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Itinéraire d’une passionnée par l’humain, interview de Beya Zerguine

Parcours de Beya Zerguine, fondatrice de « Beya conseille, Recrutement et Transition professionnelle »

En parallèle de sa formation universitaire en gestion des entreprises option Management et Commerce, Beya Zerguine travaille comme hôtesse de caisse dans une grande surface pour financer ses études. Cet événement marquant lui fait découvrir l’univers des ressources humaines en étant sollicitée par un de ses supérieurs sur un projet visant à améliorer les conditions des salariés en caisse, leur planning et la cohésion de l’équipe« C’est comme ça que cela a commencé … » explique la jeune femme, qui, après sa maîtrise, va travailler 13 ans en agences d’intérim (Adia, Adecco, Crit intérim…).

Pourtant, depuis les bancs de l’université, Beya le sait. Elle n’est pas faite pour le salariat et rêve de pouvoir organiser seule son propre planning.
Elle mûrit depuis les années 2000 le projet de créer son entreprise et, en tant qu’autodidacte, utilise les contrats de travail qu’elle obtient, pour se former à des postes qu’elle ne maîtrise pas, comme le commercial. Elle décide de faire du télémarketing et de la gestion de grands comptes avant de postuler chez Randstad pour s’occuper du recrutement. En 2008, alors que l’année est morose et les résultats médiocres pour l’ensemble du groupe, Beya obtient d’excellents résultats : +11 % seule par rapport à l’objectif à réaliser sur l’année par binôme ! En 2009, elle profite d’un plan social pour quitter volontairement la société et avec des fonds propres, monte son auto-entreprise. 

En créant « Beya conseille, Recrutement et Transitio professionnelle », la jeune entrepreneure devient consultante indépendante, avec une liberté de mouvement et de planning élevée. Conseillère en technique de recherche d’emploi, elle anime des sessions organisées par le Pôle Emploi. C’est à cette occasion qu’elle est touchée par l’état « dépressif » des participants. Une raison qu’elle lie au manque de connaissance de sa propre personnalité. « La société nous impose des codes qui automatiquement nous formatent… Il faut écrire un CV suivant telles normes, serrer la main de cette manière, s’habiller comme ceci. Au final, les personnes ne réfléchissent plus en termes d’individualité et se cachent à eux-mêmes leur potentiel » analyse la jeune femme que l’expérience a forgée.

Aujourd’hui, si Beya a un regret, c’est de ne pas s’être lancée plus tôt.
En 2013, elle décide de changer de statut. Elle ferme son auto-entreprise et décide de réorienter et développer son activité. Elle transforme sa société en cabinet, avec pour cadre juridique, l’association. Son objectif est l’accompagnement, que ce soit des personnes sans emploi, des porteurs de projets, des entrepreneurs en recrutement, pour que chacun puisse cibler ses valeurs et fasse correspondre ses motivations à sa personnalité.

Ces outils qui peuvent améliorer le quotidien en voiture

Les constructeurs se battent pour innover et rendre les voyages en voiture de moins en moins pénibles. Petit zoom sur ces « options » que vous pouvez mettre en place et qui faciliteront la vie de vos salariés et qui peuvent améliorer le quotidien en voiture.

La direction assistée

Il semble aujourd’hui impensable de ne pas l’avoir ! Surtout quand on imagine être amené à passer des heures à conduire et devoir être obligé de tourner avec toute la conviction du monde son volant. Et pourtant… Vous ne l’oublieriez pas pour votre voiture, ne l’oubliez pas pour vos salariés.

La climatisation 

Quand il fait trop chaud ou trop froid, il devient très difficile de supporter des longs (ou courts) trajets. Devenue une option de base de quasiment tous les véhicules, la climatisation reste une des options essentielles si vous ne  désirez pas avoir des salariés qui ne travaillent qu’au printemps.

