler ses besoins, les modalités d’utilisation, le temps passé à l’installation, à la maintenance… Cela dit, il reste judicieux d’acquérir quelques bases et connaissances en termes de programmation, ce qui vous permettra de passer à l’étape supérieure et pouvoir utiliser un CMS plus compétent, ou de profiter des extensions multiples offertes par les CMS traditionnels Open Source.

A lire Absolument

Créateurs, comment partir sur de bonnes bases ?

Descriptif de l’événement 

Le salon des entrepreneurs est l’événement n°1 des créateurs, start-ups et dirigeants d’entreprises

Si vous êtes tenté ou que vous venez de commencer l’aventure entrepreneuriale ne manquez la conférence « Créateurs, comment partir sur de bonnes bases ? » 

Découvrez toutes les étapes à franchir et les secrets des dirigeants à succès. De l’idée au développement de l’entreprise en passant par la création, découvrez les clés pour réussir dans cette conférence qui répondra à vos questions.

Intervenants

– Dominique MENTHA ancienne directrice de la section de recherche APCE

– Jérémie RENOUF Enseignant chercheur en entrepreneuriat ISC Paris

– Didier BARBET Fondateur Entrepreneur-engine

– Alexis KRYCEVE co-fondateur Altereco, Pur projet, Treez

– Pierre-Henry DEBALLON Fondateur Weezevent

Animé par

– Olivier Nishimata, rédacteur en chef chez Dynamique Entrepreneuriale 

Lieu de la conférence

Palais des Congrès de Paris – Porte Maillot Salle 253 – Niveau 2 

Dates et horaires de la conférence 

Jeudi 5 février de 16:30 à 18:00

http://www.salondesentrepreneurs.com/paris/conferences/3288/createurs-comment-partir-sur-de-bonnes-bases#ascenc

Comment devenir un auto-entrepreneur ?

L’auto-entrepreneuriat offre diverses possibilités pour les étudiants, les salariés, et les retraités. Vous voulez devenir auto-entrepreneur ? Voici les étapes à suivre et les formalités à connaître !

Il n’y pas de forme juridique spécifique pour l’auto-entrepreneur, c’est ce qui simplifie sa déclaration. La fiche à remplir est à retirer soit en ligne sur le portail des auto-entrepreneurs, soit auprès du CFE (Centre de Formalités des Entreprises). C’est sur le site Service public que vous allez pouvoir avoir accès au formulaire de déclaration et également au service de télé-déclaration.

Le statut à stipuler dans le formulaire sera le statut d’entreprise individuelle. Il est à noter que ce système s’applique aux personnes physiques voulant créer une entreprise individuelle toujours permis de changer de statut à tout moment.

L’activité d’auto-entrepreneur est soumise automatiquement au régime microsocial. Ce régime possède des modalités très simples concernant les cotisations et les contributions au niveau social. Vous pouvez payer mensuellement ou trimestriellement et le calcul des charges s’effectue en fonction des chiffres d’affaires de l’auto-entreprise. Ces sommes versés périodiquement remplacent les charges sociales exigées aux travailleurs indépendants. Si la personne concernée a opté pour le versement libératoire, l’impôt sur le revenu et les charges sociales ne seront prélevés qu’une seule fois.

LA FISCALITÉ

Il y a des seuils à ne pas dépasser concernant le montant du chiffre d’affaires dans le domaine de l’auto-entrepreneuriat. L’auto-entrepreneur est soumis au choix entre le régime de la micro-entreprise ou bien encore le régime libéral qui offre la possibilité d’effectuer toutes les cotisations et contributions fiscales à la fois.Le régime de la micro-entreprise s’applique uniquement aux entrepreneurs individuels soumis à l’impôt sur le revenu dans la classe micro-BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) dans la profession commerciale ou artisanale ou la micro-BNC (Bénéfices Non Commerciaux) dans la profession libérale.L’auto-entrepreneur bénéficie d’une exonération sur la TVA, en raison de la franchise en base de TVA. Pour les auto-entrepreneurs qui dégagent moins de 500 000 euros de chiffre d’affaires, ils sont exonérés de la CVAE (Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises). Durant sa première année, un auto-entrepreneur est également exonéré de la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Une fois l’année écoulée, l’auto-entrepreneur y est soumis.

