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Business et écologie, une bonne idée ?

Partout dans le monde, de plus en plus de personnes, d’organismes et d’entreprises développent des produits liés à l’écologie. Certains trouvent des idées ingénieuses en associant l’écologie au business et le terme écobusiness s’est répandu. Voici quelques idées de l’étranger qui peuvent être transposées en France.

Une sacoche solaire

Créée par l’américain Reware, la sacoche solaire a reçu le prix environnemental de l’innovation. Ces sacoches énergétiques permettent de recharger les batteries de vos appareils électroniques grâce à un chargeur solaire de 6 Volts. Vous pouvez recharger votre téléphone en moins de quatre heures, en plein soleil. Une version 12 Volts a été lancée pour 275 dollars et 6 Volts.

Le green pizza

Après la pizza sans sauce tomate, la pizza verte vient faire son apparition. Il ne s’agit pas d’une couche d’épinards sous de la mozzarella, mais plutôt d’un mode de livraison et de production qui la rendent green. Des ingrédients bios, une cuisson à l’énergie éolienne et une livraison à domicile par véhicule hybride. Un concept plutôt innovant.

Ecolotel

Le concept d’écolotel vient du modèle écolo à la scandinave. La chaîne hôtelière suédoise Scandic a pris le pari de faire en sorte que ses chambres soient construites à 97 % au moyen d’éléments recyclables. De la réduction sur les usages de produits d’entretien chimiques à la carte magnétique en bois, tout a été repensé pour que la filiale du groupe Hilton reçoive l’écolabel « The Sawn ». Des chambres d’hôtes ou des gîtes écologiques avec repas bio pourraient ainsi être lancés. Une idée encore inexploitée en France.

Le design écolo

Le gagnant du design écologique pour cette année est Showa Shell Solar. Mais il ne s’agit pas de rivaliser avec ce fabricant de toits solaires japonais pour pouvoir se lancer dans le business vert. Retravailler le design de produits de la vie quotidienne ou industriels pourrait vous permettre d’inscrire votre projet au Good Design Awards. Une manière de vous faire connaitre et d’entrer par la porte de l’« écobusiness ».

Auto éco-impact

Fiat a lancé un programme Ecodrive en partenariat avec Microsoft. Un programme qui a pour fonction de recueillir des informations concernant votre mode de conduite grâce à un logiciel aménagé à bord d’une voiture. Une réalisation assez improbable, certes, mais pourquoi ne pas proposer une licence à Microsoft et installer une solution particulière sur la flotte de véhicules des grandes entreprises françaises?

Déménagement, des boites qui cartonnent

Earthfriendlymoving est une société californienne qui propose aux déménageurs particuliers la livraison de boîtes en plastique pour remplacer les cartons traditionnels. Ces boîtes en plastiques recyclées sont à la fois empilables, légères, solides et de tailles différentes. Plus pratiques et écologiques, elles connaissent un véritable succès. Elles sont conçues pour empaqueter les affaires afin qu’après que le déménagement, la société puisse les récupérer et les revendre à d’autres clients. Apparemment, aucune société n’aurait encore lancé ce type de business en France.

2015 : tendances et business

Que vous ayez une entreprise à développer ou un projet à réaliser, la connaissance et le suivi de votre marché restent indispensables pour atteindre vos objectifs. Malgré la crise qui persiste, de nombreux dirigeants ont pu sauver leur entreprise en sachant prendre en compte les tendances, mais le temps passe et ces dernières changent. Pour réussir, les entrepreneurs doivent chercher des stratégies toujours plus innovantes. Voici quelques tendances et business 2015 prévisionnelles qui pourront vous inspirer pour vos futurs projets.

La priorité à la santé

Les Français se préoccuperont de plus en plus de leur santé, du bien-être et de la remise en forme. Les entrepreneurs les plus avisés en profiteront pour proposer des produits qui favorisent la santé de leurs consommateurs, qui lui protège contre telle ou telle maladie ou qui développe leur bien-être.

L’écologie au centre des préoccupations

L’écologie demeure également un domaine qui intéresse le monde. Sur deux produits, le consommateur choisira celui qui protège l’environnement, que cela soit par la composition du produit, l’emballage, la conservation ou le transport.

