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Connaissez-vous Vimeo ? Une plateforme de visionnage vidéo qui monte…

Dans les sites d’hébergement de contenu vidéo, il n’y a pas que YouTube et Dailymotion. Vimeo, né fin 2004 et qui n’est autre que l’anagramme de « movie » est surtout utilisée comme la plateforme des contenus vidéo des cinéastes et des artistes. Longtemps difficilement accessible car uniquement en anglais, elle est depuis 1 an en français.

Des avantages nombreux

Le lecteur Vimeo a vraiment bien été pensé et développé. Quel que soit son débit Internet, la vidéo se charge quasiment systématiquement en moins d’une seconde. Le design graphique du site est épuré et simplifié. On va rapidement à l’essentiel et il est très facile de mettre une vidéo en ligne ou de procéder à une recherche. Notre vision et le visionnage des vidéos n’est pas « pollué » par de la publicité. En effet, lorsque l’on lance la lecture, la vidéo se charge automatique sans publicité. Plus besoin d’attendre pour profiter de la vidéo. Plus la peine non plus de sélectionner le format de la vidéo que je souhaite regarder (240p, 360p ou encore 720p). Deux options uniques sont proposées : la version HD ou le visionnage SD. Vous pouvez, si vous le souhaitez, personnaliser votre vidéo à votre site, en modifiant l’apparence du lecteur (taille, couleur, avec ou sans barre de lecture, ajout de votre logo, etc.). Et si l’on a l’âme d’un généreux contributeur, on peut même soutenir un artiste en lui donnant quelques centimes lorsque l’on clique sur « le bouton j’aime » du lecteur (un bouton avec un cœur dessus) grâce à l’outil Flattr.

De nouveaux paramètres

De nombreux petits paramètres très simples à configurer vous séduiront. Et petite nouveauté depuis le début de l’année, vous pouvez maintenant insérer des sous-titres très facilement. Une fonction que possédaient ses principaux concurrents et qui manquait au site.

Un modèle basé sur le freemium

Enfin, contrairement à YouTube et à Dailymotion qui sont gratuit, vimeo fonctionne en freemium. C’est-à-dire que pour avoir accès à toutes les fonctionnalités, il vous faudra payer un abonnement. Mais cela vaut vraiment le coup lorsque l’on voit la qualité du lecteur et ses options.

L’application mobile, le domaine le plus simple pour se lancer ?

On parle aujourd’hui beaucoup du « web entrepreneuriat », qui est en fort développement. Mais qu’en est-il du « mobile entrepreneuriat » qui fleurit depuis deux ans ?

Il ne se passe plus une semaine sans que l’on entende parler d’un asiatique de 19 ans ou d’une bande d’amis au chômage qui gagnent des millions après le lancement d’une application mobile qui parait simple comme bonjour. Dernière exemple en date : Dong Nguyen, entrepreneur vietnamien indépendant, et créateur du jeu mobile Flappy Bird. Grâce à un jeu très simple, qui rend facilement accro et qui ne marche pas au freemium (juste un bandeau publicitaire), le jeune homme a gagné jusqu’à 50 000$ par jour ! Et le jeu a fait près de 50 millions de téléchargements… 

Rançon d’un travail acharné et d’un joli concept ou représentation d’un marché particulièrement ouvert qui est idéal pour se lancer dans l’entrepreneuriat ?

Un large champ

Ce qui semble immédiatement très attirant est la facilité à toucher la planète entière : les plateformes d’applications mobiles représentent un réseau presque aussi large que le Web lui-même. Les jeux, applications d’informations (presse, météo, cinéma, etc.), et applications pratiques (banque, immobilier, rencontres, etc.) touchent un très large public. Mais la concurrence est forte…

Il ne se passe pas un jour sans que des applications (qu’il est difficile de classifier) émergent et génèrent de l’argent (soyons cru, c’est le but premier). Par exemple, l’application Stressomètre mesure votre stress et vous prodigue des conseils. Love translator, quant à elle, se propose de vous aider à comprendre le sexe opposé. Vous l’aurez compris, absolument tout peut marcher si… ça marche. La difficulté réside dans le fait qu’il ne semble pas y avoir de règle dans le monde de l’application. Tout semblant pouvoir être envisagé.

Deux business model possibles

  • L’application peut être payante. Le revenu provient alors de la vente sur les réseaux de distribution (ex : AppStore). La viralité est cependant en général beaucoup moins importante quand l’application est payante.
  • L’application peut être gratuite. Trois options s’offrent alors à vous : le freemium (considéré comme très agaçant mais qui continue à faire ses preuves) ; la publicité (un bandeau publicitaire, ou une publicité de démarrage) ; et bien sûr la possibilité de revendre rapidement l’application si elle se diffuse bien.

