Accueil Blog Page 822

Le Légaliste : des annonces légales à des prix attractifs

Tout entrepreneur doit faire face aux formalités et aux démarches administratives. Pour créer son entreprise, modifier ses statuts ou la mettre en liquidation judiciaire, il doit obligatoirement publier une annonce dans un JAL (Journal d’Annonces Légales). Une procédure qui peut se révéler fastidieuse. Pour cette raison, des sites internet spécialisés se proposent de la faciliter via des interfaces simples d’utilisation et rapides. C’est le cas de la plateforme Le Légaliste dont la mission est d’aider les entreprises à éditer leurs annonces à prix réduits.

L’obligation de publier dans un JAL

Fondée en 2013 par Jean-François Lemercier et Alexandre Almajeanu, la start-up a lancé, quelques mois après, sa plateforme d’annonces légales dédiée aux entrepreneurs, mais également aux comptables et aux notaires. Depuis la loi du 4 janvier 1955, les entreprises françaises sont dans l’obligation de rendre compte des événements qu’elles traversent, de leur création jusqu’à leur changement de siège social. Ces informations doivent être diffusées dans un Journal d’Annonces Légales (JAL), revue  d’information habilitée par arrêté préfectoral à les recevoir et à les publier. Conscient du poids des formalités administratives et des coûts prohibitifs pratiqués par la profession, le site Le Légaliste.fr propose un service simple, performant et économique. Son objectif : faire gagner du temps, de l’énergie et de l’argent aux entrepreneurs. Si le prix d’une annonce légale est fixé chaque année par le ministère de la Culture et de la Communication, le service se démarque en ne faisant payer que les lignes obligatoires et en enlevant les phrases et expressions superflues. Sur le marché, le tarif des annonces légales, selon les différents types de formalités, se concentre sur une tranche allant de 90 à 300 euros. Du côté de la plateforme, le prix moyen avoisine les 80 euros, ce qui représente une économie de 30 à 40 %. La société a également sélectionné une centaine de journaux partenaires prévenants de chaque département français en fonction de leur fiabilité et leur honnêteté. Et afin de tenir compte des avancées du web, elle permet aux entrepreneurs d’obtenir rapidement des documents électroniques.

Un service rapide et pratique

Grâce à une interface fluide et rapide, les dirigeants d’entreprise peuvent publier dans un journal d’annonces légales en seulement quelques clics. Directement dirigés sur une page affichant quatre étapes, ils accèdent, en premier lieu, à une sélection de formulaires dédiés à la constitution, modification et dissolution de leur société ainsi que d’autres modèles de publication comme la cessation d’un fonds de commerce. Les entrepreneurs peuvent ensuite remplir les champs indiqués. Par exemple, pour une personne souhaitant fonder une EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée, ndlr), elle doit préciser la date de signature des statuts, le nom, le capital et l’activité de la société. S’ajoutent également l’adresse du siège social et des informations générales sur l’identité du gérant. Une fois le texte validé, elle peut alors payer son annonce par carte bancaire ou via PayPal. Un greffier validera par la suite l’attestation de parution reçue en version téléchargeable par le client par le biais de sa boîte emails, dans un délai estimé entre une heure et un jour. En cas d’urgence, la plateforme s’efforce, selon le site, de la délivrer en moins de deux heures. Le dirigeant n’aura plus qu’à présenter son document auprès du greffe afin de compléter ses démarches administratives ainsi que ses formalités juridiques. Un journal justificatif sera également envoyé par courrier postal dès la parution dans un quotidien partenaire, sous deux à cinq jours.

Aujourd’hui, Le Légaliste, c’est plus de 35 000 annonces légales validées à 100 % par le greffe et 3 000 clients repartis dans l’Hexagone. Sur 1 233 avis déposés sur Trustpilot (site danois qui publie des avis consommateurs sur les entreprises en ligne, ndlr), la société récolte la note de 9,5 sur 10 et de multiples commentaires soulignent la qualité du service par des termes élogieux comme « excellent », « efficace » et « rapide ». Dans l’avenir, la start-up souhaite renforcer ses effectifs et développer une application Smartphone dédiée à l’annonce légale.

Le tourisme industriel, une aubaine pour les entreprises

Une tendance s’affirme depuis plusieurs années dans l’univers touristique, celui du tourisme industriel. Des sociétés n’hésitent plus à ouvrir leurs portes afin de faire découvrir au grand public, leur savoir-faire et leur patrimoine. Une pratique de plus en plus appréciée par les touristes, à la recherche d’expériences atypiques et authentiques. D’un autre côté, elle permet à une entreprise de développer sa notoriété tout en générant du chiffre d’affaires. Zoom sur le phénomène.

Dans l’Hexagone, le tourisme industriel continue de séduire les Français comme les étrangers. En 2012, ils étaient dix millions à avoir visité une entreprise et, en 2014, treize millions, avec plus d’un million de voyageurs venant d’autres pays. Aujourd’hui, pas moins de 5 000 sociétés ouvrent leurs portes dans le cadre de visites. Les secteurs d’activité les plus affectionnés restent l’agroalimentaire et la production d’alcool (60 %), l’artisanat (18 %) ainsi que l’environnement et l’énergie (10 %), selon l’Observatoire de la visite d’entreprise (organisme analysant la répartition des entreprises par secteur d’activité, leur taille et le nombre de visiteurs, ndlr). Quant au domaine de la mode, des cosmétiques et des technologies, ils séduisent respectivement 7 % et 5 % des touristes. Cette tendance apporte de nombreux avantages aux entrepreneurs ainsi qu’à leur établissement. Des plateformes se mettent également en place pour faciliter les rencontres entre firmes et grand public.

Un atout pour les entreprises

Si le tourisme industriel constitue un vecteur d’enrichissement culturel pour les visiteurs, les entreprises sont, elles aussi, gagnantes. Pour ces dernières, cette pratique représente un élément considérable en tant que base de création d’emplois mais aussi par ses retombées en termes d’image et de ventes. Les visites permettent aux sociétés de communiquer directement avec le public, qu’il fasse partie d’une population jeune ou plus âgée. Les personnes peuvent observer et échanger avec les salariés sur leur lieu de travail, mais également découvrir de nouveaux métiers, favorisant la rencontre avec de potentiels futurs employés. Cela permet aussi de souligner la qualité des produits/services et du savoir-faire d’une entreprise, tout en révélant certains aspects peu connus de la population comme la traçabilité, les conditions d’activité ou la gestion de l’environnement.