Le pouvoir des réseaux sociaux persiste

Même si la proximité est une tendance de l’année 2014 et persistera toujours pendant l’année 2015, l’essor des réseaux sociaux n’est pas à négliger. Les entreprises se serviront du web pour être paradoxalement plus proches de leurs clients. Aussi, ils devront les maîtriser et être très efficaces afin de provoquer le premier achat. Profitez de cette tendance, car les réseaux sociaux vous permettent de réduire les coûts d’acquisition et d’obtenir des retours du client en temps réel.

La récompense d’achat de produit

Pour être plus compétitif et apporter un plus, vous pouvez récompenser les clients les plus actifs. On peut citer l’exemple d’une réduction pour une consommation dépassant un prix fixé, un cadeau ou une remise. Les clients prendront en compte le prix des produits et les avantages financiers. Si un client satisfait peut être votre meilleure source d’acquisition de nouveau client, un client insatisfait peut s’avérer une véritable source de critiques notamment sur les réseaux sociaux.

Un service plus aisé

Les livraisons à domicile, les ventes de lingeries ou des produits cosmétiques à domicile qui facilitent la vie des consommateurs se sont beaucoup développées cette année, mais les entrepreneurs devront encore améliorés leur processus cette année. On s’attend à des services encore plus innovants qui facilitent encore plus la vie de ses utilisateurs. Les enseignes doivent faire de leur mieux pour faciliter l’achat en magasin tout comme à distance : un design irréprochable, une expérience enrichie ou un suivi amélioré de la livraison.

Une location entre particuliers et professionnels

Les sites et les blogs ont favorisé les échanges entre particuliers que ce soit pour la vente entre eux ou la location. Cette tendance devrait se confirmer dans les domaines plus professionnels pendant l’année 2015. Les économies réalisées devraient inciter les acheteurs à faire davantage appel à la location.

Vente : zoom sur la méthode ARA

Vendre un produit à un client n’est pas toujours facile, surtout quand il s’agit de décrocher le premier rendez-vous. En effet, il est important de savoir convaincre pour ne pas manquer la vente. Voici des conseils qui vous aideront sans doute à réaliser plusieurs ventes.

En quoi consiste la méthode ARA ?

Tout professionnel de la vente sait déjà sans doute ce qu’il ne faut pas faire pendant un rendez-vous avec un client. Mais la pire des choses est d’argumenter avec un long discours sans queue ni tête. Il faut que vous alliez droit au but. Pour ce faire, il est important de bien maîtriser votre argumentaire de vente. Il est important de connaître les forces et les faiblesses de votre produit, sinon vous ne pourrez pas mettre en place la méthode ARA. Il s’agit d’une méthode qui consiste à connaître la situation et le problème d’un client au profit de votre entreprise. La méthode ARA est l’initiale des trois caractéristiques essentielles pour la vente. Le premier A veut dire « Analyser la situation ». Le R signifie « Rechercher le problème » et le second A, « Accentuer le problème ».

Analyser la situation

Cette étape est très importante pour votre réussite. Lors de votre entretien avec le prospect, vous devez diriger les débats en posant des questions ouvertes. Il est important de savoir que le but de la question est de pouvoir faire l’analyse de la situation. Vous ne devrez pas essayer d’influencer votre prospect en aucune manière et lui laisser librement la parole est essentiel !

Rechercher le problème

Une fois que vous aurez terminé votre analyse de la situation, vous devez découvrir les problèmes que le client peut rencontrer. Certains de leurs problèmes sont déjà exprimés par leur réponse. Par contre, il faudra faire très attention parce que le prospect ne peut pas tout dire. C’est donc à vous de détecter et de trouver certains problèmes. Pour ce faire, il est important d’être très attentif. Par exemple, si le prospect affirme avoir souvent des retards de livraison, cela veut dire qu’ils ont une organisation interne qui ne marche pas très bien, ou bien des défaillances avec leur fournisseur. A vous de le détecter !