Du travail, toujours du travail

Même si cela peut ne pas en avoir l’air, une réussite dans le monde de l’application passe par un certain travail en amont. Selon Alkeo, une société spécialiste dans le développement d’applications mobiles, il est nécessaire :

  • d’évaluer les potentiels utilisateurs
  • d’étudier la concurrence et se démarquer (une concurrence qui est certes plus éphémère que sur le web)
  • d’étudier un buzz potentiel
  • de prévoir des coûts de promotion
  • et bien sûr de prévoir des coûts de développement, à moins que vous soyez un crack informatique de la Silicon Valley.

3 sites pour lancer son application

  • Mobile Roadie (pour IPhone et Android).Un site qui propose trois versions distinctes (et payantes) et qui soumet l’application à la validation d’Apple.
  • App Inventor de Google. Un logiciel de création en accès libre.
  • Ovi App Wisard de Nokia. Un site pour applications dédiées aux sites, blogs et réseaux sociaux. Simple d’utilisation, et soumis à la validation d’Ovi Store.

Alors non, se lancer dans la création d’application mobile n’est pas forcément la plus simple des entreprises. Mais la demande est forte, variée et… difficile à saisir.

Louez votre employeur !

Consultants indépendant, entrepreneur, « indep », tant de synonymes qui recouvrent une même réalité. Celle de développer une activité, de prendre en main son revenu chaque mois, de devenir multi-client et de finalement réussir à prendre une réelle indépendance non subordonnée à un employeur unique mais à une multitude que sont les clients. 

Nous sommes actuellement 2 500 000 en France à penser ainsi, soit environ une personne active sur 10. Le premier défaut lorsque nous pensons indépendant est celui de se concentrer sur son statut. Et non client avec offre de service. Les problèmes commencent à s’accumuler à partir de là.

Une base à ne pas oublier : offre + clients

Une prestation, c’est d’abord une offre de service et des clients qui se rencontrent. Une fois cette offre de service acceptée, vous pouvez alors penser statut. Développer une activité dépend avant tout des clients, de son réseau et cela peut se faire rapidement.

Les 3 statuts possibles

Les consultants indépendants peuvent trouver 3 statuts pour gérer leur business :

• Le premier consiste à créer une société. Mais pour se gérer soi-même, que vous soyez une SASU ou une SA, les problématiques légales seront les mêmes à peu de choses près : dépôt des comptes, dépôt des actes légaux, bilans comptables, facturation, recouvrement, paiement des caisses complémentaires pour être couverts, etc.

L’auto-entreprise même limitative présente elle une méthode très simplifiant mais limitée à 32 000€ de Chiffre d’Affaires pour les prestations intellectuelles.

• Le portage salarial est apparu, fin des années 1990. Au départ, le concept était d’affilier le consultant indépendant au régime des salariés classiques. C’est ainsi que des sociétés type ITG, Admissions, etc. se sont montées. La première génération des sociétés de portage salarial a ainsi vu le jour permettant à ces consultants indépendants de s’affilier au régime salarié et de développer leur business tout en continuant à cotiser au régime de sécurité sociale, à une mutuelle, à une prévoyance, à l’assurance chômage, etc.

Une seconde génération de portage

Depuis que le cadre légal est fixé en 2010, de nombreuses sociétés de seconde génération se sont montées comme Le Monde Après, société de portage salarial faite par des consultants indépendants ou encore WebPortage société entièrement sur le web.

Ces sociétés salarient les consultants indépendants de sorte qu’ils puissent se focaliser uniquement sur leur business. La notion d’optimisation fiscale d’une entreprise est ainsi reléguée au second plan puisqu’il faut compter que pour 100 facturés, le consultant en récupère 50 net, frais de portage salarial inclus.
En contrepartie, il hérite de la protection complète d’un salarié avec l’assurance chômage incluse.

Ce nouveau mode de travail se rapproche ainsi de plus en plus de ce qui se fait à l’international où les « UmbrellaCompanies » anglaises (plus de 500 000 consultants indépendants sur ce système), américaines (plus de 5M de consultants indépendants), etc. travaillent déjà depuis très longtemps avec cette philosophie
Une manière pour la France de commencer à s’aligner sur les coutumes beaucoup moins contraignantes des autres pays.