Le tourisme industriel se place, par ailleurs, comme un instrument de développement économique par le biais des recettes obtenues à l’occasion de la visite, payante, et par la mise en place d’un espace de vente. Les achats consécutifs à une excursion sont d’ailleurs plus de deux fois supérieurs à ceux effectués hors visite, selon l’Observatoire de la visite d’entreprise. D’après la même source, 78 % des sociétés participantes disposent d’une boutique et 58 % font payer un ticket d’entrée. Par exemple, La Maison d’Armorine, société bretonne de confiseries sucrées, organise toute l’année des rencontres pour faire découvrir l’intérieur de l’atelier de fabrication et les pâtissiers durant leur travail. Elle reçoit plus de 30 000 personnes par an, ce qui rehausse ses ventes à 7,5 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le site de fabrication de Kindy, firme de production et distribution de chaussettes, menacée de fermer ses portes en 2017, s’est lancé, cette année, dans le tourisme industriel dans le but de doubler sa production et montrer sa renaissance.

Des plateformes spécialisées dans les visites

Des sites en ligne ont vu le jour pour mettre en valeur le tourisme industriel et les sociétés françaises. C’est notamment le cas de Entreprise et Découverte et de WeSavoirFaire.

Le premier site a été lancé en 2012 par l’AVE (Association de la visite d’entreprise, ndlr) avec le soutien financier de l’État. Son objectif reste de valoriser et de promouvoir la filière de la visite d’entreprise. La confédération poursuit alors trois missions. Elle cherche à fédérer les firmes, les institutions et les professionnels du tourisme chaque année lors de l’événement « Les Rencontres Nationales de la Visite d’Entreprise ». Elle s’occupe également de gérer les relations presse sur la filière et d’accompagner les sociétés et les territoires afin d’élaborer des parcours et des opérations de visites personnalisés. L’association compte, aujourd’hui, 400 adhérents, constitués à 80 % d’entreprises et à 20 % d’organismes touristiques. Depuis sa création, près de 2 000 firmes partenaires ont été assistées  dans l’élaboration de leurs visites afin d’ouvrir leurs portes au public. L’agroalimentaire et l’alcool demeurent les secteurs plus représentés, mais l’univers artisanal et celui technologique, y figurent aussi. Grâce à la plateforme, les entreprises disposent d’une réelle visibilité. Pour y adhérer, trois offres sont proposées selon la taille de la société, comme la « Classique » à partir de 62 euros, qui permet d’afficher sa visite sur le site et d’être mis en relation avec d’autres firmes. Des versions « Premium » à partir de 198 et 310 euros offrent, elles, une visibilité privilégiée ainsi qu’une communication renforcée. Quant à la start-up We Savoir Faire, elle a lancé sa plateforme en 2013 pour favoriser le contact entre les entreprises et les touristes. Les visiteurs peuvent naviguer sur des pages dédiées aux sociétés partenaires, qui comportent une galerie photo, des informations sur les activités ainsi qu’un calendrier de visites. Les réservations s’effectuent ensuite directement sur le site.

La France n’est pas le seul pays concerné par le tourisme industriel. Le Japon, avec JETRO (Japan External Trade Organization, organisation japonaise chargée de mettre en valeur le commerce extérieur, ndlr) fait la promotion des savoir-faire des sociétés du pays centrées notamment dans l’artisanat traditionnel et l’industrie technologique. Quant à la Chine, elle a décidé d’encourager le développement du secteur en novembre 2017 en construisant cent bases et en désignant vingt entreprises spécialisées dans la production d’alcool, de produits laitiers ou encore de cosmétiques comme lieux de visites au niveau national. Son objectif est d’attirer 240 millions de visiteurs par an et d’obtenir plus de 4,5 milliards de dollars pour 2020. Des agences de voyages et des guides vont même plus loin avec le tourisme noir (forme controversée de tourisme qui consiste à visiter des lieux étroitement liés à la mort, à la souffrance ou à des catastrophes, ndlr) en proposant, par exemple, des visites de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, qui a subi un accident majeur en avril 1986.

Le secteur du livre d’occasion, une opportunité pour les start-up

Le marché du livre d’occasion est en plein essor ces dernières années notamment grâce à internet. L’apparition des sites de revente et des marketplaces en ligne à partir de 2000 a apporté une importante visibilité à un business jusqu’alors peu représenté. Afin de profiter de cette dynamique favorable, des start-up se lancent dans le secteur avec des plateformes et des applications qui offrent une nouvelle façon de se procurer des ouvrages ou de les vendre. Découvrez plusieurs d’entre elles.

Le marché français du livre d’occasion pèse près de 850 millions d’euros. Il se concentre sur quelques plateformes et sites de vente comme celui de Gilbert Joseph, Decitre ou encore la Fnac. Mais c’est surtout Amazon et Rakuten-PriceMinister qui prennent l’avantage, avec environ 35 % des achats en volume sur toute la période 2014-2016, d’après un sondage réalisé par GfK (Gesellschaft für Konsumforschung, société pour la recherche sur la consommation en français, institut d’études de marché, ndlr). Pour rivaliser avec ces enseignes en ligne, des start-up créent des sites et des applications innovantes pour attirer les amateurs et passionnés de lecture.

RecycLivre : la plateforme de vente et collecte solidaire

Créée en 2008 par David Lorrain, la start-up RecycLivre a mis en place une plateforme de vente d’ouvrages d’occasion atypique, solidaire et écologique. Elle propose aux entreprises, aux particuliers, aux associations et aux collectivités, un système gratuit de récupération de livres afin d’éviter de les jeter. La société vient directement chez eux afin de les récupérer, lors de tournées effectuées en véhicule électrique. Une fois collectés, ils sont triés grâce à un algorithme, selon leur état, en scannant leur code-barres. Ceux en bonne condition seront revendus et les autres, recyclés. Le prix minimum d’un livre dans la boutique en ligne débute à quatre euros, frais de port inclus.

10 % des revenus nets générés par les ventes sont, par ailleurs, reversés à des associations et des programmes d’action de lutte contre l’illettrisme, pour l’accès à la culture et la préservation des ressources comme Lire et faire lire (plan national d’ouverture à la lecture et de solidarité intergénérationnelle, ndlr) et Etc Terra. Sur leur site, un compteur délivre, chaque seconde, des chiffres sur les actions réalisées par la start-up. Depuis sa création, elle a transféré plus de 1 119 290 euros à des associations, sauvé 23 399 arbres qui auraient dû être coupés s’il avait fallu produire en neuf des livres d’occasion, et économisé plus de 926 976 960 litres d’eau pour la conception du papier. L’entreprise dispose de bureaux implantés dans de grandes villes françaises comme Paris, Lyon, Strasbourg et Lille, ainsi qu’à l’étranger, à Madrid.

Swapbook et son application pour les étudiants

Fondée en 2016 par Laure Desegaulx, la start-up parisienne Swapbook est une application conçue pour les étudiants. Elle permet de les mettre en relation à travers l’achat et la vente de livres d’occasion. La créatrice a eu l’idée de ce concept en tentant de revendre ses manuels scolaires chez Gibert Jeune (librairies parisiennes, ndlr). Face à une attente démesurée et un bénéfice moindre, elle s’est aperçue que troquer ses ouvrages était difficile. L’objectif de l’application est de mettre en place un service d’économie collaborative permettant à tout étudiant d’acheter des livres à bas prix et d’obtenir un gain plus rentable en cas de vente.

