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20 applications dont vous ne pourrez plus vous séparer pour votre automobile

De nombreux outils et application existent pour vous faciliter la tâche dans de nombreux domaines. Découvrez les 20 applications smartphone indispensables pour votre flotte automobile

Essence Free 

·  Tarif : Gratuit 

· Fonction : Géolocalise les stations essence autour de vous, repère les tarifs pratiqués et assure le suivi des dépenses.

Waze 

· Tarif : Gratuit 

· Fonction : GPS communautaire qui permet de partager en temps réel le trafic, l’état des routes, les accidents et les contrôles de police.

Où me garer

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les places de stationnement disponibles dans les
parkings publics ou sur la voie publique. Mémorise l’emplacement du véhicule
pour le retrouver plus facilement. 

Neoparking 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Compare les tarifs de parkings publics en fonction de votre durée de stationnement et permet de réserver sa place en bénéficiant de prix réduits. 

AroundMe

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Identifie votre position pour vous permettre de trouver à proximité les services dont vous avez besoin (distributeur de billet, cinéma, restaurant, hôpital).

Koi tu risk 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Liste l’ensemble des infractions routières ainsi que les risques encourus (amendes, retraits de points). Elle permet aussi d’accéder à des conseils juridiques.

Road Trip

· Tarif : Payant

– Fonction : Répertorie l’historique de votre véhicule depuis les frais d’entretien, jusqu’au kilométrage du véhicule. Permet des rappels de maintenance et le suivi de l’utilisation des pneus.

Honk

· Tarif : Payant

· Fonction : Garde en mémoire l’emplacement de votre véhicule, la durée de vos stationnements et vous alerte quand votre parcomètre est bientôt terminé. 

iPermis 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Permet de consulter vos points de permis de conduire et vous donne des conseils pour les sauvegarder. 

Drive Me 2 

· Tarif : Payant

· Fonction : Fournit en temps réel des informations sur votre conduite : vitesse moyenne, vitesse instantanée, coût du

GoingAbroad

  • Tarif : Gratuit  
  • Fonction : Présente les règles importantes de la sécurité routière dans les pays européens et en fait le classement par pays et par thématiques.

iHandy Flashlight Pro

  • Tarif : Payant
  • Fonction : Vous fait bénéficier de plus de 60 faisceaux lumineux. Certains sont de véritables gadgets quand d’autres (faisceaux lumineux de précision) vous aideront en cas de problème sur la route de nuit. 

Réflexe Accident

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose des bons conseils et les informations nécessaires en cas d’accident sur la route (remplir un constat, numéros d’urgence, position GPS de l’accident…).

ChargeMap 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Informe sur les points de charge publics disponibles pour votre voiture électrique, les plus proches du lieu où vous vous situez.

Wi-Fi Finder

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les points Wi-Fi les plus proches du lieu où vous êtes, pour rester connecté même quand vous êtes en déplacement.

CarTune Music Player

· Tarif : Payant

· Fonction : Combine une reconnaissance vocale et une lecture simplifiée de votre playlist musicale grâce à une gestuelle intuitive pour que vous gardiez un parfait contrôle de votre conduite.

ViaMichelin

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Fournit l’ensemble des conditions de circulation en temps réel et note les imprévus de la route et les radars fixes.

MappyGPS

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Embarque dans votre smartphone les fonctionnalités d’un GPS, des cartes mais aussi les annuaires PagesJaunes et PagesBlanches.

La Chaine Météo

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Indique les prévisions régionales et nationales en matière de météo, jusqu’à 12 jours et propose d’envoyer chaque soir celles du lendemain.

Geco

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose, grâce à des capteurs de votre smartphone, des pistes d’amélioration de votre conduite en ville pour que vous adoptiez un style plus économe et écologique.

Quels sont les patrons les plus influents sur Twitter ?

Des patrons français ont intégré le dernier classement #DigitalBosses recensant les dirigeants d’entreprise les plus influents sur Twitter. L’étude a été réalisée en collaboration avec TBWA Corporate et Spotter, et publiée en janvier 2015.