Une nouvelle façon de penser le reclassement des salariés

Dans le cadre d’un licenciement économique, l’entreprise en difficulté doit veiller au respect d’une procédure réglementaire stricte. Outre l’obligation d’adaptation, elle est tenue à une obligation de reclassement. Rappel des règles liées au reclassement des salariés et présentation d’une méthode innovante et exemplaire qui mériterait de se développer.

Rappel de l’obligation de reclassement

En matière de licenciement pour raison économique, le code du travail prévoit que l’entreprise doit proposer des solutions de reclassement aux salariés concernés avant d’engager une rupture de leur contrat de travail.

Dans ce cadre, l’employeur doit notamment proposer par écrit à chaque salarié les postes disponibles, et relevant prioritairement du même niveau d’emploi, qu’ils soient dans l’entreprise même ou dans une autre entité dans le cas où celle-ci fait partie d’un groupe, aussi bien en France qu’à l’étranger. L’employeur doit par ailleurs mettre en place toute formation qui s’avère nécessaire pour permettre au salarié de s’adapter au poste disponible.

Le salarié, de son côté, est libre d’accepter ou non les solutions envisagées par son employeur.

Dans tous les cas, l’entreprise se doit de respecter scrupuleusement la procédure sous peine de voir, en cas de contestation, le licenciement économique requalifié en licenciement sans cause réelle et sérieuse ouvrant droit au versement d’indemnités au profit du salarié.

Pour en savoir plus sur la procédure de licenciement pour motif économique, le site service-public.fr donne toutes les informations nécessaires.

Méthode exemplaire de reclassement

Aujourd’hui, il n’existe pas de réponses idéales pour les salariés aux reclassements opérés en cas de difficultés économiques de l’entreprise et les issues sont généralement les suivantes :
– Mobilité interne ;
– Reclassement dans un nouvel emploi au sein de l’entreprise ou du groupe ;
– Départ en pré-retraite ;
– Licenciement économique ;
– Création d’entreprise.

Toutefois, la solution de reclassement proposée par le groupe TUI France (voyagistes Nouvelle Frontière et Marmara), à près de 300 de ses salariés, est novatrice et exemplaire, et mériterait d’être généralisée.

En effet, soucieuse d’apporter la meilleure réponse possible dans cette situation qui aurait pu être dramatique, la Direction des Ressources Humaines de l’entreprise a contacté quelques grandes entreprises d’autres secteurs d’activité pour leur demander de reprendre leurs salariés. Century 21, Maif, Sécuritas ou encore la SNCF ont répondu favorablement à l’appel et ont embauché les effectifs concernés sur des postes commerciaux, similaires à ceux précédemment occupés au sein du groupe TUI. En effet, la nature des emplois était une prérogative pour permettre à la méthode d’aboutir, tout comme les valeurs que les entreprises pouvaient avoir en commun.

Avantages d’une telle méthode de reclassement

Outre les retombées positives évidentes d’une telle initiative, tant pour le groupe TUI que pour les salariés concernés, la méthode offre également des avantages pour les entreprises repreneuses. 

En effet, ces dernières peuvent ainsi disposer d’un personnel compétent et expérimenté sur les missions commerciales pour lesquels elles ont effectué ces recrutements, et ce à coût réduit puisque l’ancienneté dans le poste précédent n’est pas prise en compte. Un accord de partenariat a de plus été organisé avec l’entreprise défaillante pour la prise en charge d’une partie de la formation sur le secteur d’activité de l’entreprise repreneuse.

Enfin, une telle action, qui démontre de l’engagement social et responsable des parties prenantes, a bien évidemment crée le buzz et eu des retombées positives en termes d’image.

Aux vues de ces avantages, la Maif a d’ailleurs décidé de renouveler l’opération en étendant le dispositif à d’autres entreprises pour pourvoir à ses besoins en recrutement.

Ces mauvais chefs d’entreprise vu dans les films

Il vous est probablement arrivé de regarder des films ou des séries télévisées mettant en avant des dirigeants d’entreprises auxquels vous n’aimeriez pas ressembler. Chacun des six portraits qui seront dressés ci-dessous contiendront un défaut poussé à l’extrême à ne jamais reproduire sauf si vous tenez à donner une mauvaise image de votre société. Mais si tel était le cas, vous ne liriez certainement pas cet article n’est-ce pas ?

Le sadique

On nous montre aujourd’hui à tort ou à raison le chef comme celui qui décide, qui dirige, qui oblige les autres à faire plus ou moins ce qu’il veut sous peine de les mettre dehors. Certains individus, à cause certainement de cette vision erronée du statut, adoptent cette conduite. Ils abusent de leur statut professionnel et n’hésitent pas à humilier leurs employés jusqu’à provoquer des dépressions nerveuses.