L’utilisateur a ainsi accès à une page d’accueil où deux rubriques, « Achat » et « Vente », lui sont proposées. En cliquant sur la première, il peut chercher un livre et découvrir les recommandations d’autres personnes le concernant. En cas de vente, l’étudiant n’a qu’à scanner le code-barres de son manuel à l’aide de son Smartphone.

Selon l’état et les prix du marché, un algorithme indique un tarif pratique pour le vendeur et l’acquéreur. Une section « Discussion » est alors disponible afin que les membres puissent dialoguer pour se donner rendez-vous pour l’échange. La start-up prend une commission de 10 % lors de la transaction. Soutenue par de nombreux organismes comme l’Université Paris Diderot et Schoolab (accélérateur dédié aux étudiants entrepreneurs, ndlr), elle a participé au projet Smile to School avec l’association Carlton Smile Charity, qui permet à des orphelins du Cameroun d’être scolarisés. Elle s’est également engagée à reverser 10 % de ses profits à des associations.

KiwiBook donne une seconde vie aux livres

Lancée en 2017 par Benjamin Augros et Benjamin Lointier, la start-up nîmoise KiwiBook se place comme une plateforme d’e-commerce spécialisée dans les biens culturels d’occasion. Aujourd’hui consacrée au secteur du livre, elle souhaite étendre son offre à d’autres produits comme les CD, DVD, Vinyles et jeux vidéo. Avec son site affilié, vendre-livre.fr, la société vient en aide aux particuliers en leur permettant de revendre des ouvrages en un clic. Le client n’a qu’à renseigner le code-barres du livre. Grâce à un algorithme qui trie des millions de références de produits toujours vendables, le prix de rachat est directement fixé.

Une fois la décision validée, le client envoie ses produits gratuitement avec l’étiquette d’expédition fournie et reçoit un virement sous une vingtaine de jours. Alors que plus de 5 000 ouvrages sont réceptionnés chaque mois par l’entreprise, celle-ci ambitionne de recevoir 100 000 livres d’ici fin 2018. En janvier dernier, elle a levé 180 000 euros auprès d’entrepreneurs de l’e-commerce et de Kima Ventures, le fonds d’investissement de Xavier Niel. Avec cette somme, la start-up veut déployer des applications mobiles sous Android et iOS ainsi que renforcer son équipe, d’un développeur et de préparateurs de commandes.

Si le secteur du livre d’occasion connaît un franc succès, celui du neuf a subi un léger recul en 2017 par rapport à l’année précédente, passant d’environ 2,8 à 2,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires avec une diminution du nombre d’exemplaires vendus, soit 430 millions, selon le SNE (Syndicat national de l’édition, ndlr). Le secteur du livre numérique continue, quant à lui, sa progression en générant un chiffre d’affaires de 201,7 millions d’euros en 2017, soit une évolution de 9,8 % par rapport à 2016. Il représente ainsi 7,60 % du chiffre d’affaires des ventes d’ouvrages des éditeurs.

LampesDirect : des solutions d’éclairage pour particuliers et professionnels

Le secteur français de l’éclairage est estimé à 2,3 milliards d’euros. Un domaine en plein bouleversement avec l’apparition des ampoules LED, diodes électroluminescentes à la durée de vie plus longue et à faible consommation électrique. Son marché pourrait atteindre plus de 27 milliards de dollars d’ici 2024. LampesDirect est, à ce propos, spécialisé dans le secteur, et particulièrement dans la vente en ligne d’articles d’éclairage. Il répond aux besoins des particuliers comme des professionnels en proposant des solutions de qualité à des prix attractifs. Zoom sur cette société.

Une entreprise au service de ses clients

Issu de chez Any Lamp B.V., entreprise internationale spécialisée dans l’éclairage, Les ampoules LED se place comme un site de vente en ligne qui propose plus de 5 500 références constituées d’ampoules, de luminaires et autres accessoires lumineux tels que des lampes halogènes, à économie d’énergie ou à LED ainsi que des tubes fluorescents. La plateforme met en avant des produits de qualité issus de grandes marques comme Philips, Osram, Sylvania ou encore Noxion. Pour séduire les consommateurs, elle affiche des prix dégressifs, leur permettant de commander des quantités importantes pour un coût avantageux. LampesDirect s’adresse ainsi aux particuliers comme aux entreprises et administrations. L’entrepôt où sont transposés les produits se trouve aux Pays-Bas pour livrer des milliers de clients à travers le monde. L’expédition se fait en 24 heures en cas de stock et la livraison s’effectue en moyenne sous trois jours. Les clients n’ont par ailleurs pas besoin de souscrire à des services payants de protection puisque plusieurs produits de l’entreprise disposent d’une garantie de cinq ans. Pour les professionnels, la société propose des facilités de paiement comme un règlement à crédit sous quatorze jours.

Par souci de satisfaction client, LampesDirect met à disposition des spécialistes de l’éclairage joignables du lundi au jeudi de 8 h à 18 h et le vendredi de 8 h à 17 h. Le site propose aussi de nombreux articles et blogs conseils pour aider les consommateurs à choisir leur type d’éclairage idéal.La société présente également un aspect écologique puisqu’elle privilégie les communications par e-mails plutôt que par courriers. Au sein de ses locaux, elle utiliserait d’ailleurs principalement du papier recyclé. Selon Trustpilot, spécialiste dans l’avis client en ligne, sur 1 224 avis déposés, 72 % des clients ont estimé le service de Lampesdirect.fr comme étant excellent et 14 % l’ont jugé bien.

L’éclairage LED comme pièce maîtresse

LampesDirect met beaucoup en avant la technologie LED (Light Emitting Diode, « Diode Electroluminescente », en français, ndlr). Composant, il a la caractéristique de projeter de la lumière lorsqu’il est alimenté par un courant électrique. D’abord adaptée aux voyants lumineux de signalisation, cette solution s’est peu à peu imposée au fil des années. Ainsi, de plus en plus de foyers et établissements commerciaux tels que des supermarchés l’utilisent. Les éclairages de ce type offrent de nombreux avantages. Ils permettent une économie d’énergie allant jusqu’à 80 % et disposent d’une durée de vie plus longue, soit plus de 50 000 heures contre 1 000 pour les autres produits traditionnels. Les ampoules LED préservent d’ailleurs l’environnement puisqu’elles ne sont pas composées de substances polluantes comme le mercure et peuvent ainsi être recyclées. Pour une quantité équivalente de lumière, l’ampoule LED consomme moins d’électricité qu’une ampoule classique : elle utilise 6 watts contre 35 pour une lampe halogène.

Quant à la qualité d’éclairage, celle-ci s’avère optimale avec un flux puissant dès l’allumage permettant de mettre en lumière de grands espaces et s’adapte à tout type d’environnement. Résistants aux chocs, les éclairages LED fonctionnent sur toutes les installations électriques classiques. LampesDirect propose des spots luminaires au prix allant de sept à soixante-deux euros et des tubes, de un à cinquante euros, capables d’économiser respectivement 84 % et 59 % de la dépense énergétique.