Accentuer le problème

Dès que vous avez réussi à discerner le problème, il est important de le soutenir. Vous devez montrer à votre prospect que vous connaissez la situation de son entreprise en toute retenue. Aussitôt, vous devez proposer des solutions tangibles afin de résoudre ses difficultés. Cette étape est très importante et doit être principalement ordonnée. Vous devez appuyer votre solution par des pourcentages, des exemples concrets et pourquoi pas, leur montrer les résultats acquis par l’utilisation de votre produit. Les méthodes que vous pouvez utiliser pour appuyer votre solution sont nombreuses, mais le plus important est de savoir convaincre.

Voyage d’affaires, ce qu’il faut savoir

En quête de nouveaux marchés, aller participer à un séminaire ou une réunion avec son entreprise filiale… Il existe beaucoup de raisons qui peuvent entraîner un dirigeant d’entreprise à quitter son pays pour un autre, le temps d’un court séjour. Selon ses fonctions, il peut voyager une ou plusieurs fois pendant une année. Pour que ces voyages ne virent pas au cauchemar, il faut faire preuve d’organisation.

Se préparer

Une préparation pour le voyage est une action essentielle qui vous évitera les ennuis pendant vos séjours. Premièrement, il faut réserver à l’avance votre billet d’avion. Si possible, optez pour l’embarquement prioritaire, cela vous évitera de faire la queue. Les voyageurs les plus actifs gagnent souvent les espaces lounge, si vous en faites partie, n’oubliez pas de vous renseigner à ce sujet.

Pour l’hébergement, choisissez un hôtel qui se place à proximité de votre lieu de mission, cela vous évitera les longs trajets, qui signifieront plus de dépense et beaucoup de temps perdu. Concernant les options, choisissez les chambres avec une connexion wifi, les hôtels qui possèdent des salles de réunion qui seront ouvertes à toute heure ou encore des enregistrements express. Il existe des hôtels qui sont spécialisés dans la réception des voyageurs d’affaires.

Pendant les voyages d’affaires, il ne faut pas oublier que vous représentez votre société. La tenue est donc un aspect qu’il ne faut pas négliger. Choisissez une tenue sombre et infroissable. Ne pliez pas vos vêtements, enroulez-les plutôt. Lorsque vous arriverez à l’hôtel, la majorité des hôtels possèdent un service de nettoyage à sec.

Ranger sa valise

Habituellement, vous aurez à emporter un bagage à main et une valise. Dans la valise, vous mettrez toutes vos affaires personnelles. Dans le bagage à main, vous mettrez votre ordinateur et les documents nécessaires au business. Il va sans dire que vous devez emmener des devises. Vous aurez peut-être à avancer vos dépenses et c’est grâce aux factures que vous allez vous faire rembourser, alors, ne les perdez pas. Vous mettrez dans le bagage une pochette dans laquelle vous rangez : votre billet d’avion, les facteurs ainsi que les cartes de visite. Pour être plus prudent, et si elle est assez grande, mettez-y également votre costume, au cas où votre valise se perdrait dans l’avion. Aussi, il ne faut pas oublier tous les accessoires nécessaires pour votre téléphone comme le câble, une batterie de rechange ou un chargeur, pareillement pour votre ordinateur. Pensez également à mettre votre présentation ou vos dossiers indispensables pour la réunion sur un support USB.

Communiquer aisément dans la diversité culturelle

Avant d’entrer dans un pays, renseignez-vous sur leur culture ainsi que sur leur environnement : les techniques d’expression, verbales ou non ; le code vestimentaire, les tabous. Si vous visitez des entreprises, renseignez-vous également sur l’entreprise. Dans un pays étranger, il faut toujours respecter la ponctualité, surtout si votre voyage se passe en Europe Centrale ou en Scandinavie. Et enfin, pour être plus proche des personnes, ne jugez pas leur culture, ne lancez pas des débats politiques et n’entrez pas dans les discussions trop personnelles. Abstenez-vous également de raconter des blagues, l’humour varie toujours selon l’environnement culturel des personnes.