Un exemple : Spacey dans le film Comment tuer son boss correspond parfaitement à ce genre de portrait. Décrit comme l’exemple typique de la perversion, il promet à ses employés des récompenses qu’il finit par s’auto-attribuer en les faisant miroiter bêtement.

L’histrionique

De nos jours, avoir une vie personnelle à côté de ses fonctions professionnelles n’est plus à proscrire. Il est évident que, pour mieux éviter les scandales liés à leurs professions, les chefs d’entreprises médiatiques doivent à tout prix se garder du moindre écart extra-conjugal et ne pas sauter sur la première nouvelle recrue venue ! Ce conseil valant dans tous les cas de figure, si vous êtes une femme ou un homme.

L’agressif irrespectueux

Le chef d’entreprise, à défaut d’être un ange, se doit d’être compréhensif. Sans pour autant passer pour un assistant social. Certains négligent complètement cette règle. Ils se montrent particulièrement peu fiers de leurs employés quand ils réussissent mais affichent une cruauté féroce lorsqu’ils commettent une erreur colossale.

Un exemple : Avery Bullock, le patron de Stan dans American Dad. Son manque de reconnaissance est tel qu’il refuse publiquement de lui adresser la parole dans certains épisodes.

L’absent

Un dirigeant de société doit forcément pouvoir être présent (ou un des représentants) lorsqu’un de ses salariés lui réclame du temps. Il ne s’agira pas forcément d’une demande plus importante de rémunération. Il voudra peut-être discuter d’un sujet qui lui tient particulièrement à cœur, qu’il soit lié ou non à sa vie professionnelle. Oui, mais à une condition : Que le chef en question soit là !

Un exemple : Si vous avez regardé Drôles de dames , vous vous êtes sûrement aperçu que Charlie brillait par … son manque de présence à l’écran !

Le ringard

Dans un monde de plus en plus régi par les technologies, il importe de savoir s’en servir. Le problème est que certains patrons n’arrivent pas à s’adapter. Faisons l’impasse sur les réseaux sociaux auxquels il n’est pas forcément inscrit et concentrons-nous à la place sur le mobilier qui orne son bureau : Un téléphone à cadran, une machine à écrire, un réveil mécanique… De quoi passer pour une personne démodée, surtout lorsqu’il oblige le service à adopter les mêmes équipements.

Un exemple : Montgomery Burns des Simpson. Sans forcer son personnel à vivre comme au temps des cavernes, on ne peut pas dire qu’il incarne à lui seul la modernité.

L’osthraciste

Détestable à souhait, il affiche sa supériorité tout en méprisant les autres, ceux qui ne sont pas de son monde. Tous y passent : qu’il s’agisse de ceux n’ayant pas les mêmes goûts vestimentaires que lui ou d’une personne qui ne partage pas sa passion pour le sport. Dans tous les cas, il fait clairement comprendre à ses subalternes qu’ils sont des idiots.

Un exemple : Serge Pilardosse, incarné par Gérard Depardieu dans Mammuth est un ancien employé en retraite que ses patrons ont oublié de déclarer. L’un d’eux, un viticulteur ira même jusqu’à le traiter de c.., après qu’il ait admis que ses connaissances dans ce domaine étaient bien faibles.

Entrepreneurs : les meilleures excuses pour la Saint-Valentin

Vous voulez profiter de la soirée pour vous défoncer au travail et finir un dossier ? Mince, ce soir, c’est la Saint Valentin, et il va vous falloir une excuse en acier trempé. Surtout que, si vous lisez cet article, c’est que vous vous y prenez au deranier moment. Si les remords viennent et vous font découvrir que vous avez une morale, dîtes-vous bien que ce travail débordant vous permettra de lui offrir un plus beau cadeau quelques jours (mois ?) plus tard. Après tout, c’est aussi pour elle* que vous vous êtes lancé dans l’entrepreneuriat. Voilà quelques bonnes excuses  …

La vieille comme le monde

Elle a du être inventée en même temps que la fête elle-même : « Chérie, c’est une fête commerciale ! » Profitez en pour souligner la dimension spirituelle de votre couple « On est au dessus de çà quand même… »

La romantique

« Mais avec toi, mon amour, la Saint Valentin, c’est tous les jours ! »
No comment. Quoiqu’elle commence à être un poil désuète. Et puis elle va vous répondre que vous ne lui offrez pas des fleurs tous les jours.