Top 5 des patrons français qui cartonnent sur Twitter

À l’instar de la précédente édition, Mathieu Gallet se hisse à la première place des patrons français les plus influents sur le réseau social Twitter avec 21 tweets originaux, 575 mentions et 2 117 retweets à l’intention d’une communauté médiatique très influente dont France Info et iTélé. Sans surprise, Dominique Delport d’Havas Media garde la seconde place du classement avec 197 tweets originaux pour 4 418 retweets et 564 mentions. Denis Olivennes de Lagardère Active vient compléter le podium avec ses 18 tweets originaux, 1 500 retweets et 271 mentions. La quatrième place de ce classement revient ensuite à Pascal Nègre d’Universal Music qui a perdu une place avec 64 tweets, 758 mentions et 3 058 retweets. Laurence Parisot à la tête d’IFOP clôt le top 5 des patrons français influents sur Twitter avec 166 tweets relayés 3 064 fois et 1 684 mentions.

La présence sur Twitter : quels intérêts ?

La présence sur Twitter présente une multitude d’opportunités pour les dirigeants des entreprises françaises. En plus d’être une excellente plateforme pour s’exprimer librement, et ce, dans un langage plus détendu que celui utilisé dans les communiqués de presse officiels, Twitter leur offre également l’avantage d’écouter directement leurs clients. Il s’agit même d’un moyen efficace pour ces dirigeants de communiquer en toute simplicité avec les journalistes.

Une créatrice qui sait rebondir

Parcours d’Isabelle Masson-Mandonnaud, fondatrice de Parfumaré 

A 22 ans, à la sortie de ses études, Isabelle Masson-Mandonnaud commence son aventure professionnelle en entrant à Shop 8, petite chaîne de parfumerie libre-service créée par Dominique Mandonnaud, qui deviendra plus tard son mari. « L’entrepreneuriat a commencé avec cette rencontre. J’admirais Dominique et sa manière de manager, il m’a donné le goût de l’aventure, m’a appris à aimer le fait d’embarquer des gens dans une histoire et d’être heureux ensemble autour d’un projet. C’est ce qui m’anime aujourd’hui », explique l’intéressée. Ensemble, ils décident d’affiner le concept et de reprendre une chaîne de parfumerie plus grande, afin d’en faire une force française commercialisée à l’international. Ils rachètent au groupe britannique Boots sa chaîne de magasins Sephora, la mélangent intelligemment avec le concept de Shop 8 et développent le tout jusqu’à en faire l’enseigne qui a été vendue à LVMH.

En 2004, le couple se sépare, « une passion dévorée par le travail » avoue Isabelle. Un an plus tard, la créatrice se lance un nouveau défi. Elle crée « Crazy Libellule and the poppies ». à travers ce concept, elle souhaite imaginer des parfums solides présentés en stick pour entrer dans le sac des femmes. Le concept cartonne. En deux ans, la marque devient numéro 1 du parfum en stick et obtient quatre prix de l’innovation. Malheureusement, en 2010, l’entreprise explose en vol en raison d’un conflit d’actionnaires.

Quelques mois plus tard, elle décide de recommencer. Remonter le même concept mais aller plus loin pour lier le parfum au soin, voilà l’idée directrice. Après un temps de mise au point et de tests, Isabelle est seule à la tête de l’entreprise, dont le nom devient « Parfumaré ». Elle réalise 200 000 € de chiffres d’affaires en 2013, signe ses packs de la griffe « Made In France » et développe le business à l’international, en Asie, en Angleterre… Mais seule, elle n’y croit pas.« Je voulais m’associer car l’entreprise de demain est à mon sens collaborative », explique-t-elle. « Bien sûr, on peut porter un concept. Mais il faut le partager et y mettre des richesses humaines ». C’est pourquoi fin avril 2014 naît une nouvelle association avec le groupe Français Upperside.

Cet accord donne un grand coup de boost à la créatrice, qui entend désormais faire vivre son concept dans un magasin à Paris. « Nous avons pratiquement trouvé l’endroit pour mettre en valeur le concept Sabé Masson, Perfumes et Soft Perfumes. Il s’agira d’un showroom parisien dont l’ouverture est prévue pour mars, puis nous élargirons totalement au public fin 2015. » Les perspectives paraissent réjouissantes pour celle qui a fait du parfum un véritable art de vivre. « Le parfum, c’est l’odeur du monde », illustre-t-elle. « Un monde sans couleurs serait éminemment triste, mais un monde sans odeurs serait privé d’émotions ». Que rajouter de plus ?