Le téléphone intégré

Vous avez du retard ou vous êtes coincé dans un bouchon, quoi de plus pratique qu’un téléphone intégré à votre voiture. Il permet d’éviter le mauvais réflexe de prendre en main son téléphone portable (et une amende) et renforce la sécurité du conducteur. Le risque d’accident s’en trouve ainsi diminué.

L’assistance au stationnement

Cette nouvelle option inventée dans les années 2000 est apparue dans nos véhicules récemment. Si l’idée de voir se garer sa voiture toute seule peut séduire, le système demande, en réalité, un minimum de patience. La voiture se gare seule une fois l’emplacement confirmé et la manœuvre se fait à faible à allure.

Le GPS

Il est désormais partout dans nos smarphones mais peut-être surtout dans toutes les voitures. Pratique pour trouver le chemin le plus court, connaître l’état de la circulation, calculer l’heure d’arrivée et éviter le stress de ne pas trouver la destination. Mieux, il vous informe souvent des limitations de vitesse et vous évite de payer des amendes. Il s’agit d’une des premières options à mettre en place.

Le régulateur de vitesse

Très utile sur les trajets longues distances, il vous évite également de dépasser les limites autorisées et diminue considérablement la fatigue des jambes lors d’une conduite. Il évite de regarder toutes les deux minutes son compteur et de se demander sans cesse si vous n’êtes pas en train de dépasser la limite de vitesse autorisée. Très utile pour éviter la perte de points à vos salariés.

Commandes de radio au volant

Les trajets peuvent vite s’avérer ennuyeux pour vos salariés et un peu de musique peut égayer leur quotidien. Si l’autoradio est devenu monnaie courante, la possibilité de pouvoir commander le volume du son ou le changement de piste est toujours apprécié.

Capteur de présence dans l’angle mort

Le faisceau du capteur de présence balaie la zone que l’on appelle « angle mort » mais qui n’exclut pas de contrôler son rétroviseur.

Caméra de recul

Il est toujours très désagréable de renverser un chat, un chien ou un tricycle abandonné…

Vers un assouplissement du travail dominical ?

Lors de leur travail en commission sur la loi Macron, les sénateurs ont supprimé l’obligation d’obtenir un accord syndical pour ouvrir les commerces alimentaires de détail et les TPE le dimanche. Le débat sur l’association du travail dominical en France à pris de l’ampleur ces dernières années, notamment face à l’évolution des habitudes de consommation et à la concurrence croissante des commerces en ligne.

Les changements souhaités par les sénateurs

Les sénateurs se sont penchés sur la loi Macron et ses quelques 500 amendements dans le cadre de la commission spéciale qui a conduit à un texte fortement différent de celui adopté par les députés. Alors que l’Assemblée Nationale avait admis l’obligation d’un accord social et la fixation de compensations salariales pour les ouvertures dominicales des commerces, les sénateurs sont revenus sur ces deux mesures. Ces assouplissements doivent notamment permettre l’ouverture des grands magasins du boulevard Haussmann à Paris mais aussi éviter des fermetures massives de petits commerces alimentaires actuellement ouverts le dimanche matin. 

Quel avenir pour la loi Macron ?

Quoi qu’il en soit, c’est l’Assemblée Nationale qui aura le dernier mot en cas de désaccord sur le contenu de la loi. Le travail dominical constitue un des aspects de celle-ci sur lequel le gouvernement aimerait faire évoluer sa position première. Les amendements des sénateurs pourraient donc être retenus lors de la navette parlementaire. Ainsi, même en l’absence d’accord collectif avec les syndicats, les commerces situés dans les zones touristiques, dans les zones touristiques internationales ou dans les zones commerciales, pourraient ouvrir le dimanche. La loi Macron sera examinée en séance plénière à partir du 7 avril. Affaire à suivre…

Un nouveau contrat de travail en préparation ?