La tordue

Prétextez à votre conjoint qu’une affaire de toute urgence vous retient au travail. Jouez le désespéré, et proposez-lui de vous rejoindre au bureau pour fêter tout de même un peu Valentin. Prenez bien soin de peindre un horrible tableau de l’atmosphère qui règne aujourd’hui sur votre lieu de travail, et cette fois, c’est elle qui déclinera.

La mytho 

Racontez lui que la dernière fois que vous avez fêtez la Saint Valentin, votre conjoint vous avait invité au restaurant pour… vous larguer. Cela vous a traumatisé et depuis, vous ne pouvez plus vivre ce jour maudit.

La grosse mytho

« Chérie, pas ce soir, je suis en train de te préparer quelque chose de fou ! » Cette excuse est risquée, car si l’élu de votre cœur est curieux ou pugnace, vous en entendrez parler tous les soirs. Mais au moins vous aurez quelques jours de répit et votre conjoint ne sera pas déçu ce soir.

L’altruiste

Vous lui expliquez qu’un ou deux de vos proches amis sont seuls, et malheureux (voir même célibataires depuis la veille si vous voulez poussez le vice), et que vous tenez à être avec eux pour les soutenir. Vous pouvez même demander à cet ami de l’appeler pour lui expliquer. Ajoutez avec flegme : « Mon cœur, ce n’est pas parce que nous nageons dans le bonheur que les autres n’ont pas le droit d’être heureux ».

L’entrepreneuriale

Vous avez organisé une soirée Saint Valentin au travail pour remonter le moral des troupes, parce que vous êtes proche de vos employés. Ne vous inquiétez pas, il y a peu de risques qu’elle vous y rejoigne.

La professionnelle

Si votre domaine professionnel peut s’apparenter de près ou de loin à cette fête, n’hésitez pas ! Exemple : vous êtes fondateur d’une agence de sécurité, il vous faut absolument rester au bureau car un de vos employés est absent. Et ne parlons pas des restaurateurs, patrons de bars, et professionnels du monde la nuit.

La meilleure défense c’est l’attaque

Un dicton bien connu qui peut s’appliquer partout. Vous n’avez rien prévu, ou ne pouvez pas vous libérer, alors reprochez lui sa petite erreur commise il y a deux ans où votre conjoint vous avait accidentellement mis un lapin.

N’oubliez pas que vous pouvez combiner les excuses. Mais veillez à toujours rester crédible. Se faire larguer le jour de la Saint Valentin est quand même plus douloureux qu’un autre jour. Même pour un entrepreneur.

* L’article est valable aussi bien au féminin qu’au masculin. Il a été rédigé de cette manière pour en faciliter la lecture.

La sécurisation de son poste de travail

Face à l’évolution grandissante des cyber-menaces de plus en plus difficiles à éradiquer, il est plus que primordiale d’avoir son réseau sécurisé mais aussi et surtout son poste de travail. Comment s’y prendre alors pour se protéger de toutes ces menaces ?

Une solution firewall, ça vous dit ?

Un mur de feu ? Ne vous en faites pas, nous n’allons rien bruler. Un firewall (pare-feu) est un logiciel permettant d’assurer la sécurité du poste de travail en filtrant les connexions entrantes et sortantes.

Les connexions non autorisées à internet seront stoppées par ce logiciel. Parmi les programmes malveillants initiant ce genre de connexion, nous pouvons citer les « spywares ». Aussi, les tentatives d’intrusions non autorisées depuis l’extérieur seront stoppées par ce même logiciel.

Un système d’exploitation à jour

Avoir son système à jour permet de réduire les risques de piratage de son poste de travail car de nombreux bugs et failles de sécurité auront été corrigés.

Un antivirus et un antispyware

Un antivirus est destiné à la détection des virus, des chevaux de Troie, des vers et backdoor. L’antivirus ne détecte ni les spywares, ni les adwares et ni les rogues. C’est un rempart qui prévient des infections causées par les logiciels malveillants.

Un antispyware a un fonctionnement similaire à l’antivirus puisqu’il intègre une définition virale. Il protège contre les spywares et les adwares.

La protection de la messagerie

L’envoi de mail pose un problème de confidentialité, d’authentification et d’intégrité. Un antivirus sera nécessaire pour l’analyse et la protection des mails et des pièces jointes reçu ainsi qu’un anti-spam pour le filtrage des mails non désirés.