L’État protège les PME du piratage informatique

À l’instar des grandes enseignes, les PME françaises s’exposent également au cyberpiratage. Pour offrir une meilleure protection contre le piratage, l’État propose aux PME un guide de cybersécurité avec des recommandations fiables et efficaces. 

Un guide complet pour les PME

En collaboration avec l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) via la Commission Économie Numérique, la CGPME (Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises) propose aux PME un guide de sécurité internet nommé « Guide des bonnes pratiques de l’informatique ». Afin de se protéger des hackers, ce petit ouvrage d’une quarantaine de pages regroupe une douzaine de conseils pratiques permettant à ces entreprises de manipuler leurs données informatiques en toute sécurité. La brochure aborde, entre autres, le bon choix du mot de passe, la mise à jour régulière des logiciels utilisés, les sauvegardes de données, l’utilisation sécurisée de la boîte de messagerie ainsi que le téléchargement des programmes à effectuer sur les sites officiels des éditeurs.

La cybersécurité, une priorité

La CGPME et l’ANSSI estiment aujourd’hui que la cybersécurité est devenue une priorité pour les entreprises. Il s’agit avant tout d’un facteur de productivité et de croissance à ne pas négliger. En effet, quelques petites malveillances dans la manipulation de ses données informatiques combinées à des systèmes d’espionnage d’ordre économique et industrielles suffisent à remettre en cause l’image et la pérennité de l’entreprise. De tels désastres engendreraient inévitablement une perte de sa clientèle. Il faut également savoir que les mesures prises par ces deux institutions visent aussi à éviter que les données informatiques des PME circulent en dehors du territoire français.

Les 30 ans du .com

Le « .com » a fait partie des premiers domaines de premier niveau ou TLD (Top Level Domain) mis en place en 1985. Depuis 30 ans, l’extension n’a cessé d’évoluer, et internet avec elle. Focus.

Dans notre monde hyper connecté, le site web d’une entreprise est bien souvent le premier contact possible. Le nom de domaine du site est porteur de son identité, de son image. Elle donne des informations sur son activité, sa localisation géographique…

Mars 1985, création du premier « .com »

C’est pour un constructeur d’ordinateur, Symbolics Inc., que le premier domaine « .com » a été développé en 1985. Avant cela, l’Internet était principalement destiné aux universités qui utilisaient le réseau pour leurs recherches. Le nombre d’utilisateurs particuliers ou institutionnels augmentant, il devenait important de simplifier la façon d’accéder aux informations, de façon à ce que l’Internet ne soit plus réservé uniquement à des connaisseurs.

Si aujourd’hui, plus de 100 millions de « .com » sont enregistrés, certains noms de domaines bien connus ont ainsi été créés il y a presque 30 ans : « xerox.com » (9 janvier 1986), « hp.com » (3 mars 1986), « ibm.com » (19 mars 1986), « adobe.com » (17 novembre 1986) ou encore « apple.com » (19 février 1987).

Un domaine originellement destiné aux activités commerciales

L’extension « .com » correspond à l’abréviation de « commercial » et était destiné avant tout aux entités commerciales, sociétés et entreprises. A l’origine, le « .com » était administré par le ministère de la Défense américain, puis par la Fondation Nationale pour la Science. Pour la première fois en 1995, la création d’un nouveau nom de domaine a été facturée.L’extension « .com » correspond à l’abréviation de « commercial » et était destiné avant tout aux entités commerciales, sociétés et entreprises. A l’origine, le « .com » était administré par le ministère de la Défense américain, puis par la Fondation Nationale pour la Science. Pour la première fois en 1995, la création d’un nouveau nom de domaine a été facturée.