DROITS SOCIAUX

La couverture sociale de l’auto-entrepreneur est la même que celle des autres professions indépendantes. L’auto-entrepreneur bénéficie d’un remboursement sur les frais médicaux et les droits de formation continue. Pour ce qui est des charges sociales et des impôts, il peut se faire trimestriellement.À la différence des autres statuts, le statut d’auto-entrepreneur est plus simple, autant pour les formalités que pour sa mise en place.

Transfert d’argent à l’étranger, les solutions

Nous vivons dans un monde plus en plus connecté où les frontières des pays n’existent plus. Aujourd’hui, il est possible de travailler avec de nombreuses entreprises à l’étranger. 

L’envoi de fonds à l’étranger, en liquide ou à partir d’un compte bancaire, est une opération bien particulière. Différents services peuvent pourvoir à ce besoin, et il convient auparavant d’étudier soigneusement les offres en fonction de votre situation particulière pour effectuer l’opération la plus avantageuse possible. Plusieurs paramètres sont à prendre en compte le délai, le coût de frais de transaction, la traçabilité, etc…

LES ORGANISMES BANCAIRES 

Il est possible d’effectuer un virement international en ouvrant un compte dans n’importe quelle banque française. Dans le cadre d’une demande de virement vers l’étranger, le transfert se fera de compte à compte, et différents frais seront applicables : des frais fixes pour l’envoi, une commission sur le taux de change et parfois des frais à la réception appliqués par la banque destinataire du virement. Toutes les banques appliquent des tarifs qui leur sont propres, et certaines peuvent bénéficier de partenariat avec des banques à l’étranger permettant des retraits dans celles-ci. il est donc important de bien se renseigner auparavant. Le transfert se fait en agence ou en ligne, en utilisant le numéro IBAN du destinataire figurant sur son Relevé d’Identité Bancaire qu’il devra avoir remis préalablement à l’expéditeur. Si ce mode detransfert fait partie des plus fiables, il n’est, dans la plupart des cas, pas le moins onéreux et nécessite impérativement que le destinataire comme l’expéditeur disposent d’un compte bancaire opérationnel.

Délai : 3 à 5 jours

LE RÉSEAU POSTAL 

Le réseau postal propose différentes solutions pour l’envoi de fonds à l’étranger.

– Le mandat ordinaire international : 

Ce mode d’envoi propose les mêmes délais que pour la livraison d’un courrier normal, soit de 3 à 10 jours pour les pays les plus difficiles d’accès. Le mandat ordinaire permet d’envoyer jusqu’à 3500€, ou une somme équivalente en monnaie locale dans 52 pays et territoires. La somme peut être réglée en liquide ou par carte bancaire, et sera délivrée en chèque ou en liquide. L’opération peut s’effectuer en bureau de poste ou sur le site internet de la poste. Des réductions tarifaires sont appliquées dans ce dernier cas. Les tarifs varient en fonction du pays de destination et du montant envoyé. Ce mode de transfert ne nécessite pas la possession d’un compte bancaire. En revanche, une pièce d’identité valable ainsi qu’une adresse complète de destination sont requises. De nombreux pays sont éligibles au mandat international ordinaire. La liste complète est disponible sur le site internet de la Poste.

– Le mandat express international : 

Les modalités de fonctionnement de ce mandat sont sensiblement les mêmes que pour le mandat ordinaire, mais les délais de livraisons sont réduits et les frais plus élevés. Les pays éligibles à ce mode de transfert sont cependant moins nombreux que pour le mandat ordinaire. La liste est également disponible sur le site de la Poste.

Délai : 2 à 10 jours

LES OPÉRATEURS SPÉCIALISÉS

Avec le développement d’internet, de nombreuses entreprises spécialisées dans le transfert d’argent à l’international ont fait leur apparition, telles que Azimo, Western Union, Moneygram, Travelex… Elles proposent souvent des tarifs plus compétitifs que les deux solutions précédentes, mais il convient de vérifier auparavant leur fiabilité. Elles se limitent également à leurs pays partenaires. Le transfert peut se réaliser en agence ou en ligne. Certains services ont des partenariats avec le réseau de la poste leur permettant de délivrer l’argent dans les bureaux de poste partenaires. Il n’est pas nécessaire de posséder un compte bancaire pour utiliser ce service.