Un nouveau statut pour les Scop

La Scop d’amorçage est un nouveau statut s’inspirant de la loi Hamon. Ayant fait l’objet d’un décret publié par le gouvernement le 1er janvier, la Scop d’amorçage tend notamment à favoriser la reprise d’entreprises par les salariés. Avec ce statut, les salariés qui désirent reprendre une entreprise peuvent la gérer sans toutefois y prendre une participation majoritaire. Ils ont alors 7 ans pour devenir majoritaires. 

Les apports des scops

Afin de compenser les manques de fonds au démarrage d’une entreprise, le statut de la Scop d’amorçage a été mis en place. Il vise à permettre aux salariés de reprendre une entreprise facilement, tout en étant minoritaires au capital, mais de détenir la majorité des voix à la constitution de la Scop. Ils pourront devenir majoritaires de l’entreprise après 7 ans. En créant ce statut, le gouvernement a souhaité proposé une solution simple de reprise pour les salariés, notamment au regard des formes juridiques, le tout dans le but de participer au dynamisme de l’écosystème économique et de sauver des emplois. 

Les conditions énumérées par le décret

Il est important de savoir que la Scop d’amorçage a été issue de la loi du 31 juillet 2014 relative à « l’économie sociale et solidaire » ou « loi Hamon ». La société coopérative de production d’amorçage exige que les associés non coopérateurs aient pour obligation de céder ou d’obtenir le remboursement de leurs titres. Par ailleurs, cette procédure permettra aux salariés repreneurs ou associés coopérateurs d’obtenir 50% du capital avant la date limite des 7 ans.

Conseils pour choisir une assurance entreprise

En tant que professionnel, vous êtes contraint d’adhérer à une assurance spécifique afin de couvrir vos activités. Nombreux sont les professionnels concernés, à savoir les exploitants agricoles, les professionnels du BTP, les auto-entrepreneurs et les professions libérales. Cependant, il existe une multitude de choix et il n’est pas facile de vous y retrouver.

Les atteintes aux biens, les pertes liées à l’exploitation, la responsabilité civile pro, l’assurance qui couvre plusieurs risques… Il existe plusieurs propositions en matière d’assurance pour l’entreprise. Entrepreneurs et dirigeants d’entreprise, suivez nos conseils pour comprendre et mieux choisir le contrat d’assurance professionnel qui répond à vos convictions.

Quelle assurance choisir ?

Il est toujours indispensable de passer, dans un premier temps, par des comparaisons afin de pouvoir trouver le type d’assurance qui convient le mieux à votre entreprise. Cette phase d’évaluation est celle que vous allez réaliser pour votre entreprise. Pour ce faire, vous allez devoir vous poser certaines questions comme dans le cadre de votre activité, quels sont les risques que vous pouvez encourir ? Et dans le cas où ils surviennent, quelles seraient les conséquences financières ? Parmi toute la liste des assurances dédiées aux entreprises, l’on peut citer :

  • L’assurance informatique professionnelle qui couvre les fichiers ou le matériel informatique en cas de détérioration
  • L’assurance crédit est celle qui couvre tout risque de perte de créances si des crédits sont accordés à un client
  • La protection financière, une assurance qui couvre les sinistres lors d’une perte de chiffre d’affaires ou de la clientèle
  • La protection juridique qui couvre tous les frais juridiques si un litige avec des tiers se présente
  • L’assurance Perte d’Exploitation est un dédommagement versé à l’entreprise dans le cadre d’une cessation de son activité après un sinistre
  • La RC pro qui couvre les dommages occasionnés à des tiers par le personnel ou l’entreprise
  • L’assurance tout risque professionnel est celle qui couvre tous les risques liés aux équipements, aux biens et aux locaux de l’entreprise.

Nombreux sont les assureurs qui offrent des packs multirisques dédiés aux entreprises et qui proposent plusieurs garanties. Il existe également d’autres assureurs qui proposent leur service dans divers domaines bien précis comme le bâtiment, l’association, la restauration, le commerce et autre.

Comment bien choisir son assurance entreprise ?