Une référence mondiale

Aujourd’hui, c’est la société Verisign qui gère le « .com », qui est devenu la référence mondiale des noms de domaine. Il est difficile pour une société qui souhaite se développer de ne pas posséder son domaine en « .com ». Les 500 plus grosses sociétés dans le monde le possèdent naturellement, et toute entreprise souhaitant étendre son activité en ligne se doit de posséder son nom de domaine en « .com » afin de se rendre le plus visible possible sur le web.

Encore de nombreux domaines disponibles

Bien que la croissance du web suive une courbe exponentielle depuis des années, des millions et des millions de noms de domaine « .com » sont encore inoccupés. Il existe tellement de combinaisons possibles que 95% des noms composés de 5 caractères et plus de 99% de ceux de 6 caractères demeurent disponibles. De plus, dans la mesure où un nom de domaine est loué auprès d’un bureau d’enregistrement et doit être renouvelé régulièrement, on observe tous les jours que des noms de domaine précédemment enregistrés ne sont pas renouvelés et redeviennent inactifs. Le « .com » a donc encore de beaux jours devant lui !

Pour en savoir plus sur comment lancer un site web en .com, rendez-vous sur le site votre-idee.com de Verisign ou vous trouverez une mine d’information sur comment lancer votre présence en ligne : http://goo.gl/oegpnW

Surfer sur la mobilité des applications mobiles

50 % des Français préféreraient perdre leur portefeuille plutôt que leur téléphone mobile, selon une étude de Mc Afee. Surfer sur la mobilité des applications mobiles

Preuve s’il doit en être que cet objet-compagnon est devenu un familier du quotidien et dans bien des domaines : communications personnelles et professionnelles, « gamification », Web-mobile, achat en ligne, applications et services, recherche d’informations…Le smartphone, qui équipe un Français sur deux, a, depuis peu, dépassé la télévision pour devenir le premier écran, utilisé durant la journée avec une moyenne de 2h30. Le mobile est devenu l’enjeu d’investissement et de business pour les marques et les entreprises. Une stratégie à prendre avec des pincettes ! Car si le smartphone est le premier objet connecté du quotidien, il n’en est pas moins le plus intime…

La marque dans la poche

Vous vous souvenez du Renard dans le Petit Prince ? Pour être apprivoisé, l’animal demande au garçon aux cheveux d’or de venir s’asseoir patiemment chaque jour, près de lui. « Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. (….) Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près » explique le Renard. En créant des rites, les deux connaissances vont tisser des liens et s’apprivoiser, devenir amis. Dans une autre mesure, les applications mobiles transposent ces liens. Quelle entreprise n’a jamais rêvé d’être au plus près de son client, de l’« apprivoiser », le toucher ? Constamment en veille dans sa poche ou dans son sac ? C’est ce qu’apportent les applications mobiles, qui, si elles sont téléchargées, conduisent à une présence en douceur sur un écran consulté près de 150 fois par jour, soit environ 10 fois par heure ! Un peu comme un « Petit prince » sagement assis et disponible sitôt que le Renard sera mis en confiance. Vous saisissez ? La fidélisation sur le mobile passe par la connaissance et par l’affection. Chacune des deux parties vit ce qu’elle a à vivre. Le mobinaute n’utilise pas son application tous les jours mais il sait où trouver l’information dès qu’il en a besoin. L’application, elle, est indépendante. Elle produit des notifications et des mises à jour. Les plus satisfaits apprécieront et auront même l’occasion d’en parler autour d’eux. Attention, toutefois. Les utilisateurs des applications ne perdent pas de temps à s’apitoyer et sont toujours sans demi-mesure dans leur choix. Si un service ou la qualité d’une application ne leur convient pas, un simple nettoyage d’écran suffit à la supprimer. Et si les mobinautes satisfaits auront, en règle générale, une bonne image de la marque, ils imputeront toujours à son éditeur les désagréments techniques qui peuvent se produire.

Comment créer son application mobile ? 