L’encryptage

Crypter ses données, c’est assurer leur confidentialité. Les logiciels d’encryptage utilisent une méthode de chiffrement qui permet de coder le contenu des données qu’ils chiffrent afin de les rendre inintelligible à toute personne n’ayant le droit de les utiliser.

La sauvegarde

La copie de fichiers ou de base de données doit être effectuée de manière régulière afin d’éviter toute perte de données de votre entreprise (défaillance matérielle, virus, etc…)

Les logiciels de sauvegarde sont déployés en vue de planifier et d’automatiser la sauvegarde et la restauration des données sur disques ou sur bandes.

Cette liste de méthode n’est pas exhaustive car de nombreuses autres méthodes existent pour la protection de votre poste de travail.

L’importance de la communication auprès de vos élus locaux

Entrepreneurs, songez à communiquer auprès de vos élus locaux ! Que ce soit pour faire entendre les revendications liées à votre profession ou pour développer vos marchés, votre voix a de l’importance. Peu importe la question de l’avant ou de l’après élections municipales, la parole des entrepreneurs est essentielle et peut faire bouger les choses. Explications.

Une voix de proximité

Si la voix de l’entrepreneur a de l’importance auprès des élus locaux, c’est avant tout qu’il est, comme tout autre concitoyen de la commune, un électeur en mesure de voter et de faire entendre son mécontentement dans l’urne.

Avant d’en arriver là, les élus locaux accordent pour une grande majorité aux entrepreneurs, acteurs de proximité et de croissance économique sur leur territoire, une écoute attentive concernant leurs problématiques et leurs revendications, qu’elles soient personnelles, c’est-à-dire liées à l’entreprise, ou générales à un corps de métier.

Cette communication auprès de l’élu, qu’il convient de mettre en place et d’entretenir, permet, outre de faire passer des messages, d’être informé en amont sur certains sujets, comme les nouveaux marchés publics par exemple. La commune doit dans ce cadre être considérée comme un prospect ou un client privilégié qu’il faut cajoler, mais également comme un relai d’opinion. En effet, même si votre élu n’a pas de pouvoir sur des décisions prises à des sphères plus hautes de l’Etat, il peut néanmoins relayer votre parole auprès des niveaux supérieurs comme l’Assemblée Nationale ou le Sénat, pour peu qu’il ait également un mandat de Député ou Sénateur ; la double casquette étant un cas très présent qu’il ne faut pas négliger.

Un exercice difficile ? Pas tant que ça !

Bien souvent, les entrepreneurs sont frileux, voire refusent catégoriquement de se confronter à la rencontre avec l’élu local, car le statut de leur interlocuteur leur fait peur. Pourtant, la communication auprès de celui-ci est sensiblement la même qu’envers un prospect ou un client et répond aux mêmes codes. En effet, le processus pour faire passer un message ou une idée peut être comparé, dans ses différentes étapes, à celui de la vente d’un produit ou d’un service. Vous devez donc faire jouer vos talents de commercial.

Dans la phase amont tout d’abord, il convient, comme pour un prospect, de définir le profil de votre élu. Il faut vous renseigner sur votre interlocuteur concernant son parcours, son appartenance et son projet politique, ses réalisations pour la commune et sa profession. Cette dernière est très importante car, s’il est lui-même entrepreneur, il n’entendra pas votre discours de la même façon, et ce d’autant plus selon la nature de son activité.

La deuxième étape de la phase préparatoire consiste à l’élaboration de votre exposé qui doit répondre aux questions suivantes : Mon introduction est-elle ouverte pour permettre à mon interlocuteur d’entrer avec moi dans la réflexion ? Mon argumentaire répond-il à ses attentes et motivations ? Quelles peuvent être ses questions et objections ? Ai-je bien préparé mes réponses ? Ai-je bien mis en exergue les points essentiels ? Ma conclusion prévoit-elle bien des suites, des actions à notre rencontre ?

Après l’écriture de votre exposé, vous pouvez vous entraîner oralement à le présenter, comme pour un examen par exemple, pour le maîtriser sur le bout des doigts, ce qui vous permettra également d’évacuer le surplus de stress qu’il pourrait générer.