Pour pouvoir choisir, vous devez mettre les différents prestataires en concurrence. Demandez des devis, faites des comparaisons et négociez. Demandez un audit personnalisé afin de bénéficier d’une meilleure couverture. Vérifiez la conformité du montant de la franchise et le plafond de garantie avec le niveau de risque. Confrontez les délais d’indemnisation ainsi que l’accès aux mesures d’urgence. Également, informez-vous davantage sur les modalités de déclaration de biens acquis nouvellement, l’actualisation de l’estimation de vos biens et autres.

Tout assurer : quel intérêt ?

Si dans la mesure, certaines assurances sont obligatoires comme l’assurance auto, la responsabilité civile des professions réglementées et l’assurance décennale, d’autres assurances sont jugées facultatives. Cependant, bon nombre d’entre elles s’avèrent indispensables, surtout celles qui proposent une couverture sur la responsabilité civile professionnelle, les biens et les locaux. Il est toujours prudent de souscrire à de telles assurances, puisqu’aucune entreprise ne peut se garantir d’être à l’abri de ce type de risques qui peuvent engendrer de lourdes conséquences financières.

Tout savoir sur le licenciement économique individuel

Pour de multiples raisons, l’employeur peut avoir recours au licenciement économique individuel. Pour une cause structurelle ou pour une raison conjoncturelle, un employeur est tout à fait en mesure de faire appel au licenciement économique d’un salarié. Cependant, pour ce faire, il est tenu de respecter des procédures particulières et alléguer des motifs réels et valables. Ce genre de licenciement est dicté par une loi qui fixe ses conséquences, sa procédure ainsi que ses conditions à l’égard du salarié.

Dans quel cas évoquer le licenciement économique individuel ?

Le licenciement économique d’un employé par un employeur est fondé, dans le cas où l’employé est capable de justifier que l’entreprise propose une réorganisation qui est essentielle pour la sauvegarde de sa compétitivité, à moins de l’existence de réelles menaces ou que l’entreprise connait des réformes technologiques ou encore que l’entreprise présente de réelles difficultés économiques comme la baisse des activités sur le long terme, des résultats piètres, une interruption des paiements et une mise en redressement judiciaire. Ainsi, ces implications économiques doivent procéder à la dissolution du poste de l’employé, au changement de l’emploi qu’il occupe ou au refus d’une réforme de son contrat de travail comme la qualification, la durée du travail ou encore la rémunération.

Obligations de l’employeur envers l’employé

Avant d’en arriver au licenciement de l’employé pour des raisons économiques, le chef d’entreprise doit avoir tout mis en œuvre tous les efforts d’adaptation et de formation pour empêcher le licenciement. Ainsi, il est impératif que l’employeur revoie d’autres mesures de reclassement dans l’entreprise, sur un poste inférieur ou un emploi équivalent à condition que l’employé l’approuve. La loi stipule que toute offre de reclassement de l’employeur au salarié doit être précisément écrite.

Pour ce faire, un entretien préalable doit s’opérer, au cours duquel l’employeur remet une convention de reclassement personnalisée au salarié. En ces termes, l’employé a droit à un préavis, allant d’un à deux moins, en fonction de son ancienneté. Et il bénéficie du droit à des indemnités de licenciement.

La procédure à suivre

Par une remise en mains propres contre décharge ou encore par lettre recommandée, l’employeur est tenu de convoquer le salarié à un entretien préalable. La notification doit être faite au moins 7 jours ouvrés avant la date de l’entretien. Ceci, dans l’optique de laisser à l’employé le temps de trouver une personne pour l’accompagner. Ainsi, l’employeur expose, durant l’entretien, les raisons économiques du licenciement. Un délai de 21 jours sera accordé au salarié pour mieux réfléchir s’il veut adhérer ou non à la convention de reclassement personnalisée ou CRP. Dans le cas où le salarié accepte la CRP, le contrat de travail sera rompu et il sera dispensé de préavis.

Dans le cas où l’employé refuse la CRP, une lettre recommandée pour notification avec avis de réception doit lui parvenir au plus tôt, 7 jours après l’entretien préalable et 15 jours pour les cadres. Cette lettre de licenciement doit indiquer précisément la vraie raison économique du licenciement, doit rappeler l’impossibilité du reclassement de l’employé et ses conséquences sur l’emploi. Ainsi, l’inspection du travail doit être informée par l’employeur, dans les 8 jours qui suivent la rupture du contrat de travail.