Le gouvernement annonce travailler sur la mise en place d’un nouveau contrat de travail. Ce dernier vise à simplifier les procédures de licenciement et mieux protéger les employeurs, ce qui devrait contenter le patronat qui craint de se retrouver facilement devant les prud’hommes en cas de procédure de licenciement engagée.

Les entreprises concernées par cette mesure

Ce nouveau contrat de travail s’appliquerait essentiellement dans les petites et moyennes entreprises (PME) et les très petites entreprises (TPE). Il permettrait ainsi de favoriser l’embauche puisque facilitant le licenciement. Désormais, un employeur pourrait licencier son salarié pour la seule raison que les résultats économiques ne sont pas au rendez-vous.

Le contenu de ce nouveau contrat de travail

Il s’agit d’un contrat intermédiaire entre un CDD et un CDI qui permettrait de licencier plus facilement pendant 3 ans le salarié pour des raisons économiques. Ce salarié ne pourrait alors pas contester son licenciement devant le Conseil des Prud’hommes. De nombreux patrons expliquent en effet qu’ils hésitent à embaucher de peur de se retrouver coincés dans une situation problématique avec un salarié, tout en étant dans l’impossibilité de le licencier. La mise en place de ce contrat donnerait donc plus de facilité et de souplesse à l’activité des entreprises.

Orfeo, partenaire logiciel du monde du spectacle

Parcours de Thomas Petillon, fondateur d’Orfeo

C’est en 2012 que Thomas Petillon décide de lier sa passion à ses compétences d’ingénieur en informatique. Partant du constat que le monde du spectacle vivant n’est pas suffisamment équipé avec des logiciels adaptés, il crée Orfeo, un outil de gestion en ligne dédié aux organisateurs qui souhaitent mieux programmer leurs productions théâtrales, de concerts ou de festivals.

Dans le cadre de son développement, l’entreprise obtient deux aides successives de la Bpifrance. « En juin 2013, nous avons bénéficié de l’Aide à la Maturation de Projet Innovant (AIMA) » explique Thomas Petillon. « Il s’agit d’une subvention de 25 000 € qui nous a permis de développer une version plus aboutie de notre produit. Ce financement a apporté de la crédibilité à l’entreprise car il est arrivé à un moment critique où nous n’avions pas suffisamment de preuve pour démontrer la force de notre concept commercial. Grâce à cet apport, on nous a regardés d’un œil différent sur le marché. ».

Dans la foulée, la société rejoint l’incubateur culturel Creatis en plein cœur de Paris et obtient en mars 2014 une seconde aide de Bpifrance : PIA (Paris Innovation Amorçage), dont le montant s’élève à 30 000 €. « Ce deuxième coup de pouce financier nous a permis de préparer la montée en puissance de l’entreprise » précise Thomas Petillon. « Nous avons également été lauréats du réseau entreprendre début 2014, ce qui nous a permis d’accéder à un prêt d’honneur et d’obtenir plus facilement des financements bancaires. ». 2014, un bon cru pour Orfeo ? Assurément.

Polabox, le photomaton des réseaux sociaux

Parcours d’Aurélien de Meaux, cofondateur de Polabox

A l’ère du smartphone, de Facebook, de dropbox, Google+ et d’Instagram, les photos se prennent et s’échangent, partout, tout le temps. Mais qui prend le temps de les imprimer ? Partant du constat que les outils photos de prise de vue actuels sont simples mais que l’impression est plus alambiquée, Antoine Le Conte et Aurélien de Meaux créent en mars 2011 la start-up Polabox, un site et une application tablette et mobile pour le développement de ses photos via les réseaux sociaux en un clic.

Le retour est plus que positif. Un produit « bestseller » se démarque : la polabox, des tirages vintage sur format polaroid. Pour mener à bien leur projet, les deux cofondateurs font appel à des Business Angels pour deux levées de fonds, l’une de 130 000 euros en 2012, l’autre de 290 000 euros à l’été 2013.