L’Afrique, un continent tourné vers l’entrepreneuriat

Face à l’Occident, l’Afrique se tourne de plus en plus souvent vers l’écosystème entrepreneurial. Il est en effet perçu comme un ressort essentiel à la croissance économique sur le continent mais aussi comme un outil durable de création d’emplois ainsi qu’un dispositif séduisant pour la jeune population. Des entreprises et start-up apparaissent et se développent progressivement dans plusieurs pays africains comme le Kenya, le Nigeria ou la Côte d’Ivoire, dans des secteurs variés tels que la finance, la télécommunication ou l’e-commerce. Tour d’horizon de l’activité entrepreneuriale africaine.

Le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud, « start-up nations »

Les start-up en Afrique ont le vent en poupe. Elles se développent progressivement et attirent les investisseurs du monde entier. Plus de 560 millions de dollars, soit 467 millions d’euros ont été investis dont 124 d’entre elles en 2017, soit une hausse de 53 % par rapport à 2016, qui était déjà une année record, avec 366,8 millions dollars pour 77 sociétés. 128 réalisations de levée de fonds ont été recensées, soit une augmentation de 66 % en un an, selon une étude de l’organisme d’investissement Partech Ventures. Les incubateurs d’entreprises se sont énormément développés sur le continent. Ils sont plus de 443 alors qu’ils n’étaient qu’une dizaine dans les années 2000.

Trois pays tirent leur épingle de jeu : le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud. Conformément à une enquête annuelle réalisée par le fonds de capital-risque Partech Africa, l’Afrique du Sud monte sur la première marche du podium avec 42 entreprises qui ont reçu 168 millions de dollars d’investissements en 2017, soit 30 % du total des levées en Afrique. Le Kenya et le Nigeria arrivent, eux, en deuxième et troisième position, avec respectivement 147 millions et 115 millions de dollars. Reste qu’au cours du premier trimestre de l’année 2018, selon un rapport du Global Tech Media Wee Tracker (plateforme média qui se focalise sur les technologies et l’écosystème des start-up africaines, ndlr), les deux nations ont multiplié les financements. Les entreprises nigérianes ont effectué 29 transactions pour un montant qui s’élève à 29,41 millions de dollars, tandis que les sociétés kényanes ressortent vainqueurs avec 23 levées de fonds, soit 82,86 millions de dollars, ce qui représente trois fois plus que le Nigeria. D’autres pays africains ne sont pas en reste et parviennent à attirer petit à petit les promoteurs comme l’Égypte, qui a réalisé 14 % des tours de table sur le continent en 2017 ainsi que la Côte d’Ivoire et le Sénégal, avec chacun 13 et 6,5 millions récoltés en 2016.

Des entreprises spécialisées dans des secteurs variés

Les start-up africaines se consacrent à de nombreux secteurs, particulièrement centrés sur la finance, l’e-commerce ou la télécommunication. L’entreprise kényane Africa’s Talking, dont le siège social est basé à Nairobi, est spécialisée dans la technologie mobile. Elle a créé une plateforme qui propose des solutions basées sur le Cloud afin de virtualiser les infrastructures de télécommunication dans toute l’Afrique, en simplifiant le processus et les technologies. Elle fournit ainsi des SMS, des MMS, des codes USSD (protocole qui envoie des informations via les réseaux GSM, 3G ou 4G, ndlr) ainsi que des API Voix (services vocaux qui permettent d’installer et de gérer des flux d’appel, ndlr) et des applications de paiement mobile pour les particuliers, les entreprises et les développeurs. Elle offre également SMSVoices.com, une autre plateforme qui permet aux utilisateurs de transmettre des informations sur internet via des textos et des publications en ligne. Celle-ci a récolté plus de 8,5 millions de dollars en 2017 afin de se développer à travers le continent. Le fonds d’investissement early-stage Orange Digital Ventures, de l’opérateur téléphonique français du même nom, a d’ailleurs participé.

Quant à l’entreprise nigériane TradeDepot, créée en 2016, elle permet de gérer la distribution de biens de consommation sur le continent africain. Via sa solution, les petits détaillants peuvent accéder en temps réel aux prix et aux remises proposés par de grandes marques comme Coca Cola. Ils ont alors la possibilité de commander de nombreux produits et de se faire livrer d’une manière rapide dans l’entrepôt le plus proche de son lieu de travail. TradeDepot permet de mettre en place un moyen de communication immédiat entre marques et commerçants. Le fonds Partech Africa, propriété de Partech Ventures (organisme de capital-risque transatlantique spécialisé dans les technologies de l’information et de la télécommunication, ndlr) a injecté, en avril dernier, trois millions de dollars dans la jeune pousse, dans le but de favoriser son expansion dans le pays.

L’Afrique : premier continent de l’entrepreneuriat féminin

L’Afrique est devenu le premier continent de l’entrepreneuriat féminin, selon le rapport 2017 « Women’s Entrepreneurship » réalisé par GEM (Global Entrepreneurship Monitor, projet d’étude mondiale qui analyse annuellement l’activité des entreprises, leurs attitudes et leurs aspirations dans plus de 80 pays, ndlr). D’après la même source, 27 % des femmes créent une société en Afrique, ce qui constitue le taux le plus haut à l’échelle mondiale. Mais 70 % d’entre elles n’ont pas accès aux investissements. Des initiatives sont lancées afin de mettre en valeur les dirigeantes d’entreprise et promouvoir leur société. La plateforme digitale «Women in Africa Initiative », créée en 2016 par Aude de Thuin et aujourd’hui dirigée par Hafsat Abiola, se pose comme un outil de développement économique et d’accompagnement des femmes africaines leaders et à fort potentiel. Sa mission est de rendre visibles 54 d’entre elles, une par pays, dans leur territoire ainsi qu’à l’international, de les suivre dans l’avancement de leurs compétences et de favoriser leur réseau.

L’univers entrepreneurial s’installe et se solidifie donc de plus en plus sur le continent africain. Trois pays puissants en termes de start-up se démarquent : le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud dominent le marché dans des secteurs comme l’e-commerce ou la télécommunication. L’entrepreneuriat féminin se développe lui aussi, mais fait face à un difficile accès aux investissements.

Ces entrepreneurs inspirants à suivre sur les réseaux sociaux

Démarrer ou prospérer dans l’entrepreneuriat n’est pas chose facile. Devenir entrepreneur, c’est se lancer dans une aventure professionnelle palpitante, avec son lot d’avantages mais aussi d’inconvénients. Des situations difficiles peuvent survenir, du temps et de l’argent sont investis pleinement, parfois sans retour positif. En ce sens, les réseaux sociaux comme Instagram et YouTube restent des sources d’information et d’inspiration pour les actuels et potentiels entrepreneurs. Citations motivantes, histoires inspirantes ou encore vidéos de conseils pratiques… Zoom sur ces acteurs influenceurs.