Le jour J, il convient, tout comme pour un rendez-vous client ou prospect, de soigner son image visuelle et verbale qui impactera le niveau d’écoute de votre interlocuteur et sera donc déterminante pour la suite de l’entretien. Mettez-vous également en situation d’assurance et d’écoute active. Vous présentez ensuite votre activité puis entrez dans le vif du sujet, en vous assurant toujours de regarder votre interlocuteur dans les yeux pour capter au maximum son attention. N’hésitez pas à insister plusieurs fois sur les messages importants, puis donnez la parole à votre interlocuteur par une question ouverte lui demandant quelles solutions ils pourraient apporter à vos problématiques. Vous entrez alors en phase d’échanges (réponse aux questions, traitement des objections…), qui doit être conclue par des perspectives, qu’ils s’agissent d’actions ou d’un prochain rendez-vous. Dans tous les cas, il est essentiel de respecter les délais impartis pour la rencontre.

Enfin, à l’issue du rendez-vous, il convient d’entretenir la relation, sans toutefois entrer dans la lourdeur. Il peut s’agir par exemple d’adresser vos vœux en début d’année à l’élu, ou de l’inviter à un évènement d’entreprise, portes ouvertes par exemple.

La Direction Financière à temps partagé : les avantages

Depuis quelques années on assiste à l’éclosion d’offres en temps partagé qui impactent désormais des métiers plus hautement qualifiés : DSI, DRH et même DAF. La direction financière en temps partagé existe depuis trois ans et demie et a conquis un grand nombre de Dirigeants de TPE et de PME allant jusqu’à cent personnes voire plus.

Les entreprises concernées

Elle intéresse principalement des Sociétés qui connaissent un développement qui ne permet plus au Chef d’Entreprise de faire face à la charge de travail administrative et financière, sans pour autant avoir les moyens ou la nécessité de recruter en interne.

La Direction Financière à temps partagé s’adresse également à un autre marché : celui des Créateurs d’Entreprise et/ou Sociétés en création qui souhaitent éviter des erreurs et qui ont besoin de bénéficier d’une large palette de conseils au niveau du business plan, du plan de financement, de la recherche de fonds d’amorçage ou encore sur la création d’entreprise du dépôt de marque, des statuts, des pactes d’associés, et sur les aspects fiscaux et sociaux.

Elle concerne aussi les entreprises qui sont en phase de déploiement et/ou de développement commercial pour :

  • Mettre en place un cadre administratif et financier aussi professionnel qu’évolutif ;
  • Préparer une deuxième ou troisième levée de fonds ;
  • Etudier et mettre en place un plan d’intéressement ou de Stock pour toute ou partie des effectifs ;
  • Permettre au Dirigeant de se recentrer sur le développement de son entreprise.

Les autres avantages du DAF

Faire appel à un Daf en temps partagé c’est aussi pour l’entreprise l’assurance d’avoir un conseil dédié avec une vraie expertise et des expériences diversifiées puisqu’il travaille de front avec d’autres entreprises.
Il a aussi l’avantage de ne pas impacter la masse salariale de l’entreprise puisqu’il est considéré comme une charge d’exploitation, etdonc déductible des impôts sur les Sociétés.
C’est avant tout et surtout une formule souple et aménageable :

  • de temps : de quelques heures par mois à quelques jours
  • de prix : tarification à l’heure, à la journée, au forfait

Les qualités nécessaires pour une bonne prestation du DAF

Comme aime à le préciser Eric Bonnet Président d’Haxone, première Société Française dédiée au temps partagé de DAF, le confort de ce mode de fonctionnement repose sur plusieurs points :

  • Un(e) spécialiste dédié(e) et interlocuteur(rice) privilégié(e) du Dirigeant
  • Une souplesse de fonctionnement.
  • Une expertise pointue pluriactivités.
  • Une présence physique dans l’entreprise pour aussi transférer certaines compétences et répondre en temps réel.
  • Un accompagnement du Dirigeant pour l’aider à entretenir et développer des bonnes relations avec son ou ses banquiers, les organismes financiers et/ou d’états, ses investisseurs…
  • Ponctuellement des interventions ciblées et stratégiques pour favoriser des opérations de croissance : fusion, acquisition, cession, levée de fonds, LBO
  • En fonction de la vie de l’entreprise et de l’évolution de son activité un rôle opérationnel pour assurer certains recrutements : comptables, contrôleurs de gestion
  • Quand l’entreprise est arrivée à un certain seuil de maturité le passage de relai passant alors par le recrutement et l’aide à l’intégration d’un RAF ou d’un DAF

Le Profil d’un bon Daf en Temps partagé :

C’est avant tout quelqu’un qui a eu une ou plusieurs expériences significatives dans le monde de l’entreprise et principalement en PME dans des fonctions liées au contrôle de gestion, à la finance ou dans une fonction de Daf ou de Raf et qui souhaite désormais mettre ses compétences au service d’une pluralité de clients et d’une pluralité de secteurs d’activité.