Ils empruntent également auprès des banques, soutenus par Bpifrance qui garantit leurs prêts à hauteur de 70 %. « Quand on est une start-up ou une PME, on entend souvent dire qu’on peut se faire aider, sans vraiment savoir vers qui se tourner » explique Aurélien de Meaux. « Nous avons trouvé auprès de Bpifrance des professionnels confirmés et compréhensifs et une structure qui clarifie la mise en relation et les outils propres aux petites boites ». Pour la fin de l’année, Polabox prévoit une internationalisation de son application mobile vers l’Espagne et la Grande-Bretagne. Et a pour souhait de grandir assez vite pour dépasser le cadre de la start-up.

Suivre le capital-santé des énergies vertes

La transition énergétique est un débat politique qui touche éminemment les entrepreneurs. Les questions abordent autant l’économie actuelle et future, que l’écologie et le développement durable. Elle pose aussi les questions de la dépendance à l’état, de l’innovation et de la part de la recherche et du développement.

Ce sera l’une des discussions politiques du mois d’octobre. Cet été, le Conseil des ministres adoptait le projet de loi de Ségolène Royal, ministre de l’écologie sur la « transition énergétique pour la croissance verte ». à l’Assemblée Nationale, les débats promettent d’être agités car les intérêts divergent sur le projet de la transition énergétique, thématique phare du quinquennat du Président Hollande. Entre objectifs de consommation d’énergie, secteur des transports, dépenses des ménages et valorisation des déchets, les énergies renouvelables touchent autant à l’emploi qu’aux porte-monnaie des particuliers et des entreprises. Qui plus est, les questions écologiques attisent toujours les échanges entre les « pro » et les « anti » du nucléaire. Zoom sur un secteur qui n’a pas fini de faire parler de lui.

Qu’entend-t-on par énergies nouvelles ? 

Le développement global des énergies renouvelables a de particulier qu’il touche à l’économie des générations futures. L’exploitation a pris de l’ampleur depuis un peu plus de 20 ans, quand a commencé à naître une conscience collective concernant l’utilisation des ressources de la planète. Les dates clefs comme celui du « jour de dépassement », journée à partir de laquelle, les habitants de la Terre vivent au-delà des capacités énergétiques (fixée, cette année, au mardi 19 août), sont des petits électrochocs. L’écologie, le dérèglement climatique, l’équilibre de la planète sous-tendent forcément la réflexion à propos des énergies nouvelles. Par ailleurs, le marché des énergies nouvelles s’ancre dans des visions et des stratégies à long terme que ce soit pour un état, une entreprise ou des particuliers. Tous investissent dans des projets qui leur rapporteront… plus tard. Le terme « énergies nouvelles » regroupe diverses réalités : énergies éolienne, hydraulique, biomasse et biocarburant, énergies marines, géothermie… Elles se définissent comme des énergies inépuisables parce que fondées sur des forces naturelles : les marées, le vent, le soleil, les biocarburants (contrairement aux énergies fossiles, aux hydrocarbures et à l’énergie nucléaire dont l’exploitation ne peut se faire qu’au détriment des réserves de la planète).

Quelles potentialités dans le secteur ?

Les décisions gouvernementales et européennes ne font pas toujours des heureux – surtout quand fleurissent pour les entreprises de nouvelles réglementations. Toutefois, elles impulsent un cap et influent sur les stratégies. Les habitudes des Français en matière d’énergie ont quelque peu changé, ces dernières années, puisqu’ils utilisent davantage les énergies renouvelables. Mais c’est essentiellement sur l’avenir que doivent miser les entreprises du secteur pour assurer leur développement. La France a défini comme horizon, l’année 2030 pour porter la part des énergies renouvelables à 32 % dans la consommation énergétique, réduire les émissions de CO2 dans l’environnement de 40 % et diminuer la consommation des énergies fossiles. Des choix qui vont conforter la montée en puissance des énergies nouvelles dans la part de l’économie nationale et impulser la mutation d’une nouvelle industrie. Une industrie « propre » basée sur l’innovation et les nouvelles révolutions. Les domaines principalement visés par les prochains objectifs sont les logements et les transports avec la rénovation thermique des bâtiments ou la part belle accordée aux véhicules électriques. Ces potentialités sont corrélées au fait que la recherche et qu’une politique industrielle forte soient encouragées. Les plus optimistes misent sur une part de 13 à 15 % des énergies renouvelables dans l’économie du secteur à moyen terme contre 3 % actuellement.