36 % des entreprises françaises utilisent les réseaux sociaux, selon une infographie réalisée par le Groupe pratique, qui rassemble des sites d’informations sur des thématiques de la vie quotidienne comme l’emploi, la santé ou le droit. 75 % des sociétés utilisent Facebook, 72 % Twitter, 65 % LinkedIn et 54 % YouTube. 74 % d’entre elles déclarent les exploiter pour accroître leur notoriété, 60 % pour gérer leur e-réputation et 27 % afin de faire du social selling (« vente sociale », en français, technique qui consiste à utiliser ces sites dans le processus de vente, ndlr). Les réseaux sociaux peuvent en effet devenir de véritables tremplins pour les dirigeants d’entreprise en tant qu’outils de communication et moyens de transmettre leur savoir-faire et conseils.

Gary Vaynerchuk, l’entrepreneur américain en série

Surnommée GaryVee, Gary Vaynerchuk, est un véritable serial entrepreneur américain. D’origine Biélorusse, il développe, à partir de 1999, le business familial, Wine Library, consacré au vin en instaurant un e-commerce, un marketing par e-mail et un média en ligne. Cette stratégie lui permet de faire passer le chiffre d’affaires de l’entreprise de 4 millions à plus de 45 millions de dollars en cinq ans. Aujourd’hui, il dirige Vayner Media, fondée en 2009, agence numérique chargée d’optimiser le marketing de sociétés sur les réseaux sociaux. L’homme d’affaires gère également VaynerX, une firme qui héberge The Gallery, entreprise centrée sur les médias féminins. Il a réalisé d’importants investissements notamment dans Uber, Snapchat et Venmo (service de paiement mobile détenu par PayPal, ndlr).

Via ses conférences, ses livres sur le webmarketing et les réseaux sociaux, le dirigeant est devenu une figure renommée. Son compte Instagram affiche, actuellement, plus de 3 900 000 abonné(e)s contre 1 550 105 pour sa chaîne YouTube et environ 1 710 000 pour son profil Twitter. Il est rempli de citations motivantes comme « It’s easy to dream, but much harder to execute it. Work ! » (« C’est facile de rêver, mais trop difficile à exécuter. Travailler ! », en français, ndlr) ainsi que des vidéos et des conseils pour aider toute personne qui veut créer une entreprise.

Pour beaucoup d’entrepreneurs, Gary Vaynerchuk leur a apporté une aide précieuse. Ryan Sprance, fondateur de Kaihatsu Media (agence de marketing numérique spécialisée dans le développement de la notoriété et de la présence d’une marque ou d’une entreprise via les médias sociaux, ndlr) et créateur de TheStylishMan.com (média en ligne consacré à la mode et au sport, ndlr) est l’un d’entre eux. Il affirme, grâce aux conseils du serial entrepreneur développés sur ses réseaux sociaux, dans ses livres et lors de ses conférences, qu’il a pu obtenir, sur son site, plus de 50 millions de vues et 608 000 lecteurs au cours des quatre dernières années.

Guillaume Gibault, fondateur de la marque Le Slip Français

À la suite d’un pari lancé par un ami qui lui demande de produire des slips, Guillaume Gibault, crée, en 2011, Le Slip Français. Il fait alors fabriquer 600 sous-vêtements par l’usine Moulin Neuf Textiles en Dordogne et fonde son site e-commerce afin de les vendre. Avec l’élection présidentielle de 2012, le dirigeant décide de confectionner des slips pour hommes 100 % Made In France. La société retient l’attention via sa présence sur les réseaux sociaux et ses campagnes marketing qui font le buzz, favorisant son succès. Avec de nombreuses collaborations et un élargissement à d’autres types de vêtements comme des tee-shirts et des maillots de bain, la société atteint en 2017, un chiffre d’affaires dépassant les 13 millions d’euros.

Les réseaux sociaux sont au centre de la communication d’entreprise comme celle de son dirigeant. Le profil Instagram de la marque compte plus de 104 000 abonné(e)s, le compte Twitter, 21 000 et la chaîne YouTube, 5 580. C’est d’ailleurs sur celle-ci que Guillaume Gibault met à disposition, depuis mars dernier, cinq vidéos destinées aux entrepreneurs, dans une rubrique intitulée « Comment devenir entrepreneur ? J’y vais mais j’ai peur ». D’une durée oscillant entre trois et dix minutes, le fondateur propose ses conseils et astuces dans les différentes phases de création et développement d’une entreprise en abordant, par exemple, l’idée, la promotion via les réseaux sociaux ou encore le webmarketing. Il existe un autre format dénommé « Les pépites de Guillaume », dans lequel l’homme d’affaires nous fait découvrir des entreprises et start-up françaises comme Cityscoot (opérateur de scooters électriques en libre-service, ndlr).

Via leurs réseaux sociaux, ces dirigeants inspirants cherchent à aider les passionnés de l’entrepreneuriat à créer leur société ainsi qu’à la développer. Avec leurs conseils, leurs parcours ou histoires atypiques ainsi que leurs discours motivants, d’actuels ou nouveaux entrepreneurs peuvent ainsi déjouer les pièges et combattre les difficultés comme un problème de financement, de concept et de visibilité sur internet. Mais les sources d’inspiration ne viennent pas que des hommes. Des femmes d’affaires s’imposent également sur les réseaux sociaux comme Sara Blakely. D’origine américaine, elle a lancé en 2000 sa société de lingerie, Spanx. Ses produits sont actuellement vendus dans 60 pays et son entreprise est valorisée à plus de 1,1 milliard de dollars, faisant d’elle, la 21ème femme la plus riche des États-Unis. Plus de 162 000 abonné(e)s suivent son profil Instagram, où celle-ci y poste régulièrement des citations et témoigne de son équilibre vie privée/vie professionnelle.

Analyse prédictive : comment lutter contre le « churn » ?

Nous sommes à l’ère du digital ! Plus que jamais, les consommateurs sont exposés aux prises de paroles de marques et se trouvent assaillis de publicités, que ce soit sur internet ou même au creux de leur poche, sur leur Smartphone. Face à cette conjoncture, certaines marques se désolent de constater un phénomène de « churn », qui traduit la perte de leur clientèle. L’analyse prédictive intervient alors au secours des entreprises.

Qu’est-ce que le phénomène de « churn » ?

Le terme de « churn », aussi appelé « phénomène d’attrition » dans la langue de Molière, est une tendance marketing traduisant la fuite de clients. Exprimé sous la forme d’un taux, le taux de churn permet notamment d’analyser la fidélité d’une clientèle à une marque ainsi que l’impact de modifications du marketing mix sur celle-ci.