Ce mode de fonctionnement a tendance à se répandre dans le monde de l’entreprise en donnant vraiment au Dirigeant le moyen de dimensionner le rôle et le ou les domaines d’intervention de cet expert et ce de manière évolutive.
Il permet aux Dirigeants de se recentrer sur leur métier et de bénéficier de conseils avisés de profils expérimentés qu’ils n’auraient pas forcément pu se payer !

A quoi ressemblent les nouveaux entrepreneurs ?

Tout comme les marchés en fluctuation constante, le profil des entrepreneurs changent. En ces temps difficiles, on pourrait simplement les caractériser de moroses et d’inquiets face à l’avenir. Cependant, on pourrait également les définir comme des optimistes, au regard des entreprises qui se créent quotidiennement en France. Regard sur les nouveaux entrepreneurs d’aujourd’hui.

Profil morphologique 

Selon les résultats d’enquête d’un grand institut de sondages, qui réalise très régulièrement le portrait des nouveaux entrepreneurs, le visage de ces derniers serait aujourd’hui celui-ci : « Agé d’environ 35 ans, en couple avec des enfants, je suis un homme. Après une dizaine d’années en tant que salarié, j’ai décidé de devenir mon propre patron. De plus, je prends un risque limité, car outre mon expérience professionnelle, j’ai les diplômes supérieurs nécessaires en poche pour créer ou reprendre une entreprise ». 

Une autre enquête récente, publiée par la Chambre de Commerce et d’Industrie, classifie les nouveaux entrepreneurs en deux grandes catégories : le créateur prévoyant, qui correspond au profil dressé par l’étude précitée, et l’autodidacte débrouillard, qui selon les chiffres du sondage ci-dessus, ne représenterait que 7% des créateurs aujourd’hui.

Motivations

Toujours selon les résultats d’enquête de l’institut de sondages, de nombreuses motivations poussent le nouvel entrepreneur à s’installer.

En premier lieu, le futur créateur souhaite relever un défi, celui d’entreprendre pour laisser plus libre cours à sa créativité mais répondre également à son besoin d’innover, et dans un souci de liberté et d’indépendance qu’il ne retrouve pas sous le statut salarié.

Etonnamment, l’aventure humaine et le travail en équipe sont cités parmi les motivations du futur chef d’entreprise, alors que bien souvent il démarre son activité seul.

Autre information intéressante également, moins de la moitié des candidats à la création s’installe avec pour ambition de réussir financièrement, et lui préfère la recherche d’un environnement de travail différent.
Enfin, dans le contexte économique et d’emploi actuel, les résultats font taire les idées reçues puisqu’à peine un tiers se lance dans l’entreprenariat pour trouver une issue professionnelle.

Besoins

Pour revenir aux résultats de l’étude menée par la CCI, celle-ci fait apparaître les besoins des nouveaux entrepreneurs, là encore en distinguant deux grandes thématiques, en termes de développement de l’entreprise, et de compétences et qualités personnelles.

Concernant le développement de l’entreprise, le futur entrepreneur a besoin d’être épaulé dans toutes les missions qui ne sont pas son cœur de métier. Il s’agit des tâches annexes au bon fonctionnement de son activité, comme l’aide administrative pour les déclarations obligatoires par exemple. Aussi, il exprime des inquiétudes en matière de recrutement dès lors qu’il se voit confronter à cette problématique pour la première fois. Par exemple, ses doutes portent sur le moment du recrutement, et bien-sûr le choix du bon candidat.

Concernant le développement personnel, le nouvel entrepreneur est très demandeur en termes de posture. Il souhaite être conseillé et accompagné, et pouvoir échanger avec d’autres professionnels comme lui, sur son expérience notamment, pour pouvoir se rassurer, prendre du recul, et vaincre la solitude qui va avec le statut de dirigeant.

Si différent de l’entrepreneur d’hier ?

Finalement, les nouveaux créateurs d’aujourd’hui ne sont pas si différents de ceux qui se lançaient hier dans l’aventure entrepreneuriale

L’aventure justement, qui permet la créativité et de nouer une autre sorte de relations humaines, est une volonté des deux hommes, tout comme le besoin de liberté. Et concernant les relations, ils regrettent également tous les deux la solitude imposée par leur statut, et revendiquent leur besoin d’échanger.

La principale différence entre ces deux profils d’entrepreneurs réside dans leur niveau de formation, le monde d’hier attirant plus d’autodidactes, et ce certainement car les études étaient moins une prérogative pour se lancer dans un métier.