Créer son application est donc un enjeu de visibilité incroyable pour les entreprises et peut conduire à de beaux succès si le bouche-à-oreille est au rendez-vous. Une application n’est pas invasive car elle part d’une démarche volontaire : l’utilisateur a choisi de la télécharger. La première chose à saisir est qu’un mobinaute ne surfe pas sur le web de la même manière qu’un internaute devant son ordinateur. Soit il recherche une information utile dans un laps de temps restreint, soit il attend de son application une interface ludique et une liste de conseils. Comme dans toute action de communication, avant de vous lancer dans la création d’une application, vous devrez déterminer à qui vous vous adressez. En fonction de votre cible et en fonction du terminal utilisé (iPhone, Android, tablette ou smartphone…), vous pourrez définir le contenu que vous allez offrir. Réfléchissez également aux raisons qui vous poussent à lancer une application, ce qui vous donnera un cap. Est-ce pour contacter de nouveaux clients ? Pour avoir une visibilité plus large ? Pour augmenter votre chiffre d’affaires ? Ce qui fait la différence entre votre application et celle d’une autre entreprise sera son originalité. Vous devez à tout prix présenter une exclusivité et un contenu de qualité !  En intégrant dans les fonctionnalités de votre application mobile, les réseaux sociaux, la prise de photographie ou la géolocalisation, les mobinautes satisfaits seront vos premiers relais. S’il vous est possible de créer en ligne certaines applications simples, vous devrez faire appel à un développeur si vous souhaitez mettre au point une application sur-mesure et complexe. Le domaine du développement d’application est un sujet vaste en constante évolution et des professionnels seront les plus à même de mettre au point la superbe idée que vous avez en tête. Avant de distribuer votre application officiellement, vous devrez toujours prendre le temps de la tester suivant le smartphone que vous utilisez et de recueillir les avis d’utilisateurs. N’attendez pas de gagner de l’argent grâce à votre application mobile. 90 % des applications sont, à l’heure actuelle, gratuites et les mobinautes ne paieront pas pour quelque chose qu’ils pourront trouver ailleurs sans débourser d’argent.

Le casque qui a plus d’un tour dans le sac

C’est une nouvelle aventure pour moi ! Ma vie a changé du tout au tout avec ce projet qui devient réalité. » explique Najette Derni, médaille d’argent du concours Lépine 2014. 

Depuis un an, elle travaille sur la conception d’un casque adaptable en fonction de sa tenue vestimentaire grâce à la partie supérieure amovible, qu’elle appelle skin. L’autre particularité est qu’en quelques gestes, le casque se transforme en un accessoire de mode, un sac à main de type bandoulière ou sac-à-dos. Le prototype est en passe d’être commercialisé ce mois-ci sous le nom de « Yin Yang ». Najette a également élaboré deux autres modèles de casques non adaptables « Melomania » et « Troye » qui misent sur l’esprit vintage et l’édition limitée.

Najette n’a pas le profil d’entrepreneur type. Le nom de sa marque, Caméléon et moi, définit bien le parcours éclectique de la jeune femme. Après des études littéraires spécialisées dans l’art primitif, elle intègre une galerie d’art parisienne. Elle cumule également des expériences dans le merchandising. Elle reprend par la suite des études au sein d’une école d’infographie en multimédia et webdesign et se lance en freelance en tant que graphiste.

Sensible à l’esthétisme, elle admet, dans un éclat de rire, avoir un péché mignon : la collection des sacs de la marque Longchamp. « J’en ai une quantité… Je n’ose même pas vous dire le nombre ! ». Anecdotique ? Pas sûr car l’ensemble de ces expériences fournit le terreau de l’invention de ce nouveau modèle de casque caméléon. « Curieux de voir que dans ma vie, toutes mes actions s’emboitent les unes aux autres et m’ont donné les outils pour réaliser ce casque-sac. » admet Najette.

C’est lors d’un trajet chaotique en scooter en Inde qu’elle a l’idée de cet objet hybride. Pour mettre sur pied son projet, Najette rend visite à plusieurs usines et manufactures, compare les savoir-faire, les tarifs et le degré d’implication des boîtes. La distinction d’une médaille d’argent reçue au concours Lépine en mai dernier à l’occasion de la Foire internationale de Paris, insuffle un nouveau souffle au projet. Surtout que son prix est médiatisé par la presse nationale : Radio France, M6, Le Parisien… L’entrepreneure s’entoure de professionnels en Inde pour développer à la fois le côté technique et le côté design, en étroite collaboration avec un atelier de maroquinier. « J’ai énormément appris grâce à leurs différentes expériences, dans des domaines de compétences complémentaires. Ces deux sociétés croient très fort en mon projet. ». Un accompagnement d’autant plus utile que la jeune femme se finance grâce à de la « love money » et des fonds propres. Après l’étape de l’homologation des casques, la production est lancée début juillet. Bonne route !