Délai : Quelques heures

Quels changements en auto-entrepreneur pour 2015 ?

Vous êtes auto-entrepreneur ou souhaitez le devenir ? Cette chronique minute est donc faite pour vous. Elle résume en quelques lignes les évolutions du régime auto entrepreneur pour l’année 2015. Etes-vous prêt(e) à créer votre auto-entreprise ?

Plus de 280 000 auto-entrepreneurs en 2014

Les chiffres de la création d’entreprises sur décembre 2014 ont été publiés par l’INSEE avec un mois en hausse par rapport à Novembre 2014, comptabilisant pour le régime auto entrepreneur 24 253 nouvelles inscriptions.

Ce chiffre mensuel au-dessus de la barre des 24 000 auto-entrepreneurs inscrits confirme l’engouement des français pour ce régime créé en 2009. A cela s’ajoute le fait que plus de 50% des créations d’entreprises sur l’année 2014 sont des demandes en auto-entreprise.

La France compte sur 2014 plus de 283 450 nouveaux auto-entrepreneurs. Ces personnes ont décidé de se lancer dans un projet entrepreneurial alors que depuis la création du statut de l’auto-entreprise, chaque année voit de nouvelles obligations s’ajouter, au risque de toucher à l’essence même du régime, c’est-à-dire sa simplicité !

Liste des évolutions du régime auto entrepreneur en 2015

·        Déclaration du chiffre d’affaires en ligne sur internet (par voie dématérialisée) si le CA déclaré l’année précédente est supérieur à 50 % des seuils du régime auto-entrepreneur ;

·         Déclaration du chiffre d’affaires en ligne sur internet (par voie dématérialisée) si le CA déclaré l’année précédente est supérieur à 50 % des seuils du régime auto-entrepreneur ;

·        Le droit à la formation professionnelle est maintenant conditionné au versement de la Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) ;

·        Obligation d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (pour les activités commerciales) et au Répertoire des Métiers (pour les activités artisanales, à titre principal ou complémentaire) ;

·        Réalisation d’un Stage de Préparation à l’Installation (SPI) pour les entrepreneurs exerçant une activité artisanale à titre principal ou complémentaire ;

·        Obligation d’avoir une assurance responsabilité civile professionnelle et une assurance décennale pour les activités du bâtiment ;

·        Paiement de la Taxe pour frais de chambre consulaire, en même temps que les cotisations sociales, selon un pourcentage du chiffre d’affaires (taux variant de 0,007% à 0,48% du CA, avec des particularités pour les auto-entrepreneurs en Alsace / Moselle) ;

·         Paiement de la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) pour tous les auto-entrepreneurs (sauf exonération temporaire l’année de la création de l’auto-entreprise) ;

·         Ouverture d’un compte bancaire dédié à la gestion des transactions financières liées à l’activité professionnelle de l’auto-entreprise ;

·         Finissons sur la bonne nouvelle de l’année 2015, la baisse des taux du micro-social à 13,3 % pour les activités d’achat/revente et à 22,9 % pour les prestations de services commerciales et artisanales, pour les activités libérales relevant du régime de retraite du RSI et pour les activités libérales relevant du régime de retraite de la CIPAV.

Pour connaître dans le détail les modifications du régime auto entrepreneur en 2015, n’hésitez pas à consulter l’article dédié sur le portail partenaire myAE.fr (www.myae.fr) : Les changements auto entrepreneur en
2015.

Alors toujours prêt(e) à changer le monde en créant votre auto entreprise en 2015 ?

Travailler à l’étranger : ce qu’il faut faire pour réussir

Collaborer et travailler avec des étrangers dans un autre pays que le sien reste une tâche compliquée. Si cette mise en place peut être difficile, elle est parfois essentielle pour le développement d’une entreprise. Pour éviter de faire des erreurs, il est impératif de procéder par étape.

Se renseigner

Avant de vous lancer dans une collaboration avec des étrangers, informez-vous sur les us et coutumes du pays dans lequel vous allez investir. Il est important de les connaître afin de ne pas vexer vos futurs collaborateurs. Cette connaissance sera également déterminante lorsque vous serez amené à rencontrer des clients ou partenaires. Pour vous aider, de nombreux acteurs dans le secteur public et privé sont présents et fournissent les informations essentielles à votre réussite. N’hésitez pas à vous rapprocher des chambres de commerce.