Zoom sur l’énergie solaire

2007 a signé l’année du décollage pour le secteur de l’énergie solaire et pour les parcs français au sol, avec une hausse du nombre de sociétés travaillant dans la production, la distribution ou l’installation de systèmes photovoltaïques. Suivant la carte française de l’ensoleillement, de nombreux particuliers se sont équipés de panneaux solaires. Pourtant après de belles années, le marché de la production a stagné, la faute à une crise mondiale du photovoltaïque et à une guerre des prix féroce. Aujourd’hui, la filière semble avoir les capacités de rebondir et d’être compétitive avec un retour à la hausse des raccordements électriques sur les deux derniers semestres de 2014. C’est avec l’éolien, la source d’énergie qui se développe le plus vite en Europe. Le solaire occupe une place minime dans les énergies en France mais c’est pourtant une des solutions vertes les plus connues grâce à l’état qui a encouragé le développement des énergies renouvelables auprès des particuliers. Les perspectives et les innovations pour le secteur sont liées essentiellement à la fabrication de type de cellules, capables de produire davantage d’énergie. Elles concernent également des matériaux semi-transparents qui permettraient, à terme, de remplacer les fenêtres des bâtiments. Des chercheurs de l’Université d’état du Michigan ont récemment exposé les premiers concentrateurs solaires transparents et rigides. Si la technologie était davantage poussée, pourrait-on imaginer des voitures dont les vitres créent de l’énergie ou des tablettes dont la surface permet leur propre rechargement ?

5 entreprises qui cartonnent sur le business de l’énergie durable

Le développement durable prend de plus en plus d’importance. Voilà 5 entreprises qui ont réussies à s’imposer dans ce milieu de l’énergie durable.

APR2 

S’est spécialisée dans la collecte, le recyclage et le traitement des déchets conformément à la réglementation environnementale. La société implantée dans les Yvelines depuis 2003 utilise la matière première ainsi créée (appelée « Nactimix ») pour fabriquer de nouveaux produits, notamment dans le mobilier urbain comme des jardinières ou des lames à terrasses

Budget Telecom 

A acquis, en janvier dernier, Effineo, spécialiste de l’efficacité énergétique dans le logement collectif, pour développer ses solutions innovantes dans la consommation énergétique. La société propose aux gestionnaires d’immeubles, aux acteurs du bâtiment et aux entreprises une gamme d’offres de coachings et de suivis de performance.

Greenweez.com 

Fondé en 2008 en Haute-Savoie, est devenue en quelques années, un des plus grands magasins de produits biologiques en ligne en Europe. La plateforme propose plus de 30 000 articles dans 10 univers différents, que ce soient les cosmétiques, la mode, la cuisine, la maison ou les enfants. Plus d’un million de commandes a déjà été traité, depuis la création.

Greenjob.fr

Est un portail d’emploi en ligne gratuit, spécialisé dans les métiers de l’environnement et du développement durable. Il permet de mettre en relation les recruteurs et les candidats grâce à différentes catégories de métier comme le Milieu Industrie, les Risques, l’Agriculture ou la gestion de l’Eau et à la mise en ligne de CVthèques et d’offres d’emplois.

HYSEO

S’est spécialisé dans le développement de centrales photovoltaïques au sol et en toiture, dans l’achat et la modernisation de centrales hydroélectriques et dans la commercialisation de systèmes d’énergie autonomes. Cette société toulousaine, intègre toute une « chaîne de compétences » pour agir dans son domaine comme un opérateur global.