5 sites internet qui vont changer l’immobilier

Voici cinq sites internet qui vont révolutionner et changer le secteur de l’immobilier traditionnel.

somhome.com

Court-circuite les agences immobilières pour mettre en relation propriétaires et locataires selon un algorithme qui permet de rapprocher les affinités. Un gain de temps pour les deux parties qui ne répondent qu’aux offres ou demandes qui leur correspondent.

CosmopolitHome.com 

Mise sur le concept du « nightswapping », un troc de nuits. En tant qu’hôte, vous proposez gratuitement un couchage dans votre appartement, ce qui vous fait gagner des « nuits » pour voyager et être hébergé à votre tour.

Parkadom.com 

Permet de sous-louer votre place de parking pour une durée d’une journée à plusieurs mois. Un échange de bons procédés pour le propriétaire qui arrondit ses revenus et pour le conducteur qui dispose d’une place lui étant réservée pour ses déplacements.

Jepartagemonjardin.fr 

Met en relation les terrains inutilisés et les jardiniers en manque de potager. Un moyen de cultiver autant un petit lopin de terre que les relations entre voisins et de se mettre au vert même en habitant dans un appartement côté rue.

Kelquartier.com

Synthétise les données locales recueillies grâce aux sources de l’administration publique pour mettre en évidence les informations nécessaires à la connaissance d’un quartier. Cartes, photos, actualités, écoles… Vous saurez tout avant l’achat !

Tradelab, l’innovation publicitaire sur Internet, interview de Charles Gros

C’est lors d’un tour du monde avec sa femme et ses enfants en 2010 que Charles Gros entend parler pour la première fois aux états-Unis de Trading Desk technologique et de RTB (« Real time Bidding »), achat d’espace publicitaire sur Internet aux enchères. 

Issu du monde de la régie, Charles Gros se lance dans l’aventure en montant sa société, Tradelab avec l’un de ses anciens clients, Yohann Dupasquier. Tout s’enchaîne très vite. La start-up est immatriculée en avril 2011, l’équipe recrute des traders et des informaticiens spécialisés dans la Data.
Aujourd’hui, Tradelab est leader français indépendant de l’achat média en RTB avec une croissance de 130 % sur la période 2012-2013 et l’équipe compte une cinquantaine de personnes.

Soutenue par Bpifrance, l’entreprise à forte croissance a gagné le Pass French Tech en mars dernier qui lui donne accès à un accompagnement individualisé et coordonné par les partenaires de Bpifrance. « Le secteur du digital est générateur d’emplois » explique Charles Gros. « être aidé par Bpifrance est très encourageant. Le Pass nous permet d’accéder à des conseils organisationnels et un accompagnement plus ciblé. Nous sommes encore une jeune entreprise ».

Si Tradelab prévoit d’ouvrir un bureau aux états-Unis en 2015, pour l’instant, elle se concentre sur deux marchés à fort potentiel de développement : l’Italie et la Turquie, en espérant y acquérir rapidement, là aussi, une place de leader.

Sur quels critères choisir sa banque

L’accompagnement de votre banquier est essentiel dans votre parcours entrepreneurial. Au-delà des caractéristiques générales qui incombent à l’ouverture d’un compte professionnel, des critères spécifiques sont à prendre en compte suivant la nature et la portée de votre projet.

Choisir une banque qui répond à vos besoins d’entrepreneurs est un bon début pour démarrer votre activité professionnelle. Proximité relationnelle et géographique, prix des services, horaires d’ouverture des agences… sont des points à ne pas négliger. Suivant votre statut ou votre activité, d’autres détails peuvent cependant faire pencher la balance. 