Se faire aider

Vous pouvez très bien vous faire aider, que ce soit par des professionnels ou par les conseillers des chambres de commerce. Elles peuvent également vous aider à rencontrer les entreprises qui ont réussi leur implantation afin de bénéficier de leurs expériences. Ainsi, vous éviterez de refaire les mêmes erreurs, ce qui limitera de facto les pertes de temps et d’argent. Vous pouvez également faire appel à ses nombreuses entités qui mettent en relation les dirigeants qui entreprennent dans un pays étranger.

Entretenir la relation

Une fois une personne mise en place ou bien une joint-venture crée, gardez une bonne relation avec celle-ci. De cette manière, vous allez consolider votre relation. N’oubliez pas qu’en cas c’est elle qui représente votre marque et votre image dans le pays hôte. Un contact régulier par téléphone ou des outils comme skype peut s’avérer utile.

S’adapter au pays

La réussite de votre collaboration dépend de votre capacité à vous adapter à la culture du pays hôte. N’oubliez pas qu’une implantation réussie passe par le fait de se soumettre aux attentes du pays avec lequel vous allez collaborer. Il vous faudra peut-être adapter votre offre et votre discours et votre offre aux attentes du marché. Avant de lancer votre collaboration, identifiez que votre produit ou service répond à un besoin.

Le recrutement

Avant de vous installer, vous allez peut-être recruter du personnel. Choisissez bien la personne en charge de vos activités et définissez bien avec elle les objectifs. Privilégiez l’embauche de personnes locales qui connaissent votre secteur d’activité afin de vous éviter de faire des erreurs.

Le succès de la croissance des applications mobiles

Que serions-nous sans les applications mobiles ? La question est à mille réponses. Ceux qui l’avaient « prédits » avaient vu juste, dirait-on. Bill Gates, le patron de Microsoft, soulignait les changements de comportements que les nouvelles technologies avaient induits chez l’être humain.

Cela reste plus vrai que jamais, à l’aulne des Smartphones et de leurs applications mobiles. Nous ne consommons plus de la même manière, grâce à ces objets. Désormais, le monde entier peut se résumer à une tablette. Mode, restaurations, météo, luxe, textile, les domaines qui ont été investis par les applis sont nombreux. Voyons dans quels secteurs le mobile se fait le plus présent, à l’heure actuelle.

La croissance des applications mobiles

Elle s’est faite concomitamment avec celle des Smartphones. Rien qu’en 2013, ce ne sont pas moins de 23 600 000 unités qui ont été vendues en France. En une année, entre 2012 et 2013, la part de ces objets dans le parc de mobiles est passée de 59% à 66%. C’est dire combien le Smartphone et, de facto, les applications sont présents dans nos vies. Dans ce contexte, une bonne partie du trafic de connexion internet est passée au mobile. Les applications sont les grandes portes de la connectivité des Smartphones. En effet, on estime que les trois quarts de la connexion via mobiles passent par les applications. Leur praticité et leurs performances de plus en plus poussées contribuent à en faire des objets indispensables. En termes de chiffre d’affaires, l’internet mobile a représenté 16 milliards d’euros, en France, en 2013. Les analyses projettent pour les années à venir, une croissance moyenne annuelle de 25%, pour atteindre 42 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2017.

Le marché français des applications mobiles

Il est caractérisé par un dynamisme que l’on doit surtout au nombre d’applications téléchargées et à la fréquence/durée moyenne de consultation mensuelle. Une étude publiée en septembre 2014 a révélé que 6 applications étaient installées, par semaine, en moyenne, au cours du trimestre précédent. En début 2014, ils étaient 15% à en installer de nouvelles sur leurs Smartphones. Parmi ceux-ci, 1/3 les consultaient régulièrement en magasin. Si la géolocalisation permet de suivre les habitudes de consommations de leurs clients, les applications s’imposent comme de nouvelles interfaces avec les marques et boutiques. Cela vaut autant pour les entreprises internationales présentes sur le marché international, comme l’e-shop zalando,  que pour les enseignes et marques de luxe, qui elles aussi, se sont mise à la tendance. On a vu, par exemple, Gucci, Marc Jacobs ou Burberry utiliser Instagram, pour promouvoir leurs produits. Yves Saint Laurent a, quant à lui, créer sa propre application désignée « Collor Mirror », pour tester son maquillage. Il faut, toutefois, noter que ces applications sont, en général, spécifiques à un produit de la marque. 