Voiture de fonction, de service ou personnelle : quels coûts pour quelle utilisation ?

Choisir le type de véhicules qui constituera la future flotte automobile de son entreprise est un pré-requis. L’utilisation qui en est faite est bien sûr indispensable à prendre en compte pour calculer les coûts induits pour la société. 

Les véhicules de fonction et les véhicules de service sont souvent considérés comme semblables alors qu’ils cachent des réalités d’utilisation, de fiscalité et de droit différentes. 

Différents types de véhicules pour différentes utilisations 

Le véhicule de fonction correspond à un avantage en nature, inscrit dans le contrat de travail d’un salarié. C’est un levier efficace pour recruter. Le salarié dispose de la voiture à la fois pour ses déplacements professionnels et personnels, en semaine, en week-end et durant sa période de congés. Un véhicule de service est une automobile de société utilisée par le salarié seulement pour ses déplacements professionnels. Il ne peut donc pas s’en servir en dehors des heures de travail et le véhicule doit être reconduit à l’entreprise à la fin de la journée, même si certaines entreprises concèdent le droit de l’utiliser pour les trajets domicile-travail.

Cette automobile ne constitue pas un droit en nature. Elle n’est donc pas spécifiée dans le contrat de travail du salarié et peut être supprimée sans consultation ni compensation financière. L’annulation dans le contrat de travail d’un véhicule de fonction, elle, est soumise à une revalorisation salariale. En tant que complément de salaire, l’avantage d’un véhicule doit être inscrit dans la fiche de paie. Il est soumis aux charges sociales salariales et à l’impôt sur le revenu du côté du collaborateur. Une voiture personnelle, comme son nom l’indique, appartient au collaborateur. Il peut l’utiliser pour ses besoins professionnels si sa société ne possède pas de flotte automobile. Dans ce cas, l’entreprise doit le rembourser selon un barème kilométrique. 

Les coûts directs et indirects

Le véhicule de fonction est soit acheté soit loué par l’entreprise. L’amortissement de l’achat, qui bénéficie d’une déduction fiscale limitée, représente l’un des premiers coûts directs auquel s’ajoutent les frais de carte grise, d’exploitation, d’assurance, de carburant. D’autres coûts indirects se greffent en supplément. Il s’agit de la taxe sur les véhicules de société (TVS) à payer chaque année et calculée en fonction des émissions de CO2 de l’automobile, de l’impôt société (IS) sur les coûts non déductibles, la taxe professionnelle en fonction de la valeur locative du véhicule.

Dans le cas d’un accident de la route où le salarié serait responsable, la plupart des sociétés requiert la prise en charge de la franchise à leur employé. Les frais engagés par la société sont, dans le cas de la voiture de fonction, nombreux. Les véhicules personnels appartiennent aux salariés qui paient déjà une assurance automobile. L’entreprise doit souscrire une assurance spéciale, appelée « assurance mission », intégrée dans le contrat d’assurance de responsabilité civile générale de l’entreprise. Elle couvre les déplacements professionnels. La société octroie à ses employés, qui utilisent leur automobile privée pour des raisons professionnelles, des indemnités kilométriques.

Ces remboursements se font selon un barème kilométrique. Décomposé en trois tranches de kilométrages annuels professionnels (jusqu’à 5 000 km, de 5 001 à 20 000 km, au-delà de 20 000  km), le barème prend en compte les frais de carburant mais également l’entretien de la voiture, sa dépréciation et sa pneumatique. Il engendre des problématiques de gestion, liées notamment aux certifications à apporter pour justifier du kilométrage.

Constituer une flotte automobile peut coûter cher à une entreprise. Accorder une voiture de fonction ou une voiture de service peut s’apparenter à un excès de coquetterie qui n’est pas toujours nécessaire. Dans le cas de commerciaux ou d’indemnités kilométriques importantes au compteur, les sociétés ont cependant plus d’avantages à mettre à disposition un véhicule à leurs salariés.

