Connaissez-vous la théorie du 20/80 de Vilfredo Pareto ? Cette dernière nous explique que 80% du chiffre d’affaires est réalisé par 20% des clients. Les marques ont tout intérêt à se concentrer sur cette clientèle de choix en créant une relation des plus personnalisées. Récolter des informations sur leurs habitudes de consommation et mettre en place des stratégies qui les valorisent devient l’objectif premier des marques. Voici quelques exemples de techniques employées par ces dernières.
La publicité se révèle être un excellent moyen de communication pour les entreprises. Cette dernière marque les esprits, met en avant les produits et tente de valoriser la marque auprès des clients. Elle demeure le moyen majeur employé par les grandes entreprises. Mais certaines campagnes publicitaires n’ont pas eu les retombées escomptées par les marques. Voici des exemples de publicité qui ont tourné au « bad buzz ».
Peut-être vous demandez-vous comment obtenir des recommandations pour d’autres personnes ? Peut-être vous dites-vous que vous recevez beaucoup de recommandations d’une même personne sans être sûr de pouvoir lui en adresser en retour ? Ces inquiétudes sont légitimes. Elles reviennent régulièrement parmi les professionnels qui se forment au networking ou qui participent à des clubs d’entrepreneurs tels que le club de Dynamique. Pourquoi faut-il d’abord donner ou transmettre ? La raison en est simple : pour se développer et résister à l’épreuve du temps, une relation doit être bénéfique aux deux parties, lesquelles doivent chacune contribuer à la relation.
Tout aussi bien originales que créatives, il est des opérations de streetmarketing qui se veulent réussies. Pourquoi ? Parce qu’elles détiennent une valeur ajoutée qui leur est propre en se démarquant des autres. Elles parviennent à susciter l’intérêt en captivant leur cible.
Les boutiques éphémères ont le vent en poupe et prennent place dans les grandes villes de France, notamment à Paris. Les raisons d’un tel engouement soudain sont multiples mais répondent en priorité au besoin de rencontrer ses clients sans passer exclusivement par la fenêtre du web. Cette approche marketing se caractérise par l’ouverture de boutiques pour des courtes durées. À la différence des boutiques traditionnelles, les magasins éphémères se mettent à la disposition de leurs clients de manière temporaire.
Il y a seulement quelques mois la célèbre chaîne de restauration rapide américaine suscitait déjà la polémique à cause de ses glaçons qui auraient contenu de la matière fécale. Aujourd’hui, le problème réside dans la nouvelle recette de l’enseigne, la « Chizza ». Les internautes se déchaînent et le bad buzz semble encore avoir frappé…
Fraîchement débarquée en France, la marque japonaise suscite déjà le buzz aux quatre coins de la Planète. Alors qu’il promet des cils déployés et redimensionnés d’un simple coup de baguette magique et pour moins de 25 euros, le mascara a de quoi faire pâlir ses concurrents.
Inspiré par l’infographie de l’agence canadienne Musedesign sur la psychologie des couleurs, partagée sur les réseaux sociaux, cet article est un guide précieux dans le labyrinthe des couleurs. Les couleurs nous rappellent toujours quelque chose : un goût de fruit, une odeur de fleur, un bon sentiment. Tout naturellement, on associe le vert à la nature, le rose au féminin, le bleu au ciel ou à la mer. Choisit-on ses couleurs par hasard ? Si oui, le hasard fait-il bien les choses ou est-il préférable de se forger un impact couleur ?
En dehors de la réalité, véritable bourde politique ou buzz sur Internet, les mots ne manquent pas pour qualifier la réplique désormais mythique de Jean-François Copé : « un pain au chocolat coûte aux alentours de 10 centimes d’euros ». S’empressant de reprendre la phrase, le loueur Sixt en a alors fait son cheval de bataille à l’occasion de sa publicité.
Les derniers jours de 2016 résonnent d’un bruit médiatique strident, pour le réseau d’agences immobilières Laforêt, qui se révèle être une nuisance pour l’enseigne. Vous l’aurez deviné, il s’agit bien d’un bad buzz. Le moins qu’on puisse dire est que l’annonce affichée par l’un de ses franchisés, considérée comme raciste, n’aura pas été un atout pour la location du bien.