Les applications dans l’univers de la mode de luxe

Dans ce domaine, c’est Christian Louboutin qui a su, le mieux, tirer parti de la force des applications mobiles. Le créateur de chaussures à semelles rouges s’est dévoilé via Instagram, pendant son travail. Mais la marque ne s’est pas arrêtée en si bon chemin. Elle a lancé ses propres applications, sur iPhone et iPod Touch. Et comme on peut le deviner, la signature rouge caractéristique est celle qui s’affiche à l’ouverture de l’application. On y découvre des croquis, collections et points de vente de la marque, à travers le monde. Dans la même lancée, Chanel a sorti une application iPhone pour permettre à ses inconditionnels de suivre ses actualités. Derniers défilés, les looks, les vidéos et un ensemble de ressources peuvent être consultés via ce programme. Autre point à intéressant à noter : toutes ces applications s’installent gratuitement. Louis Vuitton Pass, l’application de la célèbre marque va encore plus loin, en permettant à l’utilisateur de lancer des commandes, à partir de son Smartphone. D’autres ont pensé à créer une application qui sait reconnaître la marque des vêtements. Il s’agit de Style Eyes, associé à un logiciel comprenant un répertoire de 1 700 marques. Les créateurs de cette application expliquent, ainsi, leur idée : « La mode, c’est visuel. Nous achetons avec nos yeux et pour les 79% de personnes qui utilisent leur portable pour faire du shopping, nous voulions offrir des yeux digitaux pour trouver ce qu’elles veulent vraiment ». Le message est on ne peut plus clair…

3 outils pour optimiser votre présence sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux participent de plus en plus à créer du trafic sur les sites internet  et sont devenus quasi incontournables. 

Avec plus de 26 millions d’utilisateurs en France, Facebook et Youtube sont de bons exemples de la place prise par les réseaux sociaux dans la société actuelle. Véritable outil de fédération de votre communauté, les entreprises n’ont pas mis longtemps à comprendre qu’ils allaient jouer un rôle déterminant dans la communication. Oui mais voilà, l’utilisation des réseaux sociaux peut rapidement devenir chronophage pour vos équipes d’autant plus qu’ils sont de plus en plus nombreux à être utilisés : Twitter, Viadeo, LinkedIn, Google+, ScoopIt… Certains logiciels que nous allons vous présenter vous permettent de gagner du temps en vous aidant à partager plus efficacement sur vos différents comptes les informations que vous souhaitez transmettre à votre communauté, à mieux les gérer ainsi  qu’à optimiser leur utilisation. N’oubliez cependant pas que toutes les informations ne sont pas à partager et qu’il vous faudra réfléchir à l’utilisation de vos réseaux sociaux. Véritable arme de communication, elle peut s’avérer à double tranchant. En témoigne les nombreux « bad buzz » qui ont eu lieu cette année. Pour ne pas ternir l’image de votre société durablement et devenir la risée de la toile, une stratégie doit être établie. Avant de vous lancer, vous devrez répondre à de nombreuses questions telles que : pourquoi utiliser les réseaux sociaux ?  De quelle manière dois-je communiquer vers ma cible ? Quelles sont les informations que je dois transmettre ? Quel réseau social d’entreprises ? Pour quelle utilisation ? Qui est mon lectorat cible ? Toutes les règles n’étant pas identiques sur les réseaux sociaux, il vous faudra vous informer et procéder à une véritable réflexion autour de leur utilité et considérer que leur administration vous prendra du temps mais pourrait devenir la clé du décollage de votre entreprise. Vous ne pourrez pas dire que l’on ne vous a pas prévenu !