Dirigeant(e)s : quel statut pour votre conjoint(e) ?

Depuis le 2 août 2005, les personnes qui ont un conjoint ou une conjointe à la tête d’une entreprise peuvent choisir entre trois statuts, à savoir le conjoint associé, le conjoint collaborateur ou le conjoint salarié. Quel statut pour votre conjoint(e) ?

Cette loi s’adresse à tous les mariés ainsi qu’aux pacsés. Il en est de même pour les couples qui souhaitent créer une entreprise. Les deux personnes doivent convenir dès le début de l’aventure s’ils travaillent comme partenaire ou si l’un d’eux est à la tête de l’entreprise. Il faut choisir minutieusement la forme pour éviter les conflits d’intérêts.

Le conjoint associé

Bien que les époux aient cotisés pour la création de l’entreprise, le conjoint associé peut-être un salarié ou non de la société. Toutefois, il possède un pouvoir décisionnaire et peut participer aux votes dans les assemblées. Le conjoint touche une part de bénéfice qui convient à l’apport qu’il a effectué. Dans certains cas, le conjoint choisit d’être cogérant de l’entreprise, mais il ne peut être élu à la chambre des métiers et de l’artisanat, cependant il peut participer à l’élection. Le risque avec cette forme d’association reste qu’en cas de divorce, la survie de l’entreprise est menacée. Surtout si les deux personnes détiennent chacune la moitié des parts de l’entreprise.

Le conjoint collaborateur

Pour le conjoint collaborateur, la personne travaille avec son époux(se) régulièrement et formellement, sans recevoir de rémunération et sans être l’associé du chef d’entreprise. Pour choisir ce deuxième statut, il faut que les conjoints soient mariés ou pacsés. Pour les SARL, il faut qu’il soit le conjoint de celui qui détient l’action majoritaire dans l’entreprise. Pour les EURL, le conjoint est l’associé unique. Dans les deux cas, le nombre des salariés de l’entreprise ne doit pas être supérieur à 20.

Le conjoint salarié

Pour ce dernier, le conjoint peut être l’époux par le mariage, lié par un pacte civil de solidarité ou seulement un partenaire en union libre. Ici, le conjoint effectue les activités comme tous les autres salariés de l’entreprise, à titre professionnel et habituel. Il est rattaché à l’entreprise par un contrat de travail qui convient au poste qu’il occupe. Il est également rémunéré mensuellement suite au travail qu’il a effectué. Le conjoint n’a pas le droit d’intervenir dans la gestion de la société, il reste un simple employé.

Que se passe-t-il en cas de divorce ?

Si le couple se sépare, le conjoint associé peut retirer sa part de l’entreprise et toucher ses parts de bénéfice. Si le conjoint décède, il peut continuer à développer l’entreprise familiale. Pour le deuxième cas, si le conjoint collaborateur divorce du chef d’entreprise, il obtiendra une prestation compensatoire et touchera tout de même les droits à la retraite. Si son conjoint est décédé, il peut recevoir un droit de créance de salaire différé. Et enfin, pour le conjoint salarié, le divorce n’affectera pas son poste. Il peut continuer le travail ou être licencié. En cas de licenciement, il touchera une indemnité ainsi qu’un droit aux allocations chômage.

Le design d’intérieur, un facteur clé de la compétitivité d’une entreprise

La rude concurrence sur le marché oblige les entreprises à chercher les meilleures techniques pour devancer leurs concurrents. En effet, pour pouvoir survivre, les entreprises doivent trouver constamment des nouveaux clients, mais ils doivent surtout trouver les techniques de fidélisation pour retentir ses clients.

Pour ce faire, l’étude des besoins du client, l’étude de l’évolution de la technologie et la veille concurrentielle sont indispensables. Certaines entreprises décident de devancer la concurrence en investissant dans le design d’intérieur et les résultats paraissent très convaincants.