20 applications dont vous ne pourrez plus vous séparer pour votre automobile

De nombreux outils et application existent pour vous faciliter la tâche dans de nombreux domaines. Découvrez les 20 applications smartphone indispensables pour votre flotte automobile

Essence Free 

·  Tarif : Gratuit 

· Fonction : Géolocalise les stations essence autour de vous, repère les tarifs pratiqués et assure le suivi des dépenses.

Waze 

· Tarif : Gratuit 

· Fonction : GPS communautaire qui permet de partager en temps réel le trafic, l’état des routes, les accidents et les contrôles de police.

Où me garer

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les places de stationnement disponibles dans les
parkings publics ou sur la voie publique. Mémorise l’emplacement du véhicule
pour le retrouver plus facilement. 

Neoparking 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Compare les tarifs de parkings publics en fonction de votre durée de stationnement et permet de réserver sa place en bénéficiant de prix réduits. 

AroundMe

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Identifie votre position pour vous permettre de trouver à proximité les services dont vous avez besoin (distributeur de billet, cinéma, restaurant, hôpital).

Koi tu risk 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Liste l’ensemble des infractions routières ainsi que les risques encourus (amendes, retraits de points). Elle permet aussi d’accéder à des conseils juridiques.

Road Trip

· Tarif : Payant

– Fonction : Répertorie l’historique de votre véhicule depuis les frais d’entretien, jusqu’au kilométrage du véhicule. Permet des rappels de maintenance et le suivi de l’utilisation des pneus.

Honk

· Tarif : Payant

· Fonction : Garde en mémoire l’emplacement de votre véhicule, la durée de vos stationnements et vous alerte quand votre parcomètre est bientôt terminé. 

iPermis 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Permet de consulter vos points de permis de conduire et vous donne des conseils pour les sauvegarder. 

Drive Me 2 

· Tarif : Payant

· Fonction : Fournit en temps réel des informations sur votre conduite : vitesse moyenne, vitesse instantanée, coût du

GoingAbroad

  • Tarif : Gratuit  
  • Fonction : Présente les règles importantes de la sécurité routière dans les pays européens et en fait le classement par pays et par thématiques.

iHandy Flashlight Pro

  • Tarif : Payant
  • Fonction : Vous fait bénéficier de plus de 60 faisceaux lumineux. Certains sont de véritables gadgets quand d’autres (faisceaux lumineux de précision) vous aideront en cas de problème sur la route de nuit. 

Réflexe Accident

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose des bons conseils et les informations nécessaires en cas d’accident sur la route (remplir un constat, numéros d’urgence, position GPS de l’accident…).

ChargeMap 

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Informe sur les points de charge publics disponibles pour votre voiture électrique, les plus proches du lieu où vous vous situez.

Wi-Fi Finder

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Trouve les points Wi-Fi les plus proches du lieu où vous êtes, pour rester connecté même quand vous êtes en déplacement.

CarTune Music Player

· Tarif : Payant

· Fonction : Combine une reconnaissance vocale et une lecture simplifiée de votre playlist musicale grâce à une gestuelle intuitive pour que vous gardiez un parfait contrôle de votre conduite.

ViaMichelin

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Fournit l’ensemble des conditions de circulation en temps réel et note les imprévus de la route et les radars fixes.

MappyGPS

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Embarque dans votre smartphone les fonctionnalités d’un GPS, des cartes mais aussi les annuaires PagesJaunes et PagesBlanches.

La Chaine Météo

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Indique les prévisions régionales et nationales en matière de météo, jusqu’à 12 jours et propose d’envoyer chaque soir celles du lendemain.

Geco

· Tarif : Gratuit  

· Fonction : Propose, grâce à des capteurs de votre smartphone, des pistes d’amélioration de votre conduite en ville pour que vous adoptiez un style plus économe et écologique.