Storify

permet de piocher des contenus « social média » sur un thème donné, de les réunir par « drag&drop » dans un espace dédié et d’ajouter une histoire autour. Vous pouvez sélectionner précisément des tweets, des posts Facebook, etc. et ajouter du texte entre les contenus recueillis. Le tout peut être partagé sous forme d’un widget intégré à votre article par simple copier/coller. storify.com

SocialShaker

vous accompagne et vous fournit des solutions aux entreprises pour la stratégie, le marketing et le développement d’applications Facebook. Simple à installer, cet outil permet de dynamiser vos pages, de paramétrer et personnaliser les nombreuses applications disponibles sur vos pages. Même si vous ne comprenez rien au code, boostez votre page sera un jeu d’enfant. www.socialshaker.com

Hootsuite

est disponible gratuitement en ligne pour Twitter, Facebook et LinkedIn. Avec son interface ergonomique, vous pouvez suivre l’ensemble de vos réseaux sociaux. Vous disposez de nombreuses fonctionnalités d’autonomisation, planification, etc. et vous pouvez suivre vos statistiques. Programmez automatiquement l’envoi sur vos réseaux sociaux des articles de votre blog. hootsuite.com

3 campagnes de crowdfunding pour donner du sens à votre argent

Avec des taux historiquement bas et une opacité de moins en moins bien acceptée quant à l’utilisation des fonds qu’ils leur confient, un nombre grandissant de Français se détournent des banques pour gérer leur épargne. Il faut dire que le taux de 1% proposé par exemple par le Livret A peut pousser à s’interroger sur les alternatives disponibles.

Parallèlement, la finance participative séduit de plus en plus les Français et les sites de crowdfunding se multiplient. Que vous souhaitiez soutenir l’entrepreneuriat made in France, des associations, les stars de demain, un voyage sur la lune, la recherche médicale ou le prochain Facebook, les projets proposés sur ces sites ont le mérite d’être variés, réels, et offrent même, parfois, des rentabilités supérieures à celles des produits financiers classiques.

Les entreprises qui aiment entretenir un échange direct avec leurs clients et qui ont, de leur côté, parfois du mal à accéder aux financements classiques, notamment bancaires, plébiscitent elles aussi ce mode de financement et sont nombreuses à tenter l’aventure.
Dynamique Mag a choisi de mettre en avant 3 campagnes en cours, qui ont besoin de votre soutien, et qui ont retenu l’attention de la rédaction car elles répondent à cette ambition de donner plus de sens à votre épargne. Après tout, si on peut lier bénéfices pour l’investisseur et pour la société, pourquoi s’en priver ?

Treez, des bracelets qui plantent des arbres : www.bluebees.fr/treez

Treez, c’est une marque originale et une startup sociale qui propose de petits bracelets en bois, tendance et colorés, qui contribuent à la reforestation aux 4 coins du monde. Un code situé sur chaque bracelet permet à son détenteur de géo-localiser son arbre sur treez.fr. La marque cherche à accélérer son développement et s’imposer comme une marque de mode éthique de référence.
Objectif = 50.000€ collectés 

Reste : 33 jours

Mode de financement : Prêt à 2% annuel, remboursé sur 3 ans/

Kaizen, un magazine qui montre comment réinventer le monde, qui nous aide à agir dans notre quotidien : http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/kaizen-saison-2

Kaizen est un magazine bimestriel relatant des initiatives humaines, respectueuses de la planète et de la société en France et à l’étranger. Aujourd’hui, le magazine est lu par une communauté de 70 000 personnes. Mais l’entreprise souhaite aller plus loin en termes de contenu rédactionnel mais également de recherche de nouveaux lecteurs.

Objectif : 60.000€ collectés

Reste : 41 jours

Mode de financement : Don avec contreparties

Mon Coiffeur bio, un annuaire téléphonique en ligne spécialisé dans les salons de coiffure bio : https://www.wedogood.co/campaigns/moncoiffeurbio-2

La volonté de Mon Coiffeur Bio est de proposer un annuaire en ligne qui recense tous les coiffeurs bios, éthiques et éco-responsables de France. Il en existe actuellement 150 sur le territoire français et ce chiffre est en constante progression. Ce projet souhaite développer une stratégie à la fois économique, sociale et environnementale.

Objectif : 2650€

Reste : 21 jours

Mode de financement : Avance sur chiffre d’affaires