Donner un environnement agréable à vos relations 

Que votre entreprise soit spécialisée ou non dans la vente, elle doit toujours être présentable, car vos clients, vos fournisseurs ainsi que vos partenaires y circulent régulièrement. L’entreprise doit donc refléter ses valeurs à première vue. La qualité du produit ou des services, les points de vente, les médias utilisés pour la publicité du produit ou les commerciaux de l’entreprise font partie de la communication de l’image de l’entreprise.

Il faut apporter un soin particulier à la devanture de l’entreprise, à l’accueil et aux bureaux. Les clients se perdent trop souvent dans les stéréotypes, ils ont l’habitude de juger les performances d’une entreprise en fonction de l’état des locaux et ils n’ont pas tort. Les entreprises en bonne santé travaillent dans des locaux qui favorisent la productivité des salariés et elles n’hésitent pas à adopter un design d’intérieur excentrique, voire un peu loufoque.

Le message transmis par le design d’intérieur d’une entreprise

Dès qu’il entre dans l’entreprise, le client est tout de suite en contact avec l’environnement, les infrastructures ainsi que le style de l’entreprise. Le design intérieur des locaux doit donc communiquer la culture, la philosophie et les valeurs de cette dernière. Un environnement sain et agréable pousse souvent le client, le fournisseur ou le partenaire à donner plus d’estimation et plus de valeur à la société. Aussi, travailler dans un cadre agréable améliore les résultats aussi bien quantitatifs que qualitatifs des salariés. Cela s’explique du fait qu’un cadre agréable favorise la bonne humeur des travailleurs. La conscience de l’importance de ces deux raisons pousse certaines entreprises à dépenser un certain somme pour engager des designers d’intérieurs professionnels. Ces derniers peuvent effectuer des travaux très impressionnants.

Utiliser le design pour se démarquer de la concurrence

La forte concurrence sur le marché oblige les entreprises à proposer un produit de qualité, un service personnalisé ainsi que du personnel compétent. Cependant, toutes les entreprises connaissent la nécessité de ces trois aspects. Au-delà de cela donc, il faut offrir une idée plus originale et lui offrir une expérience unique. Le design peut-être votre atout pour vous démarquer de la concurrence. Si vous cherchez un moyen original, l’esthétique de votre enseigne peut en être un. Le design d’une entreprise peut être un facteur secondaire dans le choix de la consommation, mais si un client ne sait pas laquelle choisir entre deux boutiques différentes, il choisira sûrement celle qui reflète une bonne image. Pensez-y !

Plus de publicité sur les sites pirates ?

Dans le cadre de la lutte contre les sites pirates, le ministre de la culture Fleur Pellerin a élaboré une charte d’engagement des professionnels de la publicité dans le but d’amoindrir le revenu des sites illicites. Cette charte tendra à interdire la publication de contenu sur les sites de streaming. 

L’objectif de la charte

L’action menée par la ministre de la culture Fleur Pellerin aura pour principal but de bloquer les revenus en général des sites de streaming, de téléchargement direct ou de référencement. Cela afin de stopper l’exploitation des revenus publicitaires au profit des sites illicites. L’action misant sur le respect du droit d’auteur et des droits voisins des sites a été mise en œuvre en concertation avec les acteurs de la publicité.

Inspiré du rapport rédigé par Mireille Imbert-Quaretta

D’après le document émis précédemment, la présidente de la commission de protection des droits au sein de l’institution Hadopi, Mireille Imbert-Quaretta, voulait à tout prix « nuire aux ressources financières des sites illégaux ». Le rapport préconisait la signature de chartes de bonne conduite par les professionnels de la publicité et du paiement en ligne. D’après les informations requises, les professionnels de la publicité étaient tous d’accord avec cette charte. 

Quid des mesures prises par le ministère ?

Cependant, jusqu’à présent le ministère n’a pas encore précisé les mesures qui seront adoptées afin d’aboutir à un tel résultat. Le rapport de Mireille Imbert-Quaretta a néanmoins déjà donné l’idée de diffuser des bandeaux publicitaires sur les sites visés. Du côté des services de paiement, il existe la possibilité de bloquer les moyens de s’abonner à un site en particulier. Tout cela, dans le but d’établir un système de blocage aux revenus financiers des sites illicites.