Il se calcule à l’aide de cette formule : 

 

(Nombre de clients perdus sur la période) X 100
__________________________________________

((Nombre de clients engagés sur la période)

+ (Nombre de clients à la fin de la période) / 2)

 

Les enjeux du digital

Si le taux de churn fait autant parler de lui ces dernières années, c’est que le marketing digital implique que les consommateurs sont très exposés aux prises de paroles des marques. Comme le rappelle le site Mr-Entreprise.fr, les sociétés n’hésitent plus à investir les réseaux sociaux et se lancent à corps perdu dans un marketing de contenu parfois agressif face auquel les internautes ne peuvent résister bien longtemps. Ils deviennent donc plus volatiles, moins fidèles qu’auparavant aux marques, quelles qu’elles soient ! La moindre modification du marketing mix, le moindre changement de positionnement prix ou produit peut ainsi avoir des conséquences immenses sur la fidélité des consommateurs. Pour cette raison, les marques tentent de développer des outils permettant d’anticiper le taux de churn !

L’analyse prédictive, au secours des entreprises 

Parmi les outils développés par les marques pour prédire le churn de leur clientèle, on compte l’analyse prédictive. Cette dernière part d’un constat simple : nous possédons, aujourd’hui, les outils pour prédire l’attrition de ses clients.

Les marques n’ont, en effet, jamais eu si facilement accès aux données des utilisateurs. Sur leur propre site ou sur les réseaux sociaux, il est possible d’agréger des données démographiques, mais aussi comportementales sur ses clients. Certaines solutions de data science telles qu’ETIC DATA permettent notamment de prédire le comportement des clients d’une entreprise en fonction de modifications du marketing mix.

Comment fonctionne l’analyse prédictive d’ETIC DATA ?

L’intérêt de solutions de data science / machine learning telle qu’ETIC DATA réside dans leur fonctionnement même. Par nature, il est très difficile de prédire le comportement de ses consommateurs sur la seule base de données « first party » (qui renvoie à celles internes à l’entreprise, ndlr). Il faut alors les recouper avec des données plus larges, et c’est ce que propose le système dont il est question.

ETIC DATA part de vos données first party et les combine à d’autres, externes, issues de sources aussi diverses que l’INSEE ou l’INPI. Ces données permettent de bénéficier d’une visibilité plus large de sa clientèle et de créer ce que l’on appelle un modèle d’analyse prédictif. Il permet alors de construire un modèle prescriptif avec une liste d’actions optimales à mener pour optimiser le taux d’attrition de son entreprise.

Comment choisir sa stratégie de communication digitale ?

Stratégie de communication digitale rime avec interaction auprès des internautes. L’un des principaux enjeux de la communication digitale reste de devenir une véritable présence online, soit la référence numéro un auprès des internautes. Mais alors, comment procéder au juste ?

La communication digitale repose sur trois piliers que vous devez optimiser au quotidien. C’est parce que Google est de plus en plus réglementé et qu’il est plus difficile d’arriver en haut des pages de recherche, que des agences de communication digitale comme l’agence Ydyle se sont développées. Leur but ? Travailler l’image que vous allez renvoyer sur le web après un brainstorming de qualité.

La première chose à faire demeure de communiquer auprès de vos internautes. Les mots clés sont les suivants : attirer l’attention, fidéliser et créer du bouche-à-oreille web pour une communication réussie. Pour y parvenir, vous devez appliquer trois stratégies web rigoureuses. Cela implique des canaux de diffusion, techniques ou informationnels, qui constituent l’élaboration de votre site internet. Découvrons-les sans plus attendre.

Un SEO…

La maîtrise d’un SEO de qualité. Il s’agit du référencement naturel, qui a pour objectif la maîtrise de votre contenu et de votre visibilité sur le web. Il faut que le contenu publié réponde à la question de l’internaute dans le moteur de recherche. Mais n’oubliez pas que vous devez, certes, séduire l’internaute, mais aussi Google ! Ce dernier, grâce à des algorithmes qu’il améliore au quotidien, décide, en plus de votre trafic, si vous êtes pertinent selon la recherche de l’internaute. Le SEO recouvre donc votre visibilité web au niveau de son contenu textuel.

… et des liens maîtrisés

Si vous pensez que vous pouvez réussir sans d’autres sites internet, sachez que vous faites fausse route. Chaque site web a besoin d’autrui pour exister. C’est pourquoi il est important de sélectionner ceux sur lesquels vous apparaissez et de contrôler l’image que vous véhiculez. En tant que vitrine d’exposition de votre entreprise, vote site internet se doit de garder une image active et positive.

Profitez de l’arrivée des réseaux sociaux pour faire de votre entreprise la meilleure de votre secteur. Ce sont eux qui dominent le marché, aussi bien chez les adultes que les adolescents. La montée en flèche des influenceurs, cette année, démontre aussi que votre communication digitale peut provenir d’autres canaux que de votre propre site internet. C’est un moyen comme un autre d’attirer une clientèle qui avait potentiellement moins de chance de vous rechercher ou de tomber sur vous.

Une expertise perméable aux évolutions digitales et influences web

Une campagne AdWords gérée avec une agence dédiée au marketing digital se place, sans aucun doute, comme un bon moyen de commencer votre analyse. Que souhaitent les internautes ? Comment votre entreprise peut-elle leur rendre service ? Quels sont les avantages que vous proposez par rapport à vos concurrents ? Toutes ces questions demandent une analyse profonde de votre entreprise.

Vous ne devez pas non plus oublier de séduire les internautes. Un design non contemporain peut vous coûter cher. Même si votre entreprise n’est pas tournée vers le digital, vous n’avez aucune excuse pour ne pas travailler l’ergonomie. Couleurs de votre background, style de votre police, etc.  La réalisation d’une charte éditoriale et graphique reste nécessaire pour accorder l’esprit d’entreprise que vous dégagez, ainsi que la manière dont vous abordez l’internaute.

Si, pour vous, la stratégie digitale mérite de plus amples explications, reportez-vous à cet article proposé par entreprise-et-compagnie.fr.

Quelle est la meilleure stratégie digitale pour une entreprise ?

Cette question n’a, en réalité, pas de sens à ce jour. Il n’existe pas une seule et unique stratégie digitale, mais des centaines. À vous de faire votre choix selon les objectifs donnés par l’entreprise.

La question que vous pouvez vous poser est : quelle stratégie digitale dois-je développer pour mettre en avant l’image de mon entreprise ? Avant d’établir les trois canaux évoqués dans le paragraphe précédent, vous devez mettre en œuvre une réelle stratégie digitale :

  • Mettez en place une analyse des concurrents : pourquoi sont-ils meilleurs que vous alors qu’ils vendent moins de produits ? Comment et pourquoi vous dépassent-ils ?

  • Réalisez constamment une veille de marché pour rester au courant des dernières actualités et vous inspirer des contenus digitaux publiés. Évitez, cependant, le duplicate content : Google va toujours privilégier celui qui a plus de visibilité, partant du principe que c’est vous le copieur !

  • Replacez au centre de votre stratégie de communication digitale le consommateur. Savez-vous que l’ « Index Mobile First » a contraint des centaines d’entreprises à retravailler leur image sur mobile ? Le consommateur achète désormais via son mobile, au détriment de l’ordinateur qui est devenu le second média de consultation des informations.