Si vous êtes artisan-commerçant

Aujourd’hui, la carte de paiement correspond au tiers de la consommation courante. Plus sûre et plus rapide que les chèques et les espèces, la carte offre une garantie de paiement via un terminal, appelé TPE : Terminal de Paiement Electronique, relié à une ligne téléphonique en contact sécurisé avec les centres bancaires grâce aux lignes classiques ou à une box ADSL sécurisée. Pour en disposer, vous devez souscrire un « contrat d’acceptation de paiement par carte » auprès des banques. Certaines d’entre elles vous proposent des offres « packs » comprenant des contrats de location de l’appareil, un service de maintenance et d’assistance. Outre le coût du TPE, vous devrez vous acquitter d’une commission à chaque paiement réalisé, cette facturation est liée à votre volume d’activité. La banque, elle de son coté, s’acquitte d’une commission minimum fixe sur chaque paiement par carte, calculée par rapport à la fraude générale constatée. Enquérez-vous des frais demandés par votre banque car l’utilisation d’un TPE sera pour vous quotidienne ! 

Si vous lancez votre e-Commerce

Malgré une concurrence féroce, certaines boutiques en ligne trouvent des créneaux pour s’insérer sur le web et attirer à eux des clients en proposant de nouveaux services. Mettre en œuvre un paiement sécurisé sur le site peut se faire tout d’abord via des prestataires qui ne demandent pas de contrat de vente à distance (VAD) tant que le volume des ventes est peu important. Au-delà, mettre en place un tel système, qui correspond à un terminal de paiement électronique virtuel, est une garantie du sérieux de l’entreprise. Certaines banques (heureusement pas toutes) sont réfractaires à la mise en place de ce type de contrat, qui peut apparaître à la fois risqué et marginal, surtout si vous êtes un jeune entrepreneur qui monte sa première boîte. Si vous choisissez de comparer plusieurs offres de banques dans le domaine de l’e-commerce, ne fixez pas votre attention uniquement sur les prix mais aussi les fonctionnalités et les évolutions proposées (personnalisation de la page de paiement, détection des fraudes, paiement depuis l’international…)

Si vous bougez à l’international 

Le développement de votre entreprise à l’étranger nécessite des solutions bancaires particulières dont vous devez parler avec votre banquier. Ouverture de comptes, obtention de cartes bancaires pour vos collaborateurs, virements internationaux, rapatriement des fonds ou assistance juridique et spécifique au pays… sont autant de sujets sur lesquels vous devez faire le point. Certaines banques françaises de dimension internationale apparaissent comme incontournables pour l’implantation de votre entreprise à l’étranger. Si elles simplifient le plus souvent les démarches, elles connaissent toutefois un turnover plus important au niveau des conseillers. Vous vous apprêtez à être mobile ? Faites le point, avant de choisir, sur l’accompagnement personnel qui vous est proposé. Certaines proposent également des conseils personnalisés pour vous aider à développer vos contacts à l’étranger et vous aider à exporter sur les marchés ciblés.

Si vous êtes auto-entrepreneur

A la différence des sociétés (SAS, SARL…), les entreprises individuelles, dont dépend le statut d’auto-entrepreneur, n’ont pas l’obligation d’ouvrir un compte courant professionnel au moment de leur création. Avoir un compte dédié à son auto-entreprise est plus que conseillé pour des raisons de clarté notamment pour faire la différence avec les opérations personnelles. Certaines banques proposent des offres bancaires à destination des auto-entrepreneurs avec des options intéressantes concernant les facilités de caisse ou les paiements différés. Vous devrez négocier avec votre banquier sur la possibilité d’ajouter le nom commercial au nom propre sur un compte bancaire. Cela vous permettra d’encaisser des chèques au nom de l’entreprise.

Si vous reprenez une activité

Lors d’une reprise d’activité, les banquiers ont en général un regard attentif et attendent du repreneur un dossier solide afin d’accorder un prêt. Entourez-vous de l’expertise d’un professionnel autre que votre banquier qui pourra vous aider à rédiger votre dossier. Sachez cependant que les banques préfèrent financer les activités qu’elles connaissent. Lorsque vous reprenez une activité, utiliser la banque du cédant peut être une bonne idée. Elle pourra entre autre vous aider à financer votre dette d’acquisition.