La communication digitale que vous devez adopter dépend donc de votre capacité à appréhender vos concurrents et à vous démarquer. Vous devez, non seulement recentrer votre stratégie digitale autour de votre cible, mais, avant tout, comprendre comment et pourquoi un internaute vient sur votre site internet plutôt que sur celui d’un autre.

Une fois votre stratégie menée, ne négligez pas d’entretenir l’activité de votre site internet. Une des pistes que vous pouvez développer reste les relations presse et les campagnes événementielles. Pour mieux comprendre de quoi il s’agit, rendez-vous sur définition-marketing.fr.

Une fois ces enjeux compris, vous détiendrez toutes les clés en main pour réussir !

La cigarette électronique, un business en pleine expansion

Vapoter n’a jamais été aussi populaire. Face à la hausse du prix du tabac et ses répercussions sur la santé, la cigarette électronique est devenue une alternative au paquet classique. Inventée et brevetée depuis 2005 en Chine, ce vaporisateur, qui produit par le biais d’un liquide « une fumée artificielle » aromatisée, s’est démocratisé à partir de 2010 notamment grâce au e-commerce et à l’amélioration technologique. Alors que le marché est, aujourd’hui, en plein boom, les entreprises sont toujours plus nombreuses à tenter d’innover dans le domaine.

Faisant l’objet de nombreux débats concernant son impact nocif ou non sur la santé, l’e cigarette reste appréciée par les Français. Plus de deux tiers d’entre eux pensent que son développement a joué un rôle primordial dans la baisse du nombre de fumeurs, soit plus d’un million entre 2016 et 2017 (selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting réalisé en mai 2018 pour le journal Le Figaro et le média France Info, ndlr). 15 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles utilisent régulièrement la cigarette électronique et 30 % qu’elles en ont exclusivement recours. 69 % cumulent son usage avec celui du tabac traditionnel. Quoi qu’il en soit, le secteur de la cigarette électronique s’avère en pleine expansion.

Un business mondial florissant

Le marché mondial de la cigarette électronique a généré plus de 10 milliards de dollars en 2017 et devrait rapporter environ 30 milliards de dollars d’ici 2023, selon le rapport « Global E-Cigarette Market » publié par Research Cosmos (plateforme contenant des rapports de recherches haut de gamme sur différents domaines, ndlr). Réglementé par la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, ndlr), ce business connaît un boom en raison des problèmes de santé liés à la cigarette traditionnelle mais aussi à cause de son prix, qui ne cesse d’augmenter. Le continent nord-américain est d’ailleurs celui qui détient la plus grande part du marché, avec 5,9 milliards de dollars en 2017, selon le cabinet d’études P & S Market Research.

Du côté de l’Hexagone, le marché serait estimé à 1 milliard d’euros, faisant de lui, le deuxième au monde en matière d’e cigarette, après les États-Unis, selon la FIVAPE (Fédération Interprofessionnelle de la Vape, organisation représentant les professionnels de la cigarette électronique en France, ndlr). Suivant la même source, le business a engendré plus de 14 000 emplois tandis que 2 500 boutiques et 200 sites d’e-commerce sont actuellement en place dans le pays. Au total, on chiffre à trois millions le nombre de consommateurs français, et certains vont même jusqu’à dresser un comparatif de la meilleur cigarette electronique. Le secteur a explosé en 2012-2013, avec une croissance de plus de 140 % et 2 700 ouvertures de magasins spécialisés. Néanmoins entre 2015 et 2016, il a accusé un recul de 10 %, puis 5 % avec la fermeture de plus de 600 « vape shops ». Parmi les causes de ce reflux, une campagne négative autour de l’e cigarette notamment concernant des études qui affirment qu’elle provoquerait des risques de cancer. Mais loin du déclin, le secteur français est reparti à la hausse à partir de 2017, profitant de la montée du prix du tabac, avec plus de 350 millions d’euros de ventes, selon l’institut Xerfi.

L’innovation pour se hisser au sommet

Pour profiter de ce marché florissant, des start-up n’arrêtent pas d’innover afin de mettre en avant un ensemble diversifié d’e cigarettes. Les professionnels du business veulent battre la concurrence en proposant des produits novateurs notamment avec les cigarettes électroniques intelligentes et connectées. Aux États-Unis, une jeune entreprise, Juul Labs, a su s’imposer et créer un vrai phénomène, particulièrement chez les jeunes. En moins de trois ans, elle est parvenue avec son appareil, le « Juul », à occuper plus de 70 % du marché américain. La firme de James Monsees et Adam Bowen, PAX Labs a créé cette e cigarette en 2015 puis a décidé de fonder Juul Labs, société indépendante en 2017. Son originalité : elle a la forme d’une clé USB, se recharge via un ordinateur et contient une quantité de nicotine comparable à celle d’un paquet de cigarettes. Ce concept séduit les adolescents qui se filment en train de vapoter sur les réseaux sociaux. Évaluée actuellement à 15 milliards de dollars outre-Atlantique, la start-up souhaite lever 1,2 milliard de dollars afin de se développer à l’international. Une ambition qui semble bientôt atteinte puisqu’elle a déjà récolté plus de 650 millions de dollars en juillet dernier. La jeune pousse vient d’ouvrir son premier siège international à Londres et 250 magasins à travers le Royaume-Uni vendent son appareil depuis mi-juillet, sur un secteur anglais estimé en 2017 à 1,73 milliard de dollars. Juul Labs prévoit de conquérir d’autres pays comme la France, l’Allemagne, l’Italie et Israël.

Dans l’Hexagone, la start-up Enovap, créée en 2015 par Alexandre Scheck et Julien Abulfeda, a conçu une e cigarette intelligente et connectée qui permet aux fumeurs de gérer leur consommation en nicotine. Un double réservoir est intégré et contient, pour l’un, un liquide sans nicotine et, pour l’autre, de la concentration nicotinique. Grâce à la technologie Hit Control, l’apport sera ainsi géré selon les besoins de l’utilisateur. Une fonctionnalité appelée Flavor Mix permettra de mixer deux saveurs suivant les goûts du client. Via une application installée sur son Smartphone, il pourra suivre sa consommation et sera accompagné afin de la diminuer, par le biais d’algorithmes et d’une intelligence artificielle qui apprennent de ses habitudes. La cigarette électronique Enovap sera disponible à la vente fin 2018.

Le business de l’e cigarette ne cesse de progresser et ses acteurs misent sur l’innovation pour devenir des leaders du marché. Le débat autour de ce phénomène est toujours vivace. Pour ses défenseurs, elle constitue une solution de sortie du tabagisme : Public Health England, agence de santé publique du Royaume-Uni, estime que la cigarette électronique est 95 % moins dangereuse que le tabac. Pour ses détracteurs, elle serait mauvaise pour la santé : selon une étude publiée récemment par des chercheurs de l’Université de Birmingham, elle endommagerait des cellules immunitaires dans les poumons.

Transhumanisme : Quand les entreprises veulent créer l’Humain augmenté

Courant né dans les années 70 en Californie, le transhumanisme prône l’usage des nouvelles technologies pour perfectionner l’être vivant. La question de ce mouvement porte souvent à débat tant sur le plan médical que philosophique. Les détracteurs le voient comme une manière pour les machines de contrôler le monde et l’Humain. Pour les fervents défenseurs, c’est un moyen d’améliorer les capacités intellectuelles de l’Homme et de lutter contre les maladies, le handicap et le vieillissement. Plusieurs entreprises tentent, grâce à la progression de la science et des nouvelles technologies, de créer l’Humain augmenté. D’un autre côté, des séries télévisées comme Black Mirror soulignent les dérives que cela pourraient engendrer.

Sur les enjeux de l’allongement de la durée de vie, 72 % des Français considèrent que le transhumanisme est un prolongement naturel de la médecine, selon un sondage réalisé par OpinionWay pour Swiss Life, un groupe d’assurance-vie suisse, en 2016. 81 % d’entre eux pensent qu’il peut aider les gens et 85 % estiment qu’il nécessite davantage de débats dans l’espace public. 69 % des personnes interrogées se disent favorables au recours de ce mouvement dans un cadre médical. Mais 71 % estiment que le transhumanisme est un enjeu dont on ne peut mesurer les conséquences. En attendant, de nombreuses entreprises notamment de la Silicon Valley se lancent dans ce secteur afin de mettre en forme l’Humain augmenté.

Connecter le cerveau à un ordinateur avec Neuralink

Le milliardaire américain, Elon Musk, propriétaire de Tesla, constructeur automobile de voitures électriques, s’intéresse au transhumanisme et a créé Neuralink, une startup de nanobiotechnologie, en juillet 2016. Elle a pour ambition d’améliorer les performances du cerveau humain en développant des implants électroniques pouvant être placés à l’intérieur de celui-ci, afin de le connecter à un ordinateur. La technologie de l’entreprise repose sur la dentelle de neurones, électrodes artificielles qui seraient fixées aux neurones permettant d’augmenter la capacité du cerveau. Objectif : fortifier les connaissances intellectuelles, sauvegarder la mémoire et transmettre des pensées sans avoir besoin d’utiliser la parole. Pour le dirigeant, sa solution se consacre exclusivement au monde médical, afin de lutter contre les maladies cérébrales comme celle de Parkinson ou d’Alzheimer, l’épilepsie ou même le cancer.

Depuis sa création, les informations sur l’avancée des travaux de la start-up se font rares. Selon une enquête de Gizmodo, blog américain spécialisé sur les gadgets et les nouvelles technologies, l’entreprise d’Elon Musk a souhaité, à partir de février 2017, transformer ses bureaux de San Francisco en laboratoire de test sur les animaux et en atelier d’usinage. Une zone serait alors consacrée à la création de produits électroniques et à la mise en œuvre de recherches informatiques. Dans l’autre étage, des essais seraient effectués sur les interfaces neurologiques, par le biais de rongeurs comme des souris et des rats, afin d’étudier comment les réseaux de neurones communiquent et comprennent les informations.

Rendre immortel l’être humain avec Calico et Nectome

La société Google est, depuis quelques années, une des principales supportrices du mouvement transhumaniste. Elle multiplie les investissements dans plusieurs sociétés spécialisées dans les nanotechnologies, biotechnologies et la robotique. Elle a lancé en septembre 2013, une filiale, Calico (California Life Company, ndlr), dont le but serait de prolonger la vie, en luttant contre le vieillissement et les maladies graves. Elle s’est notamment associée à AncestryDNA et 23andMe, laboratoires qui analysent le code génétique, pour identifier grâce à des algorithmes, des schémas et des facteurs héréditaires de la longévité de l’Humain. L’idée : apporter des solutions curatives.

Quant à Nectome, start-up fondée en 2016 par Robert McIntyre, ingénieur diplômé du MIT, a mis au point un procédé chimique d’embaumement, la vitrifixation, capable de conserver un cerveau dans un état satisfaisant sur le long terme. Le patient doit être mort pour que la technique fonctionne, se basant sur la cryoconservation (procédé où des cellules sont conservées en les refroidissant à très basses températures, ndlr). L’entreprise a réussi des tests de conservation sur des animaux comme le cochon. Le prochain pari de la start-up est de pouvoir, grâce aux avancées scientifiques et technologiques, scanner les cerveaux conservés et dupliquer la conscience des personnes dans un Cloud. Avec l’objectif qu’elle puisse, un jour, être chargée dans un robot ou une autre enveloppe corporelle.

Les limites du transhumanisme

Toute technologie innovante détient, le plus souvent, sa part de bienfaits et de risques. La série britannique Black Mirror créée en 2011 par Charlie Brooker met en garde contre les dérives que pourraient apporter ces évolutions notamment du côté du transhumanisme. Elle souligne particulièrement les problèmes d’identité posés par l’Humain augmenté dont le caractère pourrait être fortement détérioré, le fait de marchandiser le corps pour se rendre immortel ou puissant, les mauvais usages qui favorisent une atteinte à la vie privée, voire un contrôle total de l’Homme par la machine…

Dans l’épisode 1 de la saison 2, intitulé « Bientôt de retour », les questions des robots et de l’immortalité sont évoquées. L’histoire traite d’un jeune couple, Ash et Martha. Le mari décède dans un accident et sa femme, éprouvée par sa perte, décide d’utiliser un service expérimental qui exploite les données enregistrées sur Internet des personnes décédées pour créer des conversations entre morts et vivants. Elle s’implique de plus en plus dans ce système en oubliant le monde réel. Une autre technologie lui permet de transférer cette intelligence artificielle dans une version robotique copie conforme de son époux. D’abord heureuse de le trouver, Martha va peu à peu se sentir mal à l’aise face à cet être synthétique qui exécute ses ordres, ne mange pas et ne respire pas comme le ferait un être humain. L’épisode spécial Noël, dénommé « Blanc comme neige » reprend l’idée du transfert de cerveau ou de conscience dans un ordinateur. Matt, scientifique est chargé de mettre en place des « cookies » spécifiques, sorte de copies digitales de la conscience de ses clients. Elles ont pour objectif d’être au service des personnes réelles pour gérer des maisons intelligentes. Le problème, c’est que cette reproduction a une conscience et doit se faire asservir pour exécuter des ordres. La question éthique de manipuler une technologie dotée d’une conscience à des fins personnelles est alors posée.

Le transhumanisme met en lumière un avenir où les humains pourraient être « augmentés » grâce aux nouvelles technologies. Il permettrait d’améliorer les facultés intellectuelles et physiques, voire de lutter contre les maladies. Mais des dérives pourraient apparaître comme le souligne régulièrement la série Black Mirror. Les start-up qui innovent dans ce domaine doivent donc agir prudemment et ne pas considérer la machine avant l’Homme.